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LUTTER CONTRE L’OBÉSITÉ DE L’ENFANT


De plus en plus d’enfants sont touchés par l’obésité. Pour prévenir les risques, les parents ne
doivent pas interdire certains aliments, mais réapprendre aux enfants les bons gestes. Il faut les
habituer aux goû ts neutres. Les aliments solides sont, eux, à privilégier. Enfin, l’ambiance du repas est
primordiale. Une étude américaine a démontré que les enfants qui mangent devant la télé ont besoin
de plus de simulation pour recevoir les saveurs.
Résultatls : ils s’orientent vers des aliments gras et sucrés. De plus, ils sont moins à l’écoute du
sentiment de satiété et ingurgitent donc de plus grandes quantités.
Autre piège, au-delà de quatre heures passées devant le poste, la corpulence augemente
indépendamment de ce qui est mangé. Les nutritionnistes conseillent de ne pas dépasser deux heures
de télé par jour et pratiquer un sport d’endurance. Si l’effort est trop violent, ce sont les glucides qui
sont brû lés au lieu des lipides. L’idéal serait de la natation, de la marche ou du vélo.
Question 1 : Pour écarter les risques d’obésités chez les enfants, les parents doivent …
A. exclure tous les aliments gras. C. leur interdire tous les aliments sucrés.
B. privilégier des plats légers et liquides. D. leur faire apprécier les saveurs simples.
Question 2 : La télé favorise l’obésité des enfants parce qu’ils …
A. mangent trop vite, assis devant le poste.
B. ne se rendent pas compte qu’ils n’ont plus faim.
C. distinguent mieux les saveurs des aliments.
D. ne respectent pas les horaires de repas habituels.
Question 3: Les risques d’obésité baissent sensiblement si les enfants …
A. pratiquent une activité sportive très intense.
B. font des efforts physiques réguliers et prolongés.
C. font des activités qui brû lent d’abord les glucides.
D. mangent léger quand ils regardent longtemps la télé.
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À LA CANTINE, DES BALADEURS PLUTÔT QUE DES FRITES
Manger des carottes râ pées à la cantine du collège plutô t que des pates ou des hamburgers
pour gagner des baladeurs à la mode dont rêvent tous les adolescents, des jeux vidéo, des livres ou des
places de cinéma, c’est désormais possible pour les 30 000 élèves d’une trentaine d’établissements
scolaires de Glasgow en Ecosse où la municipalité a trouvé ce moyen original de lutter contre l’obésité
des jeunes.
Certains plats au menu des cantines scolaires permettent d’acquérir un certain nombre de
points : une salade verte ou un fruit valent 15 points, un hmaburgger n’en vaut que 4 et une assiette

« Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » Page 1
de frites n’en donne aucun. Les élèves ont reçu des cartes magnétiques sur lesquelles sont stockés les
points de leur menu lorsqu’ils passent à la caisse.
Lorsqu’on a 4 000 points, on gagne un baladeur, 1 500 points donnent droit à un bon d’achat
dde 15 euros sur un site de vente de livres sur Internet. 850 points à deux places de cinéma. Katie, 13
ans, élève du collège trouve cette idée formidable « avant, tout le monde se précipitait sur les pizzas et
chips ».
Maintenant, on mange des trucs plus sains. J’ai déjà gagné deux places de cinéma, je vais
continuer », raconte-t-elle. Le menu sain, le plus populaire, comprend aujourd’hui une soupe. Un
sandwich, un yaourt et du lait pour 1.80 euros. Il rapporte 40 points. Il suffit d’en ingurgiter 100 pour
gagner un baladeur d’une valeur de 280 euros. Un site Internet a même été créé pour permettre aux
élèves de vérifier leurs points.
La municipalité promet de dépenser plus de 60 000 euros pour acheter les prix pour les 12
prochains mois, considérant que c’est là la meilleure solution pour lutter contre le surpoids des
adolescents.
Question 1 : Dans cet article, on décrit …
A. un menu diététique imposé aux scolaires pour lutter contre l’obésité.
B. un nouveau régime destiné aux adolescents pour perdre rapidement du poids.
C. une méthode pour éviter le surpoids chez les jeunes dans les écoles.
D. un concours avec des lots à gagner favorisant l’obésité chez les adolescents.
Question 2 : Dans ce système, …
A. les fruits et les légumes ne font pas gagner de points.
B. seul un moyen complet permet d’obtenir des points.
C. tous les aliments ne rapportent pas de points.
D. certains aliments ne rapportent pas de points.
Question 3 : Pour gagner un baladeur de 280 euros, il faut …
A. cumuler au moins 4 000 points.
B. manger uniquement des menus sains.
C. obligatoirement commander 100 menus sains.
D. ajouter 1.80 euros chaque fois qu’on achète un plat.
Question 4 : La mairie de Glasgow…
A. souhaite prolonger cette opération qu’elle juge efficace.
B. va proposer un prix de 60 000 euros pour motiver les jeunes.
C. a déjà dépensé plus de 60 000 euros pour lutter contre l’obésité.
D. permet de créer un site Internet afin de contrô ler les points des élèves.

« Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » Page 2
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LES ADOLESCENTS PAS SI ACCROS À LA MALBOUFFE
Surnommés la génération Z, les ados d’aujourd’hui se disent préoccupés par la qualité de ce qu’ils
mangent et par leur équilibre alimentaire.
Par essence, les goû ts des adolescents diffèrent de ceux des adultes: en pleine recherche de
leur identité, ils ne veulent pas ressembler à leurs parents! Leur assiette n’échappe pas à la règle. Mais
là comme ailleurs, les modes changent. Comment les ados d’aujourd’hui marquent-ils leurs différences
en termes d’alimentation ? Pas forcément par une adhésion massice à la « malbouffe », concluent des
experts lors d’une conférence organisée par le Fonds français pour l’alimentation et la santé.
Dominique-Adèle-Cassuto, médecin nutritionniste, auteur de Qu’est-ce qu’on mange ?
L’alimentation des ados de A à Z, en fait le constat au quotidien dans son cabinet. « D’ordinaire, on me
consulte davantage pour des problèmes touchant des filles. Mais j’observe des situations nouvelles avec
l’arrivée de parents perdus par l’attitude de leur fils qui ne veut plus manger de viande par respect pour
les animaux. Ces jeunes sont en bonne santé et déterminés, et je dois apprendre à leurs parents comme
cuisiner végétarien et à l’adolescent à garder un bon équilibre alimentaire ».
L’attention se relâche à l’entrée dans l’âge adulte
À l’adolescence, manger « c’est exprimer son style ou celui des amis qu’on a choisi », rappelle-t-
elle. Chez les adolescents d’aujourd’hui, plus accrochés à leur smartphone qu’à l’ordinateur familial,
« la fréquentation des fast-foods reste d’actualité, mais elle relève davantage d’une recherche de
convivialité et de mobilité dans le repas plutôt que de l’envie frénétique d’une nourriture que les
adolescents eux-mêmes qualifient de « malbouffe », explique Véronique Pardo, anthoropologue.
Selon une étude française (Inserme) réalisée en 2016 auprès de 15.000 jeunes, 60,5% des
adolescents disent faire attention à leur alimentation, les filles encore plus que les garçons (64%
contre 56%). Les motivations premières diffèrent aussi selon le sexe : les premières sont plus
concernées par leur poids, tandis que les seconds se soucient avant tout de leur santé. L’attention se
relâ che à l’entrée dans l’â ge adulte ; c’est d’ailleurs là que l’on constate un pic de surpoids, rappelle le
Dr Cassuto.
La volonté de vouloir « bien manger » est parfois difficile à mettre en place avec le réel de
certains. « Une étude européenne montre que les jeunes qui déjeunent chez eux mangent plus équilibré
qu’à la cantine ; peut-être parce que c’est meilleur. Mais ils sont justement de moins en moins nombreux
à rentrer le midi chez eux », constate Laurent Béghin, chercheur Inserme à Lille. Les lycéens et les
étudiants sont par ailleurs 90% à manger entre les repas. Dans un tiers des cas, c’est par faim parce
qu’ils n’ont pas eu le temps de prendre le repas précédent. Les adolescents connaissent les normes
nutritionnelles, mais ils négocient avec elles.
D’après Pauline Fréour http://sante.lefigaro.fr, le 11/10/2016

« Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » Page 3
* La malbouffe est le terme populaire donné à la nourriture jugée mauvaise sur le plan diététique en raison notamment de
sa faible valeur nutritive et de sa forte teneur en graisses ou en sucres. Les hamburgers, les hotdogs, les frites, les pizzas,
les sodas en sont des exemples.
Questions :
1. Quelle attitude ont les adolescents d’aujourd’hui face à l’alimentation ?
……………………………………………………………………………………………………………………………………………..
2. Pourquoi les goûts alimentaires des adolescents sont différents de ceux de leurs parents ?
a. C’est un moyen de créer leur identité.
b. C’est un moyen de découvrir tous les goûts.
c. C’est un moyen d’échanger avec leurs parents.
3. Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses en recopiant la phrase ou la partie du
texte justifiant votre réponse
Vrai Faux
a. Les adolescents créent leur identité alimentaire en choisissant la
« malbouffe ».
Justification : ……………………………………………………………………………………………
b. Des parents consultent le médecin parce que leur fils ne mange plus de
viande.
Justification : ……………………………………………………………………………………………
c. Les filles font davantage attention à leur alimentation que les garçons.
Justification : ……………………………………………………………………………………………
d. Pour les garçons, maîtriser son alimentation c’est maîtriser son poids.
Justification : ……………………………………………………………………………………………

4. Quels sont les enjeux pour le médecin nutritionniste ?


a. Inviter l’adolescent à cuisiner lui-même.
b. Donner de nouvelles habitudes de cuisine aux parents.
c. Trouver un équilibre alimentaire entre les parents et l’adolescent.
5. Qu’est-ce que signifie « manger » pour un adolescent ?
…………………………………………………………………………………………………………………………………………….
6. Pour quelle raison les adolescent vont-ils dans un restaurant fast-food ?
a. Pour faire comme leurs amis.
b. Pour partager un moment convivial.
c. Pour manger une nourriture qualifiée de « malbouffe ».
7. Quelle est la réalité à laquelle font face les jeunes ?
a. Ils ne rentrent plus déjeuner chez eux.
« Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » Page 4
b. Leurs parents les inscrivent automatiquement à la cantine.
c. Les repas offerts à la cantine sont plus équilibrés qu’à la maison.
8. Pourquoi les jeunes mangent entre les repas ?
a. Parce qu’ils n’ont pas faim au moment des repas.
b. Parce qu’ils n’ont pas le temps de rentrer chez eux.
c. Parce qu’ils n’ont pas le temps de manger les repas.

Lisez le texte puis répondez aux questions en entourant la bonne réponse ou en écrivant
l’information demandée.
Pour beaucoup de familles, c’est une question d’éthique: on ne jette pas la nourriture! Il faut
penser à ceux qui n’ont rien à manger. Mais c’est aussi une question d’argent, car cuisiner les restes
permet d’économiser. Beaucoup de parents semblent avoir découvert les bénéfices de la cuisine des
restes après un reportage sur le gaspillage alimentaire en France. Chaque année, parmi tous les
aliments jetés, 7 kilos seraient des produits encore emballés! Ce gaspillage représente une perte
annuelle de 400 euros par famille. Un chiffre qui fait réfléchir.
Cela fait déjà quelques années que des municipalités et des associations agissent pour
encourager les citoyens à réduire leurs déchets alimentaires. À Tours, par exemple, des petits camions
circulent dans toute la ville pour récupérer les produits alimentaires dont les particuliers souhaitent
se débarrasser et les donner à des associations pour les pauvres. Autre exemple, la mairie de Paris a
mis en place une opération originale pendant un championnat de tennis. Une association récupère les
aliments non consommés pendant les repas des invités et les cocktails officiels. Au total, 300 kilos de
pain, 96 kilos de fromage ont été redistribués à plus de 2 000 personnes dans le besoin. L'idée
solidaire pourrait inspirer aussi les organisateurs d'autres festivals et manifestations importants.
Les jeunes aussi se mobilisent et semblent plus conscients de l’intérêt de la cuisine-récup’* :
«Dans ma ville, j'ai participé à un atelier de cuisine gratuit pour apprendre à utiliser les restes et faire
des trucs très bons ! Maintenant, à la maison, c'est moi la chef ! » explique Sophie, 12 ans. « C'était
sympa, et inhabituel. J'ai cuisiné avec des femmes très pauvres. J'ai pris conscience de la chance que
j'avais. » Ces ateliers ont, en effet, comme objectif de « redonner l'envie de cuisiner aux personnes en
difficulté, qui doivent apprendre à créer des choses bonnes avec des choses pas chères » explique
l’association. Autre exemple de solidarité, l’association Jeunes et Légumes invite les adolescents à
récupérer des fruits et légumes qui auraient été jetés, dans les grandes surfaces ou sur les marchés.
Ensuite, ils préparent des repas distribués gratuitement aux personnes qui en ont besoin. […]
D’après www.lefigaro.fr
Questionnaire
1. De quel phénomène de société cet article parle-t-il?

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A. Le gaspillage alimentaire B. La mauvaise alimentation
C. Les aliments sans emballage D. L’alimentation équilibrée
2. Beaucoup de familles ont commencé à cuisiner les restes de leurs repas quand _____.
A. elles ont vu qu’elles gagnaient du temps
B. elles ont regardé une émission de cuisine
C. elles ont compris qu’elles faisaient des économies
D. elles ont observé la vie des pauvres
3. Depuis quelques années, des villes françaises, comme Tours, essaient de _____.
A. diminuer la quantité de déchets alimentaires
B. mieux informer sur les associations humanitaires
C. augmenter le nombre de camions poubelles dans les rues
D. jeter tous les déchets dans les poubelles
4. Pourquoi Sophie suit-elle une formation gratuite sur la cuisine?
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
5. Dans son atelier de cuisine, Sophie a compris ______.
A. qu’elle vit dans une famille privilégiée
B. qu’elle connaît mieux les légumes que sa famille
C. que la cuisine est un loisir pour tous les membres de la famille
D. qu’il y a encore beaucoup de pauvres
6. Quel est l’objectif des ateliers de cuisine dont parle l’article?
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Vrai ou Faux ?
Vrai Faux
7. Chaque année en France, on jette un total de 7 kilos d’emballage.
Justification :………………………………………………………………………
8. L’idée de la mairie de Paris va peut-être donner des idées à d’autres villes.
Justification :………………………………………………………………………
9. Les jeunes sont moins sensibles au gaspillage que leurs parents.
Justification :………………………………………………………………………
10. L’association Jeunes et Légumes aide les plus pauvres.
Justification :………………………………………………………………………

« Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » Page 6

Plus la pein de se forcer à finir ses plats au restaurant, par peur


UN PEU DE VOCABULAIRE
 Quelles sont les causes principales du gaspillage alimentaire ? Associez les deux colonnes
approvisonner 1. a. la date de péremption
acheter 2. b. d'utiliser les aliments au frigo
ignorer 3. c. les produits alimentaires
oublier 4. d. sa manière de s’alimenter de l’homme
changer 5. e. en trop grosse quantité

PO: BOIRE MOINS DE SODAS POUR ÉVITER LE SURPOIDS


Une paille s’échappe d’une boisson sucrée bue par un enfant. Puis elle plonge dans un
verre d’eau. Cette publicité est diffusée en ce moment à la télévision. Son but: pousser
les enfants à boire moins de sodas. Car consommer trop de sucre fait grossir.
Autre mesure pour éviter le surpoids dont souffre un jeun sur dix: les distributeurs de
boissons sucrées ont été retirés des collèges et des lycées à la rentrée.
Source: http://monquotidien.playbacpresse.fr

PE: Essai
L’obsession du manger sain. Les orthorexiques passent des heures à penser à leur
alimentation, croient que certains produits sont des « poisons »… Ce comportement
alimentaire reste encore peu étudié. Le célèbre message d’Hippocrate « que l’alimentation
soit ta première médecine » est aujourd’hui omniprésent. Les injonctions incitant à manger
sain se multiplient. Parfois, le contenu de son assiette tourne à l’obsession; les spécialistes
parlent alors d’ « orthorexie ».
Que pensez-vous de cette tendance? Quels sont les avantages d’une alimentation saine?
Aurait-on des limites à manger sain?
Expliquez votre point de vue dans un texte cohérent et bien construit (160 mots minimum)

 Faites des phrases complètes avec les suggestions suivantes

« Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger » Page 7
1. Risques/ liés/ utilisation des OGM/ nombreux
Les risques lies à l’utilisation des OGM sont nombreaux
2. Bien manger/ adopter/ alimentation/ variée et équilibrée
Bien manger adopte une alimentation variee et équilibree
3. Nous/ choisir/ consommer/ nourriture/ riche/ vitamines
Nous choisissons consommer une nourriture riche en vitamines
4. Nous/ acheter/ grosse quantité/ réussir/ consommer
Nous achetons un grosse quantite alors que nous ne réussissons consomer
5. La nutrition/ rô le important/ prévenir/ maladies chroniques
La nutrition joue un rô le important prevenir des maladies chroniques
6. Prendre/ mesures/ arrêter/ gaspillage alimentaire
Il faul prendre des mesures pour areter le gaspillage alimentaire
7. Bonne alimentation/ la clé/ se sentir bien dans le corps
Une bonne alimentation est la cle pour se sentir bien dans le corps.
 Complétez en choisissant les mots suivants :
chaque – celle – cette – ce – lesquelles – où – en – dont – qui – que
La gastronomie française (1) ………… dont …… tous les Français sont fiers, inspire les cuisines
internationales. Voici cinq raisons pour (2) ……… lesquelles ……… les Français se vantent d’être
Français.
La France produit du Champagne pour le monde entier. Le vin mousseux (3) …… qui …………
porte le nom Champagne doit être fait dans la région de Champagne.
Le macaron est un petit gâ teau moelleux à la forme arrondie, spécialité française. On fait la
queue pour (4) …en…………… acheter à Paris.
En France, on produit plys de 365 variétés de fromage. Camembert est une petite ville de
Normandie (5) ………ò u……… on fabrique (6) ……ce………… fromage.
Les Anglais ont l’heure du thé et les Français ont (7) ……celle………… du goûter. C’est une
collation à 16h l’après-midi (8) ……que………… tous les enfants adorent.
On fête l’arrivée du vin Beaujolais Nouveau (9) …chaque …………… année et à (10) ………
cette……… occasion on organise des soirées spéciales.
Vous connaissez?
Le croissant – le symbole du
Le “repas gastronomique des
petit déjeuner à la française
Français” est un patromoine
culturel immatériel de
l’humanité.

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