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Les anges déchus du Livre d’Enoch

Autrefois, durant la fête du Yom Kippur, le grand prêtre prenait deux boucs. L’un était
destiné à Jéhova, l’autre (le bouc émissaire) était pour Azazel. Le bouc pour Jéhova était
mis à mort et son sang porté à l’intérieur du sanctuaire. Ensuite, le grand prêtre mettait ses
deux mains sur la tête de du bouc émissaire et confessait ses péchés et ceux du peuple juif.
Ensuite, l’animal était conduit dans le désert et remis en liberté, emportant avec lui « toutes
les iniquités dans une terre désolée »  (Lévitique XVI, 10-22). Mais qui était cet Azazel à qui
était livré le bouc émissaire ?
Azazel est l’un des multiples noms du diable. En arabe, Azazel est employé pour
nommer l’esprit méchant. Dans l'Apocalypse d'Abraham, Azazel est identifié au serpent
tentateur et au grand dragon chargé de dévorer les âmes perdues en enfer. Certains textes
(Isaïe XIII, 21 et XXXIV, 14) en font le prince des animaux maléfiques vivant dans le désert,
le souverain des boucs ou des seirims (satyres). Dans le livre d’Énoch, Azazel est l’un des
anges déchus condamnés par Dieu. Outre le fait d’avoir copuler avec des humaines, Azaël
[ ou Azazel] enseigna aux hommes « à faire des épées, des couteaux, des boucliers, des
cuirasses et des miroirs; il leur apprit la fabrication des bracelets et des ornements, l'usage
de la peinture, l'art de se peindre les sourcils, d'employer les pierres précieuses, et toute
espèce de teintures, de sorte que le monde fut corrompu. » Dans le chapitre X du livre
d’Enoch, le Seigneur dit à l’ange Raphaël : « Prends Azaël, lie-lui les pieds et les mains ;
jette-le dans les ténèbres ; et abandonne-le dans le désert de Dudael. Fais pleuvoir sur lui des
pierres lourdes et pointues ; enveloppe-le de ténèbres. Qu'il y reste à jamais, que sa face soit
couverte d'un voile épais ; et qu'il ne voie jamais la lumière. Et quand se lèvera le jour du
jugement, plonge-le dans le feu./… Mais la terre a été souillée par les enseignements impurs
d'Azaël. Aussi est-ce lui qui doit être responsable de tous les crimes… »
Le Livre d’Enoch fait partie des textes apocryphes dont la transmission fut marquée
par une mise à l’écart et une volonté d’oubli délibérées de la part de l’Eglise catholique, leur
contenu renvoyant à des mystères qu’elle désirait cacher aux profanes. Considérés comme
« hérétiques », il fut interdit de les lire, de les copier et de les diffuser. Soumis à la censure et
à la destruction, bon nombre d’entre eux disparurent sans laisser de traces. Ces textes à clef,
ces écrits symboliques sont reconsidérés aujourd’hui avec beaucoup d’intérêt car ils sont
porteurs d’une vérité cachée. Le Livre d’Enoch relate des faits et des événements très
importants liés aux origines cosmiques de notre humanité et à la chute des anges. Ceux-ci
« révélèrent à Enoch toutes choses et lui donnèrent l'intelligence de ce qu’il avait vu ». Après
sa condamnation officielle par l’Eglise, le monde chrétien et hébreu perdu la trace de ce
précieux manuscrit pendant près de 1400 ans !
De nombreuses citations des Pères de l'Église prouvent qu'il existait dans les premiers
siècles de l'ère chrétienne un livre apocryphe portant le nom d'Enoch. Ainsi Jude,dans son
Epître (chapitre 1: 9) cite le livre d'Enoch : "(...). C'est aussi pour eux qu'Enoch, le septième
depuis Adam, a prophétisé en ces termes: « Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes
myriades, pour exercer un jugement contre tous, et pour faire rendre compte à tous les impies
parmi eux de tous les actes d'impiété qu'ils ont commis et de toutes les paroles injurieuses
qu'ont proférées contre lui des pécheurs impies... ». Saint Paul confirma la croyance en la
montée au ciel d'Énoch, sans avoir connu la mort (Hb 11:5-6) : « C’est par la foi qu’Enoch
fut transporté, de sorte qu’il ne vit pas la mort ; on ne le trouva plus car Dieu l’avait
transporté. »
Pour Pierre JOVANOVIC et Anne-Marie BRUYANT, auteurs de « Enoch, Dialogues
avec Dieu et les Anges », le livre d’Enoch est le seul ouvrage que le Christ citait
régulièrement et qu'il connaissait par cœur. Selon eux, on retrouverait dans les Evangiles de
nombreuses correspondances et emprunts à Enoch, respectivement 9 pour Jean, 38 pour
Mathieu, 27 pour Luc et 6 pour Marc, preuve que Jésus y faisait souvent référence.
Mais qui était Enoch ? D'après les récits bibliques, Enoch fut le septième patriarche
d'avant le déluge, père de Mathusalem, grand-père de Lamech et arrière grand-père de Noé.
Il est présenté dans l'Ancien Testament comme un homme dont la fidélité exemplaire à Dieu
lui valut d'être enlevé au ciel de son vivant. Il avait alors 365 ans (Genèse 5:18-24). Selon
certains, Enoch puiserait ses racines dans le roi En-men-dur-Anna-k ou Enmeduranki,
7ième roi sumérien d'avant le déluge. Les musulmans connaissent Énoch sous le nom
d'Idrîs (Coran 19:56, 21:85-86). Nombre de mystiques de l'Islam ont raconté avoir
rencontré Idrîs au ciel, tantôt gouvernant une planète, tantôt gardant le Paradis terrestre.
Plusieurs alchimistes islamiques l'ont identifié à Hermès, inventeur de toutes les sciences
chez les Grecs, idée que reprirent les hermétistes chrétiens de la Renaissance. Avec Elie,
Énoch est sensé jouer un rôle important dans les derniers jours de l'humanité, quand
l'Antéchrist prendra le pouvoir sur la terre.
Le mystérieux enlèvement d’Enoch et ses révélations inspirèrent de nombreuses
écrits. Une copie du Livre d’Enoch fut redécouverte par James Bruce en Abyssinie, en
1773 et traduite par le professeur Laurence en 1821. Cette version dite éthiopienne ou
(1Énoch) dont les parties les plus anciennes remontent au II siècle av. J.-C., avait été
intégralement conservée grâce aux chrétiens d'Éthiopie qui l’avait placée parmi leurs livres
canoniques. Elle est conservée aujourd'hui à la Bodleian Library d'Oxford avec d'autres
versions qui vinrent s'y ajouter par la suite. Le Livre d'Énoch éthiopien se présente en
six chapitres : le « livre des Veilleurs» racontant la chute des anges rebelles et leur
union avec les femmes, raison pour laquelle Dieu décide de détruire l’humanité par un
déluge, le « voyage céleste d'Énoch » et ses stupéfiantes visions de l'Enfer et du Paradis, le «
livre des Géants », entièrement perdu excepté quelques fragments en araméen retrouvés
dans les grottes de Qumran qui évoque l'histoire des Nephilim, ces enfants mutants nés
de l'union chamelle des Veilleurs (anges) avec les femmes. des hommes, le «livre des
Paraboles» portant sur les hiérarchies angéliques, évoquant les problèmes astronomiques
et astrologiques et se terminant par la présentation d'un « Élu », ou « Fils de l'homme »,
auquel reviendrait le rôle de Messie, le « livre de l'Astronomie» révélés à Énoch par
l'ange Uriel, le « livre des Songes » contenant deux visions d'Énoch, l’une sur le déluge,
l’autre résumant l'histoire de la création de l'homme à l'avènement du royaume de Dieu, la
«lettre d'Enoch » racontant les derniers jours de l'humanité et le Jugement dernier.
Il existe d’autres versions: le Livre d'Énoch slave ou « Livre des Secrets
d'Énoch » (2Énoch) et le Livre d'Énoch hébreu ou « Livre des Hekhaloth »
(3Énoch). Le Livre des secrets d'Énoch remonterait au Ier siècle de notre ère, mais n'est
connu que par différentes rédactions serbes et russes du XII siècle. Il raconte le voyage
d'Énoch au Paradis, la vision des hiérarchies angéliques (Egregoroi, Ophanim, Kerubim et
Seraphim) et des gardiens de l'Enfer et se conclut avec le récit de la naissance de
Melchisédech. Le Livre d'Énoch hébreu (3Énoch) remonte au IIe-IIIe siècle. Rabbi
Ishmaël y raconte son ascension au ciel, sa traversée des six premières sphères planétaires
et sa rencontre avec Énoch. Celui-ci lui explique les raisons de sa montée au ciel et se
transforme instantanément en l'ange Métatron. Ensuite, commencent les habituelles
révélations sur la structure des cieux et les hiérarchies célestes.
Le Livre d’Enoch fut de l'avis des chercheurs composé à l’origine en hébreu ou en
araméen. Une controverse subsiste quant à sa date de rédaction. La plus plausible est le 2ième
ou le 3ème siècle avant JC. Il reste de ce livre un passage biblique fort embarrassant pour les
théologiens, relatif aux anges fornicateurs : « Quand les hommes eurent commencé à se
multiplier sur la face de la terre et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que
les filles des hommes étaient belles, et ils prirent des femmes d’entre toutes celles qui leur
plurent. Et l’Éternel dit : Mon esprit ne contestera point dans l’homme à toujours; dans son
égarement il n’est que chair; ses jours seront de cent vingt ans. Les géants étaient sur la
terre, en ce temps-là, et aussi dans la suite, parce que les fils de Dieu étaient venus vers les
filles des hommes, et elles leur avaient donné des enfants : Ce sont ces hommes puissants qui,
dans les temps anciens, furent des gens de renom. Et l’Éternel vit que la malice de l’homme
était grande sur la terre, et que toute l’imagination des pensées de son cœur n’était que
mauvaise en tout temps.» - (Genèse 6 :1)
Dans son livre remarquable, « Nos ancêtres les Anges », Andrew Collins fait état
d’éléments surprenants sur une race d’êtres supérieurs que maintes traditions nommèrent
nephilim, veilleurs, titans ou encore géants. Qu’ils aient été humains, extraterrestres ou
célestes, pour A. Collins, il ne fait aucun doute que ceux que nous appelons les « anges »
avaient un sexe et qu’ils savaient s’en servir. A ce propos, l’auteur nous livre un texte étrange.
tiré du « Livre de Noé », un écrit hébraïque ancien. Dans ce fragment, Enoch fait part des
doutes éprouvés par son petit-fils Lamek sur la fidélité de son épouse après que celle-ci ait
donné naissance à un enfant présentant toutes les caractéristiques des « anges » : « Il avait un
corps blanc comme la neige et rouge comme la rose, des cheveux blancs comme la laine et un
beau demdema ( longue chevelure bouclée) ; et pour ses yeux, quand il les ouvrait, toute la
maison brillait comme le soleil... Et son père Lamek eut peur de lui et s'enfuit auprès de son
père Métoushèlah, et lui dit : « J'ai engendré un fils étrange. II n'est pas comme un
humain ordinaire, sa forme est différente, il n'est pas comme nous... Il ne me semble pas
qu'il soit de moi mais des anges... » Lamek conclut logiquement à l’infidélité de sa femme.
Nous retrouvons les doutes de Lamek formulés dans un fragment de texte en araméen
assez mal conservé, appelé « L’Apocryphe de la Genèse », faisant partie des manuscrits de la
Mer Morte découverts en 1947. Lamek y exprime à nouveau ses soupçons sur l’infidélité de
son épouse et déclare que la conception est due aux « Veilleurs, aux Saints … aux Nephilim ».
Sur quoi, son épouse jure que l’enfant est bien le fruit de leur amour et de sa semence : « Ce
fruit a été planté par toi et par aucun étranger ni Veilleurs ni Fils du Ciel ».
La père de Lamek, inquiété par le drame que vit son fils, va demander conseil à
Enoch qui vit « retiré parmi les anges », dans un endroit éloigné que « l’Apocryphe de la
Genèse » désigne du nom de « Paradis ». Enoch lui rappelle que du temps de son père Jared,
certains veilleurs transgressèrent la « parole du Seigneur, la loi du ciel ». Ils commirent le
péché de chair et s’unirent à des femmes, donnant naissance à une race mutante. Enoch lui
révèle que malgré les apparences, le fils de Lamek qui deviendra le célèbre Noé est un
« juste » et « qu’il sera sauvé de la corruption qui viendra sur la terre… »
Le Livre d’Enoch révèle que voyant les filles des hommes « élégantes et belles »,
deux cents veilleurs mené par leur chef Samyaza descendirent au sommet du mont Hermon, là
même où Jésus allait être transfiguré sous les yeux de ses disciples : « Ils se dirent les uns aux
autres : choisissons-nous des femmes de la race des hommes, et ayons des enfants avec
elles./… Et ils se choisirent chacun une femme, et ils s’en approchèrent, et ils cohabitèrent
avec elles ; et ils leur enseignèrent la sorcellerie, les enchantements, et les propriétés des
racines et des arbres.  Et ces femmes conçurent et elles enfantèrent des géants dont la taille
avait trois cents coudées. Ils dévoraient tout ce que le travail des hommes pouvait produire, et
il devint impossible de les nourrir. Alors ils se tournèrent contre les hommes eux-mêmes, afin
de les dévorer. Et ils commencèrent à se jeter sur les oiseaux, les bêtes, les reptiles et les
poissons, pour se rassasier de leur chair et se désaltérer de leur sang. Et alors la terre
réprouva les méchants. »
Le nom hébreu de cette race d’êtres divins à laquelle Lamek fait allusion signifie
« ceux qui veillent » ou encore « ceux qui sont éveillés ». Ces veilleurs sont cités dans le
Livre d’Enoch et le Livre des Jubilés. Ils apparaissent dans la Bible en tant que b’néi ha-
élohîm ou fils des Dieux. Dans son livre « Les Débuts de l’Humanité selon la Bible », André
Wauthier les identifie aux beni-élohim de la classification angélique hébraïque,
correspondant aux archanges chrétiens. De l’union des « Veilleurs » avec des femmes de
chair naquirent des êtres hybrides que la Bible désigne sous le nom de Nephilim. Ce mot
hébreu signifie « ceux qui ont chu, qui sont tombés, qui sont descendus ». Il fut traduit en
grec par le mot « géants ». Dans sa « Théogonie » où il décrit entre autres la création du
monde et le déluge universel, Hésiode évoque cette race de géants.
L’éminent chercheur Zecharia Sitchin, auteur de « La Douzième planète », s’est
aperçu que les textes sacrés de la civilisation sumérienne racontait une genèse de l'humanité
bien différente de l’Ancien Testament. Selon lui, les Veilleurs faisaient partie d’une race
d’extraterrestres, celle des Anunnakis, qui furent pris pour des Dieux par le peuple sumérien.
Rappelons que l’identité et l’origine de ce peuple posent une énigme aux historiens ainsi que
l’éclosion soudaine de leur prodigieuse civilisation, vers 3.800 avant JC, en Irak actuel. Les
Anunnakis seraient venus exploiter les richesses aurifères de la terre. Ils créèrent une race
d’esclaves (les hommes) pour travailler dans les mines en croisant leurs propres gènes avec
ceux des grands singes. Nous évoquerons dans un prochain numéro cette mystérieuse
civilisation qui est considérée à juste titre comme le berceau de l’humanité.
Selon Enoch, les anges révélèrent à l’humanité une connaissance interdite : les
drogues, la sorcellerie, les enchantements, les propriétés des racines et des arbres, l’art des
métaux, la fabrication des bracelets et des ornements, l'usage de la peinture, l'art du
maquillage, l’emploi des pierres précieuses, l'art d’observer les étoiles, l'astronomie, les
mouvements de la lune….A ce sujet, l’auteur A. Collins s’interroge avec justesse sur la raison
de telles connaissances chez les anges. Quel était l’intérêt pour des créatures célestes de
connaître le travail du métal, les vertus des plantes, l’art du maquillage ? A rien, sauf s’ils
n’étaient pas des anges évidemment, rejoignant là l’hypothèse de Sitchin.
Le Très-Haut fustigea les anges fornicateurs : « Pourquoi avez-vous abandonné les
saintes hauteurs du ciel, votre demeure éternelle, pour aller vous souiller avec des femmes ?
Pourquoi vous êtes-vous épris des filles des hommes; en avez-vous fait vos épouses; avez-vous
pratiqué avec elles les œuvres des enfants de la terre, et donné naissance à une race impie ?
Vous qui étiez des esprits célestes, en possession de la sainteté, de la vie éternelle, vous vous
êtes souillés avec des femmes; vous avez travaillé aux œuvres de la chair, vous avez engendré
dans le sang, vous avez agi comme ceux qui ne sont que de sang et de chair. Eux, ils ont été
créés pour mourir. Voilà pourquoi je leur ai donné des femmes, afin qu’ils puissent cohabiter
avec elles, engendrer des enfants qui perpétuent leur race sur la terre. Mais vous, vous avez
été créé de purs esprits dès le commencement, vous possédez une vie éternelle, vous n’êtes
point sujets à la mort. Aussi ne vous avais-je point donné de femmes, parce que, esprits purs,
vous deviez habiter dans le ciel. » Il décida de détruire les enfants bâtards et de punir
l’humanité corrompue en provoquant le déluge. S’adressant à Gabriel, il dit : « Extermine
ces enfants de fornication, ces rejetons des vigilants, du milieu des hommes. » Il dit à
Michael : «  Va et annonce le châtiment qui attend Samyaza et tous ceux qui ont participé à
ces crimes, qui se sont unis à des femmes, qui se sont souillés par toutes sortes d'impureté. Et
quand leurs fils seront exterminés, quand ils auront vu la ruine de ce qu'ils ont de plus cher
au monde, enchaîne-les sous la terre, pour soixante-dix générations, jusqu'au jour du juge-
ment, et de la consommation universelle ; et l'effet de ce jugement sera pour eux éternel. »
On ignore si Dieu fut davantage courroucé par les actes sexuels contre-nature auxquels
se livrèrent les anges que par les révélations dont ils abreuvèrent les femmes. Ils assistèrent
avec impuissance à la destruction de leurs enfants tandis que le Tout Puissant livrait
l’humanité souillée au déluge. Les révélations devaient être de taille pour mériter un tel
châtiment. Avec le temps, l’ensemble des secrets délivrés par les Veilleurs prit la forme d’un
enseignement initiatique transmis de génération en génération. Consciente du danger potentiel
présenté par cet héritage, l’Eglise s’empressa de le combattre. Ne donnait-il pas aux hommes
les moyens de s’affranchir des lois matérielles et de s’élever jusqu’à la divinité ? Consciente
de la menace, la puissante institution combattit violemment toutes les formes d’ésotérisme et
de gnose et les sociétés qui les diffusaient.

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