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ENTREPRISE NATIONALE DE GEOPHYSIQUE

E. NA. GEO
DIVISION EXPLOITATION SISMIQUE

Département Topographie Sismique

Rapport de stage
Présenté par :
Laouar Abderrahim
Chef de brigade topographie

2009
Rapport de stage EGS 210

SOMMAIRE

- Introduction
- Historique et développement
-Les avantages du système GPS pour un projet 
- Les domaines d'application
- Principe de fonctionnement
- Le segment spatial : les satellites
- Le segment utilisateur
- Le segment de contrôle
- Techniques de positionnement  
- Positionnement absolu (mode naturel)
- Mesure de pseudo-distance
- Principe des multiples différences 
- Positionnement relatif (mode différentiel) 
- Principe de la mesure différentielle 
- Modes d’observation 
- Différentes techniques de mesure en mode différentiel 
- Le mode statique
- Le mode statique rapide 
- Le mode cinématique 
- Mode RTK (Cinématique temps réel)
- Levés par GPS 
- Implantation par GPS 
- Procédures de travail topographique pour opération d’acquisition sismique
- Présentation de l’équipe topographie
- Chef de brigade

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Rapport de stage EGS 210

- Technicien topo
- Aide topo
- Travaux de terrain
- Reconnaissance
- Réseau GPS
- Calibration du matériel topo
- Levé des obstacles
- Lève les lignes sismiques
- Mise en station
- Contrôle de la station de référence
- Layon nage
- Offsets
- Travaux de bureau
- Traitement du fichier DGPS
- Logiciels utilises
- Logiciel leica Geo Ofice (LGO)
- Logiciel TRIMMAP
- Logiciel Tri mble Geomatics Office (TGO)
-Conclusion

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Rapport de stage EGS 210

-Introduction

Dans le cadre de mon stage à l’EGS 210, j’ai préparé ce rapport qui explique les procédures
de travail relatives à l’activité de la topographie dans les chantiers sismiques.

-Historique et développement 
Le concept NAVSTAR est le résultat d'études entreprises en 1965 par l'armée de l'air et la
marine américaine. On cite à titre d’information les dates qui ont marqué la réalisation:

1965 : Premier concept du GPS.

1972 : Études préliminaires de faisabilité du GPS.

1974 – 1979 : Validation du concept (1er tir Février 1978).

1979-1986 : Évaluation et développement.

1986-1994 : Mise en place opérationnelle (Phase interrompue entre janvier 1986 et


février 1989). Les lancements des satellites du BLOCK II n'ont en fait commencé
qu'en février 1989.

-Les avantages du système GPS : 

Le système GPS (Global Positioning System) avec sa constellation complète, peut


potentiellement offrir le moyen d’améliorer et d’accélérer la productivité pour un projet,
parmi les avantages du GPS on peut citer :

 Réduction des coûts du projet.


 Délai d’exécution court.

 Pas de contrainte d’intervisibilité.

 Les observations sont possibles même par mauvais temps.

-Les domaines d'application

Les services offerts par la technologie GPS sont presque illimités. En effet, l'utilité de cette
technologie a déjà été démontrée, notamment dans les domaines suivants :
 Navigation aérienne et maritime.

 Localisation d'objets ou des phénomènes.

 Levés géodésiques et aériens.

 Navigation et suivi de véhicules.

 Gestion des ressources naturelles et agricultures.

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 Activités de plein air.

-Principe de fonctionnement 

Le GPS comprend trois segments :


_Le segment de contrôle.
_Le segment spatial.
_ Le segment utilisateur.
Ces trois composantes doivent bien fonctionner pour que le GPS soit utilisable.

- Le segment spatial :

Les satellites

Composé de 24 satellites, répartis sur 6 plans orbitaux, inclinés de 55° sur l’équateur,
chaque satellite parcours son orbite en 12h à une vitesse d’environ 4km/s à une altitude
de 20200 km et émet en permanence sur deux fréquences différentes : L1 = 19 cm et L2 =
24 cm. Le signal de base est une oscillation sinusoïdale appelée porteuse.
Les fréquences utilisées sont f1 =1575.42 MHz et f2 =1 227.60 MHz. Ces ondes porteuses
sont modulées par des codes qui sont des séquences binaires répétitives:

 code C/A (Corse Acquisition) ou bien acquisition


grossière, pour la fréquence L1.
 code P (Précise) ou acquisition précise, pour les
fréquences L1 et L2
Des données de navigation sont aussi émises par chaque
satellite.

- Le segment utilisateur

Regroupe l’ensemble des récepteurs civils et militaires qui ne font que recevoir et traiter
les informations des satellites.

- Le segment de contrôle

Les satellites reçoivent des informations de 5 stations de contrôle situées au sol, elles
permettent également de synchroniser parfaitement les horloges atomiques et régler la
position orbitale et la vitesse de chaque satellite.

- Techniques de positionnement :

- Positionnement absolu (mode naturel) :

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Il considère la relation entre un récepteur et plusieurs satellites, il est employé pour la


navigation car sa précision est de  100 m (C/A), de  15 m (P) et de longueur d’onde λ =
300 m. Il utilise le récepteur isolé, avec pseudo- distance (code C/A ou P) comme type de
mesure.

- Mesure de pseudo-distance

Au temps t0, chaque satellite émet une impulsion qui se propage dans l’espace en ondes
concentriques aux satellites. Le mobile (récepteur) reçoit ces impulsions à tour de rôle en
des temps t1, t2, t3... ce qui doit, en principe permettre de mesurer les distances aux
satellites : D1 = c. (t1 – t0), D2= c. (t2 – t0), D3 = c. (t3 – t0), etc. avec une célérité c = 3.108
m/s. Mais l’horloge du récepteur étant moins précise que celles des satellites, elle peut
avoir dérivé, être « en avance » d’un temps t, on aura respectivement D`1 = c. (t1 + ),
D`2 = c. (t2 + ), D`3 = c (t3 + ) etc. On dit qu’on a calculé des pseudo-distances au lieu
des distances vraies.

- Principe des multiples différences 

Différences simples
Cette méthode est plus connue comme étant la différence des mesures de la phase entre
une position du satellite et deux stations qui observent simultanément le même satellite.
Cette différence élimine l’effet de biais d’horloge du satellite et réduit les erreurs d’orbite
et de propagation des ondes. Comme il est possible de réaliser une simple différence entre
un récepteur et deux satellites).
Différences doubles
C’est la différence entre deux différences simples relatives à deux satellites différents de la
même époque avec les mêmes récepteurs, cette méthode élimine l’effet des instabilités
dans les horloges des récepteurs. Seule la double différence est couramment utilisée dans
les logiciels de traitement afin de calculer une solution GPS optimale et définitive .
Différences triples
La triple différence est la différence entre deux doubles différences rattachées à la même
constellation mais à des époques différentes. L’avantage de la triple différence réside dans :
 Elle élimine l’ambiguïté de la phase.

 Elle permet la détection des sauts de cycles.


- Positionnement relatif (mode différentiel) 

- Principe de la mesure différentielle 

Le problème principal est de déterminer le nombre entier de phases écoulées entre


l’émission du signal par le satellite et la réception par l’antenne au sol (récepteur) afin d’en

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déduire la distance satellite récepteur. Le zéro arbitrairement fixé à l’allumage du


récepteur ne fournit pas la partie entière de la phase; c’est pourquoi il faut procéder par
différences en utilisant deux récepteurs travaillant simultanément.

- Modes d’observation 

- Différentes techniques de mesure en mode différentiel 

- Le mode statique
Les combinaisons des doubles différences avec quatre, cinq, six satellites permettent la
détermination précise du vecteur au sol.
Malheureusement, le calcul de ces combinaisons requiert un minimum de temps
d’observation pendant lequel la réception des signaux satellites doit être parfaite, sans coupure
et les récepteurs doivent demeurer immobiles : c’est le mode de mesure GPS statique. La
durée d’observation est d’environ 30 mn pour un récepteur fréquence sur une base de 20
km. Cette méthode est utilisée pour de longues lignes de base supérieures à 10 km. Elle est
donc réservée aux réseaux géodésiques.

- Le mode statique rapide 

Le mode statique rapide est basé sur le même principe que le mode statique mais en
limitant la portée, en mesurant avec des configurations favorables des satellites le GDOP
(Geometric dilution of précision) et le PDOP (position dilution of précision) optimaux, et
en utilisant plutôt des récepteurs bifréquence permettant ainsi de réduire la durée de
l’observation. Il permet de déterminer en 5 à 10 mn d’observation tout point dans un
rayon d’une vingtaine de kilomètres autour de la station de référence (10 à 20 mn avec un
GPS mono fréquence pour des lignes de base allant jusqu’à 10 km). La précision est au
mieux de ± (5 à 10 mm + 1 ppm). Un premier récepteur est en permanence sur une station
de référence; un second est itinérant et se déplace d’un point à l’autre dans un rayon de 10
à 20 km autour de la station de référence.

- Le mode cinématique 

Cette méthode a été développée pour réduire les durées d’observations et augmenter la
productivité tout en gardant la même précision que le mode statique. Elle consiste à
observer une chaîne de points pour lesquels les ambiguïtés sont communes. Le mode
opératoire de cette technique, comprend un récepteur fixe sur un point connu qui
enregistre en continu les observations, les récepteurs itinérants se déplacent sur les points
à déterminer.

- Mode RTK (Cinématique temps réel) :

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Le système RTK utilise un récepteur fixe (station de base dont la position est connue
précisément) et un certain nombre de récepteurs mobiles. La station de base compare la
position calculée à partir du signal GPS et la position réelle, puis réémet les corrections à
apporter vers les récepteurs mobiles, Le cinématique en temps réel permet de connaître
immédiatement les coordonnées du récepteur mobile, ce qui permet de faire de
l’implantation par GPS, de vérifier à tout instant la qualité des mesures effectuées et de se
rendre compte d’une rupture de faisceau.

Cette technique a permis aux utilisateurs du GPS de se rendre compte que deux minutes
de mesures peuvent parfois être suffisantes à la résolution des ambiguïtés en statique
rapide (bifréquence, lignes de base inférieures à 10 Km).

Pratiquement, le récepteur fixe, stationné sur un point connu émet en permanence par
liaison radio des informations au récepteur mobile qui, en les recoupant avec ses propres
acquisitions, recalcule sa position à chaque instant.

Pour implanter ou lever des points en temps réel dans un système national (Lambert en
Algérie) alors que les renseignements fournis par le GPS se réfèrent au système mondial
WGS84, une possibilité est de procéder à un étalonnage GPS : c’est un procédé qui permet
de calculer les paramètres de transformation nécessaires pour passer d’un système à l’autre
(transformation du type Helmert 3D).

Il faut déterminer les coordonnées GPS d’au moins trois points connus dans le système de
projection « local ».

- Levés par GPS 


Le système GPS permet aussi le levé de points de détails en mode
cinématique (ou Stop and Go). La précision centimétrique est
souvent suffisante pour des levés de détail. Un récepteur fixe étant
placé sur un point connu, le récepteur mobile est initialisé près du
récepteur fixe pendant cinq minutes, puis se déplace de point en
point. L’opérateur stationne le récepteur mobile pendant dix
secondes (ou deux époques de mesure) puis passe au point suivant.

- Implantation par GPS 


Fig.18 Levé par GPS
Nous avons vu que le récepteur GPS calcule une
position en coordonnées (X, Y, Z) à un instant t, si
l’on considère une succession d’événements dans le
temps, on obtient pour chaque époque une nouvelle
position ; l’intervalle de temps entre deux époques
peut être programmé dans le récepteur, en choisissant
en général un intervalle de quelques secondes. Si
l’utilisateur ou l’implanter se déplace des points de
départ (sommet de polygonation, point des réseaux

Fig.19 Implantation par GPS


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d’appui ou point implanté au préalable) jusqu’au


point de destination (point que l’usager veut
implanter), le récepteur construit à partir des
coordonnées des points de départ et de destination le
vecteur liant deux points successifs et calcule la
direction (l’azimut), la distance ainsi que la vitesse
de déplacement.
De cette manière on obtient des informations
précieuses permettant de faire l’implantation des
différents points caractéristiques.

- Procédures de travail topographique pour opération d’acquisition


sismique

- Présentation de l’équipe topographie

Les principaux éléments de l’équipe topographie sont les suivant :

 Chef de brigade topo ;


 Technicien topo ;
 Aide topo. 

- Chef de brigade
Le chef de brigade topo est le premier responsable sur l’équipe topo, son rôle est
d’organiser et de suivi les déférents travaux sur le terrain et d’effectuer les différents
traitements des données sur le bureau, il est travaillée en coordination avec les différentes
sections

- Technicien topo
Son rôle est d’organiser et de suivi le travail sur le terrain et d’aider le chef de brigade dans
les différentes taches.

- Aide topo
Le rôle de l’aide topo est d’exécuter les diffèrent travaux sur le terrain. Et suivi tout les
indications de chef de brigade.

- Travaux de terrain

- Reconnaissance

Avant de commencer les travaux topographiques une reconnaissance de l’étude


est nécessaire pour la réalisation du projet dans les bonnes conditions.
Cette reconnaissance nous permettra de prévoir ce qu’il faut comme matériel

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roulant, équipements nécessaires et les dispositions à prendre.


Dans cette reconnaissance le chef de brigade doit signaler les obstacles, les accès,
les points géodésiques, GPS,

- Calibration du matériel topo

Avant de commencer les observations GPS il a été procédé au calibrage des instruments
topographiques. Ce procédé consistait à implanter un petit polygone au camp avec autant
de sommets que d'instruments et de procéder à une observation de 30 mn afin de
contrôler l'état des équipements et des logiciels.

- Réseau GPS

Avant le démarrage d’une étude, il faut réaliser un réseau GPS, ce réseau est
utilisé pour les levés et l’implantation des lignes sismiques.
Pour réaliser un réseau GPS la brigade topographie doit disposer des
équipements nécessaires et indispensables. Les origines planimétrique et
altimétrique doivent être connues.
Un réseau GPS comporte des points GPS observés en mode statique ou statique
rapide, l’observation doit se faire avec au minimum trois récepteurs, plus le
nombre de récepteurs est grand plus on gagne du temps, la durée d’observation
dépend de la longueur de ligne de base et ne peut être en aucun cas inférieure à
45 mn pour le mode statique. Pour le mode statique rapide le minimum de
temps et de 8mn pour une configuration de 6 satellites et plus, après les
observations des points GPS on commence de calculer les lignes de bases et
l’ajustement de réseau.

- Lève les lignes sismiques (S/G) :

Avant de commencer l’implantation, le topographe doit être s’assurer du « preplot », et que


l’équipement nécessaire au travail est en bon état de marche.
Le levé des lignes sismiques doit être fait avec le maximum de soin. Il est donc prendre le
plus grand soin pour l’écriture sur le piquet, cette écriture doit être claire et lisible.

Pour éviter les sauts de piquets ou l’oubli il faut vérifier de temps en temps le numéro du
piquet à implanter avec l’opérateur

- Levé des obstacles

L’obstacle peut être naturel (falaises, dunes, ouedes ...) ou artificiel (pipe, base, usine,
route, ...).
Avant tout travail de levé de lignes sismiques particulièrement en 3D les obstacles doivent
être levés avec le maximum de détails.

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Ce levé peut être demandé à part ou faisant partie de l’ensemble du travail.


Chaque type d’obstacle doit être dans un fichier spécial pour éviter toute confusion lors de
l’établissement du plan, chaque obstacle doit être différencie par une couleur pour être
identifie facilement.
Une fois tous les obstacles levés, ils doivent être reportés sur le même plan. 

. - Contrôle de la station de référence

Pour contrôler et vérifier la mise en station avant l’implantation du premier piquet, un


contrôle sur un point connu est obligatoire. Si la fermeture sur ce point est hors tolérance
il faut vérifier la station de base et le cordonnées introduits.

- Mise en station

Le centrage et la mise en station de station de référence sont sur un point GPS connu.

- Offsets

Avec la présence des obstacles (dunes, pipes, sonde, route, usine…) il faut shifter des
points sources. Les distances de shift sont données généralement par le client.
Dans tous les cas de terrain l’offset doit être respecté, et ne jamais l’implanter en dehors de
la tolérance. En cas de difficulté en demande l’avis de client pour la décision finale (skippé,
doublé, maintenu). 

- Layonnage

Le layonnage doit se faire normalement en zone facile avec le shift prévu.


En terrain dunaire le layonnage se fera normalement aussi sauf en cas d’accès difficile le
topographe se limitera à l’offset maximum d’offset et l’équipe bull choisira le passage le
plus facile entre la ligne source et le maximum d’offset et procédera à l’ouverture.

- SKIP

Les points skips si tout les points in chiftèe

- Travaux de bureau

Les données terrain sont traitées au jour le jour et ne doivent en aucun cas
rester sans traitement pour le jour suivant sauf cas exceptionnel .
Les piquets doublés, omis, mal implantés sont notés pour une éventuelle
surpression ou reprise.
Chaque jour et après le transfert des données de la carte PCMCA au PC, le chef de brigade
doit effectuer :

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 Contrôle de la qualité du levé (CHK, GDOP…),


 Comparaison entre PREPLOT et POSTPLOT,
 Mise à jour sur TGO (Projets : Post plot RCV et Post plot SWATH, SwathDGPS),
Contrôle avec un soin particulier les fichiers de données définitives (WGS, SEG),

- Traitement du fichier DGPS

Le traitement du fichier DGPS se fait quotidiennement par la brigade topo, pour la


détermination des points vibrés, le fichier traité est soumis à une comparaison au fichier
topo est les points dépassant la tolérance préalablement fixée par le client sont controlés
rigoureusement et ceux qui présentent des doutes sont levés le lendemain (levé de la Base
plate des vibros) et un autre calcul est effectué en tenant compte des nouvelles données.
Pour traiter les données labo en utilisant les deux fichiers APS et RAPOBS.

- Application et mise en ouvre


L’outil informatique
Plusieurs logiciels sont indispensable pour transférer, traiter, visualise des données

- Logiciel leica Geo Ofice (LGO)

LGO est un logiciel de traitement des données brutes de GPS, il permet d’importer, de
visualiser, de traiter et d’exporter les données brutes de GPS.
- Logiciel TRIMMAP
Trimmap est un logiciel de comparaison entre les différents fichiers post plot, preplot, avr,
il permet de trouver les points mal implantés pour les corriger.

- Logiciel Tri mble Geomatics Office (TGO)

TGO est un logiciel d’importation, visualisation, traitement, et d’exportation des données.


Il permet d’organiser les différents types de données en couches et les visualiser sur le
même plan.
La transformation des données en SEG et WGS est effectuée à laide d’un programme de
transformation.

-Conclusion

Mon stage au sein de la mission EGS 210, je tiens à remercie les éléments de la brigade
topo.

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