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Amphibole

famille de minéraux, silicates de fer, de


calcium ou de magnésium
Amphibole
Catégorie IX : silicates[1]

Édenite de Bancroft, province d'Ontario


Général
Classe de 9.DD.
Strunz à
9.DE.
Formule A0-1B2C5(Si,Al,Ti)8O22D2 où :

chimique A = Na, K, Ca ou PbII ;

B = Li, Na, Mg, FeII, MnII ou Ca ;

C = Li, Na, Mg, FeII, MnII, Zn, Co, Ni, Al, FeIII, CrIII, MnIII, VIII, Ti ou

Zr ;

D = OH, F ou Cl.
Identification
Couleur variable, sombre
Système monoclinique ou
cristallin orthorhombique
Clivage parallèle à l'allongement
Cassure esquilleuse ou irrégulière
Habitus couramment, en cristaux plus
ou moins aciculaires (baguette,
prisme allongé plus ou moins
rectangulaire)
Échelle de
5-6
Mohs
Éclat vitreux
Propriétés chimiques
Densité 3 - 3,6
Propriétés physiques
Magnétisme aucun
Radioactivité aucune

Unités du SI & CNTP, sauf indication


contraire.
modifier (https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Amp
hibole&action=edit&section=0)

Les amphiboles sont une famille de minéraux, silicates de fer, de calcium ou de magnésium.
Elles cristallisent dans les systèmes orthorhombique et monoclinique en prismes très
allongés, avec un clivage typique selon les faces du prisme. Elles appartiennent au groupe
des inosilicates.
Selon la fiche toxicologique Amiante de l'INRS[2], le groupe des amphiboles inclut cinq
variétés minérales très proches de l'amiante :

la crocidolite (amiante bleu) de


formule Na2(Fe,Mg)3FeIII2Si8O22(OH)2,
l'homologue asbestiforme de la
riébeckite ;
l'amosite (amiante brun) de formule
(Mg,Fe)7Si8O22(OH)2, l'homologue
asbestiforme de la grunérite ;
la trémolite-amiante
Ca2Mg5Si8O22(OH)2, l'homologue
asbestiforme de la trémolite ;
l'actinolite-amiante
Ca2(Mg,Fe)5Si8O22(OH)2, l'homologue
asbestiforme de l'actinote ;
l'anthophyllite-amiante
(Mg,Fe)7Si8O22(OH)2, l'homologue
asbestiforme de l'anthophyllite.
Parmi celles-ci, seules l'amosite et la crocidolite ont été industriellement exploitées pour
produire des fibres (en Afrique du Sud, et elles comptent pour moins de 5 % de la production
mondiale d’amiante-fibre)[2], mais ces roches ont parfois pu être valorisées en gravier, par
exemple pour produire des routes, où le matériau peut alors se déliter et générer des fibres
(dites « fragments de clivage ») dont la forme et les caractéristiques évoquent celles de
l'amiante (et dont la toxicité commence seulement à être étudiée), sachant que chaque
variété d'amiante réglementaire possède aussi « au moins un homologue non asbestiforme
dont la composition chimique est identique »[3].

Inventeur
René Just Haüy en 1797. L'étymologie du mot remonte au grec ancien ἀμφίβολος -
amphíbolos signifiant « ambigu ».

Gîtologie

Motif cristallin élémentaire des


amphiboles

Très largement répandues dans la nature, elles sont généralement de couleur sombre, mais
peuvent varier du blanc au noir. En général, ce sont des minéraux durs et lourds. Ils entrent en
partie dans la constitution des roches magmatiques et métamorphiques.

Certaines roches appelées amphibolites sont constituées presque entièrement d'amphiboles.


Les amphiboles sont caractérisées par l'anion [Si4O11(OH)]7 - et en particulier par la présence
d'eau. En effet ce sont des minéraux hydratés contrairement aux pyroxènes. On peut
distinguer macroscopiquement les amphiboles grâce à leurs clivages à 120°, contrairement
aux pyroxènes qui ont un clivage à 90°.

Parmi les différentes variétés d'amphiboles, on distingue les amphiboles ferromagnésiennes,


les amphiboles calciques et les amphiboles sodiques.

Amphiboles
ferromagnésiennes

Orthorhombiques

anthophyllite, riche en magnésium et


fer.
gédrite, riche en aluminium, de
structure fibreuse, découverte à Gèdre,
dans l'Ardèche et dans le Rhône.
holmquistite, riche en lithium

Monocliniques
cummingtonite, riche en fer et en
magnésium, découverte à
Cummington aux États-Unis, dans des
massifs alpins et préalpins,
accompagnée de grenats, de
magnétite et de quartz.
grunérite, riche en fer, de couleur vert
sombre, découverte par le chimiste
français L.E. Gruener.

Amphiboles calciques
monocliniques
Elles contiennent du magnésium, du fer et du calcium.

actinote, riche en fer, de couleur vert


clair à vert foncé, cristaux à structure
aciculaire (en forme d'aiguille), se
trouve dans les calcaires modifiés au
contact des roches éruptives,
découverte dans toute la chaîne alpine
de l'Europe.
néphrite, de couleur gris-blanc au
vert soutenu ; c'est une des deux
formes de jade (l'autre étant la
jadéite, un pyroxène) ;
byssolite, une variété à structure
fibreuse ;
trémolite ou amiante d'amphibole,
riche en magnésium, de couleur
blanche, découverte dans le Val de
Trémola, en Suisse. Elle se trouve dans
les calcaires modifiés au contact des
roches éruptives. En France on la
trouve dans l'Ariège, dans la Haute-
Garonne, en Isère, à Arnave, à
Chamonix, à Tarascon et à Trimouns.
hornblende, riche en fer, de couleur
presque noire, découverte en
Allemagne.
pargasite, magnésium et fer,
découverte à Pargas en Finlande.
kaersutite, riche en titane,
découverte à Kaersut au
Groenland.

Amphiboles sodiques
monocliniques

Glaucophane
Crocidolite, variété de riébeckite

Elles contiennent du sodium mais pas de calcium ; groupe d'espace C 2/m 2/m.

Glaucophane
Na2(Mg,Fe)3Al2Si8O22(OH)2
Ferroglaucophane
Na2(Fe3Al2)Si8O22(OH)2
Crossite
Na2(Mg,Fe)3(Al,Fe)2Si8O22(OH)2
Magnésioriébeckite
Na2[(Mg,Fe)3Fe2]Si8O22(OH)2
Riébeckite
Na2(Fe2+,Mg2+)3Fe3+2Si8O22OH2
Eckermannite
NaNa2(Mg4Al)Si8O22(OH)2
Ferro-eckermannite
NaNa2(Fe4Al)Si8O22(OH)2
Magnesio-arfvedsonite
NaNa2(Mg4Fe)Si8O22(OH)2
Arfvedsonite
NaNa2(Fe4Fe)Si8O22(OH)2
Fluoro-magnesio-arfvedsonite
NaNa2(Mg,Fe)4Fe[Si8O22](F,OH)2
Potassicarfvedsonite
KNa2(Fe4Fe)Si8O22(OH)2
Kozulite NaNa2Mn4(Fe,Al)Si8O22(OH)2
Nyböite NaNa2(Mg3Al2)Si7AlO22(OH)2
Ferronyböite
NaNa2(Fe)3Al2(Si7Al)O22(OH)2
Ferric-ferronyböite
NaNa2(Fe)3(Fe)2(Si7Al)O22(OH)2
Fluoronyböite NaNa2(Al2Mg3)
(Si7Al)O22(F,OH)2
Leakeite NaNa2(Mg2Fe2Li)Si8O22(OH)2
Ferroleakeite
NaNa2(Fe)3(Fe)2Li(Si8O22)(OH)2
Potassicleakeite
KNa2Mg2Fe2LiSi8O22(OH)2
Kornite
Na(CaNa)Fe4(Al,Fe)Si7AlO22(OH)2
Ungarettiite NaNa2(Mn2Mn3)Si8O22O2
Fluoro-ferroleakeite
NaNa2(Fe2Fe2Li)Si8O22F2
Obertiite
NaNa2(Mg3FeTi)Si8O22(O,F,OH)2
Dellaventuraïte
NaNa2(Mg2,Mn,Li,Ti)Si8O22O2

Utilisations
Le nom d'amiante (ou asbeste[4]) est donné aux variétés fibreuses d'amphiboles et
d'antigorite. Les amphiboles asbestiformes (ou fibreuses) ont ainsi servi à la fabrication
d'isolants thermiques ou de vêtements résistants au feu, à la protection de câbles
électriques, au flocage protecteur de poutrelles métalliques[5].

Toxicité et analyses de
risques
D'usage interdit du fait de leur toxicité, ces minéraux contiennent notamment toutes les
sortes d'amiantes (tels que l'amiante bleu ou crocidolite, l'amiante brun ou amosite, la
trémolite, l'actinolite, l'anthophyllite) et d'autres minéraux dont des études récentes laissent
penser qu'ils peuvent dans certaines conditions aussi produire des fibres dangereuses pour
l'Homme et d'autres organismes lorsqu'elles sont inhalées et/ou ingérées.

Il est désormais obligatoire de rechercher l'amiante chrysotile dans les couches routières (ou
de parkings, etc.) qui doivent être rénovées ou détruites. Lors de ces analyses les
laboratoires détectent aussi dans les enrobés des quantités significatives d'actinolite qui n'y
ont a priori pas été ajoutés intentionnellement et qui ne viennent pas des hydrocarbures
(goudron) utilisés comme liant[6]. Cet actinolite est un minéral naturellement présent dans
certaines roches exploitées pour la production d'enrobé routier. Un problème est que ses
"fragments de clivage" sont potentiellement aussi toxiques que l'amiante, et qu'ils se situent
dans un vide juridique ; en effet la réglementation européenne désigne comme "amiante" six
minéraux naturels : une serpentine, le chrysotile, et cinq amphiboles, (l'actinolite-amiante,
l’anthophylite-amiante, la trémolite-amiante, l’amosite et la crocidolite... Ces 5 derniers
amphiboles dans la nature peuvent être de morphologies " asbestiformes" (fibreuse et alors
reconnue comme dangereuse) ou non. Cette réglementation n'a visé que les morphologies
asbestiformes (fibreuses) des cinq amphiboles cités ci-dessus. Mais il a depuis été
démontré que les contraintes mécaniques appliquées aux roches riches en actinolite (ou à
des amphiboles non-asbestiformes homologues des amphiboles réglementées) peuvent
cliver le matériau qui produit alors des particules plus ou moins longues et fibreuses dites
« fragments de clivage », qui présentent toutes les caractéristiques (pathogènes et
réglementées) des fibres d'amiante[6].
En 2014 les effets des formes asbestiformes des cinq amphiboles réglementaires sur la
santé étaient bien connus, mais des incertitudes persistaient sur la toxicité des "fragments
de clivage" d'actinolite (et d'autres minéraux pourraient aussi être concernés : anthophyllite,
trémolite, grunérite et riébeckite).
En outre les méthodes analytiques utilisées en routine ne permettent pas encore de
différencier de façon simple et économique les fragments de clivage des fibres
asbestiformes dans un échantillon (le maclage, et la netteté de la diffraction de la lumière en
bordure d’objet sont deux paramètres pouvant aider à différencier un fragment de clivage
d'une fibre d'amiante ou asbestiforme)[6].

En France les autorités environnementales régionales ont fait remonter la découverte


fréquente de fibres d’amiante actinolite dans les granulats d’enrobés routiers, ainsi que de
« fragments de clivage » qui s'ajoutent donc au chrysotile qui a été utilisé volontairement
pour consolider les enrobés routiers dans les années 1975-1995 (à hauteur de 1 % en masse
des enrobés). L'Anses s'est donc vu confier en 2014 par la Direction générale du travail (DGT),
la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) et la Direction générale de la Santé
(DGS) une étude d'expertise sur les " Effets sanitaires et identification des fragments de
clivage d’amphiboles issus des matériaux de carrière"[6]. L'étude s'est limitée aux expositions
professionnelles pour ce qui concerne l'exposition aux fragments de clivage provenant des
minéraux cités ci-dessous. Elle s'est aussi limitée aux prélèvements et analyses de fibres
faits dans les matériaux et dans l'air (et non dans l'eau, les boisson ou les aliments)[6].
En 2014 l'Anses a créé un groupe de travail « Fragments de clivage » au sein de son comité
d’experts spécialisé (CES) « Évaluation des risques liés aux milieux aériens » et lui a confié
cette étude, et s'est appuyé sur une expertise antérieure faite sur les fibres minérales
courtes[7].
De 2008 à 2014, seules trois études, réalisées par McConnell en 2008 ; Mossman en 2008[8]
et Williams et al. en 2013[9] avaient porté (in vitro ou in vivo) sur la toxicologiques de
fragments de clivage (de trémolite et de ferroactinolite, en fibres d'une morphologie
comparable à celle de l'amiante et répondant à la définition d’une fibre de l'OMS (Davis et al.
1991 [10] ; Cyphert et al . 2012 [11] ; Kodavanti et al. 2014 [12]). Ces 3 études avaient toutes
conclu que des échantillons « majoritairement de fragments de clivage » induisent des
mésothéliomes chez le rat de laboratoire lors d’injections intra-péritonéales et peuvent
induire une réaction inflammatoire chez le rat lors d’injections intra-trachéales. Des études
qui avaient comparé la toxicité relative des amphiboles de Libby (mélange de fragments de
clivage et de fibres asbestiformes, selon les analyses métrologiques) à des échantillons de
fibres d’amiante laissaient penser que ces amphiboles étaient moins toxiques, mais quand
ces données ont été rapportées à la quantité de particules injectées ou ajustées aux
dimensions de ces fibres, les différences de toxicité n'étaient plus significatives[6]. L'Anses
notait en 2015 que la littérature scientifique manquait encore totalement de données et
références en termes d'exposition aux "fragments de clivage", mais aussi de données sur les
paramètres qui modulent la toxicité de ces fibres moins bien connues que l'amiante en
termes par exemple de biopersistance, de contaminants adsorbés (potentiellement
nombreux en contexte de pollution routière, de réactivité de surface, etc.[6] En France de
premières mesures d’exposition en carrière et sur les chantiers routiers étaient encore
balbutiantes ou en cours d'évaluation en 2015 et faites avec des méthodes ne distinguant
pas les fragments de clivage des fibres naturellement asbestiformes. Un doute persiste car
un fragment de clivage est généralement à longueur égale plus épais qu'une fibre
asbestiforme, avec un rapport d’allongement inférieur, ce qui le rendrait peut-être moins
cancérigène ou toxique[6].

En 2015 l'Anses a conclu qu'au vu des données épidémiologiques disponibles :

« - En l’état actuel des connaissances


sur les effets sanitaires, les fragments
de clivage des amphiboles non-
asbestiformes d’actinolite,
d’anthophyllite, de trémolite, de
grunérite et de riébeckite répondant
aux critères dimensionnels des fibres
« OMS » (L > 5 μm ; D < 3 μm et L /D >
3) ne doivent pas être distingués de
leurs homologues asbestiformes
(actinolite-amiante, anthophyllite-
amiante, trémolite-amiante amosite et
crocidolite) ;
-Des effets sanitaires similaires à ceux
de l’amiante sont démontrés pour
d’autres PMA calciques et calco-
sodiques, présentes sous forme de
mélange de particules asbestiformes
et non asbestiformes : la fluoro-
édénite, classée agent cancérogène
pour l’Homme par le CIRC en
novembre 2014 (groupe I) et la
winchite et la richtérite, constituants
majoritaires des amphiboles de Libby,
classées cancérogènes pour l’Homme
par l’US EPA en décembre 2014 ; - Il
n’existe actuellement pas de données
spécifiques sur les effets sanitaires
pour les autres PMA calciques et
calco-sodiques ; - Il n’y a pas lieu de
faire la distinction entre les fragments
de clivage répondant aux critères
dimensionnels des fibres « OMS » (L >
5 μm ; D < 3 μm et L/D > 3) et les fibres
asbestiformes des PMA calciques et
calco-sodiques, en particulier en raison
des incertitudes et des difficultés liées
à leur caractérisation et à leur
différenciation par les méthodes
d’analyse utilisées en routine. » .

Notes et références

1. La classification des minéraux


choisie est celle de Strunz, à
l'exception des polymorphes de la
silice, qui sont classés parmi les
silicates.
2. INRS Amiante Fiche toxicologique
n° 145 (http://www.inrs.fr/publicatio
ns/bdd/fichetox/fiche.html?refINRS
=FICHETOX_145) [archive].
3. Effets sanitaires et identification
des fragments de clivage
d’amphiboles issus des matériaux
de carrière. Avis de Anses et rapport
d'expertise collective. Décembre
2015 (www.anses.fr).
4. Du grec asbestos, « incorruptible ».
5. Alain Foucault, Le guide du
géologue amateur, Dunod, 2014 (lire
en ligne (https://books.google.fr/books?id=
31kOAwAAQBAJ&printsec=frontcover) [arc
hive]), p. 59
6. Anses (2015) " Effets sanitaires et
identification des fragments de
clivage d’amphiboles issus des
matériaux de carrière" (https://www.
anses.fr/fr/system/files/AIR2014sa
0196Ra.pdf) [archive], décembre
2015, Ed. scientifiques de l'Anses
7. Afsset (2009) Rapport d’expertise
collective « Fibres courtes et fibres
fines d’amiante. Prise en compte du
critère dimensionnel pour la
caractérisation des risques
sanitaires liés à l’inhalation
d’amiante. Réévaluation des
données toxicologiques,
métrologiques et épidémiologiques
dans l’optique d’une évaluation des
risques sanitaires en population
générale et professionnelle »
8. Moosman BT (2008) Assessment of
the pathogenic potential of asbest
iform vs. nonasbestiform
particulates (cleavage fragments) in
in vitro (cell or organ culture)
models and bioassays. Regul.
Toxicol. Pharmacol. 52, S200 –
S203
9. Williams C, Dell L, Adams R, Rose T,
Van Orden D (2013) State - of - the -
science assessment of non -
asbestos amphibole exposure: Is
there a cancer risk? Environ .
Geochem. Health 35, 357 - 377
10. Davis JMG, Addison J, McIntosh C,
Miller BG, Niven K, (1991) Variations
in the carcinogenicity of tremolite
dust samples of differing
morphology. Ann. N. Y. Acad. Sci.
643, 473 – 490
11. Cyphert JM, Nyska A, Mahoney RK,
Schladweiler MC, Kodavanti UP, &
Gavett, S. H. (2012) Sumas
Mountain chrysotile induces greater
lung fibrosis in Fischer344 rats than
Libby amphibole, El Dorado tre
molite, and Ontario ferroactinolite.
Toxicol . Sci . 130, 405 - 415
12. Kodavanti UP, Andrews D,
Schladweiler MC, Gavett SH, Dodd
DE, Cyphert JM (2014) Early and
delayed effects of naturally
occurring asbestos on serum
biomarkers of inflammation and
metabolism. J. Toxicol. Environ.
Health A 77, 1024 - 1039

Voir aussi

Bibliographie

Anses (2015) Effets sanitaires et


identification des fragments de clivage
d’amphiboles issus des matériaux de
carrière (https://www.anses.fr/fr/syste
m/files/AIR2014sa0196Ra.pdf) [archive
] ; Avis de l’Anses ; Rapport d’expertise
collective

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