Vous êtes sur la page 1sur 13

Pascal LOROT

Fondateur et directeur de Géoéconomie.


Président de l’Institut Choiseul

C ette livraison de fin d’année s’ouvre sur les questions


d’environnement. Montée de eaux, tempêtes violentes et à
la fréquence rapprochée, hausse des températures et menace sur
les espèces, désertification d’espaces jusque-là cultivables (…), le
changement climatique auquel l’on assiste n’est pas sans impacts
forts sur notre planète et les différents modes de vie de ses habitants.
À l’heure de la Conférence sur le climat ou COP21 organisée à Paris
sous l’égide des Nations unies, nous avons souhaité contribuer
à la réflexion en positionnant celle-ci sous l’angle de l’Afrique.
Trop souvent, le prisme adopté est celui des pays du Nord. Or
l’Afrique, elle aussi et peut-être même plus que d’autres, souffre de
la modification rapide de notre climat. C’est la raison pour laquelle
nous avons sollicité Makhtar Diop, le vice-président Afrique de la
Banque mondiale, qui nous livre une vue inédite sur la contribution
possible de l’Afrique à la lutte contre le changement climatique.
À un niveau plus global, les modifications climatiques conduisent
aussi à un bouleversement progressif des grands équilibres politiques
et stratégiques. C’est la thèse que défend Christophe-Alexandre
Paillard pour qui l’altération du climat et ses effets vont devenir
demain, assurément, un enjeu de plus en plus central des affaires
militaires et sécuritaires. Pour sa part, Jean-Pierre Clamadieu, le
patron de Solvay, interrogé par notre ami Gérard Bonos, nous livre
sa vision des enjeux pour l’économie du changement climatique.
Au-delà, le contenu de cette livraison s’interroge sur les
questions agricoles et agroalimentaires. Comment nourrir une
planète dont la population croit toujours aussi rapidement ? Le
secteur agroalimentaire peut-il être une source d’affrontement
entre les deux grands producteurs mondiaux que sont les États-
Unis, d’une part, et l’Europe, d’autre part ? Ce domaine sera-t-il
la pierre d’achoppement du projet de partenariat transatlantique ?
C’est à ces questions qu’entend répondre Thierry Pouch, expert
6
reconnu de ce sujet. En complément, plusieurs éclairages sont
donnés sur les grands secteurs et produits, structurants à l’échelle
de notre planète et sources de rivalités internationales, que sont le
riz (Benjamin Claverie), le blé (Sébastien Abis) ou encore le soja
(Stéphane Dubois).
Enfin, comme à l’habitude, ce numéro comprend diverses
contributions sur des sujets variés : l’interface entre urbanisation
croissante et innovation (Yann Cramer), l’intelligence économique à
l’heure du Big Data (Olivier Kempf & Nicolas Mazzucchi) ou encore
le bilan à tirer de 20 ans de coopération euro-méditerranéenne
(Jean-François Daguzan). Sans oublier Christian Gambotti qui y
discute de l’articulation existant, en Afrique, entre développement
économique et développement démocratique et souligne l’ambition
du président ivoirien Alassane Ouattara de mettre au cœur de son
second mandat les principes de bonne gouvernance comme clé
d’un développement durable.

Bonne lecture !
Apartés

Réinventer un monde bas-carbone pour demain


Ne vous fiez pas à son air sage et bien élevé. Jean-Pierre Clamadieu a une volonté de fer
et un sens profond du temps. Fils de cheminot et d’une couturière, élevé dans les valeurs
de droiture et de mérite, il intègre la haute administration à sa sortie de l’École Nationale
Supérieure des Mines ; il travaille d’abord au ministère de l’Industrie, puis il rejoint le
cabinet de Martine Aubry, au ministère du Travail. Neuf ans plus tard, Jean-Pierre
Clamadieu part vers le privé. Il entre en 1993 dans le groupe Rhône-Poulenc (devenu
Rhodia), puis il a le parcours classique d’un haut potentiel : Directeur général Chimie pour
l’Amérique Latine, Directeur général de Rhodia Eco (Eco pour Écologie), et bien d’autres
responsabilités jusqu’à sa nomination comme Directeur général du groupe en octobre
2003. Très présent en interne et communicant beaucoup avec ses troupes, il parvient à
remettre Rhodia dans le sens de la marche et à rassurer les investisseurs. Le groupe repart
à la conquête du monde pour être présent aujourd’hui sur tous les points du globe où existe
un marché prometteur. Jean-Pierre Clamadieu est sans doute le patron français le plus
légitime pour évoquer cette COP21 sur laquelle la planète fonde tant d’espoir aujourd’hui.

Entretien réalisé par Gérard Bonos


Jean-Pierre CLAMADIEU

Et les villes dépasseront les nations


sur la route de l’innovation
Depuis son apparition il y a environ dix mille ans, l’espace urbain a eu pour vocation de
rapprocher les talents de différentes disciplines et de faciliter les échanges commerciaux.
Favorisant ainsi à la fois la production d’idées nouvelles et leur accès au marché, les villes
ont offert un cadre idéal à l’innovation. Un temps éclipsées par la toute puissance des États-
Nations, les villes font aujourd’hui leur grand retour sur la scène de l’innovation, grâce à la
conjugaison de plusieurs facteurs :
- démographique, avec la forte croissance de l’urbanisation ;
- économique, avec l’essor du circuit court et de l’économie circulaire qui contribuent à une
relocalisation partielle de l’économie ;
- politique, avec le grand retour de la Ville-État ou du moins d’une Ville-Monde qui,
de plus en plus, s’affranchit de la tutelle de l’État. Plus petite entité géoéconomique qui
puisse prétendre constituer un écosystème cohérent, la Ville se réaffirme comme
le lieu privilégié de l’innovation, y compris de l’innovation d’usage à fort pouvoir
transformationnel sur la société.

Yann CRAMER
Protéger la forêt ivoirienne
Né à Treichville, originaire de Daloa, Mathieu Babaud Darret a, de juin 2011 à novembre
2012, occupé les fonctions de ministre chargé des ex-Combattants et des Victimes de
guerre dans un pays qui venait de sortir d’une grave crise post-électorale. Les résultats
obtenus dans la discrétion et l’efficacité dans la gestion des victimes de guerre ont
convaincu le Chef de l’État de lui confier un département plus important, département
ayant en charge une des problématiques les plus délicates de cette sortie de crise : la
gestion des problèmes forestiers. Le 22 novembre 2012, il est nommé ministre des Eaux
et Forêts de Côte d’Ivoire. Parmi ses priorités, figure la mise en œuvre du nouveau Code
forestier avec, comme enjeu, une gestion durable de la forêt ivoirienne. Son département
doit aussi prendre en charge l’une des problématiques les plus importantes d’Afrique :
la gestion de l’eau.

Entretien réalisé par Christian GAMBOTTI


Mathieu BABAUD DARRET

Cyberespace et intelligence économique


Le concept d’intelligence économique à la française, né il y a plus de vingt ans, se
trouve bouleversé par l’irruption de plus en plus importante du cyberespace dans
les organisations et la vie quotidienne de tout-un-chacun. Il serait possible de croire
que cette rupture technologique pourrait rendre obsolète des méthodologies fondées
sur l’appréhension de l’information à l’ère pré-numérique. Or il n’en est rien. Bien au
contraire, l’intelligence économique se révèle, par ses méthodologies et son approche
particulière de l’information, un parfait cadre d’adaptation à un environnement
économique où la donnée devient la nouvelle richesse. Pour accompagner les mutations
de business model de certaines entreprises, leur permettre de se projeter à l’international
ou d’optimiser leur développement, l’intelligence économique s’allie aujourd’hui au Big
Data afin de valoriser l’information.
Olivier KEMPF & Nicolas MAZZUCHI
Village Global

La COP21 : une chance à saisir pour l’Afrique


Pour l’Afrique, plus que tout autre continent, l’enjeu de la COP21 est fondamental. La
raison est simple : si l’Afrique est la région qui contribue le moins aux émissions totales
de gaz à effet de serre dans le monde, les pays africains subissent de plein fouet les effets
dévastateurs de conditions climatiques de plus en plus extrêmes. Pour relever ce défi,
l’Afrique doit accélérer sa transition vers la croissance verte. Mais le développement
des énergies renouvelables en Afrique ne pourra se faire sans le soutien financier de
la communauté internationale. C’est tout l’objet de l’Africa Climate Business Plan de
la Banque Mondiale qui sera lancé à l’occasion de COP21. Énergies renouvelables,
agro-écologie, finance climatique… Makhtar Diop, Vice-Président de la Banque pour
l’Afrique nous présente les contours de ce plan ambitieux.
Makhtar DIOP

Le réchauffement climatique et la sécurité militaire


La XXIe Conférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les
changements climatiques, ou COP21, a pour objectif de parvenir à un nouvel accord
international sur le climat, applicable à tous les pays, pour maintenir le réchauffement
mondial en deçà de 2 degrés Celsius à l’horizon 2100. Ce sommet est l’occasion de
s’interroger sur les liens entre réchauffement climatique et sécurité militaire. En effet,
l’incidence croissante des atteintes à l’environnement finit par bouleverser les grands
équilibres stratégiques. Définir précisément la valeur stratégique et militaire réelle
de la sécurité liée aux questions environnementales reste cependant un exercice ardu
aujourd’hui. Toutefois, si ces risques liés au changement climatique sont susceptibles de
porter atteinte à notre sécurité nationale, les questions environnementales deviendront
par construction un enjeu essentiel des affaires militaires et sécuritaires dans un avenir
proche.
Christophe-Alexandre PAILLARD

Enjeux en Méditerranée
La Méditerranée apparaît comme une zone de forte instabilité où les crises se nourrissent
non seulement de conflits anciens le plus souvent liés à des revendications territoriales,
mais aussi des détestables conditions de vie des populations du Sud soumises, pour la
plupart, à des gouvernances corrompues, sans oublier les inégalités insupportables entre
Sud et Nord ainsi que de la suspicion permanente d’être rejeté, voire méprisé par l’autre.
Cet état de fait est aggravé par les révoltes populaires déstabilisantes survenues depuis
début 2011. Ces conditions favorisent l’émergence et le développement du terrorisme.
Pour s’opposer à cette menace, il importe d’identifier les enjeux par ordre de priorité
afin d’enrayer l’instabilité grandissante que connaît la région méditerranéenne. Il est
ainsi proposé un classement – entre enjeux vitaux, enjeux cruciaux et autres enjeux –
qui pourrait permettre de répondre aux besoins des sociétés selon les urgences qui
s’imposent naturellement et qui devraient guider la coopération entre Nord et Sud,
faisant abstraction des intérêts particuliers au profit de l’intérêt général.
Jean-François COUSTILLIÈRE

Les vingt ans de la Déclaration de Barcelone :


reconstruire sur un champ de ruines
Vingt ans après la Déclaration de Barcelone, le bilan du processus euro-méditerranéen
est plus que mitigé. Si le Partenariat euro-méditerranéen avait contribué à maintenir
un ensemble de liens entre les rives, il n’a pas résisté, ni l’Union pour la Méditerranée
qui lui a succédé, à la crise économique et financière mondiale et aux révolutions arabes
consécutives. Il convient donc de questionner, en cette date anniversaire, le sens et
la pertinence de la coopération euro-méditerranéenne, et ses voies de relance, à un
moment où la zone semble s’enliser dans l’insécurité et le marasme économique.
Jean-François DAGUZAN

L’évaluation des politiques publiques en Côte d’Ivoire


Après plus d’une décennie d’errance, liée aux crises successives, la Côte d’Ivoire a,
depuis avril 2011, choisi d’adosser son cheminement sur une véritable culture de
l’évaluation des politiques publiques. Historiquement, l’État ivoirien s’est doté très tôt
d’institutions susceptibles de mesurer l’impact réel des politiques conduites, mais ces
institutions n’ont jamais pu remplir véritablement leur rôle, dès l’instant qu’il n’exis-
tait pas de véritable volonté politique pour appliquer les principes de « bonne gouver-
nance ». Or, selon le Président Alassane Ouattara, il existe un lien entre la « bonne
gouvernance » et l’épanouissement même de la démocratie. Après dix années d’impro-
visations politiques et économiques, qui ont eu des conséquences désastreuses pour le
pays et la population, le contexte est historique pour la Côte d’Ivoire et il appartient
aux nouveaux dirigeants d’installer définitivement leur légitimité en faisant du mou-
vement que provoque l’articulation entre la « bonne gouvernance » et la démocratisa-
tion, le vecteur du développement.
Christian GAMBOTTI
Horizons Agroalimentaires

Le projet de partenariat transatlantique


et ses tensions agricoles
L’engagement des États-Unis et de l’UE dans des négociations commerciales a pour
but d’aboutir à un partenariat économique, afin de contenir les ambitions de la Chine
de s’imposer comme un acteur décisif de l’économie mondiale. Cette négociation a
rapidement mis au jour les rivalités et tensions commerciales entre les deux protagonistes
sur la question agricole et alimentaire. De ce fait, la durée de la négociation risque d’être
longue.
Thierry POUCH

L’Inde, acteur géoéconomique majeur


du négoce mondial de riz
Initiée dans un objectif national d’autosuffisance alimentaire, la Révolution verte
appliquée à la riziculture conduit en quelques décennies à l’insertion de l’Inde dans la
mondialisation agricole au moyen d’exportations. Aussi séduisant qu’il soit, ce modèle
est aujourd’hui confronté à des questionnements : durabilité économique, sociale et
environnementale ; accentuation des inégalités régionales dans les campagnes ; baisse de
l’intervention publique ; montée des concurrences internationales et des critiques dans
le cadre de l’OMC. Ces évolutions plaident en faveur d’une conversion à la Révolution
doublement verte.
Benjamin CLAVERIE
Le soja en Argentine : approche géoéconomique
d’une filière stratégique mondialisée
Depuis les années 1990, l’Argentine a enclenché une course à l’augmentation de sa
production de soja. Troisième producteur mondial, elle oriente 96 % de sa récolte
sur des marchés extérieurs hautement demandeurs, dont la Chine. Tendant vers la
monoculture dans la Pampa, progressant vers des régions agricoles où il était jusque-là
inconnu, le soja est aujourd’hui un levier d’organisation du territoire. Pour l’État, le soja
est une rente commerciale mais aussi un facteur de fragilité : lobbys de producteurs,
firmes transnationales de négoce des grains et investisseurs fonciers malmènent sa
souveraineté agricole.
Stéphane DUBOIS

Le blé : géohistoire d’un grain au coeur du pouvoir


Le blé se situe depuis toujours au cœur de l’Histoire et des jeux de puissance. Enjeu central
de l’Antiquité, il s’inscrit dans les stratégies d’approvisionnement, par le commerce mais
aussi la guerre, déjà dans une perspective de sécurisation de cette ressource vitale. Dans
l’histoire de France, par l’impôt, la « guerre des farines » et les politiques menées, le rôle
du blé dans la politique et la sécurité fut majeur. Au XXe siècle, c’est en sa qualité de
ressource stratégique dans les équilibres sociopolitiques et géoéconomiques qu’il tient
un rôle central puisqu’il devient un vecteur de puissance internationale pour les grands
exportateurs. Atout majeur de la puissance française, le blé pourrait bien devenir un
élément clé du développement économique et de la politique extérieure de la France.
Sébastien ABIS
« Sous la pression croissante du processus de globalisation, les intérêts
économiques des nations prennent le pas sur leurs intérêts politiques.
Ce glissement est le signe de l’ouverture d’une nouvelle ère,


celle de la géoéconomie. »
Pascal Lorot, Président de l’Institut Choiseul, Géoéconomie n°1, 1997

Depuis sa fondation

1997,
« Nous devons nous adapter.
en Notre diplomatie doit être davantage
présente là où l’avenir se construit. »
la revue Géoéconomie, n° 65, Laurent Fabius

Géoéconomie
est engagée dans cette

aventure exaltante qui


« Dans ce monde, la compétitivité
consiste à interroger est devenue une règle universelle,


et la diversité son moteur. »
la grammaire Géoéconomie, n°67,
Gianmarco Monsellato

mondiale des .
relations

économiques  « L’évolution de la dimension


spatiale de la géoéconomie s’oppose
à l’unidimensionnalité de la
géopolitique. »
Géoéconomie, n°64, Edward Luttwak

Ils écrivent dans Géoconomie  


Patricia Adam, Jeremy Bentham, Jean-Marie Bockel, Jean-
Louis Borloo, Jean-Christophe Cambadélis, Jean-Louis
Carrére, Jean-François Cirelli, Jean-François Dehecq,
Arnaud Dupuy-Castérès, Jean-Marc de la Sablière,
Disponible sur
72
Alexandre Del Valle, Michel Derdevet, Robert Dussey, abonnement
Derek Elzein, Christian Estrosi, Laurent Fabius, Mathieu et en vente sur
Gallet, Michel Gardel, Élisabeth Guigou, Alain Juillet,
dimension géoéconomique Denis JACQUET

s de schiste aux États-Unis Randa Kassis, Marina Kovtun, Enrico Letta, Jean-Louis notre site
Levet, Edward Luttwak, Gianmarco Monsellato, Hervé
nal Alexandre DEL VALLE

20 € | 230 pages
ance

pour l’US Navy


Morin, Moisés Naím, Joseph Nye, Claude Revel, Dominique
Henri LOPÈS

Ristori, Stéphanie Rivoal, Christian Saint-Étienne, 5 numéros par an

2
igeants

nnel
Jean-Daniel TORDJMAN
Jean- Jacques Urvoas, Hubert Védrine, Dov Zerah...
20 euros

Revue publiée avec le soutien


de l’Institut Choiseul
16, rue du Pont Neuf | 75001 Paris
www.choiseul.info
BULLETIN D’ACHAT, D’ABONNEMENT OU DE RÉABONNEMENT

M, Mme, Mlle Prénom

Société/Institution

N° Rue

Code postal

Ville Pays

Adresse électronique

France Autres pays


1 an (5 numéros) 95 135
2 ans (10 numéros) 180 220

Je souscris un abonnement pour 1 an 2 ans


À partir du numéro

Je souhaite commander un numéro à l’unité (20   + frais de port : France, 2.10  ; Autres, 4.50  )
Numéro
Signature/Cachet
Date

Paiement par virement bancaire vers


Crédit du Nord
59, boulevard Haussmann, 75361 Paris, cedex 08
Banque : 30076 - Agence : 02019 
Compte : 57336700200 - clé RIB : 09Apartés
Jean-Pierre CLAMADIEU 77
IBAN : FR76 3007 6020 1957 3367 0020 009
Réinventer un monde bas-carbone pour demain

Yann CRAMER
Et les villes dépasseront les nations sur la route de l’innovation

swift (BIC) : NORDFRPP Mathieu BABAUD DARRET


Protéger la forêt ivoirienne

Olivier KEMPF & Nicolas MAZZUCHI


Makhtar DIOP

précisez « frais bancaires à la charge du donneur d’ordre »


Cyberespace et intelligence économique

Village global
Makhtar DIOP
La COP21 : une chance à saisir pour l’Afrique

Christophe-Alexandre PAILLARD

ou Le réchauffement climatique et la sécurité militaire

Jean-François COUSTILLIÈRE
Enjeux en Méditérranée
Jean-Pierre CLAMADIEU

Paiement par chèque à l’ordre de Choiseul Éditions,


Jean-François DAGUZAN
Les vingt ans de la Déclaration de Barcelone : reconstruire sur un champ de ruines

Christian GAMBOTTI

Attention, les chèques étrangers doivent être


L’évaluation des politiques publiques en Côte d’Ivoire

Horizons agroalimentaires

en euros, compensables en France.


Yann CRAMER
Thierry POUCH
Le projet de partenariat transatlantique et ses tensions agricoles
Benjamin CLAVERIE
L’Inde, acteur géoéconomique majeur du négoce mondial de riz
Stéphane DUBOIS
Le soja en Argentine : approche géoéconomique d’une filière stratégique mondialisée

CONTACT: Sébastien ABIS


Le blé : géohistoire d’un grain au cœur du pouvoir
Thierry POUCH

Institut Choiseul
20 euros

16 rue du Pont Neuf, 75001 Paris


Tel. : +33 (0)1.53.34.09.93


publications@choiseul.info
Revue publiée avec le soutien de l’Institut Choiseul pour la politique
internationale et la géoéconomie et de la Délégation aux affaires stratégiques
du ministère de la Défense.
Revue à comité de lecture.
Géoéconomie est disponible sur Cairn.info

n°77 | Novembre / Décembre 2015


ISNN : 1284-9340 - ISBN : 978-2-36259-062-7 - CPPAP : 0217 K 82547
DUPLI-PRINT, 95 330 Domont - en novembre 2015

Les articles signés expriment la seule opinion de l’auteur et ne sauraient engager


la responsabilité de la revue. Les articles insérés restent la propriété de la revue
et toute reproduction ou traduction, même partielle, nécessite au préalable
l’autorisation de la Direction.

Institut Choiseul
16 rue du Pont Neuf 75001 Paris
Tél. : + 33 1 53 34 09 93
publications@choiseul.info
www.choiseul.info

Vous aimerez peut-être aussi