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Présenté Par :
1) ZAOUI soumia
2) SEBDIK hanane
moral et matériel
ZAOUI SOUMIA
Introduction générale
Introduction générale
I.1 Introduction………………………………………………………………………………………… 2
I.2) Conduite de l’étude mécanique…………………………………………………….. 2
I.2.1) Recherche du tracé……………………………………………………………………… 2
I.2.2) Dossier d’exécution……………………………………………………………………... 2
I.3) Nature de terrain ………………………………………………………………………... 3
I.3.1) Terrain sableux…………………………………………………………………………… 3
I.3.2) Terrain rocheux…………………………………………………………………………... 4
I.3.3) Terrain marécageux…………………………………………………………………….. 4
Annexe 1………………………………………………………………………………………. 64
Annexe 2………………………………………………………………………………………. 65
Annexe 3………………………………………………………………………………………. 66
Annexe 4………………………………………………………………………………………. 67
Annexe 5………………………………………………………............................................. 68
Annexe 6……………………………………………………………………………………..... 69
Conclusion générale................................................................................... 70
Introduction générale
Introduction générale :
L’électrification d’un pays est une phase de mise en place d’infrastructure (équipement de
base) nécessaire au développement d’une manière générale.
Grâce à l’électricité nous pourrons accéder aux bienfaits de la modernité sur les plans
domestiques et industrielles, néanmoins l’électrification coute chère en terme d’un
investissement et en opération de maintenance.
Les lignes aériennes sont des ensembles de conducteurs nus ou isolés, fixés en élévation
sur des supports (poteaux, pylônes, potelets en façade des bâtiments ou de galerie accessible
aux public,…..) au moyen d’isolateurs ou de système de suspension adéquats .ils peuvent être
regroupé en faisceaux torsadé de conducteurs isolés électriquement les uns par rapport aux
autres et mécaniquement solidaire.
Calcul électrique qui consiste de déterminer une section propre pour éviter les chutes
de tension assez grande.
Calcul mécanique des lignes aériennes : consiste à étudier les variations des tensions
mécaniques, les portées et des flèches.
Appareillage Electrique
1
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
I.1.Introduction :
La ligne aérienne doit être un ouvrage de technologie simple, facile et rapide à étudier et à
construire, aisé à modifier, s’accommodant aux contraintes du tracé et de l’environnement et
permettant un accès commode à cette différente partie pour les opérations d’exploitations. À ce titre,
le risque d’indisponibilité doit être très faible.
Le calcul mécanique d’une ligne aérienne consiste à étudier les variations des tensions
mécaniques et des flèches dans le but principalement de :
S’assurer que, dans les conditions de travail prévues, le facteur de sécurité est respecté.
Vérifier les distances géométriques réglementaires à la flèche maximale.
Déterminer les efforts exercés par les conducteurs sur les supports.
L’étude d’exécution d’une ligne est à conduire suivant les étapes ci-après :
I.2.1.Recherche du tracé :
Le tracé de la ligne projeté se fait sur une carte au 1/500 verticalement, et1/2000 horizontalement, ce
tracé est toujours compléter par une visite sur les lieux afin de s’assurer de :
2
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Le dossier d’exécution doit comprendre tous les documents nécessaires à la réalisation des travaux,
entre autres :
Le plan de masse ou profil en long.
Le plan de situation.
La mémoire descriptive.
Le carnet de piquetage
Le tableau de pose de flèche, des tensions mécaniques.
Le dossier de traversé éventuellement [1 ].
I.3.1.Terrain sableux :
3
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
I.3.2.Terrains rocheux :
Ces terrains peuvent être constitués des roches altérées, stratifiées, friables, délitées ou de banc de
silex. Leur extraction nécessite une désagrégation plus ou moins énergique mais, sous l’effet des
vibrations engendrées par les travaux, le risque d’éboulement des blocs fissurés ou altérés est réel
(que ce soit par les engins ou sous l’action des agents atmosphériques.
I.3.3.Terrains marécageux :
Les terrains marécageux sont dominés par une végétation ligneuse, arborescente ou arbustive,
croissante sur un sol minérale ou organique soumis à des inondations saisonnières et une circulation
d’eau enrichie de minéraux dissous. Ils sont soit ouverts sur un lac ou un cours d’eau [2].
4
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
𝑡2 −𝑡1
∆LAB2= 𝐿𝐴𝐵 (I.2)
𝐸
𝑡2 −𝑡1
∆LAB= L AB .α. (Ɵ2− Ɵ1) +LAB (I.4)
𝐸
dL = (1 + 𝑦 ′ 2 )1/2 dx (I.7)
5
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
𝑋2
(1 + 𝑋 2 )1/2 = 1+ (I.9)
2
On prenant l’équation de la chainette au parabole
𝑥2
y= (I.10)
2𝑃
𝑥
y’ = (I.11)
𝑃
On remplace y’ dans l’équation (II.7) :
𝑥 2 1/2
dL = (1 + ) dx (I.12)
𝑃2
𝑥
On pose X= donc :
𝑃
X2 𝑥2
dL = (1 + 𝑋 2 )1/2 = 1+ = (1+ ) dx (I.13)
2 2𝑃 2
𝑥2
L =∫ 𝑑𝑙 = ∫( 1 + ) dx (I.14)
2𝑃 2
𝑥3
L = (𝑥 + ) (I.15)
3 .2 𝑃 2
𝑎
On pose 𝑥 =
2
𝑎 𝑎3
LAB = + (I.16)
2 8 .3.2 .𝑃2
𝑎3
LAB= 𝑎 + (I.17)
24 .𝑃2
6
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
𝑎3
LAB1 = a + (I.18)
24.P21
ET
a3
LAB2 = a + . (I.19)
24 .𝑃22
𝑎3 1 1
∆LAB= ( - ) (I.21)
24 P22 P21
𝑡
P= (I.22)
𝑚.𝑊
𝑃𝑡
𝑚= (I.23)
𝑝𝑐
𝑎3 𝑚22 . 𝑊 2 𝑚21 . 𝑊 2
∆LAB = ( − ) (I.24)
24 𝑡22 𝑡22
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
On pose:
m21 . W2 . a2
E + E . (Ɵ2−Ɵ1)− t1= A (I.28)
24 .t21
Et
m22 . 𝑊 2 . 𝑎 2
E=B (I.29)
24
On retient
t 22 (t 2 + A) = B (I.30)
Donc :
𝑡23 + 𝑡22 . 𝐴 = 𝐵 (I.31)
Cas particulier de l’équation de changement d’état :
W2 . a2 𝑊 2 . 𝑎2
t 22 . (t2+ E. + E. α (Ɵ2 − Ɵ1) − t1) = E.
24 . t1 24
Résolution de l’équation de changement d’état ; exemple de calcul
Un conducteur almélec 34.4mm2 , dans une portée de 120 m est tendu 2.2 dan/mm2 + 50°c sans vent,
on désire connaitre la tension du conducteur à 20°c avec vent de 18 dan/m2, le tableau des
caractéristiques des conducteurs indiqué dans les annexes donne :
𝐸.𝑊 2
=0.00189
24
E.α.( Ɵ2-Ɵ1) = -4.14
8
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
m1 = 1 m2 = 4
l’équation s’écrit :
(120)2
𝑡2 3 + 𝑡2 2 . [0.00189. (2.2)2 − 4.14 − 2.2] = 0.00189. (4.120)2
492.5
𝑡3 = 10 − 285.06
𝐭 𝟑 = 𝟖. 𝟐𝟕 𝐝𝐚𝐧/𝐦𝐦𝟐
80.85
𝑡4 = 8.27 –
193.26
9
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
𝒕𝟒 = 𝟕. 𝟖𝟓 𝐝𝐚𝐧/𝐦𝐦𝟐
3.86
𝑓 (t4 = 7.85) =7.85 −
173.55
on s’arrête ici.
I.4.2.Fonction de blondel :
1 𝑃 2 . 𝑎2 𝑇
Ɵ= ( − ).
𝛼 24 . 𝑇2 𝐸. 𝑆
Pour un câble chargé, on utilise une transformation de porté ou bien d’un changement de poids et la
fonction sera :
1 𝑃 2 . 𝑎2 . 𝑚2 𝑇
Ɵ= ( − )
𝛼 24 . 𝑇2 𝐸. 𝑆
10
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
N5 blondel il s’a remplacé par un réseau des droits (abaques de blondel); on portant sur les
abscisses le carré des portés et sur les ordonnés les températures correspondant aux déférents
états:
-le point figuratif M1 correspondant à l’état 1 se trouve à l’intersection de la verticale, avec la droite
T1 correspondant à l’équation :
1 𝑝2 . 𝑎2 𝑇1
Ɵ1 = ( − )
𝛼 24 . 𝑇12 𝐸. 𝑆
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Pour trouvé le point figuratif M2 correspondant à l’état 2, il suffit de porte différence de température
∆Ɵ= Ɵ2 −Ɵ1, au dessous du point M1, M2 sera l’intersection avec la droite T 2 dans l’équation
1 𝑝2 . 𝑎2 𝑇2
Ɵ2 = ( − )
𝛼 24 . 𝑇22 𝐸. 𝑆
Les hypothèses climatiques nécessaire au calcul de la tension mécanique dans les conducteurs,
adopté pour les lignes moyenne tension sont résumés dans le tableau qui suit :
+50°C 0 dan/m2
Haut plateaux +20°c. 48 dan/m2 -10°c. 18 dan/m2 -5°c+Giv 48 dan/m2
a) Hypothèse (H.A)
H.A : à une t° moyenne (20°) d’une région de haut plateaux et un vent de 48 dan/m 2 la tension des
conducteurs ne doit pas dépasser le 1/3 de leur charge de rupture.
b) Hypothèse (H.B)
H.B : a une t° minimal (-10°c) d’une région au plateau et un vent 18 dan/m2, la tension des
conducteurs ne doit pas dépasser le 1/3 de leur charge de rupture.
Dans le cas des variations à une température moyenne sans vent la tension des conducteurs ne doit
pas dépassé le 1/5 de leur charge de rupture.
12
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
c) Hypothèse (H.G)
H.G : lorsque la ligne doit être calculé pour tenir compte d’éventuelle sur charge de givre, les zones
d’utilisation du conducteur définie par les hypothèses
Précédents, de façon telle que avec le givre (-10°c), vent 48cpz = 48dan/m2 sur le conducteur
considéré [4].
La tension du conducteur présente un coefficient de sécurité 1.75 par rapport à leur charge de rupture.
Coefficient de sécurité :
Les coefficients de sécurité sont choisis par rapport à la limite de rupture d’acier (37kg/m 2) et sont :
3 en conditions normales.
1.75 en conditions exceptionnelles.
2) Rupture simultanée de trois conducteurs dans la combinaison la plus défavorable pour les
éléments du support ; les conducteurs non rompus étant soumis à leur tension maximum autorisée
et éventuellement surchargés de givre.
3) Support situé dans une région givrante.
4) Support d’angle supérieur à 45 grades.
5) Support d’arrêt en ligne.
6) Support de traversées des voies ferrées [4].
I.5.Calcul de la flèche :
La flèche est la distance maximale verticale, dans une portée entre un conducteur et la droite
joignant ses points d’accrochage sur les supports.
𝑎2 . 𝑤
f=
8. 𝑡
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
I.5.1.1.Equation de la chainette :
La courbe d’équilibre d’un fil homogène suspendu par ses deux extrémités est une chainette
d’équation :
𝑥
y= p. ch
𝑃
𝑥2 𝑥4
Y= P (1 + 2
+ +…)
2! . 𝑝 4! . 𝑝4
En pratique cette courbe est admissible à une parabole ou l’on retient que le premier terme de
l’équation de la chainette.
a. Flèche de la chainette :
𝑋2 𝑋4
y = p. ( 2
+ +…)
2! . 𝑝 4! . 𝑝4
b. Flèche de la parabole :
𝑋2
y=
2.𝑝
14
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
I.5.1.2.L’expression de la flèche :
T. f=p.(L/2).(a/4)
L’équation de la somme des forces projetées sur les deux axes est :
Comme f est toujours très petite devant la portée AB alors L/2 = a/2.
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
𝑃 .𝑎2 𝑝 .𝑎2
T. f = ⇒ f=
8 8 . 𝑇
si
T= t .S et p = w. S
𝑎2 . 𝑤
On aura : f=
8 . 𝑡
𝑎2
y= f =
8 .𝑃
𝑡
P=
𝑤
– P : Paramètre [m]
𝑎2
f=
8 . 𝑝
Exemple :
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
a2 a2 w.a2
f= = =
8.𝑃 8.𝑡/𝑤 8.𝑡
0.65×802 4160
f= = =1.04 m
8×500 4000
I.6.Etude de la portée :
I.6.1.Longueur de chaine :
U
e=0.8 (k. √𝑓 × L + ).
150
o Pour le Cu : k= 0.75
o Pour l’ Al/acier : k= 0.80
o Pour l’ Almélec :k= 0.90
Remarque: pour des écartements exceptionnels, installer un support pour chacun des conducteurs
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
∑𝑛 3
𝑖=1 𝑎𝑖
aeq=√∑𝑛 1
𝑖=1 𝑎𝑖
I.7.les isolateurs :
I.7.1. définition :
Les isolateurs sont des composants indispensables au transport et à la distribution de l’énergie
électrique. Leur fonction est de réaliser une liaison entre des conducteurs et la terre.
-L’isolateur est formé par un isolant auquel sont fixés deux pièces métalliques M 1 et M2
(figure I.5).
18
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
I.7.2. le rôle :
L’isolateur a pour objectif de supporter les conducteurs, il doit remplir
19
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Les isolateurs peuvent être utilisés en position horizontale, verticale ou oblique ces isolateurs
rigides sont utilisés dans les lignes aériennes pour les tensions ne dépassent pas généralement 30kV
Les différents éléments sont accrochés entre eux grâce a des parties métalliques scellés réunies entre
elles par goupille en laiton pour résister a l’action du vent les isolateurs à suspension sont plus les
fréquents que les isolateurs rigides et ils sont utilisés pour des tensions plus élevées.
Les conducteurs doivent être assez écartés pour les pertes par effluves ne soient pas trop élevées
pour éliminer tous risque d’amorçage entre deux conducteurs ou entre conducteur. Support et
armement, en outre la disposition relative des
Conducteurs est de nature à modifier les constantes de la ligne, en particulier, les coefficients self-
inductance et de capacité.
20
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
I.8.1.Types d’armements :
a-Alignement :
21
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
b. Arrêt :
22
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
I.9.les supports :
a-pylône d’alignement :
23
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
b-pylône de traversée :
-Pour résister a la rupture du conducteur avec un coefficient de sécurité égal à 1.75 utilisé dans les
grands angles.
24
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
d- Pylône d’ancrage :
Calculer pour résister à la rupture de tous les conducteurs avec le coefficient de sécurité égale à 3
utilisé dans les très grands angles.
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
R =Fv +( T1+T2 )
26
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
I.9.2.1.Supports en bois :
Les supports en bois sont constitués de portique, comprenant deux poteaux de résineux (sapin,
épicéa, pin, mélèze) imprégnés d’un produit de protection et relier par une double poutre en bois
exotique imputrescible.
Les supports en bois sont différenciés par leur appartenance à une classe.
Ils existent six classes de poteaux : B.D. C. D. E. F.
La classe définie donc l’effort en tête.
Le poteau en bois est caractérisé par sa hauteur et sa classe par exemple :
11/C – 12/D
(11, 12) : Hauteur
(C, D) : classe
-Une plaque ronde fixée à 3.5m de la base porte les indications suivantes :
1-Nom de l’utilisateur.
2-Le procédé de traitement (E ou R).
3-L’année d’imprégnation.
4-La hauteur de support en m.
5-La classe.
6-Le nom de fabriquant [6].
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Effort en tête
F est l’effort nominal disponible en [dan] à 0.25m sous le soumet au coefficient de sécurité égale à 3
et le vent sur le support étant déduit
Avantage :
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Inconvénients :
Domaine d’utilisation :
Zones accidentées.
Zones givrées.
Zones touristiques boisées.
Ligne provisoire.
Dépannage rapide.[6]
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Vu leur avantage par rapport aux autres supports, les supports en distribution doivent être en béton
[6].
Avantage :
Inconvénient :
Fabrication :
Ils sont fabriqués dans des moules, dans lesquelles on a centré une armature et le béton doit être vibré
pendant le coulage pour éviter toutes poches d’air qui peut être néfaste au support.
Caractéristiques :
Efforts en tête très utilisés : (250-400-630-1000) [dan], il existe deux types des supports en béton :
Le type N (normal) sur lequel est fixé directement d’armement.
Le type R (renforcé) sur lequel la fixation de l’effort est reportée au dessus de la tête du support
(nappe voute).
Remarque : à sonelgaz, tous les supports sont précontraint et du type R [6].
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Marquage :
En principe, sur tous les supports en béton on doit trouver les indications suivantes :
Le G : centre de gravité.
Un trait repaire.
Le fabricant.
La hauteur et l’effort
K coefficient de sécurité.
L’année de fabrication.
La plaque “danger de mort“[6].
Remarque :
-la plus petite dimension d’une fondation est de 0.70 m, dimension permettant à un ouvrier de
travailler aisément.
-il y’a lieu de prévoir quatre fers en “S“ de diamètre minimum 8 mm entre la semelle et le béton du
massif ( pour les supports métalliques) pour une bonne reprise de bétonnage quand la fouille dépasse
1.50 m [6].
Implantation :
H
Les supports en béton sont implantés dans des fouilles de profondeur égale à h= + 0.50𝑚 et dont
10
250 55 40
400 65 65
630 75 75
1000 95 95
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Avantage:
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Inconvénient :
Cout élevé.
Facile à escalader.
Nécessite un entretien périodique.[6]
Constitution:
Le B.S est constitué de quatre cornières qui sont des profilé à chaud entre les quelles on à soudé à
l’arc électrique. Des fers plats, d’où son nom de B.S.
Il est constitué d’un seul tronçon de 7.70 m pour les réseaux torsadé.
Il est constitué de deux tronçons pour les supports de 11-12 et 14 m.
Il est constitué de trois tronçon pour les supports >14m.
Le 1ér tronçon qui est la partie supérieure mesure toujours 6m et la2 éme tronçon qui est la partie
inferieure mesure :
5m pour faire un support de 11m.
6m pour faire un support de 12m.
8m pour faire un support de 14m [6].
Caractéristique :
Le B.S est caractérisé par sa hauteur hors- sol et les dimensions de ses cornières, il est distingué de la
façon suivante :
96-B.S-66
96 : veut dire 9.60m hauteur hors-sol et avec une implantation de 1.40m, le support à une hauteur
totale de 11m.
B.S : bouts de fers soudés.
66 : dimensions de la cornière ;
-60mm largeur de la cornière.
-6mm épaisseur de la cornière.
Ces dimensions correspondent à un effort en tête de 400 dan [6].
33
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
630 - - 126-B.S-77
1000 - 106-B.S-88 -
350 96-B-S-99 - -
Remarque : pour les réseaux en câble torsadé on à conçu des supports B.S en 1 seul tronçon de
7.70m et une implantation de 1m :
67 -B.S -55.
67-B.S-66.
67-B.S-77 [6].
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Figure (I.18) : Supports métalliques pour réseau aériens type “bs “ profilé à froid (P A F) et l’aminé
à chaud (L A C)
La formule utilisée pour le dimensionnement et la vérification des conditions est celle d’Andrée-
norsa :
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Ms : moment de stabilité :
Ou :
36
Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Mr : moment de renversement
moment de stabilité
s= 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑛𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡.
I.10.3. Sur massifs :
Des sur massifs doivent être prévus pour tous les supports ils sont de 10 cm en zone urbaine et de 35
cm en zone rurale (terrains de labours).
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
I.10.4. massifs :
Les dimensions des fondations, ainsi que leur vérification sont résumées dans les indiqué dans les
annexes.
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Chapitre I : Calcul Mécanique d’une ligne MT
Pour les supports de traversé de voie ferrées, les coefficients de stabilité étant fixé a 1 des
fondations spéciale seront prévue a cet effet.
Pour évité que les chutes en cascade de support ne se produisent en cas d’incident (due
notamment a des vent très violent, a des tempête des sable ou de neige , a du givre très lourd, a de la
neige collante,… etc.), il est nécessaire de
limité les longueurs des contons de 2 a 3 km , surtout sur les haut plateaux et dans les zones
sahariennes [7]
I.13.Conclusion :
Les conducteurs des lignes aériennes sont soumis aux variations de plusieurs facteurs entrainant des
pressions mécaniques, le problème qui se pose dans le calcul d’un conducteur est de savoir les
variations des déférents phénomènes : le vent, le givre et la température.
La flèche et la tension mécanique constituent la préoccupation principale du conducteur d’une ligne
aérienne.
39
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
II.I. Introduction :
Ce travaille a pour objectif d’élaborer la méthodologie à suivre pour effectuer des réglages des
protections des réseaux de distribution MT.
La protection contre les défauts, entre phase, et assurer par deux relais à maximum d’intensité a
deux seuils, le premier dit de surcharge et l’autre violant.
C’est une protection contre les surcharges et les défauts en bout de la ligne. Le relai a maximum
de courant de phase doivent être régler a une valeur de courant inferieur au plus faible courant de
défauts susceptible de se manifesté entre les phases, se courant est relative à un courant inférieure à
15% de défaut biphasé se produisant en bout de ligne.
Avec :
40
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
La durée de court-circuit :
Les courts-circuits peuvent être classés suivant leurs emplacements dans les réseaux, deux cas
peuvent se présenter :
Ils disparaissent spontanément en des temps très courts sans provoquer le déclenchement sur les
réseaux.
Court-circuit fugitif :
Les défauts fugitifs ont pour origine des causes variées et restent parfois inconnues, néanmoins leur
localisation est souhaitable pour réduire leur nombre ;
41
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
Un
Iccb = (II.1)
2×√R2L +(XHT +XT + XL )2
Avec :
𝑈𝑛2
𝑋𝐻𝑇 = (II.2)
𝑆𝑐𝑐
Avec :
42
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
𝑈𝑐𝑐 2
𝑈𝑛𝑡
𝑋𝑇 = × (II.3)
100 𝑆𝑛
Avec :
𝑅𝐿 = 𝑅0 × l (II.4)
𝑋𝐿 = 𝑋0 × l (II.5)
Les résistances et réactances kilométrique par phase d’un conducteur de section « S » sont résumées
dans le tableau suivant :
Il doit éliminer rapidement les courts-circuits de la ligne MT et son réglage doit être
suffisamment élevé pour le rendre insensible aux défauts sur le réseau BT.
43
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
Avec :
-coefficient de sécurité.
44
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
Au moment où le défaut phase-terre apparait, les tensions entre phase et terre du départ sain sont
déséquilibrées. La tension V1 de la phase avariée est nulle, les tensions simples des deux autres
phases V2 et V3 ont pour amplitude la tension composée U et elles sont déphasées entre elles de 60°,
le courant mesuré par le relais de courant homopolaire est dans ces conditions :
Ce courant capacitif est de l’ordre de 8A/100km pour les lignes aériennes en 30 kV et 1.6A/km
pour les câbles souterrains 10 kV.
45
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
Temporisation :
D’une manière générale, s’il existe des protections temporisées en aval sur un départ,
l’échelon de temporisation entre deux protections doit être de l’ordre de 0,3 s.
-Etre assez élevée pour permettre d’utiliser les possibilités de surcharge du transformateur sans
risque de déclenchement intempestif.
46
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
-Etre aussi faible que possible pour que la protection d’arrivée assure un certain secours aux
protections des départs.[8]
Sn
I r arrivée 1,3 à1, 4 I nT , I nT (II.10)
1, 732 U nT
Avec :
Temporisation
II.4.méthode conventionnelle :
Cette méthode est valable notamment pour les circuits terminaux situés suffisamment loin de la
source d’alimentation.
Elle n’est pas applicable dans les installations alimentées par un alternateur.
Dans cette méthode, le courant de court circuit minimal à l’extrémité d’une canalisation est calculé
par la formule :
0.8.𝑈
Icc = 𝑙
2⍴ 𝑠
U : La tension en volts en service normal à l’endroit où est installé les dispositifs de protection.
47
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
Le principe de cette méthode consiste à déterminé les courants de court circuit a partir de
l’impédance que représente le circuit parcouru par le courant de court circuit. Cette
impédance se calcule après avoir totalisé séparément les différents résistances et réactances
de la boucle de défaut, depuis la source d’alimentation du circuit jusqu’au point considéré.
C’est le défaut qui correspond à la réunion des trois phases. L’intensité de court circuit Icc 3
est :
𝑈/√3
Icc3=
𝑍𝑐𝑐
2
Zcc= √(∑ 𝑅) + (∑ 𝑋)2
Avec :
Le défaut triphasé est généralement considéré comme celui provocant des courants de défaut
les plus élevés.
48
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
Il correspond à un défaut entre deux phases, alimenté sous une tension composé U. L’intensité
Iccb débité est alors inférieure à celle de défaut triphasé
𝑈 √3
Icc2= = ∙ 𝐼𝑐𝑐3 = 0.86. Icc3
2 𝑍𝑐𝑐 2
il correspond à un défaut entre une phase et le neutre alimenté sous une tension simple :
V=U/√3
𝑈/√3
Icc1=
𝑍𝑐𝑐 +𝑍𝑙𝑛
Dans certain cas particuliers de défaut monophasé, l’impédance homopolaire de la source est
plus faible que Zcc .l’intensité monophasé peut être alors plus élevé que celle du défaut
triphasé.
49
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
50
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
On a :
AB =R I cos φ.
I R=I=IS (II.11)
𝑉𝑅 𝑉𝑅 ( 𝑅.𝐼.𝑐𝑜𝑠𝜑 + 𝑋𝐿 .𝐼.sin 𝜑)
∆V . = (II.18)
𝑉𝑅 𝑉𝑅
∆𝑈 𝑉𝑅 ( 𝑅.𝐼.𝑐𝑜𝑠𝜑 + 𝑋𝐿 .𝐼.sin 𝜑)
= (II.19)
𝑉𝑅 𝑉𝑅2
∆𝑉 (𝑃.𝑅+𝑄.𝑋𝐿 )
= (II.20)
𝑉𝑅 𝑉𝑅2
51
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
∆𝑈 3(𝑃.𝑅+𝑄.𝑋𝐿 )
= (II.21)
𝑈𝑅 𝑈𝑅2
∆𝑈 √3 . 𝑅 . 𝐼
= (II.22)
𝑈 𝑈
⍴ .𝑙 𝑃
∆𝑈 √3 𝑠 . ( 3 𝑈 . cos 𝜑 )
√
= (II.23)
𝑈 𝑈
∆𝑈
= x% (II.24)
𝑈
⍴. 𝑙. 𝑃
𝑠= En [m2 ] (III.25)
𝑥% .𝑈 2. cos 𝜑
∆𝑈 √3 . 𝑅 . 𝐼
=
𝑈 𝑈
⍴ .𝑙 𝑃
∆𝑈 √3 𝑠 . ( 3 𝑈 . cos 𝜑 )
√
=
𝑈 𝑈
52
Chapitre II : Calcul Electrique d’une ligne MT
⍴. 𝑙. 𝑃
𝑠=
5% . 𝑈 2 . cos 𝜑
S=17.5 mm2
II.7.Conclusion:
Dans ce chapitre nous avons présenté les différents méthodes de calcul de courant de court
circuit dans le but principalement d’éliminé automatiquement les incidents. Et pour éviter les chutes
en cascade des lignes en augmentent la section des conducteurs.
53
Chapitre III : Appareillage Electrique
III.1.Introduction :
III.2.1.Les sectionneurs :
Le sectionneur est prévu pour isoler un circuit, il réalise le sectionnement. Il ne doit jamais être
manœuvré en charge. Il doit correspondre aux conditions de sécurité prescrites par les normes,
notamment pour la coupure pleinement apparente et de la séparation des contacts.
-Fonction :
Séparation entre la partie amont sous tension et la partie aval d’un circuit.
-Réalisation :
Sectionnement du circuit à vide par coupure de tous les conducteurs de phase et du conducteur de
neutre s’il existe (mais pas du conducteur de protection PE).
Un sectionneur n’étant pas prévu pour couper un circuit en charge son pouvoir de coupure ou de
fermeture est très faible. Ne jamais actionner un sectionneur en charge
III.2.2.Les interrupteurs :
L’interrupteur est un appareil capable d’établir et de couper entre des contacts séparable. Le courant
dans des conditions normale de service et de supporter, pendant un temps déterminer, les courant de
54
Chapitre III : Appareillage Electrique
cour-circuits et peut être aussi prévue pour établir mais non pour couper des courant anormale élevé
tel que des courants de court-circuit
Les IACM sont conçu pour être installés sur un support de ligne aérienne, et raccorder en nappe
horizontale. Ils sont à ouverture verticale avec dispositif de coupure visible
Ils sont équipés d’isolateurs en matériaux composites offrant plusieurs avantages :
Transport et manutention des IACM sont risque de casse des isolateurs.
Aucun risque de vandalisme (au contraire les isolateurs en verre ou porcelaine
IACM plus léger.
-Mise à la terre :
Le châssis métallique de l’IACM est raccordé à la terre par un conducteur continue en cuivre. Ce
dernier est protégé contre la détérioration par une protection mécanique sur une hauteur de 2.5 m au
dessue de sol
55
Chapitre III : Appareillage Electrique
Cette commande à distance se fait soit par voie hertzienne ou bien par liaison téléphonique.
Le choix de type de télécommande dépend du type de carte électronique qui équipe l’objet
technique(I.A.T).
Les fusibles moyennes tensions offrent une protection des dispositifs de distribution moyenne
tension de (3 à 36kV) contre des effets dynamique et thermique causé par les courts-circuits plus
élevé que le courant minimale de
Coupure de fusible. Etant donné leur faible coût d’acquisition et ne nécessitant aucun maintenance,
les fusibles moyennes tensions sont une excellente solution pour la protection de différents type de
dispositif de distribution.
Les coups circuits à fusibles sont des appareils de protection contre les surintensités à cet effet, il
comporte un élément conducteur qui, dans certaines
56
Chapitre III : Appareillage Electrique
Conditions, s’échauffe et fond sous l’effet du passage de courant, il en résulte une coupure du
circuit dans lequel l’élément fusible est inséré.
Le coup circuit à fusible se coupe automatiquement lorsque l’intensité de courant a une valeur jugée
dangereuse pour la conservation des matériaux.
III.3.1.3.Règle de protection :
Le pouvoir de coupure du fusible doit être supérieur au courant de court-circuit au point où il est
installé.
Pdc > I cc
III.3.2.1.Définition et rôle :
57
Chapitre III : Appareillage Electrique
Dans des conditions normales de service, par exemple pour connecter ou déconnecter une ligne
dans un réseau électrique.
Dans des conditions anormales spécifiées, en particulier pour éliminer un Court-circuit, et les
conséquences de la foudre.
De par ses conséquences, un disjoncteur est un appareil de protection essentiel des réseaux
électrique HTA, car il est seul capable d’interrompre un courant de court-circuit et donc éviter que
le matériel soit endommagé par ce court-circuit [9].
Figure(III.4) : disjoncteur MT
La coupure d’un courant électrique par un disjoncteur MT est obtenue en séparant des courants dans
un gaz (air, SF6,…etc.) ou dans un milieu isolant (par exemple à vide).après la séparation des
contacts, le courant continue du circuit à travers un arc électrique s’établi entre les contacts d’un
disjoncteur.
Pour disjoncteur MT, le principe de coupure retenu est la coupure de courant lorsqu’il passe par
zéro (ceci se produit toutes les dix millisecondes dans le cas d’un courant alternatif à50Hz).en effet,
c’est à cet instant que la puissance
Qui est fournie à l’arc électrique par le réseau est minimal (cette puissance fournie est même nulle à
l’ instant où la valeur instantanée du courant devient nulle) [9].
58
Chapitre III : Appareillage Electrique
III.3.2.3.1.Disjoncteur à huile :
L’huile qui servait déjà comme isolant a était utilisée dès le début de siècle comme milieu de
coupure car cette technique permet la conception d’appareille relativement simple et économique.
Disjoncteur à huile ont était utilisé principalement pour les tensions de 5 à 30kv [9].
Inconvénients :
59
Chapitre III : Appareillage Electrique
L’autonomie des appareils apportée par la technique auto pneumatique (sans compresseur de
gaz).
La possibilité d’obtenir les performances les plus élevées, jusqu’à 63kA.
La durée de vie d’au moins de 25 ans.
Faible niveau de bruit.
zéro maintenance.
Eteint l’arc 10 fois mieux que l’air [9].
III.3.2.3.4.Disjoncteur à vide :
III.3.3.Paratonnerre :
Le paratonnerre est un conducteur relié à la terre qui présente au sommet une forme pointue. Il
est placé sur ou prêt de l’installation protéger.
60
Chapitre III : Appareillage Electrique
III.3.4. Éclateur :
L’éclateur est généralement placé en parallèle avec l’isolateur, il est formé de deux électrodes
pointes, dont l’une relié à la terre et l’autre à l’installation à protéger.
La varistance est une résistance non linéaire qui chute considérablement lorsque la tension
augmente. En fonctionnement normale en absence de sur tension, la résistance de la varistance est
très élevée et empêche le passage de courant de la ligne vers la terre. Par contre, en régime de
surtension la résistance chute subitement pour dévier le courant, et donc la surtension vers la terre.
61
Chapitre III : Appareillage Electrique
62
Chapitre III : Appareillage Electrique
III.3.6.Câble de garde :
Le câble de garde protège contre la foudre il est placer juste au-dessus des conducteurs, en cas
de coup de foudre c’est luis qui est touché en premier. Après l’impact de la foudre il transfert le
courant vers la terre a travers le pylône.
III.4.Conclusion :
63
Annexe 1
SUPPORT BETON
Terrain marécageux (sol de contrainte Q = 5000 kq/m 2)
Type Poids Hauteur Effort Effort axbxp Volume axbxh Sans Surmassif Surmassif Conditions
mètre
Béton (kg) totale H V (m) (m3) (m) surmassif 70x70x10cm 70x70x35cm normales
(m)
11-250 805 11 250 500 2.05x2.62x1.20 6.455 2.05x2.62x1.10 1.10 5.752 5.804 5.891 1.074
12-250 905 12 250 500 2.10x2.69x1.20 6.774 2.10x2.69x1.10 1.10 6.026 6.077 6.160 1.007
11-400 1035 11 400 600 2.50x2.50x1.20 7.500 2.50x2.50x1.10 1.10 6.717 6.769 6.858 1.044
12-400 1165 12 400 600 2.60x2.60x1.20 8.112 2.60x2.60x1.10 1.10 7.261 7.312 7.397 1.036
11-630 1545 11 630 800 2.85x2.85x1.20 9.747 2.85x2.85x1.10 1.10 8.741 8.791 8.872 1.042
12-630 1735 12 630 800 2.95x2.95x1.20 10.443 2.95x2.95x1.10 1.10 9.359 9.407 9.484 1.027
12-1000 2170 12 1000 800 3.35x3.35x1.20 13.467 3.35x3.35x1.10 1.10 12.063 12.105 12.167 1.031
64
Annexe 2
SUPPORT BETON :
11-250 805 11 250 500 0.70x0.90x1.20 0.753 0.70x0.90x1.10 1.10 0.525 0.577 0.644 4.630
12-250 905 12 250 500 0.70x0.90x1.20 0.753 0.70x0.90x1.10 1.10 0.507 0.557 0.641 3.963
11-400 1035 11 400 600 0.70x0.70x1.20 0.588 0.70x0.70x1.10 1.10 0.381 0.433 0.522 2.044
12-400 1165 12 400 600 0.70x0.70x1.20 0.588 0.70x0.70x1.10 1.10 0.364 0.415 0.500 1.750
11-630 1545 11 630 800 0.70x0.70x1.20 0.588 0.70x0.70x1.10 1.10 0.345 0.395 0.476 1.160
12-630 1735 12 630 800 0.75x0.75x1.20 0.675 0.75x0.75x1.10 1.10 0.405 0.453 0.530 1.089
11-
1925 0.90x0.90x1.20 0.972 0.90x0.90x1.10 0.636 0.749
1000
11 1000 800 1.10 0.680 1.011
12-
2170 12 1000 800 1.05x1.05x1.20 1.323 1.05x1.05x1.10 1.10 0.931 0.973 1.035 1.050
1000
65
Annexe 3
SUPPORT METALLIQUE
Type Poids Hauteur Effort Effort axbxp Volume axbxh Sans Surmassif Surmassif Conditions
mètre
bs (kg) totale H V (m) (m3) (m) surmassif 70x70x10cm 70x70x35cm normales
(m)
95bs66 317 11 450 600 2.65x2.65x1.20 8.427 2.65x2.65x1.20 1.10 8.427 8.493 8.615 1.059
106bs66 351 12 450 600 2.75x2.75x1.20 9.075 2.75x2.75x1.20 1.10 9.075 9.141 9.263 1.056
126bs77 551 14 590 1000 3.15x3.15x1.200 11.907 3.15x3.15x1.20 1.10 11.907 11.973 12.095 1.013
106bs88 572 12 950 800 3.35x3.35x1.20 13.467 3.35x3.35x1.20 1.10 13.467 13.533 13.655 1.020
66
Annexe 4
SUPPORT METALLIQUE
Type Poids Hauteur Effort Effort axbxp Volume axbxh Sans Surmassif Surmassif Conditions
mètre
bs (kg) totale H V (m) (m3) (m) surmassif 70x70x10cm 70x70x35cm normales
(m)
95bs66 317 11 450 600 0.70x0.70x1.20 0.588 0.70x0.70x1.20 1.10 0.588 0.654 0.776 2.679
126bs77 551 14 590 1000 0.70x0.70x1.20 0.588 0.70x0.70x1.20 1.10 0.588 0.654 0.776 1.249
106bs88 572 12 950 800 0.70x0.70x1.20 0.588 0.70x0.70x1.20 1.10 0.588 0.654 0.776 1.086
67
Annexe 5
117 0.285 14.00 9.89 16.95 6.00 23.10-6 0.00277 0.00192 1.27 2.34 4.09 5.36 1.17 7.8 3470
E = α (θ’ - θ)
10° 15° 20° 25° 30° 35° 40° 45° 50° 53° 60° 65°
1.38 2.07 2.76 3.45 4.14 4.83 5.52 6.2 6.90 7.59 8.88 8.97
68
Annexe 7
Fonction de protection :
Symboles Désignation
69
Annexe 8
Symboles Désignation
Transformateur
Disjoncteur
X
Disjoncteur débrochable
X
Fusible
Sectionneur
Prise de terre
Transformateur de Courant
Transformateur de Tension
Résistance
70
Annexe 9
Les résistances et réactances kilométrique par phase d’un conducteur de section « S » sont résumées
dans le tableau suivant :
Ligne aérienne
Câble souterrain :
71
Conclusion générale
Conclusion générale :
D’après le mécanisme du calcul sur la variation de flèche en porté ou de canton situé en terrains
nivelé ou dénivelé, ayant le but de fournir les informations plus fiable sur le projet d’une ligne
aérienne MT , leurs dimensionnement dépend de la mécanique des matériaux et d’électricité.
L’étude d’une ligne électrique c’est l’étude de toutes les variations qui permettent d’opter pour une
installation plus performante du point de vue de la capacité de transport de l’électricité du cout de
revient.
A travers notre mémoire nous avons traites les grands axes de l’étude de la construction d’une ligne
aérienne MT.
En fin nous souhaitons satisfaire tous les étudiant intéresses par ce sujet en leur donnant tous les
connaissances qu’on apportées dans notre étude
72
Conclusion générale
72
Bibliographie
[2] :http://www.constructiv.be/media/files/shared/NAVB/publicaties/NA
VB%20 Dossier/FR/CNAC%20dossier%2096.ashx
L’étude d’une ligne moyenne tension est basée sur deux calculs :
Calcul électrique : à pour objectif de calculer la section tout en respectant les conditions
imposés par l’entreprise mère ( sonelgaz), chute de tension et pertes joule, le courant de
court-circuit pour avoir le pouvoir de coupure des dispositifs de protection .
-mechanical calculation is to study the calculation of the distance between the electrical
pylons ,the arrow and the voltage that is based on the change of state or graphe, that
equation depend on climatic assumption ( frost, wind and temperature) adopted to tree
areas ( the littoral the hight trays and the sahara areas).
Electrical calculation: aime to calculate the section while respecting the conditions
imposed bay the Company( sonelgaz), voltage drop and joul losses, the short circuit-
current for the switching capacity of the protective devices
يهدف الى دراسة كل من المسافة بين أعمدة الكهرباء السهم والتوتر الميكانيكي الدي يتوقف على:الحساب الميكانيكي
درجة الحرارة) استنادا على ثالث،الرياح،معادلة تغير الحالة او المنحنيات أللتي تعتمد على االفتراضيات المناخية (الصقيع
)المناطق الصحراوية،الهضاب العليا،مناطق (الساحلية
انخفاض،) يهدف إلى حساب مقطع الناقل مع احترام الشروط المقترحة من قبل الشركة األم (سونلغاز:الحساب الكهربائي
. تيار الدارة المستقصرة من أجل معرفة القدرة على القطع ألجهزة الحماية الكهربائية،التوتر وضياعات جول