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création d’entreprise
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CRÉATION : 29 AOÛT 2011
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C’est la combinaison de ces trois éléments qui détermine la forme de votre entreprise, sachant que cette forme
n’est pas définitive et que vous pourrez la faire évoluer au cours de sa vie.
Il est important de comprendre que la forme que vous choisirez pour votre entreprise n’est rien d’autre qu’un «
véhicule » vous permettant d’avancer. En fonction de votre projet, il vous faudra le véhicule le mieux adapté pour
démarrer, puis peut-être en changer au cours de la vie de l’entreprise. Vous pouvez choisir de démarrer
modestement avec un véhicule sans permis pour finir avec un camion de plus de 3,5 T ou peut-être devrez-vous
parce que le projet l’impose tout de suite démarrer avec une grosse camionnette. C’est pourquoi la définition de
votre projet est la première étape incontournable
l'entreprise individuelle,
la création d'une société.
Comparatif
Entreprise Individuelle Société
- Personne physique - Personne morale
- Entreprise porte le nom patronymique
- La société à son nom propre
du dirigeant
– Formalité de déclaration simple – Pas
– Statuts obligatoires
de statuts
– Pas d’objet social – Possibilité – Objet social
d’exercer plusieurs activités dans la
même entreprise
– Pas de capital – Capital
– Pas d’associé – Associés possible
– Gestion simplifiée – Gestion réglementée
– Statut salarié possible pour le
– Statut TNS pour le dirigeant
dirigeant
– Pas de cotisation au chômage y
– Pas de cotisation au chômage
compris pour les dirigeants salariés
– Responsabilité totale et indéfinie* – Responsabilité limitée**
– Responsabilité civile et pénale du – Responsabilité civile et pénale du
chef d'entreprise ou des dirigeants
– Imposition : IR par défaut – Imposition : IS***
– La rémunération des dirigeants n’est – La rémunération des dirigeants est
pas déductible des recettes de déductible des recettes de la
l’entreprise* société***
– Transmission ou vente de
– Transmission ou vente de l’entreprise
l’entreprise par cession des parts
par cession de fond ou de la clientèle
sociale
* Sauf EIRL
** Sauf société en commandite
*** Sauf EURL
Les Sociétés
Créer une société consiste à donner naissance à une nouvelle personne, juridiquement distincte des associés
fondateurs, que l'on nomme "personne morale".
Cela nécessite :
On distinguera deux catégories de sociétés : Celles qui ont pour objet d’exercer une activité professionnelle et
celles qui ont pour objet de faciliter l'exercice de l'activité de leurs membres.
Les sociétés qui ont pour objet d’exercer une activité professionnelle
Les sociétés qui ont pour objet de faciliter l'exercice de l'activité de leurs membres
Elles sont donc constituées essentiellement d'entreprises :
Association
L’association est une structure juridique qui n’est pas des plus adaptée à la création d’une entreprise, elle
convient aux personnes qui désirent se regrouper dans un but autre que le partage des bénéfices.
• Il faut être au moins 2 pour créer une association !
• L’objet d’une association est en principe civil mais rien n'interdit à l'association d'accomplir des actes lucratifs
ou de commerce.
• But désintéressé : la réalisation de bénéfices est possible mais ne doit pas être le but premier de l'association.
Il est interdit de partager ses bénéfices entre ses membres.
Les sociétés
Ne sont présentés ci-dessous que les principales formes ayant pour objet l’exercice d’une activité.
Pour ce qui est de la limite de responsabilité, il est important de prendre en considération que la faute de gestion
peut-être retenu à l’encontre du ou des dirigeants et qu’ils sont civilement et pénalement responsables.
Les critères à prendre en considération dans le choix du statut juridique de la société sont essentiellement :
Le nombre d’associés
Le montant minimal du capital à verser
La nature de l’activité exercée
La « crédibilité » que l’on souhaite donner à la société
EURL
L'EURL (entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée) est une SARL constituée d'un seul associé.
• Le montant du capital social est librement fixé par l'associé et les apports peuvent être réalisés en
numéraire ou en nature. Il devra être cohérent avec les exigences économiques du projet, dans le cas
contraire la responsabilité personnelle de l’associé pourra être engagée.
• Le risque financier de l'associé unique est limité aux apports.
• La société est dirigée par un gérant qui doit être une personne physique.
• L'associé unique exerce personnellement les pouvoirs dévolus aux associés dans les SARL
pluripersonnelles
• Les bénéfices sociaux sont constatés au niveau de la société, mais entrent dans la déclaration
d'ensemble des revenus de l'associé (BIC ou BNC). Une option est possible pour l'impôt sur les sociétés
(IS), elle peut être exercée dès la création de la société. Elle est irrévocable.
• Si le gérant est l’associé unique, il est obligatoirement inscrit au régime des TNS
SARL
La SARL doit être constituée de 2 associés au minimum et de 100 au maximum. Il peut s'agir de
personnes physiques ou morales.
Le montant du capital social est librement fixé par les associés et les apports peuvent être réalisés en
numéraire ou en nature. Il devra être cohérent avec les exigences économiques du projet, dans le cas
contraire la responsabilité personnelle du gérant et/ou des associés fondateurs pourra être engagée.
Les apports en industrie sont autorisés.
Le capital peut être variable. Il doit alors être compris en permanence entre un minimum et un maximum
fixé par les statuts.
Le risque financier des associés est limité aux apports.
La société est dirigée par un ou plusieurs gérants, personnes physiques obligatoirement, nommés parmi
les associés ou en dehors d'eux.
Dans le cas d’une SARL à deux associés égalitaires, la co-gérance est très fortement déconseillée ! Il
est préférable de mettre en place des limitations statutaires aux pouvoir du gérant.
La SARL est soumise de droit à l'impôt sur les sociétés.
Régime social du ou des gérants
o Gérant majoritaire : Il est affilié au régime des travailleurs non-salariés (TNS).
o Gérant minoritaire ou égalitaire : Il relève du régime social des "assimilés-salariés", mais ne
cotise pas à l'assurance chômage.
SAS
Ses principales caractéristiques : une grande souplesse de fonctionnement et la possibilité pour les associés
d'aménager dans les statuts ou dans un pacte d’associés les conditions de leur entrée, de leur sortie de la
société, de cession des parts, de répartition des bénéfices …
Pour cette raison, la SAS est bien souvent préférée à la SARL.
Le montant du capital social est librement fixé par les associés et les apports peuvent être réalisés en
numéraire ou en nature.
Les apports en industrie sont autorisés.
La SAS peut avoir un capital variable.
La SAS ne peut pas procéder à une offre au public de titres financiers ni avoir accès à un marché réglementé de
ses actions. Elle peut cependant faire des offres de titres financiers qui s'adressent exclusivement à des
investisseurs privés ou à des sociétés de gestion de portefeuille agissant pour des tiers.
SASU
La SASU (société par actions simplifiée unipersonnelle) est une SAS constituée d’un seul associé.
Ces règles de fonctionnement sont celles de la SAS
SA
SNC
La SNC ou société en nom collectif est une société moins répandue que la SARL et la SA en raison de la
responsabilité solidaire et indéfinie qui pèse sur ses associés.
C’est aussi la forme de société commerciale la plus ancienne, remontant au moyen âge.
Cette structure convient surtout aux porteurs de projet qui désirent créer une société fermée composée
uniquement de personnes qu'ils connaissent bien et en qui ils ont confiance. Les parts sociales ne peuvent en
effet être cédées que si les associés le décident à l'unanimité.
2 associés au minimum sont nécessaires pour constituer une SNC. Il peut s'agir de personnes
physiques ou de personnes morales. Il n'existe pas de maximum prévu par la loi.
Le montant du capital social est librement fixé par les associés. Il peut être constitué d'apports en
numéraire, en industrie ou en nature, et être versé intégralement ou non à la création.
Tous les associés sont responsables solidairement (le créancier peut poursuivre n'importe lequel des
associés) et indéfiniment (les associés sont responsables sur l'ensemble de leurs biens personnels) des
dettes de l'entreprise.
Aucune imposition n'a lieu au niveau de la société. Il est cependant possible d'opter pour l'impôt sur les
sociétés.
Régime fiscal des associés : Chaque associé mentionne ses revenus dans la catégorie des bénéfices
industriels et commerciaux (BIC) ou bénéfices non commerciaux (BNC).
Le gérant est obligatoirement inscrit au régime des TNS
Société en commandite
La commandite ou société en commandite sont apparues après le XIIème siècle pour répondre au besoin de
rapprocher deux catégories d’associés :
Les commandités (entrepreneurs) ont le statut d'associés en nom collectif. Ils sont responsables
indéfiniment et solidairement des dettes sociales. Cette responsabilité constitue un élément de crédit
tant auprès des tiers que des commanditaires, qui seront certainement plus enclins à apporter des
capitaux à la société.
Les commanditaires (Investisseurs) "apporteurs de capitaux". Leur responsabilité est limitée au montant
de leurs apports.
SCS
La SCS ou société en commandite simple est une forme sociale peu utilisée. Cette situation est sans doute liée à
la responsabilité indéfinie et solidaire supportée par les commandités ou à une méconnaissance des avantages
qu'offre la souplesse de cette structure malgré la présence de deux catégories distinctes d'associés.
Elle permet à des personnes (commanditaires) de participer au développement d'une entreprise commerciale
sans pour autant devenir commerçantes.
Principaux avantages
Caractéristiques
SCA
La SCA ou société en commandite par actions, très utilisée autrefois, est aujourd'hui délaissée au profit de
structures plus simples comme la SAS ou la SARL.
Deux critiques sont généralement formulées à son encontre :
la lourdeur de son fonctionnement en raison de la présence en son sein de deux catégories d'associés
aux statuts très différents (commandités/commanditaires),
la responsabilité indéfinie et solidaire des associés commandités.
Caractéristiques
Il faut 4 associés au minimum dont au moins un commandité. Un même associé peut être à la fois
commandité et commanditaire.
La SCA doit être constituée d'un capital minimum de 37 000€ (ou 225 000€ si la société fait appel public
à l'épargne).
Les associés commandités sont au régime des TNS.
Responsabilité
Commandités : Leur responsabilité est indéfinie et solidaire (ils ont la qualité de commerçant).
Commanditaires : Leur responsabilité est limitée au montant de leurs apports.
Membres du conseil de surveillance : Ils sont responsables civilement et pénalement des infractions au
droit des sociétés.
La fiscalité
Les différents régimes fiscaux pour l’entreprise
Régime de la micro-entreprise
Principe
Sous ce régime il n’y a pas de détermination du bénéfice réel. L’administration procède à un abattement
forfaitaire en fonction de la nature de l’activité de l’entreprise (voir imposition à l’IR). Il n’est donc pas possible de
déduire les frais ou les achats ni d’amortir les investissements.
Il est adapté au TPE ayant très peu de frais de fonctionnement et pas ou peu d’investissements.
Exonération de la TVA
Plafond de chiffre d’affaires
o 81 500 euros HT (entreprises dont le commerce principal est de vendre des marchandises, des
objets, des fournitures et des denrées à emporter ou à consommer sur place ou de fournir un
logement),
o 32 600 euros HT (autres activités de services et professions libérales).
Comptabilité simplifié : Tenue d’un simple journal de ventes et d’achats pour les activités de négoce.
Le chiffre d’affaires
Pour la 1ère année, le plafond de CA doit être proratisé.
Au-delà de la 1ère année, il y a une tolérance de plus ou moins 10% de dépassement du plafond. Ce
dépassement ne pourra excéder deux années consécutives.
Le bénéfice imposable est calculé sur un exercice comptable correspondant à l'année civile.
Il est égal à la différence entre les recettes encaissées effectivement au cours de l'exercice et les
dépenses effectivement payées.
Les déficits éventuels s'imputent sur les autres revenus et peuvent être reportés sur les 6 années
suivantes.
Les dépenses pouvant être prises en compte sont celles dont le montant est réel et justifié. Il est
toutefois possible d'opter pour la détermination de leur résultat selon le principe des créances acquises
et des dépenses engagées.
Tenue d'un livre-journal détaillant chronologiquement les recettes et les dépenses enregistrées
quotidiennement.
Tenue d'un registre des immobilisations et amortissements.
Les entreprises soumises à l'impôt sur le revenu (IR) et dont le chiffre d'affaires est compris :
o entre 81 500 euros HT et 777 000 euros HT (entreprises dont le commerce principal est de
vendre des marchandises, des objets, des fournitures et des denrées à emporter ou à
consommer sur place ou de fournir un logement),
o entre 32 600 euros HT et 234 000 euros HT (autres activités de services).
Les sociétés soumises à l'impôt sur les sociétés dont le chiffre d'affaires est inférieur à 777 000 euros
HT (marchandises) ou 234 000 euros HT (services).
Principe :
Le bénéfice imposable résulte de la différence entre les recettes acquises et les dépenses réelles et
justifiées engagées au cours de l'exercice.
Obligation de tenir une comptabilité complète et régulière afin d'être en mesure de justifier de
l'exactitude du résultat indiqué sur la déclaration.
Les entreprises soumises à ce régime d'imposition sont dans l'obligation de tenir les documents
comptables suivants : un bilan, un compte de résultat et des annexes.
Les entrepreneurs individuels et les sociétés civiles de moyens peuvent adopter une comptabilité "super-
simplifiée".
Les entreprises sont soumises à la TVA. Remboursement possible du crédit de TVA
Les entreprises soumises de plein droit au réel normal sont celles dont le chiffre d'affaires excède :
o 777 000 euros HT si leur activité principale est la vente de marchandises, d'objets ou de
denrées à emporter ou à consommer sur place, ou la fourniture de logements,
o 234 000 euros HT, s'il s'agit de prestations de services.
Les entreprises soumises à ce régime d'imposition sont dans l'obligation de tenir les documents
comptables suivants : un bilan, un compte de résultat et des annexes, de procéder à un inventaire au
moins 1 fois tous les 12 mois et doivent obligatoirement tenir un livre journal et un grand livre.
Les entreprises sont soumises à la TVA et doivent produire chaque mois une déclaration accompagnée
du paiement de la TVA.
L’imposition
Imposition sur les revenus (IR)
On distinguera deux cas :
Pour déterminer l'impôt sur le revenu qui est dû, le bénéfice ainsi calculé est ensuite soumis, avec les autres
revenus du foyer fiscal, au barème progressif par tranches de l'impôt sur le revenu.
L'option pour le versement fiscal libératoire (auto-entrepreneur)
Chaque mois ou chaque trimestre, le micro-entrepreneur déclare son CA et paie l'impôt sur le revenu dû au titre
de son activité non salariée, qui correspond à :
Taux normal global : 33,33 %. Ce taux est augmenté d'une contribution sociale fixée à 3,3 % lorsque le
montant de l'IS excède 763 000 euros pour les entreprises dont le chiffre d'affaires est supérieur ou égal
à 7 630 000 euros.
Taux réduit global : 15 % applicable sur une fraction du bénéfice imposable limitée à 38 120 euros.
La CET
La contribution économique territoriale (CET) remplace à taxe professionnelle depuis le 1er janvier 2010.
Elle est composée : de la cotisation foncière des entreprises (CFE) qui reprend une grande partie des
dispositions qui étaient applicables auparavant pour la taxe professionnelle, de la cotisation sur la valeur ajoutée
des entreprises (CVAE) qui remplace la cotisation minimale de taxe professionnelle.
Chacune de ces cotisations est soumise à des règles différentes.
La CVAE n'est due que par les entreprises dont le chiffre d'affaires dépasse 152 500 euros.
Toutes les entreprises sont redevables de la CFE. Vous serez exonéré de cette taxe l'année de la
création de votre entreprise Si vous optez pour le régime de l’auto-entreprise, vous serez exonéré de
cette taxe l'année de la création et les deux années suivantes.
Régime social des TNS
Les dirigeants « TNS » relèvent du Régime social des indépendants (RSI). Le régime social des indépendants est
un régime obligatoire de sécurité sociale.
Les cotisations et contributions sociales personnelles obligatoires sont calculées sur l’ensemble des revenus
professionnels non salariés de N-2 provenant d’activités commerciales, industrielles, artisanales, libérales ou
agricoles, soumis à l’impôt sur le revenu.
Les cotisations indiquées ci-dessous ne tiennent pas compte des exonérations possibles et notamment de
l’ACCRE.
Artisans et commerçants
Le montant des cotisations est respectivement de 45,20% pour les commerçants et de 46,25% (plus cotisation à
la formation professionnelle) pour les artisans, avec une cotisation minimum de 1528€ ou 1578€ (artisans). Pour
les deux premières années, les bénéfices n’étant pas connus, une provision forfaitaire devra être acquittée :
1ère année : 3156€ pour les commerçants et 3668€ pour les artisans – Ces montants sont proratisés en
fonction de la date réelle de début d’activité
2ème année : 4750€ pour les commerçants et 5505€ pour les artisans.
Professions libérales
Cas particulier des professions libérales (non conventionnées) : Contrairement aux artisans et commerçants qui
versent l’ensemble de leur cotisation au RSI, les professions libérales cotisent à 3 organismes différents :
Le montant des cotisations est de 6,5% au RSI, 13,55% à l’URSSAF et un montant forfaitaire allant de 1090€ à
10920€ en fonction de la tranche de revenu pour la CIPAV. La cotisation totale minimum étant de 2009€. Pour les
deux premières années, les provisions seront de :
1ère année : 2007€ – Ce montant est proratisé en fonction de la date réelle de début d’activité
2ème année : 3021€.
Les auto-entrepreneurs
Les auto-entrepreneurs ont au régime micro-social. Ce régime permet payer les cotisations sociales en année N
(au lieu de N-2 pour le régime normal), celles-ci étant calculées du la base du chiffre d’affaires déclaré chaque
mois ou chaque trimestre. Les cotisations sont :
12 % du chiffre d’affaires pour une activité d’achat-revente, de vente à consommer sur place et de
prestation d’hébergement (BIC).
21,3 % du chiffre d’affaires pour les prestations de services (BIC et BNC) et la location de locaux
d'hébergements meublés.
18,30 % pour les activités libérales relevant de la CIPAV (BNC).
Depuis le 1er janvier 2011, les auto-entrepreneurs doivent également payer la CFP (contribution à la formation
professionnelle).
En conclusion sur le choix de la forme juridique
Plus vous commencerez « petit », plus vous aurez de choix dans les combinaisons : Forme juridique, régime
fiscal et régime social. Le régime de l’auto-entrepreneur étant la forme d’entreprise la plus prisée avec près de
60% des créations au premier semestre 2011.
Que votre projet soit des plus modeste et en activité complémentaire ou qu’il soit très ambitieux, que vous
disposiez d’un capital important ou que vous sans un sou, que vous soyez prêt à prendre tous les risques ou au
contraire que vous souhaitiez le risque minimum … Vous trouverez dans le panel des formes juridiques et des
régimes associés ce qu’il vous faut pour mener à son terme votre projet. La question restant de savoir si votre
idée est réalisable !