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MINISTERE DE L'HABITAT ET DE L'URBANISME

DOCUMENT TECHNIQUE REGLEMENTAIRE


D.T.R. - BC. 2.34

REGLES DE CONCEPTION
DES CUVELAGES

CENTRE NATIONAL DE RECHERCHE APPLIQUEE EN GENIE-PARASISMIQUE

Rue Kaddour RAHIM (Prolongée) B.P. 252 HUSSEIN-DEY - ALGER


Tél. : 213 (0) 21.49.55.60. à 62 - Fax : 213 (0) 21.49.55.36
E.Mail : cgsd@cgs-dz.org ; cgsd@wissal.dz
Web : www.cgs-dz.org

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ARRÊTÉ DU 24 JOUMADA ETHANIA 1426 CORRESPONDANT


AU 31 JUILLET 2005 PORTANT APPROBATION DU DOCUMENT
TECHNIQUE RÉGLEMENTAIRE DTR C 2.34 INTITULÉ
"RÈGLES DE CONCEPTION DES CUVELAGES"

Le Ministre de l'habitat et de l'urbanisme,

− Vu le décret n° 85-71 du 13 avril 1985, modifié et complété, portant création


du centre national de recherche appliquée en génie parasismique ;
− Vu le décret n° 86-213 du 19 août 1986 portant création de la commission
technique permanente pour le contrôle technique de la construction ;
− Vu le décret présidentiel n° 05-161 du 22 Rabie El Aouel 1426 correspondant
au 1°' mai 2005 portant nomination des membres du Gouvernement ;
- Vu le décret exécutif n° 92-176 du 4 mai 1992 fixant les attributions du ministre
de l'habitat ;

ARRÊTE

Article 1 : Est approuvé le document technique réglementaire DTR C 2.34


intitulé "Règles de conception des cuvelages", annexé à l'original du
présent arrêté.
Article 2 : Lés dispositions du document technique réglementaire, visé à l'article
1 ER ci-dessus, sont applicables à toute nouvelle étude, trois (3) mois
Après la date de publication du présent arrêté au Journal Officiel de la
République Algérienne Démocratique et Populaire.

Article 3 : Les maîtres d'ouvrage, les maîtres d'oeuvre, les entreprises de


Réalisation, les organismes de contrôle technique et d'expertise sont
Tenus de respecter les dispositions du document technique
Réglementaire suscité.
Article 4 : Le centre national de recherche appliquée en génie parasismique
(CGS) est chargé de l'édition et de la diffusion du document technique
réglementaire, objet du présent arrêté.
Article 5 : Le présent arrêté sera publié au Journal Officiel de la République
Algérienne Démocratique et Populaire.

Fait à Alger, le 24 Joumada Ethania 1426


correspondant au 31 Juillet 2005.

Ministre de l'habitat
Mohamed Nadir HAMIMID

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GROUPE DE TRAVAIL SPECIALISE (GTS)

PRESIDENT : Directeur du CGS


BELAZOUGUI Mohamed

RAPPORTEUR : Chef de Dpt Réglementation Technique et


Réduction du Risque Sismique (DRS) au CGS
AMEUR Boualem

Chef de Dpt Réglementation Technique et


MEMBRES: Réduction du Risque Sismique (DRS) au CGS

AMEUR Boualem Directeur du CGS

Représentant du CTC - Chlef


BELAZOUGUI Mohamed
Chef de service Réglementation Technique au
BOUAZGHI Mohamed CGS

BOUCHEFA Ouahiba Attaché de Recherche CGS

BOUKHANFOUF Hakim Représentant du SDRT / MIHAB

CHERRERED Malek Représentante du CNIC

DJEDAI Anissa Représentant du CTC. Centre -Ouest

HAJJI Lahouari Représentant du CNERIB

IDIR Mustapha MEZIANI Khaled Représentant du CTC. Centre –Est

NASRI Kamal Directeur Technique du CTC. -Sud

REMAS Abdelkader Chef de service Vulnérabilité au CGS

VII

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SOMMAIRE
CHAPITRE 1 : Généralités

1.1. Objet ……………………………………………………………………………..1


1.2. Terminologie ……………………………………………………………………..1
1.3. Critères de choix ……………………………………………………………..2
1.4. Action de l'eau ……………………………………………………………………..2

CHAPITRE 2 : Cuvelage avec revêtement d'imperméabilisation

2.1. Généralités ……………………………………………………………………..3


2.2. Gros œuvre ……………………………………………………………………..3
2.2.1. Prescriptions générales concernant l'enveloppe et ses retours………...3
2.2.2. Joints ……………………………………………………………………..4
2.2.3. Points singuliers ……………………………………………………………..4
2.2.4. Etat du support livré par le gros œuvre……………………………………4
2.3. Revêtements d'imperméabilisation ……………………………………………..5
2.3.1. Définition du procédé ……………………………………………………..5
2.3.2. Préparation du support ……………………………………………………..5
2.3.3. Revêtement mince à base de mortier ……………………………………..5
2.3.4. Revêtement épais à base de mortier ……………………………………..5
2.3.5. Revêtement à base de résine ……………………………………………..6

CHAPITRE 3 : Cuvelage à structure relativement étanche

3.1. Généralités …………………………………………………………………….7


3.2. Gros -oeuvre …………………………………………………………………….7

CHAPITRE 4 : Cuvelage à revêtement d'étanchéité

4.1. Généralités………………………………………………………………………….8
4.1.1. Définitions ……………………………………………………………………..8
4.1.2. Limites d'emploi ……………………………………………………………..8
4.1.3. Conception et exécution……………………………………………………..8
4.2. Gros -oeuvre du cuvelage et du contre -cuvelage………………………………8
4.3. Revêtement l'étanchéité ……………………………………………………..9
4.3.1. Revêtement type multicouche en partie courante ……………………..9
4.3.2. Revêtement type asphalte en partie courante ……………………..9
4.3.3. Revêtement d'étanchéité traditionnels ……………………………………..16
4.4. Joints actifs ……………………………………………………………………….10
4.5. Points singuliers ……………………………………………………………….10
4.6. Protection…………………………………………………………………………...10

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CHAPITRE 5 : Règles de conception et de calcul des ouvrages de


Gros -oeuvre

5.1. Actions de l'eau……………………………………………………………..11


5.2. Sollicitations de calcul……………………………………………………...11
5.2.1. ELU de résistance…………………………………………………...11
5.2.2. ELU d'équilibre statique…………………………………………….11
5.2.3. Phases de construction……………………………………………..11
5.3. Cuvelage avec revêtement d'imperméabilisation………………………12
5.3.1. ELS vis à vis de l'ouverture des fissures………………………….12
5.3.2. Dispositions constructives…………………………………………..13
5.4. Cuvelage à structure relativement étanche……………………………..13
5.4.1. ELS vis à vis de l'ouverture des fissures………………………….13
5.4.2. Dispositions constructives…………………………………………..13
5.5. Cuvelage à relativement d'étanchéité……………………………………13

ANNEXE – Figures………………………………………………………………..15

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CHAPITRE 1 GENERALITES

1.1. Objet

Le présent document technique réglementaire a pour objet de définir les régies


de conception et les vérifications techniques minimales concernant les travaux
de cuvelage de la partie immergée des bâtiments dont l'enveloppe et les retours
sont réalisés en béton uniquement.

1.2. Terminologie

- Partie immergée du bâtiment : partie réputée située sous le niveau de l'eau,


résultant d'une nappe phréatique, d'une crue, de ruissellement ou d'infiltration.
Cette partie comprend l'enveloppe directement soumise à l'action de l'eau et les
parties intérieures adjacentes liées à l'enveloppe appelées retours (fig. 1.)

- Cuvelage : il comprend l'enveloppe et les retours ainsi qu'un revêtement


de cuvelage

- Cuvelage avec revêtement d'imperméabilisation :


Le revêtement d'imperméabilisation est constitué d'enduits hydrofuges ou à base
de résine, appliqué de l'intérieur du cuvelage et pouvant assurer seul
l'étanchéité, mais ne résistant pas à une fissuration importante du support.

- Cuvelage à structure relativement étanche :


Ce cuvelage ne comporte pas de revêtement de cuvelage. Il est admis un léger
passage d'eau, éventuellement récupéré de 1,0 I/m2 jour pour l'ensemble de
l'enveloppe comme moyenne hebdomadaire et 0,5 I/m2, jour comme moyenne
annuelle.

- Cuvelage avec revêtement d'étanchéité : l'étanchéité est réalisée par un


revêtement plastique appliqué à l'extérieur de ia structure, résistant aux
poussées de l'eau. Ce revêtement n'est pas nécessairement adhérent à la
structure. Dans ce cas la pression de l'eau le maintient contre la structure. Ce
revêtement doit aussi pouvoir s'adapter aux légères déformations ou fissurations
de la structure support.

- Support : partie de l'ouvrage destinée à recevoir le revêtement.

1.3. Critères de choix

Les trois types de cuvelage n'ont pas le même domaine d'application et les cri-
tères de choix doivent porter sur les points suivants :
- destination et aménagement des locaux
- conditions d'exploitation des locaux (ventilation, climatisation)
- action de l'eau (permanente, cyclique et accidentelle, agressivité, inondation)
- comportement de l'ouvrage et de ses fondations (tassements,...)
- limites d'emploi des divers procédés de revêtement de cuvelage
- adaptation au site (mitoyens, phases de travaux...)
- conditions d'accessibilité et d'entretien du revêtement de cuvelage

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- possibilité de modification ultérieure et/ou de réparation


- risques engendrés par la phase de construction (éboulements de fouilles, ven-
ues d'eau, intoxications et incendie)

1.4. Action de l'eau

L'action de l'eau dépend de son niveau, on distingue


- le niveau des plus basses eaux - actions permanentes
- le niveau des plus hautes eaux (crue décennale). La différence avec le niveau
précédent donne les actions variables
- le niveau exceptionnel correspond au niveau des plus hautes eaux prévisibles
plus 50 cm. La différence avec le niveau des plus basses eaux donne les actions
accidentelles
Dans le cas où l'inondation des locaux est admise, les orifices prévus à cet effet
doivent être convenablement dimensionnés et situés au niveau exceptionnel des
eaux.
Les eaux de ruissellement et d'infiltration correspondent à des actions perma-
nentes; (niveau des basses eaux).

Ce niveau de basses eaux correspond :


- au niveau du fil d'eau du réseau de drainage extérieur
- au niveau de l'exutoire naturel des couches perméables environnant l'ouvrage
plus 50 cm en absence de drainage ou de barbacanes.
Ce niveau doit être inférieur à celui du sol fini extérieur.
Ces différents niveaux d'eau doivent être précisés dans le marché.

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CHAPITRE 2 CUVELAGE AVEC REVÊTEMENT


D'IMPERMÉABILISATION

2.1. Généralités

1. Partie immergée du bâtiment


Cette partie du bâtiment doit être conçue et calculée selon les règles du
présent DTR. Le revêtement d'imperméabilisation est appliqué sur
l'enveloppe jusqu'au niveau retenu pour le projet (niveau exceptionnel en
présence de nappe ou celui défini dans le cas des eaux de ruissellement et
d'infiltration),
Ce revêtement s'applique également aux retours et aux ouvrages qui leur
sont solidaires (escaliers,...), La zone à revêtir a une longueur de 0.15 H
avec un minimum de 1 m, H étant la hauteur d'eau située au dessus du radier
ou du plancher jusqu'au niveau fixé pour le projet (fig. 1 & 2).

2. Revêtement d'imperméabilisation

On distingue trois types


- revêtement mince à base de mortier
- revêtement épais à base de mortier
- revêtement à base de résine
Ces revêtements sont à appliquer sur le gros oeuvre en épaisseur
sensiblement constante, pour des températures inférieures à 50°C. Le choix
de l'aménagement des locaux et de l'habillage des parois revêtues doit tenir
compte de la nécessité du contrôle, de l'entretien et de la réparation
ultérieure éventuelle du revêtement.

2.2. Gros oeuvre

2.2.1. Prescriptions générales concernant l'enveloppe et ses retours

a. Caractéristiques minimales du béton et de ses constituants


Le béton et ses constituants doivent être conformes aux prescriptions du
DTR BE 2.1 " Travaux d'exécution des ouvrages en béton armé "

b. Mise en oeuvre
La mise en oeuvre doit obéir aux prescriptions du DTR BE 2.1 " Travaux
d'exécution des ouvrages en béton armé ". Par ailleurs, le béton doit
présenter une bonne compacité dans la masse et peu de ragréages, sa mise
en oeuvre doit être soignée notamment en présence d'eau. Les démoulants
et les produits de cure doivent être compatibles avec le procédé
d'imperméabilisation prévu.

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c. Liaisons entre enveloppe et retours

Ces liaisons sont réalisées par continuité de coulage, par reprise de bétonnage
avec aciers en attente ou par simple contact en cas de compression permanente
(pieds de poteaux ou voiles porteurs sur radier). Dans ces cas, le monolithisme
est assuré et aucun traitement particulier n'est exigé. Lorsqu'il n'y a pas de
liaison, la jonction entre l'enveloppe et son retour (joint sec) est traitée comme
un joint inerte ou par continuité de l'imperméabilisation exécutée avant le voile.

2.2.2. Joints

Il existe deux types de joints


- joints de construction ou joints inertes comprenant les reprises de
bétonnage
-Joints de fonctionnement de l'ouvrage ou joints actifs prévus pour permettre
les déplacements relatifs.

Les joints inertes doivent faire l'objet d'un relevé précis à la réception du support
avant tous travaux d'imperméabilisation.

L'emplacement et le tracé des reprises de bétonnage sont à étudier de façon à


limiter leur influence ultérieure.

Les joints inertes sont traités par tout procédé de pontage ou de calfeutrement
assurant la continuité de l'imperméabilisation.

Les joints actifs (à déplacement relatif théorique inférieur à ± 1 cm) doivent être
simples et accessibles et de largeur suffisante pour permettre la mise en place
et le fonctionnement normal du système de calfeutrement du joint.

2.2.3. Points singuliers

Les canalisations et les tuyaux doivent permettre l'exécution du revêtement


d'imperméabilisation. Les divers éléments à incorporer (fils, canalisation,...) doi-
vent être positionnés avant le bétonnage de la structure. Ils sont interdits dans
l'épaisseur du revêtement ou à l'interface revêtement structure. Les scellements
ne doivent pas nuire à l'intégrité de l'imperméabilisation du cuvelage.

2.2.4. État du support livré par le gros oeuvre


ƒ Le support livré par le gros oeuvre doit être conforme aux prescriptions
concernant les parements courants. S'il est nécessaire de procéder à des
ragréages, l'entreprise doit utiliser des matériaux et des méthodes
compatibles avec le procédé d'imperméabilisation prévu.
ƒ Un relevé du support avant tous travaux d'imperméabilisation doit
permettre :
- de vérifier la compatibilité du procédé d'imperméabilisation retenu avec le sup-
port
- de relever les joints et les fissures
- de vérifier la présence d'eau et sa compatibilité avec la mise en oeuvre du
procédé d'imperméabilisation projeté.
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ƒ II peut être nécessaire de procéder à un rabattement jusqu'à ce que le


revêtement ait acquis ses caractéristiques et que l'ouvrage équilibrant la
sous-pression ait acquis une résistance et une masse suffisantes.

2.3. Revêtements d'imperméabilisation

2.3.1. Définition du procédé

Les points suivants doivent être définis pour chaque procédé :


- domaine d'application et restrictions d'emploi
- matériaux utilisés (caractéristiques physiques et chimiques)
- supports compatibles (caractéristiques physiques et chimiques)
- agressivité des milieux ambiants
- technique d'exécution :
• travaux préparatoires
• matériel de mise en oeuvre
• exécution du revêtement y compris les points singuliers
• traitement des joints et fissures
• travaux de parachèvement
- protections complémentaires, revêtements, habillages
- contrôles, essais de réception
- entretien et possibilité de réparation
Le procédé doit avoir fait l'objet d'une enquête technique d'aptitude à l'emploi
faisant ressortir la technicité minimale nécessaire à sa mise en oeuvre.

2.3.2. Préparation du support

La surface du support doit être préparée dans sa totalité pour mettre à vif le
béton de façon à obtenir la rugosité et la propreté nécessaires à la bonne adhé-
rence du revêtement. On peut procéder par repiquage, sablage, décapage à
l'eau sous-pression, bouchardage, les procédés thermiques ou chimiques sont
admis s'ils sont sans conséquences sur le comportement ultérieur du support et
du revêtement. La présence d'eau en surface du support doit être compatible
avec la mise en oeuvre du procédé.

Les lèvres des fissures et joints, les arêtes et les points singuliers doivent être
préparés en vue de leur traitement spécifique ultérieur.

2.3.3. Revêtement mince à base de mortier

Ce type de revêtement est constitué par un mortier hydrofuge généralement


conditionné en usine et apte à être appliqué en couches minces.

L'épaisseur minimale totale du revêtement doit être supérieure ou égale à trois

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Fois le diamètre du plus gros granulat avec un minimum de 4 mm y compris la


couche d'accrochage. Le revêtement doit comprendre au minimum une couche
d'accrochage et une couche continue d'imperméabilisation permettant d'assurer
une imperméabilisation sous une pression d'eau de 8 m. Les malaxages sont
effectués par unités d'emballage non fractionnées. Dans le cas de plusieurs
couches d'imperméabilisation, les reprises d'application de chaque couche sont
décalées d'environ 20 cm (fig. 3).

2.3.4. Revêtement épais à base de mortier

Ce type de revêtement est constitué par un mortier hydrofuge, préparé in -situ en


vue de son application immédiate en couches épaisses.

Le dosage en ciment est d'au moins 500 kglrn3 de sable sec. L'épaisseur mini-
male totale du revêtement doit être de 30 mm pour les parties horizontales et 25
mm pour les parties verticales, couche d'accrochage comprise. Le revêtement
doit comprendre au minimum une couche d'accrochage et deux couches d'im-
perméabilisation continues permettant d'assurer une imperméabilisation sous
une pression d'eau de 8 m. Pour des pressions d'eau supérieures, il faut prévoir
des couches supplémentaires . Les reprises d'application de chaque couche
sont décalées d'environ 20 cm (fig. 3).

2.3.5. Revêtement à base de résine

Ce type de revêtement est constitué par des résines polymérisables à tempéra-


ture ambiante, conditionnées en usine avec ou sans solvant et mélangées
In -situ, en vue de leur application immédiate en couches minces.

Le conditionnement d'usine doit comporter le prédosage d'emploi des consti-


tuants dans le cas des résines à plusieurs composants. Les conditions d'utilisa-
tion de ces produits doivent respecter les prescriptions d'emploi du fabricant.

Tout revêtement doit comprendre un primaire d'imprégnation, le film d'imper-


méabilisation, exempt de tout solvant, et une protection choisie en fonction des
conditions d'utilisation et d'entretien des locaux.

Le revêtement doit assurer une imperméabilisation sous une pression d'eau de 8


m. Les mélanges sont effectués mécaniquement par unités d'emballages non
fractionnées. Les reprises d'application de chaque couche sont décalées selon
les recommandations du fabricant.

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CHAPITRE 3 : CUVELAGE À STRUCTURE


RELATIVEMENT ÉTANCHE

3.1. Généralités

1. Partie immergée du bâtiment

Elle est constituée uniquement par l'enveloppe à l'exclusion des retours, située
sous le niveau de l'eau fixée pour le projet. Elle doit être conçue et calculée selon
les règles du présent DTR.

2. Conditions de service

Les conditions de service doivent tenir compte de la nature relativement étanche


de l'enveloppe

3.2. Gros oeuvre

Toutes les prescriptions concernant le gros oeuvre décrites au chapitre 2


demeurent valables dans le cas de ce procédé.

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CHAPITRE 4 : CUVELAGE À REVETEMENT


D'ÉTANCHÉITÉ

4.1. Généralités

4.1.1. Définitions

Le cuvelage doit être complété par un contre -cuvelage interne ou externe au


revêtement d'étanchéité.
Le contre -cuvelage externe comporte un préradier et soit des voiles périphé-
riques réalisés avant le cuvelage, soit des ouvrages de protection réalisés après
le cuvelage. L'enveloppe du cuvelage reçoit alors la poussée de l'eau (fig. 4 &
5).
Le contre -cuvelage interne est toujours réalisé après le cuvelage et résiste à
l'action de l'eau (fig. 4).

La partie résistante du cuvelage et/ou du contre -cuvelage doit être conçue et


calculée selon les règles de calcul du présent DTR, en tenant compte de la
capacité de résistance du revêtement d'étanchéité.

Le revêtement d'étanchéité et le contre -cuvelage doivent exister jusqu'au niveau


d'eau fixé pour le projet.

4.1.2. Limites d'emploi

Ces procédés s'appliquent essentiellement aux ouvrages immergés en béton


armé fondés soit par un radier général peu déformable, soit par des fondations
profondes.

4.1.3. Conception et exécution

II y a lieu d'harmoniser le gros oeuvre et le revêtement d'étanchéité au niveau de


la conception et de l'exécution :
- retenir des méthodes d'exécution du gros oeuvre qui ne compromettent pas
l'intégrité du revêtement en phase travaux.
- limiter le nombre de phases travaux.
- vérifier la compatibilité du revêtement d'étanchéité avec la température de
service et l'utilisation prévue pour les locaux.
- vérifier la compatibilité du revêtement d'étanchéité et de sa protection vis à vis
de l'agressivité du milieu ambiant.

4.2. Gros -oeuvre du cuvelage et du contre -cuvelage

Toutes les prescriptions concernant le gros œuvre décrire au chapitre 2


demeurent valables dans le cas de ce procédé.

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4.3. Revêtement d'étanchéité

4.3.1. Revêtement type multicouche en partie courante

Le complexe doit comporter au minimum


− une couche d'EAC (enduit d'application à chaud) - un bitume armé type 40
armature toile
− une couche d'EAC
− un bitume armé type 50 à double armature, tissu de verre et voile de verre à
haute résistance
− une couche d'EAC
• La largeur de recouvrement doit être de 10 cm minimum.

Ce complexe est précédé d'une couche d'imprégnation à froid sur la totalité des
surfaces verticales revêtues dans le cas des contre cuvelages externes avec
ouvrages de protection réalisés après le cuvelage.
• Dans les autres cas, on doit assurer le maintien en partie haute du
revêtement jusqu'à la fin de l'exécution du contre cuvelage

4.3.2. Revêtement type asphalte en partie courante

Le complexe doit comporter au minimum :

a) en partie horizontale

- une feuille de papier kraft


- une couche d'asphalte coulé pur, qualité étanchéité, de 8 mm d'épaisseur
- une couche d'asphalte coulé sablé, qualité étanchéité, de 20 mm d'épaisseur

b) en partie verticale

- soit :
• une couche de 8 mm d'asphalte pur, qualité étanchéité appliquée en
plusieurs couches pressées
• un bitume armé type 50 à double armature, tissu de verre et voile de
verre à haute résistance soudé

La largeur de recouvrement doit être de 10 cm minimum.


- soit : le complexe donné en 4.3.1 ci-dessus pour le revêtement type multi-
couche et venant en recouvrement du complexe d'asphalte existant en partie
horizontale sur 10 cm au minimum.

Pour les deux types de revêtement décrits en 4.3.1 et 4.3.2 ci-dessus, il est
prévu une équerre de renfort de 50 cm de développé en bitume armé type 50
soudée et mise en oeuvre dans les angles, gorges et gousset de raccordement
entre les parties horizontales et verticales.

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4.3.3. Revêtements d'étanchéité traditionnels

Les matériaux et leurs conditions de mise en oeuvre doivent être conformes aux
dispositions prévues pour les travaux d'étanchéité des toitures - terrasses. La
contrainte normale de compression de ces revêtements calculée sous sollicita-
tions de service doit être inférieure à :

− 0,6 Mpa dans le cas de fondations par radier général


− 0,4 Mpa dans le cas de fondations par pieux ou puits

Ces limites s'appliquent aussi aux complexes décrits en 4.3.1 et 4.3.2 ci-dessus
et peuvent être dépassées par adjonction de renforts métalliques ou plastiques
appropriés.

4.4. Joints actifs

L'étanchéité des joints est assurée par des bandes continues élastiques ou
Elasto -plastique permettant les déplacements relatifs attendus et raccordées
directement au revêtement d'étanchéité. Dans tous les cas une attention
particulière doit être accordée au traitement de l'étanchéité des joints.

4.5. Points singuliers

Les traversées de cuvelage peuvent être réalisées soit en métal, soit en maté-
riau du type élastique ou elasto -plastique. Dans tous les cas une attention par-
ticulière doit être accordée au traitement de ces traversées de cuvelage.

4.6. Protection

La protection du revêtement d'étanchéité doit être assurée par un procédé ou un


produit réputé durable:

− les parties horizontales du revêtement sont protégées immédiatement après


exécution à l'aide d'une chape en mortier de ciment de 3 cm d'épaisseur.
− les parties verticales peuvent être protégées par un enduit grillagé d'au moins
3 cm d'épaisseur dans le cas d'un contre -cuvelage en béton coulé sur place
ou par un voile en béton projeté d'au moins 4 cm d'épaisseur en procédant au
remblaiement du terrain à l'avancement ou à l'aide de maçonnerie d'au moins
10 cm d'épaisseur avec mortier de bourrage.

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CHAPITRE 5 : REGLES TECHNIQUES DE CONCEPTION


ET DE CALCUL DES OUVRAGES DE GROS-ŒUVRE

Les prescriptions des règles de calcul du béton armé CBA (DTR 2.41)
s'appliquent compte tenu des aménagements et/ou compléments suivants :

5.1. Actions de l'eau

L'action de l'eau est définie à l'article 1.4.

5.2. Sollicitations de calcul

5.2.1. ELU de résistance

• Combinaison fondamentale

Lorsque l'eau est l'action variable de base, le coefficient de pondération est égal à
1,5 pour sa partie variable et 1,35 pour sa partie permanente. Lorsque l'eau est
une des actions d'accompagnement le coefficient Ψo est égal à 0,77.

• Combinaison accidentelle

Lorsque l'eau est l'action accidentelle, on se réfère au niveau exceptionnel :


Lorsque l'eau n'est pas l'action accidentelle, sa valeur fréquente et sa valeur
quasi permanente sont données par sa partie variable (différence entre le niveau
des plus hautes eaux et celui des plus basses eaux).

5.2.2. ELU d'équilibre statique

Pour chaque point d'appui, tes charges verticales descendantes nominales limi-
tées aux actions permanentes doivent être au moins égales à 1,05 fois les
charges ascendantes résultant de l'action de l'eau supposée au niveau fixé par
le projet

5.2.3. Phases de construction

Les états limites ultimes de résistance et d'équilibre statique doivent être justifiés
durant tes phases de construction, l'action à considérer se rapportant alors aux
niveaux environnants de la nappe durant ces phases, compte tenu des
rabattements éventuels. Dans la combinaison fondamentale, les actions de l'eau
et de la terre sont affectées des coefficients 1,2 et 1,0 (au lieu de 1,5 et 1,35).

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5.3. Cuvelage avec revêtement d'imperméabilisation

5.3.1. ELS vis à vis de l'ouverture des fissures

Les régies du CBA (DTR 2.41) sont modifiées comme suit :

Les sollicitations de calcul résultent des combinaisons d'actions suivantes :

- charges permanentes affectées du coefficient 1


- action de l'eau affectée du coefficient 1
- action latérale des terres affectées du coefficient 1
- actions variables affectées du coefficient Ψo = 0,77

L'état limite d'ouverture des fissures est vérifié par la limitation de la contrainte
de l'acier tendu et de la contrainte de traction du béton en section homogénéisée
pour l'enveloppe située sous le niveau d'eau envisagé.

• Limite de la contrainte de l'acier tendu

Dans le cas des sections droites tendues du côté recevant le revêtement d'im-
perméabilisation, l'action de l'eau est définie par le niveau retenu pour le projet
et la contrainte de traction de l'acier tendu est limitée à la plus petite des deux
valeurs suivantes :

2/3 fe et 110(ηftJ)1/2

fe : limite d'élasticité des aciers utilisés (en MPa)


fti : résistance caractéristique à la traction du béton (en Mpa)
η : coefficient de fissuration = 1,0 ronds lisses et treillis soudés à fils lisses
1,3 pour fils HA Φ < 6mm et 1,6 pour barres
HA et fils HA Φ 6mm

Dans le cas des sections droites tendues du côté en contact avec l'eau, la
contrainte de traction de l'acier tendu est limitée à la plus petite des deux valeurs
suivantes

2/3 fe et 110 α ( ηf ti)1/2

Avec α 1; 1,4 ; 1,7 respectivement selon le niveau de l'eau retenu : celui des plus
basses eaux, celui des plus hautes eaux et le niveau exceptionnel.

• Limite de la contrainte de traction du béton

Cette vérification n'est à effectuer que pour les sections droites du côté recevant
le revêtement d'imperméabilisation, le niveau de l'eau étant celui retenu pour le
projet.
La contrainte de traction du béton calculée en section homogénéisée est limitée à
1,1 θ ft28

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Avec :
θ=1 - cas de la traction simple
θ = 1 + 4 eo / 3 ho - cas de la flexion composée avec traction
eo = excentricité de la force de traction ≤ho / 2
h0 = épaisseur de la paroi
θ = 5/3 - autres cas

5.3.2. Dispositions constructives

• Enrobage des armatures : les dispositions du CBA (DTR 2.41)


s'appliquent (chap. 7)
• espacement des aciers et diamètre minimal
s max = min (33 cm, 1,5 h) , ho épaisseur de la paroi
ø min = 6 mm (HA) et 8 mm (ronds lisses)
• pourcentage minimal

La vérification de la condition de non fragilité est remplacée par le respect d'un


ferraillage minimal sur toute la face de la paroi recevant le revêtement d'imper-
méabilisation et sur les zones tendues de la face opposée :

- radiers ou murs coulés avec des zones de clavetage :


p min = 0.5 % ≤2 cm2/m
- autres radiers ou murs :
p min =1% ≤ 4cm2/m

5.4. Cuvelage à structure relativement étanche

5.4.1. ELS vis à vis de l'ouverture des fissures

Les dispositions décrites en 5.3.1 demeurent valables sauf que la vérification de la


limite de la contrainte de l'acier tendu est à faire pour les deux faces de la paroi.
De même pour la vérification de fa limite de la contrainte de traction du béton,
elle doit être faite pour les sections tendues sur la face opposée à celle en
contact avec l'eau et uniquement dans le cas de la traction simple ou de flexion
composée avec traction lorsque eo ≤ ho/2.

5.4.2. Dispositions constructives

Les dispositions décrites en 5.3.2 demeurent valables.

5.5. Cuvelage avec revêtement d'étanchéité

L'application du CBA (DTR 2.41) Art.A 4.5 vis à vis de la durabilité de la structu-
re est limitée aux ouvrages situés à l'extérieur du revêtement d'étanchéité, l'eau
étant au niveau fixé pour le projet.

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De ce fait, elle s'applique au contre -cuvelage externe non compris les ouvrages
de protection et à l'enveloppe dans le cas d'un contre -cuvelage interne en sup-
posant la fissuration préjudiciable dans le cas courant et la fissuration très pré-
judiciable dans le cas d'un milieu agressif.
En matière de dispositions constructives, les prescriptions du CBA (DTR 2.41)
Art. A 4.5 et Art. A 4.2 s'appliquent en pareil cas.

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TITRES DÉJÀ PARUS


DOCUMENTS TECHNIQUES REGLEMENTAIRES

D.T.R – B.C 2.2 Charges permanentes et charges d'exploitation (1989).


D.T.R – B.C 2.1 Principes généraux pour vérifier la sécurité des ouvrages (1989).
D.T.R – B.E 2.1 Règles d'exécution des travaux de construction des ouvrages en
Béton armé (1991).
D.T.R – B.E 1.2 Règles d'exécution des travaux de terrassement pour le bâtiment (1991).
D.T.R – B.E 1.31.2 Règles d'exécution des travaux de fondations superficielles (1991).
D.T.R – B.E 2.2 Règles d'exécution des travaux de construction des parois et murs
En béton banché (1991).
D.T.R – B.C 2.33.1 Règles de calcul des fondations superficielles (1992).
D.T.R – B.C 2.31 Dénomination provisoire des sols et des roches (1993).
D.T.R – B.C 2.32 Méthodes de sondages et d'essais de sols (1992).
D.T.R – B.E 2.31 Travaux de fondations profondes (1994).
D.T.R – B.C 2.33.2 Méthodes de calcul des fondations profondes (1994).
D.T.R – B.C 2.41 Règles de conception et de calcul des structures en béton Armé
"C.B.A 93". (1994).
D.T.R – B.E.11 Travaux de sondages et d'essais de sol (1995).
D.T.R – B.C 2.44 Règles de conception et de calcul des structures métalliques (1999).
D.T.R – B.C 2.42 Règles de conception et de calcul. des parois et murs en béton Version révisée
(1997 - (2000)
D.T.R – B.C 2.48 Règles Parasismiques Algériennes - R.P.A. 99 1 Version (2003).
D.T.R – B.E 2.1a Règles d'exécution des chapes et dalles à base de liants hydrauliques (2004).
D.T.R –B.C 2.1 b Règles particulières d'exécution des dalles et voilées d'escalier
Préfabriquées en béton armé posées sur appuis horizontaux (2004).
D.T.R – B.E 2.3 Règles générales pour la fabrication, le transport et la mise en
Oeuvres des murs extérieurs en panneaux préfabriqués (2004).
D.T.R. - B.C. 2.410 Conception et dimensionnement des structures mixtes acier -béton
Règles générales et règles pour bâtiments.

D.T.R. - B.C. 2.34 Règles de conception des cuvelages.

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Autres Publications

• Contrôle de qualité des ouvrages de Génie Civil (1989) (1).


• Calcul pratique des structures métalliques (1).
• Actes des journées du séisme de Tipaza (1990).
• Aléa sismique et microzonage "cas de l'Algérie" (1991) (2).
• Evaluation et vulnérabilité du risque sismique, en Algérie (1991).
• Recommandations techniques pour la réparation et le renforcement des
ouvrages (1992).
• Catalogue des méthodes de réparation et de renforcement. (1992).
• Catalogue d'exemples de calcul du RPA 88 (1989).
• Risque sismique en Algérie. (1994).
• Comment se comporter en cas de séisme. (bilingue) (1994).
• Guide de construction parasismique des maisons individuelles et
bâtiments assimilés. (1994).
• Réglementation Technique Algérienne de Bâtiment (RETAB). (1998).
• Actes du Vème séminaire maghrébin de génie parasismique Tome 1 (1993).
• Actes du Vème séminaire maghrébin de génie parasismique Tome II (1993).
• Actes des journées d'études prévention et action post-sismiques (1990).
• Actes du premier colloque national de génie parasismique (1996) (3).
• Actes des journées du séisme de Béni - Chougrane (1998).
• Séisme du Chenoua rapport final (1995).
• Actes du deuxième colloque national de génie parasismique (2000).
• Séisme de Kin Témouchent (rapport n° 2 - 2001).
• Séisme de Béni-Outilane (rapport n° 2 - 2001).

A Paraître

• Réglementation Technique Algérienne du Bâtiment - RETAB


(Version Actualisée).
• DTRBE 2.1 «Régies d'Exécution des Travaux de Construction des Ouvrages
en Béton armé» (révisé).

(1) – Co -édition OPU/CGS.


(2) - Titre épuisé.
(3) - Publication AGS diffusée par CGS.

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Composé par :

EI-Mokhtar BENBOUKHA .
(Nassim-Print)

Imprimé par :
l'Office des Publications Universitaires
(O.P.U.)
1 er Trimestre 2006

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