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Halite

L’halite ou couramment sel gemme dans le langage minier,


est une espèce minérale solide composée de chlorure de
Halite
3
sodium de formule brute NaCl . La roche évaporite tendre, Catégorie III : halogénures 1
très légère, fragile, à la ténacité cassante, à la saveur saline
également dénommée halite qui le contient en très grande
majorité recèle des traces d'iode, brome, fluor, fer, oxygène et
silicium.

Pure, elle est incolore si les cristaux sont bien formés, ou


blanche. La présence d'impuretés lui donne parfois une
couleur grise, jaunâtre à rougeâtre, brunâtre, noire ou encore
4
bleue ou violette .

Le minéral pur, humide au toucher, est beaucoup plus stable


que l'halite commune, très souvent déliquescente à cause
d'impuretés, en faible traces du type chlorure de calcium ou
5
chlorure de magnésium . L'halite est soluble dans l'eau, ce
critère de solubilité, associé au goût salé, à la forme cubique Halite - Mine de Wieliczka, Pologne -
ou au clivage caractéristiques des cristaux permet une (16 × 13 cm)
identification rapide. Chauffé dans une poêle, la matière
Général
minérale décrépite, puis fond. Un grain colore la flamme en
jaune vif, caractéristique des ions sodium. Numéro CAS 14762-51-7
Classe de 3.AA.20
Ce minéral se trouve le plus souvent sous forme de sel marin Strunz
fossilisé avec d'autres roches évaporites ou salines dans les 3 HALIDES
bassins sédimentaires. Il est indispensable à la vie animale et 3.A Simple Halides,
précieux pour l'économie. Aussi les gisements affleurant en Without H2O
surface ou indiqués par des sources salines sont-ils connus de 3.AA M:X = 1:1, 2:3,
6
toute antiquité par les peuples éleveurs . 3:5, etc.
3.AA.20 Carobbiite
KF
Space Group F m3m
Point Group 4/m 3 2/m
3.AA.20 Griceite LiF
Space Group F m3m
Point Group 4/m 3 2/m
3.AA.20 Halite NaCl
Space Group F m3m
Point Group 4/m 3 2/m
3.AA.20 Sylvite KCl
Space Group F m3m
Point Group 4/m 3 2/m
3.AA.20 Villiaumite
NaF
Space Group F m3m
p p
Point Group 4/m 3 2/m

Classe de 9.1.1.1
Dana
Sommaire Halogénures
9. Halogénures
Historique de la description et appellations 9.1.1/ Groupe de la
Inventeur et étymologie halite
Synonymes 9.1.1.1 Halite NaCl
Caractéristiques physico-chimiques
Mélange Formule
NaCl
Cristallochimie chimique
Cristallographie Identification
Distinction des cristaux Masse 58,443 ± 0,002 uma
Cristaux de collection formulaire 2 Cl 60,66 %, Na 39,34 %,

Gîtes et gisements Couleur incolore, blanc, parfois


Gîtologie et minéraux associés jaune, orange, rouge
orange, jaunâtre, brun,
Gisements producteurs de spécimens bleu, violet, bleu-gris, noir,
remarquables violet, grisâtre, rougeâtre,
Gisements historiques et routes du sel gemme rosâtre, bleuâtre...
Préhistoire Classe
Routes du sel gemme cristalline et hexoctahedral
groupe Fm3m n°225
Exploitation des gisements d'espace
Galerie Système
cubique
cristallin
Notes et références
Réseau de
Voir aussi faces centrées F
Bravais
Articles connexes
Clivage parfait, sur {100}, {010},
Liens externes {001}
Cassure conchoïdale
Habitus cristaux cubiques, avec
Historique de la description et des faces cristallines
plongeantes ou fréquents
appellations à clivage {100}, en agrégat
grenu ou fibreux, en
masse compacte rocheuse
Inventeur et étymologie d'évaporite saline, à
textures fines ou
Connue depuis la préhistoire, l'inventeur « moderne » est grossières, parfois
grossièrement granulaire,
Ernst Friedrich Glocker en 1847, qui lui a attribué le nom de
en croûtes, plus rarement
« halites ». Ce mot vient du grec ἃλς hals = sel, et λίθος en masse fibreuse ou
lithos = pierre. C'est James Dwight Dana qui lui donnera son columnaire (stalactites) …
7
nom définitif en enlevant le « s » final .
Faciès cristaux cubiques à faces
lisses, souvent en trémies
(évaporites de surface),
Synonymes hexaédriques, par
8 exemple druse de cristaux
Il existe pour cette espèce de nombreux synonymes : hexaédriques, rarement
octaédriques ou
β halite ; d dé éd i f i
β-halite ; dodécaédriques, parfois
en squelette, avec macle.

cachi ; du quechua kallchi qui signifie « sel » en Échelle de 2 à 2,5


référence aux lagunes saumâtres du Nord-Est de Mohs
l'Argentine ; Trait blanc, mais trace souvent
halites (Glocker) ; identique à la couleur
9
martinsite (Karsten 1845) ; Éclat vitreux à vitreux gras
soude muriatée ; Propriétés optiques
muriacite selon la nomenclature de Guyton de
Indice de
Morveau; réfraction
1,5543
sel gemme, qui désigne à l'origine une forme
Pléochroïsme faible
massive d'halite, en usage une fois pilé comme
sel de table. Biréfringence δ = 0,000
sel de terre, sel terreux ou pierreux, sel de Fluorescence surtout au UV (variable en
salines (mines), pierre de sel. ultraviolet fonction des impuretés),
devient bleu puis brun,
après exposition aux UV,
Caractéristiques physico-chimiques luminescence rouge ou
rose
Transparence transparent à translucide
Mélange Propriétés chimiques

La natrikalite fut d'abord décrite comme une espèce minérale Densité 2,163 (corps pur), le plus
par Gilbert Joseph Adam en 1869, puis déclassée comme souvent entre 2,1 et 2,2,
10 mais entre 2,1 et 2,6
mélange d'halite et de sylvite .
suivant les gisements
Température
800,4 °C
Cristallochimie de fusion
Solubilité soluble facilement dans
L'halite se présente comme deux empilements cubiques l'eau, légèrement soluble
compactes interpénétrés. Elle prend la forme d'un réseau dans l'alcool
cubique d'ions hexacoordonnés, c'est-à-dire que chaque Comportement colore la flamme en jaune
anion est entouré de façon octaédrique par six cations, et chimique vif ou orangé, gicle au
réciproquement. chalumeau
Propriétés physiques
Elle sert de chef de file à un groupe de minéraux
isostructuraux, qui forme des solutions solides. Magnétisme aucun
Radioactivité très rare, halite se
Groupe de l'halite présente bleue

Groupe de l'halite
Unités du SI & CNTP, sauf indication
Groupe
Minéral Formule Groupe d'espace contraire.
ponctuel

Carobbiite KF 4/m 3 2/m Fm3m

Griceite LiF 4/m 3 2/m Fm3m

Halite NaCl 4/m 3 2/m Fm3m

Sylvine KCl 4/m 3 2/m Fm3m

Villiaumite NaF 4/m 3 2/m Fm3m


Cristallographie

La structure de l'halite est, pour l'essentiel, celle du chlorure de sodium.

L'halite cristallise dans le système cristallin cubique, avec le groupe d'espace Fm3m (Z = 4 unités formulaires
11
par maille conventionnelle) .

Paramètre de la maille conventionnelle : = 5,640 2 Å (volume de la maille V = 179,43 Å3)


Masse volumique calculée = 2,16 g/cm3

Cette structure correspond à deux sous réseaux cubiques à face centrée d'ions, décalés de la moitié du côté de
la maille selon l'une des directions des côtés de la maille.

Les ions Na+ et Cl– ont chacun une coordinence 6 : n'importe quel ion Cl– est entouré de 6 ions Na+, formant
un octaèdre autour du Cl–. Et vice versa, autour de chaque ion Na+ se trouvent comme plus proches voisins 6
ions Cl– formant aussi un octaèdre.

Structure de Mise en valeur des


l'halite. Bleu : polyèdres de
+ –
Na , vert : Cl . coordination.

Distinction des cristaux

Les cubes monocristallins sont parfois très gros, avec clivage parfait : ils peuvent atteindre un mètre de côté.
Avec l'humidité, ils subissent une dissolution partielle, le plus souvent provoquant un arrondissement des
angles.

Les accidents de cristallisation sont néanmoins très fréquents. Ce sont principalement des lacunes structurales,
des dislocations, des substitutions... S'ils génèrent des électrons isolés, la couleur bleue tend à s'imposer.

L'halite se distingue de la sylvine, de la sylvinite, de la carnallite, minéraux potassiques par le clivage, le test de
flamme, la dureté et le goût salé.

Cristaux de collection

La manipulation de cette espèce minérale, légèrement hygroscopique, nécessite souvent un nettoyage à l'alcool
et une conservation au sec.

Gîtes et gisements
D'un point de genèse primaire, l'halite peut provenir de l'eau de mer à l'origine des gisements de sel marin,
fossiles ou récents, mais aussi de roches ou d'émanations volcaniques ou plutoniques, y compris les eaux
thermales, expliquant les eaux salines ou saumâtres des zones endoréiques.
p q q

Elle est associée à des couches de calcaires, de dolomies, d'argiles,


mais le plus souvent à d'autres évaporites, à commencer par le gypse
et l'anhydrite. Les lits peuvent avoir une puissance d'environ un mètre
à plus de 300 mètres. Les masses salines de faible densité, en
particulier les dômes de sel dépassant parfois 10 km de diamètre et
2 kilomètres d'épaisseur, que ses amas contribuent à former, tendent à
s'élever et à soulever les couches de terrains supérieures en
12
enveloppes arrondies complexes . Elles sont facilement repérables
par diverses méthodes de mesures géophysiques.

En Algérie, le sel gemme est présent sous des épaisseurs avoisinant Carrière de sel gemme à ciel ouvert
les 1 000 m, présent dans les rochers de sel de Djelfa, d'El Outaya à à Cardone (Espagne).
Biskra. Au Sahara, les forages sahariens l’ont également rencontré
sous des épaisseurs moyennes de 500 m. On estime les réserves au
13
Sahara à 400 000 milliards de tonnes .

Au sud-est de l'Iran, dans les monts Zagros, le sel remonte d'une profondeur de 10 km sous la forme de diapirs
salifères qui percent la surface pour former d'énormes amas qui s'écoulent latéralement comme des glaciers de
sel sous la pression continue du halite. Le plus célèbre d'entre eux, le Kuh-e-Namak, atteint 400 m de
14
hauteur .

Gîtologie et minéraux associés

L'halite est un composant de nombreuses roches évaporitiques, provenant de l'évaporation de lacs ou mers
salés. Elle peut se rencontrer en couches importantes dans les dépôts sédimentaires, comme dans le Saulnois
lorrain (Varangéville Dombasle, Rosières-aux-Salines en val de Meurthe, Dieuze, Château-Salins, en val de
Seille), à Lons-le-Saunier dans le Jura, à Dax dans les Landes, à Salies-de-Béarn dans les Pyrénées-
Atlantiques, à Salies-du-Salat dans la Haute-Garonne, mais aussi à Salzbourg ou dans le Salzkammergut en
Autriche, en Suisse, à Heilbronn ou Berchtesgaden en Allemagne, dans la province de Wieliczka en Pologne,
dans le Sud-Est de la Russie, en Inde, en Iran, en Grande-Bretagne, à Cardona en Espagne, en Ontario, dans
les états américains de New-York, du Michigan et de l'Ohio, du Kansas et du Wyoming, dans les dômes de sel
du golfe du Mexique par exemple au Texas ou en Louisiane, dans le Permian Basin entre Texas et Nouveau-
Mexique, en Arizona et au Nevada, dans le vaste salar d'Uyuni en Bolivie, au Pérou, en Colombie, ou encore
associée à d'autres sels potassiques et magnésiens d'origine marine comme à Stassfurt en Saxe allemande ou
dans les innombrables lacs alcalins des régions arides, froides ou chaudes, voire associée aux couches minces
de sylvinite dans le bassin potassique. Elle apparaît en efflorescences sur de vastes régions arides.

L'halite est associée à divers chlorures, carbonates et sulfates (gypse, sylvine, polyhalite, carnallite, etc.).

Gisements producteurs de spécimens remarquables


Autriche

Druses de cristaux hexaédriques du Salzkammergut, par exemple Hallstatt ou Hall

Canada
États-Unis
France :
Varangéville en Meurthe et Moselle ;
Varangéville en Meurthe-et-Moselle ;
le bassin salifère de Franche-Comté :

Gouhenans, Saulnot, Mélecey-Fallon, Grozon et


Athesans-Étroitefontaine dans le gisement de Haute-
Saône, où le sel est mêlé au bassin houiller
keupérien ;
les Salines de Salins-les-Bains et la Saline royale
d'Arc-et-Senans, reliées par un saumoduc du
e
XVIII siècle de vingt-et-un kilomètres de long, sont
classées patrimoine mondial de l'UNESCO depuis
15
2009 .
Pologne :
Mines de sel de Wieliczka, Wieliczka, Małopolskie - Mine
ouverte dès le XIIIe siècle, classée au patrimoine de
l’UNESCO.
Italie
Cubes empilés d'halite,
"halite violette" de Calascibetta en Sicile (couleur due à la échantillon sorti tel quel des
radioactivité naturelle) mines potassiques de
Stassfurt, Saxe-Anhalt
Inde Allemagne (ordre de
Pakistan grandeur:
6,7 × 1,9 × 1,7 cm).
Mine de sel de Khewra

Gisements historiques et routes du sel gemme

Préhistoire
16
Le sel est utilisé pour l'assaisonnement et la conservation des aliments depuis la Préhistoire .

Routes du sel gemme

Les routes du sel désignent les routes commerciales d'échanges et de commerce, par laquelle le sel a été
transporté historiquement depuis les régions de production vers les régions consommatrices et déficitaires.
Certaines d'entre elles concernaient tout particulièrement le sel gemme.

L'azalaï en langue tamasheq est la caravane de dromadaires menée deux fois par an par les Arabes qui
pratiquent le transport et le commerce au travers du désert du Sahara sur près de 1 000 km du sel gemme
extrait des mines de Taoudeni du nord du Mali en le vendant à Tombouctou et sur d’autres marchés du Sahel.
Dans le sens inverse, ils transportaient les esclaves, l'azalaï étant un maillon important de la traite orientale.

Au Tibet, les nomades du sel constituaient des caravanes composées de yaks pour transporter du sel depuis les
sauneries situées sur des sommets de l'Himalaya pour le troquer après transport dans les plaines contre de
l'orge et des aliments de base.

Du sel gemme est également extrait à la main du cœur des contreforts himalayens, dans les mines de Khewra,
au Pendjab pakistanais, depuis 350 av. J.-C.. Cette mine est la seconde mine de sel en exploitation au monde
17
en termes de production . Alexandre le Grand fut le premier, aux environs de 350 ans avant J.-C., à faire
transporter le sel rose de l’Himalaya vers l'Europe
transporter le sel rose de l Himalaya vers l Europe.

Exploitation des gisements


Au début des années 1990, la mine de Retsof, dans l'État de New York, comptait parmi les plus grandes
salines du monde. Ses principales utilisations sont :

minerai pour l'industrie de la soude (voie vers la fabrication de la soude caustique ou


l'industrie verrière) et de l'acide chlorhydrique ;
important minerai (associé) pour les (sous) produits extraits : potasse, magnésium, chlore,
brome, iode.
l'halite est le principal constituant du sel employé pour le salage des routes ;
dans l'industrie alimentaire, comme conservateur (notamment depuis l'Antiquité pour la
conservation de la viande) ou condiment exhausteur de goût, mais aussi prodigieux fixateur
d'eau pesante (sel alimentaire) ;

Galerie

Fluorescence de Cristal de sel de Halite du Sel rouge provenant


l'halite d'Erongo, l'une des mines gouvernorat du de la mine de sel de
Namibie. Musée de sel de Fayoum en Khewra.
minéralogique de Wieliczka en Égypte.
Bonn. Pologne.

Pseudomorphoses de trémies de sel


associées à des restes silicifiés d'algues
dans un galet (flint) des alluvions de la
Loire, région de Marcigny, France.

Notes et références
1. La classification des minéraux choisie est celle de Strunz, à l'exception des polymorphes de la
silice, qui sont classés parmi les silicates.
2. Masse molaire calculée d’après « Atomic weights of the elements 2007 » (http://www.chem.qmu
l.ac.uk/iupac/AtWt/AtWt07.html), sur www.chem.qmul.ac.uk.
3. C'est la forme naturelle du sel de cuisine.
4. L'allochromie caractérise l'halite. La couleur provient essentiellement d'impuretés chimiques
diverses, d'effets de phénomènes physiques, comme les tensions ou pressions mécaniques, la
radioactivité interne ou l'exposition à des rayons lumineux comme les UV. La couleur bleue ou
violette est causée par la présence d'électrons libres, libérés par des micro-cassures ou failles
mécaniques, ou par des flux de particules, en particulier des photons de haute énergie, émises
par la radioactivité naturelle de la roche et reçues par simple exposition. Ces électrons libres
sont responsables également d'agrégations colloïdales : les cristaux sont caractérisés par des
taches bleues ou violettes intenses. L'orange et surtout le rouge et le rougeâtre proviennent de
traces d'oxydes de fer, en particulier d'hématite. Le jaune ou jaunâtre ressort des hydroxydes de
fer, goethite ou limonite. Le noir provient de la présence de bitume ou parfois de cendres
microscopiques, le rose d'algues microscopiques fossiles, algues de milieu salin très
analogues à celles rencontrées dans les saumures des marais salants.
5. D'une manière générale, il faut conserver les échantillons en boîte hermétique, sinon les
spécimens absorbent la vapeur d'eau atmosphérique et tombent en déliquescence.
6. Outre l'usage alimentaire et condimentaire pour les hommes, les animaux domestiqués sont
friands de pierre ou léchons de sel. Les aspects chimiques et économiques sont plus
particulièrement traité dans l'article "chlorure de sodium".
7. (en) James Dwight Dana, George Jarvis Brush (1868) A System of Mineralogy: Descriptive
Mineralogy, John Wiley & Sons, New York (NY), 5e éd., 827 p., p. 112
8. « Index alphabétique de nomenclature minéralogique » BRGM
9. (de) Dietrich Ludwig Gustav Karsten, « Der Martinsit, ein im Steinsalzlager zu Stassfurth
aufgefundenes Salz », Journal für praktische Chemie, vol. 36, no 1, 1845, p. 127 (ISSN 0941-
1216 (http://worldcat.org/issn/0941-1216&lang=fr),
DOI 10.1002/prac.18450360129 (https://dx.doi.org/10.1002%2Fprac.18450360129))
10. Adam, M. (1869) Tableau minéralogique, Paris: 69
11. ICSD No. 61 662 ; (en) J. E. Nickels, M. A. Fineman et W. E. Wallace, « X-ray diffraction studies
of sodium chloride-sodium bromide solid solutions », Journal of Physical Chemistry, vol. 53,
no 5, 1949, p. 625-628
(DOI 10.1021/j150470a003 (https://dx.doi.org/10.1021%2Fj150470a003))
12. C'est le cas dans le golfe du Mexique ou dans le Proche-Orient. Des schistes, roches réservoir
du pétrole, sont souvent piégés sous le dôme salin. Ce sont des indices souvent fiables pour y
forer des puits de pétrole.
13. https://www.elwatan.com/edition/contributions/panorama-des-ressources-naturelles-
geologiques-de-lalgerie-15-07-2018
14. Patrick De Wever et Jean-Marie Rouchy, Le sel, saveur de la Terre, France, EDP sciences,
coll. « Terre à portée de la main », 2016, 96 p. (ISBN 978-2-7598-2049-8), pp. 61-62
15. Musée du Sel (http://www.musees-des-techniques.org/Jura_39_/Les_musees/salines-AADA.ht
ml?langue=FRA) de Salins-les-Bains.
16. Patrick De Wever et Jean-Marie Rouchy, Le sel, saveur de la Terre, France, EDP sciences,
coll. « Terre à portée de la main », 2016, 96 p. (ISBN 978-2-7598-2049-8), p. 68
17. (en) Camerapix, Spectrum Guide to Pakistan, Interlink Books, juillet 1998, 359 p.
(ISBN 978-1-56656-240-9, lire en ligne (https://books.google.com.pk/books?id=ZlwOAQAAMA
AJ&q=khewra+largest+salt+producer+in+world&dq=khewra+largest+salt+producer+in+world&
hl=en&sa=X&ei=TsKBT4DeMcOZOrbZ5IoH&ved=0CEUQ6AEwBQ)), p. 150.

Voir aussi

Articles connexes
Grenier à sel

Histoire du sel
Route du Sel
Sel alimentaire

Liens externes
Présentation sommaire du minéral (http://w
Sur les autres projets Wikimedia :
ww.groupes.polymtl.ca/glq1100/mineraux/h
alite/halite.html) Halite (https://commons.wikimedia.org/wi
(en) Donnée minérale (http://www.mindat.or ki/Category:Halite?uselang=fr), sur
g/min-1804.html) Wikimedia Commons
(en) Halite sur le webmineral (http://webmin
eral.com/data/Halite.shtml#.Va-6VYWvjFU) halite, sur le Wiktionnaire
(en) Fiche du Handbook of minerals (http://rr
uff.info/doclib/hom/halite.pdf)

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