THEME 

: LE DISCIPLE DANS L’EGLISE

INTRODUCTION

Adorer Dieu dans tous les sens étymologiques de l’adoration est d’une liberté totale.
Dieu ne force personne pour le servir, mais il se sert de ceux qui sont disponibles
pour se glorifier. L’église c’est l’ensemble de croyants. Ceux-ci se doivent
considération, soutien et respect. Des chrétiens consacres comme Dorcas, donnaient
des vêtements aux nécessiteux (Actes9v :39). Veuves étaient aussi visitées
(Actes6v1). La communion fraternelle était visible. Les dons se manifestent. Actes
2 :1-4, Actes3 v6-8. La gloire de Dieu se manifestait Actes2 v43 et 47. Tout ceci
arrivait à cause de la discipline et la sanctification des disciples. Mais il arrivait que ces
chrétiens passent à cote commettent des pêchés que faisait donc l’église primitive.

I/ A-T ON VRAIMENT BESOIN DE CORRECTION DANS DE DIEU ?

Les chrétiens ont besoin non seulement de communion et de l’amour, mais aussi de
la discipline. Ce sont des êtres humains pécheurs, en phase de transformation
constante de Christ .La correction est également une expression de l’amour de Dieu
puisqu’elle cherche à amener le pécheur a la perfection, au pardon, à la
repentance et au rétablissement. Il n’y avait de place pour le péché dans l’Eglise qui
est composée de saints Ephésiens 5v3. Appeler a servir le Dieu saint (Hebreux1v13)
mais des le début, nous découvrons des échecs et des défauts dans l’Eglise primitive :
le mensonge (Actes5), des plaintes de différences d’opinions (Actes6).

-un esprit mercenaire Actes8v18

-des préjugés Actes 10.

-des disputes Actes15v 2 et beaucoup d’autres choses.

Là ou le pêché demeurait non confesse et non pardonne dans son Eglise, Dieu
jugeait. Par la mort (Actes5v5) même si cette sanction était plutôt rare. La ou le
péché était expose et confesse, il fut efface l’Eglise devenait plus par la suite
(Actes5v11-14). Le péché caché et négligé est comme une grave maladie qui détruit
la vie et la santé du peuple.
II/ QUE FAIRE FACE AU PECHE DANS L’EGLISE ?

Dans l’Eglise primitive , c’était le devoir des responsables (prêtres et anciens )

d’exercer la discipline , ce faisaient avec humilité , mais aussi rigueur (cas Anaias et
Saphira ) et Simon le sorcier(Actes5v3et Actes8v20) il en est de ce disciple comme
celle vient de Dieu : la correction est signe d’amour une preuve que nous sommes
enfants de Dieu (Hebreux12v6) et nous devenons en tant que tel. Christ enseigne a
ses disciples les quatre étapes par lesquelles ils devraient passer dans leurs
demandes auprès d’un frère pécheur (le péché soit prive ou publique). Voila ce qu’il
faut savoir entre toi et lui seul, devant deux ou trois témoins, devant l’Eglise, hors
de l’Eglise comme avec un parent ou un publicain(Matthieu18v13).

III/ CORRIGEZ LE PECHE TOUT DE SUITE

Nous ne devons jamais oublier que le but de la correction est de guérir et non
blesser, de redresser et briser, de causer juste assez peine pour amener a la
repentance, de créer une tristesse selon Dieu et le désespoir (2Cor7v10). L’amour
exige que nous agissions discrètement t aussitôt que possible dans la prière et
amour. Si nous, nous chargeons plus souvent de régler les problèmes et de corriger
le péché au début, nous aurions moins de grands problèmes de discipline par la suite.
Un petit comprime pris au début d’un malaise, peut prévenir une maladie sérieuse et
éviter une grande opération.

IV/ QUELLES SONT LES DEMARCHES A SUIVRE EN MATIERE DISCIPLE ?

On ne peut pas régler tout péché même manière. Lorsqu’elle est appelé a juger une
faute, l’Eglise devrait en évaluer graviter et son impact sur l’Eglise. Evidemment, un
péché commis par un responsable peut être particulièrement nuisible donc il appelle
une correction plus sévère. Selon quelques règles bibliques. La faute droite est bien
établie et prouvées devant des témoins. Surtout si l’accuse est un responsable
d’Eglise (1Tim5v19) la discipline doit être exposée par les responsables spirituels de
l’Eglise, dans un esprit de douceur (Galates6v1). N’oublions pas que nous aussi nous
pouvons être tentes et tomber dans le péché. La correction doit être juge sans
préjugé, favoritisme, esprit de parti (Jacques : 2v9). Si le chrétien pécheur est prompt
a confesser son péché on devrait lui pardonner et l’accepter a nouveau dans
l’assemble. Cependant, s’il a blesse ou déshonoré quelqu’un par son pèche, on
devrait l’aider à confesser sa faute en public ou restituer en prive, afin de réparer son
mal (Luc19v8). Tenez ferme dans votre résistance à la désobéissance comme Christ
l’a fait dans le temple.
V/ QUELLES FAUTES APPELLENT DES SANCTIONS DISCIPLINAIRES ?
Des offenses privées appellent des mesures privées (Matthieu5v23-24) mais fautes
publiques (1Cor5v4-5) et une correction évidente (2Thess3v14) selon la gravite de
l’offense. Voici quelques unes des fautes qui peuvent exiger des mesures
disciplinaires. L’immoralité sexuelle (1Corr11v16), la rébellion (2Thess3v14), la
dispute (1Corr11v16), le fait de causer des divisions (Romains16v17), la cupidité
(1Corr5v11), la fausse doctrine ((2Jean10).

VI/ COMMENT DISCIPLINER ?

Les dimanches de correction dépendent de la faute, du motif et du fautif. Voici

quelques formes de la discipline. Les reproches publics : peut être nécessaire même
pour un ancien (1Tim5v20).La défense de participer a la sainte-cène, pour période
donnée. La réparation d’avec un frère indiscipline (1Corr5v11 ; 2Jean10).
L’excommunication : cessée d’avoir des relations la personne (1Corr5v11). L’exclusion
de l’Eglise, dans le cas d’une faute grave. Le fait de la livrer a Satan, pour la
destruction de la chair (1Corr5v5 ; 1Tim1v20). Cela signifie probablement l’exclusion
de la communauté chrétienne, ce qui la protège des attaques des Satan.

VII/ ET SI L’EGLISE LOCALE NEGLIGE D’AGIR FACE AU PROBLEME ?

Si possible le péché devrait être corrigé par les responsables de l’Eglise locale,
selon sa gravité. Si le problème semble trop grand pour l’Eglise, a cause de la position
qu’occupe l’offenseur ou du soutien qu’il a reçu des autres membres de l’Eglise, ou
s’il continue de commettre la faute on peut faire appel a d’autres Eglises locales pour
intervenir pour l’honneur de l’Eglise entière.