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Méthode Matsuo
Méthode Matsuo
Étude bibliographique
par
J.M. LAMACHERE
stagiaire E.N.S.G.
Département HYDROGÉOLOGIE
B.P. 6009 - 45 Orléans (02) - Tél.: (38) 66.06.60
- Principe
- Mise en oeuvre
- Calcul de la perméabilité
- Limitations techniques de cet essai
- Principe
- Mise en oeuvre
- Calcul de la perméabilité
- Remarques
2. 1. Essais MATSUO
- Principe
- Mise en oeuvre
- Calcul de la perméabilité
- Limites de la méthode
3. MESURE PAR SATURATION LOCALISEE DU TERRAIN - METHODE DES DEUX TYBES (BOUWER)
- Principe
- Remarque A
- Calcul de la pennêabilitê
./.
II
3. i+. 1 . ÎStirit5_et_critiçLues_de_la_methode_des_deux_tubes
3.^.2. Extension_de_la_methode_des_deux_tubes_aux_te
- Introduction
- Principe de la méthode
- Mesiire de la perméabilité verticale IC
- Mise en oeuvre pratique
- Disciission et limites de la méthode
BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE
1. MESURE PAR INFILTRATION DANS UN PUITS A FAIBLE PROFONDEUR
- Principe
CtfUOc'tiCM \t '***
|cA5 x| |CAS IL
3 -^ > T^ >^^
1^
ou coucVic impcpméaUe,
jr
fi ku r c ^ - 2
CAS I
%h
- 300
-200
H 00
-60 -1,0
- 40
- ÎO
=-
. -10* 5
12,0
J
- 2
-1,0
k0,9
-9.0
-0)6
10,0
-0,'t
^o,o
- 0,1 ifi
/
-OjOi
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- 0,0'» OM
0,20^
7,0
- 0,02 _ 0,10
I.»
- OjO'l - 0,01,
0,01
», 00* -Jo,o1
- 0,001,
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_ 0,00l _ OjOOi
- 0,OOO(
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C^OOooi
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-16 10-
hO-
-20
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too-
4e»-
3^ ?T :? -î, K - no
3^.-^ g
L Tí, l«,4iT
figure i-4
Ç^§_iî h 4 Tu < 3h (fig. 1.2. - fig. 1.1+.)
3 Q log^ ^
K = 720
(h+2 Tu)
- Principe
K = ^-^^ Q log ^^
h^ 10 d
Q débit en m3/s
K en m/ s
^=^«4.4
«lü«e. í^^3¡^^C^oo
^-^^ ^V^
F i «^ore. i-5
- Remarques
D
u en
en m
m
D = 2 . Q en m3/s
ïï K
K en m/s
2. 1. Essais MATSUO
fig 1-i-^
fig 2.1-b
K
10
- Mise en oeuvre
- Calcul de la perméabilité
Q
B = ?! 2 H B largeur de la fouille au niveau
du plan d'eau
- Limites de la méthode
- Principe
CAS I
Le canal perd de l'eau jusqu'à une profondeiur relativement grande.
(fig. 2.2. a.).
L indppe.
.happe. pVptaVi*
t>hre.drtqilOe.
Figure, 2 - Z - ¿t
^ ^ ïï m H I
K -1 - B + 2 H J,
cos 0
mTTH K
9 et (1-02)T 0 = sin TT (^- l + l ) = cos
Q
L= I = B + 2H ^,
12
7777777777777777777777777777 iiiiitininnmnjii^n
(8+Ha) X., J
^
Fi qure. L . Z- b
CAS I
A'Tw
16
14
^x
io
Fic^or c 1-3
1i+
Q = K (H^-H^) f II
^"'
L = ^ (B + Hp) + L-1 est la distance du fossé à laquelle le
niveau de l'eau est celui de la nappe aquifère H^. Cette méthode nécessite
donc l'installation d'un piézomètre pour la mesure de Hq et de L .
""/"i. il
B/K,
fi'i l.it-k
16
u
3. MESURE PAR SATURATION LOCALISEE DU TERRAIN - METHODE DES DEUX T)tBES ( BOUWER)
3. 1. Généralités - Notations
imités suivantes
_s_
7 7
/ \
vmvm
Rc
TT TT
Schéma 3-1
F facteur de l'écoulement
'^H
^jy- TT p (sans dimension)
t ïï K n A
O
H distance entre les niveaux d'eau dans les deux tubes (en mètres)
- Principe général
. le rapport ^ ^'^^^ est divisé par le rapport -^ qui peut être considéré
comme un facteur géométrique de l'écoulement dsins le tube interne. C'est
F ^
J ïï K H R
De l'égalité 1 on tire :
Q
'IL
K =
ïï H R^ F_^
a ) On commence avec des niveaux d'eau identiques dans les deux tubes.
L'arrivée d'eau du tube interne est arrêtée. La vitesse de chute du
niveau de l'eau dans le tube interne est alors mesurée pendant que
le niveau dans le tube externe est maintenu constant.
Q
H_
AH^ = dt
ïï R2
V
Fig. 3-4
Or Q^ = ïï K H R^Fy. d'après 1
Il vient donc :
ft (t
Q dt = ïï K R F- H dt = A H^ ïï R2
H <'f }
h -
Vr.
I, I M 1 I I I I i I I i t I I I M i I '.^
f.O S.0 4fl
%c
/lAnW«- n.eWuÁcH\iímX Xvi, Arcüu,dU<nvA c^ fi : ^h &», icrHCjbion cl<_ îl - bTLoWuieii;»-
Figura. 3- Z
>o
L
\
so
fs>-. Sí.
tfiCf^
¿o\~
=*/«.
I.O
R2 1
^^ V
K =
R /h dt
"/ o
o
- RemçmqTitë__A
^^yy///////
M////M. tsOTS A H. 2 A t
i
* ni. ¿g.
/*H dt
niv. eg.
Fig. 3-5
- Caloul de la perméabilité
^^t
Le rapport j- peut être obtenu de deux manieres
distinctes : o
AH
t
f^ H dt
o
est réglé par l'hypothèse que l'effet d'une chute de charge dans le tube ITS
seul est le même sur l'écoulement dû à l'infiltration, qu'une chute de
charge simultanée dans les deux tubes. Cette hypothèse reste valable tant que
H est petit comparé à la hauteur de charge totale. La validité de cette hypo¬
thèse peut être vérifiée par l'évaluation du rapport
A H^
/* H dt
o
En effet :
A H^ 2 A T
t 0
/ H dt t2.
o
niv. ef
2 A t
t^ .
niv. eg.
perméabilité.
tu!bc_ .4/^efi/nL
25
Le sommet du tube OTS (ce tube est gardé plein à ras bord
entre les mesures) est placé quelques millimètres en dessous de la marque 0
de ITS pour tenir compte de la hauteur du trop plein.
tration au fond du trou causant une chute trop rapide du niveau d'eau dans
Une vanne A relie les tubes OTS et ITS. Elle est ouverte entre
les mesures pour maintenir le niveau d'eau dans ITS à la cote 0, fermé pendant
les mesures de vitesse de chute de l'eau dans ITS.
26
- La préparation du trou
Fiaurg. 3- 1
mmmm
MiS<^
11'
4(1 om
I r iau re 3 - S
28
Une fois les tubes mis en place et les niveaux d'eau stabilisés
au sommet des deux tubes dressés ITS et OTS, les mesures doivent être effec¬
tuées de la façon suivante :
a ) La vanne A est fermée, la vitesse de chute du niveau d'eau dans ITS est
mesurée en gardant OTS plein à ras bord. Les mesures peuvent être faites
convenablement en ajoutant de l'eau à ITS pour élever son niveau au-
conditions.
H «^2
6*> ürn i «^ ^. -t, C*, /i. "tj «., A. ^3 Cvi >*
neur<t neure. ; neore ' Kcorc heure ; neor« heure
-lo
^5
2 O
^5
30
30 bis
31
3.^.1. Intérêts_et_critiques_de_la_methode_des_de]^
3.^.2. Extension_de_la_méthode_des_deux_tubes_aux_ter
- Introduction
Kj. /K.^ et Kt^ /Ky peut être déterminée et exprimée graphiquement. Ain¬
si, connaissant la perméabilité globale Ki, et la perméabilité verti¬
cale Ky , la perméabilité horizontale K^ peut être évaluée à partir
de ce graphe.
32
- Principe de la méthode
^ donne = %
D ( ou Dp ) donne D = D /k /K
n V
K
^ K
R2 AH^
V
De l'équation K = on en déduit la
F - R
relation : / H dt
o
K
dt X
K
7
Or K = /K, K
h V
K
dt_
Il vient donc
K
V
h.
Des graphes (fig. 3.11) donnant les valeurs de en
V 7)
de valeurs de K, /K .
h V
Aoo
^o
0,1
.J ' I I I I ! ' '
fi«\v>r«. 3 -. -i'i
3k
/ dH \
\ dt ;'
^ / H = 0
cette pente, K est calculé comme suit
V
rt <iofe 3 ~ ^ Z
35
la méthode des deux tubes ont été envisagées par BOUWER mais aucune d'entre
elles ne semble donner satisfaction. Bien que peu précise, la méthode exposée
ci-dassus a au moins pour mérite de donner un ordre de grandeur de l'aniso¬
tropie et une valeur assez exacte de la perméabilité verticale.
36
n 6^|Crh
1 1 ' 1 1 , . 1 1
IS
e >^
Vi
"V o
33
\
N.
32
>.
^^
...1 1 1 1 l.ll
Ze^ Cm
-1 2 3 it 5 C i
^¡aur<. 3 - "i3
37
BIBLIOGRAPHIE
Drainage engineering
Drainage engineering
MUSKAT M. (1937)
PAVLOVSKII (1956)
VEDERNIKOV V.V.
BOWER H. (1961)
BOWER H. (1962)
BOWER H. (196U)
BOWER H. (I96U)
D'ORLEANS LA SOURCE
SOMMAIRE
2.2. Mesures
3. 1.3- Mesures
3.^. Conclusion
k.2. Mesures
2 A t
U.3.1. Détermination du rapport
t .
niv.eg
I+.5. Conclusion à propos des essais par la méthode des deux tubes
5. CONCLUSION GENERALE
^1
Les essais ont été effectués sur une aire expérimentale située près des
bâtiments du B.R.G.M. à Orléans la Source.
2.2, Mesures
lo
'«".^Vi"-^
So
.?;c.f'
^^o
cV cvno^cco tic 5 fc 6 mil», /
lío
zoo
Zio
P*^"rg I
k3
if'jU
^<fV>Oüe, ¿)UjckAÍLOfJt^
ijue^ Ouo*/)nt.
b) Seconde_serie_de_mesures_-_h_^_2i30_m
Remarque_s_
2.3.1. Çaloul_^8_dêbits
A/ h = 1,1+0 m
h! = 27,3 cm t-, = 0
* , I
-3
(hi - h2) 20,10
Q =
30 t2- tl
-3
10,5 X 20 X 10
-5
Q = = 3,33 10^ m3/s
i- 30 X 210
U5
Y\ z -^ ¡ko (A
1'
k = ^,30 inn
)í
9' Í3o" \o
6>, tM).cl:^
V Zi Í3;9 A%i>
1+6
De même :
-5
Q2 = 3,36 10 m3/s
-5
Q3 = 3,33 10 = m3/s
-5
Q = 3,31+ 10 m3/s
B/ h = 1,30 m
-3
12 X 20 X 10 -5
Q = = 2,67 10 ^ m3/s
30 X 300
-5
moyen Q = 2,71 x 10 m3/s
_ 0,1+23 , 1+ h
K = ' Q log
10
A/ h = 1 ,1+0 m
h jkg_
d = l+,5 cm ^ 31
d " l+,5
-5
Q = 3,31+ X 10 m3/s
(1.1+0)' l+,5 10
-5
= 0,^23 X 3,31+ X 10 X l+,82 ^ ^^5 ^ ^Q-5^/^
K
(1,l+)2 X 2,3
^7
B/ h = 1,30 m
h 130 ^^
d = l+,5 cm
d l+,5 - ^
-5
Q = 2,71 X 10 ^ m3/s
-5
= 0>^23 X 2,71 X 10 X log 116 ^ ^ ^^^ ^ ^^-5 ^^^
K
(1,3)'
2.3.3. Méthode_de_WINGER
^= 62,2
"" -5
Q = 3,31+ X 10 X 60 ^ ^^Qg ^Q-2 p^g^ cube/minute
(0,30U8)3
r = 0,071+ pieds
7= 57,7
-2
Q = 5j75 10 pied cube/minute
-5
K = 1,5 pouce/heure = 1 . 10 m/s
A Q _ A(hl - hj ) At
Q M - K
1+8
CAS I
=-300
1 ZOO
~-<eo
-60
-V
«0
20
_^o
. it* '- S
2
ioO,0
-so
AOiO
=.j,o
~0,b
KO 10,0
-0,1,
Ao,»
Iifi
-ÎO -0,1 J\
/
2f -0,1 ifi [-
/
i to /
- 0,01, 0/40
01 20''
-T,0
- 0,02 _ 0,10
-I.»
.. 0,0'! - o,e<r
'-%»
L 0,0^ ~ 0,01
-
~ «,004 -:
-4» /
0,00V
~o,eoi~
,^ o,aot
_ o,oo1 _ o,o»i
~ 0,ooo&
-0,0001^
-0,0001
-0,0001
fl^eooot
-5
T ? 3^
FIGURE II- Í+
1+9
AQ
D'autre part
A h
Ah = 2 cm = 0,011+1+
ll+0
A d _ ^
Ad = 5 mm = 0,11
1+5
de Q, h et d. Il vient :
-2
J. 0.^23 ^ 1+ hd
A d
-1
h2 1+ hd
AK _ 2 Ah _^ Ah A Q _^ A d
K ~ h ^ , 1+h Q ^ 1+h
h logjQ-y d log^Q Y
^ = ^22 ^ ] ., 0,03 + ¿
K ll+0 1 1+0 X 2 1+5x2
AK
= 0,0290 + 0,0036 + 0,0300 + 0,0560
K
A K
= 0,1186 ûi 0,12
K
^-5
1,32 X 10 m/s < K < 1,68 10"^ m/s
50
-âiL
0,2
K
-5 -5
0,8 X 10 m/s < K < 1,2 X 10 m/s
2.5. Conclusion
Schéma de la section
sible.
51
- Dimensions choisies
b = 50 cm
B = 86 cm
H = 18 cm
L^ = 1+ m L2 = 5 m L3 = 6 m
3.1.3. Mesure s_
choisie et le débit d'arrivée d'eau doit être sans cesse réglé de façon
à stabiliser le niveau d'eau.
) A X 3 i» 5 é \ S
6o 53 53 VS ^g 48 kl U
/^ /"
^ / /^ X ^ ^
6 ftH
/^
H /'
^ /' X /" / /
il 1? 1^
5 e«\
U ^4 ^^
t/ 1= 5 m H = n t 1 c^
2 k 5 Í 1 î
-I 3 5
4g 4g ^5 53
éo 58 SZ 51 fO
/ / / / / / /
U / /
53 Sl 'S^ 51 SO 50 kS ii5
ÎS
H / / / / / / 1 / /
^6,
i^ lo 11 11 lî m IS 16 1^
c) L = 6 «Yl H » ^% tAOtr,
'fc Cv,
1 i 3 h 5 é 1 Í 'î
mtAvutcA
62 Cl ^3 Co 4if ^4 51 53 s^-
H / / / / / / / / /
^r Cv,
1o 11 11 13 1^ 15 Aé '^H
53 51 5"o So 5o i'-i So Si 5o
/ / / / i' / /
H / -iio
lo 11 11 23
5o So SO 5 o So
H Mo Mo Mo ^lo -í2o
51+
Q = K (B -H 2 H) Q en m3/m/s
B en m
A. H en m
K =
B + 2H
2»i+7
Q¿ = 1,32 h^ h en m
1
Q = K (B + A H)
Q B
Un graphe (fig. III-6) donne le rapport t^- en fonction de
et de la pente des talus du fossé.
-^=7 1 A = 2,76
K H ''^
Cn rh
Oj 0 kLi 0/ 0 kl O/O ^^
0/ 0 H Oj 0 So Oj 0 So
H o¡ 1 % o¡M OylS
6 o¡ n o¡^% o,n
K 1/ é AfO Ao''
Piflorp- jr-A-
9
1/n Ho'" o^k%. 'lo"'' l^lé.lí»"*^
9
^/^ L^ 1.^
KH
6
^yU c;n ^/íg
Píaure. jr:-5
56
CAS I
A^ "5<ÏÏ"
16
1^»
^^
Ao
FIGURE III-6
57
K=-^
B + AH
Aq = 2,1+7 q; + Ql
\ 2 h2 ' hl
Q Q (V^ 1^2 ^ ^1
B et H la valeur de 1 cm
AH = AB = 1 cm
AA = 0,76
^ A B ^ BA H
^ (l) = f (^^^)
Fi nal ement, a( -JT 1 = 0,3 et A i-rr'rr 1 = 0,3 d'après le graphe
fig. III-6
en KM 0/ 0^4 o^ ¿> ^ ^ Oy 0 ^L
0;¿i1 C% Oy32
AH-A6 Oy oí Oy 0-1 O/ oi
fí /iA
Oy -i Z Oy 12. Oy 12
Ô+AH
A ÛH
Oj ois O/ 0 2.5 0/ oLS
&tAH
ÛK
0, 5(>k A, n \oik<\\
K
^ (Ç?/kh)
Oy0^3 Oy 0^3 ¿>y O <h3
fi>/KH
AH
O^ 0 5¿ C?; 05 ^
c?^ 0 55
H
ÛK o,^2 1
0^ 5o l.-íg
K
59
3. 1+. Conclusion
Enfin les rêsixLtats obtenus par cette méthode ont été comparés
à ceux obtenus par des mesures faites en laboratoire. Les mesures en labo¬
ratoire ont donné une valeur de la perméabilité égale à 2, 10~ m/s et la
mesure par infiltration dans une tranchée une valeur comprise entre
1,3.10~^et 0,5.10"^ m/s. On peut donc considérer que cette méthode de
mesure de la perméabilité d'un sol non saturé donne des résultats satis¬
faisants malgré ses imperfections.
doit être effectuée le plus rapidement possible car elle est immédiatement
suivie de la pose de la partie supérieure de l'appareil et du branchement
de l'arrivée d'eau sur la vanne correspondante.
60
Une fois l'eau arrivée au sommet des tubes dressés, les mesures
peuvent commencer.
1+.2. Mesures
nication entre les deux tubes, nous nous sommes rendus compte que les devix
niveaux d'eau chutaient à peu près à la même vitesse. Cependant , si ces vitesses
de chute étaient trop différentes, il faudrait soit procéder à -'one pe-oite
correction, soit suivre scrupuleusement le détail des opérations exposées
précédemment.
stabilise. Il faut donc prendre des mesures plus ressérées que pour les
mesures de type g et prévoir les tableaux correspondants (voir tableau
fig, IV-3.).
6]
H f, P3
%. (mi
^1 e>) /&
Heure. : liewr*
0
lo Vï 5if»vh -lo Vl 35 «^ 11 Vi ^0 tvm
g / Z ^ 2/3
5 / %fi 3
/
/ 4/3
^^ / h
A% / h, s ^^ '</3
A'b / 5 5,^
/
\h / é
/ ^/
%ù -1 0 -lo Ho M
Piqûre ISL - I
62
6^ om
6-1 /5 -tv 6« /
0
HoVi lo W/»» 1oV\ 5o r>vw -|1 h 15 «vvn
î 6 il
^ -15
XO ^2 Z1
iî/$ lé
-11 Î5y6
M. î^yÇ ii/Ç 3^
^^ 31 3¿ ^Z
Mt H i»! 5H
^5 io 5Z ?o
20 / / /
30 / / /
Fi(jure Ig -3
63
2 A t
^
niv. ef
R A t
K =
/ niv, eg.
facteur de l'éco-olement
/
2 A t
4.3.1. Détermùnation du rapport
niv, eg.
sure de type oi .
^¿1 t¿
^m = 2
At ^ t ' - t
1 m
2 (tj - t^;
2 A t
t2. t^
niv, ai m
rapport
2 A t
t2
m
varie peu.
î5
a rrkfe^juhxA 0.
16
VÍ3
c
lo- i&
Ol
A 5 ^DW
à* t
A* A
-lo 4
A*- A
e
-«0 Zo 3o Mo
t
65
2 At
On peut ainsi constater que le rapport t^ ne varie pas
m .
de façon continue quand H croit. Il n'est donc pas possible d'extrapoler
ce rapport pour H = 0,
2 ^t
3, '4
2,5
4.3.2. Dé-te2mùnation_du^
F. = 0,78
4. 3. 3. Déte^rridnation_d^
R^ = 6,5 ± 0,0 5 cm
R^ et Rg
r2 = r2 + r2
V 1 2
R = 38 ± 0,5 mm
1
R = 8 ± 0,5 mm
Il vient donc
R^ = 15,05 X 10 '* m2
V
66
OT* Plein
lût
H 1-^
Atr tj-tm
Figure Ig" ^
VRc
'»»«>«»«*««'«'>«'*' i .
^p \0 ^fl
%,
nhiKti^ aeyuÁonWX \o^ ArcÜÚaltLcmA <^ fJJ = -^B e^ icrKùt^ <ji«. îi . K^iAmJe*!;»-
ON
FIGURE IV-6
68
4.3.4. Résultats
2 A t
niv, eg.
2 A t
Posons r =
A K _ 2 A Ri; A Ff A Rg Ar
K Ry Ff Rc r
niv. eg.
Nous admettrons que les teraps sont mesurés avec une erreur
absolue A't de 0,2 s,
A't = 0,2 s
A r .. A'(A t) , 2 A'tniv.eg.
r A t t .
niv, eg.
= tg-H t^
m A' (At) = A' t^ -hA't
m
0/ 10 Oy 0-1^ ¿>/ -1 ^5
11 0,1 ûA
sur \e rcJbpoirt 2 Af _. f
iEE
' nwo.
T*^
piQure Tir-?
70
d = 5 ± 1 cm
R = 6,5 ± 0,05 cm
Il vient donc :
A(d/R^)
Ad , A Re
d/Re d R
A R X d
A d o
A(d/R^) =
R, R2
o
1
A(d/R^) =
6,5 (6,5)2
Rappelons que :
R^ = 6,5 ± 0,05 cm
R2 = 0,8 ± 0,05 cm
.71
R , =
/r2 + R2
V 1 2
R2
A R = AR^ + AR,
V
Ry Ry
'\ Rl «2
AR, + aR
1
R
V
^l «J
A R,
= 0,032
A R. 0,05
= 0,008
6,5
suivantes :
-h
7 X 10" m/ s < K < 30 X 10" m/ s
ou
-^
11 X io' m/ s < K <
25 X io" m/ s
1+.5. Conclusion à propos des essais par la méthode des deux tubes.
5. CONCLUSION GENERALE