Vous êtes sur la page 1sur 2

GUȚILĂ DENISA-MĂDĂLINA

ROMÂNĂ-FRANCEZĂ
AN 2 -éme

Le rêve du jaguar
écrite par Leconté de Lisle
Introduction
Leconté de Lisle est un poète français, nè le 22 octombre 1818 à Saint-Paul sur
l’île de la Reunion et mort le 17 juillet 1894 à Voisins. Son oeuvre est dominée par
trois recueils de poésie: „Poèmes antiques” (1852), „Poèmes barbares” (1862) et
„Poèmes tragiques” (1884), ainsi que par ses traductions d’auteurs anciens: Homère,
Hésiode, les tragiques grecs (Eschyle, Sophocle, Euripide), Théocrite, Biôn, Horace
etc.
Le chiox de certains thèmes et leur traitement par Leconté de Lisle le relient au
romantisme notamment: la description de la nature sauvage (couleur, exotisme,
animaux), les sujets historiques et mythologiques, le goût de la liberté dans la
fantaisie, l’énergie. Il "peint" plusieurs tableaux de nature sauvage, en particulier des
grands fauves, comme dans le poème Le rêve du jaguar extrait du recueil Poèmes
barbares paru en 1862. 
Une poésie pleine de renseignement est la poésie „Le rêve du jaguar”.
La thème qui se dégage de ce poème-la est la nature sauvage dans tous ses aspects: les
éléments végétals, les animaux, la chromatique de la stèpe. Le jaguar est un animal
spectaculaire qui est presenté dans sa splendeur. Tout l’action du poème se déroule
dans le rêve de cet animal. Le mélange des aspects visuals, auditifs et olfatifs surprend
ceux qui lisent la poèsie.
J’observé beaucoup figures de styles comme: l’épithètes. Par le bais de ces
épithètes, les effects cromatiques de la poèsie sint realises. Ce poème a les rimes
embrassées et croisées qui contribuent à l’harmonie de la poésie. Le jaguar est un félin
cruel et rusé comme tous les félins à des rêves. Les fauves, les éléments végétals sint
présentées minutiusement par Leconté de Lisle.
Corpus
Tout d’abord, la végétation de stèpe est mentionnée: la fôret est désignée par des
noms tels: „liane”, „acajous”. Les animaux sauvages sont de tout sorte: mouches,
oiseaux (perroquet), reptile, des mammifères massifs (les taureaux). Dans le prèmiere
de la partie de la poèsie il y a une atmosphère lourde, puis les bruit est réalisé par le
„souche”. Bien que le jaguar ne bouge pas, un mouvement intense à lieu dans son
rêve. On observe dans ce poème deux épithètes cromatiques: << noirs >> (noirs
acajous) et jaune: l’araignée qui a le << des jaune >>. La structure de ce poème est
élaborée. En effet, tous les vers sont des alexandrin. Elle est également constituée de
quelques diérèses tel que : « lianes » qui est séparé en « li-a-nes » de manière à ce que
l’on ne soit en présence que de vers contenants 12 syllabes. L’auteur a mélangé les
rimes embrassées ( ABBA) et croisées (ABAB) qui respectent l’alternancedes rimes
féminin / masculin. Ce poème n’est pas séparé en strophes distinctes. 
Ce poème est construit en plusieurs étapes. Dans un premier temps (lignes 1-5),
l’auteur nous plonge dans un paysage tropical étouffant. Le dépaysement est total, la
1
GUȚILĂ DENISA-MĂDĂLINA
ROMÂNĂ-FRANCEZĂ
AN 2 -éme

faune et la flore sont diversifiés. « Sous les noirs acajous » Donne un sentiment de
lourdeur, et d’obscurité car onva se plonger dans la profondeur des plantes. « Les
lianes en fleurs » donnent quand à elles une certaine longueur à la phrase. Ce tunnel
végétal est plutôt angoissant car ce monde nous est peu connu. L’abondance et le
désordre règnent au milieu de ces végétaux. Les plantes pendent, et s’enroulent
comme des serpents, c’est une confusion inquiétante. 
La syntaxe donne également cette impressiond’entrelacement : le sujet et les verbes
sont complexes à trouver dans un tel désordre. Une ambiance irrespirable et malsaine
viens s’ajouter à ce sentiment de crainte. « L’air chaud, immobile et saturé de mouche
», toute cette mise en scène montre la densité extrême de la jungle.
Dans le sommeil, notre jaguar s’imagine un animal exotique et veut s’apaiser la
faim. Son sommeil est sauglant, car il est „le tueur de boeufs et de chevaux”. 
Par seulement descriptifs, le jaguar est aussi un tueur. La présence des habitants de la
fôret semble hostile, mouvement de peur des lézards, „souches mortes”. Son instinct
suscite une illusion, un rêve qui le transporte en un lieu frais cause de sécheresse. La
violence est montrée par la rapacité du fauve, en un vers est exprimé l’action „enfonce
ses ongles ruisselants”, plusieurs victimes.
Au vers 15, la chute molle est suivie par l'immobilité, pas de coupe marquée mais une
allitération nette du [l], consonne liquide, évoquant l'allongement de l'animal et la
mollesse de sa position.
Conclusion
„Le rêve du jaguar”, de Leconté de Lisle, est un poéme parnassien car il y a une très
précise description mais sa descriptions est assez sévère car il va au delà des
apparences.

Vous aimerez peut-être aussi