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Le Roman Pierre et Jean correspond aux definitions du réalisme.

En effet, Maupassannt cherche a raconter une histoire normale, celle-ci debute par des
evenements normaux. En l’occurrence, a une partie de peche en famille, rythmee par une
course aux avirons très disputees entre les deux frères. Mauspassant grâce a ce début de
roman nous fait déjà comprendre que cette premiere description de la rivalite fraternelle offre
une vision de la suite du roman. De plus l’histoire debute par une scene de vie normale dans un
espace limite, cela cree ainsi un effet de réalisme et le lecteur se sent ainsi plus proche des
personnages. Le cadre de l’histoire est réelle, elle se passe au Havre, en 1885, c’est un cadre
realiste. Les personnages sont des personnes ordinaires, issus de la bourgeoisie. Le père Roland
est un ancien bijoutier, les fils occupent tout deux des postes haut places dans la societe en tant
que medecin et avocat et pour finir Mme Roland rentre dans le cadre de al femme mariee. Le
portrait de la famille bourgeoise est ainsi achevee et donne un effet de réalisme. Le portrait des
personnages est fait avec plusieurs details vraissemblables sur leur physique : ils sont décrits
tels que « velus », « maigres », « gras », « grands ». La description du port du Havre est faite de
sorte a ce qu’elle soit plus complete et saisissante que la réalité, lorsqu’il décrit le port, il décrit
un decor realiste, avec les phares geants, la lumiere des phares, les couleurs qui sont visibles
dans l’obscurite de l’eau. L’histoire est racontee a travers les yeux de Pierre. Le lecteur
découvre l’histoire de l’ascension sociale soudaine par heritage de Jean, tandis que Pierre, lui,
n’en beneficie pas.
L’extrait page 77 de « tu es passe l’autre matin » a « si peu ! » est realiste. Tout d’abord dans
cette extrait Pierre decide de parler a une servante de brasserie de l’heritage de Jean venant de
M.Marechal et celle-ci soupconne qu’il se peut que M.Marechal soit en vérité le vrai père de
Jean. Cet extrait est realiste car il y a la presence de la banalite. La fille vit une vie simple en
temps que servante de brasserie. C’est une journée comme toute les autres pour elle, une
journée de routine. Pierre, lui, comme la plupart des hommes qui ont des problèmes a cette
période se rend dans cette brasserie ou il a pour but de boire pour oublier ses problèmes. C’est
une vie ordianire au XIXme de boire tout type d’alcool, lorsqu’on a eu une journée difficile, au
travail ou a la maison et dans le cas de Pierre il s’y rend parce qu’il a eut besoin de libérer les
sentiments de jalousie qui habitent en lui. Il ya la presence de l’analyse également par la voie
de la servante qui elle essaye d’expliquer la raison pour laquelle Jean a recu soudainement 22
000 francs de rente. Elle prpose une explication simple de la situation. Jean est le fils du
Marechal et laisse sous entendre que Mme Roland a trompe M. Roland. A cette période il est
commun pour les femmes d’avoir un amant qu’elles aiment réellement plus que leur marie et
dans ce cas elle l’aimait tellement plus qu’elle a finit par avoir un enfant avec lui. Mauppassant
par contre reste neutre face a cette nouvelle qui va totalement bouleverser la façon dont Pierre
verra sa mère. Il n’emet aucune decription objective de la chose et n’en tire pas de morale de la
situation. Il se contente d’enoncer la proposition de la servante. Il n’intervient ni pour dire que
ce qu’a fait Mme Roland est mal ni pour la défendre. Cette tendance reste inchangee jusqu’à la
fin du roman, Maupassant reste dans cet esprit de neutralite. D’ailleurs la réalité est aussi
decrite a travers le point de vue de Pierre, on reçoit en même temps que Pierre cette
information. On découvre, a la suite, sa reaction initialement furieuse, une reaction qu’auraient
eut n’importe qui qui apprend une nouvelle de cette importance.

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