Tlija CAO Leçon2 3 4 5

Cours CAO
- Chapitre 2 -
Modèles de représentation géométrique
Enseignant:
Tlija
Version Mehdi
originale: Alain Desrochers révision : Laurent Macabies
1 sur 33
• 1 Introduction
• 2 Représentation filaire
• 3 Représentation surfacique
– 3.1 Définition
– 3.2 Surfaces définies à partir de points
– 3.3 Surfaces définies à partir de courbes
– 3.4 Surfaces définies à partir d’autres surfaces
• 4 Représentation volumique
– 4.1 Définition
– 4.2 Géométrie solide constructive - CSG
– 4.3 Représentation par les frontières – B.Rep.
– 4.4 Autres approches (balayage, décomposition cellulaire)
– 4.5 Implantation des diverses approches
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Modèles de représentation géométrique M. Tlija
1. Introduction
Définitions
– Les modèles de conception doivent capter toute
l’information disponible et utile pour la réalisation
d’une tâche ou d’une phase dans le processus de
conception.
– Un modèle peut exister sous différentes
représentations:
• Ces représentations peuvent correspondre à
différentes façons d’organiser l’information
(dessin, diagramme, représentation B.Rep., CSG,
éléments finis, etc);
• Différentes représentations peuvent être
utilisées dans différents contextes ou pour des
applications distinctes (par exemple en
fabrication, en calcul structurel, etc ).
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1. Introduction
Exemples
– Dessin détaillé dans
l’industrie automobile
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1. Introduction
Exemples (suite)
– Diagramme de circuit électronique
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1. Introduction
Exemples (suite)
– Plusieurs représentations d’un même objet peuvent être utilisées dans
l’évaluation d’un concept (dessin, cinématique et éléments finis)
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1. Introduction
MODÉLISATION GÉOMÉTRIQUE
Modélisation filaire Modélisation surfacique Modélisation volumique
Dans le plan (2D) À variation locale Par arbre de construction (CSG)
Dans l'espace (3D) À variation globale Par les frontières (B.Rep)
Par Balayage
Par décomposition cellulaire

Les modèles existants les plus courants…
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2. Représentation filaire
• Définition…
Mode de représentation le plus simple où la géométrie est
définie par un ensemble de lignes et de courbes représentant
les arêtes et les sections de l’objet.
• Limitations…
– Représentation ambiguë
– Pas de lignes cachées
– Calcul de propriétés mécaniques
impossible
– Peu approprié pour l’analyse et
la préparation à la fabrication
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3. Représentation surfacique
3.1 Définition :
Mode de représentation où la géométrie est définie par un
ensemble de surfaces délimitant les frontières de l’objet.
• Types de surfaces :
– Surfaces analytiques (plans, cylindres, …)
– Surfaces définies à partir de points
– Surfaces définies à partir de courbes
– Surfaces définies à partir d’autres surfaces
• Applications :
– Conception de moules, matrices, pièces de carrosserie,
rétro-ingénierie de modèles sculptés.
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3.2 Surfaces définies par des points
• Surfaces à variation globale
p2
Mode de représentation où la surface ou ses courbes sont p1
interpolées au travers d’un ensemble de points de contrôle. p3
p0
Le déplacement d’un point modifie la surface globalement.
p2
• Surfaces à variation locale

Mode de représentation où la surface ou ses courbes
passent par ou suivent de près un ensemble de points de
p2
contrôle.
p1
Le déplacement d’un point modifie la surface localement. p3
p0
p2
Classiquement, un polygone de contrôle (un

quadrillage reliant les points de contrôle) permet de
déformer manuellement la surface…
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3.3 Surfaces définies par des courbes
• Surf. tabulée cylindrique :

Projection d’une courbe génératrice le long
d’un vecteur.
• Surface réglée :
Interpolation linéaire entre deux courbes.
• Surface de révolution :
Révolution d’une courbe génératrice autour
d’une ligne ou d’un axe.
11 sur1133
3.3 Surfaces définies par des courbes (suite)
• Surface par balayage :

Déplacement d’un profil le long
d’une courbe génératrice.
• Surface sculptée :
Surface définie par un ensemble de
courbes génératrices formant une
grille.
Type de surface le plus général.
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3.4 Surfaces définies par d’autres surfaces
• Typiquement, surfaces permettant

de joindre des surfaces existantes.
• Exemples : chanfreins, congés de
raccordement
Limitations des modèles surfaciques:

Complexité associée à la
génération de telles surfaces
(congés) issues de l’intersection de
surfaces existantes.
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4. Représentation volumique
4.1 Définition
Modèles où la géométrie est définie par son volume et où le

sens de la matière est connu. Aussi appelée modélisation solide.
• Caractéristiques…
– Représentation «naturellement» tridimensionnelle
– Calcul des propriétés géométriques (volume, poids, inertie,..)
– Représentation complète et non ambiguë
– Affichage avec lignes cachées ou rendu réaliste
• Applications
– Analyse et calculs d’ingénierie
– Génération de vues axonométriques
– Utilisée dans tous les logiciels de CAO contemporains
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4.2 Géométrie solide constructive (CSG)
• Définition...
Construction de modèles basée sur l’application cube cylindre sphère

d’opérations Booléennes sur un ensemble de
primitives solides.
cône Tore
• Caractéristiques… Primitives
– Représentation associée à un arbre de
construction binaire ;
– Représentation très compacte et garantissant

des modèles non ambigus ;
– Permet le développement rapide de pièces

(selon primitives disponibles) ;
Opérations
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4.2 Géométrie solide constructive (CSG)
Caractéristiques:
 Les nœuds peuvent être:
 des opérations booléennes (union,
intersection, etc).
 des transformations (symétrie, etc).
 Représentation non unique ;
 Stockée sous forme non évaluée ;
 Calcul d’intersections nécessitant de la
puissance de calcul ;
 Primitives de base limitées à celles ayant
des surfaces planes ou quadriques ;
 Fonctions permettant les congés de
raccordement, chanfreins, dépouilles ;
 Ne permet pas de modéliser les formes
impliquant des surfaces complexes.
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4.3 Représentation par les frontières (B.Rep.)
Définition:
Combinaison de faces, d’arêtes et de sommets soumis à un ensemble de
contraintes topologiques.
 Caractéristiques:
 B.Rep = « Boundary Representation »;
 Des boucles (loops) délimitent les faces et
orientent les normales à la surface (et donc le
sens de la matière) ;
 Représentation non ambigüe ;
 Des surfaces complexes peuvent être
représentées par des facettes planes (plus
efficaces pour applications graphiques) ou par
des surfaces exactes.
 Aucune limite sur le type de modèles pouvant Éléments d’un B.Rep.
être réalisé;
 Type de représentation interne adopté par tous les modeleurs géométriques
dans le domaine de la mécanique.
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4.3 Représentation B.Rep. (suite)
Structure des données
 Représentation par graphe orienté (à cause de la direction des

boucles le long des arêtes du graphe) ;
 Redondance dans l’information stockée ;
 Meilleures performances au niveau de l’affichage et des calculs ;
 Fichiers pouvant toutefois devenir assez gros.
 Un objet solide est modélisé en représentant sa peau (sa frontière)

par:
 Des faces, des entités de dimension 2 limitées par
 Des arêtes, des entités de dimension 1 limitées par
 Des points, des entités de dimension 0
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 Une représentation par les frontières comprend deux types d'information bien
différenciées:
Géométrie
Topologie
Exemple simple d'information topologique:
Cette structure est

appelée la topologie.
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Géométrie
 Point
Entité de dimension 0
Les coordonnées (x, y, z) de chaque point de la représentation
 Courbe
L'équation de chaque courbe (Droite, Cercle, Courbe complexe, …)
Surface
L'équation de chaque surface (Plan, Cylindre, Cône, Sphère, Tore,
Complexe)
 Ne pas confondre la représentation géométrique interne d'une entité avec ses
méthodes de création
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Géométrie (suite)
Exemple: Un point
 Représentation interne: (x, y, z) ses coordonnées dans E3

 Méthodes de création:
Coordonnées cartésiennes (x, y, z)
Coordonnées Cylindrique P(R, θ, z)
Coordonnées sphérique P(R, θ, φ)
Extrémité d'une entité
Coordonnées relatives à une autre entité
Centre d'un cercle
Intersection de deux entités
Coordonnées paramétriques sur une surface
Etc.
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Topologie
 L'application des principes de la topologie en CAO assure la
cohérence des données géométriques dans la représentation par les
frontières.
 La topologie élimine la redondance des entités dans la représentation
par les frontières.
 Les structures topologiques des principaux modeleurs géométriques
sont
très similaires:
Acis (Inventor/Autodesk, Acis/Dassault‐Systèmes)
Parasolid (SolidWorks/Dassault‐Systèmes, SolidEdge,
NX/Siemens‐PLM, etc.)
CGM (Catia V5/Dassault‐Systèmes)
Granit (Pro/Eng/PTC)
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Règles topologiques :
 Permettant d’assurer la fermeture et la cohérence du modèle ;
 Automatiquement vérifiées.
1. Les faces ne s’intersectent qu’à leurs arêtes et sommets communs ;

2. Les limites des faces sont des boucles simples ne se recoupant pas ;
3. Les faces forment un ensemble fermé constituant le solide.
Cohérence topologique des

modèles…
On parle de modèles «manifold» (a) ou «non-
manifold» (b).
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Règles topologiques (suite) :
4. Les faces doivent être délimitées par une seule boucle;
5. Chaque arête doit adjoindre deux faces et doit comprendre un
sommet à chaque extrémité;
6. Au moins trois arêtes doivent se rencontrer à chaque sommet;
7. Pour les pièces non trouées la règle d ’Euler doit être respectée :
V - E + F = 2
avec V = Nombre de sommets (vertex)

E = Nombre d’arêtes
F = Nombre de faces
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8. Pour les solides comprenant des trous et des protubérances, la

règle d ’Euler-Poincaré doit être vérifiée :
V - E + F - H + 2P = 2B
avec V = Nombre de sommets (vertex)
E = Nombre d’arêtes
F = Nombre de faces
H = Nombre de boucles intérieures ou trous dans les faces
P = Nombre de passages ou trous débouchants
B = Nombre de solides distincts
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Exemple (règle Euler-Poincaré ):
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Règles topologiques (suite) : Solide régulier (Manifold)
 Un solide est régulier (manifold) si et seulement si:
Il délimite un sous – espace de dimension 3 non ambiguë:
Pas de point isolé
Pas d’arête isolée
Pas de face isolée
Modeleur hybride
Traite les représentations non manifold
Pièce non mécanique
Plus de souplesse durant la création des modèles
Représentations temporaires en construction surfacique
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Topologie - Géométrie
Topologie et géométrie sont

séparées
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Indépendance géométrie – topologie
Une matrice de transformation n'impacte que la géométrie, la
topologie demeure inchangée.
Exemples: Rotation, translation d’un objet
Les coordonnées des points, les équations des courbes et des
surfaces changent
Les relations entre les faces, arêtes, sommets restent inchangées
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Dépendance géométrie – topologie
 Modification des coordonnées d’un point
 Modification de l’équation d’un cercle
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Complémentarité géométrie – topologie
Pièces A et C : même géométrie

Pièces B et C : Même topologie
 Suffisance: Géométrie + Topologie

(propriété d’une représentation géométrique qui contient assez
d’information pour distinguer un objet de tous les autres du domaine)
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4.4 Autres approches
Par balayage:
Méthode de construction
permettant la génération de
modèles solides par rotation
de profils bi-dimensionnels
autour d’un axe ou
translation de ces profils le
long d’une droite ou d’une
courbe.
Les solides résultants peuvent être intégrés dans les modèles

B.Rep. mais aussi CSG.
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4.4 Autres approches
Décomposition cellulaire:
Représentation basée sur l’assemblage de petites formes élémentaires unies sans
intersection.
Modèle hybride Maillage par Calcul de

résistance…
CSG-B.Rep . éléments finis
Caractéristiques…
 Peu utilisée pour la modélisation géométrique mais à la base de
l’analyse par éléments finis…Les fameux maillages !
 Semblable à la représentation CSG mais avec le seul opérateur d’union
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4.5 Implantation des diverses approches

Actuellement, les systèmes de CAO
commerciaux fonctionnent en très grande
majorité avec un modèle dit « Hybride »
CSG – B.Rep pour la représentation
générale volumique.
• L’arbre de construction mélange à la fois:
- B.Rep pour le stockage des données
(PartBody, Pad, EdgeFillet… seuls le
résultat est visible, pas les loops, arêtes,
sommets…)
 - CSG pour des opérations binaires
(opérations booléennes) et un historique
de la conception…
 Les fonctions de balayage sont

couramment offertes, leur résultat étant
stocké en B.Rep.
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Exercice: CSG
Question:
Dresser l’arbre CSG de la
pièce (feuilles, nœuds et
racines) et dessiner les solides
élémentaires et les solides
intermédiaires.
Remarque:
Feuille
Noeuds
Profondeur de
l’arbre
K=3
Racine
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République Tunisienne
Ministère d'Enseignement
Supérieur, et de la Recherche
Scientifique
Université de Sousse
Cours CAO
- Chapitre 3 -
Notions De Base en CAO
Enseignant:
Tlija
Version Mehdi
originale: Alain Desrochers révision : Laurent Macabies
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Esquisse
Sous les logiciels CAO, la plupart des pièces et des volumes créés commencent par
une esquisse (2D).
Caractéristiques:
 Toute esquisse est dessinée par rapport à un plan ou une face plane.
Une esquisse est en général un contour fermé (sauf cas particulier) n’admettant
pas des intersections.
Remarques:
Certains messages d’erreurs sont dus à une
mauvaise définition de l’esquisse. On peut
Citer par exemple:
 Existence des traits doubles, ou de traits
trop petits.
Une esquisse ouverte (points extrémités
non coïncidents), intersection…
Epaisseur nulle de la matière
Une esquisse mal définie.
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Esquisse
Les relations géométriques
L’utilisation des relations géométriques lors de la création des esquisses permet de
garantir certaine propriétés des entités de l’esquisse même après la modification
d’une ou plusieurs côtes de l’esquisse. Ceci facilite le paramétrage de la géométrie.
Changement d’une dimension avec présence de contraintes

géométriques
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Esquisse
Changement d’une dimension sans présence de contraintes

géométriques
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Esquisse
Exemples de relations géométriques
Horizontale ou Verticale Une ou plusieurs lignes, ou deux ou plusieurs points
Colinéaire Deux ou plusieurs lignes
Coradiale Deux ou plusieurs arcs.
Perpendiculaire Deux lignes.
Parallèle Deux ou plusieurs lignes.
Tangente Un arc, une ellipse, ou une spline, et une ligne ou un arc.
Concentrique Deux ou plusieurs arcs, ou un point et un arc. .
Point milieu Un point et une ligne.
A intersection Deux lignes et un point. Le point reste à l'intersection des lignes.
Coïncidente Un point et une ligne, un arc ou une ellipse. Le point est sur la ligne, l'arc ou l'ellipse.
Egale Deux ou plusieurs lignes ou deux ou plusieurs arcs.
Symétrique Une ligne de construction et deux points, lignes, arcs ou ellipses.
Fixe N'importe quel objet La taille et la position de l'objet sont fixées.
Point de rencontre Un point d'esquisse et un axe, une arête, une ligne ou une spline Le point d'esquisse
est construit de manière coïncidente avec le point où l'axe, l'arête où la courbe rencontre le plan d'esquisse.
Points de fusion Deux points d'esquisse ou d'extrémité Les deux points sont fusionnés en un seul
point. 40 sur4033
Esquisse 3D
Esquisse 3D sous SolidWorks:
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Esquisse 3D
Esquisse 3D sous SolidWorks:
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Esquisse 3D
Esquisse 3D sous CATIA V5:
Conception en atelier de conception

surfacique « generative shape design »
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Le paramétrage
L’objectif final de toute conception est d’aboutir à des plans cotés
fonctionnellement. Pour cela le projeteur disposera d’un outil performant: la
mise en plan automatique. Cet outil permet, en effet, de faire
automatiquement les vues mais aussi d’insérer les paramètres définis dans la
modélisation pour les transformer en côtes. Deux possibilités sont alors à
envisager :
 Le paramètre en question est fonctionnel : la côte est donc bien positionnée.

 Le paramètre n’est pas fonctionnel : il faut alors l’effacer et recréer à la main
la côte fonctionnelle adaptée. Dans ce second cas, on perd un intérêt majeur de
la mise en plan automatique.
L’idéal serait donc de faire apparaître toutes les côtes fonctionnelles sous
forme de paramètre de conception de la pièce. Pour cela il faudrait réaliser
toutes les chaînes de côtes du mécanismes pour en extraire les côtes
fonctionnelles. Cela est impossible en phase de développement de projet et
beaucoup trop lourd pour le projeteur.
Tout l’intérêt du dessinateur est donc de réfléchir pour intégrer le maximum

de paramètres fonctionnels dans sa modélisation. 44
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Le paramétrage
Le paramétrage est un élément majeur pour le pilotage d’un modèle
géométrique et le fixer sans réfléchir conduit toujours à une perte significative
de l’efficacité d’un modèle CAO.
Dans les logiciels CAO, on distingue deux types de cotes : cotes pilotantes et
cotes pilotées:
 Les premières sont les cotes nominales de construction et de
dimensionnement de la pièce.
Tandis que les autres sont des cotes d’habillages résultants de ceux de
construction.
Cote pilotante
Cote
pilotée
Cote pilotée
Cotes
pilotantes
(a) (b)
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Le paramétrage
Exemple 1: bielle
Esquisse utilisée pour la construction du

modèle 3D
On retrouve les côtes
utilisées pour la
construction de la pièce
dans la mise en plan.
Ce qui engendre un
gain de temps
important lors de la
création des dessins de
définition
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Le paramétrage
Exemple 2: famille de pièces
Définir les paramètres de la pièce
Tableau: valeurs des paramètres

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Les équations
Les logiciels modernes de CAO offrent la possibilité de créer des

relations mathématiques entre les cotes d'un modèle, en utilisant le
nom des cotes comme variables.
Dans un assemblage, on peut définir des équations entre des pièces,
entre une pièce et un sous-assemblage, avec des cotes d'assemblage, etc.
Lorsque on supprime une fonction ou une cote utilisée dans une

équation, le logiciel donne l'option de supprimer ou non l'équation.
REMARQUE: Les cotes pilotées par des équations ne peuvent pas être
modifiées par l'édition de la valeur des cotes dans le modèle.
48 sur4833
Les équations
D4@Esquisse2
D2@Esquisse2
D3@Esquisse2
D1@Esquisse2
Cote pilotante
Cote pilotée
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Les équations
On peut créer des équations faisant intervenir les côtes des opérations (comme le
retrait d’un chanfrein, l’angle ou le rayon d’un congé, ..) et les propriétés des
fonctions (angle de révolution, profondeur d ’extrusion, …)
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Les équations
On ne peut pas
modifier les côtes
pilotées
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Les équations
Forme des équations dans Solidworks
"D2@Esquisse2"=1.3 * "D1@Esquisse2 "

Équations valides
"D3@Esquisse2"=sqr ( "D4@Esquisse2" )
"D4@Esquisse2" + 2 * "D2@Esquisse2"=5 * "D1@Esquisse2 » Équations non

"D2@Esquisse2"-1.5*"D1@Esquisse2"=0 valides
"D4@Esquisse2" =-2 * "D2@Esquisse2 »+5 * "D1@Esquisse2 »

Équations valides
"D2@Esquisse2 »=1.5*"D1@Esquisse2"
Pour que l’équation soit valide, il faut avoir une seule côte à gauche de
l ’équation
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Les équations
53
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Les équations
Équations dans les assemblages
Avantage: faire propager les modifications à toutes les pièces concernées et éviter de
modifier les pièces indépendamment une à une.
Exemple: liaison pivot (galet / axe)
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Les équations
Équations sous CATIA V5: « Formule »
Remarque: Initialement, la cote de 200mm est une cote pilotante de l’esquisse.

Néanmoins, après l’établissement de la formule elle devient une cote pilotée.
55 sur5533
Notions De Base en CAO M. Tlija
Paramétrage et relations sous CATIA V5:
Déclarer les intentions de conception
Lors de la modélisation d'un système, il est essentiel de déclarer explicitement ses intentions
de conception. Dans le cas contraire, les implicites de conception ne pourront pas être prises
en compte lors de la régénération du modèle, par exemple, la modification d'un paramètre.
Dans l'exemple ci-dessous, le contour est piloté par 2 cotes. Pour déclarer explicitement que
ce contour est un carré quelque soit la configuration du paramétrage, il serait nécessaire de
piloter la valeur de l'une des cotes par la valeur de l'autre cote.
On voit ici que l'intention "mon contour est

toujours carré" n'est pas déclarée, du moins pas
explicitement.
 Pour remédier à cela, on utilise les

paramètres et relations de Catia.
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Créer une relation entre deux cotes pré-existantes
Pour créer une relation entre deux cotes, il
suffit de:
1. double cliquer sur la cote que l'on souhaite
piloter.
2. Puis par un clic droit dans le champ valeur, activer la commande "Editer formule" :
3. Pour compléter le second terme
de l'équation, il suffit alors de
désigner la cote maitresse de
l'esquisse.
L'équation suivante sera alors
toujours respectée (ou Longueur.8
et Longueur.7 représentent les
deux cotes de l'esquisse):
Le symbole f(x) présent dans
l'esquisse indique que la cote est
pilotée par une relation.
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Déclarer et utiliser un paramètre
Pour déclarer des paramètres issus par exemple du cahier des charges et qui piloteront la
géométrie via des relations, utiliser la commande formule :
Dans la fenêtre qui apparaît, vous pouvez créer ou supprimer des formules ainsi que des
paramètres comme ici monParametre dont la valeur est de 100 mm.
Vous pouvez utiliser alors ce paramètre à

chaque fois qu'une valeur vous est
demandée. Pour désigner le paramètre,
utiliser l'arbre des spécifications :
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Exemple 1
Paramétrer un assemblage
L'arbre représenté ci-contre a été réalisé en
déclarant successivement :
 2 paramètres définis dans la pièce
"femelle" : femelle/longueur &
femelle/largeur.
 2 paramètres définis dans la pièce "male" :
male/longueur & male/largeur.
 2 paramètres définis dans l'assemblage:
longueur & largeur.
Puis des relations ont permis de piloter les paramètres des

pièces par les paramètres définis dans l'assemblage. A
noter qu'il aurait été possible de créer des relations entres
paramètres de la pièce male et les paramètres de la pièce
femelle.
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Exemple 2
 Présentation de l'étude
L'objectif est de modéliser la surface d'une dent d'engrenage droit,

générée à partir d'une courbe dite "à développante de cercle". Cette
courbe a pour équations paramétriques dans le repère (O,x,y,z)
représenté ci-contre :
• X = Rb * [ sin(t' * PI) - cos(t' * PI) * t' * PI ]
• Y = Rb * [ cos(t' * PI) + sin(t' * PI) * t' * PI ]
avec Rb = rayon de base de la développante de cercle et 0 < t' < 0.35 pour les
engrenages courants.
Pour simplifier les écritures on pose t = t'*PI et les équations deviennent :

• X = Rb * [ sin(t) - cos(t) * t]
• Y = Rb * [ cos(t) + sin(t) * t]
avec Rb = rayon de base de la développante de cercle et 0 < t < 1
60 sur6033
Exemple 2
 Présentation de l'étude
Sous CATIA V5, il n'est pas possible de modéliser

directement une courbe à partir de ses équations
paramétriques.
Il va donc falloir passer par plusieurs étapes
intermédiaires pour "contourner" cette limitation :
•Définition d'une courbe dans le plan XoZ
•Défintion d'une courbe dans le plan YoZ
•Combinaison de ces 2 courbes pour obtenir une courbe 3D
•Projection de cette courbe dans le plan XoY
On obtient alors la développante de cercle souhaitée.
D'autres méthodes existent, reposant notamment sur

l'approximation de la développante par une spline passant
par un nombre fini de points.
61 sur6133
Exemple 2
 Présentation du modèle
•Toute la modélisation se fera dans l'atelier "Generative Shape Design" : ici il n'est
question que de courbes et que de surfaces.
Le seul paramètre explicite sera le rayon de base Rb que l'on créé donc. Sa valeur
initiale est fixée à 50 mm.
Dans un nouveau set géométrique (insertion set géométrique), on créé :
Un point A de coordonnées (0,Rb,0)
Un point B de cordonnées (0,0,0)
Un point C de coordonnées (0,0,100)
Une droite D entre les deux derniers points
A La droite créée nous servira dans

quelques étapes pour la création des
courbes dans les plans XoZ et YoZ
B
C
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Exemple 2
 Définition des lois
Via l'icone du bas ci-contre, créez deux lois correspondant à X et Y :

A définir:
 X et Y comme des longueurs et t comme un réel.
Il est indispensable de rétablir l'homogénéïté de la formule en insérant * 1 rad dans les
opérateurs trigonométriques.
63 sur6333
Exemple 2
Création des courbes

Via la commande courbe parallèle, créer les deux courbes suivantes :
1. Courbe verte : courbe décalée de la droite D en utilisant la loi X dans le plan XoZ.
64 sur6433
Exemple 2

2. Courbe violette : courbe décalée de la droite D en utlisant la loi Y dans le plan YoZ.
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Exemple 2

3. Avec la commande Combinaison, créer la courbe de couleur bleu clair.
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Exemple 2
Projeter (commande Projection)

cette dernière courbe sur le plan XoY
pour obtenir la développante de cercle,
représentée ci-contre en bleu foncé.
67 sur6733
Exemple 2
Création de la surface:
Extrusion surfacique de la courbe

projeté selon une direction normale au
plan XY
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Règles de conception
Un exemple de règle:

La notion de règles de conception permet de définir des lois qui agiront directement sur la
géométrie du modèle. L'exemple simple du pont représenté ci-dessous l'illustre
L=400 L=600
Pour aboutir à ce résultat, la règle de conception suivante a été définie :
Si (longueur du tablier supérieure à 500) alors (réaliser une pile au milieu)

sinon (ne pas réaliser de pile au milieu)
Le concepteur peut ainsi incorporer à son modèle des règles de conception ou plus
généralement une connaissance visant à modéliser non seulement la géométrie mais aussi le
processus de conception permettant d'aboutir à cette géométrie.
69 sur6933
Préparer le modèle pour l'insertion de règles

Afin de faciliter la future définition de règles:
 Donner un nom explicite aux fonctions solides : ci-dessous, les extrusions ont été
renommées "Tablier", "Pilier" etc
 Définir les paramètres sur lesquels les règles vont agir : ici, seul le paramètre
"longueur_tablier" est pris en compte
70 sur7033
Définir la règle
1. Activez l'atelier « Knowledge Advisor" qui
est l'atelier de définition des règles de
conception.
2. Activez la commande "Règles" grâce à
l'icône correspondant de la barre de droite.
La fenêtre suivante apparaît alors :
3. Renseignez les champs et validez.

71 sur7133
Définir la règle
4. Apparaît alors la fenêtre d'édition de la règle en cours.
5. Saisissez la règle en respectant la syntaxe
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Famille de pièce
Objectifs
A partir d'un modèle unique, il s'agit de définir un certain nombre d'instances de ce
modèle définies par des valeurs différentes d'un jeu de paramètres. Dans l'exemple, ci-
dessous, le jeu de paramètres est constitué de : diamètre, hauteur et nombre de trous :
On peut ainsi décliner un même modèle à travers une famille de pièces en respectant
une logique de conception exprimée à travers la déclaration de paramètres et de
relations.
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Famille de pièce
Définir une nouvelle famille
1. Pour créer une nouvelle famille, utiliser la commande "Table de paramétrage" :
2. Dans la fenêtre qui s'affiche, sélectionner 3. Dans la nouvelle fenêtre, sélectionner les
l'option "Créer une table avec les paramètres paramètres qui vont constituer le jeu
du modèle courant" : permettant de différentier les différentes
instances du modèle. A noter que, pour plus
de commodités, les paramètres peuvent être
désignés dans l'arbre des spécifications.
Instanciation dans un assemblage: L'instanciation de deux éléments différents d'une même

famille dans un assemblage est impossible : si vous définissez une famille de vis avec des
longueurs de [10, 20 ... 100 mm], vous ne pourrez insérer qu'un seul modèle de vis,
éventuellement en plusieurs exemplaires (tous identiques donc). Pour contourner cette
limitation, il faut faire appel aux modèles et aux catalogues. 74
74 sur 33
Modèles de documents
Objectifs
Les familles de pièces ne permettent pas d'insérer dans un assemblage deux instances
différentes d'une même famille. Pour palier à cette limitation, on peut utiliser la notion de
"Modèle".
Pour illustrer ce concept, nous allons utiliser le montage représenté ci-dessous, constitué
d'un plateau (en jaune) et de 3 pions (en bleu) hauts respectivement de 10, 20 et 30 mm
Quelle est la méthodologie à suivre pour modéliser cet ensemble ? Comme souvent,
plusieurs voies sont possibles. Nous allons en détailler quelques unes avant d'arriver
aux modèles de document.
75 sur7533
Proposition 1: Modélisation "en dur"
La méthode la plus simple est de créer un plateau et 3 pièces distinctes pion1, pion2, pion3 :
On voit apparaître dans l'arbre, les 3 pièces qui ne possèdent aucun lien. Cette
méthode ne tire aucun partie du paramétrage possible des pièces et de
l'associativité des modèles. Cette méthode entrainera une perte de temps
importante lors d'une itération de conception où une géométrie sera modifiée : la
propagation de la modification ne sera pas prise en compte automatiquement.
76 sur7633
Proposition 2:Utiliser une famille
Les 3 pièces peuvent constituer 3 éléments d'une même famille. Nous allons donc
définir cette famille et instancier 3 éléments dans l'assemblage :
Mais dans ce cas, comme dit plus haut, les 3 instances ne peuvent être différentes :
les 3 hauteurs sont nécessairement égales. Nous ne répondons donc pas à notre
besoin.
77 sur7733
 Proposition 3: Définir un modèle:
1. Pour palier les limitations des familles et 2. L'onglet "Entrées" permet de définir les
une fois la géométrie du pion définie dans paramètres que l'on pourra modifier lors de
l'atelier "Part Design", nous allons donc l'instanciation. Ici nous choisissons le paramètre
définir un modèle de document via la utilisateur hauteur du pion que nous avons pris
commande "Insertion/Création d'un modèle soin de définir auparavant :
de document" :
78 sur7833
 Proposition 3: Définir un modèle (suite):
3. On valide par OK. La création du modèle a généré un nouvel item "Modèle" dans l'arbre :
Instancier un modèle
5. Il s'agit maintenant d'intégrer notre
modèle à l'assemblage final. Pour cela,
nous partons d'un "Product" contenant
uniquement le plateau et où nous
définissions 3 paramètres d'assemblage
hauteur1, hauteur2 et hauteur3 valant
respectivement : 10, 20 et 30 mm.
79 sur7933
 Proposition 3: Définir un modèle (suite):
Catia vous demande la nouvelle valeur
6. Puis nous activons l'atelier "Product
du paramètre hauteur_pion. Désignez
Template Knowledge" (valable uniquement
alors le paramètre hauteur1 dans l'arbre
à partir de V5R11). Via les icones se trouvant
de l'assemblage. Le pion est alors
à droite, lancer la commande "Instancier à
positionné de façon arbitraire dans
partir d'un document" et sélectionner le
l'assemblage. Répétez l'opération pour
fichier "Pion" précédent (qui ne devra plus se
les deux autres pions :
trouver en session) :
Dans l'atelier "Assembly Design", définissez les contraintes

d'assemblage pour obtenir le modèle final.
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EXERCICE:
La pièce indiquée dans la

figure est à modéliser
sous un logiciel CAO
(hybride). Les cotes
indiquées sur la jouent le
rôle du paramétrage du
modèle. Décrire les
étapes nécessaires à la
conception de cette pièce
en respectant le
paramétrage donné.
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"D4@Esquisse2" =-2 * "D2@Esquisse2 »+5 * "D1@Esquisse2 »

Remarque: Initialement, la cote de 200mm est une cote pilotante de l’esquisse.

On voit ici que l'intention "mon contour est

 Pour remédier à cela, on utilise les

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