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Risques Et Précautions Liés Au Matériel: - 2 / C Pompes
Risques Et Précautions Liés Au Matériel: - 2 / C Pompes
POMPES
D5 -2/C
POMPES VOLUMÉTRIQUES
Ingénieurs en
Sécurité Industrielle
PLANCHES
Les pompes volumétriques sont constituées d’un volume hermétiquement clos (corps de pompe) à l’intérieur
duquel se déplace un élément mobile engendrant soit une dépression à l’aspiration, soit l’impulsion
nécessaire au refoulement afin de vaincre la contre-pression régnant à l’aval de la pompe, soit enfin l’une et
l’autre de ces fonctions et permettant ainsi le transfert d’un volume de liquide, de viscosité plus ou moins
importante, depuis l’aspiration vers le refoulement. Le fluide véhiculé étant incompressible, ces pompes sont
toujours équipées d’un dispositif de sécurité d’excès de pression associé.
Les pompes volumétriques sont caractérisées par une grande diversité d’emploi et une grande variété de
réalisations technologiques. On se limitera ici, à la présentation de quelques types de ces deux grandes
familles de machines tournantes :
Elles ne véhiculent que des liquides à bon pouvoir de lubrification et ne contenant pas de particules
abrasives.
Les deux vis à filets très inclinés s’engrènent directement dans un carter. Une seule des deux vis est
solidaire de l’arbre moteur et entraîne la deuxième par contact direct. Les paliers sont lubrifiés par le
liquide véhiculé. Les fuites internes sont relativement faibles, mais le produit pompé doit posséder un
excellent pouvoir lubrifiant et être non corrosif ainsi que très peu chargé de particules abrasives.
La vis solidaire de l’arbre moteur entraîne la seconde par l’intermédiaire d’un ensemble d’engrenages
de synchronisation. Les deux vis permettent un jeu entre elles et ne sont pas en contact direct. Les
engrenages et les paliers peuvent être en contact direct avec le liquide. Dans ce cas, une seule
garniture d’étanchéité est nécessaire. Si le produit n’est pas assez lubrifiant ou s’il est chargé, les
engrenages et les paliers sont isolés du liquide mais nécessitent un ensemble de quatre garnitures
d’étanchéité. Il est à noter que les fuites internes sont plus importantes et provoquent une ∆P possible,
ainsi qu’un rendement, plus faible.
Il est à remarquer que sur les pompes à deux vis, les filets sont symétriques, afin de limiter au
maximum l’effet des poussées axiales.
La partie hydraulique de cette pompe est constituée de trois vis dont une seule est solidaire de l’arbre
moteur. Les deux autres vis sont entraînées par frottement grâce à la vis centrale. Les vis sont à un
seul filet et il est nécessaire d’équilibrer la poussée axiale résultante à l’aide d’un dispositif de
compensation.
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2- POMPES À ENGRENAGES
a - Pompe à engrenages extérieurs
Il existe un grand nombre de variantes de ce type de pompes, elles diffèrent entre elles par la
disposition et la forme des dentures. Le liquide à véhiculer est aspiré dans l’espace compris entre
deux dents consécutives et le corps de la pompe. L’étanchéité entre l’aspiration et le refoulement est
assurée par un contact entre les dents en prise. Les dentures peuvent être droites, hélicoïdales, ou
encore à chevrons. Cette dernière possibilité présentant l’avantage de rendre le mouvement plus
uniforme. Ce type de pompes admet une vitesse de rotation de 2000 à 3000 tr/min ; elles sont
relativement silencieuses et permettent d’atteindre des pressions de l’ordre de 20 à 50 bar. Elles sont
équipées de quatre paliers, et de un à quatre boîtiers d’étanchéité. Elles ne tolèrent pas le passage de
particules solides sans risque de destruction totale.
Sens de rotation
Presse étoupe
Engrenage menant
ASPIRATION REFOULEMENT
Arbre
d'entraînement
D T 1364 A
Engrenage mené
Élévation Coupe
Cette disposition nécessite l’utilisation d’une pièce intermédiaire, placée entre les engrenages et
solidaire du corps de pompe, en forme de croissant afin d’assurer l’étanchéité entre l’aspiration et le
refoulement. Cette disposition permet de n’avoir qu’un seul boîtier d’étanchéité, mais le porte à faux
génère une surcharge sur l’arbre.
Les vitesses de rotation de ce type de pompe sont de l’ordre de quelques centaines de tours à la
minute, mais elles peuvent véhiculer des produits de très grande viscosité (≈ 10 000 cSt). De plus,
elles sont caractérisées par une valeur de très bas NPSH R. La présence de particules solides entraîne
également sa destruction irrémédiable.
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D 5 -2/C
Elles sont constituées de deux engrenages hélicoïdaux : le premier, le rotor, tournant à l’intérieur du
second, le stator. Le rotor est un engrenage externe à une dent, le stator un engrenage interne à
deux dents.
La différence d’une dent, entre le stator et le rotor, crée des cavités qui se meuvent parallèlement à
l’axe du stator et véhiculent ainsi le produit pompé.
Ces pompes peuvent véhiculer des produits très visqueux, chargés en particules solides, mais ne
doivent en aucun cas tourner à sec (le rotor est en acier, le stator en caoutchouc). Le coût d’entretien
est souvent important. Elles sont connues sous le nom commercial de “pompe Moineau ou pompe
P.C.M.”.
Le débit est légèrement pulsé et leur vitesse de rotation limitée. Elles sont connues sous le nom
commercial de “Pompe Mouvex”.
N
Vitesse de rotation
ue
e
urb
q
ori
Co
thé
rbe
u
Co
D T 1385 B
Débit volume Q
A priori, le débit véhiculé par ce type de pompe est proportionnel à la vitesse de rotation. À vitesse fixe,
le débit théorique est constant.
Les fuites internes, qui existent sur ce type de pompe, créent un décalage entre le débit théorique et le
débit réel.
Pour minimiser l’influence des fuites internes, il y a intérêt à faire tourner la pompe le plus vite possible,
mais on est limité d’une part par la tenue mécanique et les frottements, d’autre part, par les problèmes
de capacité d’aspiration.
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b - La pression
Lorsque la ∆P entre aspiration et refoulement augmente, la fuite au travers des jeux internes
augmente et le débit peut alors diminuer de façon sensible.
P Débit de fuite
Tarage soupape
sécurité pression
D T 1386 B
Débit volume Q
c - La viscosité
Huile
Fuel
Eau
D T 1387 B
P Q
Pour une vitesse de rotation donnée, le débit théorique est amputé d’une fuite interne qui croît avec la
∆P et décroît avec la viscosité.
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5- CAPACITÉ D’ASPIRATION
Il est facilement concevable que seule une pompe sans fuite interne peut avoir un caractère auto-
amorçant. Dans la réalité la fuite interne étant plus ou moins importante, il est nécessaire d’assurer
une pression minimum à l’aspiration, dénommée, charge minimum à l’aspiration.
Tension de vapeur
Pression à la bride du produit
d’aspiration – NPSH > aux conditions
de pompage
Le NPSH augmente avec la vitesse et la viscosité, autrement dit, la charge à l’aspiration doit être
d’autant plus grande que la pompe tourne vite et que le produit est visqueux.
6- PUISSANCE ABSORBÉE
Elle est théoriquement proportionnelle à la ∆P et au débit, pour une viscosité donnée.
La puissance réellement consommée varie en fonction des fuites internes (jeux mécaniques, viscosité,
∆P).
On voit que la viscosité joue un rôle complexe puisqu’elle diminue les fuites internes, donc améliore le
rendement, mais augmente les frottements fluides d’une façon encore plus sensible.
- le liquide doit être suffisamment visqueux pour limiter les fuites internes
- le liquide doit avoir des propriétés lubrifiantes pour la plupart des modèles
- la pression à l’aspiration doit être suffisante
En effet, que se passe-t-il dans une pompe volumétrique si le circuit de refoulement est
accidentellement obturé ?
Les fuites internes ne sont pas suffisantes pour éviter la surcharge, dans le meilleur des cas il y a
déclenchement du moteur puis rupture du corps si aucune sécurité n’intervient.
Ce type de pompe comporte obligatoirement une soupape destinée à ouvrir un recyclage entre
aspiration et refoulement dès que la pression de refoulement atteint une valeur prédéterminée.
Lorsque le tarage de cette soupape peut être modifié, on l’adapte à la pression maximum que peut
supporter le circuit (si cette dernière est inférieure à la pression maximum de la pompe).
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8- PULSATIONS
Sur une pompe à engrenages, chaque roue ayant neuf dents, tourne à 500 tr/min et refoule dans un
circuit à la pression moyenne Pm = 100 bar.
La fréquence des pulsations de débit, donc de pression, est la fréquence de passage des dents, soit :
500
f= x 9 = 75 Hertz
60
(1 fois par seconde = 1 Hertz)
Pression (bar)
Pmax 107
Pulsations de
pression
Pm 100
D T 1389 B
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Ces pulsations peuvent être gênantes pour la tenue des organes hydrauliques ainsi que pour la
régulation.
L’amortissement est réalisé à l’aide d’une capacité sous pression de gaz installée sur la ligne de
refoulement.
Gaz
Variation de niveau
D T 1390 A
Refoulement
Pour ce type de pompe, le volume de la bouteille anti-pulsatoire est peu important, puisque fonction de
la variation de volume engendrée à chaque pulsation.
Par contre, la pression de gonflage est tout à fait déterminante : à chaque pression de gonflage
correspond une fréquence dite de coupure (qui augmente avec la pression).
Pour cette fréquence, les pulsations sont très amorties, pour les autres fréquences, l’amortissement
est beaucoup plus faible, voire négligeable.
Amplitude des
pulsations
D T 1391 A
Fréquence de coupure
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D 5 -2/C
Pour éviter la dissolution du gaz dans le liquide, on utilise des bouteilles à membranes.
Valve
de gonflage
Le bureau d’études doit donc calculer la
pression de gonflage en fonction des
caractéristiques réelles du circuit.
Gaz Une pression de gonflage ne peut
comprimé Vessie amortir qu’une seule fréquence, donc
la bouteille anti-pulsatoire n’est
efficace que pour un seul débit
déterminé.
D T 1295 A
- Puissance consommée trop importante due à un ∆P trop élevé (sauf problème électrique)
- Vanne se ferme sur le refoulement
- Viscosité augmente (donc également pertes de charge) :
. température du bac diminue
. traçage de ligne en panne
. le produit change de qualité, on doit constater que Paspiration baisse ; Prefoulement
augmente.
d - Pompe grippée
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D 5 -2/C
Selon le cas, le piston peut être en contact avec le cylindre, ou ne pas être en contact avec
les parois de la chambre qui contient le liquide.
Le mouvement de la membrane est imposé, dans le cas général, par la pression obtenue
sur la face arrière par une pompe à piston plongeur.
Cylindre
Clapet de Plateau AR
Piston Piston plongeur
refoulement Huile tampon
Membrane
D T 1367 A
Pompe à piston en contact
Pompe à piston plongeur Pompe à membrane
avec le cylindre
- lorsque le piston, ou la membrane, se déplace vers le “point mort bas”, le clapet d’aspiration
se soulève et le liquide est aspiré. Le clapet de refoulement est fermé.
- lorsque le piston, ou la membrane, se déplace vers le “point mort haut”, le clapet
d’aspiration se ferme tandis que celui de refoulement s’ouvre, permettant le refoulement du
liquide pompé.
Elles peuvent être à double effet et, dans ce cas, le piston est actif dans les deux phases, permettant
un débit deux fois plus important et une plus grande régularité de débit.
Il est possible d’associer plusieurs éléments de pompe à piston, décalés dans un cycle de rotation
(pompe Triplex par exemple) de façon à augmenter le débit et la régularité. Ces pompes possèdent
une grande capacité d’aspiration et permettent d’atteindre des pressions de refoulement importantes.
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D 5 -2/C
Le volume balayé par le piston étant supérieur à celui balayé par la membrane, il est nécessaire de
limiter la pression du liquide tampon afin d’éviter l’éclatement de la membrane. Une soupape de
sécurité permet d’évacuer l’excédent de liquide tampon en fin de phase de refoulement. Il est
alors nécessaire de prévoir un second dispositif de compensation qui admettra en fin de phase
d’aspiration une quantité de liquide tampon à l’arrière de la membrane, égale à celle chassée en
fin de refoulement.
Une pompe à membrane devra donc être équipée d’un système auxiliaire dit de “compensation” qui en
augmente le coût.
Ces pompes sont utilisées sur les débits moyens de l’ordre de 80 m 3 /h, à des températures inférieures
à 150°C.
Elles conviennent sur les très petits débits, et sont très souvent utilisées comme pompes doseuses.
Une pompe volumétrique alternative donne tant à l’aspiration qu’au refoulement une loi de débit
déterminée par son mécanisme interne. Le mouvement du piston entraîné par un dispositif bielle-
manivelle est pratiquement sinusoïdal, il est à remarquer que dans ce type de pompe le débit
instantané maximum atteint, est pratiquement égal à 3 fois le débit moyen.
qv
qmoyen
D T 1294 B
1 2 3 4 1 2 3 4
Course
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Il est possible de représenter le cycle théorique sur un tour de vilebrequin, par un diagramme pression-
volume comme sur la figure ci-après.
D C
Pref
A B
D T 1381 A
Pasp
PMH PMB
Le liquide étant incompressible, la montée en pression (BC) est instantanée ainsi que la baisse de
pression (DA) dès que s’inverse la course du piston. Le cycle théorique est un rectangle.
b - Le cycle réel
La perte de charge à travers les clapets d’aspiration et de refoulement fait que de A à B, la pression
est inférieure à ce qu’elle est dans la ligne d’aspiration et de C à D, supérieure à ce qu’elle est dans la
ligne de refoulement.
Le manque d’étanchéité des clapets et leur retard à la fermeture, déforme les segments BC et DA, qui
ne sont plus alors verticaux.
La présence de gaz dans le cylindre a le même effet. Du gaz dissous dans le liquide est susceptible,
en effet de se dégazer pendant la phase d’aspiration où la pression descend à une valeur qui peut être
plus faible que la tension de vapeur.
Ce gaz amortit la montée en pression, provoque des oscillations de pression et des battements de
clapet.
Dans certains cas, on peut introduire volontairement une petite quantité d’air par un reniflard pour
amortir les chocs sur le mécanisme et renouveler l’air du réservoir de régularisation du débit.
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D 5 -2/C
Débit réel
P Influence
des clapets
Pref
Influencedu gaz
dissous et du
manque d'étanchéité
Pasp
D T 1382 A
V
PMH PMB
c - Conséquences
• les pressions extrêmes atteintes provoquent des à-coups très importants, fatiguant le
mécanisme et ainsi générant des couples qui peuvent passer par des maximums, qui
risquent de surcharger le moteur.
• la pression minimum atteinte, nettement inférieure à la pression que l’on aurait avec un
débit régulier peut provoquer, si la “charge à l’aspiration” n’est pas suffisante :
- un dégazage important, donc une diminution du débit et une usure des clapets
- de la cavitation, si on est proche de la tension vapeur, d’où érosion de l’intérieur
de la pompe et également diminution du débit.
• De plus les phénomènes pulsatoires peuvent faire apparaître des surdébits, à l’aspiration
et au refoulement, du fait de l’inertie des colonnes liquides. En fin de phase d’aspiration
lorsque la pression dynamique à l’entrée de la pompe excède la pression statique au
refoulement. En fin de phase de refoulement lorsque la pression dynamique à la sortie
de la pompe est inférieure à la pression statique à l’aspiration.
Conclusion
Il faut :
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D 5 -2/C
4- RÉGULARISATION DU DÉBIT
Plusieurs solutions sont employées, principalement :
qv Débit résultant
Cylindre 1
Cylindre 2
Cylindre 3
D T 1293 A
t
qv
Refoulement A V
A1
qmoyen
Conduite de
D T 1294 A
A2
refoulement
Course
Pour obtenir un débit régulier, il faut que par compression du gaz contenu dans la bouteille, le volume
A 1 soit emmagasiné pendant la phase de refoulement et restitué intégralement pendant la phase
d’aspiration (A 2 = A1 = A) .
Pour ce faire, le volume de la bouteille est de l’ordre de 25 à 50 fois le volume A1, engendré par une
pulsation.
De plus, il faut éviter que les oscillations propres du système colonne de liquide-matelas de gaz
aient une fréquence propre supérieure ou égale à la cadence de la pompe afin d’éviter tout
phénomène de résonance.
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Valve
de gonflage
Pour cela, il suffit de surdimensionner la bouteille.
On est amené à le faire pour les pressions de
refoulement élevées.
Gaz Pratiquement, il est utilisé des bouteilles à
comprimé Vessie membrane pour éviter de dissoudre le gaz.
Celles-ci sont gonflées à environ 60 % de la
pression de refoulement de la pompe.
lors du gonflage.
Remarque
On peut être obligé d’installer une bouteille non seulement au refoulement, mais aussi à l’aspiration. En
effet, des lignes courtes et de diamètre suffisant pour limiter les pertes de charge à l’aspiration sont
susceptibles de connaître des oscillations très importantes accordées à la cadence de la pompe.
L’inertie de la colonne liquide est prépondérante, car les frottements qui pourraient amortir le
mouvement pulsatoire sont faibles.
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D 5 -2/C
- Défaut électrique
- Frottements mécaniques
La conception de l’installation est en cause, l’inertie de la masse liquide en mouvement dans la ligne
de refoulement est trop importante. On peut :
d - Vibrations importantes
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POMPE À 2 VIS
Soupape de protection de la pompe — À paliers internes —
— Planche n°1 —
Presse étoupe
Arbre
Paliers internes
Rotors non engrenants :
engrenages de synchronisation internes
D T 1375 A étanchéité tresse/ougarnitures mécaniques
D'après document Guinard
D 5 -2/C
Engrenage d'entraînement
de la vis menée
Niveau
d'huile Vis menée
Soupape de sécurité incorporée,
protégeant la pompe des
surpressions accidentelles
Arbre
4 étanchéités tresses
ou POMPE À 2 VIS NON ENGRENANTES
garnitures mécaniques — Planche n°2 — — À paliers externes —
D T 1376 A D'après document Guinard
D 5 -2/C
Paliers internes - rotors engrenants
Étanchéité : tresse/ ou garniture mécanique
1 vis menante - 2 vis menées
Soupape de sûreté protégeant la pompe
d'une surcharge accidentelle
Refoulement
Arbre
— Planche n°3 —
POMPE À 3 VIS
Compensation des
Presse-étoupe
Vis menée
D T 1371 A
— Planche n°4 —
Fonctionnement
Palier interne
D T 1365 C
Double cardan
a Section a
un autre s'amorce
1 2 3 4
B B C
D
C
C D
A C
B
D T 1366 A
Ref. Asp. A D B E
A refoulement A fin de refoulement A volume 0 A remplacé par C
B fin de remplissage B refoulement B refoule B termine son refoulement
C en remplissage C en remplissage C termine un remplissage C refoule
D volume 0 D commence son aspiration D en remplissage D poursuit son remplissage
E commence son remplissage
devient C
Bypass de sécurité
Arbre avec
douille excentrée
Seule pièce en
Cet excentrique tourne mouvement
dans l'alésage du piston avec l'arbre
Corps de pompe Cylindre monobloc Piston Fond
D T 1366 B
Bielle Chambre
Piston
Clapets
ASPIRATION
Vue de dessus
Vilebrequin
Bielles calées à 120°C
Pressions jusqu'à 200 bar
D T 1289 C
Piston
Membrane
Porte piston
— Planche n°8 —
Liquide pompé
D T 1400 A
D 5 -2/C