Vous êtes sur la page 1sur 4

QCM1 (pas chercher à interpréter ce qu'elle a voulu dire, si elle avait voulu dire autre chose elle

l'aurait formulé différemment, elle va essayer de faire 0 ambiguïté vraiment, les pièges ce n’est pas
son truc, il faut juste bien lire les mots assemblés et c'est tout. --> askip l'autre prof fait des questions
+ difficiles donc ça se complémente)

QUESTION 1 / En psychologie et notamment en psychologie de la personnalité et des différences


individuelles, l’étude des caractéristiques e la personne fait appel à différentes approches. Cochez
la proposition correcte.

1 : L’approche idiographique consiste à récolter un nombre d’informations important sur un petit


échantillon voire un seul individu.

➔ Non, ça cest l’approche idiographique

2 : L’approche idiographique consiste à récolter un nombre d’informations important sur un petit


échantillon voire un seul individu.

➔ Du coup oui.

3 : Les approches nomothétiques et idiographiques ne sont pas compatibles.

➔ Approche nomothétique récolte peu d'info sur des échantillons larges, elle est compatible
avec l'approche idiographique (population large et à l'intérieur on sélectionne des individus
pour approfondir, les deux sont complémentaires). Un peu comme quantitatif
(nomothétique) + qualitative (idiographique, entretiens etc).

4 : L’approche normométhique permet de classifier des individus en fonction de leurs traits de


personnalité.

➔ normométhique' n'existe pas

QUESTION 2 / Larsen et Buss (2008) ont proposé une définition de la personnalité qui est la
suivante : "la personnalité est un ensemble de traits et mécanismes internes à l'individu
(intrinsèques) qui sont organisés et relativement endurants, et qui influencent l'interaction et
l'adaptation à l'environnement intrapsychique, physique et social. » Cochez la proposition vraie :

1 : Des traits psychologiques permettent de décrire les personnes, de rendre compte de leurs
différences, et sont influencés à la fois par le biologique et l'environnement.

➔ C'était la bonne

2 : La personnalité implique un ensemble de mécanismes ou plutôt de processus qui sont passifs

3 : Les traits et les mécanismes sont organisés en un tout cohérent et inconsistant tout au long des
situations.

4 : La personnalité n'influence pas sur la sélection des situations dans lesquelles nous choisissons
d'entrer.
QUESTION 3 / Sophie, 45 ans, vue en consultation pour troubles de la concentration, explique
qu'elle a tendance à privilégier les situations stimulantes, excitantes, les repas entre amis, les
soirées métaphysiques et préfère nettement la compagnie d'autrui à celle de la télévision qu'elle
trouve particulièrement ennuyeuse. Elle se décrit comme très perfectionniste et méticuleuse et
explique que la plupart des personnes finissent par la décevoir car peu sensibles au fait de bien
faire les choses et peu rigoureuses. Cochez la proposition LA PLUS correcte.

1 : Présente probablement un score élevé en neuroticisme et un niveau élevé sur la dimension


'caractère consciencieux'

➔ Pas de neuroticisme, pas pcq on est déçu de quelqu'un qu'on a un niveau d'anxiété, etc…
Donc non, pas de lien avec le neuroticisme (appréhender les choses de manière négative
spontanément). Niveau de conscienciosité élevé mais voilà pas du tout du neuroticisme.

2 : La recherche de sensation est probablement une caractéristique de sa personnalité

3 : La sociabilité est un adjectif non pertinent pour décrire Sophie

4 : L'extraversion et la recherche de sensation sont probablement des caractéristiques de


personnalité pertinentes pour décrire la personnalité de Sophie

➔ C'était la bonne. La recherche de sensation est une des facettes de l'extraversion (bien une
caractéristique du Big5, recherche de sensations est une facette), il va de soi que dans l'esprit
de la prof ce n'est pas un piège vu que la recherche de sensation est une facette, dimension
primaire (pas secondaire comme l'est l'extraversion), pas de piège avec la prof elle va
vraiment essayer qu'il n'y ait aucune ambiguïté, il faut bien lire.

QUESTION 4 / La perspective interactionniste postule que :

1 : Le comportement de l'individu est le résultat de l'influence unique du milieu

2 : La réciprocité entre facteurs situationnels et individu déterminent les comportements

➔ Oui c’est un peu tout le cours lol

3 : Le comportement est déterminé par l'influence unique de la biologie

4 : La biologie de l'individu est le résultat de l'influence environnementale déterminant le


comportement

➔ Non la biologie est innée, l'environnement peut avoir une influence mais la biologie est
intrinsèque depuis la naissance. Ce n'est pas l'environnement qui produit la biologie. Peut-
être que la formulation n'est pas claire ? Mais non, du coup.
QUESTION 5 / Alors que la personnalité se caractérise par un substrat biologique, doit-on penser
que :

1 : Son expression est inéluctable quoiqu’il arrive, un individu aura toujours les mêmes
comportements.

2 : Elle se manifeste dans les tendances de réponses comportementales que l’individu pourra
apprendre à mieux gérer.

3 : Rien ne pourra empêcher l’expression des tendances comportementales.

4 : Les tendances comportementales n’ont rien à voir avec la biologie et la personnalité.

QUESTION 6 / La personnalité influence sur nos interactions avec l'environnement, cochez la


proposition vraie :

1 : La personnalité influe sur notre manière de percevoir notre environnement

2 : Elle contribue à la sélection des situations dans lesquelles une personne s'engage

3 : Elle influe sur la manière dont nous allons volontairement agir sur les pensées et comportements
d'autrui

4 : Toutes ces propositions sont correctes.

➔ Oui, elle influence la perception environnement (planches du rorschard), sur les situations et
pour la 3 : par ex les personnes qui ont des exigences élevées, elles font en sorte que les
autres soient pareilles.

QUESTION 7 / La personnalité peut être mesurée par es questionnaires que le NEO-PI ;

Pour la 1 : Ces questionnaires ne sont pas sensibles aux contingences extérieures

Pour la 2 : Ils ne souffrent pas des biais de positivité

Pour la 3 : Ils sont peu sensibles à la désidérabilité sociale.

Pour la 4 : Ils nécessitent d’être mis en relation avec l’histoire de l’individu, le contexte de la
passation et l’état émotionnel de la personne au moment de celle-ci, pour obtenir une image fidèle
de la personnalité.
QUESTION 8 / Le neuroticisme est généralement considéré comme un trait associé à des
conséquences négatives sur le plan de la santé mentale et somatique.

Pour la 1 : Ceci est vrai dans tous les cas de figures. Invariablement les personnes ayant un
neuroticisme élevé sont celles qui expérimenteront des expériences tjrs négatives

➔ Non, certains ont appris à le gérer, pas pcq il est élevé que systématiquement ce seront des
expériences négatives qu’il vivra uniquement.

Pour la 2 : L'absence de neuroticisme chez un individu peut aussi engendrer des conséquences
négatives sur la santé, par excès de confiance et manque de vigilance aux situations potentiellement
menaçantes.

Pour la 3 : Le neuroticisme est associé à une hyperréactivité aux stimuli négatifs mais aussi positifs.

➔ Juste les négatifs.

Pour la 4 : Le neuroticisme n'a aucun rôle adaptatif et ne s'est pas dvlp en tant que dimension
évolutive que pour faciliter la survie de l'individu

➔ Si pcq il a une fonction, pas à l'excès mais faut raisonner en termes de continuum, pas
binaire, si ça n'avait pas été une caractéristique utile est-ce qu'elle se serait maintenue ?
C'est vrai que c'est discutable si on n'est pas dans une perspective évolutionniste, elle va
enlever cette question pcq ambigüe

Vous aimerez peut-être aussi