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1.

Selon Greenfield le facteur le plus déterminant dans le passage à une culture individualiste
est..

A. L’urbanisation
B. L’industrialisation
C. L’évolution technologique
D. Le passage d’une économie industrielle à une économie de services

2. Quelle affirmation est incorrecte ?

A. Montaigne met en avant la relativité de la connaissance


B. Galton était un partisan de l’eugénisme
C. Selon Mandeville (la fable des abeilles), les vices sont dommageables pour la société
D. Spencer est un partisan du darwinisme social

3. Quelle affirmation est incorrecte ?

A. Selon Binet, le test de QI n’a qu’une visée pratique


B. Selon Binet, le test de QI permet d’ordonner les enfants normaux
C. Selon Binet, le test de QI permet d’aider les enfants en difficulté
D. Goddard importe le test de Binet aux Etats-Unis et l’utilise dans un esprit eugéniste

4. Quelle affirmation est incorrecte ?

A. L’effet Volvo est le fait que les résultats d’un test de QI puissent être prédits par le statut
socio-économique
B. Selon Herrnstein et Murray, c’est l’intelligence qui prédit la réussite et non l’inverse
C. Selon l’ouvrage « the bell cuve », le capital culturel joue un rôle mineur dans la
performance scolaire
D. Selon Croizet, la méritocratie sous-jacente à l’institution scolaire influence l’estime de soi
des élèves, ce qui peut avoir un effet délétère sur leurs performances

5. Cochez LA proposition correcte. L’approche nomothétique diffère de l’approche


idiographieque en ceci :

A. Elle vise à recueillir peu d’informations mais sur un grand nombre de participants pour
établir un profil individuel de chacun
B. Elle vise à établir les relations entre des individus
C. Elle consiste à recueillir beaucoup d’information sur peu d’individus afin d’établir des lois
générales
D. Elle se caractérise par une collecte de peu d’information mais sur un grand nombre
d’individus afin de mettre en relation des variables et établir des lois générales
6. Cochez LA proposition correcte. La perspective interactionniste postule que :

A. Le comportement de l’individu est le résultat de l’influence unique du milieu


B. La réciprocité entre facteurs situationnels et individu déterminent les comportements
C. Le comportement est déterminé par l’influence unique de la biologie.
D. La biologie de l’individu est le résultat de l’influence environnementale déterminant le
comportement.

7. Cochez LA proposition correcte. Alors que la personnalité se caractérise par un substrat


biologique, doit-on penser que :

A. Son expression est inéluctable et quoi qu’il arrive, un individu aura toujours les mêmes
comportements.
B. Elle se manifestera dans les tendances de réponses comportementales que l’individu
pourra apprendre à mieux gérer.
C. Rien ne pourra alors empêcher l’expression des tendances.
D. Les tendances comportementales n’ont rien à voir avec la biologie et la personnalité.

8. La personnalité influence nos interactions avec l’environement. Cochez la proposition


vraie.

A. La personnalité influe sur notre manière de percevoir notre environnement.


B. Elle contribue à la sélection dans lesquelles une personne s’engage.
C. Elle influe sur la manière dont nous allons volontairement agir sur les pensées et
comportements d’autrui.
D. Toutes ces propositions sont correctes.

9. Larsen et Buss (2008) ont proposé une définition de la personnalité qui est la suivante :
« La personnalité est un ensemble de traits et de mécanismes, internes à l’individu
(intrinsèques), qui sont organisés et relativement endurants, et qui influencent
l’interaction et l’adaptation à l’environnement intrapsychique, physique et social « .
Cochez la proposition correcte.

A. Cette définition de la personnalité suggère que celle-ci est statique.


B. La personnalité implique un ensemble de mécanismes ou plutôt de processus qui
implique le traitement de l’information.
C. Les traits et les mécanismes sont organisés en un tout cohérent et inconsistant tout au
long des situations
D. La personnalité n’influence pas la sélection des situations dans lesquelles nous
choisissons d’entrer.
10. Cochez LA proposition correcte. Sophie, 45 ans, vue en consultation pour troubles de la
concentration, explique qu’elle a tendance à privilégier les situations, excitantes, les repas
entre amis, les oirées « métaphysique » et préfère nettement la compagnie d’autrui à celle
de la télévision qu’elle trouve particulièrement ennuyeuse.

A. Sophie présente probablement un score élevé en neuroticisme et un niveau élevé sur la


dimension « caractère consciencieux » (conscienciosité).
B. L’impulsivité est probablement une caractéristique de sa personnalité.
C. La sociabilité est un trait non pertinent pour décrire Sophie.
D. L’extraversion et la recherche de sensation sont probablement des caractéristiques de la
personnalité pertinentes pour décrire la personnalité de Sophie.

11. Cochez LA proposition correcte. L’intelligence émotionnelle désigne :

A. La capacité à décoder et identifier ses émotions mais pas celles des autres.
B. La capacité d’utiliser les états mentaux d’autrui pour agir de façon adéquate dans les
relations interpersonnelles.
C. L’intelligence émotionnelle n’a pas d’influence sur les troubles psychologiques ou
somatiques.
D. L’intelligence émotionnelle ne peut pas être considérée comme un processus
transdiagnostique.

12. Cochez LA proposition correcte. La personnalité peut être mesurée par des questionnaires
tels que le NEO-PI.

A. Ces questionnaires de sont pas sensibles aux contingences extérieures.


B. Ils ne souffrent pas des biais de positivité.
C. Ils sont insensibles désidérabilité sociale.
D. Ils nécessitent d’être mis en relation avec l’histoire de l’individu, de la personnalité de la
personne.

13. Cochez la proposition correcte un des grands débats qui agite la psychologie de la
personnalité et des différences individuelles concerne la stabilité des traits (Question en
lien avec le cours et le texte « Is personality stable across the life span »)

A. L’approche contextualiste (Srivastava) postule que les traits sont déterminés de manière
multiple et qu’une source d’influence majeure sur les variations des traits est
l’environnement social de l’individu.
B. L’approche biologique (Costa et McCrae) affirme que les variations observées dans le
comportement en fonction des situations ne sont que des fluctuations des tendances
profondes (traits) .
C. La perspective biologique suppose que la personnalité a pour origine la biologie (gènes)
et qu’elle atteint sa maturité au début de l’âge adulte. C’est la raison pour laquelle cette
perspective prédit peu de changement des traits de personnalité après cette période.
D. Toutes ces propositions sont correctes.
14. Cochez LA proposition correcte. Pourquoi les termes « compétences émotionnelles » sont-
ils aujourd’hui préférés aux termes «intelligence émotionelle » ?

A. Parce que la recherche a montré que les compétences émotionnelles peuvent être
enseignées et apprises.
B. Parce que l’intelligence réfère à un processus inné et immuable qui ne peut pas être
amélioré.
C. Parce que les émotions renvoient à l’irrationalité, à la passion au contraire de
l’intelligence qui évoque des processus rationnels et évolués.
D. Toutes ces propositions sont correctes.

15. Cochez LA proposition correcte. Le neuroticisme est généralement considéré comme un


trait associé à des conséquences délétères (négatives) sur le plan de la santé mentale ou
somatique.

A. Ceci est vrai dans tous les cas de figure. Invariablement les personnes ayant un
neuroticisme élevé seront celles qui expérimenteront des expériences toujours
négatives.
B. L’absence de neuroticisme chez un individu peut aussi engendrer des conséquences
négatives sur la santé, par excès de confiance et manque de vigilance au situations
potentiellement menaçantes.
C. Le neuroticisme est associé à une hyper-réactivité aux stimuli négatifs mais aussi positifs.
D. Le neuroticisme n’a aucun rôle adaptatif et ne s’est pas développé en tant que dimension
évolutive pour faciliter la survie de l’individu.

16. Cochez LA proposition correcte. L’approche humaniste de Rogers postule que la


personnalité se développe de manière harmonieuse grâce à certaines caractéristiques
importantes.

A. L’auto-actualisation.
B. L’auto-compassion.
C. Le regard positif inconditionnel qui permet de déterminer les conditions de sa propre
valeur.
D. Le regard positif conditionnel.

17. Cochez LA proposition correcte. La théorie des construits personnels de Kelly postule que
chaque individu développe des représentations du monde, de soi et des autres, sortes de
cartes mentales qui servent à prédire et anticiper.

A. Les différences de personnalité seraient le résultat des différences dans l’organisation


des construits personnels qui varie d’un individu à l’autre, expliquant alors les différences
de réponses comportementales.
B. Les construits personnels sont unipolaires, ce qui explique les similitudes entre individus.
C. Nous interagissons avec notre environnement sous le prisme de nos construits
personnels, d’où une tendance à ne jamais se comporter de manière récurrente dans
certaines situations aux caractéristiques similaires.
D. Toutes ces proposition sont fausses.

18. Cochez LA proposition correcte. Quel trait est associé positivement à l’extraversion ?

A. Anxiété.
B. Recherche de sensation.
C. Réactivité négative.
D. Froideur.

19. Cochez LA proposition correcte. La théorie de Kelly repose sur le concept de construit
personnel qui stipule que :

A. Tout individu construit du sens à partir des évènements vécus.


B. Les construits personnels permettent à l’individu de prédire ce qui se passera dans un
futur proche.
C. Les construits personnels sont nécessairement flexibles pour permettre le
développement permanent de l’individu.
D. Toutes les propositions sont correctes.

20. L’étude de Davis, Bowers et Memmon sur les sondages en ligne pendant les débats
télévisés anglais remet en cause un des mythes de l’individualisme vu au cours. Lequel ?

A. La psychologisation.
B. L’hypothèse de différenciation.
C. L’individu rationnel et autonome.
D. L’opposition individu/société.

21. Quelle est la fonction du caractère selon Riesman ?

A. Facilité l’intégration dans la société.


B. Assurer la conformité de l’individu au rôle social.
C. Rendre les individus plus introdéterminés.

22. Quelle affirmation est incorrecte ?

A. La fidélité d’une mesure concerne l’erreur aléatoire.


B. La précision d’une mesure relève de sa fidélité.
C. La consistance interne d’une échelle est une des composantes de sa validité.
D. Une échelle très peu fidèle peut difficilement être validé.
23. Afin d’examiner l’effet du statut socio-économique de l’estime de soi, un chercheur
compare les scores d’estime de soi à l’échelle de Rosenberg chez 30 élèves de milieux
favorisés et chez 30 élèves provenant de milieux défavorisés dans une même école. Quelle
affirmation concernant cette étude est incorrecte ?

A. Les 60 élèves constituent la population de cette étude.


B. La variable indépendante dans cette étude est le statut socio-économique.
C. Les scores à l’échelle d’estime de soir de Rosenberg constituent une variable
opérationnelle.
D. Cette étude est corrélationnelle.

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