Vous êtes sur la page 1sur 16

Deux auteurs bibliques d’époques très différentes l’une de l’autre ont fait

ces déclarations puissantes :

Esaïe longtemps avant la venue de Jésus-Christ

« Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le
châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses
meurtrissures que nous sommes guéris. » Esaïe 53:5

Et  Pierre des années, après la mort de Jésus-Christ et son élévation au ciel.

« Lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin
que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les
meurtrissures duquel vous avez été guéris. » 1 Pierre 2:24

L’un d’entre eux prophétisait, c’était Esaïe tandis que l’autre affirmait ce
qu’il avait vu, vécu et expérimenté  c’était Pierre.

Aujourd’hui que représentent les meurtrissures de Christ pour


l’humanité ?

Dieu n’a pas changé et le sacrifice de la croix est un sacrifice éternel.

A la croix du calvaire, Jésus-Christ a été meurtri,  maltraité etblessé ainsi


donc la Bible déclare que le châtiment qui nous donne la paix est tombé
sur Lui et c’est par ses meurtrissures que nous avons été guéris.

L’œuvre accomplie par Christ à la croix est une œuvre infaillible, elle est
une œuvre éternelle.
Si tu expérimente la puissance du sang de Jésus-Christ versée à la croix, ta
vie ne peut plus jamais être la même.

Le sang de Jésus-Christ, bouleverse les vies, transforme les sociétés et


apporte la vie et la guérison.

Pourquoi fallait-il le sang de Jésus-Christ ?

Pourquoi avait-il besoin de souffrir l’agonie et le mépris de la croix ?

Parce que l’homme a un problème fondamental ; chaque personne nait


dans ce monde séparé de Dieu.

La Bible déclare à cet effet :

« Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu;et ils sont
gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est
en Jésus-Christ.C’est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour
ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice… »
Romains 3 :23-25

La condition de tout homme devant Dieu c’est : Séparé de la gloire de Dieu

La vie de toute personne sur la terre, qui n’a pas encore expérimenté le
pardon de ses péchés par le sang de Christ, est une vie d’errance et de
perdition. Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.

Dieu a cependant décidé de résoudre le problème de l’homme ; il l’a résolu


en sacrifiant Jésus-Christ Son Fils unique comme victime propitiatoire ;
c’est-à-dire que Jésus-Christ a été offert à la croix comme celui qui portait
le blâme de tous les péchés de l’humanité.
Le sacrifice de Jésus-Christ à la croix est la solution unique, permanente et
éternelle de Dieu au problème du péché qui sépare l’homme de Lui.

Dans cet article nous voulons te présenter la merveille du bénéfice et de


l’héritage que nous avons dans le sang de Jésus-Christ.

A la croix du calvaire une voix s’est faite entendre ; un son éternel : « Il
dit: Tout est accompli. Et, baissant la tête, il rendit l’esprit. » Jean 19 :30

Tout est accompli !

Pourquoi Jésus-Christ pouvait-il faire une telle déclaration ?

Qu’est-ce-qui était contenu dans sa mort pour qu’Il puisse faire une telle
déclaration ?

Certainement sa mort contenait toutes les clés pour débloquer tous les
mystères de la vie et de l’éternité.

Que cachent donc les blessures de Christ à la croix ?

Voici les 7 blessures de Jésus Christ et leurs mystères

QUELQUES DÉCLARATIONS DE PAUL AVANT DE COMMENCER :

« Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent; mais
pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu.» 1
Corinthiens 1:18
« Pour ce qui me concerne, loin de moi la pensée de me glorifier d’autre
chose que de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ, par qui le monde
est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde!» Galates 6:14

La première chose que tu dois savoir c’est que la croix du calvaire a deux
facettes ; elles sont symbolisées dans l’ancien testament par les deux
montagnes Garizim et Ebal dans Deutéronome 27 :11-13

« Le même jour, Moïse donna cet ordre au peuple:Lorsque vous aurez
passé le Jourdain, Siméon, Lévi, Juda, Issacar, Joseph et Benjamin, se
tiendront sur le mont Garizim, pour bénir le peuple;et Ruben, Gad, Aser,
Zabulon, Dan et Nephthali, se tiendront sur le mont Ebal, pour prononcer
la malédiction. »

Chaque blessure de Christ porte en elle-même la malédiction et la


bénédiction.

La malédiction parce que Son sang nous délivre de toutes malédictions, et


la bénédiction parce que par le même sang nous avons accès à toutes les
bénédictions de Dieu.

La croix du calvaire se lève donc bien au dessus  de ces deux montagnes
(qui n’étaient que des symboles indiquant ce qui allait se passer plus tard à
la croix du calvaire)

Les 7 grandes souffrances

de Christ lors de la crucifixion


  

Esaïe 53 : 7 Découvrez en détails mes 7 grandes souffrances dont la bible parle


que Christ a enduré, cependant ce n’était ni les clous, ni les cordes, ni la peur
des romains et des juifs qui ont gardé Christ suspendu à cette croix, mais c’était
son amour pour l’humanité. 

1. LA VIOLENCE DES COUPS

Christ a reçu des coups à la tête tandis que ses yeux étaient bandés cela a produit
un gonflement et des ecchymoses et de grands dommages dans ses
fonctionnalités vitales.

Il a été frappé sur le dos, sur le côté et sur la tête, ses bourreaux se sont
déchainés en passant notre seigneur à tabac .

Matthieu: 27. 30 : Et ils crachaient contre lui, prenaient le roseau, et frappaient
sur sa tête. Jean: 19.3 : Salut, roi des Juifs ! » et ils lui donnaient des gifles.

  

2. LES COUPS DE VERGES ET LES COUPS DE FOUET

Jésus était attaché à un poteau il a été fouetté très brutalement avec un fouet à la
lanière de cuir lourd sur le bout on y attachait du plomb ou des boules de fer.

La force du fouet avec le plomb ou les boules de fer déchiquetaient la peau et les
muscles en bandelettes sanglantes. La flagellation a été conçue pour amener la
victime à la limite de la mort. Cette flagellation provoquait un choc énorme et
une perte de sang immense.

 Jean: 19.1 : Alors Pilate prit Jésus, et le fit battre de verges. - Luc 23 : 16

 3. LES MOQUERIES ET LA COURONNE D’ÉPINES

La tunique de Christ qui a été arrachée de lui, alors que celle-ci collait à sa chair
ensanglantée et meurtrie, ses blessures étaient ouvertes et très sensibles, Jésus a
beaucoup souffert à ce moment-là. Matthieu: 27. 35

Une couronne d'épines de plus de 20 cm a été enfoncée sur sa tête transperçant


son cuir chevelu, provoquant une hémorragie sévère et une douleur atroce. Sans
parler des moqueries de la part des Romains et des juifs et des nombreux coups
sur la tête.
Jésus est passé par une pression physique et psychologique très
intense. Matthieu: 27. 29 - Jean 19 : 2

  

4. LA CROIX TROP LOURDE A PORTER

Une croix incroyablement lourde a été posée sur les épaules meurtries de Christ.
Ce bois très lourd pesait énormément ses épaules blessées et sanglantes, ajouter
à cela l'épuisement la déshydratation qui a forcément produit un effondrement
de sa personne.

En réalité le poteau vertical, appelé stipes, était généralement fixé de manière


permanente dans la terre à l’emplacement de l’exécution. Le condamné était
forcé de porter le patibulum (la partie horizontale) de la prison au lieu
d’exécution. Les condamnés le portaient en travers des épaules, les avant-bras
attachés au bois par des cordes. Il pesait de 37 à 75 kilos selon les dimensions et
le bois utilisé, une charge proprement écrasante pour un condamné qui venait
déjà de subir une flagellation.

Les historiens, se basant sur les reliques de la Vraie Croix à un poids estimé de
75 kg. Certaines personnes érudites ont réalisé un modèle géométrique de
déformation d'après le linceul de Turin, les bandes orthogonales reconstituées
sur le dos des porteurs de ces textiles évoquent le port de la croix entière,
comme ce fût le cas de Jésus Christ jusqu’au mont Golgotha.
Jean 19 : 17

5. LA DOULOUREUSE CRUXIFICTION

La crucifixion était un supplice très élaboré, les clous de la crucifixion étaient


entre 13 et 18 cm, ces clous pouvaient certainement sectionner des nerfs.  Christ
était pendu par ses poignets qui étaient élevés au-dessus de sa tête ce qui rendait
très difficile sa respiration.
Pour qu'il puisse respirer correctement il devait pousser sur ses pieds pour se
lever un peu et respirer c'est ce qui a certainement occasionné des douleurs
atroces.

Ses pieds ont été percés transperçant le talon Genèse 3 : 15  Jean 19 : 18

6. UNE MORT LENTE 


Il est probable que la forme de respiration à la croix n'eut pas été suffisante et
qu'elle amenait l'asphyxie. L'assaut des crampes musculaires ou spasmes
entravait encore plus la respiration. Pour atteindre une exhalation suffisante, il
aurait fallu que le supplicié puisse relever vers le haut son corps en poussant sur
ses pieds, en fléchissant les épaules et en les ramenant vers l'avant, parce qu'elles
étaient placées dans une position de torsion ouverte.

Cependant, cette manœuvre placerait tout le poids du corps sur les os des pieds
et il en serait résulté une douleur insoutenable. Aussi, le fait de soulever le
corps, frotterait douloureusement le dos flagellé contre la rugueuse poutre
verticale. Des crampes musculaires et des sensations douloureuses dans les bras
étendus et levés vers le haut ajouteraient au supplice.

Par suite de cette situation, chaque effort fait pour respirer deviendrait atroce,
épuisant et conduirait éventuellement à un fatal manque d'oxygène. Pour
conclure, Jésus est mort par asphyxie pour parler du sens médical il y avait aussi
toute cette pression et traumatisme à provoquer des insuffisances cardiaques.
Matthieu: 27. 50

7. LA LANCE SUR LE CÔTÉ

Quand la lance a pénétré le côté droit de la poitrine ou cage thoracique vers le


milieu, elle est vraisemblablement entrée dans la cavité pulmonaire causant ainsi
un flux de sang immédiat.

Et lorsque la lance a poursuivi son trajet, elle a dû perforer le péricarde ou


enveloppe du cœur en causant un autre écoulement d'eau du liquide provenant
du péricarde. Enfin la pointe de la lance a dû pénétrer le cœur lui-même en
libérant un surplus de sang accumulé dans les alvéoles du côté droit du cœur. Le
cœur de Christ a littéralement été percé pour l’humanité.
Jean 19 : 34  - Jean 19 : 37

Christ à pris la place des menteurs, des voleurs, des assassins etc. … afin qu’au
travers de la repentance ils reçoivent la vie éternelle et toutes les promesses de
Dieu. Toutes ces ténèbres sont retombées sur lui Esaïe 53 : 5

Pour finir lors de la crucifixion Christ a été séparé du père à cause du péché des
hommes. Cette souffrance fût la plus grande selon les paroles de
Christ. Matthieu: 27. 46 - Ce n’était ni les clous, ni les cordes, ni la peur des
romains et des juifs qui ont gardé Christ suspendu à cette croix, mais c’était
son amour pour l’humanité.

Christ à tout donné pour l’humanité, toutes les souffrances antérieures à la croix
auraient dû l’achever. Mais il a enduré jusqu’au bout pour toi et pour moi, car il
fallait qu’il rachète l’humanité à tout prix ! Considérons sa souffrance et son
sacrifice, marchons pleinement dans le salut qu’il nous a offert.

Il S'est chargé de nos maladies et de nos douleurs


Publié le 29 juin 2018 par Fils d'Abraham en Jésus mon sauveur

Cependant, ce sont nos souffrances  (choliy)  qu’il a portées, C’est de nos


douleurs (makob)  qu’il s’est chargé  ; Et nous l’avons considéré comme puni,
Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos
iniquités  ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par
ses meurtrissures que nous sommes guéris.                                                    Esaie
53 : 4 et 5
 
 Pourtant, ce sont nos maladies qu’il supportait, c’est de notre souffrance qu’il
s’était chargé. Et nous, nous pensions  : c’est Dieu qui le punit de cette façon,
c’est Dieu qui le frappe et l’abaisse. Mais il était blessé à cause de nos fautes, il
était écrasé à cause de nos péchés. La punition qui nous donne la paix est
tombée sur lui. Et c’est par ses blessures que nous sommes guéris.
                                                                                                                                                        
                        Bible le Semeur
 
Avant d'entrer dans l'étude de ce passage, nous soulignons que les mots
hébreux « choliy » et « makob » ont été mal traduits par un certain nombre
de versions. La version Segond les traduit par : “souffrances” (mauvaise
traduction), et “douleurs” (bonne traduction). Tous ceux qui ont pris le
temps d'examiner le texte originel ont pu constater, et cela a été reconnu
d'une manière universelle, que ces deux mots signifient respectivement
“maladies” et “douleurs.” C'est ainsi qu'ils ont été traduits dans tout le reste
de l'Ancien Testament. Le mot choliy est traduit par “maladie”. En voici
deux exemples dans Deutéronome 7 : 15  : L’Eternel éloignera de toi toute
maladie (choliy)  ; il ne t’enverra aucune de ces mauvaises maladies d’Egypte
qui te sont connues, mais il en frappera tous ceux qui te haïssent.
1 Rois 17 : 17 : Après ces choses, le fils de la femme, maîtresse de la maison,
devint malade, et sa maladie (choliy) fut si violente qu’il ne resta plus en lui
de respiration.
Le mot makob est traduit par “douleur” dans Job 33 : 19  : Par la
douleur  (makob) aussi l’homme est repris sur sa couche, Quand une lutte
continue vient agiter ses os.
Par conséquent, ce que le prophète dit, dans Esaïe 53 : 4, est : “Il s'est
certainement chargé de nos maladies et a porté sur lui nos douleurs.” Mais
le meilleur exemple nous en est encore Matthieu 8 : 16 :17 : Le soir, on
amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa
parole, et il guérit tous les malades, afin que s’accomplisse ce qui avait été
annoncé par Esaïe, le prophète : Il a pris nos infirmités, et il s’est chargé de
nos maladies.
 
Un exemple inspiré
C'est Matthieu 8 : 16 : 17 qui prouve le mieux que Esaïe 53 : 4 ne parle pas
de maladie de l'â me, et que les mots traduits par “maladie” et “douleur” ne
concernent nullement des problèmes spirituels, mais des maladies
physiques. Par conséquent, il faut traduire littéralement le mot choliy par
“maladie” dans Esaïe. C'est le même Saint-Esprit qui a inspiré ce verset et
qui le cite dans Matthieu, pour démontrer la volonté de Christ d'employer
Sa puissance pour guérir les corps. Le fait de choisir toute autre
interprétation revient à accuser le Saint-Esprit d'avoir fait une faute en
citant Sa propre prophétie.
verset 4. Mais ce ne sont que nos maladies qu'il a porté lui-même, et nos
douleurs dont il s'est chargé...
Il ô te notre fardeau et le porte au Calvaire
Au verset 4, le mot traduit par le verbe “porter” (nasa en hébreu), signifie
soulever, porter au loin, emporter à une longue distance. C'est un mot du
vocabulaire Lévitique, qui est utilisé à propos du bouc émissaire, qui portait
au loin, sur lui, les péchés du peuple. Lévitique 16 : 22 : “Le bouc
emportera  (nasa) sur lui toutes leurs iniquités dans une terre désolée, il sera
chassé dans le désert”
  De la même manière, Jésus a emporté sur Lui mes péchés et mes maladies
“hors du camp”, jusqu'à la croix. Cela signifie qu'au Calvaire, le péché et la
maladie sont passés de moi sur Lui, et que le salut et la guérison sont passés
de Lui sur moi.
Les mots hébreux traduits au verset 4 par “porter” (nasa) et “se charger
de...” (sabal) sont exactement les mêmes que ceux qui sont utilisés aux
versets 11 et 12 pour décrire le caractère de substitution de l'œuvre de
Christ en ce qui concerne le péché : “Il se chargera (nasa) de leurs iniquités”
et “Parce qu'il a porté (sabal) les péchés de beaucoup d'hommes”.
Ces deux mots impliquent l'idée de porter un lourd fardeau, et indiquent
une substitution effective, et un enlèvement complet de la chose portée au
loin.
Lorsque Jésus a porté nos péchés, nos maladies et nos douleurs, Il les a
emportés au loin, et les a complètement enlevés de nos vies. Ces deux
termes parlent de substitution, et indiquent que notre fardeau (maladie,
douleurs et péchés) a été porté par quelqu'un d'autre.
Quel que soit le sens donné aux verbes hébreux (nasa et sabal), le même
sens doit être donné dans les deux situations, c'est-à -dire pour le fait de
porter nos péchés, et celui de porter nos maladies.
Modifier le sens dans une situation signifie que l'on aurait la liberté de le
modifier dans l'autre.
Le Saint-Esprit nous montre que ces verbes, appliqués au péché, ont un sens
strictement de substitution et expiatoire. Par conséquent, ces mêmes
verbes, appliqués à la maladie, doivent avoir exactement le même sens de
substitution et expiatoire.
Le fait que Jésus a pris soin de guérir toute maladie et toute infirmité est
considéré par l’évangéliste Matthieu comme un accomplissement de ce
qu'Esaïe avait prophétisé sur le serviteur de l’É ternel, c'est-à -dire Jésus.
Cela signifie que le Seigneur Jésus ne S'est pas contenté de compatir à nos
souffrances, mais qu'Il a littéralement pris sur Lui, à notre place, les
souffrances et les maladies que nous aurions dû justement porter. Par
conséquent, non seulement Il les a emportées au loin, mais Il les a endurées
dans Sa propre personne, pour nous en décharger.
Quand quelqu'un prend sur lui les souffrances qu'un autre aurait dû porter,
il ne s'agit pas seulement d'un acte de compassion, mais d'une substitution,
d'un remplacement d'une personne par une autre.
Il est donc clair que le fait, pour Jésus, de se charger de nos maladies et de
nos douleurs, constitue une partie intégrante de Son œuvre rédemptrice, un
bienfait qui nous est donné par Son expiation à notre place. Cela fait partie
de l’œuvre de Christ Crucifié.
Jésus est bien le Sauveur du corps comme Il est celui de l'esprit. Il va aussi
loin que la malédiction a pénétré, pour y déverser Ses bénédictions avec
abondance.
La guérison divine, par une intervention directe du Seigneur, est un bienfait
réservé à tous ceux qui croient, dans tous les temps de l'histoire de
l'Evangile. Cela règle la question, pour tout prédicateur, de la nécessité de
prêcher la guérison divine.
Toutes les guérisons accomplies par Jésus au cours de Son ministère
terrestre ont été faites en vertu de l'expiation qu'Il allait bientô t accomplir.
Il en est de même pour tous les péchés qu'Il a pardonnés pendant Son
ministère terrestre, car “sans effusion de sang il n'y a pas de pardon de
péchés.”
 
La Parole est une semence
 
Jésus dit que la Parole est une semence. C'est une semence de la vie divine.
Si nous cherchons la guérison, et si nous nous ne sommes pas convaincu,
par la Parole de Dieu, que c'est la volonté de Dieu de nous guérir, c'est
comme si nous tentions d'obtenir une récolte alors qu'aucune semence n'a
été plantée. Il serait impossible à un fermier de croire qu'il va obtenir une
récolte, tant qu'il n'est pas certain que la semence a bien été plantée.
Dieu ne veut pas que l'on obtienne une récolte sans avoir d'abord planté la
semence, c'est-à -dire sans que l'on connaisse Sa volonté et qu'on agisse
selon Sa volonté. Jésus a dit : “Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous
affranchira.”  L'affranchissement de la maladie vient quand on a connu la
vérité. Dieu ne fait jamais rien en dehors de Sa Parole. “Il envoya sa parole et
il les guérit” (Psaume 107 : 20). Ce sont des Paroles prononcées par le Saint-
Esprit. Toutes les œuvres de Dieu sont faites dans la fidélité à Ses
promesses.
Si nous sommes malade, et que nous savons personnellement que c'est la
volonté de Dieu de nous guérir, c'est comme si une semence était plantée
dans nos pensées et notre cœur. Elle n'est pas plantée tant qu'elle n'est pas
connue et reçue dans la foi.
Aucun pécheur ne peut devenir chrétien avant d'avoir su que c'est la
volonté de Dieu de le sauver. C'est la Parole de Dieu, plantée, arrosée et
gardée fermement dans la foi, qui guérit l'â me et le corps. Cette semence
doit rester plantée, et il faut continuer à l'arroser, jusqu'à ce qu'elle
produise la récolte attendue.
Si nous disons : “Je crois que le Seigneur est capable de me guérir”, sans
savoir, par la Parole de Dieu, qu'Il veut me guérir personnellement, c'est
comme si un fermier disait : “Je crois que Dieu est capable de me donner
une récolte, sans avoir planté ni arrosé la semence.” Dieu ne peut pas
sauver l'â me d'un homme sans que cet homme ait d'abord connu la volonté
de Dieu dans ce domaine.
En effet, nous sommes sauvés par la foi, en faisant confiance à la volonté
révélée de Dieu. La guérison, c'est le salut du corps.
Quand nous prions pour la guérison en utilisant ces paroles mortelles pour
la foi : “Si c'est Ta volonté, Seigneur...”, nous ne plantons pas la semence,
mais nous la détruisons. La “prière de la foi” qui guérit le malade doit suivre
(et non précéder) l'introduction de la semence (la Parole), qui seule peut
soutenir la foi.
Le Saint-Esprit dit de l'Evangile que c'est “une puissance de Dieu pour le
salut”, dans tous ses aspects, physiques et spirituels. Tout l'Evangile est
pour “toute créature” et pour “toutes les nations.” L'Evangile ne nous laisse
pas dans l'incertitude, pour prier avec un “si c'est Ta volonté.”
L'Evangile nous montre quelle est la volonté de Dieu. Ces paroles du Saint-
Esprit : “Il s'est chargé de nos maladies” Matthieu 8 : 17, font partie de
l'Evangile, au même titre que ces paroles : “Lui qui a porté lui-même nos
péchés en son corps sur le bois” (1 Pierre 2 : 24).
Les promesses de l'Evangile, qu'elles soient pour l'esprit ou pour le corps,
ne peuvent être reçues par la seule prière. La semence est impuissante tant
qu'elle n'est pas plantée. Beaucoup, au lieu de dire : “Prie pour moi”,
devraient d'abord dire : “Enseigne-moi la Parole de Dieu, afin que je puisse
coopérer intelligemment avec Lui pour ma guérison.” Nous devons savoir
quels sont les bénéfices que nous apporte la croix, avant de pouvoir nous en
saisir par la foi. David dit bien : “Lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui
guérit toutes tes maladies.”psaume 103 :3
Lorsque nous avons été suffisamment éclairés, notre attitude envers la
maladie devrait être la même que notre attitude envers le péché. Notre
détermination à voir notre corps guéri devrait être aussi ferme que notre
détermination à voir notre â me guérie. Le fait que Christ ait porté sur Lui
nos péchés et nos maladies est certainement une raison valable pour Lui
faire confiance maintenant pour être délivrés de ces choses. Lorsque nous
nous en remettons résolument à Dieu, dans la prière, pour être pardonné de
nos péchés, nous devons croire, par l'autorité de Sa Parole, que notre prière
a été entendue. Nous devons faire de même lorsque nous prions pour la
guérison.
Après avoir été suffisamment éclairés par les promesses de Dieu, et en
croyant simplement que notre prière a été entendue, avant même que nous
puissions voir la réponse, comme Jésus nous l'a commandé dans Marc 11 :
24 : C’est pourquoi je vous dis  : Tout ce que vous demanderez en priant,
croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.
 Ensuite mettons en pratique Hébreux 10 : 36 à 38  : Car vous avez besoin de
persévérance, afin qu’après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez
ce qui vous est promis. Encore un peu, un peu de temps, celui qui doit venir
viendra, et il ne tardera pas. Et mon juste vivra par la foi ; mais s’il se retire,
mon âme ne prend pas plaisir en lui.
 Nous pourrons  voir s'accomplir les promesses de Dieu. C'est la volonté de
Dieu que chaque Chrétien mette en pratique Hébreux 6 : 11-12 : Mais nous
désirons que chacun de vous montre jusqu’à la fin le même empressement en
vue d’une pleine espérance, pour que vous ne soyez pas nonchalants, mais que
vous imitiez ceux qui, par la foi et la patience, reçoivent l’héritage promis.
 
Seules les promesses de Dieu peuvent affermir notre foi. Les promesses de
Dieu produisent leurs prodiges lorsque nous contemplons les réalités
éternelles (Ses promesses, Sa fidélité, etc.), lorsque nous les pratiquons et
refusons d'être troublés par les choses temporelles qui leur semblent
contraires. Dieu accomplit toujours Ses promesses lorsqu'Il peut obtenir de
nous une juste coopération. Il nous accepte toujours et Il œuvre toujours en
notre faveur, lorsque nous observons Marc 11 : 24 et Hébreux 10 : 36 à 38.
“Je le rassasierai de longs jours”  est une promesse de Dieu dont nous
pouvons tous nous saisir (Psaume 91 : 16). Source: FF Bosworth

Voici quels sont les sept noms rédempteurs de Dieu : 

1. YAWEH-SHAMMAH (Ezéchiel 48 : 35) : “L'Eternel est ici (ou : présent).” Ce nom


nous révèle le privilège de jouir de Sa présence, privilège acquis par la rédemption.
Il a dit : “Voici, je suis toujours avec vous.” La preuve que cette bénédiction nous est
accordée par l'expiation se trouve dans le fait que “nous avons été rapprochés par
le sang de Christ.
2. YAWEH-SHALOM (Juges 6 : 24) : “L'Eternel notre Paix.” Ce nom nous révèle le
privilège d'avoir Sa Paix, privilège acquis par la rédemption. C'est pourquoi Jésus
dit: “Je vous laisse ma paix.” Cette bénédiction est comprise dans l'expiation, parce
que “le châtiment qui nous procure la paix est tombé sur lui”, lorsqu'Il a fait la paix par
le sang de Sa croix.
3. YAWEH-RAAH (Psaume 23 : 1) :“L'Eternel est mon Berger.”Il est devenu notre
Berger en donnant “Sa vie pour Ses brebis.” Ce privilège nous a donc aussi été
acquis par la rédemption
4. YAWEH-JIREH Genèse 22 : 14) : “L'Eternel pourvoira.” Le Seigneur a pourvu une
offrande. Christ est l'Offrande livrée pour notre complète rédemption.
5. YAWEH-NISSI (Exode 17 : 15) :“L'Eternel est notre Bannière (ou: notre Vainqueur,
notre Chef).” Par la croix, Christ a triomphé des principautés et des dominations.
C'est là qu'Il a acquis pour nous, parSonexpiation, le privilège rédempteur de pouvoir
dire :“Grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur
Jésus-Christ.” 
6. YAWEH-TSIDKENU (Jérémie 33 : 16) : “L'Eternel notre Justice.” Il est devenu notre
justice en portant nos péchés sur la croix. Nous possédons donc, par la rédemption,
la bénédiction et le privilège de recevoir le “don de la justice.”
7. YAWEH-RAPHA (Exode 15 : 26) : “Je suis l'Eternel qui te guérit.” Ce nom est donné
pour nous révéler le privilège, acquis par la rédemption, de recevoir la guérison. Ce
privilège nous a été obtenu par l'expiation de Christ, car Essaie, dans son chapitre 53
consacré à la rédemption, déclare (dans la version originale) : “Il s'est chargé de nos
maladies et a porté sur lui nos douleurs.

1ère  effusion de sang : Le sang qui a coulé à Gethsémané


«  41Puis il s’éloigna d’eux à la distance d’environ un jet de pierre, et, s’étant mis à
genoux, il pria,  42disant: Père, si tu voulais éloigner de moi cette coupe! Toutefois,
que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne.  43Alors un ange lui apparut du ciel,
pour le fortifier.  44Étant en agonie, il priait plus instamment, et sa sueur devint
comme des grumeaux de sang, qui tombaient à terre. »
C’était à Gethsémané, ce sang était le résultat du combat qu’opposait la chair de
Jésus qui ne voulait pas mourir et son Esprit qui voulait accomplir la volonté du Père.
Comme c’était dans un jardin(le jardin d’Eden) que l’Homme est sorti de la volonté
parfaite de Dieu, alors c’est dans un jardin que Jésus nous ramena dans la
volonté de Dieu par son Sang !
Ce sang qui a coulé à Gethsémané nous donne la force d’obéir à la volonté de
Dieu, nous donne la force de nous aussi résister à la chair et marcher selon l’Esprit.
«Jésus leur dit : Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et
d’accomplir son œuvre.» Jean 4 :34
Et nous pouvons maintenant, au moyen de ce sang et avec l’aide du Saint-Esprit
discerner les voies de la chair de celle de Dieu.
«6C’est pourquoi ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Parce que tu prends ta volonté
pour la volonté de Dieu, 7Voici, je ferai venir contre toi des étrangers, Les plus
violents d’entre les peuples ; Ils tireront l’épée contre ton éclatante sagesse, Et ils
souilleront ta beauté.
8
Ils te précipiteront dans la fosse, Et tu mourras comme ceux qui tombent percés de
coups, Au milieu des mers.»
Amen ? Prions donc pour que Dieu nous aide à marcher dans Ses voies à cause du
Sang de Jésus ayant coulé à Gethsémané ; car Dieu veut que nous lui soyons
obéissant et que nous marchions dans la sanctification (1 Samuel 21-23 ; 2
Corinthiens 7 :1)

2ème  effusion de sang : Le sang qui a coulé du dos de Jésus


«J’ai livré mon dos à ceux qui me frappaient […] » Esaïe 50:6
«Des laboureurs ont labouré mon dos, Ils y ont tracé de longs sillons.» Psaume
129 :3
Le dos représente dans le corps, l’endroit qui porte les fardeaux… Et le dos de Jésus
a littéralement été labouré, mutilé et le sang a versé de cet endroit du corps de Jésus
afin que : nous ne portions plus de fardeaux lourds et inutiles, afin que toutes les
charges que nous nous efforçons de porter soient ôtées.
Jésus, dans la Parole de Dieu, nous invite à venir, au travers du Sang, lui déposer
tous nos fardeaux pour qu’Il s’en charge, afin de nous donner du repos…
«Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du
repos.» (Matthieu 11 :28)
Le sang qui a coulé du dos de Jésus nous a offert, par grâce, la victoire sur tout
(faux) fardeaux et nous donne de pouvoir porter le fardeau de Christ en nous (le
«fardeau » le plus important), celui de l’Evangile !
Par cette effusion de sang, Jésus nous a aussi donné la victoire sur la
maladie : «4Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos
douleurs qu’il s’est chargé  ; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de
Dieu, et humilié.  5Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; le
châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses
meurtrissures que nous sommes guéris.» Esaïe 53 :4-5

3ème  effusion de sang : le sang qui coulé de la barbe arrachée


de Jésus
«J’ai livré mon dos à ceux qui me frappaient, Et mes joues à ceux qui
m’arrachaient la barbe; Je n’ai pas dérobé mon visage Aux ignominies et aux
crachats.» Esaïe 50:6
Jésus est venu nous libérer au travers de cette troisième effusion de sang, de la
honte, de l’opprobre, de tout ce qui nous maintenait dans la souillure, dans l’impureté
car la barbe d’un homme représente sa dignité, son respect ; ainsi, la-lui enlever
revient à rejeter son respect, revient à bafouer sa dignité.
(LIRE 2 SAMUEL 10 :1-6 pour mieux comprendre).

4ème  effusion de sang : le sang qui coulé de la couronne


d’épines
«Ils le revêtirent de pourpre, et posèrent sur sa tête une couronne d’épines, qu’ils
avaient tressée.» Marc 15 :17
«Jésus sortit donc, portant la couronne d’épines et le manteau de pourpre. Et Pilate
leur dit: Voici l’homme. » Jean 19.15
La couronne d’épines symbolise les difficultés, une vie de blocage, de limitations, de
souffrance, d’échecs et d’attaques au niveau de la tête (perte d’intelligence, perte de
mémoire, maux de tête, etc.)
La bonne nouvelle c’est que Jésus a été défiguré à ta place en acceptant de porter
cette couronne d’épines, afin que tu ne sois plus défiguré par les échecs, les
limitations, les blocages, etc.
Notre sauveur nous redonne, te redonne, à toi aussi (si tu crois en Jésus, en sa mort
et en sa résurrection ainsi qu’en la Bonne Nouvelle de l’Évangile) de porter la
couronne de gloire perdue dans le jardin d’Eden après la chute.
Par cette quatrième effusion de sang, Dieu te guéris de tout blocage, de toutes
maladies liées à la tête (cerveau, etc.) et te revêt de la couronne de gloire afin que tu
ne sois plus défiguré mais honorer pour Sa seule et unique gloire.

5ème  effusion de sang : le sang qui coulé des mains clouées à la


croix
«Quand ils eurent fini de se moquer de lui, ils lui ôtèrent le manteau, lui remirent ses
vêtements et l’emmenèrent pour le crucifier.»
– Matthieu 27:31 BDS
/À lire : Jean 20:25-27/
Les mains representent l’outil de travail par excellence. Les mains de Jesus ont été
percées pour que le travail de l’Homme soit beni. Par nos mains, nous
produisons des richesses, nous guerissons les malades(actes des apôtres 5:12),
nous donnons aux pauvres, etc.
Nous levons aussi les mains vers Dieu afin que Son Regne vienne et se manifeste
dans les vies ici-bas.
Au travers de ces mains percées, Christ nous donne la sagesse de pouvoir produire
des richesses au travers de nos mains et Il bénit le travail de nos mains.
6ème  effusion de sang : le sang qui coulé des pieds clouées à la
croix
Psaume 22:17-19 : «Car des chiens m’environnent, Une bande de scélérats rôdent
autour de moi, lis ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes
os. Eux, ils observent, ils me regardent ; Ils se partagent mes vêtements, lis tirent au
sort ma tunique.»
«Qu’ils sont beaux sur les montagnes, les pieds de celui qui apporte de bonnes
nouvelles…Qui publie le salut! » Esaie 52 :7
Les pieds représentent un moyen de transport accessible à tous, et une force qui
nous permet de mettre en exécution notre désir d’aller vers les autres. La puissance
du sang qui a coulé des pieds de Jésus met le monde entier à Ses pieds et à notre
portée à travers l’évangélisation.
«mettez comme chaussures à vos pieds le zèle pour annoncer l’Evangile de paix;»
Ephésiens 6:15 , S21
«Et comment y aura-t-il des prédicateurs, s’ils ne sont pas envoyés? Selon qu’il est
écrit: Qu’ils sont beaux Les pieds de ceux qui annoncent la paix, De ceux qui
annoncent de bonnes nouvelles!»
Romains 10:15, LSG

7ème  effusion de sang : le sang et l’eau qui ont coulés du côté


percé de Jésus
Jean 19 :34 – «mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il
sortit du sang et de l’eau.»
La septième effusion du sang de Jésus eut lieu lorsqu’un garde perça le côté de
Jésus avec une lance, mais Jésus avait déjà rendu l’Esprit.
Le côté, c’est la poitrine, là où le coeur, le siège de nos émotions est logé. Quand le
côté de Jésus fut percé, il en sortit du sang, mais aussi de l’eau, source de vie afin
de nous redonner la vie que nous avions perdue en Éden. Ce sang-là nous
guérit aussi de nos blessures émotionnelles et spirituelles.
Partager

Vous aimerez peut-être aussi