Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
& POPULAIRE
Polycopié
Présenté par :
Intitulé
CULTUREIN VITROVEGETALE
1
2014/ 2015
2
TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION ……………………………………………………………………… 01
I. ASPECTS FONDAMENTAUX 02
Loupe binoculaire………………..……………………………………. 10
• pH mètre……………………………..………………………………… 10
• Balance de précision, 0,001g……………….………………………… 10
Etuve………………………………………………….…….…………..10
• Autoclave…………….………………………………………….……... 10
• Four pasteur…………………………………………………………… 11
3
• Bec bunsen……………………...……………………………………… 11
• Entretien de la hotte………………………………………………….. 12
D- Evaluation de l’étudiant…..……………………………….…………….…… 13
A- But du TP…..……………………………….………………………………….. 14
B- Matériel…..……………………………….…………………………………….. 14
C- Produits chimiques…..……………………………….……………………….. 14
D- Mode opératoire…..……………………………….……………………………. 15
E- Evaluation de l’étudiant…..……………………………….…………………….. 20
A- But du TP…………………….…….…………………….…….………………. 21
B- Matériel…………………….…….…………………….…….………………… 21
C- Produits chimiques…………………….…….…………………….…….……. 21
D- Mode opératoire…………………….…….…………………….…….……….. 21
E- Evaluation de l’étudiant…………………….…….…………………….……. 22
4
TP N°4 : Manipulation en conditions aseptiques sous hotte à flux laminaire… 23
A- But du TP……………………….…………………….………………………... 23
B- Matériel………………….…….…………………….………………………...... 23
C- Produits chimiques………………….…….…………………….…………….. 23
D- Mode opératoire…...…………….…….…………………….………………… 23
E- Evaluation de l’étudiant………………….…….…………………….……….. 25
G- Matériel ……………….…….…………………….……………………………. 26
H- Produits chimiques……………….…….…………………….……………….. 26
I- Mode opératoire……...……….…….…………………….…………………… 26
J- Evaluation de l’étudiant……………….…….…………………….………….. 27
K- But du TP…………………….…………………….…………………………... 28
L- Matériel……………….….…………………….………………………….......... 28
M- Produits chimiques…………….…….…………………….………………….. 28
N- Mode opératoire……..…….…….…………………….……………………… 28
O- Evaluation de l’étudiant…………….…….…………………….…………….. 30
INTRODUCTION
5
La multiplication végétative in vitro est un mode de reproduction asexuée
artificielle, elle comprend un ensemble de méthodes faisant intervenir, d’une part des
éléments d’asepsie, et d’autre part la mise en place d’un environnement parfaitement
contrôlé : milieux définis pour chaque espèce végétale, conditions optimales de
température, photopériode, d’humidité,…. Ces méthodes s’appliquent autant à des
fragments de plante (tissus ou organes), qu’à des cellules isolées nommées
protoplastes (Dutuit et Gorenflot, 2008).
Les techniques in vitro, outre l’aspect technologique qui sera examiné dans les
protocoles expérimentaux, doivent permettre de résoudre un certain nombre de
difficultés, tel que de maintenir l’explant en vie, et favoriser l’activité de sa croissance
par le déclanchement de la division cellulaire.
I. ASPECTS FONDAMENTAUX
6
Les applications de la culture in vitro sont nombreuses aujourd’hui tant dans le
domaine de l’horticulture que dans celui de la recherche (notamment en amélioration
des plantes), ou encore pour conserver la diversité variétale (Conservatoires) pour
sauvegarder des espèces menacées (conservations ex-situ). Ces techniques exigent la
connaissance des facteurs de l’environnement (température, lumière, composition du
milieu…) du fragment de plante mis en culture afin de l’orienter vers un programme
d’évolution déterminé (Dellaa, 2013).
• Assainir des plantes virosées et conserver des plantes saines (Agnès et al., 2013).
I.1. Micropropagation
8
I.2. Culture méristèmatique
Les facteurs influant sur la régénération in-vitro peuvent être répartis en deux
groupes :
9
1- Les facteurs internes, liés à la plante : concerne d'une part le génotype, la
nature et l'âge ontogénique de l'explant et d'autre part l'état physiologique de
la plante mère sur laquelle, l'explant a été prélevé ;
2- Les facteurs externes qui englobent, les milieux de cultures (notamment leur
composition en régulateurs de croissance et les sucres) et les conditions de la
mise en culture.
Un des atouts majeurs de la culture in-vitro est de montrer que, les cals
pouvaient produire soit des embryons somatiques, soit des bourgeons et dont le
développement permet de régénérer des plantes conformes à la plante mère.
Pratiquement, n'importent quel organe (bourgeon, racine, feuille, anthère, etc.) ou
fragment d'organe (explant), prélevé sur celle-ci, peut être cultivé isolément sur
milieu nutritif synthétique, mais le choix de celui-ci est d'une importance
primordiale. On retiendra cependant que la réponse in-vitro est sous la dépendance
de nombreux facteurs (Saadi et Hamdani, 2007).
Généralement dans les cultures in vitro, les explants les plus jeunes (embryons
immatures, jeunes feuilles, méristèmes etc.) sont les plus privilégiés. Leur état
juvénile favorise plus de possibilités de régénération. (Vidalis et al., 1989). Souvent, ce
sont les tissus provenant d'embryons qui expriment le plus souvent, d'une manière
nette et reproductible, l'aptitude à la régénération, suivis de loin par les cotylédons
(Saadi et Hamdani, 2007).
Plus la taille est importante et plus les équilibres endogènes sont déterminants
et les conditions extérieures seront influentes. La taille choisie variera selon la nature
de l’explant. Si l’explant est de nature reproducteur, le prélèvement devrait
engendrer l’organe en sa totalité (un nœud, un apex, ou un bourgeon entier). mais
dans le cas d'un tissu différencié (feuilles, tige, racines, inflorescence...) des fragments
de 5 à 10 mm suffiront (Vidalis et al., 1989; Saadi et Hamdani, 2007).
D'une manière générale, il existe des tissus privilégiés appelés «tissus cibles»
qui répondent à un stimulus indicateur qui orientera son programme
morphogénétique vers une voie particulière de développement, contrairement à
certains tissus récalcitrants aux manipulations in-vitro, dues essentiellement à un
manque de compétence cellulaire (Webb et al., 1989; Wheeler et al., 1985).
11
Les principaux constituants d'un milieu de culture sont généralement
représentés par : les macro et les microéléments, les sources carbonée et azotée, les
vitamines et régulateurs de croissance (Vidalis et al., 1989).
Dans 70% des cultures, le milieu Murashige et Skoog (MS) est utilisé comme
milieu de base pour tout type de culture in vitro. Ce milieu est essentiellement
conseillé pour le déclenchement de l'organogenèse, en particulier pour la
néoformation de bourgeons, il s'est révélé nettement supérieur à d'autres milieux
(Margara, 1989).
Par ailleurs, il est important de dire, en se basant sur la diversité des réponses
obtenues dans ce domaine, qu'il n'existe pas de règle générale, concernant l'efficacité
12
des différentes auxines et cytokinines sur la caulogenèse ou sur la rhizogenèse. Les
effets paraissent varier essentiellement avec le matériel végétal employé. Il est utile
de rappeler, que les auxines les plus souvent utilisées en organogenèse ou en
embryogenèse somatique sont le 2.4-D, l'AIA, l'AIB et l'ANA. A cause de son bon
pouvoir inducteur, le 2.4-D semble détenir, le record d'utilisation dans les études
portant sur l'embryogenèse somatique ; puisque 57 % des travaux de recherche
l'utilisent comme régulateur. Quant aux cytokinines, elles sont représentées par la
Kinétine, la benzyladenine (BA), la 2-isopentenyladénine et la zéatine (Vidalis et al.,
1989).
I.4.1. La photopériode
I.4.2. La température
La température de beaucoup de chambres de culture est constante de l’ordre
de 22° à 25°C (Kone et al., 2010). Mais, selon Lê (1994), des faibles températures de
15°à 20°C stimulant la microtubérisation chez la pomme de terre. Tchetche (2008)
explique dans ces travaux que l’incubation des vitroplants à des températures non
régulières incite la non régularité de l’évapotranspiration du plant, et par conséquent
une diminution de sa croissance.
B- - Matériel de laboratoire
14
Pour le bon déroulement de l’expérimentation ; le laboratoire doit posséder un
équipement de base, et d’en prendre soin :
• Loupe binoculaire : Cette loupe sert à isoler des méristèmes. Elle doit avoir
une très bonne qualité optique. Le grossissement jusqu’à 40 fois permet une bonne
visualisation du tissu.
15
• Bec bunsen : C’est le bruleur le plus utilisé pour une stérilisation sèche, dite
à la flamme, des instruments (pinces, Scalpels et bistouris). La flamme du bec bunsen
doit être non pas jaune mais bleu. Ce type de flamme est obtenu par le réglage de la
virole qui permet d’agencer l’entrée de l’air dans le bec bunsen. Dans ce cas-là, la
température peut atteindre à l’intérieur de la flamme 5000°C. La chaleur produite
stérilise l’atmosphère au-dessous de la flamme, et se produit tout autour du bec un
déplacement ascendant de l’air, créant ainsi une zone stérile d’un diamètre de 20 cm
maximum.
16
Figure 2: Hotte horizontale (SEFALAB, 2014 ; Samuel, 2014)
17
Le laboratoire de microbiologie exige une tenue exemplaire. Les manipulations
doivent être effectuées avec grand soins. Les règles que tout étudiant devra suivre
dans son propre intérêt, comme celui de ses confrères sont les suivants :
1- Mettre d’une blouse blanche propre est de rigueur, elle doit toujours être
fermée ;
2- Les étudiants aux cheveux longs doivent les attacher lors de la manipulation ;
7- Après chaque séance de travail, la paillasse devra être nettoyée et les déchets
éliminés.
D- Evaluation de l’étudiant :
L’évaluation écrite de l’étudiant est faite en lui exposant des questions sur la
thématique du TP
18
F- But du TP: Connaitre les bonnes bases pour préparer soi-même le milieu de
culture.
G- Matériel :
La liste des produits nécessaires sont résumés dans le tableau qui suit :
19
I- Mode opératoire
Au cours de la séance de TD, les étudiants définissent leur plan d’expérience avec
les enseignants, réalisent les calculs de dilution pour les solutions mères et milieu de
culture MS ; qui seront ensuite, réalisés au cours de séance de TP n°2. Cette dernière
étape est répartie entre les groupes d’étudiants, pour permettre le gain de temps de la
préparation. L’autoclavage des tubes ou les bocaux de milieu doit se faire par le
personnel enseignant avant le TP suivant.
Les composants des macroéléments sont concentrés 10 fois, pour être dissout
dans 250 ml d’eau distillée. Cette solution va former la solution mère des
macroéléments (tableau 2). Les étapes de préparation qui suivent s’appliquent à
toutes les préparations des solutions. Nous parlons donc de :
20
Macroélément Quantité pour 1l de Quantité concentrée Quantité à prélever
milieu de culture 10 fois pour 250 ml de la solution mère
(mg) de solution mère (g)
KNO3 1900 19
NH4NO3 1650 16,5
25 ml
CaCl2,2H2O 332,3 3,323
MgSO4,7H2O 370 3,7
KH2PO4 170 1,7
Tableau 3 : Solution S1
Quantité pour 1l de Quantité concentrée 10 Quantité à prélever
Micro-éléments milieu de culture fois pour 100 ml de de la
(mg) solution mère (mg) solution mère
MnSO4, 4H2O 22,3 223
ZnSO4, 7H2O 8,6 86 10 ml
H3BO4 (Ac borique) 6,2 62
Solution S2 : Les éléments du tableau 4 sont concentrés 100 fois et dissouts dans
21
100 ml d’eau distillée. La solution est versée dans un flacon, étiquetée et conservée à
4°C durant 30 jours. Suivant ce tableau il faut prélever 1 ml de cette solution pour
préparer 1000 ml de milieu de culture.
Solution V1 :
Solution V2
23
- Verser 5 ml d’eau distillée dans un autre bécher de 10 ml ;
5 ml
FeSO4, 7H2O 27,8 278 mg/ 5 ml H2O
• Saccharose (20 g)
• Les macro-éléments (25 ml)
• Les micro-éléments (S1 :10 ml, S2 :1 ml, S3 :0,1 ml)
• FeEDTA (5 ml)
• Agar-Agar (8 g)
- Retirer du feu et remettre sur un autre agitateur froid pour intégrer les
Vitamines de MS ou de MV (V1 :1 ml, V2 :1 ml, et V3 : 0,1 ml)
-Verser dans les bocaux (à raison de 40 ml par bocal) de culture ou dans des tubes en
verre (10 ml par tube) et autoclaver à 120 °C durant 20 min.
G- Matériel :
- 9 béchers de 50 ml ;
25
- Hotte à flux laminaire ;
- Bec bunsen ;
- Barre en verre ;
- Etiquettes autocollantes.
H- Produits chimiques
- Liquide vaisselle ;
- Eau de javel à 3° ;
I- Mode opératoire :
- Placer le bec bunsen au centre du plan de travail et l’allumer pour avoir une
flamme bleue (sans que sa flamme dépasse 10 cm) ;
- Découper les germes de la base de la pomme de terre et les faire passer sous
l’eau du robinet pour éliminer la poussière ;
- Fragmenter les germes au niveau des entre-nœuds pour avoir des explants de
petits tailles ;
26
- La mise en place des germes dans l’eau distillée non stérile durant 15 mn, en
remuant de temps en temps, afin d’éliminer les impuretés et l’air
emprisonnée entre les poils ;
- Dans la hotte à flux laminaire, replacer des germes dans la solution composée
de 10 ml d’eau distillée plus 2 gouttes du liquide vaisselle, durant 5mn ;
- Faire déplacer les germes avec un pince stérile dans la solution de Mercryl ou
de Dermacide à 30% pendant 3 mn;
- Faire 4 rinçages successif dans l’eau distillée stérile durant 5mn chacun.
- Placer les fragments sur le papier filtre stérile, et couper à nouveau les
extrémités de l’explant ;
- Avec une nouvelle pince stérile, placer les explants dans le milieu de culture ;
- Etiqueter.
27
K- But du TP : Initiation à la manipulation d’explants végétaux en
conditions stériles sous hotte à flux laminaire
L- Matériel :
- Bec bunsen ;
- Barre en verre ;
- Etiquettes autocollantes.
M- Produits chimiques
N- Mode opératoire :
- Placer le bec bunsen au centre du plan de travail et l’allumer pour avoir une
flamme bleue (sans que sa flamme dépasse 10 cm) ;
28
personne droitière doit placer les pinces à droite et les bocaux à gauche. Dans
le cas contraire, il faut inverser les emplacements ;
- Ouvrir les contenants stériles devant sous hotte, retirer avec la pince un
vitroplant et le mettre sur la plaque en verre stérile ;
29
- Fragmenter la tige pour repiquer ces explants dans le nouveau milieu de
culture, et fermer les bocaux (figure 2);
(Bourrain, 2012)
Figure 3 : Erreur de manipulation, bocal hors asepsie
30
TP N°5 : Manipulation en conditions aseptiques en l’absence de la hotte à flux
laminaire
B- Matériel :
- Barre en verre ;
- Etiquettes autocollantes.
C- Produits chimiques
D-Mode opératoire :
31
- Entamer la manipulation après minimum 15 mn de l’allumage des flammes.
Figure 1 : Mise en place d’une zone aseptique sans la présence de la hotte à flux
laminaire
- Avec la pince stérile, placer les explants dans le milieu de culture du bocal ;
32
E- Evaluation de l’étudiant : Un compte rendu de l’étudiant est demandé à la
fin de la séance, expliquant les difficultés rencontrées et les gestes à éviter lors de
la manipulation en conditions aseptiques.
B- Matériel :
- Bec bunsen ;
- Barre en verre ;
- Etiquettes autocollantes.
C- Produits chimiques
D- Mode opératoire :
33
- Allumer la hotte et désinfecter le plan travail et les parois latéraux avec
l’hypochlorite de sodium (l’eau de javel) ou par de l’éthanol à 70° ;
- Placer le bec bunsen au centre du plan de travail et l’allumer pour avoir une
flamme bleue (sans que sa flamme dépasse 10 cm) ;
- Ouvrir les contenants stériles devant sous hotte, retirer avec la pince un vitroplant
et le mettre dans la moitié de la boite de Pétri stérile ;
- Avec deux pinces stériles, immobiliser la tige et éliminer les feuilles en les tirants
dans le sens opposé de leur orientation. Les méristèmes ressemblent à la figure qui
suit ;
0,5 cm
34
- A l’aide d’une aiguille de seringue stérile et sous loupe binoculaire, la paire
suivante d’ébauches foliaires du méristème sont excisées (figure 2) ;
35
E- Evaluation de l’étudiant : Le sérieux de l’étudiant et sa vigilance lors des
préparations des solutions font l’objet d’une évaluation par les enseignants.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
lang=fr&msg-id=42719
- Dalvesco L.L et P.M. Guerra. 2001. The effectiveness of nitrogen sources in Feijoa
somatic embryogenesis. Plant Cell Tissue and Organ Culture 64:19 – 25.
- Demol J., Baudoin J.P. et B.P. Louant. 2008. Amélioration des plantes : application
aux principales espéces cultivées en régions tropicales, Ed presse agronomique de
Gembloux, la Belgique, p 581.
37
- Guyot M.J., Seguier-Guis M. et D. Duris. 2003. Terre des cafés, Ed CIRAD, p 141.
- Isac V., Popescu A.N. et M. Coman. 1994. Studies on plant regeneration from
tissue-derived callus in Fragaria X ananassa Duch. In : Schmidts H. et M
Kellerhals. Progress in temperate fruit breeding. Kluwer Academic Publishers.
395-398 p.
- Jayasree T., Pavan U., Ramesh M., Rao A.V., Reddy J .M.K. et A. Sadanandam.
2001. Somatic embrogenesis from leaf cultures of potato.
- Kone T., Kone M., Kone D., Kouakou T.H., Traore S. et Y.J. Kouadio. 2010. Effet de
la photopériode et des vitamines sur la micropropagation du bananier plantain
(Musa AAB) à partir de rejets écailles de rang. Journal of Applied Biosciences 26:
1675 – 1686.
- Morel G. et R.H. Wetmor. 1951. Ferncallus tissue culture. Ann.J. Bot., 38, 141143. In:
Haïcour R., 2002. Multiplication de plantes herbacées in vitro modèle Solanum
tuberosum L, Biotechnologie végétale, techniques de laboratoire. Londres, Paris,
New york: TEC & DOC., 1-16.
- Murashige T. et F. Skoog. 1962. A revised medium for rapid growth and bio assays
with tobacco tissue cultures. Physiol Plant., 15, 473–497.
38
- Ochette C. 2005. Growth, quality and biothecnology, WFP publisher.finland.
- Sama A.E., Simon Z., Nyochembeng L., Tambong T.A., Nezana X. et J.G Wutah.
1998 : Culture in vitro et multiplication rapide de plante à tubercules et racines au
Caméroune. Cahier Agriculture. 7 : 63-66. In : Hamdani F.Z. 2001. Régénération
via l'organogénèse Ou L'embryogenèse somatique chez le Scorpiurus. Univeristé
Hassiba Ben Bouali de Chlef - Magister.
39
- Staritsky G. et G.A.M. Van Hassel. 1980. The synchronized mass propagation of
Coffea canephora in vitro. Proc. 9. Int. Science Colloquium on Coffea, Paris, 597–
602.
- Unnikrisham S.K., Mehta A.R. et P.N. Bhatt. 1990. Abscisic acid induced high
frequency embryogenesis from Sapindus trifoliatus leaves :89-94. Acta Horticulturae
280. In vitro culture and Horticultural breeding.
- Vidalis H., Augé R., Beauchesne G., et al. 1989. La culture in vitro et ses
applications horticoles. Lavoisier, Tec et Doc (ed). 7- 24.
- Webb K.J., Osifo O.E. et G.G. Henshaw. 1983, Shoot regeneration from leafl et discs
of six cultivars of potato (Solanum tuberosum ssp. tuberosum). Plant Sci.
Lett. 30, 33-47. 26.
- Wheeler V.A, Evans N.E., Foulger D., Webb K.J., Karp A., Franklin J. et S.W.J.
Bright. 1985, Shoot formation from explant cultures of fourteen potato cultivars
and studies of the cytology and morphology of regenerated plants.
Ann. Bot. 55, 309-312.
40