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Matthieu Brachet
E
f F
•
•
• •
• •
E E
f
f F F
•
•
• •
•
• • •
•
• • •
•
E E
f
f F F
•
•
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•
• • •
•
Objectif : dire si une fonction est une bijection, calculer sa dérivée, tracer sa courbe...
Definition :
Definition :
L’application f : E → F est bijective si et seulement si
Definition :
L’application f : E → F est bijective si et seulement si il existe g : F → E telle
que
Definition :
L’application f : E → F est bijective si et seulement si il existe g : F → E telle
que
f ◦ g = IdF (i.e. pour y ∈ F , on a f (g(y )) = y ),
Definition :
L’application f : E → F est bijective si et seulement si il existe g : F → E telle
que
f ◦ g = IdF (i.e. pour y ∈ F , on a f (g(y )) = y ),
g ◦ f = IdE (i.e. pour x ∈ E , on a g(f (x )) = x ).
Definition :
L’application f : E → F est bijective si et seulement si il existe g : F → E telle
que
f ◦ g = IdF (i.e. pour y ∈ F , on a f (g(y )) = y ),
g ◦ f = IdE (i.e. pour x ∈ E , on a g(f (x )) = x ).
Alors g est la réciproque de f et est notée f −1 .
Definition :
L’application f : E → F est bijective si et seulement si il existe g : F → E telle
que
f ◦ g = IdF (i.e. pour y ∈ F , on a f (g(y )) = y ),
g ◦ f = IdE (i.e. pour x ∈ E , on a g(f (x )) = x ).
Alors g est la réciproque de f et est notée f −1 .
Proposition :
Si f : E → F est une bijection alors pour x ∈ E et y ∈ F on a
Definition :
L’application f : E → F est bijective si et seulement si il existe g : F → E telle
que
f ◦ g = IdF (i.e. pour y ∈ F , on a f (g(y )) = y ),
g ◦ f = IdE (i.e. pour x ∈ E , on a g(f (x )) = x ).
Alors g est la réciproque de f et est notée f −1 .
Proposition :
Si f : E → F est une bijection alors pour x ∈ E et y ∈ F on a
f (x ) = y ⇔ x = f −1 (y ).
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
f (f −1 (y )) =
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
f (f −1 (y )) = 3f −1 (y ) + 6
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
f (f −1 (y )) = 3f −1 (y ) + 6
1
=3 y −2 +6
3
=
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
f (f −1 (y )) = 3f −1 (y ) + 6
1
=3 y −2 +6
3
=y −6+6
=
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
f (f −1 (y )) = 3f −1 (y ) + 6
1
=3 y −2 +6
3
=y −6+6
= y.
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
f (f −1 (y )) = 3f −1 (y ) + 6 f −1 (f (x )) =
1
=3 y −2 +6
3
=y −6+6
= y.
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
Exemple :
Soit f (x ) = 3x + 6. Montrer que f est bijective sur R et que sa réciproque est donnée
par
1
f −1 (x ) = g(x ) = x − 2.
3
Exemple :
Soit f (x ) = ln(x ).
x
y = ln(x )
Exemple :
Soit f (x ) = ln(x ).
x
f est bijective de ]0, +∞[ sur R
y = ln(x )
Exemple :
Soit f (x ) = ln(x ).
x
f est bijective de ]0, +∞[ sur R et sa
réciproque est f −1 (x ) = e x . y = ln(x )
Exemple :
Soit f (x ) = ln(x ).
x
f est bijective de ]0, +∞[ sur R et sa
réciproque est f −1 (x ) = e x . y = ln(x )
Exemple :
Soit f (x ) = x 2 .
y = x2
Exemple :
Soit f (x ) = ln(x ).
x
f est bijective de ]0, +∞[ sur R et sa
réciproque est f −1 (x ) = e x . y = ln(x )
Exemple :
Soit f (x ) = x 2 .
f est bijective de [0, +∞[ sur [0, +∞[
y = x2
Exemple :
Soit f (x ) = ln(x ).
x
f est bijective de ]0, +∞[ sur R et sa
réciproque est f −1 (x ) = e x . y = ln(x )
Exemple :
Soit f (x ) = x 2 .
f est bijective de [0, +∞[ sur
√[0, +∞[ et
sa réciproque est f −1 (x ) = x .
y = x2
Proposition :
Soit f une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle I.
Proposition :
Soit f une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle I.
Alors f est une bijection de I vers f (I) = J.
Proposition :
Soit f une fonction continue et strictement monotone sur un intervalle I.
Alors f est une bijection de I vers f (I) = J.
De plus, sa réciproque g = f −1 est continue et strictement monotone (de même
monotonie que f ) sur J.
y y
f
g = f −1
x x
1
x
2
y
3
1) Comme f 0 (x ) = −
(x − 2)2
1
x
2
y
3
1) Comme f 0 (x ) = − <0
(x − 2)2
1
x
2
y
3
1) Comme f 0 (x ) = − < 0, f est
(x − 2)2
décroissante sur ]2, +∞[.
1
x
2
y
3
1) Comme f 0 (x ) = − < 0, f est
(x − 2)2
décroissante sur ]2, +∞[.
Elle réalise une bijection de ]2, +∞[ dans
1
x
2
y
3
1) Comme f 0 (x ) = − < 0, f est
(x − 2)2
décroissante sur ]2, +∞[.
Elle réalise une bijection de ]2, +∞[ dans
f (]2, +∞[) =
1
x
2
y
3
1) Comme f 0 (x ) = − < 0, f est
(x − 2)2
décroissante sur ]2, +∞[.
Elle réalise une bijection de ]2, +∞[ dans
i h
f (]2, +∞[) = lim f (x ), lim f (x )
x →+∞ x →2+
=
1
x
2
y
3
1) Comme f 0 (x ) = − < 0, f est
(x − 2)2
décroissante sur ]2, +∞[.
Elle réalise une bijection de ]2, +∞[ dans
i h
f (]2, +∞[) = lim f (x ), lim f (x )
x →+∞ x →2+
= ]1, +∞[.
2) Par équivalence, on a
y = f (x ) ⇔
2) Par équivalence, on a
x +1
y = f (x ) ⇔ y =
x −2
⇔
2) Par équivalence, on a
x +1
y = f (x ) ⇔ y =
x −2
⇔ y (x − 2) = x + 1
⇔
2) Par équivalence, on a
x +1
y = f (x ) ⇔ y =
x −2
⇔ y (x − 2) = x + 1
⇔ yx − 2y = x + 1
⇔
2) Par équivalence, on a
x +1
y = f (x ) ⇔ y =
x −2
⇔ y (x − 2) = x + 1
⇔ yx − 2y = x + 1
⇔ yx − x = 2y + 1
⇔
2) Par équivalence, on a
x +1
y = f (x ) ⇔ y =
x −2
⇔ y (x − 2) = x + 1
⇔ yx − 2y = x + 1
⇔ yx − x = 2y + 1
⇔ x (y − 1) = 2y + 1
2) Par équivalence, on a
x +1
y = f (x ) ⇔ y =
x −2
⇔ y (x − 2) = x + 1
⇔ yx − 2y = x + 1
⇔ yx − x = 2y + 1
⇔ x (y − 1) = 2y + 1
2y + 1
⇔x =
y −1
2) Par équivalence, on a
x +1
y = f (x ) ⇔ y =
x −2
⇔ y (x − 2) = x + 1
⇔ yx − 2y = x + 1
⇔ yx − x = 2y + 1
⇔ x (y − 1) = 2y + 1
2y + 1
⇔x =
y −1
2x + 1
Donc f −1 (x ) = .
x −1
y
1) Comme f 0 (x ) = 2x ≥ 0 (sur [0, +∞[),
y
1) Comme f 0 (x ) = 2x ≥ 0 (sur [0, +∞[), f est
croissante sur [0, +∞[.
y
1) Comme f 0 (x ) = 2x ≥ 0 (sur [0, +∞[), f est
croissante sur [0, +∞[.
Elle réalise une bijection de [0, +∞[ dans
f ([0, +∞[) =
y
1) Comme f 0 (x ) = 2x ≥ 0 (sur [0, +∞[), f est
croissante sur [0, +∞[.
Elle réalise une bijection de [0, +∞[ dans
h h
f ([0, +∞[) = f (0), lim f (x )
x →+∞
y
1) Comme f 0 (x ) = 2x ≥ 0 (sur [0, +∞[), f est
croissante sur [0, +∞[.
Elle réalise une bijection de [0, +∞[ dans
h h
f ([0, +∞[) = f (0), lim f (x )
x →+∞
= [−1, +∞[ .
y
1) Comme f 0 (x ) = 2x ≥ 0 (sur [0, +∞[), f est
croissante sur [0, +∞[.
Elle réalise une bijection de [0, +∞[ dans
h h
f ([0, +∞[) = f (0), lim f (x )
x →+∞
= [−1, +∞[ .
2) Par équivalence, on a
f (x ) = y ⇔
2) Par équivalence, on a
f (x ) = y ⇔ x 2 − 1 = y
⇔
2) Par équivalence, on a
f (x ) = y ⇔ x 2 − 1 = y
⇔ x2 = y + 1
⇔
2) Par équivalence, on a
f (x ) = y ⇔ x 2 − 1 = y
⇔ x2 = y + 1
p
⇔x = y +1
2) Par équivalence, on a
f (x ) = y ⇔ x 2 − 1 = y
⇔ x2 = y + 1
p
⇔x = y +1
√
Donc la réciproque de f est f −1 (x ) = x + 1.
y
2) Par équivalence, on a
f (x ) = y ⇔ x 2 − 1 = y
Cf
⇔ x2 = y + 1
p
⇔x = y +1
√
Donc la réciproque de f est f −1 (x ) = x + 1.
3) Voir figure. Que remarque-t-on ? x
Exemple :
Soit f (x ) = x 2 − 1.
1) Montrer que f est une bijection de [0, +∞[ sur [−1, +∞[.
2) Expliciter la fonction réciproque f −1 .
3) Représenter graphiquement f et f −1
y
2) Par équivalence, on a
f (x ) = y ⇔ x 2 − 1 = y
Cf
⇔ x2 = y + 1
p
⇔x = y +1
√
Donc la réciproque de f est f −1 (x ) = x + 1. Cf −1
3) Voir figure. Que remarque-t-on ? x
Exemple :
Soit f (x ) = x 2 − 1.
1) Montrer que f est une bijection de [0, +∞[ sur [−1, +∞[.
2) Expliciter la fonction réciproque f −1 .
3) Représenter graphiquement f et f −1
y
2) Par équivalence, on a
f (x ) = y ⇔ x 2 − 1 = y
Cf
⇔ x2 = y + 1
p
⇔x = y +1
√
Donc la réciproque de f est f −1 (x ) = x + 1. Cf −1
3) Voir figure. Que remarque-t-on ? x
Proposition :
Soit f une fonction bijective sur un intervalle I à valeurs dans f (I) = J.
Proposition :
Soit f une fonction bijective sur un intervalle I à valeurs dans f (I) = J.
La courbe représentative de g = f −1 se déduit de la courbe de f par une symétrie
par rapport à la première bissectrice.
Proposition :
Soit f une fonction bijective sur un intervalle I à valeurs dans f (I) = J.
La courbe représentative de g = f −1 se déduit de la courbe de f par une symétrie
par rapport à la première bissectrice.
y y
y = x2 y = ex
√
y = x x
y = ln(x )
x
1
1) Par dérivation, f 0 (x ) = 1 + > 0.
x
1
1) Par dérivation, f 0 (x ) = 1 +> 0.
x
Donc f est croissante sur ]0, +∞[.
1
1) Par dérivation, f 0 (x ) = 1 +> 0.
x
Donc f est croissante sur ]0, +∞[. Elle réalise
une bijection de R∗+ sur
f (R∗+ ) =
1
1) Par dérivation, f 0 (x ) = 1 +> 0.
x
Donc f est croissante sur ]0, +∞[. Elle réalise
une bijection de R∗+ sur
i h
f (R∗+ ) = lim f (x ), lim f (x )
x →0+ x →+∞
1
1) Par dérivation, f 0 (x ) = 1 +> 0.
x
Donc f est croissante sur ]0, +∞[. Elle réalise
une bijection de R∗+ sur
i h
f (R∗+ ) = lim f (x ), lim f (x )
x →0+ x →+∞
= ] − ∞, +∞[
=
1
1) Par dérivation, f 0 (x ) = 1 +> 0.
x
Donc f est croissante sur ]0, +∞[. Elle réalise
une bijection de R∗+ sur
i h
f (R∗+ ) = lim f (x ), lim f (x )
x →0+ x →+∞
= ] − ∞, +∞[
= R.
1 y
1) Par dérivation, f 0 (x ) = 1 +> 0.
x
Donc f est croissante sur ]0, +∞[. Elle réalise
une bijection de R∗+ sur
i h
f (R∗+ ) = lim f (x ), lim f (x )
x →0+ x →+∞ x
= ] − ∞, +∞[
= R.
2) Voir figure. Cf
Exemple :
Soit f (x ) = x + ln(x ).
1) Montrer que f est une bijection de R∗+ vers R.
2) Représenter graphiquement f −1 .
1 y
1) Par dérivation, f 0 (x ) = 1 +> 0.
x
Donc f est croissante sur ]0, +∞[. Elle réalise
une bijection de R∗+ sur
i h
f (R∗+ ) = lim f (x ), lim f (x )
x →0+ x →+∞ x
= ] − ∞, +∞[
= R.
2) Voir figure. Cf
Exemple :
Soit f (x ) = x + ln(x ).
1) Montrer que f est une bijection de R∗+ vers R.
2) Représenter graphiquement f −1 .
1 y
1) Par dérivation, f 0 (x ) = 1 +> 0.
x
Donc f est croissante sur ]0, +∞[. Elle réalise
une bijection de R∗+ sur
i h
f (R∗+ ) = lim f (x ), lim f (x ) Cf −1
x →0+ x →+∞ x
= ] − ∞, +∞[
= R.
2) Voir figure. Cf
Proposition :
Soit f une fonction dérivable, bijective sur un intervalle I et à valeurs dans f (I) = J.
Proposition :
Soit f une fonction dérivable, bijective sur un intervalle I et à valeurs dans f (I) = J.
Alors la réciproque g = f −1 est dérivable en tout point y ∈ J
Proposition :
Soit f une fonction dérivable, bijective sur un intervalle I et à valeurs dans f (I) = J.
Alors la réciproque g = f −1 est dérivable en tout point y ∈ J tel que f 0 (f −1 (y )) 6= 0
et
1
(f −1 )0 (y ) = 0 −1 .
f (f (y ))
Proposition :
Soit f une fonction dérivable, bijective sur un intervalle I et à valeurs dans f (I) = J.
Alors la réciproque g = f −1 est dérivable en tout point y ∈ J tel que f 0 (f −1 (y )) 6= 0
et
1
(f −1 )0 (y ) = 0 −1 .
f (f (y ))
Remarque.
Si on note y = f (x ) (⇔ x = f −1 (y )) alors la relation précédente devient :
Proposition :
Soit f une fonction dérivable, bijective sur un intervalle I et à valeurs dans f (I) = J.
Alors la réciproque g = f −1 est dérivable en tout point y ∈ J tel que f 0 (f −1 (y )) 6= 0
et
1
(f −1 )0 (y ) = 0 −1 .
f (f (y ))
Remarque.
Si on note y = f (x ) (⇔ x = f −1 (y )) alors la relation précédente devient :
1
(f −1 )0 (y ) = .
f 0 (x )
1) Soit x ≥ 0. Comme f 0 (x ) = (x + 1)e x > 0, la fonction est strictement croissante sur R+ et elle
réalise une bijection de R+ sur f (R+ ) =
1) Soit x ≥ 0. Comme f 0 (x ) = (x + 1)e x > 0, la fonction est strictement croissante sur R+ et elle
réalise une bijection de R+ sur f (R+ ) = R+ .
1) Soit x ≥ 0. Comme f 0 (x ) = (x + 1)e x > 0, la fonction est strictement croissante sur R+ et elle
réalise une bijection de R+ sur f (R+ ) = R+ .
2) On note que f (1) = e ⇔
1) Soit x ≥ 0. Comme f 0 (x ) = (x + 1)e x > 0, la fonction est strictement croissante sur R+ et elle
réalise une bijection de R+ sur f (R+ ) = R+ .
2) On note que f (1) = e ⇔ 1 = f −1 (e).
1) Soit x ≥ 0. Comme f 0 (x ) = (x + 1)e x > 0, la fonction est strictement croissante sur R+ et elle
réalise une bijection de R+ sur f (R+ ) = R+ .
2) On note que f (1) = e ⇔ 1 = f −1 (e).
On en déduit, d’après la proposition précédente que
(f −1 )0 (e) =
1) Soit x ≥ 0. Comme f 0 (x ) = (x + 1)e x > 0, la fonction est strictement croissante sur R+ et elle
réalise une bijection de R+ sur f (R+ ) = R+ .
2) On note que f (1) = e ⇔ 1 = f −1 (e).
On en déduit, d’après la proposition précédente que
1
(f −1 )0 (e) =
f 0 (1)
1) Soit x ≥ 0. Comme f 0 (x ) = (x + 1)e x > 0, la fonction est strictement croissante sur R+ et elle
réalise une bijection de R+ sur f (R+ ) = R+ .
2) On note que f (1) = e ⇔ 1 = f −1 (e).
On en déduit, d’après la proposition précédente que
1
(f −1 )0 (e) =
f 0 (1)
1
=
(1 + 1)e 1
1) Soit x ≥ 0. Comme f 0 (x ) = (x + 1)e x > 0, la fonction est strictement croissante sur R+ et elle
réalise une bijection de R+ sur f (R+ ) = R+ .
2) On note que f (1) = e ⇔ 1 = f −1 (e).
On en déduit, d’après la proposition précédente que
1
(f −1 )0 (e) =
f 0 (1)
1
=
(1 + 1)e 1
1
= .
2e
y
1) Pour x ∈ [0, π], on a f 0 (x ) = − sin(x ) < 0.
1
π 2π
x
−1
y
1) Pour x ∈ [0, π], on a f 0 (x ) = − sin(x ) < 0.
Donc f est strictement décroissante sur [0, π].
1
π 2π
x
−1
y
1) Pour x ∈ [0, π], on a f 0 (x ) = − sin(x ) < 0.
Donc f est strictement décroissante sur [0, π].
Elle réalise une bijection de [0, π] dans
y
1) Pour x ∈ [0, π], on a f 0 (x ) = − sin(x ) < 0.
Donc f est strictement décroissante sur [0, π].
Elle réalise une bijection de [0, π] dans
y
1) Pour x ∈ [0, π], on a f 0 (x ) = − sin(x ) < 0.
Donc f est strictement décroissante sur [0, π].
Elle réalise une bijection de [0, π] dans
y
1) Pour x ∈ [0, π], on a f 0 (x ) = − sin(x ) < 0.
Donc f est strictement décroissante sur [0, π].
Elle réalise une bijection de [0, π] dans
3) On note que y = f (x ) ⇔
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors
(f −1 )0 (y ) =
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors
1
(f −1 )0 (y ) =
f 0 (x )
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors
1
(f −1 )0 (y ) =
f 0 (x )
1
= − car cos0 (x ) = − sin(x )
sin(x )
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors
1
(f −1 )0 (y ) =
f 0 (x )
1
= − car cos0 (x ) = − sin(x )
sin(x )
1
= −p car cos2 (x ) + sin2 (x ) = 1
1 − cos2 (x )
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors
1
(f −1 )0 (y ) =
f 0 (x )
1
= − car cos0 (x ) = − sin(x )
sin(x )
1
= −p car cos2 (x ) + sin2 (x ) = 1
1 − cos2 (x )
1
= − p
1 − f (x )2
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors
1
(f −1 )0 (y ) =
f 0 (x )
1
= − car cos0 (x ) = − sin(x )
sin(x )
1
= −p car cos2 (x ) + sin2 (x ) = 1
1 − cos2 (x )
1
= − p
1 − f (x )2
1
= − p
1 − [f (f −1 (y ))]2
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors
1
(f −1 )0 (y ) =
f 0 (x )
1
= − car cos0 (x ) = − sin(x )
sin(x )
1
= −p car cos2 (x ) + sin2 (x ) = 1
1 − cos2 (x )
1
= − p
1 − f (x )2
1
= − p
1 − [f (f −1 (y ))]2
1
= − p .
1 − y2
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors On a donc l’expression de (f −1 )0 :
1
(f −1 )0 (y ) = 1
f 0 (x ) (f −1 )0 (x ) = − √ .
1 − x2
1
= − car cos0 (x ) = − sin(x )
sin(x )
1
= −p car cos2 (x ) + sin2 (x ) = 1
1 − cos2 (x )
1
= − p
1 − f (x )2
1
= − p
1 − [f (f −1 (y ))]2
1
= − p .
1 − y2
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors On a donc l’expression de (f −1 )0 :
1
(f −1 )0 (y ) = 1
f 0 (x ) (f −1 )0 (x ) = − √ .
1 − x2
1
= − car cos0 (x ) = − sin(x )
sin(x )
1 Remarque.
= −p car cos2 (x ) + sin2 (x ) = 1 On note généralement
1 − cos2 (x )
1 f −1 (x ) = arccos(x ).
= − p
1 − f (x )2
1
= − p
1 − [f (f −1 (y ))]2
1
= − p .
1 − y2
Exemple :
Soit f (x ) = cos(x ).
1) Montrer que la fonction f est une bijection de [0, π] dans [−1, 1].
2) Tracer f −1 .
3) Calculer (f −1 )0 .
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors On a donc l’expression de (f −1 )0 :
1
(f −1 )0 (y ) = 1
f 0 (x ) (f −1 )0 (x ) = − √ .
1 − x2
1
= − car cos0 (x ) = − sin(x )
sin(x )
1 Remarque.
= −p car cos2 (x ) + sin2 (x ) = 1 On note généralement
1 − cos2 (x )
1 f −1 (x ) = arccos(x ).
= − p
1 − f (x )2
C’est noté cos−1 sur la cal-
1 culatrice.
= − p
1 − [f (f −1 (y ))]2
1
= − p .
1 − y2
Exemple :
Soit f (x ) = cos(x ).
1) Montrer que la fonction f est une bijection de [0, π] dans [−1, 1].
2) Tracer f −1 .
3) Calculer (f −1 )0 .
3) On note que y = f (x ) ⇔ x = f −1 (y ).
On a alors On a donc l’expression de (f −1 )0 :
1
(f −1 )0 (y ) = 1
f 0 (x ) (f −1 )0 (x ) = − √ .
1 − x2
1
= − car cos0 (x ) = − sin(x )
sin(x )
1 Remarque.
= −p car cos2 (x ) + sin2 (x ) = 1 On note généralement
1 − cos2 (x )
1 f −1 (x ) = arccos(x ).
= − p
1 − f (x )2
C’est noté cos−1 sur la cal-
1 culatrice.
= − p
1 − [f (f −1 (y ))]2 C’est le sujet d’un prochain cha-
pitre.
1
= − p .
1 − y2