Vous êtes sur la page 1sur 3

BOHLANDT Groupe A1

Amélie

Initiation à la recherche : TD n°2

Question 1 (2 points) : Quel est le but de cet article ?


Le but de cette étude est de comparer les propriétés physiques et les effets biologiques des
biomatériaux (utilisés en dentisterie) découpés à la machine (soit usinés) et des
biomatériaux imprimés en 3D après avoir optimisé les conditions 3D (par un sablage).

Question 2 (2 points) :
- Quel est le matériau de base utilisé pour produire le composant testé ?
Le matériau de base pour produire le composant testé est le Titane.
- Sous quelle forme ce matériaux de base est-il utilisé ?
Celui-ci est utilisé sous la forme Ti-6Al-4V.

Question 3 (2 points) : Quel est le principal paramètre dont l’influence est étudiée ?
Le principal paramètre dont l’influence est étudiée est l’espacement laser (Tableau 1 et
Figure 2).

Question 4 (2 points) : Avec quelle méthode les propriétés mécaniques du matériau


préparé sont-elles caractérisées ?
Les propriétés mécaniques du matériau préparé sont caractérisées par la fractographie en
réalisant un test de résistance à la flexion selon les différents espacements lasers. L’analyse
fractographique permet de déterminer le point de départ possible d’une fracture.

Question 5 (2 points) : Avec quelles méthodes les propriétés de surface du matériau


préparé sont-elles caractérisées ?
Les propriétés de surface du matériau préparé sont caractérisées par :
- La mesure de l’hydrophilie en mesurant l’angle de contact de l’échantillon et de l’eau
distillée ;
- L’étude de la morphologie, de l’état de surface, de la hauteur moyenne des rugosités
de surface par la microscopie électronique à balayage.

Question 6 (2 points) :
- Quels types de cellules sont testées ?
Les cellules testées sont les cellules mésenchymateuses humaines (hMSCs, PCS-500-
012) et les fibroblastes dermiques humains (hDF, PH10605AK).

1
BOHLANDT Groupe A1
Amélie

- Quelles sont les évaluations biologiques effectuées ?


Les évaluations biologiques effectuées sont :
- La capacité d’adhésion cellulaire en observant la présence de vinculine grâce à la
fluorescence ;
- La différenciation cellulaire en recherchant l’expression de gènes d’ostéocalcine et
d’ostéopontine dans le but de déterminer la réponse ostéogénique lors d’un contact
des cellules cultivées avec le biomatériau testé.

Question 7 (2 points) : Quels sont les principaux résultats obtenus ?


Avec l’impression 3D, l’échantillon présente des particules sphériques irrégulières,
non frittées. L’échantillon ayant subi une impression 3D, avec un traitement de surface
(sablage) a ses particules sphériques non frittées éliminées : il a un aspect de surface plus
lisse (Figure 2). De plus, la rugosité de surface est 3 à 14 plus élevée que les échantillons
ayant subis d’autres traitement (polissage).
Le nombre de porosités de surface augmente avec l’espacement laser (Figure 2). Aussi, le
nombre de particules non frittés détectés lors de l'analyse au MEB augmente à mesure que
l'espacement des lasers augmente. Cela influence la résistance à la flexion et le module
d’élasticité : en effet avec un espacement de 70 ou 90 micromètre, des crack, des défauts et
des fissures ont été observés (Figure 3).
La force mécanique et le module d’élasticité diminuent lorsque l'espacement des lasers
augmente.
L'angle de contact diminue pour l'échantillon imprimé en 3D après le sablage (donc
optimisé) ou par polissage. La mouillabilité est donc augmentée avec l’impression 3D
optimisée (Figure 5).
L'expression des gènes ostéogénique dans les conditions d’impression 3D et de
sablage est supérieure par rapport à ceux du témoin. L’expression d’adhésion cellulaire (due
à la présence de vinculine) a une expression similaire sur l’impression 3D et sablé qu’à la
découpe a la machine (Figure 7).
Donc l'espacement des lasers pendant l'impression 3D par DLMS affecte le nombre
de rugosités, leur état de surface et les propriétés mécaniques. Un post-traitement de
surface optimisé par sablage a amélioré l'hydrophilie grâce à une diminution de la rugosité
de surface.
Les échantillons optimisés et avec la DMLS ont des propriétés biologiques similaires à celles
de leurs homologues découpés à la machine ou usinés, ce qui suggère l'utilité potentielle de
l'impression 3D pour les applications dentaires.

Question 8 (6 points) : Proposez un résumé, en anglais, en 200 mots ( 10 %) de cet


article
This paper focuses on the physical and biological properties of biomaterials used in
dentistry. The aim of this study is thus to compare the above properties on machine-cut and

2
BOHLANDT Groupe A1
Amélie
3D printed biomaterials after having optimized the 3D conditions (by sandblasting) (Question
1).
To carry out the experiment, the basic chosen biomaterial is titanium, which was used
in the form of Ti-6Al-4V and prepared either by 3D printing with optimization by sandblasting
or prepared by machine cutting (Question 2). Different physical properties of the tested
samples were studied such as laser spacing, flexural strength with the fractography,
hydrophilicity, morphology of the samples, surface condition, average height of surface
roughness by SEM (Questions 3,4,5). These biomaterials were brought into contact with
human mesenchymal cells and fibroblasts to study their cell adhesion capacity and cell
differentiation (Question 6).
The results show that laser spacing during 3D DMLS printing has a major role on
surface finish and mechanical properties (such as flexural strength). An optimization of the
DMLS by sandblasting in post-processing improves hydrophilicity due to the reduction of
surface roughness (Question 7).
However, the biological properties are equivalent between 3D printing and machine cutting:
the expression of genes favourable to osteogenesis and cell adhesion is enhanced (Question
7).
To conclude, the preparation of biomaterials with DMLS technology and surface
optimization can be useful for dental applications (implants, etc).

Vous aimerez peut-être aussi