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EPIGRAPHE
« Dans les sciences, le chemin est plus important que le but. Les sciences
n’ont pas fin »
Erwin CHARGAFF
ii
DEDICACE
REMERCIEMENTS
Ce manuscrit rassemble l’ensemble de travail scientifique de quatre
années de cycle de gradua. Mais un Travail de Fin de Cycle ne résume pas
simplement aux résultats scientifiques, ce sont également des rencontres, une
expérience humaine et donc enrichissement personnel de quatre années d’une
vie, ponctué de bons moments et d’obstacles surmonter.
Ces quatre années bien remplies, qui sont une part de vie et que je
n’oublierai pas, je les dois à tous les échanges scientifiques, à toutes les
personnes que j’ai croisées pendant cette « parenthèse »de ma vie. Cette page de
remerciement leur destinée, et j’espère n’oublier personne.
Si c’est les cas, mille excuses : il y a peut-être des oublies sur le
papier, mais pas dans l’esprit!
Je tiens tout d’abord à remercier le Dieu tout puissant, lui qui est le
concepteur de nos vies car, il a créé toutes choses, et c’est par sa volonté
qu’elles existent et qu’elles ont été créées.
Mes remerciements vont également à mon Directeur, Professeur
Dominique WETSHONDO qui, malgré ses diverses occupations, a accepté de
diriger ce travail.
Je ne serai jamais assez remercier l’Ir. Ass. Bruno DECO, mon
encadreur pour sa disponibilité, sa réactivité et ses compétences.
Nos remerciements vont à toutes les autorités de l’Université de
Kinshasa à savoir : les Professeurs, Chefs des Travaux, Assistants et autres pour
les efforts qu’ils fournissent pour nous.
A ma famille chrétienne Pasteur Timothée MBEMBA, Pasteur
Pierre KIBANZA, Sœur Princillia BOLEMA, Sœur Elvie MOSEMO, Frère
Jacques KINKELA, je les en remercie profondément.
Enfin, mais pas des moindres, un grand merci à tous les jeunes
gens que j’ai eu le plaisir de côtoyer durant ces quelques années, je pense
notamment à BILO Francis, MBUYI Sacré, SIBITALI Stephane, LITANDA
James, NDANGI Berry, MAYELE Chadrack, MAVANGULU Isaac.
iv
EPIGRAPHE ............................................................................................................................... i
DEDICACE ................................................................................................................................ ii
REMERCIEMENT ................................................................................................................... iii
TABLE DES MATIERES ........................................................................................................ iv
LISTE DES TABLEAUX ......................................................................................................... vi
LISTE DES FIGURES ..............................................................................................................vii
0.INTRODUCTION ................................................................................................................... 1
0.1.Problématique ................................................................................................................... 1
0.2.Choix et intérêt du sujet .................................................................................................... 1
0.3.Méthodologie .................................................................................................................... 1
0.4.Subdivision du travail ....................................................................................................... 2
CHAPITRE 1. GENERALITES SUR LE BASSIN COTIER DE LA R.D.CONGO ............... 3
I.Introduction .......................................................................................................................... 3
1.1.Cadre Géographique ......................................................................................................... 3
1.1.1.Le Relief..................................................................................................................... 5
1.1.2.Climat et Végétation .................................................................................................. 5
1.1.2.1.Climat ...................................................................................................................... 5
1.1.2.2.Végétation ............................................................................................................... 5
1.1.3.Hydrographie ............................................................................................................. 6
1.2. Cadre géologique du bassin côtier ................................................................................... 6
1.3.Potentialité pétrolières .................................................................................................... 10
1.3.1.Les indices de surface .............................................................................................. 10
1.3.2.Les Roches mères .................................................................................................... 10
1.3.3.Les Roches Réservoirs ............................................................................................. 10
1.3.4.Les pièges du bassin................................................................................................. 11
1.3.5.Les Roches Couvertures........................................................................................... 11
1.4.L’histoire de l’exploration .............................................................................................. 12
1.5.CONCLUSION PARTIELLE ........................................................................................ 14
CHAP. 2. CARACTERISATIONS DES RESERVOIRES PETROLIERS PRODUCTIFS DU
CHAMP LIAWENDA EN ONSHORE DU BASSIN COTIER ............................................. 15
v
0. INTRODUCTION
0.1. Problématique
Les modelés de réservoirs pétroliers jouent un rôle de plus
prépondérant dans l’industrie pétrolière. Ils sont utilisés tout au long de la vie
d’un gisement pour planifier les études complémentaires à effectuer, pour
optimiser l’implantation de nouveau puits, mais aussi et surtout, estimer les
réserves d’hydrocarbure en place et simuler l’exploitation du prospect réel.
Pour faire tout cela, les spécialistes ont besoin de connaitre les
propriétés-clés qui permettront d’expliquer (et donc de produire) les
phénomènes physiques qui gouvernent le réservoir. Ils ont à leur disposition un
certain nombre de données qui leur permettent d’obtenir les propriétés, soit de
manière direct, soit de manière indirect. Les travaux de caractérisation réservoir
s’appuient essentiellement sur deux types de données : les diagraphies (et/ou
analyse de carottes obtenues aux puits) et les données sismiques.
Une diagraphie (well log) consiste à mesurer, pendant (diagraphie
instantanée) ou après (diagraphie différée) un forage, les caractéristiques des
roches traversées, à l’aide de différentes sondes. La diagraphie représente en
général tout enregistrement d’une caractéristique d’une formation géologique en
fonction de la profondeur. Les diagraphies instantanées, enregistrées pendant le
forage (LWD : looging while drilling).
0.3. Méthodologie
Dans le cadre du présent travail, nous avons estimé que notre
objectif ne pouvait être atteint qu’à la suite de l’utilisation de la méthode
descriptive, de recherche documentaire en procédant à une exploitation
2
Figure n°1 : Carte de la localisation du bassin côtier (source : Secrétariat Général aux
hydrocarbures, 2012)
1.1.1. Le Relief
Relief comme étant toutes irrégularités du sol observées à la surface
de la terre. Ces irrégularités se mesurent par rapport au niveau de la mer
(altitude). Ainsi, la zone côtière de la R.D.Congo constitue, dans son ensemble
une plaine penchée vers l’océan Atlantique, avec des cotes allant de 200 à 250 m
d’altitude dans sa partie Nord-Est, notamment dans la collectivité de Tshanga-
Nord et, à des cotes plus basses sur littoral atlantique. Elle se subdivise en 2
parties à savoir : -la partie orientale et celle de l’occidentale, dont la limite passe
dans la direction Nord-Ouest, un peu plus à l’Ouest de Boma.
1.1.2.2. Végétation
La végétation varie également des formations herbeuses arborées
dans la région de Matadi-Inga à la grande forêt tropicale humide Guinéo-
Congolaise de la Mayumbe et aux mangroves
6
1.1.3. Hydrographie
Dans le territoire de Moanda, on rencontre les eaux marines qui
occupent la zone côtière. Les eaux fluviales en amont s’étendent sur une
longueur de plusieurs kilomètres jusqu’au port de Matadi, et en aval elles
forment un enchevêtrement entre les iles.
Deux cours d’eau : Mbola et Luidi se jettent dans le fleuve Congo et
deux autres Tondi et Kibinamini débouchent dans les eaux côtières. Les eaux
saumâtres occupent la mangrove.
Le post-salifère, composé de :
PINDA
LIAWENDA
VERMELAH
TYPE DE NOMBRE
FORAGE RESULTATS OPERATEURS
2.2.2.1. La Porosité
Une roche-réservoir poreuse et perméable est nécessaire pour
contenir les hydrocarbures et leur permettre de s’accumuler. C’est la porosité de
la roche réservoir, définie par le rapport du volume des pores d’un échantillon de
roche à son volume total, qui détermine sa capacité à contenir des
hydrocarbures. Un réservoir de qualité moyenne a une porosité comprise entre
10 à 20 %. Il doit, de surcroît, être perméable, c’est-à-dire que les pores doivent
être connectés de façon à ce que les fluides en place puissent circuler afin d’être
produits. Les roches réservoirs sont essentiellement constituées de grès ou de
carbonates. Les réservoirs gréseux représentent plus de 80 % des réservoirs de
gaz et 60 % des réserves d’huile (IFP, 2015)
Considérons un échantillon de roche. Son volume apparent, ou
volume total VT est constitué d’un volume solide VS et d’un volume de pore VP.
On appelle Porosité Ø :
𝑽𝒑𝒐𝒓𝒆𝒔
Ø=
𝑽𝒕𝒐𝒕𝒂𝒍
La porosité, qui nous intéresse, est celle qui permet la circulation des
fluides se trouvant dans les pores. C’est la porosité utile ØU qui corresponde aux
pores reliées entre eux et avec l’extérieure.
En outre, on définit aussi la porosité totale ØT correspondant à tous les pores,
reliées ou non entre eux, et la porosité résiduelle Ør qui ne tient compte que des
pores isolés.
Øt = Øu + Ør
20
𝑽𝒑 𝑽𝒔 𝑽𝒔
Ø= = 𝑽𝒕 − = 𝟏−
𝑽𝒕 𝑽𝒕 𝑽𝒕
𝐕𝐭 = 𝐏𝟐 – 𝐏𝟏 /𝛒𝐇𝐠
2.2.2.3. La Perméabilité
Elle représente la facilité avec laquelle une formation permet à un
fluide de viscosité donnée de traverser. Ainsi un milieu poreux ne permet le
déplacement des fluides que dans la mesure où ses pores sont reliés entre eux.
C’est un paramètre très important dans un réservoir car, si elle est
bonne, elle rend la production facile.
Elle est déduite par la loi de Darcy, loi expérimentale de la manière
suivante :
<< Considérons un échantillon de longueur dx et de section A, saturé d’un fluide
de viscosité dynamique µ, traversé horizontalement par un débit Q (mesuré dans
les conditions de la tranche dx), en régime permanent, la pression amont est P1 la
pression avale est P-dP. L’étanchéité est faite sur les faces latérales. S’il n’y a
pas de réaction du fluide avec la roche, ce qui est le cas général, on a :
𝐊 𝒅𝑷
𝑸 = 𝐀. . S’exprime en milli Darcy (mD)
µ 𝒅𝒙
2.2.2.4. La Saturation
Dans le volume des pores VP se trouvent un volume d’eau VW, un
volume d’huile Vo, et un volume de ga VG (VW + Vo + VG = VP). Et nous aurons la
saturation en huile(SO), la saturation en eau(SW) ainsi que la saturation en
gaz(SG).
𝑽𝒐 𝑽𝒘 𝑽𝒈
Avec: SO = ; SW = ; SG = s’exprime en %
𝑽𝒑 𝑽𝒑 𝑽𝒑
2.3.4. La Résistivité
C’est une diagraphie électrique dont un système d’électrode envoie
un courant électrique dans la formation rocheuse. On mesure ainsi la résistivité
apparente, en ohms par mètre, du réservoir.
Les outils utilisés sont le Laterolog LL (focalisation) et l’induction
IL (solénoïde). Les caractéristiques qu’on a obtenues dans cette diagraphie sont
fonction de la porosité et de la saturation (eau – hydrocarbure).
En effet, les matrices rocheuses sont isolantes et les hydrocarbures
ont une résistivité élevée alors que l’eau a une résistivité d’autant plus faible
qu’elle est plus salée. La résistivité peut ainsi différencier l’eau des
hydrocarbures
2.3.4.1. Le Gaz
Le cap Gaz dans le champ liawenda est représenté par la couleur
rouge chapeau de gaz libre (gaz cap) surmonte la couche imprégnée d'huile, elle-
même saturée en gaz dissous, c'est le gaz qui exercera une pression de haut en
bas et refoulera le pétrole à la surface, à la manière d'une chasse d'eau.
Cette action s'ajoutera bien sûr à l'effet d'entraînement dû au gaz
contenu en solution dans l'huile que nous avons vu précédemment
25
2.3.4.2. L’Huile
La présence de l’huile dans cette diagraphie est justifiée à une valeur
élevée de la résistivité, comme signaler plus haut que les hydrocarbures à une
résistivité élevée que celle de l’eau. La présence de l’huile est déterminée en
contact de l’eau (WOC) et huile gaz (GOC) à l’aide de courbes LLD et MSF en
fonction de la profondeur.
2.3.4.3. L’eau
Un excès de la production d'eau se produit initialement dans les puits
structurellement plus profonds.
Ceci caractérise les réservoirs alimentés par un aquifère actif qui
fournit des entrées d'eau d'une manière uniforme, rien ne peut ou doit être fait
pour limiter ces entrées d’eau, du fait que l'eau va probablement fournir le
mécanisme de déplacement d’huile le plus efficace possible.
Si le réservoir présente une ou plusieurs couches de très bonne
perméabilité, l'eau peut se déplacer à travers ces zones les plus perméables.
Dans ce cas, il peut être économiquement faisable d’effectuer des
opérations d’isolation pour séparer ces zones à eau. La figure n°5 ci-dessous
illustre la structure et la morphologie du champ Liawenda.
26
Perenco DRC Onshore Liaw enda Field : Top G up Cenomanian Depth structure map
197600 198400 199200 200000 200800 201600 202400 203200 204000 204800 205600 206400
OW
C
00
0.
20
-1
(-12
00) -1200.00
0.00
-120
9359200
9359200
LW-011 -120
0.00
105 ) - 1100. 00
OW 0 250 500m
LW-680
LW-013 C
LW-679 LW-730
LW-687
LW-664 LW-713 (-1
-120
0.00
1:35726
LW-033
LW-642
2 00
LW-729 LW-775 )
9358400
9358400
LW-681
0.00
LW-731 LW-774
-11
00.00
-110
LW-646 LW-019
LW-008 LW-706
LW-657 LW-658
LW-663 LW-624 LW-721 LW-703
LW-728 LW-645 -120
0.00
LW-714 -11
GO
LW-766
LW-678 LW-712 LW-009 LW-003 05
)
9357600
9357600
LW-016 LW-001 LW-710 LW-619 LW-639LW-770 LW-035
C
LW-018
LW-661 LW-626 LW-618
-110
LW-711 LW-601
LW-719
LW-764 LW-638 LW-690
-1200.00
O
LW-684
LW-682 LW-641 LW-769 LW-761
LW-755 W
LW-726 LW-616
LW-772 C
LW-031
LW-620 LW-649 LW-632 LW-757 LW-756
LW-602
LW-759
(-1
2
-1
20
LW-685
9356800
9356800
0.
00 -1100.00
LW-648 LW-758 LW-760
LW-757 STLW-705 00
LW-002 LW-652
LW-633 LW-644 LW-628 )
LW-621LW-676 LW-612 LW-762
-110
LW-017 LW-694
0.0
LW-753
0
LW-636 LW-745
LW-613 LW-650 LW-631 LW-752 LW-674
-1200.00
LW-737
LW-655 LW-608
LW-651 LW-607
LW-691
LW-675 LW-746 LW-754 LW-670
LW-647 LW-751 LW-701
LW-615 LW-747 LW-716 LW-012
LW-736 LW-735 LW-609
-1
200
LW-732 LW-637 LW-630
9356000
.0
9356000
0 -11
LW-748
GO
00.00
LW-750 LW-005LW-654
C( LW-683 LW-610 LW-640
LW-749LW-006 LW-665 LW-026
-11 LW-614 LW-715
LW-629 LW-603
05
) LW-634 LW-007
5)
00.00
LW-666
10
-11
LW-692 LW-604 LW-699
-1100.00
LW-606 LW-673
LW-605 LW-025 C
LW-773 LW-669 LW-668 LW-722 GO
-1
9355200
9355200
20
-1100.00
0.
00
)
LW-744
(-1200
LW-004 LW-672 LW-698
LW-015 LW-743
-1
20
0.
00
LW-700 LW-696
LW-707
9354400
9354400
00
LW-027
-1200.
LW-738
OWC
LW-028 LW-023
LW-708 LW-776 LW-734
LW-739
Symbol legend
Gas zone Minor oil Closed water injector LW-740
Oil zone Plugged and abandoned Abandoned oil and gas -120
0.00
Water zone Injection water Dual completion oil LW-029
GOC Not observed Oil
OWC Closed oil producer
197600 198400 199200 200000 200800 201600 202400 203200 204000 204800 205600 206400
OWC (-1200)
3.0. Introduction
La productivité d’un champ de pétrole est naturellement liée à la
production de puits du champ. Cette dernière est la capacité qu’à un puits à
produire des hydrocarbures.
Elle est déterminée par le débit journalier de pétrole, de gaz et de
l’eau (Qmax).
Les caractéristiques du réservoir et de fluide en place dont dépend
la productivité d’un puits sont :
- La connaissance de la couche productrice ;
- L’épaisseur de couche productrice ;
- La différence de pression (∆P) suivie par la couche ;
- La viscosité du pétrole ;
- Le quotient du rayon du contour d’alimentation (drainage) par celui du
puits, et des dispositifs mis en œuvre par l’extraction des hydrocarbures.
Le rapport entre le débit et la variation de pression est égale à
l’index de productivité (IP).
Qmax
IP = s’exprime en baril/J ou m3/J
∆P
3.1. Historique
La production dans le champ pétrolier LIAWENDA a commencé en
1983 par la société FINA avec 37 puits foré. On a rencontré le pétrole dans des
réservoirs d’arbres Turonien, Cénomanien et Chela mais, seuls les réservoirs
Turonien et Cénomanien qui produisent réellement.
Actuellement, la société PERENCO-REP qui exploite le pétrole
dans ledit champ après que, le Groupe SHELL se dégage des activités
d’exploration et d’exploitation.
30
Tableau n°5 La distribution du STOIIP dans les différentes zones du réservoir (modèle
réservoir de 2009)
Mode d’injection
Le mode d’injection est étroitement lié aux conditions géologique
du réservoir (continuité « flexure, plissement » et discontinuité « paraclasse,
diaclase » de roche).
L’injection d’une part est périphérique (injection d’eau à la
périphérique du réservoir et d’autre part centrale (effectué à l’intérieur du
réservoir).
33
CONCLUSION GENERALE
L’exploitation naturelle d’un gisement potentiel de pétrole consiste à
ramener les hydrocarbures jusqu’à la surface dans des conditions favorables, par
sa propre énergie. Une fois que cette énergie ne répond pas aux conditions de
production naturelle, des nouvelles techniques de récupération sont envisagées
en vue d’améliorer les conditions de production ainsi que les caractéristiques du
réservoir et du puits.
En effet l’étude réservoir a pour objectif final la création d’un
modèle nous permettant de prédire dans le futur le comportement du réservoir au
cours de sa production. Pour prédire, les propriétés pétrophysiques qui nous
permettons de faire cette simulation.
Les réservoirs de champ LIAWENDA ont une porosité probable de
23% et une perméabilité qui varie entre 10-50 mD ce qui signifie une
caractéristique petro physique très intéressante pour la production.
Ainsi, aux limites de sa production, les autorités du pays devront
apporter leurs soutient actif à toutes les actions des sociétés pétroliers
productrices qui visent l’optimisation de leur production, car celle-ci peut
apporter un intérêt sur l’économie du pays. Les meilleures techniques qui
peuvent être envisagées sont celles faisant partie des méthodes de production
tertiaire telle que la fracturation hydraulique partant de la lithologie du réservoir
Liawenda.
Enfin, le développement du champ à l’intensification de la
production assistée à l’exécution des travaux des perforations additives et
acidifications (récupération tertiaire) pour simuler les réservoirs à produire
d’avantage.
35
REFERNCES BILIOGRAPHIQUES