3.outils Et Méthodes de Créativité

Outils de la créativité
Bibliographie et sources :
Campus Numérique : Grigore GOGU ifma Clermont Ferrand

Approche Altshullerienne de la créativité : denis CAVALLUCCI
Ingénierie de la conception et cycle de vie des produits : Roucoules / Yannou / Eynard
La recherche et l’innovation en France : Lesnourne / randet
L’intelligence créative au-delà du brainstorming : Swiners / Briet
Fabriquer le futur 2 : Musso / Ponthou / Seuillet
Jaillot jacques 2009

Outils d'analyse et de créativité
Le web : premier outil de créativité
Schéma de l’univers
produit par ordinateur
B
Brevets t d’i
d’inventions
ti :
http://fr.espacenet.com/
3. Fabriquer le futur
Imagerie du cerveau
Schéma de l’univers
produit par
p p ordinateur
Schéma
Jaillot jacques 2009 d’internet
Le web : premier outil de créativité

résolution créative des problèmes méthodes psychologiques Outils d'analyse et de créativité
MINDMAPPING

MINDMAPPING

MINDMAPPING
Exercice de freinage
les six chapeaux de la réflexion
Edward DEBONO
voir Map Mapping

CONCASSAGE
S: SUBSTITUER
Mettre un élément à la place d’un autre......
Qu’est-ce qui peut être remplacé? Qui d’autres? Quoi d’autres? « SCAMMPER »
C: COMBINER
Fusionner deux concepts
concepts, deux idées.....
idées
Que pourrions-nous combiner pour multiplier les usages possibles?
A: ADAPTER
Placer son concept dans un autre contexte
Y a-t-il eu quelque chose de semblable dans le passé?
Que pourrais-je copier?
M: MAGNIFIER
Magnifier, grossir, agrandir ou étendre?
Que peut-on ajouter? du temps? de la force? de la hauteur? de la longueur?
M: MODIFIER
Changer la signification, la couleur, la forme?
Peut-on changer la signification, la couleur, le mouvement, le son, l’odeur, la forme?
P: PRODUIRE ou TROUVER UN AUTRE USAGE
D’autres utilisations ppossibles si on le modifie?
Existe-t-il d’autres utilisations possibles si on le modifie?
E: ÉLIMINER OU ÉPURER
Qu’est-ce qui n’est pas nécessaire?
Peut-on soustraire? supprimer? Diminuer?
Peut on éliminer certaines règles?
Peut-on
R: RÉORGANISER
D’autres dispositions?
D’autres séquences? un ordre différent?
R: RENVERSER (Inverser)
Inverser le positif et le négatif ou tromper les attentes?
Puis-je retourner cela? Mettre le haut en bas? Le bas en haut?

les modèles de Roger VON OECH
LA SUBSTITUTION
Lorsque certaines ressources ne sont pas

disponibles, faites une substitution. En effet,
la plupart des progrès de ll’homme
homme sont le
résultat de la substitution d’une idée ou
d’une chose par une autre : des mots à la
place de g
p grognements,
g , des outils à la p
place
de doigts , de l’argent à la place de biens. Si
vous avez déjà utilisé une pomme de terre
pour en faire une antenne radio ou créé un
couteau à partir une ampoule cassée, vous
avez cette capacité.
VOIR LES CARTES

REGARDE LA NATURE
LLaisse
i l nature
la t t guider.
te g id L’é i
L’épine
collante de la bardane (plante) a
inspiré l’inventeur du Velcro. La
graine d d’érable
érable en forme dd’ailes
ailes a
servie de modèle pour concevoir des
moulins à vent et des hélicoptères
plus efficaces.
efficaces Bell a inventé le
téléphone en imitant l’oreille.
Imaginez que vous êtes un animal
(un castor), une plante (un pissenlit)
ou même un insecte (une abeille).
Comment résoudriez‐vous votre
problème ?
p

APPRENDRE DE TES ERREURS
Les erreurs sont l’une des façons

d’apprendre de la vie. L’un des échecs
de Marie Curie a été le radium,
Christophe Colomb était à la recherche
de l’Inde. Quand on échoue, on voit ce
qui ne fonctionne pas et on a alors
l’opportunité d’essayer autre chose.

SORS DE TA BOITE
Chaque culture a une manière différente de
regarder le monde. Les meilleures idées viennent
souvent lorsqu’on traverse les frontières
di i li i
disciplinaires ett qu’on
’ se tourne
t vers d’autres
d’ t
domaines. Exemple : les créateurs de la seconde
guerre mondiale se sont inspirés du cubisme et de
Picasso pour créer des motifs de camouflage plus
efficaces pour les tanks.

Brainstorming
Alex OSBORN 1888-1966
Voir la map

Brainstorming
BRAINSTORMING
Voir aussi « challenge storming »

SERENDIPITE
La sérendipité est, en entreprise, l'exploitation d'une créativité accidentelle

causée par les circonstances, la chance, une maladresse, une erreur.
Fleur de bardane
Micro ondes
1950
Imprimante jet
d’encre
d encre 1970
V l
Velcro 1948
8

SERENDIPITE
Aspartame teflon
radioactivité
Post-It
Post It
aspirine
i i
Le stethoscope nylon rayons X,
Kevlar
stimulateur cardiaque Walkman Viagra
pâte à tartiner Nutella pénicilline

laser
F-16 Fighting
g g Falcon McDonald’s,
L frisbee
Le f i b
Superglue Poussée Archimède Java

langage informatique
La 2 cv citroën Électromagnétisme
La dynamite
Cellophane Phonographe
Gomme
ANALYSE MORPHOLOGIQUE
PROBLÈME : TROUVER DES SOLUTIONS DE MOBILITÉ DURABLE

INDIVIDUELLE POUR LA VILLE ?
Exemple : glisse sur neige

Voir Exemple : glisse sur neige

20 ans
60 ans

40 ans

Résolution des problèmes inventifs

T.R.I.Z

Résolution des problèmes inventifs Outils d'analyse et de créativité
HISTORIQUE
Way off contradiction
t di ti
Téoria Oriented
Rechénia Innovation
Izobrétatelskikh Strategie
Zadatch (Widerspruchsorientierte
Innovationsstrategie)
Russie
Allemagne
Théorie de la Résolution des Problèmes Inventifs
Theory of
Inventive
ti
Problem
Solving
Etats Unis
HISTORIQUE
Guenrich Altshuller (1926-1998)
« …La créativité est une compétence

«… La créativité est une qui peut s’acquérir avec de la
science exacte …» » pratique elle peut devenir
pratique,
systématique… »

DEVELOPPEMENT
Triz et Peugeot

DEVELOPPEMENT

AVANTAGE S
Orienter les efforts
de recherche vers la bonne
trouver des idées
direction.
originales
Diminuer le risque
d’erreur
d erreur. cimenter une équipe
-penser
p autrement,,
- suscite curiosité chez les -ouvrir l'esprit,
jeunes chercheurs -de travailler différemment
Avantages
inconvénients pour
les entreprises
INCONVENIENT S
Trop différente de quelque
Acquérir la démarche :
é l dé h chose de « concret », d’où une non
h d t d’ ù
Prend du temps acceptation.
Un « jargon » difficile à
assimiler, parfois trop abstrait.

LES TRAVAUX D’ALTSHULLER
Trois postulats principaux :
1.Le caractère inventif de solutions innovantes peut

être exprimé au travers d'un
d un nombre limité de
principes
2.Les systèmes techniques évoluent selon des lois et

sont donc prédictibles.
3.les innovations les plus marquantes utilisent des

effets scientifiques
q et des découvertes q
qui
appartiennent plutôt à d'autres domaines qu'au
domaine spécifique de l'innovation.

LES TRAVAUX D’ALTSHULLER 5 niveaux
d’inventivité Tendances
Notions d’évolution
essentielles 8 Lois
d’évolution
Analyse des Bases de

brevets Analyse
Actions / objets connaissances
Analyse des Outils de Principe des

contradictions 40 principes
comportements résolutions
Matrice de d’innovation
psychologiques systématiques
Des inventeurs résolution
T.R.I.Z
Analyse 76 standards de
Analyse des outils substance résolution
et méthodes /champs
existantes
Méthode des
Analyse de la 9 écrans
littérature
scientifique Outils de R.i.f des
Méthode
résolutions hommes miniatures
psychologiques
Méthode DTC

essentielles 8 Lois
d’évolution

brevets Analyse

T.R.I.Z
existantes
Méthode des
littérature
Méthode
psychologiques
Méthode DTC

5 NIVEAUX D’INVENTIVITE
Tableau avec exemples

essentielles 8 Lois
d’évolution

brevets Analyse

T.R.I.Z
existantes
Méthode des
littérature
Méthode
psychologiques
Méthode DTC

8 LOIS D’EVOLUTION

LOI D’EVOLUTION 1
Un système technique est composé de 4 parties : un moteur,

un transmetteur, un organe de travail et un organe de contrôle.
CONTROLEUR
ENERGIE ACTIONNEUR TRANSMETTEUR EFFECTEUR M.O
SYSTEME
Chacune de ses parties doit atteindre une performance suffisante

(ou minimale) pour que le système soit opérationnel. Si l’une des
parties du système est défaillante, le système n’est pas viable.

LOI D’EVOLUTION 2
La transmission de l’énergie du moteur à l’organe terminal

doit être faite avec un rendement maximal.
Le nombre de conversions de l’énergie utile dans le système

tend à diminuer avec son évolution.

LOI D’EVOLUTION 3
Pour qu’un système technique fonctionne correctement, le rythme

(fréquence, périodicité…) de ses parties doit être coordonné.

LOI D’EVOLUTION 3
brosse à dents biarticulée,, q

qui réduit l’effort
de brossage.

LOI D’EVOLUTION 4
Tout système technique évolue en augmentant son niveau d’idéalité.

Idé lité : R.I.F
Idéalité R I F (Résultat
(Ré lt t Idé
Idéall Fi
Final)
l)
Un système idéal est un système qui :
N’a p
pas de coût
N’a pas de volume
N’a pas de surface
Maximise sa capacité de travail
Maximise ses fonctionnalités
D = Σ Fu
Fu : fonctions utiles
Fn : fonctions néfastes
Σ Fn + Σ Fc Fc : fonctions coûts générés par le
système
1. Il n’y a pas de système, mais la fonction est réalisée.
2. La fonction est réalisée par les autres éléments du système
3 La fonction est réalisée par elle
3. elle-même
même.
4. La fonction n’est pas nécessaire.

LOI D’EVOLUTION 5
Les parties d’un système se développent

et évoluent de manière inégale.
g
c’est la partie la plus médiocre du système qui est en général améliorée
en priorité. Plus le système technique est complexe, plus l’inégalité du
développement des parties est importante. L’amélioration d’une partie
du système peut faire apparaître des problèmes dans une autre partie :
la mise en évidence et la résolution de cette contradiction permet de
faire évoluer le système de manière importante

LOI D’EVOLUTION 6
Lorsqu’un système technique a épuisé ses possibilités de

développement il devient une simple partie d’un
développement, d un super
système et son développement passe alors par celui des
parties de ce super système.
système
Sous système super système

LOI D’EVOLUTION 6 Méthode des 9 écrans

LOI D’EVOLUTION 6
Contrôler
Stocker
Web 1.0
WEB 2.0
Cd DVD Voir : l’informatique « cloud »

LOI D’EVOLUTION 7
L travail
Le t il dans
d un système
tè estt réalisé
é li é tout
t t d’abord
d’ b d au macro niveau,
i puis
i
ce travail est réalisé au micro niveau lorsque le système évolue.

LOI D’EVOLUTION 7

LOI D’EVOLUTION 8
8. Un système technique tend vers un niveau de

contrôlabilité
t ôl bilité accru, pour atteindre
tt i d un niveau
i d’auto
d’ t
contrôle.
Robot Asimo
« HONDA »

essentielles 8 Lois
d’évolution

brevets Analyse

T.R.I.Z
existantes
Méthode des
littérature
Méthode
psychologiques
Méthode DTC

ANALYSE ACTIONS OBJETS
Ojectif : Poser le problème
Objet Action
Efficace insuffisante Mauvaise
. Manquante Excessive
. .
.
Exemple : « une meilleure brosse à dents »

BASE DE CONNAISSANCES
. .
Voir site knollence

essentielles 8 Lois
d’évolution

brevets Analyse

T.R.I.Z
existantes
Méthode des
littérature
Méthode
psychologiques
Méthode DTC

40 PRINCIPES DE RESOLUTIONS
Pomme de terre Problème :

Couper le tube
: un effort de coupe trop grand va
déformer les tubes lait
Problème : Problème :
tuer les bactéries : Tube en plastique stériliser le lait,
trop de chaleur va cuire Pour préserver les principes actifs
actifs, il
l’intérieur de la pomme de terre. ne faut pas chauffer trop fort.
Solution commune à ces trois problèmes :

une action à forte intensité (grande vitesse, haute température)

40 PRINCIPES DE RESOLUTIONS
Les principes fondamentaux utilisées par les inventeurs, toutes industries
confondues n’ exédent pas le nombre de 40.
1. Segmentation
g (fragmentation)
g 21. Grande vitesse
2. Extraction (séparation) 22. Application bénéfique d'un effet néfaste
3. Qualité locale 23. Rétroaction
4. Asymétrie 24. Intermédiaire
5 Combinaison
5. 25 Self service
25.
6. Universalité 26. Copie
7. Emboîtement («poupées russes~») 27.Ephémère et bon marché
8. Contrepoids
p 28 Remplacer les éléments mécaniques
9. Action inverse préliminaire 29. Systèmes
è pneumatiques
i et h
hydrauliques
d li
10. Action préliminaire 30. Membrane flexible et film mince
11. Protection préliminaire (compensation) 31. Matériau poreux
12 Equipotentialité
12. 32. Changement de couleur
13. Inversion (retourner le problème) 33. Homogénéité
14. Sphéricité 34. Eliminer et récupérer
15. Mobilité 35. Changement de paramètres
16. Action partielle ou excessive 36.
6 Transition
ii d de phases
h
17. Changement de d'imension 37. Dilatation thermique
18. Vibrations mécaniques 38. Oxydants puissants
19 Action périodique
19. 39. Atmosphère inerte
20. Continuité d'une action utile 40. Matériaux composites
Voir les 40 principes
PRINCIPE DES CONTRADICTIONS
Un problème inventif peut s’exprimer sous la forme d’une contradiction
Objet Paramètre qui se dégrade Paramètre à améliorer
Voiture consommation la vitesse
Récipient poids la résistance à la pression
Ordinateur portable
-
consommation écran plus lumineux
Casserole doit être froide à l’extérieur pour doit être suffisamment chaude pour
éviter que l’on se brûle les doigts. que l’on puisse y cuire des aliments
Plongeurs
A
la masse volumique de l’eau Diminuer la masse volumique de l’eau
Pour les plongeurs
Stylo bic +
Viscosité de l’encre (réservoir) B Fluidité de l’encre pour l’écriture
Baguette Courte pour transport Longue pour montrer
Contradictions techniques :
En améliorant une caractéristique, on détériore une autre caractéristique du même
système
système.
Contradictions physiques :
On demande des caractéristiques physiques contradictoires pour le même système.
- -
T.R.I.Z
A B
+ +
A B
Méthodes conventionnelles :
trouver un compromis… Pas de compromis
Objet Paramètre qui se dégrade Paramètre à améliorer
pomme de terre Stabilité de la composition de Force

/ tube l’objet
/lait

P t l t : "U
Postulat "Une iinvention
ti estt lla résolution
é l ti d' d'une contradiction
t di ti
Entre 39 paramètres ou entités standards "
1. Masse / ppoids d'un objet
j mobile 21. Puissance
2. Masse / poids d'un objet fixe 22. Perte d'énergie
3. Longueur d'un objet mobile 23. Perte de substance
4. Longueur d'un objet fixe 24. Perte d'information
5 Surface d
5. d'un
un objet mobile 25 Perte de temps
25.
6. Surface d'un objet fixe 26. Quantité de substance
7. Volume d'un objet mobile 27. Fiabilité
8. Volume d'un objet fixe 28. Précision de la mesure
9. Vitesse 29. Précision de l’usinage
10. Force 30. Facteurs néfastes agissant sur l'objet
11. Contrainte ou pression 31. Facteurs néfastes générés par l'objet
12 Forme
12. 32 Usinabilité
32.
13. Stabilité de la composition d'un objet 33. Facilité d'utilisation
14. Résistance 34. Facilité de réparation
15. Durée de l'action d'un objet mobile 35. Adaptabilité
16. Durée de l'action d'un objet fixe 36. Complexité de l'appareil
17. Température 37. Difficultés de détection et de mesure
18. Brillance 38. Degré d'automatisation
19 Utilisation d'énergie
19. d énergie d
d'un
un objet mobile 39 Productivité
39.
20. Utilisation d'énergie d'un objet fixe
Voir les 39 entités
MATRICE DE RESOLUTION DES CONTRADICTIONS
Paramètre qui 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13
compositiion de l'objet
se dégrade
ur d'un objet
ur d'un objet
e d'un objet
e d'un objet
surface d'un objet
surface d'un objet
n, pression
masse d'un objet
masse d'un objet
Force ((Intensité)
stabillité de la
mobile
mobile
mobile
mobile
mobile
mobile
mobile
mobile
viitesse
orme
imm
imm
imm
imm
fo
tension
m
m
volume
volume
longueu
longueu
Paramètre à
améliorer
masse d'un objet 15, 8, 29, 17, 29, 2, 40, 2, 8, 15, 8, 10, 18, 10, 36, 10, 14, 1, 35, 19,
1 + - - - -
mobile
bil 29 34
29,34 38 34
38, 28 38 37 37 40
37, 35 40
35, 39
masse d'un objet 10, 1, 29, 35, 30, 5, 35, 14, 8, 10, 19, 13, 29, 13, 10, 26, 39, 1,
2 - + - - - -
immobile 35 13, 2 2 35 10, 18 29, 14 40
longueur d'un objet 8, 15, 29, 7, 17, 4, 1, 8, 10, 1, 8, 15,
3 - + - 15, 17, 4 - - 13, 4, 8 17, 10, 4 1, 8, 35
mobile 34 35 29 34
longueur d'un objet 35, 28, 17, 7, 10, 35, 8, 13, 14, 39, 37,
4 - + - - - 28, 10 1, 14, 35
immobile 40, 29 40 2,14 15, 7 35
surface d'un objet 2, 17, 29, 14, 15, 7, 14, 17, 29, 30, 4, 19, 30, 10, 15, 5, 34, 29, 11, 2, 13,
5 - - + -
mobile 4 18,, 4 4 34 35,, 2 36,, 28 4 39
surface d'un objet 30, 2, 14, 26, 7, 9, 1, 18, 35, 10, 15,
6 - - - + - - 2, 38
immobile 18 39 36 36, 37
volume d'un objet 2, 26, 29, 1, 7, 4, 1, 7, 4, 29, 4, 38, 15, 35, 6, 35, 36, 1, 15, 29, 28, 10, 1,
7 - - - + -
mobile 40 35 17 34 36, 37 37 4 39
volume d'un objet 35, 10, 35, 8, 2, 34, 28,
8 - 19, 14 - - + - 2, 18, 37 24, 35 7, 2, 35
immobile 19, 14 14 35, 40
2, 28, 13, 29, 30, 13, 28, 6, 18, 38, 35, 15, 28, 33, 1,
9 vitesse - 13, 14, 8 - - 7, 29, 34 - +
38 34 15, 19 40 18, 34 18
8, 1, 37, 18, 13, 1, 17, 19, 9, 19, 10, 1, 18, 36, 15, 9, 12, 2, 36, 18, 13, 28, 18, 21, 10, 35, 35, 10,
10 Force (Intensité) 28, 10 +
18 28 36 15 37 37 37 15, 12 11 40, 34 21
exemple chauffage auto Exemple convoyeur Matrice interactive

PRINCIPE DE RESOLUTION
A l i : modélisation
Analogie déli ti mathématiques
thé ti

PRINCIPE DE RESOLUTION
Principes
d’innovations
résolution
Modèle du Modèle associé
problème de solution
abstrait
Reformulation
Concret Problème Solution

initial finale
Pas de compromis
Analyse, limites
ressources

essentielles 8 Lois
d’évolution

brevets Analyse

T.R.I.Z
existantes
Méthode des
littérature
Méthode
psychologiques
Méthode DTC

RÉSOLUTION DES PROBLÈMES INVENTIFS Outils d'analyse et de créativité
ANALYSE SUBSTANCES CHAMPS (vépoles)
Une substance : S (vé)

est de la matière : un objet, une poudre, un gel, un liquide, un gaz, un plasma, etc.
U champ
Un h : F (poles)
peut être vu comme toute action, ou tout transfert d'énergie. mécanique, acoustique,
thermique, électrique, magnétique, chimique,
Le modèle substance – champ est basé sur

l’hypothèse que dans chaque système
F
technique on peut distinguer deux
substances (S1 et S2) et un champ (F) en
interaction pour réaliser une fonction utile
souhaitée
Si la triade est complète

p alors
S
S1 S
S2
le système est opérationnel

Pourr la résolution
Po résol tion des contradictions physiques
ph siq es TRIZ propose 76 solutions
sol tions innovantes
inno antes
génériques appelées « solutions standards» induites par la construction des vépoles
5 grandes catégories : Classe 2
Dé l
Développement d vépoles
des é l
Classe 1 Amélioration du système avec
Construction et destruction de vépoles changements importantes
Amélioration du système avec peu de (23 solutions standard)
changements (13 solutions standard)
Classe 4
Détection et mesure
(17 solutions standard)
Classe 5
Stratégies pour
simplification et
amélioration
(17 solutions standard)
Classe 3
Transitions du système
(6 solutions standard) Les 76 solutions
Champs
thermique
médicament ampoule
Action nocive
La solution est contenue dans le groupe 1-2, qui fait référence à la décomposition d’un
vépole : « Si un effet utile et nocif apparaissent entre deux substances alors le problème
vépole.
peut être résolu en introduisant une troisième substance entre les deux déjà existantes. »

Champs
thermique
médicament
ampoule
il faut tout d’abord utiliser les champs et les Nouveau

substances disponibles dans le système, dans champs
l’environnement ou générés par des eau
substances
b disponibles
di ibl ((ou avec un coûtû minimum)
i i )

essentielles 8 Lois
d’évolution

brevets Analyse

T.R.I.Z
existantes
Méthode des
littérature
Méthode
psychologiques
Méthode DTC

RÉSOLUTION DES PROBLÈMES INVENTIF Outils d'analyse et de créativité
HOMMES MINIATURES / OPÉRATEURS DTC
- Hommes miniatures -
Placer des hommes miniatures dans la zone du problème à traiter,
« observer » leur comportement et transposer en substituant les
hommes par des substances physiques connues

RÉSOLUTION DES PROBLÈMES INVENTIF Outils d'analyse et de créativité
HOMMES MINIATURES / OPÉRATEURS DTC
- Opérateur DTC : Dimension -Temps - Coût
Faire varier à ll’infini
infini la Dimension,
Dimension le Temps et le Coût du système
(Qu’adviendrait-il si la dimension du système devenait minuscule? Gigantesque?)

SCHEMA DE RESOLUTION

SCHEMA DE RESOLUTION
Tendances d’évolution
Techoptimizer : 19
Degrés d’abstraaction Créatriz : 31
Substance champs
76 standards de
résolution
Matrice de contradictions
40 principes d’innovations
Base de
connaissances
Brevets
PROBLEME SOLUTION

ARIZ 91
ARIZ :
((algorithme
l ith d
de résolution
é l ti d des
problèmes inventifs)
Permet de mettre triz en
pratique de façon structurée,
efficace
ffi et pragmatique.
i

À lire

PEUGEOT
MARCEL MONNIER, responsable du réseau Triz au sein du " plateau innovation et créativité "
POUR PSA,
PSA IL DÉPLOIE LA MÉTHODE À TOUS LES ÉCHELONS
Après avoir testé intensément méthode, outils et logiciels, le " Plateau Innovation et Créativité " de PSA passe à la
vitesse supérieure : insuffler la culture Triz à tous les échelons du groupe. Mais en douceur. C'est l'objet du projet
Demetriz, ppour Déploiement
p de la méthode Triz, qqui entre dans sa deuxième phase.
p " Il ne s'agit
g p pas d'un déploiement
p
de masse, mais plutôt d'une diffusion, pour susciter des vocations sur la base du volontariat et informer des capacités
de Triz. L'expérience passée avec l'analyse de la valeur nous l'a montré : ce qu'on impose ne passe pas toujours très
bien. Pour autant, nos objectifs sont ambitieux, puisque nous souhaitons toucher, avec le premier niveau du
programme, 80 % des 16 000 personnes concernées par les activités de R & D dans tous les métiers du groupe. Ce
premier niveau consiste en une diffusion de deux films démonstratifs et d d'un
un site intranet pour apporter une
connaissance minimale de la méthode et de ses bienfaits. Le second niveau, qui a débuté en mars, formera à terme 300
à 400 personnes à une utilisation simplifiée de Triz (outils logiciels et quelques modules de Triz). Le dernier niveau
vise à former de véritables spécialistes, une quinzaine, capables de maîtriser l'ensemble des outils. A toutes les étapes,
la hiérarchie sera fortement impliquée. "

Exemple d'utilisation des entités standard, des principes d'innovation et de la matrice de résolution des contradictions (voir le Tableau
2)) pour résoudre
é d un problème
blè créatif
é tif par une démarche
dé h quii partt d'un
d' problème
blè spécifique
é ifi vers une solution
l ti spécifique
é ifi en passantt par
un problème général et une solution générale (voir Fig. 1). Problème spécifique: On souhaite trouver une solution pour chauffer
l'habitacle d'une voiture avec ventilation, sans climatisation, dès le démarrage du moteur le matin dans des conditions hibernales.
Contexte: La voiture a passé la nuit à des températures basses. Le matin, la température de l'habitacle de la voiture, du moteur et du
liquide de refroidissement du moteur coïncide avec la température extérieure (environ 5°C). Dans ces conditions l'utilisation de la
ventilation devient efficace seulement après un certain temps (de quelques dizaines de minutes,
minutes selon le type de véhicule) nécessaire
pour réchauffement du moteur et du liquide de refroidissement qui joue le rôle d'agent thermique pour le système de chauffage de
l'habitacle. Contraintes: Ne pas augmenter la consommation de carburant pour le chauffage de l'habitacle, ne pas consommer un autre
combustible pour le chauffage, ne pas utiliser l'énergie de la batterie, ne pas nuire au bon fonctionnement du moteur, la voiture doit
partir toute suite après le démarrage du moteur. Problème général: on souhaite augmenter la température sans augmenter la
consommation de carburant.
carburant Ce problème général peut être formalisé par une contradiction technique entre ll'entité
entité standard n
n° 17 - la
température (la caractéristique à améliorer) et le l'entité n°23 - la perte de substance (la caractéristique détériorée par consommation
de carburant).
Exemple grigore GOGU : IFMA LERMONT FERRAND

Solution générale: Pour éliminer la contradiction "augmenter la température sans perte de substance", la matrice des contradictions
(Tableau 2) indique, à l'intersection de la ligne 17 et la colonne 23, l'utilisation d'un des principes d'innovation 21, 29, 31 ou 36. L'ordre dans
laquelle ces principes sont indiqués n'est pas important. L'utilisation du principe 36 - transition de phase peut constituer une très bonne
solution pour ce problème. On connaît des substances dont la transition de phase de l'état liquide à l'état solide est accompagnée par un
dégagement de chaleur, comme par exemple l'acétate de sodium (CH3COONa), qui a une température de transition de phase à 50-55°C.
L'utilisation de la transition de phase d'une telle substance représente la solution générale du problème générale d'augmenter la
température sans consommer de substance. Solution spécifique: On peut imaginer l'introduction d'une "batterie" à base d'acétate de
sodium dans le circuit de refroidissement du moteur, pour chauffer le liquide de refroidissement au démarrage du moteur le matin. Le
passage de l'état liquide à l'état solide (la solidification) peut être déclenché par une commande (par pulsation par exemple) en même temps
avec le démarrage au froid. Quand la température du liquide de refroidissement dépasse 55°C l'acétate de sodium accumule l'énergie
thermique
h i en se liquéfiant.
li éfi L'é
L'énergie
i accumulée lé sera cédée
édé pendant
d l solidification
la lidifi i à l'occasion
l' i d'
d'un nouveau démarrage
dé au froid
f id la
l
journée suivante. Analyse de la solution: La solution innovante trouvé respecte toutes les contraintes imposées et en plus contribue à la
diminution des gradients thermiques dans le mécanisme moteur dans la phase de démarrage avec un effet utile sur l'usure du moteur. Cette
solution est étudiée aujourd'hui par plusieurs constructeurs d'automobile.
Pour mieux réaliser l'utilité de cette démarche systématique d'innovation, nous laissons dans la charge du lecteur de calculer la probabilité
d trouver
de t cette
tt solution
l ti par une technique
t h iq de d créativité
é ti ité aléatoire
lé t i ded type
t "l méthode
"la éth d du
d dictionnaire"
di ti i " (voir
( i lal méthode
éth d n°l°l du
d Tableau
T bl 1)
éventuellement dans une version assistée par ordinateur basée sur le thésaurus d'un logiciel traitement texte (voir le Tableau 3) ou d'un
dictionnaire sous forme informatisée.

Résolution
Ré l i : matrice
i d de contradictions
di i
Un convoyeur à courroie sert au transport d'un minerai sur une longue distance. Son
angle d'inclinaison est très élevé à certains endroits de son parcours et empêche le
minerai d'avancer vers son point d'arrivée. Quand le minerai atteint son angle de repos
(limite de friction), il n'adhère plus à la courroie et glisse vers le bas.

p q
Pour résoudre cette problématique, p p
l'auteur propose p p de l'insertion (24),
d'utiliser les principes ( ) et du
changement d'état (35) de la méthode TRIZ. Le niveau d'adhésion du minerai sur le convoyeur pourrait
s'améliorer considérablement en jouant sur la température du minerai.
Principes TRIZ : l'insertion (24) et le changement d'état (35)
L'insertion
Changer de phase (solide, liquide, gazeux)
Changer la concentration, la densité ou la consistance
Modifier le degré de flexibilité
Changer la température
Le changement d'état
d état
Utiliser un objet ou procédé intermédiaire pour transmettre l’action
Combiner temporairement l’objet à un autre, lequel devra pouvoir être enlevé facilement (réversibilité
La solution consiste à faire passer le convoyeur et

le minerai par une chambre de réfrigération.
réfrigération Un
liquide froid est appliqué sur la surface du minerai
le rendant ainsi plus solide et adhérant dans les
fortes inclinaisons. Au terme de son parcours, le
minerai passe par une chambre de réchauffement
de façon à ce qu'il puisse se détacher facilement
du convoyeur. Ce procédé a permis d'accroître
ll'inclinaison
inclinaison du convoyeur de 25 degrés
additionnels.

Avantages pour les entreprises 1/2

• Les a
avantages
antages pour les entreprises
Points récurrents :
- L’exploration de toutes les voies grâce à une méthode exhaustive qui balaie toutes les
possibilités de recherche
- La structuration du raisonnement, de la recherche d'idées, de la démarche et des séances
de créativité en fil conducteur
- L’ouverture à d'autres milieux, domaines, l’orientation de la réflexion sur l'extérieur, sur
des champs non encore explorés
- TRIZ facilite la pose du problème et permet de le formaliser correctement, clairement
Autres points:
- Les solutions qui sont le fruit du travail avec TRIZ confortent des idées déjà trouvées
soit par des concurrents, soit en interne mais dans un temps beaucoup plus long
- Le partage des connaissances
- L’efficacité, la rigueur dans la recherche de solutions
- La changement dans la façon de penser : ne plus penser uniquement en terme de solutions
- TRIZ bouleverse les habitudes
- TRIZ est complémentaire aux autres méthodes
- C’est une technique entonnoir, d’où de fortes certitudes sur les solutions trouvées
- Les nombreuses pistes de solution qui émergent de la mise en place de la démarche
- La diminution du temps de conception
- TRIZ suscite curiosité chez les jeunes chercheurs
- TRIZ permet de trouver des idées originales
- TRIZ permet de cimenter une équipe
- Cela ppermet aussi de ppenser autrement,, d’ouvrir l'esprit,
p , et de ce fait de travailler
différemment
- Cela introduit une méthodologie dans la recherche (PME)

inconvénients pour les entreprises 2/2

• Les inconvénients :
Points récurrents :
- le temps que demande une étude de cas (disponibilité des acteurs réduite, démarche longue
à mettre en oeuvre). Il existe une incompatibilité entre les exigences que requiert la
démarche et les possibilités qu’ont les acteurs à offrir pour cette démarche en terme de
temps. (Cette notion revient 6 fois dans les entreprises étudiées.)
- TRIZ estt un terme
t difficile
diffi il à crédibiliser,
édibili communiquer
i avec un « jargon
j » difficile
diffi il à
assimiler, parfois trop abstrait. (4 fois cité)
Autres points:
- des idées parfois trop déconnectées de la réalité industrielle
- le fait de croire que l’on va trouver automatiquement une solution innovante (=
déception sur le degré d'inventivité notamment car on se fait une fausse idée de TRIZ)
ou une solution directement commercialisable
- Le sentiment de remise en cause des compétences des personnes présentes lors des
réunions de travail (les créatifs particulièrement)
- Le fait de croire au départ que TRIZ était une énorme base de données dans laquelle on
allait pouvoir « piocher » des idées
- La réticence face à l'aspect "boite noire" de TRIZ dont on ne connaît pas toujours bien
le fonctionnement
- Le fait de ne pas toujours avoir le bon spécialiste quand on trouve des effets PGC qui ne
sont pas dans le champ de compétences de l’entreprise
l entreprise
- Le fait d’être confronté à une organisation qui sera hostile au changement et donc à
TRIZ
- Pour un bureau d’études, une théorie comme l’est TRIZ est trop différente de quelque
chose de « concret », d’où une non acceptation de la démarche qui reste trop loin de
leurs préoccupations.

« Prenons un problème
mondialement connu, celui du tartre sur les dents,. En utilisant un abrasif, il est possible d’éliminer
le tartre, mais l’abrasif présente aussi un inconvénient : il abîme l’émail. Le problème se Résume ainsi : si la force
abrasive est importante, elle enlève bien le tartre, mais abîme l’émail ; si cette force est faible, elle est inefficace
contre le tartre. Comment résoudre un tel
problème ? Nous sommes apparemment dans une impasse, car dans les deux cas le résultat obtenu est mauvais.
Dans la plupart des écoles d’ingénieur, poursuit Avraam Seredinski, les étudiants vont apprendre à résoudre les
problèmes en utilisant un compromis. Celui-ci va permettre de déterminer une force abrasive moyenne, ni trop
élevée, ni trop faible. Or pour Altshuller, le compromis est interdit, car le compromis est une impasse qui n’élimine
n élimine
pas le défaut, il l’atténue seulement. Ce n’est donc pas une vraie solution.
Pour sortir de cette impasse, Altshuller utilise la méthode de la reformulation. Oublions notre tartre et notre émail, et
remplaçons ces deux termes par « couche supérieure» et « couche inférieure ». N’existe-t-il pas d’autres activités
humaines qui ont résolu par le passé le problème de la dissociation entre une couche supérieure et une couche
inférieure
? Des dentistes aux Etats-Unis ont adopté les enseignements de TRIZ pour étudier ce problème. Ils ont trouvé une
solution dans le domaine le plus inattendu qui soit : l’archéologie ! On sait parfaitement, dans cette discipline,
enlever une couche de terre tout en protégeant l’objet découvert. Pendant des siècles, la terre et l’objet ont formé une
couche intermédiaire que les chimistes connaissent bien et
qu’ils dissolvent sans difficulté, tout en gardant l’objet intact. Peut-on appliquer cette approche au problème dentaire
? Existe-t-il une couche intermédiaire entre le tartre et l’émail ? Des études complémentaires ont démontré que oui.
En étudiant la formule chimique de cette couche, des chercheurs ont rapidement trouvé un liquide qui permettait
de la dissoudre, sans nocivité pour l’organisme, ni altération pour l’émail. Comparez cette solution avec un
compromis…
Imaginez maintenant que le problème soit posé aux seuls spécialistes dentaires lors d’un brainstorming. Est-ce que
les
dentistes auront l’idée d’inviter des archéologues pour trouver une solution à leur problème ? Evidemment non !
TRIZ apporte cette formidable ouverture d’esprit ». Une ouverture d’esprit, qui, pour Avraam Seredinski, s’étend bien
au delà des seuls problèmes techniques : en commençant à utiliser TRIZ,
au-delà TRIZ on apprend à faire fonctionner
son cerveau différemment et cet apprentissage donne des solutions vraiment spectaculaires. « On devient alors «
TRIZÉ », c’est-à-dire beaucoup plus créatif », note l’ingénieur russe.

TRIZ : PENSER AUTREMENT

5 niveaux
d’inventivité

Wikipédia :
L'informatique dans le nuage (en anglais, anglais cloud computing1) est un concept
majeur2 faisant référence à l'utilisation de la mémoire et des capacités de calcul
des ordinateurs et des serveurs répartis dans le monde entier et liés par un réseau,
tel Internet
Les utilisateurs (le plus souvent des entreprises) ne sont plus propriétaires de leurs
serveurs informatiques mais peuvent ainsi accéder de manière évolutive à de nombreux
services en ligne sans avoir à gérer l'infrastructure sous-jacente, souvent complexe. Les
applications et les données ne se trouvent plus sur l'ordinateur local, mais -
métaphoriquement parlant - dans un nuage (Cloud) composé d'un certain nombre de
serveurs distants interconnectés au moyen d'une excellente bande passante indispensable
à la fluidité du système. L'accès au service se fait par une application standard facilement
disponible la plupart du temps un navigateur Web.
disponible, Web
Le Software as a service (SaaS), souvent associé au « cloud computing » peut être vu
comme un modèle économique de consommation des applications : celles-ci sont
consommées et payées à la demande (par utilisateur et par minute d'utilisation par
exemple) et non plus acquises par l'achat de licences. Le SaaS peut donc à ce titre reposer
sur une infrastructure de type "informatique dans le nuage".
L conceptt d'informatique
Le d'i f ti d
dans lle nuage estt comparablebl à celui
l idde lla di
distribution
t ib ti d de
l'énergie électrique. La puissance de calcul et de stockage de l'information est proposée à la
consommation par des compagnies spécialisées. De ce fait, les entreprises n'ont plus
besoin de serveurs propres, mais confient cette ressource à une entreprise qui leur garantit
une puissance de calcul et de stockage à la demande.
Selon les approches
pp des entreprises,
p , se distinguent
g trois formes de cloud computing
p g:
les clouds privés internes,
les clouds privés externes
et les clouds publics.
En 2009, moins de 10% des entreprises interrogées mentionnent recourir déjà à des
services de cloud computing dans le domaine de l’hébergement de leurs infrastructures et
applications informatiques3. D D’ici
ici 2011 et au
au-delà,
delà les entreprises devraient porter un
intérêt de plus en plus soutenu à ces services puisque, selon le type de cloud computing
envisagé (privé interne, privé externe ou public), elles devraient être entre une sur deux à
une sur trois à y recourir. La tendance semble néanmoins en faveur des clouds privés
internes même si les entreprises ne se limitent pas obligatoirement à ces services et
devraient sans aucun doute combiner les solutions entre elles.

essentielles 8 Lois
d’évolution

brevets Analyse

T.R.I.Z
existantes
Méthode des
littérature
Méthode
psychologiques
Méthode DTC

CHALLENGE STORMING
CONDITIONS POUR REALISER UN BON « CHALLENGE STORMING »
Voir la map

CHALLENGE STORMING

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