RAPPORT

2016
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

02
PÔLE ALIMENTAIRE
—

PRÉPARONS
MON
ALTERNANCE
DANS
L’ALIMENTAIRE ÉCOUTE

GIE AG2R RÉUNICA - GIE agissant pour le compte d’institutions de retraite complémentaire Agirc-Arrco, d’institutions de prévoyance, de mutuelles, d’union de mutuelles et de
Valorisez votre profession en mettant en
avant les solutions proposées sur le portail
INFORMATION
d’aide à l’alternance dans l’alimentaire.

société d’assurances - Membre d’AG2R LA MONDIALE - 104-110, boulevard Haussmann 75008 Paris - 801 947 052 RCS Paris – 032017-60491
Le Pôle Alimentaire d’AG2R LA MONDIALE
propose un accompagnement global
CONSEIL ET
favorisant l’autonomie de vos apprentis.
Cinq grands thèmes :
ORIENTATION
• la formation professionnelle
• la recherche d’un employeur Venez découvrir
• la recherche d’un logement www.preparons-mon-alternance-
• la vie quotidienne dans-l-alimentaire.fr
• les aides au transport
Contactez-nous au
Son objectif est de favoriser le recrutement 09 69 32 11 72 (appel non surtaxé)
et le renouvellement des effectifs au sein de pour bénéficier d’un accompagnement
personnalisé.
votre branche professionnelle.
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 18h et
le samedi de 9h à 12h.

Pôle

L’année 2016 restera un mauvais millésime pour
la charcuterie française et l’année 2017 s’annonce
sous de sombres auspices.
Mais la charcuterie sous toutes ses formes reste un
des piliers de la table/alimentation à la française,
sinon à l’européenne.
Les mouvements consuméristes antiviande ou
pro végétal, fortement relayés par les médias,
ont un impact négatif sur les achats de viande
et, par ricochet, sur les charcuteries, oubliant que
l’homme est un omnivore. Atteindre l’équilibre
alimentaire devrait être l’objectif de chaque
individu tout au long de la vie.
Nous devons accroître notre communication
collective et sur nos marques, tant dans les médias
classiques que sur les réseaux sociaux et sur
nos emballages. Les techniques de connectivité
permettent dorénavant de créer un lien direct
avec nos consommateurs. A nous de les utiliser
pour leur transmettre nos connaissances, nos
bonnes pratiques, nos recettes, le plaisir du bien-
manger, pour faire apprécier nos entreprises et
nos produits à tous les consommateurs quels que
soient leur âge et leurs revenus.
Nous devons accélérer nos innovations pour
rendre plus pratiques, plus naturels, plus savoureux
nos produits.
ÉDITO
TOUJOURS FIERS D’ÊTRE
CHARCUTIERS-SALAISONNIERS-TRAITEURS
Nous devons poursuivre avec persévérance nos
efforts sur les marchés étrangers.
Les styles de vie changent, surtout chez les
jeunes, nous devons continuer à nous adapter. Les
attentes sociétales aussi : la volonté exprimée de
réduire la consommation d’énergie sous toutes
ses formes, de réduire le gaspillage, de réduire
l’impact «  carbone  » des filières agroalimentaires
de la fourche à la fourchette, de respecter le bien-
être animal. Notre rôle d’acheteur important vis-
à-vis de notre amont doit être un levier pour faire
évoluer les situations.
La FICT reste vigilante pour vous aider à mieux
assurer la responsabilité sociale des entreprises,
à mieux expliquer les projets et les réalisations
des entreprises dans ces domaines, à travers les
médias et les réseaux.
La FICT reste déterminée mais ouverte dans la
gestion des relations avec l’amont et l’aval des
entreprises. L’indispensable reconstitution des
marges des entreprises, fortement dégradées
dans les dernières années, est un défi majeur pour
notre profession.
Vive les charcutiers français !
Vive le savoir-faire charcutier français !
Robert VOLUT
Président
03
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

04

SOMMAIRE

01 I ÉCONOMIE P 05
Affaires économiques p06
Relations sociales et Formation p10
Affaires publiques p12

02 I QUALITÉ ET SANTÉ p16

Défendre le Savoir-Faire Charcutier Français p17
Informer le consommateur p19
Répondre aux attentes sociétales p21
Promouvoir les outils de progrès pour renforcer la sécurité p23
sanitaire des aliments

03 I DÉVELOPPEMENT DURABLE p25

Accompagner les entreprises, les aider à améliorer p26
leur impact environnemental

04 I RECHERCHE ET INNOVATION p28

Préparer l’avenir par la recherche et améliorer p29
les connaissances collectives : veille et recherche scientifique

05 I INTERNATIONAL / EXPORT p31

Fédérer et favoriser les exportations françaises en Europe p32
et à l’international

06 I COMMUNICATION p36
Communiquer sur les produits, les entreprises, les métiers p37
auprès du grand public et des prescripteurs

07 I UNE FÉDÉRATION AU SERVICE DE SES ADHÉRENTS p39

Améliorer l’information des adhérents p40
L’organisation de la FICT  p42
Gestion de crise p43
Relations institutionnelles et Partenaires de la FICT p44
ÉCONOMIE

05
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016
06
ÉCONOMIE
AFFAIRES ÉCONOMIQUES
N O S O B J E C T I F S
ACCROÎTRE LA COMPÉTITIVITÉ
DES ENTREPRISES
Agir pour rééquilibrer le rapport avec les
centrales d’achat (utilisation de la clause
de renégociation de prix, application de
la LME, sensibilisation et rendez-vous Mé-
diateurs…)
Développer de nouveaux outils de mar-
ché permettant de réduire les aléas liés
à la volatilité des prix des pièces de dé-
coupe de viandes
RELATIONS
FOURNISSEURS/DISTRIBUTEURS
La guerre des prix est de plus en plus forte
et les demandes anormales de déflation se
généralisent. La FICT et l’ANIA se sont mo-
bilisées tout au long de l’année 2016 pour
dénoncer les comportements abusifs des en-
seignes.
Mise en place de l’observatoire
des négociations pour identifier
et réagir aux pratiques abusives
La FICT invite les entreprises
à transmettre de façon anonyme
les déviations et irrégularités constatées
lors des négociations et/ou de l’exécution
des contrats : observatoiredesnegos@ania.net
Ce nouvel outil permet d’apporter une ré-
ponse et une défense collective. Ainsi, des
courriers ont été adressés aux enseignes
(CARREFOUR, CASINO, BRAKE France DAVI-
GEL…) pour dénoncer les pratiques les plus
graves : demandes de remises préalables à
toute négociation, retards de paiement, dé-
référencement de produits comme pression
en cours de négociations…
La FICT a sensibilisé les pouvoirs publics et les
médias sur la situation économique des entre-
prises de charcuteries-salaisons en rappelant
l’urgence de redresser la rentabilité des en-
treprises et donc d’obtenir des négociations
commerciales équilibrées et équitables.
• Communiqué de presse NÉGOCIATIONS le
19 février 2016 « Des négociations commer-
ciales à haut risque en charcuterie-salaison »
• Communiqué de presse NEGOCIATIONS
le 15 décembre 2016 : « L’industrie de la
charcuterie-salaison sous pression »
La FICT a également lancé un plan de ren-
contres avec le médiateur des relations
commerciales agricoles, Francis AMAND,
le médiateur des relations inter-entreprises,
Benoist CIROTTEAU et tous les médiateurs
des enseignes de distribution. Ces rencontres
sont un moyen de sensibiliser les distributeurs
sur la nécessité de tenir compte des évolu-
tions des prix des matières premières et de
les alerter sur l’inopérabilité des clauses de
renégociation des prix qui sont intégrées
dans la majorité de leurs contrats.

Pour rappel, la loi n°2014-344 du 17 mars
2014 relative à la consommation et la loi
n°2015-990 du 6 août 2015 pour la crois-
sance, l’activité et l’égalité des chances éco-
nomiques ont rendu obligatoire l’introduction
d’une clause de renégociation de prix dans
tous les contrats commerciaux (marques fa-
bricants et marques distributeurs).
La FICT continuera de plaider pour rendre
cette clause applicable.
DEUX DEMI-JOURNÉES DE FORMATION
POUR MIEUX ACCOMPAGNER
LES ENTREPRISES DANS
LES NÉGOCIATIONS COMMERCIALES
• Formation GRALL&ASSOCIES
1er juin 2016 « Négociations commerciales
annuelles 2016 – Post Loi Hamon / Loi
Macron – Comment s’y préparer ?
• Formation LINCOLN AVOCATS
octobre 2016 « Bien rédiger les conditions
générales de vente »
RELATION FILIÈRE
La consommation à domicile de viande por-
cine et de charcuteries est en diminution. La
FICT pense que la filière porcine doit doréna-
vant raisonner en flux tiré et non plus en flux
poussé. Le consommateur doit être au cœur
de la définition de la stratégie de l’interpro-
fession afin de répondre aux grands enjeux
sociétaux (goût, qualité, nutrition-santé, envi-
ronnement, bien-être animal).
01 I ÉCONOMIE
Force est de constater que l’interprofession
porcine INAPORC n’a pas considéré ces faits
et a négligé les demandes qualitatives de
la FICT. Le Comité Directeur de la FICT du
19 janvier 2016 a donc décidé :
• De quitter INAPORC et en conséquence
de ne pas signer les accords Interprofes-
sionnels annuels concernant notamment le
financement d’INAPORC et donc d’inter-
rompre la collecte de la CV INAPORC de
4 € / tonne
• De poursuivre par mesure de solidarité
avec les éleveurs, la collecte de la CSE
(équarrissage) de 18 € / tonne
Mise à disposition d’outils d’aide à la dé-
cision
CONTRACTUALISATION
DANS LA FILIÈRE PORCINE
La FICT souhaite avancer sur le sujet de la
contractualisation et poursuit sa réflexion
avec les différents maillons de la filière afin de
mener une expérimentation (éleveurs-abat-
teurs-transformateurs).
• Sondage : pour mieux avancer sur le sujet,
la FICT a souhaité faire un point précis sur les
attentes, les expérimentations individuelles,
mais aussi les obstacles rencontrés par les en-
treprises, afin de pouvoir dresser un bilan de
la contractualisation pour le secteur.
07
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016
08
ÉCONOMIE
AFFAIRES ÉCONOMIQUES
• 23 novembre 2016  : réunion d’échanges
avec les transformateurs et les abatteurs
intéressés par la démarche pour échanger
sur le sujet et envisager une expérimenta-
tion avec les différents maillons de la filière
porcine.
ANALYSE FINANCIÈRE DU SECTEUR
3 novembre 2016  : présentation par la
Banque de France des résultats financiers
du secteur de la charcuterie-salaison. Même
s’ils sont en légère amélioration sur l’en-
semble de l’année 2015, 20% d’entreprises
ont un résultat déficitaire. Les résultats 2016
devraient être particulièrement mauvais,
compte tenu des hausses des prix des pièces
de découpe entrant dans la fabrication des
produits de charcuteries.
Les résultats de l’étude Banque de France
sont particulièrement utiles puisqu’ils ali-
mentent le rapport de l’Observatoire des Prix
et des Marges.
Pour rappel, la FICT est membre du Comité
de Pilotage de l’Observatoire et participe
aux groupes de travail « filière porcine » afin
d’assurer la cohérence des informations diffu-
sées et veiller à la bonne représentativité du
secteur.
ANALYSE DE LA CONSOMMATION DE
CHARCUTERIES-SALAISONS
• 6 avril 2016  : présentation par l’Institut
Kantar WorldPanel de l’évolution de la
consommation à domicile des produits de
charcuteries-salaisons aux rayons Coupe et
Libre-service (poids variable et poids fixe)
• 22 septembre 2016  : présentation par
Opened Mind des tendances et évolu-
tions du marché des charcuteries-salai-
sons en France
• 14 décembre 2016  : présentation par
le CREDOC des comportements et ten-
dances alimentaires
VALORISATION DU RAYON CHARCUTERIE
COUPE DES GMS
Il est important de recréer un pôle d’attrac-
tion fort autour des produits frais, redonner
de la noblesse aux métiers de bouche. La
FICT poursuit sa réflexion pour tenter de
construire avec une enseigne un plan de for-
mation « charcuteries » (connaissance des
produits, découpe, présentation…).
01 I ÉCONOMIE

09
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

10

ÉCONOMIE

RELATIONS SOCIALES ET FORMATION

DES EMPLOIS QUI SE STABILISENT … de suppléance, …) doivent être étudiées.

• Après une perte de 3  000 emplois entre
2011 et 2013, les effectifs se sont stabili-
sés pour atteindre 33 500 salariés (CDI) fin
RAPPORT 2015. Le cumul des emplois à durée indé-
SOCIAL TIÈRES
Ce changement est un enjeu stratégique
en termes d’évolution des emplois et des
compétences.
• Le 19 janvier 2017, les partenaires sociaux

terminée, à durée déterminée et des intéri- de la filière alimentaire ont conclu un nou-
RIES CHARCU
INDUST
ES 2015
DONNÉES SOCIAL

maires est estimé à 36 300 personnes dans
les industries charcutières.
• Selon le dernier Rapport Social FICT édi-
té, le nombre d’emplois à temps complet
a progressé de 0,9% en 2015. La part des
Techniciens-Agents de Maîtrise et des
Cadres est passée en 5 ans de 25,5% à 29%
des effectifs de la profession.
Compte perso
nnel de
prévention de
la Pénibilité
vel accord relatif au Contrat de génération,
l’accord précédent étant arrivé à son terme.
Un bilan des engagements pour la période
2013-2016 sur l’emploi des jeunes et l’em-
ploi des seniors sera examiné fin 2017.
GUIDE SUR LA PÉNIBILITÉ
• En vue de la mise en œuvre du compte
personnel sur la pénibilité, un guide pra-

ET RÉPARTIS PRINCIPALEMENT tique Pénibilité a été élaboré en 2016 par

C3P

Guide pratique
à l’attention des

SUR 3 REGIONS un groupe de travail de l’ANIA, auquel la

entreprises
du secteur alime
ntaire
OCTOBRE 2016

• Les effectifs de la profession sont concen-
trés majoritairement dans les Pays de
Contributeurs
: la Loire, la Bretagne et l’Auvergne Rhô-
ne-Alpes. Une étude en cours est réalisée
par OBSERVIA (observatoire sur les métiers
dans les IAA) sur les recrutements en 2016
et les perspectives d’emplois en 2017.
• La grande diversité des métiers des entre-
LA GESTION PRÉVISIONNELLE
DES EMPLOIS ET COMPÉTENCES
• Les défis de demain (intensification de la
concurrence, accélération des mutations
économiques, impact du numérique, etc.)
nécessitent une réorganisation dans les en-
treprises. De nouvelles formes d’engage-
ment dans le travail (travail en équipes suc-
cessives, horaires individualisés, équipes
FICT a participé. Il est le résultat d’un tra-
vail collectif qui vise à aider toutes les en-
treprises à mieux appréhender ce dispositif
complexe. Parallèlement, l’ANIA et la FICT
poursuivent leurs démarches visant à obte-
nir l’abrogation de cette obligation par les
pouvoirs publics.
prises du secteur alimentaire n’a pas per-
mis de construire un référentiel homologué
par secteur, au risque d’une insécurité juri-
dique pour des entreprises ayant des profils
d’emplois distincts de ceux contenus dans
un référentiel commun.

PROTECTION SOCIALE DES SALARIÉS
• Afin de proroger le régime collectif de pré-
voyance, une Convention a été signée le
8 avril 2016 entre les partenaires sociaux
des industries charcutières et l’AG2R PRE-
VOYANCE, qui précise les engagements
de l’assureur vis-à-vis des entreprises adhé-
rentes du régime collectif de la profession.
• Elle introduit également une charte de
qualité de service en matière de gestion,
notamment sur les délais de règlement. Un
compte de résultats détaillé par garantie
est présenté chaque année à la commission
paritaire dans le but de veiller à l’équilibre
financier du régime collectif.
LE DÉVELOPPEMENT
DES COMPÉTENCES DES SALARIÉS
• Les effets du contrat de filière alimentaire
et les allègements de charges par les
pouvoirs publics ont permis de créer des
conditions favorables à l’emploi et à la for-
mation des salariés. Des partenariats ont
été développés avec l’Etat, Pôle emploi, le
FPSPP, les Conseils régionaux. Des plans
d’action territoriaux ont été élaborés en
2016 avec OPCALIM afin de favoriser l’in-
sertion professionnelle des jeunes dans les
entreprises.
• Plus de 11 000 salariés ont bénéficié dans
la profession d’une formation prise en
charge dans le plan de formation, soit une
progression de 20%.
• Environ 190 jeunes sont recrutés chaque
année en contrat de professionnalisation.
• 250 apprentis sont accueillis chaque an-
née dans les entreprises, dont la moitié par
l’intermédiaire des IFRIA (Institut de Forma-
tion Régional des Industries Alimentaires),
créés dans le secteur alimentaire. Une po-
litique d’apprentissage et notamment un
partenariat avec plus de 80 CFA sont mis
en œuvre depuis 2016.
UNE CHARTE DE COOPÉRATION
POUR AIDER AU DÉVELOPPEMENT
DE LA FORMATION
• Confrontées à des problèmes structurels
(évolution des modes de consommation,
dégradation économique...), les organisa-
tions professionnelles du secteur alimen-
taire, dont la FICT, ont signé en avril 2017
01 I ÉCONOMIE
avec l’Etat une nouvelle « Charte nationale
de coopération pour le soutien et l’accom-
pagnement des entreprises alimentaires et
de leurs salariés ».
• La sécurisation des parcours profession-
nels, le renforcement des compétences,
la transformation numérique, l’amélio-
ration des conditions de travail, sont les
principaux thèmes de développement de
la formation prévus avec les pouvoirs pu-
blics pour deux ans.
• Sont ciblées prioritairement les entreprises
de moins de 250 salariés et des actions de
formation en faveur des publics fragiles. Un
comité de pilotage auquel participe la FICT
suit les engagements financiers. Un budget
de 3 M€ est alloué par l’Etat sur la période INDUSTRIES
CHARCUTIÈ
2017-2018.
BROCHURE
N° 3125
RES
- IDCC 1586
UNE MODIFICATION DES RÈGLES
D’ORGANISATION DES JURYS CQP
• Fin 2015, OPCALIM a souhaité harmoniser
les procédures de délivrance des Certifi- 062016-51862.indd
2
cats de Qualification Professionnelle (CQP)
16/06/2016
16:58
en vigueur dans certains secteurs, dont la
FICT. Cette mesure a impliqué une adap-
tation des règles applicables depuis 15 ans
dans les industries charcutières.
• Un protocole d’accord a été signé le
27 septembre 2016 par la FICT et 4 Syn-
dicats (CFDT, CFTC, CGC et FO). Il pré-
voit la création d’un comité d’évaluation en
remplacement des jurys CQP ainsi que la
désignation d’un professionnel externe sé-
lectionné sur une liste par OPCALIM. Les
résultats seront dorénavant validés par un
jury paritaire national.
11 000
Des partenariats ont été salariés
ont bénéficié
développés avec l’Etat, d’une formation
Pôle emploi, le FPSPP,
les Conseils régionaux.
250 190
jeunes recrutés
apprentis en contrat de
en entreprise professionnalisation
11
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016
12
ÉCONOMIE
AFFAIRES PUBLIQUES
Une communication institutionnelle dense.
N O S O B J E C T I F S
Sensibiliser les médias, parlementaires et
leaders d’opinion
Faire partager les positions de la FICT
L’année 2016 a été marquée par de nombreuses
crises (filière porcine, négociations commer-
ciales, attaques médiatiques contre le secteur).
La FICT a adopté une posture proactive afin de
faire entendre la voix de la profession et faire
connaître sa situation, ses actions et ses enga-
gements.
MOBILISATION DES POUVOIRS
PUBLICS ET DES MÉDIAS de fonds porcin le 26 février 2016 « Lettre
La situation économique des entreprises de
charcuteries-salaisons :
• Communiqué de presse le 19 février 2016
« Des négociations commerciales à haut
risque en charcuterie-salaison »
• Communiqué de presse le 21 juin 2016
« Malgré l’attachement des Français, l’indus-
trie des charcuteries-salaisons française reste
sous tension »
• Communiqué de pressele 25 juillet 2016 :
« La Charcuterie-Salaison fragilisée par une
nouvelle flambée des cours des matières pre-
mières »
• Communiqué de presse le 15 décembre
2016 : « L’industrie de la charcuterie-salaison
sous pression »
LE SAVOIR-FAIRE CHARCUTIER FRANÇAIS :
• Communiqué de presse le 28 juin 2016 :
« Nouvelle édition du Code des Usages de
la Charcuterie les professionnels défendent le
Savoir-Faire Charcutier Français »
L’ECO-CONCEPTION DES EMBALLAGES :
• Communiqué de presse le 2 décembre 2016 :
« Eco-conception des emballages : la
FICT dynamise la démarche de la filière
charcuterie »
LA FILIÈRE PORCINE FRANÇAISE :
• Communiqué de presse le 22 janvier 2016
« La FICT quitte INAPORC et en appelle à
choisir des stratégies gagnantes pour la fi-
lière porcine française »
• Communiqué de presse concernant le projet
ouverte au sujet de la filière porcine »
• Communiqué de presse le 11 mai 2016
« La charcuterie-salaison ne pourra être seule
à collecter les cotisations »
LUTTE CONTRE LES ACCIDENTS
DU TRAVAIL ET LES TROUBLES
MUSCULO-SQUELETTIQUES :
• Communiqué de presse le 3 février 2016
« La FICT poursuit une politique de lutte
contre les TMS et AT et réalise un guide pré-
vention »
 01 I ÉCONOMIE

JANVIER FÉVRIER FÉVRIER

22 03 19
COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE ERGONOMIE COMMUNIQUÉ DE PRESSE NÉGOCIATIONS
SORTIE D’INAPORC « La FICT poursuit une politique de lutte « Des négociations commerciales à haut risque
« La FICT quitte INAPORC et en appelle à contre les TMS et AT et réalise un guide en charcuterie-salaison »
choisir des stratégies gagnantes pour la filière prévention »
porcine française »

FÉVRIER MAI JUIN

26 11 21
COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE BILAN 2015
LETTRE OUVERTE FONDS PORCINS ET PERSPECTIVES
« Lettre ouverte au sujet de la filière porcine » « La charcuterie-salaison ne pourra être « Malgré l’attachement des Français ,
seule à collecter les cotisations » l’industrie des charcuteries-salaisons
française reste sous tension »

JUIN JUILLET DÉCEMBRE

28 25 02
COMMUNIQUÉ DE PRESSE NOUVELLE COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE EMBALLAGE
ÉDITION DU CODE DES USAGES MATIÈRES PREMIÈRES « Eco-conception des emballages : la FICT
« Nouvelle édition du Code des Usages « La Charcuterie-Salaison fragilisée par une dynamise la démarche de la filière charcuterie »
de la Charcuterie les professionnels défendent nouvelle flambée des cours des matières
le Savoir-Faire Charcutier Français » premières »

2016
DÉCEMBRE
AFFAIRES PUBLIQUES

15
COMMUNIQUÉ DE PRESSE NEGOCIATIONS
« L’industrie de la charcuterie-salaison

13
sous pression »
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

14

ÉCONOMIE

AFFAIRES PUBLIQUES

La FICT organise également tout au long de
l’année des rencontres personnalisées avec la
presse nationale et régionale pour évoquer
l’actualité des entreprises charcutières.
DES ÉVÈNEMENTS FÉDÉRATEURS
Conférence de presse économique annuelle et
34e Assises de la FICT à la Maison de l’Amérique
Latine le 21 juin 2016. Robert Volut a présenté
les résultats économiques du secteur lors d’un
petit déjeuner réunissant les principaux supports
de la presse économique de l’alimentaire. Puis,
les Assises se sont tenues autour de la théma-
tique « Fiers d’être Charcutiers-Salaisonniers ».
103 personnes étaient présentes (entreprises ad-
hérentes, partenaires, journalistes…).
LE CERCLE DES AMIS
DE LA CHARCUTERIE :
Il se réunit 2 fois par an, en partenariat avec le
Club de la Table Française, et permet de présen-
ter le savoir-faire charcutier français ainsi que les
engagements de la profession.
CIBLE : sénateurs, députés, journalistes, en-
treprises adhérentes, partenaires
Cercle du 19 octobre 2016 – Quai d’Orsay mi-
nistère des Affaires Etrangères
THÈME : « Les charcuteries françaises
en marche vers le grand export ».
Sous le patronage et
en présence de M.
Matthias Fekl secré-
taire d’État chargé du
Commerce extérieur,
de la promotion du
Tourisme et des Français de l’étranger. 130 per-
sonnes présentes.La FICT a distribué un dos-
sier de presse sur les charcuteries françaises et
l’export (enjeux, perspectives, point à date par
pays, etc.) puis a diffusé ce document via emai-
ling à la presse professionnelle et aux contacts
agroalimentaires.
CIBLE  : sénateurs, députés, journalistes,
entreprises adhérentes, partenaires export

Cercle du 24 mai 2016 - Châteauform

THÈME : les charcuteries-salaisons
sous signes officiels de qualité / 71
personnes présentes. Un livret sur les charcute-
G RAPHIQ
ÉO U
CATION G

EP
ROTÉGÉ
DI

•
• IN

TERIES-SALAISO
NS Les charcuteries françaises
ries sous signes officiels de qualité a été distribué
LES CHARCU
SOUS SIGNES
OFFICIELS DE
QUALITÉ
en marche
vers le grand export
le jour de l’évènement, puis diffusé via emailing
à la presse professionnelle et aux contacts insti-
tutionnels du secteur agroalimentaire
: ADM
Création et impression

Mai 2016

0,1,67Ê5(
'(6$))$,5(6e75$1*Ê5(6
(7'8'e9(/233(0(17
,17(51$7,21$/

0,1,67Ê5(
'(/¶$*5,&8/785(
'(/¶$*52$/,0(17$,5(
(7'(/$)25Ç7
 01 I ÉCONOMIE

COMPTE TWITTER DE LA FICT

e p ar o le
Prise ditale
@FICT_FRANCE
La FICT est présente sur les réseaux sociaux via

dig
son compte Twitter, qu’elle alimente chaque jour
avec du contenu sur l’actualité de la profession.
Elle dialogue également avec les prescripteurs
(journalistes, leaders d’opinion, institutionnels) et
s’affirme comme source d’information majeure.
>> 718 abonnés
>> 70 tweets postés par mois en moyenne

GESTION DE CRISE NITRITES SUITE

AUX ATTAQUES CONTRE LA PROFESSION
La FICT a fait le choix d’une stratégie de com-
70
TWEETS
718
ABONNÉS
munication qualitative et pédagogique basée PAR MOIS
sur des rendez-vous avec les journalistes cœur
de cible (presse grand public, professionnelle
et spécialisée), pour apporter une information
scientifique complète, témoigner des engage-
ments et présenter les études et actions en cours
menées par la profession sur les nitrites (RIA,
Linéaires, FemmeActuelle.fr, Mon Quotidien,
60 Millions de Consommateurs…).

Dans ce cadre, la FICT a également déployé

un système de prise de parole digital via son
compte Twitter.

Pour informer les consommateurs, la FICT a dé-

veloppé un site internet et a réalisé une vidéo
pédagogique « Pourquoi utilise-t-on des nitrites
dans les charcuteries ? » (2 700 vues)
Vidéo pédagogique Compte Twitter FICT

15
La vidéo est disponible sur le site Internet www.info-nitrites.fr
qui a pour vocation de faire un point sur l’utilisation des nitrites dans les charcuteries.
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

16

QUALITÉ
ET SANTÉ

Depuis 1969, le Code des Usages de la Char-
cuterie, de la Salaison et des Conserves de
Viandes définit plus de 450 produits. Il liste
les conditions nécessaires à l’utilisation des
dénominations de vente traditionnelles de la
Charcuterie. Il contribue ainsi au maintien de
notre patrimoine de spécialités et à la qualité
de nos produits.
N O T R E O B J E C T I F
Dans la version 2016 du Code des Usages,
le niveau de qualité (y compris nutritionnelle)
des produits est amélioré. Pas moins de trois
versions sont disponibles dont un site inter-
net pour une meilleure ergonomie et une
plus large diffusion. Deux réunions (juillet et
octobre) ont permis aux opérateurs d’obte-
nir des précisions quant au contenu de ce
nouveau Code.
02 I QUALITÉ ET SANTÉ
QUALITÉ
ET SANTÉ
DÉFENDRE LE SAVOIR-FAIRE
CHARCUTIER FRANÇAIS
N O S A C T I O N S
RÉVISION DU CODE DES USAGES
Après accord de la Confédération Nationale des
Charcutiers Traiteurs, le projet a été soumis à
l’avis de la DGCCRF. Des échanges réguliers
avec cette dernière ont permis d’obtenir en
avril 2016 la validation du Code des Usages.
Les principales mises à jour de l’édition 2016
sont les suivantes :
• Déploiement des mentions de qualité supé-
rieure à la majorité des dénominations et
règles d’emploi plus exigeantes et harmo-
nisées, prenant en compte des spécificités
technologiques,
• Intégration de limites nutritionnelles en
matière grasse et sodium pour plusieurs fa-
milles de produits,
• Restriction de l’emploi d’additifs pour les
s
produits supérieurs ainsi que des nitrites Code de la
de
Usages rie
et nitrates pour toutes les dénominations
e
charcut
(-20% par rapport aux limites réglemen-
taires)
• Évolutions réglementaires sur l’étiquetage
et les additifs : application du règlement
INCO (règlement UE n°1169/2011) concer-
nant l’information des consommateurs et PRODUITS
application du règlement CE n°1333/2008
sur les conditions d’emploi des additifs 450
avec obligations différentes selon la classifi-
cation en produits à base de viandes…
17
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016
18
AVENIR DU CODE DES USAGES
Une réflexion sur l’avenir du Code des Usages
a été engagée dès octobre afin de prendre
en compte l’évolution des pratiques et des
attentes des consommateurs.
CONCOURS UTILISATION DE LA MARQUE
GÉNÉRAL SAVOIR-FAIRE CHARCUTIER
AGRICOLE FRANÇAIS®
11
Cette marque collective a été dévelop-
pée par la FICT. Elle permet aux entreprises
d’identifier pour les clients les produits issus
des meilleures pratiques professionnelles.
SIGNES OFFICIELS DE QUALITÉ
26
La FICT souhaite accompagner le
développement de signes de qualité
pour protéger certaines spécialités de charcu-
teries. La FICT est intervenue auprès du minis-
tère et de l’INAO afin que soit clarifié le champ
de la protection des produits IGP contre les
contresfaçons. Une protection qui irait au-de-
26
là de la volonté de l’organisme chargé de la
défense et de la gestion du produit sous IGP
sera contre-productif pour la reconnaissance
des produits de qualité comme l’a montré le
malheureux épisode « knack d’Alsace ». Nous
avons également posé avec nos adhérents
corses et le ministère les bases pour la mise
place des IGP « île de beauté »
IGP CHARCUTERIES
G RAPHI
ÉO Q
ICATION G
UE
PROTÉGÉ
ND
E
•I •
La liste des indications géographiques
protégées (IGP) de charcuteries françaises s’allonge.
A ce jour 15 IGP et 3 AOP charcuteries
ont une protection européenne.
En 2016, la France comble une partie
de son retard en enregistrant 2 IGP :
> Saucisson sec d’Auvergne
>Jambon d’Auvergne
CGA 2016 (Concours Général
Agricole) Le concours charcuterie
reste tant par son nombre de produits que de
candidats, le CGA à plus forte croissance. Nos
adhérents représentent cette année encore la
majeure partie des récompenses. 63 mé-
dailles ont été décernées aux professionnels
63
membres de la FICT dont 11 médailles d’or ;
26 médailles d’argent ; 26 médailles de
bronze.
MÉDAILLES ONT ÉTÉ DÉCERNÉES

La révision de la réglementation européenne
relative à l’information du consommateur,
publiée fin 2011, est applicable pour la plu-
part de ses points fin 2014. Dès sa publica-
tion, la FICT a contribué à l’interprétation de
ce texte afin de le rendre applicable pour
nos entreprises. L’étiquetage nutritionnel
est devenu obligatoire fin 2016. Si des dis-
positions européennes sur l’indication de
l’origine restent à préciser, un décret français
rend obligatoire l’origine des viandes de nos
produits.
N O T R E O B J E C T I F
Simplifier et prévenir les distorsions de
concurrence.
N O S A C T I O N S
MISE EN ŒUVRE DE L’EXPÉRIMENTATION
SUR LA MENTION DE L’ORIGINE
DE L’INGRÉDIENT VIANDE :
La FICT regrette que l’étiquetage de l’indi-
cation de l’origine des viandes entrant dans
la composition des charcuteries et salaisons
soit devenue obligatoire pour les seuls opé-
rateurs français. Toutefois, nous avons obtenu
des assouplissements dans l’application de ce
décret (délais, prévention du gaspillage, mo-
dalités et mention d’étiquetage, possibilité
de faire référence à l’origine UE des viandes)
et souhaitons contribuer au rapport final qui
conclura cette expérimentation.
02 I QUALITÉ ET SANTÉ
QUALITÉ
ET SANTÉ
INFORMER LE CONSOMMATEUR
Concernant le règlement qui encadrera l’in-
dication « volontaire » de l’origine des pro-
duits, la FICT souhaite rendre son application
plus simple et exclure de son champ les noms
de spécialités intégrant une mention géogra-
phique (ex-andouillette de Troyes) ainsi que
les marques au motif qu’elles n’étaient pas
considérées jusqu’alors comme des mentions
d’origine.
AUTRES POINTS DE VIGILANCE DE LA
FICT SUR L’APPLICATION DU RÈGLEMENT
INFORMATION DU CONSOMMATEUR :
Le Code des Usages 2016 prévoyait la possi-
bilité de mentionner « à consommer rapide-
ment après ouverture ». La DGCCRF souhaite
revenir sur cette possibilité.
Afin de mieux préparer la mise en place de
cette réglementation par la profession, la
FICT a :
• Mis à la disposition de ses adhérents des
synthèses réglementaires qui les ont infor-
més étape par étape de l’évolution de ces
interprétations,
• Organisé une journée technique à laquelle
la DGCCRF a participé, huit mois avant la
mise en œuvre de l’obligation de l’étique-
tage nutritionnel (avril 2016), répondu à de
nombreuses questions de ses adhérents sur
l’étiquetage.
19
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

20

LOGOS NUTRITIONNELS
La loi française prévoit la possibilité de pré-
coniser l’utilisation d’un système unique de

e r
logo qui serait censé aider le consommateur

A id
dans son choix. La FICT a contribué à l’expé-
rimentation qui s’est tenue entre septembre

teur
et décembre et dont l’exploitation a duré

o m ma
jusqu’en mars 2017.

s
le con n choix
La FICT est opposée à tout système synthé-
tique qui porterait un jugement de valeur sur

s s o
les caractéristiques nutritionnelles d’un ali-

d a n
ment sans tenir compte de la portion consom-
mée ni de l’environnement de consommation
(composants du repas) (ex-système SENS ou
système nutriscore). Elle s’assurera de la lé-
galité des systèmes retenus avant tout prise
de position.

La FICT promeut un modèle alimentaire basé
sur l’équilibre et la diversité nutritionnels par
la prise en compte de bons comportements
alimentaires (portion, fréquence, associations
d’aliments et moments de consommation) et
l’amélioration de l’offre alimentaire sur les as-
pects nutritionnels (démarches collectives de
réductions sel et gras).
N O T R E O B J E C T I F
Améliorer, renforcer l’information et la
qualité nutritionnelles des produits pour
les consommateurs.
N O S A C T I O N S
ACCORDS COLLECTIFS DU PROGRAMME
NATIONAL DE L’ALIMENTATION (PNA)
La FICT et la CNCT réaffirment, à travers la
signature des nouveaux accords collectifs, le
4 mai 2015, par le ministre de l’Agriculture,
leur volonté de poursuivre dans cette voie.
Ces accords engagent la profession sur deux
aspects fondamentaux :
VOLET NUTRITIONNEL
Les accords collectifs complètent les dé-
marches d’engagement volontaire de progrès
nutritionnels menées par la FICT (Charte PNNS
signée en 2010) et par la CNCT (recommanda-
tion en 2004) et concernent douze nouvelles
catégories de produits de charcuterie.*
*jambons cuits choix, épaules cuites, chipolatas, saucisses de Toulouse, merguez, saucisses fumées, andouillettes, boudins noirs,
saucissons cuits, cervelas, pâtés en croûte, pâtés/mousse de canard
02 I QUALITÉ ET SANTÉ
QUALITÉ
ET SANTÉ
REPONDRE AUX ATTENTES SOCIETALES
Cette démarche vise ainsi à diminuer de 5% le
taux moyen de sel et de gras, par la fixation de
seuils maximaux avec, comme objectif final, une
éventuelle inscription dans le Code des Usages
de la charcuterie. Leur respect permettra d’écar-
ter les 15% en volume de produits les plus gras
ou les plus salés.
VOLET DURABILITÉ
La filière s’engage en termes de :
• Développement social vis-à-vis des salariés.
L’amélioration des conditions de travail et la
prévention des risques professionnels sont
l’une des priorités de la profession depuis plus
de 10 ans. L’objectif ainsi fixé est de réduire
encore plus le nombre d’accidents du travail
et des troubles musculo squelettiques : réduc-
tion de 10% de l’indice de fréquence accident
du travail avec arrêt afin de poursuivre les ef-
forts de prévention accomplis au cours de ces
dernières années, diminution d’au moins 5%
du nombre de salariés victimes de TMS).
• Développement environnemental, avec pour
objectif de diminuer les déchets d’emballages
industriels et commerciaux à la source et en
fin de vie. Ces engagements permettront aux
entreprises de mieux valoriser leurs déchets
d’emballage, d’en réduire la quantité et d’in-
tégrer l’écoconception dans le développe-
ment produit, permettant ainsi à l’ensemble
de la profession d’améliorer la gestion de
ses déchets et de diminuer les coûts qui en
résultent. Des formations à l’écoconception
des emballages seront organisées.
21
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

22

QUALITÉ
ET SANTÉ

REPONDRE AUX ATTENTES SOCIETALES

b j e c t
O nutritioni f INFORMATION NUTRITIONNELLE
Etiquetage nutritionnel  : afin d’aider les en-
treprises à la mise en place de l’étiquetage
nutritionnel (obligation fin 2016), une journée
technique a été organisée à leur attention
(avril 2016).

-5
Afin d’aider les consommateurs à com-
prendre l’étiquetage nutritionnel qui est
devenu obligatoire en décembre 2016, une

%
vidéo a été préparée avec l’ANIA.

le taux de sel
et de gras dans
les produits

-5
Ob j e ct i f %

TMS Nombre de salariés

victimes de TMS

La sécurité des aliments reste la priorité ab-
solue de la profession.
N O S O B J E C T I F S
Encourager les démarches volontaires
telles que les chartes sécurité des ali-
ments (rillettes, saucissons secs, etc.) et
les « démarches de progrès »,
Faire profiter le plus grand nombre d’en-
treprises y compris les TPE de l’évolution
des connaissances,
Amplifier et adapter les outils existants à
l’évolution des connaissances,
Mieux maîtriser les composés néoformés
indésirables
N O S A C T I O N S
Trois outils de progrès ont été créés par la
FICT :
UNE DÉMARCHE DE PROGRÈS POUR LES
CHARCUTERIES CUITES afin d’aider des
entreprises multiprodui à mettre en place les
bonnes pratiques d’hygiène.
LA CHARTE SÉCURITÉ DES RILLETTES
existe depuis le début 2000. Elle fournit aux
professionnels des axes d’amélioration. Les
signataires de la charte représentent 83%
de la production. 15 ans plus tard, on peut
constater avec satisfaction que cette dé-
marche a été efficace :
02 I QUALITÉ ET SANTÉ
QUALITÉ
ET SANTÉ
PROMOUVOIR LES OUTILS DE PROGRES
POUR RENFORCER LA SECURITE SANITAIRE
DES ALIMENTS
• Aucune crise sanitaire n’est survenue
depuis la mise en place de la charte,
• Les audits de l’IFIP ont permis de faire
progresser les pratiques des fabricants
signataires de la charte,
• La fréquence de présence de listeria mo-
nocytogenes sur produits finis a diminué
d’un facteur 100.
LA CHARTE DE SÉCURITÉ DES SAUCIS-
SONS SECS, lancée en 2013 aide les entre-
prises à maîtriser, en particulier, le danger
Salmonella enterica. Elle permet d’accompa-
gner les professionnels dans la maîtrise des
approvisionnements et des procédés avec
des actions de progrès concrètes.
Ses points principaux concernent : la qualité
des matières premières, le procédé de fabri-
cation et la mise en œuvre par les entreprises
des conclusions d’un audit annuel de progrès
réalisé par un expert hygiéniste de l’IFIP. Les
signataires représentent maintenant plus de
60% de la production.
UNE MISE À JOUR DU GUIDE DE BONNES
PRATIQUES D’HYGIÈNE (GBPH)
Notre Guide de Bonnes Pratiques d’Hygiène
et de mise en place de la démarche HACCP a
été le premier à être validé, en 2009, par les
pouvoirs publics. Pour tenir compte de l’évo-
lution des connaissances, sa mise à jour a été
initiée avec l’IFIP en 2014 et s’est poursuivie
sur 2016.
23
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

24

QUALITÉ
ET SANTÉ

PROMOUVOIR LES OUTILS DE PROGRES

POUR RENFORCER LA SECURITE SANITAIRE
DES ALIMENTS

Ch ar t e s ACTIONS CONTRE LES SALMONELLES

La FICT a continué de mobiliser les maillons
de la filière porcine ainsi que la DGAL pour

é c ur ité
qu’ils contribuent à la maîtrise du risque Sal-

de s
monella enterica, dans une approche filière.

DÉMARCHE DE PROGRÈS SUR L’UTILISA-

TION DES NITRITES
La FICT a demandé à l’IFIP et à l’ADIV de
développer des modules de diagnostic pour
aider les entreprises à diminuer l’utilisation

SONS des nitrites en gardant un niveau de sécurité

TES SAUCIS
RILLET SECS
sanitaire au moins équivalent.

2013
2000 DEPUIS
DEPUIS
DÉVELOPPEMENT
DURABLE

25
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

26

DÉVELOPPEMENT
DURABLE

ACCOMPAGNER LES ENTREPRISES,

LES AIDER À AMÉLIORER
LEUR IMPACT ENVIRONNEMENTAL

N O S O B J E C T I F S • Les meilleures techniques disponibles sont

Permettre aux entreprises d’améliorer
leur impact environnement.
N O S A C T I O N S
La FICT mène des actions pour favoriser :
LA RÉDUCTION À LA SOURCE DES DÉ-
CHETS D’EMBALLAGES : la FICT et éco-em-
ballages ont publié le Guide de l’écoconcep-
tion des emballages, spécifiquement adapté
à notre secteur. Il présente l’ensemble des
étapes de l’écoconception à travers des
exemples d’entreprises de la profession.
Pour que le consommateur soit mieux infor-
mé du DEVENIR DE SES DÉCHETS D’EM-
BALLAGES, LA FICT continue de promouvoir
l’info tri POINT VERT.
LA PRÉPARATION DES ENTREPRISES À DE
FUTURES ÉCHÉANCES :
• Le tri des plastiques souples : les bar-
quettes et les films plastique étaient des-
tinés à la valorisation énergétique ou à la
décharge. Ils seront progressivement triés
en vue de leur recyclage. Pour ce faire, il
faut être capable de les trier et de mettre
en place des filières dédiées. La FICT et 5
de ses adhérents (Brocéliande, Fleury-Mi-
chon, Herta, Prunier, Ranou) participent à
une étude visant à trouver, avec les fournis-
seurs, des emballages recyclables.
déterminées, pour les plus grosses entre-
prises (plus de 75 t/j), par secteur d’activi-
té au niveau européen. Les performances
environnementales de chaque process, ap-
pelées Valeurs Limites d’Emission (VLE), ne
pourront en aucun cas être dépassées. Un
premier projet a été publié. La FICT a trans-
mis ses remarques au ministère et au niveau
européen.
RÉSIDUS DE SUBSTANCES DANGEREUSES
DANS L’EAU (RSDE)  : cette problématique
qui avait préoccupé nos entreprises il y a
3 ans revient sur le devant de la scène. La po-
sition de la FICT reste inchangée :
• les entreprises ne peuvent pas être tenues
pour responsables des teneurs en subs-
tances dans les intrants (eaux, viandes, etc.),
• que l’entreprise soit raccordée ou dotée
d’une station de traitement des eaux au-
tonome, les performances de l’entreprise
doit être jugée au lieu de rejet dans le mi-
lieu naturel,
• Seules les entreprises les plus contributrices
(en flux) aux rejets devraient être concernées.
 03 I DÉVELOPPEMENT DURABLE

LA RÉDUCTION À LA SOURCE PROMOUVOIR L’INFO TRI

DES DÉCHETS D’EMBALLAGES POINT VERT

leS enJeuX Du SeCteur

PourQuoi ?

CharCuterie-SalaiSonS-traiteurS
PourQuoi
les emballages représentatifs : 3 fonctions essentielles :
éCO-CONCEVOIr
sEs EMBALLAGEs
Barquettes et
films en plastique

• Protéger les produits frais et sensibles

Pots en • Garantir la traçabilité des produits

plastique
• Partager l’information avec le consommateur

Boîtes
de conserve

Matières utilisées1 : répartition des types d’emballages1 :

5% 4%
2 ACIEr
29 % 20 % 8%
--- DE
3 PLAsTIqUE •Barquette
Film plastique
• plastique
CArTON
34 % •Opercule barquette
•Fermeture
•Couvercle
•Autres types
d’emballages

l’eXtenSion DeS
ConSiGneS De tri : Fin 2016, 25 % de la population française pourra
une oCCaSion uniQue trier tous les emballages en plastique en plus des
autres, l’objectif étant que cette extension des
Aujourd’hui, parmi les emballages en plastique consignes concerne 100 % des Français d’ici 2022.
seuls les bouteilles et flacons sont à déposer dans
le bac de tri. Grace à l’extension des consignes de Demain les emballages du secteur, s’ils
tri lancée par Eco-Emballages depuis 2011, tous sont éco-conçus, pourront être recyclés !
les emballages en plastique (films, barquettes, pots, Saisissez l’occasion et engagez des actions
etc.) seront bientôt à trier, et donc recyclables ou d’éco-conception pour être prêt le moment
valorisables ! venu !

1 source éco-emballages

PourQuoi
éCo-ConCeVoir SeS eMBallaGeS ?

MaîtriSer VoS CoûtS

• Réduire la consommation de matières

tenDanCe De FonD premières et d’énergie.

• Optimiser la logistique.

la ConSoMM’aCtion
• Diminuer le poids des matériaux.
Agir sur ces 3 points permettra de diminuer
votre contribution à Eco-Emballages.

Le tri : un geste éco-citoyen TRIER LA PLUPART DE VOS

DÉCHETS POUR LE RECYCLAGE 82

qui a du sensTRIER LA PLUPART DE VOS

82
DÉCHETS POUR LE RECYCLAGE
Réduire votre
consommation d’énergie 58 Se DiFFérenCier et reSter
Réduire votre
53
ConCurrentiel
Réduire votre

87 %
consommation d’énergie 58 consommation d’eau
Réduire votre des Français déclarent Réduire votre consommation
consommation d’eau 53 43 Moteur d’innovation, l’éco-conception permettra
trier régulièrement3. de produits jetables
Réduire votre consommation
d’offrir un nouveau regard sur vos produits.

éCo-ConCePtion
Le tri des emballages
de produits jetables 43 le quotidien des
est entré dans Choix d’un mode de déplacement
ménageant l’environnement 27
habitants etdefavorise
Choix d’un mode déplacement
ménageant l’environnement
l’adoption
27 de comportements
Choix de produits
éco-responsables. Choix de produits 86 % des Français considèrent ou denrées locaux 25
l’emballageou denrées unelocauxfois jeté 25 comme une véritable res- Achat de produits écologiques qui Le geste de tri
sourceAchat de produits écologiques qui 20 er
pour fabriquer un20autre produit.4 est Le 1 geste ValoriSer Votre ProDuit
portent un label environnemental
portent un label environnemental
Moins utiliser votre voiture 19 éco-citoyen cité par

BénéFiCeS De
Moins utiliser votre voiture 19
Les Français ! L’emballage est un signal fort de l’engage-
Parmi les Aucune
éléments suivants, lequel est le plus
ment de votre marque. Cette démarche

DeS eMBallaGeS
de celles-ci 4
important pour vous lors de l’achat d’un produit de
Aucune de celles-ci 4
consommation courante ?5
permettra de valoriser les actions environne-
mentales mises en place par votre entreprise. l’éCo-
1er CHOIX 2e CHOIX
ConCePtion
Prix 47 36
Des consommateurs 1er CHOIX 2e CHOIX renDre FièreS
sensibles aux emballages VoS éQuiPeS et Faire

L E G U ID E
Composition 20 36 47 Prix 36
Provenance 9 37
éco-conçus...
20
raYonner l’entrePriSe9
47 36
Composition
Prix 36
Marque 8 31 • 86 % des entreprises trouvent que l’éco-
Label
Provenance 9 37 20
Composition 36 conception permet d’améliorer son image.
9 29 Prix 47 36
de qualité
Praticité
2 24
77Marque
% des 8 Français 31
apprécient
9 les efforts
37 réalisésProvenance • 46 % d’entre elles observent une fierté
de l’emballage
en matière d’amélioration Marquede la recyclabilité
31 des em- accrue 20 employés.
Composition des 36
Recyclabilité
de l’emballage 2 22 ballages
Label
9
de qualité depuis 5 ans par29 les8 entreprises. 5
Label
de qualité 9 29 Provenance 9 37
Bonne protection
du produit 1 21 Après Praticitéles caractéristiques
de l’emballage 2 24 inhérentes au produit, le 1er CHOIX

réDuire leS iMPaCtS enVironneMentauX

Praticité
Poids / volume premier
Recyclabilité
de l’emballage 2
critère environnemental de24l’emballage mis 2e CHOIX
Marque 8 31
1 20 2 le consommateur
22 Recyclabilité 2 est la Se ConForMer
de l’emballage
en avant par
de l’emballage
de l’emballage 22recyclabilité et la Label
de qualité 9 29
L’emballage
1 18 taille
Bonne de
protection l’emballage.
à la PraticitéréGleMentation
contient du recyclé
du produit 1 21 Bonne protection 1 21 1er CHOIX

et oPtiMiSer SeS CoûtS

du produit
0% 20% 40% 60%
Poids / volume Poids / volume de l’emballage 2 24
de l’emballage 1 20 de l’emballage 1 20 Le code de l’environnement10 impose aux
Recyclabilité
2e CHOIX

L’emballage
L’emballage
1 18 de l’emballage : 2
entreprises 22
contient du recyclé 1 18 contient du recyclé

0% 20% 40% 60% 80% 100% •Bonne

unduprotection
effort
produit sur
1 la 21
réduction à la source des
… séduits et fidélisés 0% 20% 40% 60% emballages
Poids / volume
de l’emballage 1 20
• la limitation des métaux lourds
Le respect de l’environnement et la durabilité de l’emballage incitent à l’achat et au ré-achat futur du même L’emballage
•contient
undutravail
recyclé 1sur 18
l’utilisation d’emballages
produit.6 Cela permet également de créer une relation privilégiée avec le consommateur (proximité, transpa- valorisables en fin de vie
rence…), alors plus confiant vis-à-vis de l’entreprise.7 0% 20% 40% 60% 80% 100%
• des actions qui entrent dans une démarche
30 % des consommateurs refusent d’acheter des produits de marques dont ils désapprouvent le compor-
d’éco-conception.
tement environnemental8. Les marques non engagées dans une démarche responsable peuvent souffrir d’une
image dégradée.
3 ipsos pour eco-emballages (2014) « le geste de tri des emballages en France » / 4 ipsos pour alliance carton nature (septembre 2015) « les français, l’environnement et l’emballage des produits

27
alimentaires : production, achat, recyclage » / 5 ipsos pour eco-emballages (2014) « étude de perception de l’emballage et d’image du recyclé. » / 6 Forum entreprises (2013) « le packaging : le secret
pour emballer les consommateurs » / 7 ethicity (2014) « réussir avec un marketing responsable » / 8 ethicity (2014) « 10 ans d’évolution de la consommation responsable : la révolution durable »

9 esdes, pôle eco-conception, institut de développement de produit du québec (2014) « la profitabilité de l’éco-conception : une analyse économique » / 10 article r543-44 du code de l’environnement
6

7
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

28

RECHERCHE
ET INNOVATION
 04 I RECHERCHE ET INNOVATION

RECHERCHE
ET INNOVATION

PREPARER L’AVENIR ET AMELIORER

LES CONNAISSANCES COLLECTIVES :
VEILLE & RECHERCHE SCIENTIFIQUE

Pour progresser, une industrie doit améliorer Il se réunit tous les deux mois afin de :
ses connaissances scientifiques.
Pour cela, la FICT dispose :
• d’APRIVIS (Association pour la Promo-
tion de la Recherche et l’Innovation dans
la transformation des Viandes et la Salai-
son) créée en 2006,
• d’un Comité Scientifique, et contribue IDENTIFIER ET ANALYSER
au Fonds Français Alimentation et Santé les publications d’intérêt pour la profession
(FFAS). (nutrition, toxicologie, sécurité sanitaire
des aliments, pathologie en lien avec
N O S O B J E C T I F S l’alimentation, etc.),

Étudier en amont pour prévenir les risques

éventuels
Orienter des recherches vers nos préoc-
cupations
Permettre aux PME de prendre en compte ALERTER
les évolutions de la recherche de l’émergence de nouveaux dangers,

N O S A C T I O N S

LE COMITÉ SCIENTIFIQUE 
Il s’agit d’une cellule de veille et d’alerte qui
identifie les sujets émergents que la profes- RENFORCER
sion doit prendre en compte, et contribue les liens avec d’autres scientifiques,
à évaluer le risque qu’ils représentent. Il est
composé d’experts médicaux et scientifiques,
d’experts de l’IFIP et de la FICT.

VALIDER
les actions, documents et les positions FICT.

29
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

30

RECHERCHE
ET INNOVATION

PREPARER L’AVENIR ET AMELIORER

LES CONNAISSANCES COLLECTIVES :
VEILLE & RECHERCHE SCIENTIFIQUE

APRIVIS
FAM
INRA L’Association conduit, finance des études
IFIP collectives dont elle diffuse les résultats. Elle
identifie avec ses membres les sujets d’in-
térêt, recherche les partenaires les mieux à
même de mener à bien les travaux et à les

IS
restituer sous une forme adaptée aux PME

APR IV qui constituent notre profession.

Elle contribue tant à des recherches appli-
quées commandées spécialement par la
profession qu’à des études plus fondamen-
tales. Afin de faciliter la prise en compte des
résultats par les entreprises, la publication du
ADIV rapport complet de l’étude est systématique-
ENV ANR ment accompagnée d’un résumé.
Pour mener à bien ses études APRIVIS s’ap-
puie sur les compétences de l’IFIP et de
l’ADIV souvent complétées par des orga-
nismes de recherche tels INRA, les ENV, etc.
et sur des financements complémentaires de
FAM, ANR, ...

études recherches
fondamentales appliquées
Les études menées par APRIVIS
en 2016 concernent :
FACILITER

• Inactivation thermique de listeria dans les ril-

lettes,
• Impact des nitrites fermentaires ou ajoutés sur les
microorganismes sporulés,
• Comparaison des conséquences toxicologiques
de l’utilisation de nitrites d’origine chimique ou
fermentaire
• Comment se passer des phosphates pour fabri-
la prise en compte des résultats quer des saucisses de Strasbourg ?
par les entreprises
 05 I INTERNATIONAL / EXPORT

INTERNATIONAL
/ EXPORT

31
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016
32
INTERNATIONAL
/ EXPORT
FÉDÉRER ET FAVORISER
LES EXPORTATIONS FRANÇAISES
EN EUROPE ET À L’INTERNATIONAL
L’enjeu des exportations reste un enjeu ma-
jeur pour le secteur des charcuteries-salai-
sons.
N O S O B J E C T I F S
Reconquérir des parts de marché dans
l’Union européenne (Belgique, Allemagne)
Maintenir les relations et développer les
ventes au Royaume-Uni
Créer des relations commerciales durables
avec les pays tiers en particulier avec nos
pays cibles (Chine, Taïwan, Japon, Corée,
Vietnam, USA, Canada,...)
Rencontrer des politiques et les autorités
concernées tant en France qu’à l’étranger.
LEVÉE DES BARRIERES
T E C H N I C O - S A N I TA I R E S
PARTICIPATION DE ROBERT VOLUT AU
VOYAGE DE LA DÉLÉGATION EURO-
PÉENNE CHINE/JAPON
Robert VOLUT, en qualité de Président de la
FICT et du CLITRAVI, a participé à la délégation
européenne de Phil HOGAN, Commissaire eu-
ropéen à l’Agriculture et au développement ru-
ral, entre le 16 et le 22 avril en Chine (Shanghaï
et Pékin) et au Japon (Tokyo).
Ce voyage avait, entre autres, pour objectif de
faciliter les échanges et les accords entre les en-
treprises européennes, japonaises et chinoises
actives dans le secteur agroalimentaire.
CHINE
En 2016, 4 entreprises agréées à ce
jour et 2 autres en cours.
La FICT poursuit son action auprès
des autorités concernées afin de fluidifier le
marché et activer l’agrément d’autres entre-
prises.
SIAL Shanghai mai 2016 : la FICT, avec le sou-
tien financier de FranceAgrimer, a organisé
un séminaire technique sur le Salon avec la
présence des entreprises agréées, d’impor-
tateurs locaux ainsi qu’une conférence de
presse.
TAÏWAN
A ce jour, 30 entreprises de charcu-
terie porc et volaille sont éligibles à
l’export vers Taïwan.
En 2016, les négociations se sont poursuivies.
La FICT a demandé compte tenu de l’embar-
go sur le bœuf la possibilité de faire des fabri-
cations dédiées Taïwan pour les entreprises
multi-espèce.
En juin 2016, la FICT était présente sur le
Taipei Food Show avec une délégation de 6
entreprises. La FICT, grâce au soutien finan-
cier de FranceAgrimer, a organisé un sémi-
naire technique à Taipei, avec la participation
d’officiels français et taïwanais et d’acteurs
locaux. Des visites de points de vente et des
RDV BtoB ont permis aux entreprises d’avoir
plus de visibilité, de comprendre le marché et
de développer des contacts.
.

CORÉE DU SUD
A ce jour, 6 entreprises de charcu-
terie sont agréées Corée. D’autres
dossiers d’agrément sont en cours
d’instruction.
En juin 2016, La FICT, avec le soutien finan-
cier de FranceAgriMer, a organisé un sémi-
naire technique à Seoul, avec la participation
d’officiels français et coréens ainsi que d’ac-
teurs locaux.
Cet évènement «  charcuterie française  » a
été labellisé dans le cadre de l’année croisée
France-Corée.
6 entreprises ont fait partie de la délégation.
Des rencontres BtoB et des visites de points
de vente ont été organisées.
Cette mission nous a permis de rencontrer la
délégation UE ainsi que les autorités coréennes
(MFDS et MAFRA) et de solutionner un point
bloquant concernant le certificat sanitaire.
JAPON
11 entreprises sont agréées Japon
et ce chiffre pourrait doubler dans
quelques mois suite à la négociation
d’un assouplissement du protocole Japon.
En décembre 2016, une mission des autori-
tés japonaises s’est déroulée avec un double
objectif agréé des entreprises de charcuterie
cuite et la négociation d’un protocole pro-
duction dédiée Japon.
05 I INTERNATIONAL / EXPORT
USA
La FICT poursuit sa mission d’accom-
pagnement pour faciliter l’agrément
des entreprises. A ce jour, 4 entreprises
sont agréées. 6 autres sont engagées dans la
démarche. En 2016, 3 préaudits ont été organi-
sés avec FranceAgrimer.
RUSSIE
Pas d’avancée majeure en 2016,
compte tenu du contexte politico-sani-
taire UE/Russie qui perdure. La FICT a
contribué dans le cadre de l’AFRAA à la mise à
jour de la Note de service de la DGAL afin de te-
nir compte la règlementation Union douanière.
OUVERTURE DE MARCHÉ
MEXIQUE
Suite à la mission d’agrément des au-
torités mexicaines de juin 2015 et à la
publication d’un rapport critique, les
actions correctives ont été transmises en dé-
cembre 2016. Des avancées sont attendues au
1er semestre 2017.
AUSTRALIE
Une mission d’inspection système s’est
déroulée en décembre 2016. Les au-
torités australiennes ont demandé des
éléments complémentaires sur les process jam-
bon sec et saucisson sec. Le rapport d’inspec-
tion est en cours.
33
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016
34
INTERNATIONAL
/ EXPORT
FÉDÉRER ET FAVORISER
LES EXPORTATIONS FRANÇAISES
EN EUROPE ET À L’INTERNATIONAL
A U T R E S A C T I O N S
C O L L E C T I V E S
MISE À JOUR DU KIT RÉGLEMENTAIRE
EXPORT
La FICT a réalisé, avec le soutien de Fran-
ceAgrimer, un kit réglementaire export (fiches
pays) pour aider les entreprises dans leurs dé-
marches à l’export sur 7 pays : Chine, Japon,
Hong-Kong, Singapour, Corée du Sud, Etats-
Unis et Arabie Saoudite. Ces fiches ont été
mises à jour et sont disponibles sur le site de
la FICT dans la partie export.
EN 2016, LA FICT, AVEC LE SOUTIEN
FINANCIER DE FRANCEAGRIMER, A FAIT
RÉALISER 2 ÉTUDES DE POTENTIELS
CHINE ET CANADA PAR BUSINESS-
FRANCE.
Ces études sont indispensables pour mener
une stratégie export efficace. Ces études por-
taient en particulier sur :
• Les habitudes alimentaires des consomma-
teurs
• Les canaux de distribution afin de mieux
comprendre la commercialisation des char-
cuteries
• Les produits de charcuterie-salaison pré-
sents sur le marché (offre locale, charcute-
rie importée)
• Analyse SWOT et recommandations aux
entreprises françaises pour se développer
sur le marché ciblé.
• SIAL PARIS du 16 au 21 octobre 2016
La FICT a organisé un cocktail charcuterie sur
le stand de l’ANIA. Une trentaine d’entre-
prises de charcuterie/salaison était présente
sur ce grand salon.
• Les charcuteries françaises en marche
vers le Grand Export au Quai d’Orsay
La FICT, avec le parrainage du ministre des
affaires étrangères, Jean-Marc AYRAULT, a ré-
alisé un évènement autour des « charcuteries
à l’international » qui a réuni 150 personnes
au Quai d’Orsay le 19 octobre 2016.
La FICT met à la disposition de ses adhérents
un service d’appui export. Toutes les informa-
tions sont disponibles sur le site internet de
la FICT :
• Fiches pays 
• Etudes de marché 
• Salons internationaux en lien avec la pro-
fession 
• Statistiques du commerce extérieur 
• Dispositifs d’appui à l’export (publics ou
privés)  
• Exigences sanitaires 
• Certificats sanitaires 
 05 I INTERNATIONAL / EXPORT

bre 2016
Le 26 Décem

Le 16 décembre
2016
6
re 201
Décemb
Le 26 REGLEMEN
COMPOSITION TATION
& ETIQUETAG
ON E
ENTATI E PRODUITS DE
REGLEM & ETIQUETAG CHARCUTERIE REGI
ITION MES
COMPOS RCUTER
IE D’IM Le 16
LA CHA AUX ETATS PROD PORT Décemb
TS DE UNIS AT re 201
N
PRODUI
UITS ION 6
TATIO TAGE DE CH
EMEN IQUE AU JAP
ON ARCU
REGL ON & ET RIE AUX TERI
OSITI CUTE La réglementa ETAT E
COMP CHAR
tion
Etats-Unis présentesur les produits de la charcuterie S UN
DE LA tant à l’exportatio des particularités pour aux IS
UITS
n qu’à l’importatio les formalités
exposées synthétique n Celles-ci vous La régl
PROD PON uterie aider. ment dans cette sont
fiche pour vous aux ementat

AU JA
Etats-Un
de la charc des form ion sur
produits présente ées alité is les
Celles-c s tant présente produits
[FICT] – ETUDE PERSONNALISÉE n sur les Japon Pour ce qui concerne
entatio tage) au sont
expos
les points liés cette i vou à l’exp des part de la
La réglem et étique vous aider. sur la compositio fiche s sont icula charcute
pour vous n et l’étiquetage à la réglementation orta
exposée tion
(compositions qui reporter à la , vous devez pour rités
pou rie
cette fiche fiche traitant vous Pour vous qu’à
aider. s synthéti l’imp r les
particularité ent dans formalités aspects. spécifiquement
tiquem liés aux vous de ces réglemece qui quemenortation
synthé points devez ntation concerne t dan
cuterie rne les , vous ent de ces Vous pouvez
vous s
char qui conce d’importation également contacter spéc dev ez sur les
de la des Pour ce et spécifiquem tous complémen ifiqueme vou la com poin
uits n présente sées rtation traitant nos services
nt de s reporterposition ts liés
prod d’expo à la fiche supplémentaires ts d’informations ou pour
sur les e) au Japo
expo
reporter pour Vous
précisions ces aspe à la et l’étiqueta à la
ntation etag sont aider. ts. nos services ions tous pouvez éga cts. fiche ge,
vous aspec cter
eme étiqu vous pour ment conta ns ou
précis Contact supp complém lement traitant
La régl tion et qui fiche alités z égale d’informatio Eldjida Makhloufi lémenta ents cont
posi cette form d’inform acter nos
(com
icula
rités dans liés auxdevez
vous Vous pouve léments - e.makhlouf i@fict.fr ires
services
part ent ts ces comp Contact ation
uem tous s ou
synthétiq les poin , vous ement de mentaires Eldjida précisionpour
erne supplé tif
conc d’importation ifiqu indica Makhlou s
ce qui et ant
spéc
hloufi@
fict.fr ées à titre fi - e.m
Pour ation fiche trait pour Contact - e.mak ent sont donn on. akhlouf
d’export à la services isions Makhloufi Avertissem ion. Elles réglementati
nos Eldjida date d’édit ution de la i@fict.f
rter acter préc
es à la que sur
repo
cts. nt cont ations
ou de l’évol osition r
aspe sont validé fonctf ion la comp
égaleme d’inform uniquéesd’évoluerindi en cati
Les r tant surrétation. AVERTISSEMENT
pouvez ents comm
ptibles s à titre informatio
rtateu
aise interpns communiquées
Vous complém ations r par l'impo
es Les inform et sont suscet donnée ion.faire vérifie indicatif
de mauv et sont susceptib sont validées
tous ntair ntatles risques à la date d’édition.
léme fict.fr nt
s son les cas
régleme pour éviter
. Elle latous
tous
sur les d’évoluer
en fonction de Elles sont données
supp que
akhloufi@ eme itionz dansde Vous devrez Les l’évolution de à
la réglementation.titre
d’éd etage ition
fi - e.m Avertiss Vous devre
date olution l'étiqu la compos dans tous les
cas titre informa
Contact Makhlou dée s à la de l’év sur n. sur l'étiqueta les faire indicat tions
vérifier par l'importat
Eldjida t vali tion r tant rprétatio ge pour éviter if ettant commu
eur
fonc tous risques
de mauvaise sontsur
es son r en ateu la composit
niquée ion AVERTI
port vaise inte Vou

ÉTUDE PERSONNALISÉE
iqué d’évolue suscep s son que
mun s par l'im mau s dev interpréta tion.
tible SSE
MENT
com tible fier de rez s d’év t validée
tions t suscep véri
risques que dans tou
informa et son les faire oluer s
Les les cas r évit
er tous sur l'éti s les en fonà la date
quetag cas les d’éd

FICT
tous pou ction
dans quetage e pou fair de l’év ition. Elle
devrez l'éti / 39 r évit e vérifier olution s son
Vous Page 1 er tou
s risq
par l'im de la t don
Page 1 / 61 ues portate réglem nées à
és de ur entatio
réserv mau tan
Tous droits vaise t sur la

Charcuterie
n.
Tous droits réservés. interpré com
tation. position
1 / 39
Page

Évolutions et tendance
rvés
s rése
droit Page
Tous 1 /
29
Tous
droits
réservés
.

Service Agrotech, Business France

Mai 2016

bre 2016
Le 31 décem
WWW.BUSINESSFRANCE.FR
31 décembre
2016

6
re 201
BUSINESS FRANCE © 2016 emb
31 déc

TATION Le 31
D’IMPOR décem
REGIME TERIE REGLEMENTA bre 201

CHARCU COMPOSITIO TION RÉG 6

TS DE N & ETIQUETAGE IM
ES D
N PRODUI ’IMPO
TATIO TAGE NE PRODUITS DE PRO RTATI
EMEN IQUE EN CHI CHAR
REGL ON & ET CUTERIE DUIT ON
ITI RI E S DE
COMP
OS CUTE EN COREE DU CHA
CHAR SUD
EN C RCU
UITS
DE TER
PROD INE ortation
en Chine OREE IE
DU SU
ées
EN CH formalités d’exportatio
n et d’imp sont expos
qui vous vous aider. La réglementa
ularitésLes pour
des partic cette fiche
présente ment dans
tion
liés à et
la
(composition sur les produits
et étiquetage
) en Corée
de charcuterie Les D
présente des
particularités du Sud Coréeformalité
synthétique les points synthétiquement qui vous sont sont du Sud
s d’ex
concerne (composition dans cette fiche exposées portatio
erie laitiers er à la fiche pré
charcut des ce qui sur produits pour vous aider. pour exposées sentent n
uits
de ente es Pour
entation vous report ts. Pour ce qui concerne vous
aider. synthétique des et d’impor
prod Chine prés exposé réglem vous devez ces aspec d’exportation les points liés par tation
sur en tage), ent de pour et d’importati aux formalités Pour men ticularités
ntation uetage) s sont aider. étique t spécifiquem services ions reporter à la on, vous devez t dan qui en
vous cter nos fiche traitant vous réglem ce qui s cett vous
régleme et étiq vou pour traitan précis aspects. spécifiquement
La e fiche alités ment conta ns ou de ces étiquetaentation concern e fich
position qui form z égale d’informatio e
ÉTUDE PERSONNALISÉE s cett s e les
(com rités t dan liés aux ez
vou Vous pouve léments traitant ge), vousur produit
particulaquemen points vous dev de ces tous
comp Vous pouvez
également contacter spécifiq s dev s laiti points
synt héti e les n, ent taires tous compléme nos services uem ez ers liés
concern portatiospécifiq
uem supplémen ent de vous rep (compos à la
supplémentaires nts d’informations ou pour Vous
FEDERATION FRANÇAISE DES INDUSTRIELS CHARCUTIERS ET TRAITEURS ce qui n et d’imtraitant r ct @fict.fr précisions tous pouvez éga ces asp orter ition
Pour atio fiche ices
pou
Conta e.makhloufi complém lem ects. à la et
port s loufi sup fiche
d’ex à la serv ision a Makh Contact : plém ent

LE MARCHE DE LA CHARCUTERIE AU
rter er nos préc Eldjid ées à titre
enta ents d’in contacter
repo . contact ns ou Eldjida Makhloufi ires
aspects sont donn ation.
- e.makhlou
form nos serv
lement ormatio MENT Elles Contact ations
éga TISSE ion. réglefi@fict.fr
ment ices
d’inf AVER
date d’édit ution de la
ou
pouvez ents
Eldjida précisipour

CANADA Vous complém es à laf l’évol que sur Makhlou

sont validé cati ion de osition ons
tous enta
ires
uniquéesd’évo
indifonct
titre en la comp fi - e.m
i@fict.fr s sà
luer tant sur
rtateur interprétation.
akhlouf
supplém comm
ations susceptible
akhlouf donnée ion. l'impo i@fict.f
fi - e.m Les inform T sont sont ntat vérifier par de mauvaise r
Contact Makhlou MEN tif et . Elles régleme
indica les faire tousque sur
risques
RTISSE ition de la
les cas
Eldjida AVE d’éd
date l’év dans ion
tous position
pour éviter Les informatio
à la devre z olut etage com
dées Vous de l'étiqu sur la n. ns communiq Avertissement
t vali fonc
tion ur tant rprétatio et sont susceptibuées sont validées à la
Pôle AGROTECH, Filières et Produits Alimentaires mun
es son
iqué d’évolue
s
r en portate e inte
par l'im mauvais
Vous devrez
dans tous les
les d’évoluer
cas les faire
date d’édition.
en fonction de Elles
Les de sont données à titre indicatif
l’évolution
com tible vérifier ues de l'étiquetage vérifier par l'importat informa la réglement
4 mai 2016 info rma tions t suscep
et son les faire tous risq
er
pour éviter tous
risques eur
ind tant sur tion
de mauvaiseicatif la
ation.
compositi
s com on que sur
Les les cas r évit et son
interpréta tion. mu
tous pou t sus niquée
dans quetage Vous
ceptibl s son Avertis
devrez l'éti devrez
Vou s dan es d’é t validé sement
s voluer es
er en sur l'ét tous les en fonà la date
tibles d’évolu iqueta cas les
Page 1
/ 19 sont suscep ction d’é
n. Elles ge pou fair de l’évdition. Elle
s à la date
d’éditio r évi e vérifie olution s son
validée r enentation locale Page 1 / 58 ter tou r par t don
es sont s risq l'im de la
de laolue réglem nées à
réglem
communiqué les d’év
l’évolution ues portate
informationsfonction desusceptib de ma ur entatio titre
uvaisetant sur
és. Les Tous droits réservés.
1 / 70
réserv sont n.
interpr la com
. Elles Tous
Tous droits
Page d’éditionle
droits
la date n loca
rése
rvés. étation positio
ées à mentatio Les info . n que
valid rmation
es sont la régle
iqué lution de s com Pag e1/
commun de l’évo fonctionmun
iqué 24
mationsfonction de l’évoes sont valid
Les infor
rvés. lution
de la
ées à
s rése la date
régleme
droit d’éd
Tous ntation ition.
locale Elles son
t susc
eptibles
d’évolue
r en

SE DÉVELOPPER
SUR LES MARCHÉS CIBLÉS

2016
OCTOBRE OCTOBRE

16
21 19
SIAL PARIS LES CHARCUTERIES FRANÇAISES EN
La FICT a organisé un cocktail charcuterie MARCHE VERS LE GRAND EXPORT
sur le stand de l’ANIA. au Quai d’Orsay

Rejoignez le Club Export de la FICT !

Le Club est un lieu de créativité et d’échanges. Il rassemble une vingtaine d’entreprises et permet de coordonner les actions
collectives prioritaires visant à faciliter l’exportation des produits de charcuterie-salaison sur les marchés étrangers.

35
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

36

COMMUNICATION
 06 I COMMUNICATION

COMMUNICATION

COMMUNIQUER SUR LES PRODUITS,

LES ENTREPRISES, LES MÉTIERS AUPRÈS
DU GRAND PUBLIC ET DES PRESCRIPTEURS

N O T R E O B J E C T I F 1er mars 2016 = 63 médailles ont été dé-

cernées aux professionnels membres de la
Valoriser l’image des charcuteries auprès du FICT, dont :
grand public à travers les relais d’opinion et > 11 médailles d’or
prescripteurs > 26 médailles d’argent
> 26 médailles de bronze

1/3 3/3
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
JANVIER 2016
c’est qui le patron ? Des savoir-faire
L’épopée de Saint Antoine commence en 265. d’excellence bien gardes

A la Saint Antoine, le 17 janvier

Il a 18 ans lorsqu’il part mener une vie d’ermite dans Les savoir-faire - pour la plupart séculaires - exercés
dans les productions de charcuteries sont

CIBLE :
le désert du Sinaï. Il laisse son confort, ses richesses,
ses terres et tous ses biens qu’il offre aux pauvres officialisés dans le Code des Usages de la
avant d’entreprendre une quête de pureté, seul Charcuterie. Sa première version date de 1968.

on celebre les charcuteries ! dans un paysage de sable. Il est souvent représenté
en compagnie d’un cochon, orné d’une clochette
autour du cou. L’empreinte de l’animal le suivra
2016 longtemps. Antoine fascine jusqu’au Moyen-Age
surtout en Isère, où des moines médecins
s’établissent. Ils créent l’Ordre des Hospitaliers
Modifié à plusieurs reprises, il s’est adapté aux
nouvelles pratiques et réglementations. Il recense
et codifie les usages de toute une profession,
artisans et industriels qui permettent d’assurer la
pérennité des dénominations traditionnelles tout
en laissant le champ libre au talent du charcutier.

Presse grand public, économique et profes-

de Saint-Antoine, se baptisent les Antonins.
Remontons le temps, de quelques siecles. Là-bas, pour soigner leurs patients, pauvres, ils
Un 17 janvier. Les campagnes sont en ébullition.
préparent de la nourriture avec de la viande de
cochon. Au fil du temps, la tradition de célébrer
Saint-Antoine s’est répandue, en France,
en Espagne, en Italie.
Autrefois, c’est à la mi-janvier aux alentours de la Saint-Antoine que l’on tuait le cochon.
Dans les fermes, à l’aube, l’activité démarrait en trombe. Immédiatement, le cochon tué,
Le Code des Usages est la charte qualité de
préservation du savoir-faire des charcutiers
français et de défense des produits que le
consommateur apprécie. Il concourt à maintenir
un niveau élevé de qualité, y compris dorénavant
de qualité nutritionnelle.

sionnelle
la viande était préparée, salée puis mise à sécher. Tout ce que l’animal pouvait offrir
passait les mois suivants, ainsi, métamorphosé en saucissons, jambons, saucisses sèches, etc.
La charcuterie est historiquement née d’une nécessité de conserver les viandes et cela grâce
à un ingrédient, dès lors très précieux, le sel. Tour de France
Le réfrigérateur a été inventé depuis et les progrès des savoir-faire des charcutiers
ont permis la diminution du taux de sel et les charcuteries sont toujours là !
des charcuteries
Andouille de Guémené ou de Vire, Andouillette de

En 2016, les charcuteries sont toujours sur nos tables Troyes, Boudin blanc de Rethel, Bougnette de Castres,
et dans nos assiettes, en toutes saisons. Chichon, Fuseau Lorrain, Knack d’Alsace, les Grillons
Selon le récent sondage OpinionWay pour la Fédération Française des Industriels, charentais, Jambon de Bayonne, Jambon de Paris,
Charcutiers, Traiteurs, Transformateurs de Viandes (FICT)1 : Lonzon, Lucullus de Valenciennes, Pâté breton,

Deux ateliers culinaires menés par Chef Da-

Rillettes du Mans, Rosette de Lyon,
Saucisse de Toulouse, les Tripoux d’Auvergne…
95% 91%
ils les aiment

96% 61% En France, chaque région a ses spécialités. Au total, le

des Français estiment que la patrimoine charcutier français dénombre plus de 400
en apéritif en entrée charcuterie est avant tout
des Français déclarent synonyme de terroir et représente
spécialités. Ces produits sont le reflet d’un terroir, son
consommer des charcuteries. Dignes représentantes du repas à la histoire, son climat, ils en ont les accents.

mien (750g)
française et de ses pratiques
conviviales.
le savoir-faire des régions. Dans toutes les régions, les professionnels de la
charcuterie contribuent chaque jour à perpétuer la
diversité et la tradition de ce patrimoine.

Le lien qui uni les Français aux
charcuteries est très fort :
près de s’insurgeraient de la disparition des www.infocharcuteries.fr
9/10 (87%)
charcuteries si cela devait arriver.
Les Français sont attachés à leurs plaisirs
Crédits photo : infocharcuteries. - Une réalisation Shokola.com

gastronomiques, c’est cela aussi bien manger.

Une tradition toujours dans le coup

Des Ateliers riches en rencontres et en

Contacts Presse :
VFC Relations Publics
Au fil du temps, elles ont évolué, se sont adaptées aux époques et aux modes de vie. Et si la charcuterie est toujours sur nos tables, outre ses valeurs
intemporelles, c’est aussi grâce à la créativité des fabricants.
Elodie Lambert
Volaille, bœuf, gibier, l’éventail de viandes s’est élargi, la diversité de produits aussi. 01 47 57 05 74
Avec plus de 400 spécialités, les charcuteries françaises sont l’expression d’un art de vivre elambert@vfcrp.fr
plusieurs fois centenaire, prônant le plaisir, le partage et la convivialité. Elles témoignent d’une Les modes de vie évoluent : on se remet à la cuisine et la charcuterie se fait aussi
créativité et d’un savoir-faire d’excellence. ingrédient (dés, râpé de jambon, etc.), on érige l’apéritif-dînatoire en art de Sophie Ionascu
vivre et les saucissons se font mini, on revisite des recettes traditionnelles et on 01 47 57 85 62

échanges, placés sous le signe de la convivialité

Ce savoir-faire a traversé les siècles, et aujourd’hui, le monde entier nous l’envie ! craque pour les rillettes de poulet qui ont très vite trouvé leur place ! sionascu@vfcrp.fr

(1) L’étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1010 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 et plus. L’échantillon a été interrogé par
questionnaire auto-administré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview). Les interviews ont été réalisées les 9 et 10 décembre 2015.

et de la créativité
COMMUNICATION GRAND PUBLIC - DES
ÉVÉNEMENTS LEVIERS QUI RELANCENT OBJECTIFS :
L’INTÉRÊT DES MEDIA POUR LES CHARCU- • Cuisiner des recettes de saison équilibrées,
TERIES intégrant des charcuteries.
• Construire et étendre la communauté du
• Communiqué de presse Saint-Antoine : le « Bien-Manger »
17 janvier on fête les charcuteries !
Le 17 Janvier 2016, la FICT dévoile les ré- ACTIONS :
sultats d’un sondage sur l’attachement des • Une quinzaine de blogueurs, répartis en
Français aux Charcuteries, à l’occasion de la équipe, s’affrontent dans la bonne humeur.
Saint-Antoine, patron des Charcuteries • Un atelier riche en rencontres et en échanges,
placé sous le signe de la convivialité et de
CIBLE : la créativité, mené par Chef Damien de
Presse grand public (généraliste, féminine,…) 750 grammes (2ème site culinaire français en
et presse professionnelle termes d’audience).
• Une expérience partagée par les blogueurs
•
Communiqué de presse Résultats du sur les réseaux sociaux avec leurs lecteurs.
Concours Général Agricole

37
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

38

COMMUNICATION

COMMUNIQUER SUR LES PRODUITS,

LES ENTREPRISES, LES MÉTIERS AUPRÈS
DU GRAND PUBLIC ET DES PRESCRIPTEURS

CIBLE : > Le dossier de presse est accompagné de

Blogueurs culinaires trois nouvelles recettes dans l’air du temps,
Dossier de Presse
été 2016

réalisées par Frédérick Grasser Hermé

INTRODUCTION
Atelier n°1 : 1 juin 2016 organisé à l’atelier
er

Le retour aux sources

nouvelle généra
tion.
…
Quelques chiffres1
750G, animé par Chef Damien DIFFUSION :
THÈME : 500 contacts via e-mailing
Depuis toujours
plébiscitées par
cherche de produits les Français
savoureux, faciles à la re-
propices aux à déguster et
95%
moments
incarnent parfaitem de convivialité, les charcuter
ent la tendance ies
aux fondamen actuelle du retour
taux et aux
mode vie contempo choses simples,
rain totalemen dans un
t assumé.

« Les Charcuteries, vedettes de nos pi- Mise en ligne également sur le site de la FICT
Cette nouvelle
tendance remet
ments de consomma
barbecue et le
à l’honneur trois
tion incontour mo-
nables : l’apéritif,
2/3
français
pique-nique. le

Ainsi l’art de
vivre à la française
ressemble, ses se redessine.
usages évoluent Il nous
avec nous, sans
se trahir. Et les
65%

que-niques et apéritifs »  
charcuteries jamais
sont toujours
là !
Issues d’un savoir-fair
e ancestral, elles
réinventer et suivre les modes n’hésitent pas
à se
aussi, évoluent de consomma
! Ainsi, dés ou tion qui, eux
râpés de jambon
désormais les
cuisiniers en
saucissons secs
herbe ou les jeunes
en format pocket
côtoient
: pour les
87%

CIBLE :
tous les goûts pressés… il y

16 blogueurs influents présents

! en a pour

La trêve estivale
est l’occasion
riche patrimoin idéale de célébrer
e des charcuter le
région a ses vedettes, ies françaises
au total 450 . Chaque
à nous. La découvert spécialités s’offrent
e de ces produits 1 Selon le récent
faire n’a pas de et de leurs savoir- sondage
Traiteurs, TransformateursOpinionWay réalisé pour
limite ! sentatif de la population de Viandes (FICT), réalisé
la Fédération Française

Presse écrite grand public nationale et régio-

auprès d’un échantillondes Industriels, Charcutiers,

Produits mis en avant : élaboration d’une ter-

auto-administré française âgée
en ligne sur système de 18 et plus. de 1010 personnes,
réalisées les 9 et L’échantillon a repré-
10 décembre 2015 CAWI (Computer Assisted Web été interrogé par questionnaire
Interview). Les
interviews ont
été

rine / jambon cuit / jambon sec. nale : quotidiens, presse féminine, cuisine,
Dossier de Presse
été 2016

90 parutions sur les réseaux sociaux, articles gastronomie, médias digitaux (rubriques
sur les blogs. conso et culinaire), etc.

3 recettes orig
inales by FeGH
par Frédérick
e. Grasser Hermé
!
pour la FICT, autour
Atelier n°2 : 29 novembre 2016 organisé à
l’atelier 750G, animé par Chef Damien
inédites élaborées le pique-nique.
presse, 3 créations le barbecue et
ce dossier de estivales : l’apéritif,
Retrouvez dans de 3 tendances

THÈME :
« Charcuteries & Fêtes de fin d’année »
16 blogueurs influents présents
2
Produits mis en avant : élaboration d’un pâté
en croûte / boudins blanc et noir / ballotines
et galantines.
Dossier de Presse
été 2016 99 parutions sur les réseaux sociaux, articles
Les saucissons
secs sur les blogs.
Le saucisson :
Le saucisson sec
fait partie d’un
l’icône
dont les étrangers folklore “typically
s’imaginent qu’il French”
Ils n’ont pas est notre quotidien. A l’apéritif, on
tout à fait tort. est fidèle au
Le saucisson craque aussi saucisson traditionn
notre patrimoin symbole de pour ses variantes el et on
e culinaire est multipliées ces succulentes, qui
de Proust, un comme la madeleine dernières années se sont
rappel de souvenirs : aux noix, au
par excellenc joyeux et de aux herbes, au fromage,
e. Ni tout à fait partage piment d’Espelett

• Dossier de presse digital « Les tendances

autre… le même, ni tout etc. e, au sel de Guérande
à fait un ,
A travers les siècles, Le saucisson incarne
la recette a peu la praticité par
c’est un mélange varié : un saucisson, se le procurer excellence : on
de viandes maigres entier, déjà tranché peut
plus ou moins et de gras hachés mini. D’ailleurs, et même en
finement, salés, parmi les dernières format
chés. mis sous boyaux, dra le bocal à tendances, on
puis sé- mini saucissons retien-
ses hôtes. que l’on offre désormais
Du jésus à la rosette à
de
d’Arles et la saucisse Lyon, en passant par le saucisson Avant la dégustatio
n, une dernière

de consommation » (17 mai 2016)

sèche d’Auvergn faut jamais déroger. règle à laquelle
régions françaises e, de nombreus Un saucisson il ne
ont leurs recettes es ½ heure avant se sort du réfrigérate
de saucissons d’être dégusté ur
. ! C’est à températu
texture est fondante re que sa
et qu’il développe
tous ses arômes.

Pour l’apéritif,
d’une tranche
les nouvelles
Idées gourmandes
idées ne manquent
de pain, de campagne pas. Si les puristes
…
Un dossier de presse digital mettant en ve-
dette trois instants de consommation privi-
la fraîcheur. Les par exemple, et dégusteront leur
salades (roquette, sans beurre, la saucisson sobremen
l’honneur : équilibre mesclun ou tendance de t, accompagné
cet été sera placée
garanti. Des mini-broch pourpier assaisonnés à l’orange) sous le signe
ettes où le saucisson et les fruits (figues, de
de raisin feront sera accompag pruneaux) sont
le régal des amateurs né de concombr à
de sensations e et de gros grains
fraîches.

légiés des charcuteries :

SAUCISSO
N PA R T Y
SAUCISSE
SÈCHE ET
BROCHETT
ES DE LÉGUM
ES

> l’apéritif
4

> le pique-nique
> le barbecue
UNE FÉDÉRATION
AU SERVICE
DE SES
ADHÉRENTS

39
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016
40
UNE FÉDÉRATION
AU SERVICE
DE SES ADHÉRENTS
AMELIORER L’INFORMATION
DES ADHERENTS
L’équipe de la FICT travaille quotidiennement
au service des entreprises de charcuteries-sa-
laisons et ainsi les accompagner dans le déve-
loppement de leur activité.
DES DÉCISIONS COLLÉGIALES
Les Commissions de la FICT sont ouvertes à
toutes les entreprises adhérentes. Leur objectif
est de mettre en œuvre la stratégie définie par
le Comité Directeur (CODIR) et d’orienter les tra-
vaux de la FICT en matière sociale, économique,
matières premières, technique et réglementaire.
Ces réunions permettent d’élaborer des posi-
tions collectives par famille de produits ou sur
une problématique plus transversale au secteur.
4 COMMISSIONS
• Sociale et Formation : négociation d’accords
paritaires et mise en place d’actions collectives
(relations avec les pouvoirs publics, accords de
partenariat comme, par exemple, Manpower)
• Économique : relations fournisseurs/distribu-
teurs, suivi des indicateurs de marché (indices
et cotations, consommation…)
• Matières premières : analyse des marchés
(porc, volaille), évolution des prix des matières
premières, relations avec l’amont (alimenta-
tion animale, élevage, abattage, découpe)
• Technique et réglementation : Codes des
Usages, étiquetage, mention d’origine des
ingrédients, Guide de Bonne Pratique d’Hy-
giène, réglementation…)
4 SECTIONS SPÉCIALISÉES « PRODUITS »
• Jambon cuit
• Salaisons sèches
• Autres charcuteries
• Charcuteries pâtissières
C’est grâce à la participation des dirigeants
et des collaborateurs des entreprises
que l’équipe de la FICT peut agir efficacement
sur les différents sujets.
Merci !
Pour vous inscrire à l’un de ces groupes de
travail, n’hésitez pas à contacter la FICT  :
fict@fict.fr
DES GROUPES DE TRAVAIL AD HOC 
Les Commissions et Sections spécialisées
sont complétées par des groupes de travail
focalisés sur des sujets spécifiques :
• Club export (3 réunions par an) : levée des
barrières sanitaires et actions de promotion
sur les pays cibles
• 5 journées techniques :
> Règlement information du consom-
mateur (CE) 1169/2011 : 8 mois avant
l’obligation de l’étiquetage nutritionnel
(4 avril 2016)
>
Journée d’information démarche de
progrès sécurité des aliments des sau-
cissons sec à Lyon (16 juin 2016)
> Présentation du code des usages de
la charcuterie, de la salaison et des
conserves de viandes (6 juillet 2016)
 07 I UNE FÉDÉRATION AU SERVICE DE SES ADHÉRENTS

> Présentation du Code des Usages de La Newsletter hebdomadaire

la Charcuterie, de la Salaison et des
Conserves de Viandes 2016 (5 octobre
2016)
>
Pourquoi vos emballages devront
s’adapter aux nouvelles consignes de tri
(1er décembre 2016)
• « Comportements et tendances alimen-
taires ? » CREDOC
• « Bilan annuel de la consommation à domicile
de charcuteries » KANTAR WORLDPANEL
• «  Analyse financière des Industries de De nombreuses informations transitent via le
la charcuterie-salaison » BANQUE DE site internet de la FICT qui est un outil gratuit
FRANCE mis à la disposition de toutes les entreprises
• Groupe de travail contractualisation « Réu- adhérentes.
nion d’échanges abatteurs/transformateurs » Une Newsletter est envoyée aux entreprises
• Formation « Conditions Générales de tous les vendredis. Elle vous informe des der-
Vente » SCP LINCOLN nières actualités (Direction, Social, Economie,
•
Formation « Négociations commer- Export, Technique et Réglementation…)
ciales annuelles, comment s’y préparer ? Ajouter visuel Newsletter
GRALL&ASSOCIES
• Réunions régionales Retrouvez toutes les actualités du secteur
en vous connectant sur votre espace
adhérent et recevez la Newsletter
Pour vous inscrire, vous devez au préalable
DES OUTILS D’INFORMATIONS créer votre compte et ainsi générer vos
ET D’ÉCHANGES DÉDIÉS paramètres de connexion.
AUX ENTREPRISES

Le site internet de la FICT www.fict.fr

Un site complet et fonctionnel, qui tient

compte au plus près des besoins et at-
tentes des entreprises, tout en créant un lieu
d’échanges et de convivialité entre la FICT et
ses adhérents.

41
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016
42
UNE FÉDÉRATION
AU SERVICE
DE SES ADHÉRENTS
ORGANIGRAMME
Robert VOLUT David BAZERGUE
Président Délégué Général
Thierry GREGORI
Directeur des Affaires
Scientifiques et Techniques
Eldjida MAKHLOUFI
Responsable Export
et Veille Réglementaire
Sophie FLEURANCE
Assistante
Tous ces moyens de discussion et de propo-
sition sont animés par l’équipe de la fict sous
la gouvernance d’un comité directeur et d’un
bureau.
LE COMITÉ DIRECTEUR
Tous les 3 ans, les entreprises élisent un Co-
mité Directeur de 33 membres issus des ré-
gions et des métiers. Il élit le Président et les
deux Vice-présidents. Il définit la stratégie de
la fédération dans tous les domaines. Aucune
décision, ni action n’est entreprise sans son
aval préalable.
Marc HECKENROTH
Directeur des Affaires
Sociales LE BUREAU
Organe de réflexion et d’orientation straté-
gique composé de 10 membres, il prépare les
décisions du Comité Directeur.
L’ÉQUIPE PERMANENTE DE LA FICT
À l’écoute quotidienne des entreprises, elle
a un rôle de conseil. Elle participe à la pré-
Stéphanie FUIRET
Responsable des Affaires paration des différentes instances internes
économiques
ou externes à la fédération, au recueil et à la
diffusion de l’information, à la réalisation des
actions décidées par le Comité Directeur.
Isabelle DE LEUS
Assistante
 07 I UNE FÉDÉRATION AU SERVICE DE SES ADHÉRENTS

UNE FÉDÉRATION
AU SERVICE
DE SES ADHÉRENTS

GESTION DE CRISE

Depuis 2000, la FICT a mis en place une cel- :

CARTE-MEMO DE CRISE

lule de gestion de crise qui coordonne les ac-

tions et intervient aux côtés des entreprises. CAS 1 : CRISE DANS UNE ENTREPRISE MEMBRE DE LA FICT ET
DEMANDE D’INTERVENTION FICT
La crise ne concerne qu’une entreprise de charcuterie et cette entreprise demande à la
FICT assistance et accompagnement.

 La cellule de crise FICT intervient aux côtés de l’entreprise

concernée.

• La FICT prépare en amont les documents CAS 2 : CRISE SPÉCIFIQUE À L’ACTIVITÉ CHARCUTERIE
La crise concerne spécifiquement tout ou partie de l’activité « charcuterie/ salaisons ».

et procédures à utiliser en cas de besoin. Exemples :

-
-
Mise en cause d’une charcuterie dans une TIAC
Lien entre une pathologie et la consommation de charcuterie
- Crise dans la filière porcine
AVANT LA CRISE :
- Crise sociale spécifique du secteur
1. Mettre en place une cellule de gestion entraînée,
 La cellule de crise FICT intervient. 2. Désigner et préparer des porte-parole,
3. Optimiser la réactivité de l’entreprise,

• La FICT entre en contact avec des experts

CAS 3 : CRISE TRANSVERSALE DANS LE DOMAINE ALIMENTAIRE a) Capacités à joindre les décideurs internes,
La crise transversale dépasse le secteur de la charcuterie mais concerne l’ensemble de b) Rapidité de mise en place de l’organisation,
la filière porc : c) Logistique adaptée (standard, salle, ordinateurs,…).

scientifiques et juridiques et fait l’interface  La cellule de la FICT intervient en lien avec INAPORC
La crise transversale dépasse le secteur de la « charcuterie/salaison » et la filière
EN CAS DE CRISE : OBJECTIF PRIORITAIRE : DONNER CONFIANCE
4. Mettre en place la cellule de gestion de crise,

avec les administrations concernées.

porcine.
5. Informer la FICT aussitôt que possible (téléphone et courriel ou fax),
 La cellule de l’ANIA intervient en lien avec la FICT 6. Utiliser les outils mis à votre disposition (carte mémo, dossier de
prévention, questions-réponses, positions de la profession),
Exemples :
- Grève des routiers perturbant fortement l’activité 7. Collecter le maximum d’informations (site de la FICT, AFSSA, DGAl, …)
- Grippe A en France 8. Maîtriser votre communication interne et externe,
9. Identifier la nature et la gravité de la crise (erreur ou malveillance,
entreprise ou filière, médiatique ou non, existence de victime ou non,…) et
FICT COORDONNEES GENERALES les moyens à mobiliser,
10. Informer les salariés de l’entreprise.
Standard 01 75 00–09
FICT – 9, boulevard Malesherbes 30 PARIS
75008
Tél. : 01.75.00.09.30 – www.fict.fr EN CAS DE CONTACT AVEC LA PRESSE :

LES OUTILS D’AIDE À DISPOSITION

Fax 01 75 00 09 39
Décembre
Réunion 2015
téléphonique 01 72 76 83 50 11. Ne pas répondre immédiatement : prendre le nom, les supports, les
coordonnées du journaliste, ses questions (ou son sujet) et lui proposer
CELLULE DE CRISE FICT de le rappeler très vite (fixer un rendez-vous),

DES ENTREPRISES : Nom responsable

David BAZERGUE
Courriel
d.bazergue@fict.fr
Fixe professionnel
01 75 00 09 34
Portable
06 17 80 31 02
12. Informer la FICT,
13. Préparer le lieu de rencontre, ( pas d’image ou d’interview lors de votre
contrôle),
Thierry GREGORI t.gregori@fict.fr 01 75 00 09 37 06 17 80 45 65 14. Eviter de polémiquer, ne pas mentir,
15. Se concentrer sur deux ou trois messages simples à faire passer,
Eldjida MAKHLOUFI e.makhloufi@fict.fr 01 75 00 09 38 06 21 27 61 81
16. Se préparer aux questions sensibles (questions-réponses).

• Carte memo de crise  : cette carte est

Robert VOLUT r.volut@fict.fr 01 75 00 09 33 06 86 07 78 60
www.fict.fr
APRES LA CRISE :
Sites FICT
www.infocharcuteries.fr
17. Débriefer en collaboration avec la FICT.
18. Mettre en place une stratégie de relance.

portée en permanence par les membres CONTACTS EXPERTS EXTERNES

MINISTERES / ADMINISTRATIONS

de la cellule, elle contient les informations

PROTEINES (agence conseil de crise / scientifique) Standards (en gras) 24h/24h et Services concernés en cas de crise
Antoine MERCIER amercier@proteines.fr 01 42 12 28 33 06 77 53 74 66 Ministère de l’Agriculture de l’Agroalimentaire et de la Forêt 01 49 55 49 55
- Responsable Communication / Presse ou 01 49 55 46 97
Serge MICHELS smichels@proteines.fr 01 42 12 81 99 06 71 58 80 62
- Délégation Information & Communication du Ministère
FICT – 9, boulevard Malesherbes – 75008 PARIS ou 01 49 55 60 11

indispensables, y compris, celles propres à

Tél. : 01.75.00.09.30 – www.fict.fr
V.F.C (relations media) Direction Générale de l’Alimentation 01 49 55 49 55
Mission
Décembre des Urgences Sanitaires
2015 ou 01 49 55 84 05
Véronique FOUCAULT vfoucault@vfc.fr 01 47 57 67 77 06 09 65 19 22 ou 01 49 55 50 85

chaque entreprise,
ou 01 49 55 81 91
Valérie LANGLOIS vlanglois@vfc.fr 01 47 57 83 55 06 61 61 80 75
Permanence de week-end 01 49 55 58 69

Experts scientifiques et juridiques Ministère de la Santé 01 40 56 60 00

Département des urgences sanitaires ou 01 40 56 52 96
Nutrition
La FICT est en contact avec des experts, merci DGCCRF 01 40 97 30 45
Sécurité des aliments
de nous contacter. Unité d’alerte ou 01 44 97 31 98

• Guide de Gestion de Crise pour les entre-

Juridique alertes.dgccrf@dgccrf.finances.gouv.fr ou 01 44 97 30 45
ou 01 44 97 31 76

POINT D’ENTREE PROFESSIONS/INTERPROFESSIONS Ministère de l’Écologie, du Développement 01 40 81 21 22

Durable et de l’Energie ou 01 42 19 15 01

prises de la FICT : il contient les mesures FICT – 9, boulevard Malesherbes – 75008 PARIS Direction de la prévention de la pollution et des risques
Organisme Contacts Courriel – www.fict.fr
Tél. : 01.75.00.09.30 Bureau Portable
ANSES 01 49 77 13 50
ANIA
Décembre 2015Cécile Rauzy crauzy@ania.net 01 53 83 92 32 06 30 13 52 55 Service Communication ou 01 49 77 27 80

préventives et conseils pour la bonne ges-

ou 01 49 77 13 59
didier.delzescaux@
INAPORC Didier DELZESCAUX 01 44 93 60 00 06 72 72 02 33
inaporc.asso.fr Institut Veille Sanitaire 01 41 79 67 00
FCD Emilie TAFOURNEL tafournel@fcd.eu 01 44 43 99 06 06 51 27 61 26 Service Communication ou 01 41 79 57 45

tion des situations de crise, CGAD

INTERBEV
Sandrine BIZE

Marc PAGES
sbize@cgad.fr
m.pages@interbev.
01 44 90 88 44

01 44 87 44 60
AESA (Agence Européenne de Sécurité sanitaire des Aliments)
Service Communication
+ 32 2 337 21 11
ou + 32 2 337 22 48
asso.fr DDSV (liste des coordonnées par département)
http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/coordonnees-des-DDPP-et-DDCSPP

PRÉFECTURES (liste des coordonnées par département)

http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_l_interieur/les_prefectures/votre_prefecture

• Information  : la FICT informe les entre- AGENCE DE PRESSE

prises (http://www.fict.fr) de toute alerte qui

Fax
AFP Général 01 40 41 47 45
FICT – 9, boulevard Malesherbes – 75008 PARIS

lui parvient si elle est confirmée par l’Admi-

A.P. 01 40 74 00 45 Tél. : 01.75.00.09.30 – www.fict.fr
REUTERS 01 53 34 02 90 Décembre 2015
A.P.M 01 48 06 27 00

nistration et dément les fausses alertes,

SERVICES D’URGENCE et D’ASSISTANCE

• Conseil en gestion de crise  : les perma-

Numéro d’urgence européen 112

nents de la FICT peuvent soutenir les entre-

prises dans leur gestion de crises. FICT – 9, boulevard Malesherbes – 75008 PARIS

43
Tél. : 01.75.00.09.30 – www.fict.fr

Décembre 2015

Les documents sont consultables et téléchargeables sur www.fict.fr / GESTION DE CRISE

 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

44
UNE FÉDÉRATION
AU SERVICE
DE SES ADHÉRENTS

RELATIONS INSTITUTIONNELLES
ET PARTENAIRES DE LA FICT

ENVIRONNEMENT INSTITUTIONNEL

Pour représenter au mieux les intérêts des entreprises auprès des pouvoirs politiques et des
administrations française et européennes, la FICT tisse un réseau de relations fiables et durables.
Elle est ainsi membre de plusieurs organisations professionnelles, de centres techniques ou encore
d’organes de représentation :

ADIV L’Institut technique Agro-Industriel des filières viandes (ADIV), partenaire du

développement et de l’innovation de l’aval des différentes filières de viandes,
apporte son appui et ses services aux entreprises de la profession en matière de
recherche et développement.

AG2R- LA MONDIALE L’AG2R La Mondiale a en charge la gestion des régimes de retraite complé-
mentaire et de prévoyance des salariés des industries charcutières et traiteurs.

ANIA L’Association Nationale des Industries Alimentaires rassemble 18 fédérations

nationales sectorielles, dont la FICT, et 23 associations régionales, représenta-
tives des entreprises alimentaires de tous secteurs et de toutes tailles.

CLITRAVI Cette organisation est chargée de représenter les 13 000 entreprises euro-
péennes transformatrices de viandes dans 24 pays. Elle est engagée dans un
dialogue constant avec la Commission européenne, le Parlement européen, le
Conseil de l’Union européenne, le Comité Economique et Social européen et
d’autres organisations internationales.
Robert Volut est Président du CLITRAVI

ECO-EMBALLAGES / ECOPAR Eco-Emballages est une entreprise privée, agréée par l’Etat, créée il y a 20 ans
pour réduire l’impact des emballages sur l’environnement. Son rôle est d’or-
ganiser le dispositif national du tri et de recyclage des emballages ménagers.

FRANCEAGRIMER FranceAgriMer (établissement national des produits de l’agriculture et de la

mer) est un lieu de concertation et d’arbitrage inter filières.

IFIP L’Institut de la Filière Porcine est l’outil technique pour répondre aux enjeux
communs à l’ensemble des organisations professionnelles de la filière en ma-
tière de recherche et développement.

OBSERVIA L’Observatoire prospectif des métiers et des qualifications dans les industries
alimentaires (OBSERVIA) est un outil au service des organisations profession-
nelles, des entreprises et des salariés. Il a pour vocation d’accompagner les
branches professionnelles et les entreprises dans la définition de leurs politiques
de formation et les salariés dans l’élaboration de leurs projets professionnels.

OPCALIM OPCALIM (Organisme Paritaire Collecteur Agréé des fonds de la formation du

secteur alimentaire) a été créé en 2012 pour être l’OPCA du secteur alimentaire.
Il a pour rôle d’accompagner les entreprises et les branches sur leur politique
d’emploi et de formation professionnelle. Depuis 2016, OPCALIM est égale-
ment agréé Organisme Collecteur de la Taxe d’Apprentissage (OCTA).
OPCALIM permet d’avoir accès aux fonds nationaux et régionaux dédiés à la
formation professionnelle.
 07 I UNE FÉDÉRATION AU SERVICE DE SES ADHÉRENTS

MINISTÈRES ET ADMINISTRATIONS

La FICT intervient régulièrement auprès des ministères et de leurs administrations françaises pour
présenter ses positions : ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, ministère de
l’Economie, des Finances et de l’Industrie, ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits
des femmes, ministère du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue
social, ministère du Développement durable...

45
 RAPPORT ANNUEL FICT 2016

46
UNE FÉDÉRATION
AU SERVICE
DE SES ADHÉRENTS

RELATIONS INSTITUTIONNELLES
ET PARTENAIRES DE LA FICT

SYNDICATS RÉGIONAUX DES CHARCUTIERS INDUSTRIELS

De nombreux terroirs et régions partagent un patrimoine, des savoir-faire, des préoccupa-

tions économiques. Les syndicats régionaux ont un lien de partage et d’actions.

Paris, Nord, Normandie :

Syndicat de Paris,
Île-de-France, Normandie Alsace :
Bretagne : et Orléanais
UBIC APAC

Est – Franche-Comté :
Ouest – Pays de Loire : Syndicat de l’Est
Syndicat de l’Ouest et Franche-Comté

Auvergne
Limousin :
Rhône-Alpes :
SALICT
USRICT

PACA + Corse :
Midi-Pyrénées :
Syndicat de l’Arc
Syndicat des Monts
Méditerranéen
de Lacaune
 07 I UNE FÉDÉRATION AU SERVICE DE SES ADHÉRENTS

CLUB PARTENAIRES

La FICT a mis en place un Club Partenaires pour rapprocher ses entreprises adhérentes de leurs
partenaires, fournisseurs, prestataires de services… et ainsi favoriser le développement de nou-
velles offres pour le bénéfice de la filière :

DAT SCHAUB Leader français du boyau naturel et du boyau manufacturé, DAT-Schaub France
s’impose comme un acteur majeur pour la fourniture d’ingrédients de spécialité,
de mélanges technologiques et culinaires ainsi que d’emballages techniques. 

GRALL&ASSOCIES Grall et Associés est une structure spécialisée en droit économique, membre du
réseau européen Antitrust Alliance, impliquée dans l’ensemble des probléma-
tiques liées aux pratiques anticoncurrentielles, aux enquêtes de concurrence, au
contrôle des concentrations, à la mise en place de réseaux de distribution, aux
relations industrie / commerce et à la promotion des ventes.

LCB FOOD SAFETY LCB food safety s’est spécialisée en sécurité alimentaire. Elle développe des
solutions innovantes s’inscrivant dans une démarche globale pour aider les res-
ponsables Qualité et Hygiène à définir et mettre en œuvre une politique de
sécurité alimentaire efficace.

SCP LINCOLN AVOCATS CONSEIL Cabinet d’avocats spécialisé dans les entreprises créé en 1992, la SCP LINCOLN
AVOCATS CONSEIL se veut l’interlocuteur des moyennes entreprises au niveau
de leur direction exécutive. Le cabinet a également une activité importante
dans le domaine de l’assurance.

MANPOWER Acteur majeur du marché de l’emploi depuis 60 ans, MANPOWER propose

deux lignes de service à ses entreprises clientes : « conseil recrutement » pour
tous leurs besoins en recrutements permanents / « référence intérim » pour leur
besoin de flexibilité.

MAPA La MAPA est la Mutuelle d’Assurance des Professions Alimentaires

PRIMO FINANCE Primo Finance est une société spécialisée dans la recherche de subventions
pour les entreprises du secteur agroalimentaire.

47
 fict@fict.fr
www.fict.fr

@FICT_FRANCE
www.lescharcuteries.fr
Tél : +33 (0)1 75 00 09 30
Fax : +33 (0)1 75 00 09 39
9, boulevard Malesherbes - 75008 Paris

Crédits photos : iStock : ©gilaxia /©Luka Ažma /©SolStock /©AzmanL /©gilaxia /©monkeybusinessimages /©Perdra Vuckovic /©Rawpixel Ltd /©Yuri_Arcurs /©zeljkosantrac /©jacoblund /©Geber86 /©bowie15 /©ajkkafe /©izusek - shutterstock : ©Igor Dutina