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EXERCICE CASPIENNE
L’exercice CASPIENNE est un exercice d’application destiné à faire acquérir, de façon interactive,
une méthode d’appréciation stratégique. Cette méthode permet d’analyser une situation de
crise géopolitique et de rechercher des options de résolution. Elle débouche sur la rédaction
d’un mémoire de propositions pour le décideur politique.
Les étudiants travaillent en groupes, identiques tout au long de l’exercice, représentant des
cellules de crise interministérielle. Les événements présentés se déroulent dans des pays fictifs.
Ils sont le fait d’acteurs perturbateurs également fictifs. Mais le travail de conception stratégique
de résolution inclut en revanche, autant que de besoin, des acteurs réels (gouvernement
français, alliés de la France, organisations internationales, régionales, non-gouvernementales,
etc. ).
L’exercice est découpé en séquences destinées scander la progression logique de l’apprentissage
de la méthode de conception stratégique. Chaque séquence est introduite par la présentation de
la question à résoudre et l’acquisition des outils permettant de répondre à cette question. Un
travail de groupe est ensuite consacré à la préparation en commun de la réponse. Cette réponse
est présentée par la groupe au cours d’une restitution orale devant l’ensemble de la classe.
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Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE) établit tous les semestres un état de la
situation dans le monde. Le dernier état de situation date donc du 31 décembre 2020, mais est
complété par un journal des évènements intervenus entre le 1 janvier et le 30 juin 2021. Le
prochain état de situation de la région CASPIENNE doit prendre en compte la situation du 1er
semestre et être établi pour le 31 juillet 2021.
L’exercice CASPIENNE débute le 1 juillet 2021.
1) PRÉSENTATION GÉNÉRALE
Avertissement : la zone de crise est située en Asie centrale, dans l'espace physique compris entre
la mer Caspienne à l'ouest, incluant les espaces étatiques actuels suivants : au sud, le nord de
l'Iran, de l'Afghanistan et du Pakistan ; à l'est, la frontière chinoise et, au nord, une partie du
Kazakhstan. Cette délimitation sert à situer la zone de crise par rapport à l'Europe. Les territoires
de la Russie, de la Géorgie, de l'Azerbaïdjan, de l'Arménie, de la Biélorussie, de l'Ukraine et de la
Moldavie sont considérés comme un espace maritime (voir carte « situation géographique
Europe/Région CASPIENNE »). L’Europe commence au-delà de cet espace maritime, elle doit être
considérée avec ses autres frontières réelles. Vers le sud, Pakistan, Inde et sud-est asiatique sont
également considérés comme des espaces maritimes à l'exclusion d'une frange couvrant le nord
du Pakistan et de l'Inde. Cette zone est redécoupée en ensembles géopolitiques tels que décrits
au paragraphe suivant.
La zone de crise définie pour l’exercice s’étend à l’est de la mer Caspienne. Elle est découpée en
sept États : KAZALAND, KOURGLAND, URKMENIE, PERSIA, TADJISLAND, INDUS, CENTLAND.
21) KAZALAND
KAZALAND (capitale Orsk) est un pays jouissant d'une bonne économie pour la région, basée sur
une agriculture vivrière et de grandes exploitations exportatrices et une industrie de
transformation agroalimentaire autour des ports de Orenbourg et de Oktiabrsk. Une ressource
pétrolière importante a été découverte dans la région du lac Balkhach et Alma-Alta. Elle s'étend
également sur KOURGLAND dans le Moujoun Koum autour de Aoulié-Ata. Ce champ pétrolifère,
dont l’exploitation monte en puissance, exporte ses produits vers CENTLAND et l’Europe. Mais il a
besoin d'investissements pour se développer pleinement. KAZALAND compte sur CENTLAND, son
principal client, pour doubler l’oléoduc vers ce pays mais souhaiterait aussi avoir l'aide
d'investisseurs occidentaux, ses autres clients, pour l’exploitation, la construction d’oléoducs
supplémentaires vers Orenbourg et Oktiabrsk et le développement industriel.
Les KAZA (majoritaires : 80 %) implantés dans les riches terres de l’ouest, avec des prolongements
dans le nord-ouest de KOURGLAND à l’ouest de la mer d’Aral, ont la prééminence politique par le
jeu des élections. Les KAZA ont aussi développé la ville de Alma Ata pour les besoins de
l’exploitation pétrolière. A l’est du pays, la minorité KOURG, l'autre composante de la population
(20%) vit d’élevage nomade et des ressources halieutiques du lac BALKACH.
Le gouvernement de KAZALAND est dominé depuis des décennies par le parti "PANKAZA"
favorisant ce sentiment d'identité KAZA. Les intérêts pétroliers sont très présents en sous-main et
attisent les conflits sur fond de rivalités ethniques. Un parti minoritaire "UNITE NATIONALE" mêle
des KAZA et des KOURG, Ce parti veut des relations plus équilibrées tant à l’intérieur de
KAZALAND qu’avec le voisin KOURGLAND, sans mettre en avant les affinités ethniques.
Mais, de leur côté, certains chefs politiques et tribaux KOURG voient dans les ressources
pétrolières une richesse qui leur appartient en propre car située sur leurs territoires ancestraux.
Elles seraient un moyen de s’émanciper et de se venger de la domination KAZA. De nombreux
affrontements sont intervenus entre des manifestants KOURG et les forces de sécurité
gouvernementales à Alma Alta. Des maquis se sont constitués dans les montagnes autour de la
cuvette du lac Balkhach.
22) KOURGLAND
KOURGLAND (capitale Tachkent) est un pays aux ressources variées, disposant d'un secteur
agricole capable de nourrir la population et d'un petit commerce actif. La vie économique est
concentrée à l’est. Le pouvoir politique arrive à maintenir une fragile unité entre les différentes
provinces, bien que le partage des richesses ne satisfasse pas tout le monde. La population est
partagée entre les "KAZA" (30 %) établis dans l'ouest et les " KOURG " (70 %) établis dans le nord-
est, en miroir de la population KOURG de KAZALAND. Il s’agit en fait d’une même population
éthique et culturelle rassemblée jusqu’au milieu du XIXème siècle dans un Etat unique sur le
Moujour-Koum, la steppe de la faim et les montagnes encerclant ce vaste plateau, avec pour
capitale historique Tachkent. Des communautés KAZA et KOURG se sont établies en France pour
raisons économiques avant la découverte du pétrole. Ils y prospèrent dans le commerce et
23) URKMENIE
24) TADJISLAND
Cet État dispose de peu de ressources, excepté quelques mines de métaux divers dont il tire
l'essentiel de son revenu en commerçant avec CENTLAND. Mais ces revenus sont faibles et l'État,
fort corrompu, n'arrive pas à assurer ses responsabilités. Lors de son indépendance, le parti au
pouvoir, au vu de ses ambitions démocratiques a reçu l'appui de la communauté internationale.
Mais désormais le président, âgé, se maintient au pouvoir par la force. Le pays est partagé entre
des oligarchies corrompues qui gravitent autour du pouvoir, mais disposent aussi d'une capacité
de lever des milices sur une base clanique. Ils pourraient être à l'affût de toute occasion pour se
disputer le pouvoir à la mort du président.
L'agriculture la plus prospère se concentre dans la plaine de la Ferghana et les ressources minières
immédiatement au sud dans l’Alaï Tag de Douchanbé à Fergana.
C'est dans ce pays que naissent l'Amou Daria et le Syr Daria, mais TADJISLAND n'a aucune capacité
d'exploitation de ces eaux.
Trois grands groupes ethnoculturels vivent dans cet Etat fragile : les ALAÏ dans la vallée de la
Ferghana, les TADJI au centre, notamment la capitale Douchanbé, les KUCH au sud autour de
Kaboul. Le pouvoir central est faible, et les trois groupes respectent un équilibre ancestral qui
stabilise la situation. Cependant des tensions éclatent parfois et conduisent à de rudes
affrontements sur fond de maîtrise de la culture de la drogue et des voies de passage de la
contrebande venant de KOURGLAND et de URKMENIE vers INDUS et CENTLAND. Les ONG sont
très présentes en PAMIRIE, mais sont soumises, dans l'est et le sud, de loin en loin, à des
agressions (enlèvements, demandes de rançon) qui les forcent à quitter ces zones à certaines
périodes.
Le sud, très pauvre, est laissé en déshérence aux mains de groupes tribaux de KUCH qui se
maintiennent au pouvoir par la soumission religieuse imposée et l'entretien de la vindicte vis-à-vis
du pouvoir central et des provinces du nord, accusées de rejeter le sud. Pratiquant la même
religion que PERSIA, ces groupes reçoivent par contrebande, par les zones frontalières mal
contrôlées, de l'aide de PERSIA. Le gouvernement central accuse PERSIA de fournir des armes par
ces filières. Ces actions entraînent des montées de tensions à la frontière TADJISLAND /PERSIA.
25) PERSIA
PERSIA est gouverné avec fermeté par un parti théocratique qui contrôle strictement et
efficacement ses frontières et interdit toute intrusion sur son territoire. C'est la première
puissance militaire de la région. La population de PERSIA est en totalité composée de PERSIAN,
groupe ethnique et confessionnel homogène. PERSIA entretient des liens avec les tribus KUCH du
sud de TADJISLAND en raison de leur appartenance au même groupe religieux et culturel. PERSIA
entretient de mauvais rapports avec le gouvernement de TADJISLAND, pour des motifs religieux et
culturels, car ils appartiennent à des sphères confessionnelles concurrentes et pour des conflits de
frontières (PERSIA revendique un tracé de frontière différent). PERSIA ne manque jamais de se
présenter comme le défenseur des KUCH de TADJISLAND.
Les principaux pays occidentaux (France, Royaume-Uni, Allemagne) ont formé un comité "le Trio"
pour négocier avec PERSIA la construction d'un gazoduc partant de URKMENIE et traversant ses
eaux territoriales et son territoire en direction de l’Europe. Les pourparlers sont en cours à la
recherche d'un accord gagnant-gagnant. PERSIA souhaite avoir accès aux ressources hydriques des
fleuves traversant KOUM et notamment faire réaliser une prolongation du canal du Karakoum
vers son territoire.
Exercice CASPIENNE. Situation générale au 31 décembre 2020 Page 5 sur 13
26) INDUS
INDUS est un grand pays ayant des frontières communes avec CENTLAND, TADJISLAND, PERSIA. Le
gouvernement a su développer ce pays ouvert sur le monde par l'Océan Indien au sud. Mais il
prête peu attention à ses frontières du nord estimant que TADJISLAND est peu menaçant. Il est
plus rigoureux pour la frontière avec PERSIA, mais il en contrôle très mal la partie est. Cette
perméabilité des frontières permet aux tribus KUCH du nord de poursuivre leur ancestrale
habitude de la transhumance et de contact avec les tribus de TADJISLAND dont ils partagent la
culture et de trouver des revenus dans les circuits de transit de la drogue. Le gouvernement n'est
ainsi pas inquiété par d'éventuelles revendications de ces tribus.
Avec PERSIA un statut quo est établi, chacun observant une neutralité stricte mais armée et
vigilante sur la frontière. PERSIA veut éviter l'émigration de sa population et INDUS coopère dans
ce contrôle pour éviter les tensions mais aussi une éventuelle infiltration d'agents déstabilisateurs.
27) CENTLAND
CENTLAND est une très grande puissance régionale en plein développement et en passe de
devenir l’une des premières puissances mondiales. Elle est en contact avec la région CASPIENNE
via sa province est (capitale HOTAN). C’est un espace montagneux et désertique peu peuplé mais
qui revêt une importance capitale pour ses approvisionnement en pétrole depuis KAZALAND et
KOURGLAND via l’oléoduc Alma Ata – Kuga. En outre cette province abrite des installations
militaires et un site de lancement de fusées spatiales. Des projets pour améliorer les liaisons de
terrestres de toutes sortes vers la région CASPIENNE sont à l’étude.
Les pays européens et la France sont très intéressés à la situation CASPIENNE qui constitue pour
eux un important fournisseur de matières premières avec lequel ils veulent augmenter les
échanges. Cette région est aussi vue comme un lieu d’influence indispensable pour anticiper et
contrebalancer la montée en puissance de CENTLAND. Par ailleurs cette région a une importante
diaspora en Europe et notamment en France.
XXX
Tableau n° 1
Répartition en pourcentage des exportations de pétrole des producteurs de la région Caspienne
Tableau n° 2
Répartition en pourcentage des exportations de gaz des producteurs de la région Caspienne
Une réunion de chefs tribaux KOURG a lieu à Taldy-Kourgan. Elle est dénoncée par le gouvernement KAZALAND qui y
Janvier KAZALAND
voient une tentative d’organiser un soulèvement.
Une opération de police dans Alma Ata conduit à l’arrestation de nombreux KOURG accusés de tentative de terrorisme
Février KAZALAND
et à la saisie d’armes et de tracts réclamant la justice sociale et le pouvoir économique
Le gouvernement répond négativement à la demande de KOURGLAND. Il veut préserver ses propres capacités
Février KAZALAND d’exportation. Le gouvernement de KOURGLAND s’irrite de ce refus, dénonce la mauvaise volonté de KAZALAND. Les
médias de KOURGLAND s’ouvrent à des critiques de KAZALAND vis-à-vis des KOURG.
Les chefs tribaux KOURG annoncent la création du FRONT de DEVELOPPEMENT KOURG (FDK). Il réclame un meilleur
Février KAZALAND partage du pouvoir économique et veut être associé au développement de l’exploitation pétrolière. Le gouvernement
de KAZALAND accuse le FDK de rébellion.
Mars FRANCE La communauté KOURG de France, en partie composée de ressortissants KAZALAND, manifeste pour protester contre
la déclaration du gouvernement de KAZALAND la jugeant hostile aux KOURG
Un attentat a lieu à Alma Ata contre le gouverneur de la province. Il est tué avec plusieurs fonctionnaires. Le
gouvernement accuse le FDK. Celui-ci récuse l’accusation et parle de manipulation. Le couvre-feu est installé dans la
Mars KAZALAND
province. Le gouvernement déploie forces de police et armée pour rechercher les coupables et se saisir des chefs
tribaux.
Mars KOURGLAND Des chefs et activistes KOURG se sentant menacés cherchent refuge dans KOURGLAND. Des personnalités médiatiques
KOURG de KOURGLAND prennent position pour la défense des KOURG de KAZALAND. Ils incitent le gouvernement de
KOURGLAND à une très grande fermeté vis-à-vis de KAZALAND
Par suite de la sécheresse, les récoltes 2020 ont été mauvaises et les réserves baissent. Les MENE les plus démunis
Avril URKMENIE
commencent à migrer vers KOURGLAND, la partie URK du pays leur étant hostile.
Avril KOURGLAND Le gouvernement de KOURGLAND déclare officiellement s'inquiéter de l'arrivée de migrants de URKMENIE
Avril ONU L’Office Météorologique Mondial (OMM) annonce que la saison printemps-été sera chaude et sèche en Asie centrale
Avril KAZALAND Les médias du KAZALAND dénoncent avec virulence les KOURG de leurs pays « qui entachent la cohésion nationale ».
Ils critiquent le gouvernement de KOURGLAND pour son traitement de la crise des réfugiés MENE et les incidents dans
le sud du pays avec les réfugiés.
À la suite de la déclaration de l'OMM, les agriculteurs URK manifestent en masse, envahissant la capitale Achkhabad
avec leur matériel agricole pour demander au gouvernement de préserver à tout prix leur approvisionnement en eau.
Avril URKMENIE Ils sont largement appuyés par les citadins. En marge de cette manifestation, des MENE sont molestés dans la capitale
et des menaces proférées dans toutes les villes de l’ouest. Le mouvement de repli des MENE vers l’est et KOURGLAND
s’intensifie.
Des groupes armés s’emparent de plusieurs installations hydrauliques de régulation des eaux de l’Amou Daria et du
Mai URKMENIE
canal du Kara Koum. Ils revendiquent la propriété de l’eau pour les agriculteurs MENE.
Le gouvernement envoie des troupes en renfort à l'est. Le flux migratoire de MENE vers KOURGLAND semble
Mai URKMENIE s'intensifier. Des permanences du parti « DEVELOPPEMENT POUR TOUS » sont vandalisées à Achkhabad et
Krasnovodsk
Après avoir accueilli de leur mieux les premiers réfugiés, la population frontalière s'épuise et des signes de rejet
Mai KOURGLAND commencent à se manifester. Des milices privées se déclarent prêtes à refouler par la force les réfugiés MENE s'ils
tentaient de venir dans les provinces du nord-est.
Tensions entre les communautés KOURG et KAZA calquant les tensions internes à KAZALAND. Prise à partie réciproque
Mai FRANCE
des ressortissants des deux ethnies, des bagarres rangées se sont déroulées dans certains quartiers de Paris
Le gouvernement déploie un contrôle plus rigoureux de ses frontières et il ferme sa frontière en bloquant les ponts le
Mai KOURGLAND long du fleuve Amou Daria. Une étude universitaire, rebondissant sur l’annonce de l’ONM, prévoit une forte baisse de
l’Amou Daria et l’attribue en partie à la ponction opérée par le canal du KARAKOUM.
Les troupes gouvernementales se déploient en nombre à l'est, des tirs sont signalés entre des groupes MENE et ces
troupes. Des réfugiés refoulés sur les ponts par KOURGLAND errent dans le pays. De nouveaux chemins de migration
Mai URKMENIE vers KOURGLAND s'ouvrent par les montagnes du TADJISLAND à contre-courant des flux de contrebandiers de la
drogue. L'insécurité augmente pour les migrants en raison de l'hostilité des populations locales et des trafiquants de
drogue dérangés dans leurs activités
Les chefs KOURG dissidents annoncent leur solidarité avec les KOURG de KOURGLAND, dénoncent la répression de
KAZALAND à l’encontre de sa population KOURG et annoncent leur volonté de voir leur province rattachée à
Mai KAZALAND
KOURGLAND. Des constitutions de maquis KOURG dans l’ALA TAOU sont dénoncés par le gouvernement KAZALAND qui
dit préparer une action militaire contre eux
Le gouvernement de KAZALAND lance un ultimatum à KOURGLAND pour obtenir l’extradition de ses ressortissants
Juin KAZALAND KOURG réfugiés en KOURGLAND. KOURGLAND refuse fermement. La presse de KOURGLAND s’ouvre largement aux
idées prônant le soutien aux KOURG de KAZALAND. Certains vont jusqu’à prôner un soutien par la force.
Juin ONU L'envoyé spécial du SG/ONU pour la TADJISLAND souligne dans son rapport la nécessité d'apporter une aide au
Président de TADJISLAND pour améliorer la gouvernance (sécurité humaine, administration, justice et sécurité)
Juin UE L’Union européenne (SEAE) publie un communiqué soulignant son extrême préoccupation pour la situation dans la
province MENE de URKMENIE et incite le gouvernement URKMENIE à prendre les mesures appropriées.
Juin UE L’Union européenne (SEAE) publie un communiqué soulignant son extrême préoccupation pour la situation de tensions
grandissante entre KAZALAND et KOURGLAND.
Juin Europe/France Au sein de l’UE, les pays européens font part de leur préoccupation pour les approvisionnements en pétrole et gaz, et
pour la situation dans la région Aral. Un conseil européen est organisé pour fin juillet.
Le SG/ONU inscrit l'examen de la situation dans la zone Aral à une séance du Conseil de sécurité de juillet. La France
Juin ONU
doit y déléguer le Ministre (MEDAE) en personne. L’administration du MEAE doit préparer la position de la France.
Le MEAE met sur pied une cellule de crise pour analyser la situation dans la région CASPIENNE et définir les positions à
Juin France prendre dans cette crise. C’est la cellule de crise CASPIENNE qui commence aujourd’hui son travail par vos soins. Nous
sommes le 1er juillet 2021 et vous commencez l’analyse de situation.