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DE LA COOPÉRATIVE
Société Coopérative Agricole d’Elevage du Sud-Ouest – Le Tournal – 81580 SOUAL – Tél. : 05 63 82 52 00 – Fax : 05 63 82 52 01 –
N° D’AGREMENT : 161 – N° SIRET : 777 262 585 00014 – CODE NAF : 0162 Z
0DB : Crédit Agricole Nord Midi-Pyrénées – N°TVA/CEE : FR14777262585 - R.C.S. CASTRES 777 262 585 N° de Gestion 2002 D 208
Le présent règlement intérieur est établi conformément à l’article 60 des statuts, complète lesdits statuts,
précise les modalités de fonctionnement de la coopérative et traite les rapports des adhérents
avec la coopérative.
Pour l’espèce bovine, afin d’assurer l’équilibre et la représentation de tous les départements et de toutes
les productions au sein du conseil d’administration, la répartition est faite par département à raison
de 1 poste par tranche ou fraction de tranche de 10 000 inséminations premières (IAP) à l’exception
des départements de l’ancienne Région LANGUEDOC-ROUSSILLON (11, 30, 34, 48, 66) qui sont regroupés
en raison de leur faible activité.
Pour l’espèce caprine, la représentation s’effectuera sur la base d’un poste par tranche ou fraction
de tranche de 10 000 IAP.
Sur la base de l’exercice comptable 2016/2017, la composition du conseil d’administration est la suivante :
TOTAL 18 administrateurs
ar assurance individuelle couvrant les risques de décès ou d’incapacité au travail résultant d’accidents survenus
P
dans l’exercice de leur fonction.
ar assurance responsabilité civile et protection juridique pour tout accident corporel éprouvé par ladite
P
personne ou causé par elle au tiers à l’occasion de l’exercice de sa fonction.
Dans le cadre de l’article 42 paragraphe 2, relatif au droit de vote et de représentation en assemblée générale
plénière, il est précisé que :
T out délégué empêché d’assister à la réunion de l’assemblée plénière peut donner mandat
de le représenter à un autre délégué. Le délégué mandaté ne peut disposer que de deux voix,
la sienne comprise, les mandats sont annexés au procès-verbal de l’assemblée plénière.
L e mandat conféré par l’associé coopérateur empêché devra être donné par lui sur la formule
de mandat établi par la coopérative.
défaut, le mandat devra préciser, expressément, dans la rédaction de son pouvoir l’Assemblée
À
Générale pour laquelle il confère le mandat ainsi que l’ordre du jour de cette assemblée.
Ledit mandat sera valable pour l’assemblée subséquente si, sur première convocation,
le quorum n’était pas atteint. Tout pouvoir non conforme aux dispositions qui précèdent sera réputé sans
valeur et ne pourra produire aucun effet.
Il peut être créé au sein de la coopérative un ou plusieurs groupes spécialisés des éleveurs laitiers,
un ou plusieurs groupes spécialisés des éleveurs viande, un groupe spécialisé caprin.
Ces groupes rassemblent des éleveurs volontaires concernés par des actions de production ou sélection
collective et qui s’engagent notamment à participer aux opérations de contrôle de descendance.
Ces groupes, qui peuvent être décentralisés, sont créés par décision du conseil d’administration
qui décide de leur règlement intérieur.
Le rattachement d’associés coopérateurs à l’un ou l’autre des groupes spécialisés résulte d’une décision
du conseil d’administration prise à la demande des intéressés.
Des commissions par race peuvent être créées par décision du conseil d’administration qui en établit
le règlement. Chaque commission placée sous la présidence d’un administrateur désigné par le conseil
est composée en principe :
sections dans le département de l’Aveyron (lesquelles comprendront en outre les départements suivants :
4
Corrèze, Dordogne et Lot ; Ardèche, Cantal, Loire, Haute-Loire, Lozère et Puy-de-Dôme ainsi que le Gard) ;
1 section pour les départements suivants : Haute-Garonne, Gers, Hautes-Pyrénées ;
2 sections dans le département du Tarn (dont une comprendra en outre les départements suivants :
Lot-et-Garonne et Tarn-et-Garonne) ;
1 section pour les départements suivants : Ariège, Aude et Hérault ;
1 section dans le département des Pyrénées-Orientales.
VII – 1 – Les prix sont fixés par le conseil d’administration. Ils doivent assurer l’équilibre financier
de la coopérative et la pérennité des programmes génétiques conduits par la ou les entreprises de sélection
auxquelles elle adhère.
Pour les doses fournies dans le cadre d’une prestation globale, le prix prend en compte :
Le coût de la génétique qui comprend le coût de la participation au programme de sélection
(semences) qui, en fonction des index des reproducteurs, se traduit par des prix différents,
ainsi que les charges génétiques supportées directement par la coopérative ;
Le coût de la mise en place (S.O.R.I.) ;
Les charges générales de COOPELSO, réparties :
• sur la génétique ;
• sur la mise en place (S.O.R.I.).
VIII – 1 – Les associés coopérateurs doivent être à jour de leur souscription de parts sociales conformément
aux statuts (art. 14). Tout éleveur qui ne détient pas de parts sociales peut bénéficier des services
de la coopérative en qualité de tiers non-associé (article 3 – paragraphe 4 bis des statuts) et les tarifs
qui leur sont appliqués sont ceux des associés coopérateurs majorés de 10% pour couvrir les charges
spécifiques générées par l’option tiers non associés.
VIII – 2 – Services
E n vertu des dispositions de l’article 3 des statuts de la coopérative, dans le cadre des autres opérations
directement liées à la reproduction et à l’amélioration génétique du cheptel, les adhérents ont accès
aux services suivants :
• Plannings d’accouplements ;
• Constats de gestation par tous moyens appropriés ;
• Vérification de l’aptitude à l’IA par tous moyens appropriés ;
• Génotypage des femelles ;
• Contrats d’abonnements ;
• Outils d’aide à la mise en œuvre de l’insémination...
Transplantation embryonnaire
Différentes formules sont proposées aux éleveurs :
• Achat-vente d’embryons ;
• Partenariat ;
• Mise en place – intra-troupeau – sur receveuse ;
• Collecte de donneuses.
Les modalités d’application des différentes formules, ou de toutes autres nouvelles, sont fixées
par le conseil d’administration :
• Dans le cadre de la formule IA + 2 retours, la prestation effectuée sur une femelle est liée
à l’élevage dans lequel elle était présente au moment de la première intervention. En cas
de changement d’éleveur, le nouveau propriétaire ne pourra bénéficier des retours non effectués
dans l’élevage d’origine.
• Les IA de rang 4 sont facturées au même titre que les IA premières.
• Si plus de 120 jours séparent deux interventions, la nouvelle IA est facturée sur la base de l’IA première.
• L’éleveur pourra bénéficier d’une remise pour IA multiples dans le cas de plusieurs inséminations
payantes réalisées lors d’une intervention ne nécessitant pas de déplacement entre plusieurs sites
d’exploitation. Cette remise sera appliquée à partir de la deuxième insémination payante et sur toutes
les prestations payantes suivantes. Le montant de cette remise est fixé par le conseil d’administration.
• En cas de déplacement sans objet, suite à un appel pour l’insémination ou tout autre service proposé
par la coopérative, le coût du déplacement sera facturé à l’adhérent.
Sauf accord express de COOPELSO, les prix des prestations et des produits sont payables au comptant :
En ce qui concerne l’insémination artificielle et ses services annexes, le sociétaire a le choix entre différentes
formules :
Le choix de l’une ou l’autre de ces formules comporte un engagement pour un exercice (octobre
à septembre).
Indépendamment des dispositions qui figurent ci-avant, il est procédé à l’ouverture d’un compte courant
entre la coopérative et l’associé coopérateur dans le cadre de son activité.
L’ouverture d’un compte courant est actée dès l’adhésion à la coopérative et à la souscription
des premières parts sociales, lesquelles entraînent obligation de se conformer aux dispositions
du présent règlement intérieur.
Le compte courant enregistre toutes les écritures de débit et de crédit résultant des opérations faites
par l’associé au regard de l’objet social de la coopérative : livraisons, frais et accessoires fixés
par le conseil d’administration, facturation des services rendus ou des cessions à l’associé coopérateur,
sommes correspondant aux aides d’origine communautaire ou nationale, après encaissement
par la coopérative, revenant à l’associé au titre de ses productions, libération de parts sociales,
participation aux frais fixes, pénalités, etc...
Toutes les livraisons de produits par l’associé et facturation de services par la coopérative font l’objet
de factures. Ces dernières sont portées au compte courant d’activité dès leur émission. L’enregistrement
comptable de ces factures vaut paiement, mettant fin au délai de règlement.
Les éleveurs en retard de leur règlement font l’objet de 3 relances dont la dernière avec un courrier
recommandé avec AR. Si, à l’issue de cette dernière, le règlement n’est toujours pas intervenu dans le délai
fixé dans le courrier, la coopérative engage une procédure de recouvrement contentieuse, soit directement,
soit par l’intermédiaire d’une société spécialisée.
À compter de l’ouverture de la procédure contentieuse et afin de ne pas aggraver son passif,
toute intervention chez l’éleveur défaillant devra être payée au comptant et d’avance.
Pendant la procédure, il ne sera accepté aucun paiement par chèque. Si le paiement est effectué
en espèces, la prestation pourra être réalisée immédiatement. Si le paiement est effectué par virement,
la prestation ne sera effectuée qu’après constatation du virement par la coopérative.
En cas de non-paiement, les demandes d’intervention ne seront pas honorées et la coopérative mettra
en œuvre les pénalités pour non-paiement à l’échéance selon les modalités prévues au paragraphe 5.
Tout paiement effectué postérieurement à la date de paiement figurant sur la facture entraînera
de plein droit au choix de COOPELSO :
près mise en demeure, l’application de pénalités de retard à un taux égal à trois fois le taux d’intérêt légal
A
en vigueur à la date d’échéance prévue.
E t/ou la déchéance du terme et en conséquence l’exigibilité immédiate de toutes les sommes restant dues
à COOPELSO, même non échues, sauf accord particulier de COOPELSO.
E t/ou le droit au profit de COOPELSO de suspendre l’exécution des prestations en cours et/ou d’exiger
d’un paiement en contre remboursement pour les prestations futures jusqu’à parfait apurement
de la situation et/ou la compensation des montants dus avec toutes sommes à devoir à quelque titre
que ce soit à l’égard de l’éleveur défaillant.
Même en cas de litige sur son libellé ou son contenu, toute facture reste due et doit être payée
à son échéance. Aucune déduction d’office et/ou compensation, quelle qu’en soit la cause, ne peut être
opérée par l’éleveur, sur une facture de COOPELSO. En cas de régularisation, il appartient, uniquement
à COOPELSO, d’adresser les factures rectificatives.
Toutes créances certaines liquides et exigibles, nées de la mise en œuvre des statuts de COOPELSO
et des règlements intérieurs pris en leur application, dues par un associé coopérateur se compensent de plein
droit avec celles dues par, à ce même associé coopérateur par COOPELSO.
Cette compensation est opérée par COOPELSO, à l’occasion d’apport de produits ou au moment
de la démission de l’adhérent en fin de période d’engagement d’activité ou au moment de son retrait
en cours d’engagement d’activité avec l’autorisation du conseil d’administration.
COOPELSO diffuse, au moins une fois par an, des catalogues avec les origines des taureaux disponibles
pour les races Brune, Montbéliarde, Simmental, Prim’holstein, Blonde, Limousine, Charolaise, Aubrac,
Gasconne et INRA 95.
Les éleveurs ont la possibilité de choisir leurs reproducteurs sous réserve de disponibilité
de la semence et sous réserve d’achat préalable pour les semences extérieures.
VIII – 8 – Non-fécondation
Assujettie à une obligation de moyen, aucuns dommages et intérêts ne pourront être demandés
à la coopérative pour non-fécondation d’une femelle si la coopérative apporte la preuve que les opérations
ont été effectuées dans les conditions normales de technique et d’hygiène,et en ce qui concerne
l’insémination, par un technicien d’insémination titulaire de son CAFTI pour l’espèce concernée.
La responsabilité de la coopérative peut être mise en cause en cas de blessure d’un animal suite
à l’intervention d’un de ses techniciens.
En cas d’accident lié à l’intervention d’un technicien, l’éleveur devra en faire la déclaration à la coopérative
dès l’apparition des premiers signes d’anomalies, au plus tard dans les 48 heures et fournir une attestation
de son vétérinaire sur laquelle figurera le diagnostic du praticien et l’évaluation du préjudice.
La coopérative se réserve le droit de faire réaliser une contre expertise sur la femelle par un vétérinaire
de son choix ou mandaté par son assurance.
Il ne sera donné aucune suite aux réclamations si elles ne sont pas écrites, datées et signées par l’éleveur.
Chaque technicien d’insémination est tenu d’assurer son service dans les conditions techniques, sanitaires
et économiques les plus favorables à la bonne marche de la coopérative. Son activité s’exerce dans le cadre
de l’arrêté ministériel définissant son rôle.
Il doit également entretenir les meilleures relations possibles avec les associés coopérateurs et les tiers
non adhérents. Il est tenu de transmettre à la coopérative toutes les suggestions ou critiques pouvant
lui être adressées.
Le technicien d’insémination doit obligatoirement porter pour inséminer : des bottes et une blouse
ou une tenue appropriée. La main et le bras servant à la fouille rectale doivent être protégés par un gant
spécial qui doit être jeté après chaque intervention.
Après l’insémination, le technicien d’insémination doit obligatoirement désinfecter ses bottes.
L’éleveur doit mettre à disposition du technicien d’insémination : eau, savon, torchon, désinfectant.
En cas de fouille rectale ou tout autre moyen approprié pour un constat de gestation
ou pour une vérification de l’aptitude de la femelle à être inséminée, le technicien d’insémination établira
un bulletin récapitulant le résultat de ses interventions. Dans tous les cas, le technicien d’insémination
enregistrera le résultat de ses interventions sur son ordinateur. Les résultats des constats de gestation seront
transmis vers la base de données régionale.
Les demandes d’insémination doivent être adressées directement au technicien d’insémination le plus tôt
possible après constatation des signes de chaleurs.
L’éleveur doit préciser au technicien d’insémination le moment du début des chaleurs et dans la mesure
du possible, le nom du taureau souhaité.
Les femelles en chaleur doivent être maintenues jusqu’au moment du passage du technicien d’insémination
dans un local propre, accessible, suffisamment éclairé et permettant une bonne contention de l’animal.
Dans la mesure du possible, l’éleveur ou son représentant doit être présent au moment de l’intervention et
aider à l’exécution de celle-ci en pratiquant la contention de l’animal. Il doit présenter les bulletins
d’insémination antérieurs et le dossier d’étable ou les tenir à la disposition du technicien d’insémination.
Le technicien d’insémination doit pouvoir identifier l’animal inséminé par le numéro à 10 chiffres
et le numéro de travail de l’identification pérenne.
Le technicien d’insémination peut refuser l’intervention sur une femelle dans les cas suivants :
Elle est décidée par la direction en fonction des différentes périodes de l’année
et des différentes zones territoriales.
L’éleveur autorise la coopérative à recueillir toutes les données d’identification et de statut d’animaux
dans les bases de données des organismes d’élevage régionaux, dès lors que le but est d’améliorer
la qualité du service qui lui est proposé, conformément aux conventions d’échange de données
entre les organismes d’élevage.
VIII – 19 – Garanties
COOPELSO garantit les semences des reproducteurs agréés pour la monte publique produite
dans les entreprises de sélection auxquelles elle adhère, indemnes de maladies reconnues légalement
contagieuses au sens du code Rural, pour lesquelles un test agréé existait au moment de leur production.
COOPELSO ne saurait être reconnue responsable de maladies dites émergentes pour lesquelles aucun test
de dépistage n’était agréé au moment de la production des semences.
COOPELSO ne sera en aucun cas responsable des dommages indirects éventuellement subis par l’éleveur
tels que le manque à gagner, la perte d’image, le trouble commercial, la perte de chance ou le préjudice
moral pouvant résulter de maladies ou d’anomalies génétiques dont l’imputabilité à la semence serait
établie par l’éleveur.
COOPELSO s’engage à avertir les éleveurs dès la connaissance d’une anomalie génétique au niveau
des reproducteurs qu’elle diffuse. Elle ne serait toutefois être rendue responsable si l’anomalie génétique
était indécelable au moment de la production des semences. De même, la coopérative ne peut être reconnue
comme responsable des conséquences pouvant découler de l’utilisation d’un reproducteur porteur
d’anomalies génétiques quelles qu’elles soient.
IX – 1 – Période de référence
L’obligation de souscription au capital social, selon les critères retenus à l’article 14 des statuts, s’apprécie
par rapport à l’activité réalisée par l’associé coopérateur avec la coopérative au cours de l’exercice en cours.
Les demandes reçues au cours de chaque exercice (N) seront étudiées par le conseil d’administration appelé
à arrêter les comptes annuels dudit exercice et le remboursement interviendra le 30 septembre de l’exercice
N+1, après obtention de l’accord du conseil d’administration.
Il est en tout état de cause réduit à due concurrence de la contribution de l’associé aux pertes inscrites
au bilan à la clôture de l’exercice au cours duquel il a été demandé, lorsque celles-ci sont supérieures
aux réserves, autres que la réserve légale, les réserves indisponibles et la réserve constituée pour compenser
les parts annulées.
Conformément aux dispositions de l’article 9 des statuts, le conseil d’administration tient à la disposition
de chaque associé coopérateur un document récapitulant son engagement dans la branche d’activité
« collecte-vente ». Ce document précise la durée d’engagement, le capital social souscrit, les quantités
et les caractéristiques des produits à livrer et les modalités de paiement et de détermination
du prix des produits.
Ce document sera adressé par courrier recommandé avec demande d’avis de réception à tout associé
coopérateur qui en aura fait la demande sous la même forme.
Conformément à l’article 13 du règlement Européen «informations à fournir lorsque des données à caractère
personnel sont collectées auprès de la personne concernée», tous les associés ont la faculté, au moment
de l’adhésion à la coopérative ou au cours de la période d’engagement, de consulter via l’extranet
de la coopérative le présent règlement intérieur.
Les informations à fournir, lorsque des données à caractère personnel sont collectées auprès de la personne
concernée, sont les suivantes :
c) Les finalités du traitement auquel sont destinées les données à caractère personnel ainsi
que la base juridique du traitement.
d) Les intérêts légitimes poursuivis par le responsable du traitement : le traitement est fondé
sur l’obligation légale pour la coopérative de tenir à jour un fichier des adhérents en vertu
de l’article R522-2 du code Rural et de la pêche maritime et de respecter ses obligations
vis-à-vis de l’engagement coopératif.
e) Les destinataires ou les catégories de destinataires des données à caractère personnel, s’ils existent :
Les destinataires sont les salariés de la coopérative COOPELSO rattachés au service
informatique, comptable et service technique/insémination.
f ) La durée de conservation des données à caractère personnel ou, lorsque ce n’est pas possible,
les critères utilisés pour déterminer cette durée : la durée de conservation des données
est identique à la durée d’engagement des adhérents au niveau de la coopérative COOPELSO
ou équivalente à la période au cours de laquelle l’éleveur peut utiliser les services des filiales ;
cette durée de conservation étant majorée de 5 ans pour tenir compte des dispositions
de l’article 2224 du Code Civil.
Tous les associés coopérateurs de la coopérative sont informés du droit qu’ils ont d’accéder
aux données personnelles qui font l’objet d’un traitement par la coopérative et éventuellement
i) L’existence d’une prise de décision automatisée : il n’y a pas de décision automatisée puisque
l’information concernant les données est nécessaire à la conclusion ou à l’exécution d’un contrat
entre la personne concernée et le responsable du traitement représentant la coopérative (cf. contrat
coopératif bilatéral).
ARTICLE XII
Le présent règlement intérieur peut être modifié par le conseil d’administration sauf en ce qui concerne
le nombre, la délimitation et la représentation des sections à l’assemblée générale qui ressortent
de la compétence de l’assemblée générale.
Tout associé coopérateur peut en prendre connaissance au siège social ou sur le site INTERNET
de la coopérative. Une copie peut lui en être délivrée à ses frais.
AVEYRON
AVEYRON OUEST
SEGALA
CASSAGNES BEGONHES – NAUCELLE – SAUVETERRE – RODEZ – PONT DE SALARS – LAISSAC – BOZOULS – MARCILLAC –
CAMPAGNAC.
AVEYRON NORD
CONQUES – ENTRAYGUES – STE GENEVIEVE SUR ARGENCE – ST AMANS – LAGUIOLE – ST CHELY – ESTAING – ST GENIEZ –
MUR DE BARREZ – ESPALION ;
Ainsi que les départements suivants : Ardèche, Cantal, Loire, Haute-Loire, Lozère et Puy-de- Dôme.
AVEYRON SUD
SEVERAC LE CHATEAU – VEZIN – SALLES CURAN – ST BEAUZELY – REQUISTA – ST SERNIN/RANCE – MILLAU – ST ROME/
TARN – ST AFFRIQUE – BELMONT/RANCE – CAMARES – CORNUS – NANT – PEYRELEAU ;
Ainsi que le département du Gard.
TARN
TARN NORD
TARN SUD
PYRENEES-ORIENTALES
Le département.