Bac C Togo Maths de 2010 A 2020

BAC C TOGO 2010-2020 TERMINALE S MATHEMATIQUES
[Texte]
ALLOH YAOVI ROBERT ENSEIGNANT DE PHYSIQUE (TG)
Auteur : ALLOH Yaovi Robert

Professeur de Sciences Physiques au TOGO
Email : allohyaovirobert@gmail.com
COLLECTION
LA CONNAISSANCE EST UNE FORCE
©2020 La connaissance est une force (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2010

EXERCICE 1 :
On considère les fonctions numériques f, g et h définis par :
| |

0 1
0 0 0 0 0 1
; Si Si0; 0
I.1- Etudier la continuité et la dérivabilité de , et au point "# 0.

2- Montrer que ∀ % 0 , ln 1)& . En déduire que : ∀ ∈ (0,1), " & ".
II. Lors d’un examen oral de mathématique, chaque candidat devra tirer une des trois enveloppes identiques
dans une urne. Les trois enveloppes contiennent, l’une la fonction , l’autre la fonction g et la troisième la
fonction . Le candidat étudiera la continuité et la dérivabilité en # 0 de la fonction qu’il aura choisie. On
suppose les tirages équiprobables.
1- Calculer la probabilité pour qu’un candidat donné tire une enveloppe contenant une fonction continue et
dérivable en # 0.
2- Au tour d’un candidat Lamda, connu déjà de son examinateur qu’il ne peut répondre qu’à la question
concernant la fonction , il lui est accordé de procéder par tirage successifs sans remise jusqu’à obtenir la
fonction . On désigne par la variable aléatoire égale au nombre d’essais effectués par le fameux candidat.
a) Déterminer la loi de probabilité de .
b) Calculer l’espérance mathématique et la variance de .
c) Construire la courbe de la fonction de répartition de .
EXERCICE 2 :
+, 2
Dans tout l’exercice, n désigne un entier naturel non nul. Pour tout n, on pose : *+ . ln 1 31.
+ !
1-a) Montrer que * 1
, 45
b) Démontrer que pour tout n, on a : *+ *+ + + !
7 , 4
c) Prouver alors que, pour tout n, on a : *+ 6#! ! !
⋯ +!
9 1.
2
2-a) Démontrer que 0 & . ln 1 +
dt & 1.
2,
b) En déduire que |I | &
+!
.
c) Que peut-on déduire pour la suite *+ .
7 , , 4
3- Pour tout n, on pose : ; #! ! +!!
+ + -…+ .
Déduire des questions précédentes la limite de la suite ;+ .
Problème :
Soit < un plan orienté et soit = (O, @@@@@@A
>? , @@@@@A
>B) un repère orthonormal direct et de <. On considère l’application
C de < dans < qui, au point D d’affixe E, associe le point D′ d’affixe E′ avec :
E G H + I̅ + H où H est un nombre complexe non nul et I̅ le nombre complexe conjugué de I. On appelle K
le point d’affixe a et on note |I| le module du nombre complexe I.
Partie A
Le but de cette partie est d’étudier C dans le cas où |H| 1.
On pourra poser : H cos L + sin L où L appartient à l’intervalle (0, 2N(.
1- A partir du point K, construire le point 0′ tel que >′ = C > et montrer que le milieu ** du bipoint >, >G
est invariant par C .
© La connaissance est une force 1 (+228) 92 60 69 35

2- Montrer que C est la composée de la symétrie orthogonal par rapport à la droite >? et d’un déplacement.
Quelle est alors la nature de C ?
3- Lorsque L varie dans l’intervalle (0, 2N(, déterminer :
a) L’ensemble des points * (milieu de(>>′)).
b) L’ensemble des ponts K′ - C K .
c) L’ensemble des valeurs prises par la norme de @@@@A
*?.
Partie B
On étudie le cas où |H| est diffèrent de 1.
1- On appelle C l’application de < dans < qui, au point D d’affixe I, associe le point D d’affixe I avec
I H I̅. Soit ;C , la symétrie orthogonale par rapport à la droite >K .
C
a) Montrer que l’affixe I du point D = ;C D est définis en fonction de l’affixe I de D par : I = I̅
C
b) Déterminer la nature de l’application C Ο;C . En déduire une décomposition de C sous la forme d’une
composée d’une symétrie orthogonale et d’une homothétie.
2- Soit D# un point de < distinct de >. On définit dans <, une suite de points D+
Par :
Pour tout entier naturel , D+ = C (D+ ). Montrer que l’ensemble des points D+ est contenu dans la réunion
de deux demi-droites.
@@@@@@@@@@@@@@A
Trouver une relation entre P>D @@@@@@@@@A @@@@@@@@@A @@@@@@@@@A
+ P et P>D+ P puis exprimer P>D+ P en fonction de P>D# P.
@@@@@@@@@A
Etudier suivant la position de K dans le plan <, la limite éventuelle de P>D + P quand n tend vers +∞.
3-a) Montrer que C admet un unique point invariant ∩C dont on déterminera l’affixe.
b) Montrer que ∩C est un point du segment(>>′), (en notant >G C > ).
Montrer que C est une composée de l’homothétie de centre ∩C et de rapport |H | et d’une symétrie orthogonal
que l’on précisera.
4- Etant donné un nombre réel positif L, peut-on déterminer |H| pour que l’on ait P> @@@@@@@@@A
∩C P = L ?


EXERCICE 1 :
Pour tout entier naturel non nul n, on considère les deux entiers M et N tels que : D 11 3 et
T 13 1.
1- Démontre que tout diviseur de M et de N est un diviseur de 50.
2- Soit l’équation U : ", V ∈ *T ∗ X *T ∗ , 50" 11V 3.
a) Montrer que si un couple "# , V# d’entiers naturels est solution de U alors l’entier 11V# 3 est un
multiple de 50.
b) Résoudre l’équation U .
c) Déduire de ce qui précède les valeurs de pour lesquels D et T ont 50 pour plus grand commun diviseur.
EXERCICE 2 :
Le plan est muni d’un repère orthonormal >, [A, \A , ] est un réel quelconque et ^ un réel strictement positif
quelconque. _`,a désigne la courbe dont une équation dans >, [A, \A est :
1 ] " 1 ] V ^.
1- Etudier les courbes _#,a , _ ,a et _, ,a .
2-a) Montrer que les deux coniques d’équations 3" V 12 et 33" V 6 sont des courbes _`,a .
b) Identifier ces deux coniques et représenter les sur deux figures distinctes.
3- On suppose ] différent de – 1, 0 et 1. Le réel ^ étant fixé, montrer que _`,a est une conique. Précisez alors,
selon les valeurs de ], son axe focal et son excentricité.
Problème :
@A . Soit d un nombre réel et ef l’application de p dans p qui à
Le plan est muni d’un repère orthonormé >, [A, ^
tout point D de coordonnée ", V associe le point M’6hG
gG
9 tel que : "′ = d" et V G 2d" + V.
Partie A
1- Déterminer suivant les valeurs de d, l’ensemble U, des points invariants par ef
2- Montrer que pour tout point D n’appartenant pas à U, le vecteur @@@@@@@@@A
DD′ a une direction fixe.
3- On pose d = 0, caractérise ef
4- Montrer que e, est une symétrie axiale dont on précisera les éléments caractéristiques.
5- Si d ∈ IR* \ j 1 ; 1 l, montrer que Tα, est une affinité dont précisera les éléments caractéristiques.
Partie B
Dans cette partie on pose d = 1 ; D# 6ghm 9 et D+ D+, ∀ n ∈ IN* avec D# 6gh4 9.
m 4
1- Exprimer "+ et V+ en fonction de "+, etV+, .
2- En déduire une expression de "+ et V+ en fonction de "# , V# et .
3- Montrer que les points Mn appartiennent à une droite fixe dont on précisera l’équation.
4- Montrer que la droite d’équation : " ^ est globalement invariante par e .
Partie C
On pose d 1.
Soit la fonction
: IR → IR
" → x + 1 - ln|" "|
1- Montrer que pour tout " élément de IR* la fonction f est définie.
2- Trouver les limites de f aux bornes de l’ensemble de définition
3- Etudier les variations de la fonction g définie sur (0; N) par " " 1 " op "

r r
4- Montrer que l’équation " 0 admet une solution unique d appartement à q s ; t u
5- En utilisant les questions précédentes, dresser le tableau de variation de la fonction f.
6- Que représente la droite d’équation V " pour la courbe _v de
r r
" 0 admet une solution unique appartenant à u ; q
s w
7- Montrer que l’équation
8- Comment peut – on construire l’image d’un point de _v par e, ?
9- Construire _v puis l’image d’un point de _v par e,
Partie D
Dans cette partie, d appartient à un sous ensemble de *=
1- Trouver les entiers relatifs d tels que 4d soit un multiple de 8.
2- Montrer que l’ensemble des solutions appartenant à ( 10; 10) est :
x j 10 ; 8 ; 6 ; 4 ; 2 ; 0 ; 2 ; 4 ; 6 ; 8l
3- Sur des jetons indiscernables au toucher on inscrit chaque élément de l’ensemble B, qu’on place dans une
urne.
On tire simultanément quatre jetons de l’urne. Soit la variable aléatoire réelle égale au nombre de
transformation (Tα) obtenues lors du tirage de quatre jetons. (d ∈ x).
a) Déterminer la loi de probabilité de
b) Calculer l’espérance mathématique de
4- Dans cette question, on tire successivement dix jetons de l’urne en remettant chaque fois le jeton tiré.
a) Calculer la probabilité qu’on ait exactement trois fois une transformation lors des dix tirages.
b) Soit y la variable aléatoire réelle égale au nombre de transformation obtenues lors des dix tirages.
Calculer l’espérance mathématique puis la variance de V.


EXERCICE 1 :
On dispose de deux urnes ? et ? contenant des boules indiscernables au toucher.
? contient boules blanches et 3 boules noires,
? contient 2 boules blanches et 1 boule noire.
On tire au hasard et simultanément deux boules de ? et on les met dans ? , puis on tire au hasard et
simultanément deux boules de ? et on les met dans ? ; l’ensemble de ces opérations constitue une épreuve.
1- On considère l’évènement K : « après l’épreuve, les urnes se retrouvent chacune dans leur configuration de
départ ».
t+ |+ }
Montrer que la probabilité { K de l’évènement K peut s’écrire : { K
| + t +
.
2- On considère l’évènement x : « après l’épreuve, l’urne ? contient une seule boule blanche »
Calculer la probabilité { x de l’évènement x.
3- Un joueur mise 200 francs et effectue une épreuve. A l’issue de cette épreuve, on désigne par ∝ le nombre
de boules blanches contenues dans ? .
Le joueur reçoit 10 3 ∝ francs.
a) Expliquer pourquoi le joueur n’a aucun intérêt à jouer tant que n ne dépasse pas 6.
Dans la suite, on considère • 6 et on introduit la variable aléatoire qui prend pour valeurs les gains
algébrique du joueur.
b) Détermine la loi de probabilité de .
c) Calculer l’espérance mathématique de .
EXERCICE 2 :
On considère la suite ?+ définie pour tout entier naturel par : ?# .# √
3" et, pour • 0,
g
g4
?+ .# √
3".
g
1-a) Soit f la fonction numérique définie sur (0 ; 1) par " " √1 " ).
Calculer la dérivée ′ de . En déduire ?# .
b) Calculer ? .
2-a) Prouver que la suite ?+ est décroissante. En déduire que la suite ?+ est convergente.
b) Montrer que pour tout nombre réel " appartenant à l’intervalle (0 ; 1) et pour tout entier % 1. On a :
& ?+ & 1
√ +
Déterminer alors la limite de ?+ .
3- pour tout % 3 , on a : *+ .# " +, √1 " 3".
a) Vérifier que pour tout entier n% 3, on a : ?+ ?+, *+ .
Par une intégration par parties portant sur ln, montrer que pour tout entier % 3, on a :
?+ 1 ?+, √2.
b) En déduire que pour tout entier % 3, on a : 2 1 ?+ & √2 2 .
c) A l’aide des inégalités 1 et 2 , montrer que la suite ?+ est convergente et calculer sa limite.
Problème :
Soit dans le plan < muni d’un repère orthonormé directe >, @@@A, @@@A les points K, x et _ d’affixes respectives :
r r |r |r
E• cos t ; E‚ et Eƒ 1.
t
cos t
t
Partie A

1- Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de l’application affine de < dans < qui laisse invariant
les points K et x et transforme > en _.
2- Pour tout point D du plan, exprimer les coordonnées " G , V G et D en fonction des coordonnées ", V
de D puis l’affixe E de D.
3- Déterminer l’image par du cercle „ de centre _ et de rayon 1. Soit V′ cette image.
B/ On considère l’application … de < dans < qui à tout point † d’affixe E associe le point M d’affixe
E I 1.
1-a/ Déterminer les images par F des points K, x et >.
b) Déterminer les points invariants par ….
2-a) Démontrer que tout point D et <, à l’exception d’un seul que l’on précisera, admet par … deux antécédents
distincts † et † symétriques par rapport à >.
b) Soit D un point de < distinct de _ et I et I les affixes respectives de † et † .
Démontre que :
‡ ) >† >† _D où † et † sont les antécédents de D par ….
N 2^ G N, ^ G ∈ ˆ. Où d est une mesure de l’angle (@@@A, @@@@@@A
f f
‡ H I 2^N, ^ ∈ ˆ et H I _D)
c) On se propose de construire géométriquement † et †
f
Soit ‰ la droite passant par > et de vecteur directeur Š
@@@A tel que soit une mesure de l’angle (@@@A, Š
@A).
Soit ‰G la perpendiculaire à ‰ en >. sur (D’) de part et d’autre de O, on place les points T et ‹ tel que
>‹ 1 et >T _D.
Soit Γ le cercle de diamètre (‹T). Démontre que Γ coupe ‰ en † et †
3- Déterminer … „ G .
4-a) Pour tout m de coordonnées ", V , on note , • les coordonnées du point D … †
Exprimer et • en fonction de " et V.
b) Déterminer l’image par … de l’axe des abscisses puis de l’axe des ordonnées
c) Déterminer l’ensemble des points du plan dont l’image par … appartient à l’axe des abscisses
5- (∆) désigne la droite d’équation V 2.
a) Démontrer que l’image de (∆) par … est la courbe _ d’équation V 16 " 3 .
b) Préciser la nature et les éléments caractéristiques de cette courbe : axe, sommet, foyer, directrice
c) Construire _ .


EXERCICE 1 :
1- Résoudre dans le corps des nombres complexes ℂ l’équation : 4I s 3I 1 0. Montrer que les
solutions sont conjuguées deux à deux.
2- Ecrire le polynôme 4I s 3I 1 sous la forme d’un produit de deux trinômes du second degré à
coefficients réels.
3- En déduire que dans tout système de numération de base b supérieure ou égal à cinq, le nombre 40301 est
multiple de 211 (ces deux nombres sont écrits en base b).
On prend b égal à neuf ; écrire dans cette base le quotient de 40301 par 211.
EXERCICE 2 :
Le plan (P) est rapporté au repère orthonormé direct (O, [,
@A \A).
Soit u un nombre réel et • l’application de (P) dans (P) qui à tout point M de (P) de coordonnées (", V associe
le point M' dont les coordonnées ( "′, V′ sont :
j g
‘
’ g •
h ‘ ’ •g h •
,
1- Démontrer que • est bijective ; déterminer • .
g
2- Démontrer que la parabole Г, d’équation V s
est globalement invariante par •.
3. On défini une suite D+ +∈7“∗ de point de < de la façon suivante :
D > ; D D , … . , D+
D+ , .
4
a) Justifier que, pour tout entier naturel , D+ ∈ Г.

b) Exprimer les coordonnées "+ , V+ de D+ en fonction de .
c) Le point D+ a-t-il une position limite lorsque n tend vers + ∞ ? Déterminer cette position.
d) Soit –+ l’isobarycentre des points D , D , … , D+ . Exprimer en fonction de les coordonnées ,• de
–+ .
e) Le point –+ a-t-il une position limite lorsque n tend vers + ∞ ? Déterminer cette position.
4- Soit *+ le point d’intersection des tangentes à Г aux points D+ et D+ .
a) Exprimer, en fonction de , les coordonnées ′ , •′ de In.
b) Justifier que pour tout ∈ *T ∗, 45 }
G
+ 2 .
c) Montrer que, pour tout entier non nul n, le point *+ appartient à une parabole Г'.
d) Déterminer les éléments caractéristiques de Г'.
Problème :
On considère la fonction numérique définie par :
— g , ,2 ˜+g ∀g ∈ )#; )
j— # ’ #
Partie I
,2
1- Démontrer que † 1
g
2- Démontrer que est continue sur [ 0;1] .
2
3- Etudier la dérivabilité de sur [ 0;1] et montrer que pour tout " de ]0;1] , G
" g
" " g
1 .
4- Soit la fonction numérique définie sur ]0;1] par " " " g
1.

a) Etudier le sens de variation de ′ et démontrer que ′ s’annule une seule fois sur ]0;1] en un point "# (on
ne calculera pas "# ) .
b) En déduire le signe de ′ " puis démontrer que s’annule une seule fois sur )"# ; 1) pour une valeur
" (On ne calculera pas " ).
5- Dresser le tableau de variation de .
dans le plan muni d’un repère orthonormé 0, i, j (unité : 10 o†) ; on prendra
( )
rr
6- Construire la courbe de
" 0,31.
Partie II
Soit un entier naturel, on définit sur [ 0;1] les fonctions ™ , ∈ *T par :
g
™# " 1 ; ™ " 1 " ; ™ " 1 " !
Et pour tout entier strictement supérieur à 2,
g g4
™+ " 1 " ⋯ 1 +
+! .
!
Démontrer que pour tout entier naturel non nul et pour tout réel " de [ 0;1] on a ™ G + " ™+, " .
On se propose de démontrer que pour tout entier naturel et pour tout réel " de [ 0;1] ;
™ + " & ,g
&™ + " .
a) Soit Ф et Ѱ deux fonctions continues sur [ 0;1] et dérivable sur ]0;1] telles que Ф 0 Ѱ 0 .
Démontrer que si pour tout réel " de )0; 1) Ф′ " & ѰG " alors pour tout " de (0; 1)Ф " & Ѱ " .
b) Démontrer par récurrence et en utilisant deux fois la question 2.a/ que pour tout " de [0 ; 1] et pour tout
entier naturel , ™ + " & ,g & ™ + " .
c) Pour tout entier naturel , déduire de la question précédente un encadrement de la fonction sur )0; 1)
faisant intervenir les fonctions ™ + 1 ™ + .
Partie III
On considère ∆ l’ensemble des points D du plan de coordonnées ( x; y ) dans le repère orthonormé 0, [A , \A
vérifiant 0 & " & 1 1 " & œ & 0. On se propose de déterminer l’aire de ∆.
1- Soit une entier naturel et ∝un réel tel que 0 • ∝ & 1. On pose *+ ∝ .∝ " + " 3". Calculer *+ ∝ en
utilisant une intégration par parties.
2- Calculer lim *+ ∝ .
∝→#
∝ #
3- En utilisant la question II.2.c) donner un encadrement de .∝ " 3" au moyen des intégrales de type *+ ∝
En déduire un encadrement de .# " 3".
4- Donner un encadrement de l’aire de ∆ en cm² d’amplitude 10, près.
¥ ¥ ¥
Indication : Soit ɛ ¢£H; ‡£ si lim .¤ " 3" existe dans ℝ alors lim .¤ " 3" .C " 3".
¤→∝ ¤→ ∝


EXERCICE 1 :
On considère un dé cubique non pipé ayant deux faces numérotées 2 et quatre faces numérotées 3, et un dé
tétraédrique régulier ayant deux faces numérotées 2 et deux faces numérotées 4.
On lance simultanément les deux dés, on désigne par « a » le numéro apparu sur la face supérieur du dé
cubique et « b » celui sur la face cachée du dé tétraédrique.
On considère l’équation différentielle U ∶ V GG HV G ‡V 0 et on désigne par la variable aléatoire
prenant la valeur H 4‡.
1-a) Déterminer la loi de probabilité de .
b) En déduire la probabilité pour que U admette pour solution générale une fonction non sinusoïdale.
2- On lance n fois de suite les deux dés. On désigne par • le nombre de fois que l’équation U admet une
solution générale, une fonction non sinusoïdale.
Déterminer le plus petit entier n pour que la probabilité de l’évènement j • % 1 l soit supérieure ou égale à
0,999.
g,
3- On pose (a, b) – (3 ; 2) et on considère l’équation différentielle U G : V GG 3V G 2V ,g
g
.
a) Vérifier que la fonction définie pour tout " ∈ *= , par "
∗ ,g
" est solution de U .
b) Résoudre l’équation ªU t; «: V GG 3V G 2V 0.
c) Soit une fonction deux fois dérivables sur *= ∗ , montrer que est solution de U G si et seulement si
est solution de ªU t; «.
d) En déduire toute les solutions de l’équation U G .
EXERCICE 2 :
@@@A, œA) d’unité graphique 2o†.
Le plan complexe (P) est rapporté à un repère orthonormal direct (O, Š
| t
Soit les points A, A’ et F d’affixe respectives : E• + i ; E•‘ - i et E¬ 1. On désigne par U
l’ensemble des points D de < dont l’affixe E vérifie la relation : |E E̅ 2 2 | = 4|E 1| où E̅ est le
conjugué de E.
1- On considère l’application g du plan < dans lui-même, qui au point M d’affixe
E " V associe le point - d’affixe E G " G V′ telle que E G E E̅ 1 avec ", V, " G , V′ des
réels.
a) Exprimez les coordonnées " G , V G du point - en fonction des coordonnées ", V du point D.
b) Soit ‰ l’ensemble des points invariants par g. Détermine une équation cartésienne de ‰ .
c) Démontrer que pour tout point D de < d’image - par g on a : - ∈ ‰ et que D… est perpendiculaire
à ‰ .
d) Déduire de ce qui précède, la nature et les éléments caractéristiques de l’application .
2-a) Démontrer que pour tout complexe Z on a : E E G E E̅ 2 2 .
b) Soit D un point de U et - son image par .
Détermine une relation entre D… et D-.
En déduire que U est une ellipse de foyer …, de directrice ‰ et d’excentricité .
3-a) Préciser l’axe focal (∆ de U et vérifier que les points K et K′ sont les sommets situés sur (∆ .
b) Construire ‰ , Δ , K, K′ et ….
c) Après avoir déterminer géométriquement les autres sommets x et x′, construire U .
Problème :
Le plan est rapporté au repère orthonormé (O, [A, \A)

Partie A
A tout réel ∝ strictement positif, on associe la fonction numérique ∝ définie sur *= ∗ , par
˜+ g
∝ " 1 ".
g∝
“ g
∝ est dérivable sur son ensemble de définition et que, sa dérivée, ′∝ est telle que ∝
G
g ∝5
1-a) Montrer que
où T est une fonction numérique que l’on déterminera.
b) Etudier le sens de variation de T, puis calculer T 1 .
c) En déduire les sens de variation de ∝ et les coordonnées du point de _∝ d’ordonnée maximale.
2- On note K` l’aire, exprimée en unité d’aire, de la partie du plan comprise entre l’axe des abscisses, la courbe
_ les droites d’équation : " ] et " 1, ] ∈ )0, 1(
a) A l’aide d’une intégration par parties, calculer K` .
b) Calculer lim K` .
`→#
Partie B
˜+g
Soit , la fonction définie sur )0 ; ∞( par "
√g
.
1- Etudier les variations de g puis représenter sa courbe (C) dans le repère (O,[A,@@A).
\
√ √
2- On pose Š
@A [A \A et œA [A \A .
a) Montrer que >, [A, \A est un repère orthonormé du plan.
b) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de l’application = du plan < dans lui-même qui
transforme le repère >, [A, \A au repère >, Š@A, œA
c) Déterminer les images ‰ et ‰ respectives des droites d’équation : " 1 et "
G G
par =
3- Soit S la symétrie orthogonale d’axe la droite ∆ passant par O et dirigé par Š
@A et on pose - ; ¯ =
±
a) Montrer que l’écriture complexe associée à H est : E G ,°
² I̅
b) Construire dans les mêmes repère >, [,

@A \A), les courbes _ = _ puis _ - _
c) Vérifier que ‰ et ‰ sont orthogonales à (∆ puis justifier que l’aire du domaine e limité par les
G G
2
courbes _ , _ , ‰G et ‰G est en unité d’aire : 2. " 3".
Que vaut cette aire ?
Partie C
Pour tout entier n supérieur ou égale à 10, on pose : ?+ 10 11 ⋯ et
+
B+ ?+ .# 1 31.
1- Soit ^ un entier supérieur ou égal à 10.
a
a) Démontrer que ^ 1 & .a 1 31 & ^ .
+
b) En déduire que, pour tout entier n supérieur ou égale à 10, ?+ 10 & . # 1 31 & ?+ .
+
c) En utilisant le sens de variation de ?+ , montrer que ?+ 10 & . # 1 31 & ?+ .
2-a) Montrer que B+ est bornée
b) en utilisant 1-a), démontrer que B+ est croissante. En déduire que B+ converge.


EXERCICE 1 :
On place dans un sac six jetons indiscernables au toucher, marqué : 3 ; 2 ; 1 ; 1 ; 2 ; 3. On tire un jeton
du sac, on note « H » son numéro. On le remet dans le sac, puis on tire un deuxième jeton et on note « ‡ » son
numéro.
Au couple H, ‡ obtenu, on associe l’ensemble UC,¥ des points D dont les coordonnées ", V dans le plan
C ¥,sC¥
< rapporté à un repère orthonormé >, [A, \A vérifient l’équation : ‡" HV ‡" HV 0.
s
1- Démontrer que pour tout couple H, ‡ , l’ensemble UC,¥ est une conique à centre. Préciser les coordonnées
du centre.
2- Calculer la probabilité de chacun des événements suivants :
_ : « UC,¥ est un cercle ».
U : « UC,¥ est une ellipse non réduite à un cercle ».
- : « UC,¥ est une hyperbole ».
-′ : « UC,¥ est une hyperbole équilatère ».
3- On donne H 3 et ‡ 2.
Déterminer les éléments géométriques de Ut, : axe focal, foyers, sommets.
4- On donne H 3 et ‡ 2.
Déterminer les éléments géométriques de U,t, : axe focal, foyers, sommets.
5- Construire ªUt, « ; ªU,t, « et U , dans un même repère.
EXERCICE 2 :
Dans un plan ³ rapporté à un repère orthonormé direct >, [A, \A , on considère l’application qui à tout point
D d’affixe I associe le point D d’affixe I tel que : I I̅ H ‡ ; où H et ‡ sont deux réels quelconques
donnés.
On appelle K le point de coordonnées H, ‡ .
1- Montrer que est une isométrie.
2- Comment faut-il choisir le point K pour que soit une symétrie orthogonale. Donner la caractéristique de
cette symétrie.
3- On choisit K de telle sorte que ne soit pas une symétrie orthogonale.
a) Quelle est la nature de ? Préciser les éléments qui définissent .
b) On pose , et pour tout entier naturel % 2, + +,
¯ .
Montrer que pour tout entier naturel { non nul, ´
est une translation dont on donnera le vecteur.
Quelle est la nature de ´
?
Problème :
Partie I
,g µ°+g
Soit la fonction numérique définie sur (0, ∞( par " g
si " • 0 et 0 0.
1- Déterminer les nombres réels " de (0, ∞( tels que " 1.
,g, ,g
2-a) Prouver que pour tout réel " positif non nul, & " &
g g
.
En déduire la limite de en ∞.
,g , ,g
b) Déterminer les nombres réels " tels que " "
g g
et ceux tels que .
c) En déduire dans un repère orthonormé >, [A, \A , la position relative de la courbe représentative _ de
, ,g ,g
et des courbes „ et „ représentatives des fonctions " ⟼
g g
et respectivement.

3- Montrer que est dérivable sur )0, ∞( et calculer la dérivée de sur cet intervalle.
r
4-a) Etudier le signe de 1H " " sur u0, q et en déduire le signe de ′ sur cet intervalle.
r r
b) Prouver que pour tout ^ appartenant à *T ∗ , il existe un élément "a et un seul de u ^N ; ^Nq tel
que 1H "a "a ; montrer que "a • ^N.
c) En déduire le signe de ′ sur )0, " ( puis sur chaque intervalle )"a ; "a (, où ^ 1, 2, … (On distinguera
^ pair et ^ impair).
g·
5-a) Prouver que, pour tout nombre réel " positif ou nul, 0 & " "&
w
.
g·
(Pour cela, on introduira la fonction ™ définie sur (0, ∞( par ™ " " " w
. On calculera les dérivées
™ G , ™ GG , ™′′′ et on déduire le signe de ™).
b) Prouver que est dérivable en 0.
6-a) Dresser le tableau de variation de sur l’intervalle (0, 3N).
b) Tracer sur une même figure les courbes „ , „ et _ en se limitant à l’intervalle (0, 3N). On utilisera
les valeurs approchées " ¸ 4,49 et " ¸ 7,73.
(Unité graphique : 2 o† sur l’axe des abscisses et 6 o† sur l’axe des ordonnées).
Partie II
r
On considère l’intégrale º .± " 1 3".
r • µ°+»
1- Pour tout élément Š de q , Nu, on pose : … Š .¼ 31 et pour tout " de q0, u, on pose :
»
g µ°+r»
– " .# 31.
,»
Prouver que pour tout élément " de q0, u ; – " … N … N 1 " .

/ µ°+r»
En déduire que º .# ,»
31.
/ /
2- Soit ?+ la suite définie par : ?# .# N131 et ?+ .# 1+ N1 31 si % 1.
/ » 4 µ°+r»
% 1, º ?# ? ⋯ ?+, ¾+ , où ¾+ .# 31.
,»
a) Prouver que, pour tout
» 4 µ°+r»
b) Etablir que, pour tout élément 1 de q0, u, & 21 + .
,»
En déduire une majoration simple de ¾+ .
c) Montrer que º lim ?# ? ⋯ ?+, .
+→ ¿
3-a) Calculer ?# et ? .
+
% 2, ?+ q 1 ?+, u.
r 4
b) Etablir que, pour tout entier
4- A partir des résultats obtenus au ** 2 et ** 3, indiquer une méthode de calcul d’une valeur approchée
de º à la précision 10, . (On ne demande pas d’effectuer ce calcul).


EXERCICE 1 :
1- En notant { K⁄x la probabilité de l’événement « K sachant x » et xÁ l’événement contraire de x, démontrer
que : { KÂxÁ
´ • ,´ •⁄‚ .´ ‚
,´ ‚
.
2- Lors d’une récente saison de chasse (période durant laquelle la chasse est autorisée dans une région donnée),
on a pu établir les statistiques suivantes : 30% des renards sont enragés ; parmi les renards abattus, 40% étaient
enragés.
a) En désignant par ‡ ‡ 1 la probabilité pour qu’un renard soit abattu lors de la saison de chasse, calculer
en fonction de ‡ la probabilité { pour qu’un renard survivant soit enragé
(Durant la période considérée, on négligera les autres causes de décès ainsi que les nouveaux cas de rage).
b) Quelle est la plus petite valeur ‡ pour que { soit inférieure ou égale à 0,1 ?
c) A l’issue d’une saison de chasse, la probabilité pour qu’un territoire soit décontaminé de la rage est égale
à 1/3. Une chasse est divisée en 10 territoires et on désigne par la variable aléatoire égale au nombre de
territoires décontaminés après la saison de chasse.
Quelle est, dans les conditions précédentes, et en supposant que les résultats sont indépendants d’un territoire
à l’autre, la probabilité d’avoir décontaminé au moins huit territoires sur les dix à l’issue de la saison ?
EXERCICE 2 :
On considère un cube Kx_‰U…–- d’arrête 1.
1-a) Exprimer plus simplement le vecteur Kx @@@@@A K‰ @@@@@A @@@@@A
KU .
@@@@@A . x‰
b) En déduire que le produit scalaire K– @@@@@@A est nul.
c) Démontrer de même que le produit scalaire K– @@@@@A . xU
@@@@@A est nul.
d) Démontrer que la droite K– est orthogonale au plan x‰U .
2- Soit * le centre de gravité du triangle x‰U.
Déduire de 1.a) que le point * est le point d’intersection de la droite K– et du plan x‰U ; préciser la
position du point * sur le segment (K–).
@@@@@A , K‰
3- Dans cette question, l’espace est rapporté au repère orthonormé direct K, Kx @@@@@A , @@@@@A
KU .
a) Ecrire une équation du plan x‰U .
b) Ecrire une représentation paramétrique de la droite ∆ passant par le point - et orthogonale au plan
x‰U .
c) Déterminer les coordonnées du point d’intersection º de la droite ∆ avec le plan x‰U .
@@@@@@A ∧ @@@@@A
d) Calculer x‰ xU .
e) En déduire la distance du point - au plan x‰U , puis le volume du tétraèdre -x‰U.
Rappel : Volume du tétraèdre : t ‡ X , où ‡ est la surface de base et la hauteur.
Problème :
Le plan est rapporté au repère orthonormé >, [A, \A . Unité graphique : 2 o†.
Soit la fonction numérique définie par :
" " 1 g
" • 0
0 0
,g ˜+g
" g
" • 0.
On désigne par _ la courbe représentative de dans le repère >, [A, \A .
Partie A

1- Etudier la continuité et la dérivabilité de en 0.

2- Soit ^ la fonction numérique définie par : ^ " " 2 " " 1.
a) Etudier le sens de variation de la dérivée ^′ de ^.
b)
‡ Montrer que l’équation ^ " 0 admet une unique solution ∝.
‡ Déterminer un encadrement de ∝ d’amplitude 10, .
En déduire le signe de ^ " suivant les valeurs de ".
3- Etudier le sens de variation de puis dresser son tableau de variation. (On pourra utiliser les questions 1 et
2).
4-a) Etudier les branches infinies de _ .
b) Déterminer une équation de la tangente e à _ au point d’abscisse "# 1.
c) Tracer _ et e dans le repère >, [A, \A .
5- Soit … l’application de ³ dans ³ qui à tout point D de coordonnées ", V associe le point D′ de coordonnées
" G , V G telles que :
"G "
V G
2" V
a) Montrer que … est une bijection de ³ et que le vecteur @@@@@@@@@A
DD′ garde une direction fixe à préciser.
b) Déterminer l’ensemble des points invariants par ….
c) Déterminer l’ensemble des milieux de (DD′) quand D décrit ³.
d) Montrer que … est une affinité que l’on caractérisera.
e) Soit D un point de _ , déterminer les équations de l’ensemble _ G décrit par son image D′ par
l’application ….
Partie B
On pose sur (0, 1),
+ 1 1 + 1 , 1 0 ; ∈ *T ∗ .
+ 0 0
º+
.# + 1 31 1 º .# 1 31.
1-a) Montrer que º+ existe.
b) En admettant que º+ lim . + 1 31 pour " ∈ )0, 1), calculer º+ .
g→# #
2- Soit 1 un nombre réel et ∈ *T ∗ .
a) Calculer le produit : <+ 1 1 1 1 1 1 1t ⋯ 1 +,
1 +, .
b) Montrer que : ∀ 1 ∈ (0, 1),
+ —45 »
1 t 1 s 1 ……….. 1 +, +
1 1 »
1 puis que :
—45 »
º º ºt ºs ⋯ 1 +,
º+ 1 +
.# 31.
»
—45 » —45 »
, démontrer que : 0 & .# 31 &
» » + t
c) En s’aidant d’une majoration de .
3- Soit un entier naturel strictement positif. On pose :
;+ ⋯ 1 +,
. . Montrer que † ;+ º.
t s +


EXERCICE 1 :
Le plan < est muni du repère orthonormal >, *, º , d étant un nombre réel. Soit f l’application de < dans <
transformant * en K ff , º en x , , et laissant invariant >.
1-a) Montrer que f est une application affine.
b) Déterminer les valeurs de d pour lesquelles f est bijective.
@@@@A , \A >º
On note f son application linéaire associée et on pose : [A >* @@@@A.
c) Déterminer f [A et f \A . En déduire l’expression analytique de f dans le repère >, *, º .
2- Déterminer d pour que l’on ait f ¯ f *3Å où *3Å est l’application identique du plan.
3- Déterminer l’ensemble des points invariants par f . (on discutera suivant les valeurs de d).
4- Quelle est la nature géométrique de ? d 1 . Quels sont ses éléments caractéristiques ?
5- Etude de # d 0 .
a) Déterminer l’ensemble Δ des points D′ qui sont images par # d’au moins un point D de <.
b) Soit la symétrie de centre >. Montrer que # { ¯ où { est une projection dont on précisera les éléments
caractéristiques.
EXERCICE 2 :
Un sac contient 30 boules indiscernables au toucher dont d noires, Æ blanches et „ rouges. On suppose qu’il
y a au moins deux boules de chaque couleur. On tire au hasard et simultanément deux boules du sac. Soit
l’événement E « Obtenir deux boules de même couleur ».
1- Calculer en fonction de d, Æ et „ la probabilité < d, Æ, „ de l’événement U.
2- On se propose de déterminer d, Æ et „ afin que < d, Æ, „ soit minimale. Pour cela on munit l’espace affine
@A et on considère les points K 30 ; 0 ; 0 ; x 0 ; 30 ; 0 et _ 0 ; 0 ; 30 . Soit
Ç d’un repère orthonormé >, [A, \A, ^
le point D d, Æ, „ de Ç.
a) Vérifier qu’une équation cartésienne du plan Kx_ est : " V I 30 0.
b) En déduire que D appartient au plan Kx_ .
c) Démontrer que 870 < d, Æ, „ 30 >D .
d) Soit - le projeté orthogonal de > sur le plan Kx_ . Déterminer les coordonnées du point -.
e) En déduire les valeurs de d, Æ et „ qui rendent minimale < d, Æ, „ , puis calculer la probabilité < d, Æ, „
correspondante.
3- Le sac contient désormais 10 boules noires, 10 boules blanches et 10 boules rouges. Soit et ^ deux entiers
naturels supérieur ou égal à 2.
Un joueur mise francs et tire simultanément deux boules du sac.
S’il obtient deux boules de même couleur, il reçoit ^ fois sa mise et le jeu est terminé.
S’il obtient deux boules de couleurs différentes, il remet les deux boules tirées dans le sac et tire à
nouveau simultanément deux boules.
S’il obtient deux boules de même couleur, il reçoit ^ 1 fois sa mise, sinon il perd sa mise et le
jeu est terminé.
Soit la variable aléatoire égale au gain algébrique du joueur.
}
a) Montrer que la probabilité pour que le joueur ait un gain algébrique égal à ^
}
est .
b) Déterminer la loi de probabilité de .
c) Calculer l’espérance mathématique U en fonction de ^ et .
Problème :
Partie A

,g
" 6 9.
g
Soit la fonction numérique d’une variable réelle définie par :
1- Préciser l’ensemble de définition de .
2- Etudier le sens de variation de puis dresser son tableau de variation.
3- Construire la courbe _ de dans un repère orthonormé >, [A, \A .
Partie B
On considère l’application ea du plan dans lui-même d’expression analytique :
" G ^" V 1
VG " ^V 1 où ^ est un réel.
1- ea est-elle une transformation du plan ?
2- En discutant suivant les valeurs de ^, déterminer l’ensemble des points invariants par ea .
3- Déterminer l’écriture complexe associée à ea .
4- Caractériser ea ¯ ea suivant les valeurs de ^.
5-a) Caractériser e# puis déterminer l’équation de la courbe Γ image de _ par e# .
b) Tracer Γ dans le même repère que _ .
Partie C
r
Pour tout réel " ∈ q ; 0q on pose : " op " .
r ƒ
1- Montrer que est une primitive sur q ; 0q de " ⟼ µ°+g où _ est un réel à déterminer.
r C ,ÈÉµ 4 »
2- ∀ H ∈ q ; 0q, ∀ ∈ *T ∗ , on pose : *+ H .,± µ°+»
31.
ÈÉµ 4 C r
Montrer que : 0 & *+ H & ,µ°+C
6H 9.
En déduire que : lim *+ H 0.
+→ ¿
r
3- Pour tout entier naturel non nul , on définit la fonction …+ sur q , Hu par :
ÈÉµ· » ÈÉµÊ » ÈÉµ 4 »
…+ 1 op 1 t |
⋯ +,
.
r r , ÈÉµ 4 »
a) Montrer que …+ est dérivable sur q , Hu et que ∀1 ∈ q , Hu , …+G 1 µ°+»
.
r
Calculer …+ 6 9.
r
b) En intégrant la relation précédente entre et H, montrer que
,— C
…+ H *+ H , où _ est le réel déterminé dans la question C.1. En déduire lim …+ H .
ƒ +→ ¿
Partie D
Dans cette partie " ∈ )0 ; 1( ; 1 ∈ )0, "( et ∈ *T ∗ .
,g 4 , 4 g 4
1- Vérifier que : ∑a’#
+,
"a ,g
1 et que ∑a’#
+,
1 a"a g
2
g 45 g » 4 g 45
2-a) Démontrer que : 1 • • . En déduire que : s0 • • .# 31 •
,» ,g + ,» + ,g
.
g g· g 4 g» 4
b) Utiliser les relations 1 et 2 pour montrer que : ln 1 " " ⋯ .# 31 et
t + ,»
g g· g² +, g
4 g» 4
ln 1 " " ⋯ 1 1 +
.# 31.
t s + »
g g· gÊ g 4 g » 4
c) En déduire que ln 6 ,g
9 " t | +,
.# ,»
31.
3- Des questions D.1 et 2, trouver deux fonctions ? et B sans intégrales telles que : ? " • " •B " .


EXERCICE 1 :
Partie I
Une urne contient quatre jetons numérotés 1; 2; 3 1 4.
On tire au hasard un premier jeton de l’urne. On note H le numéro porté par ce jeton par ce jeton puis on le
remet dans l’urne. On tire un deuxième jeton de l’urne et on note ‡ le numéro qu’il porte.
@A un repère orthonormé direct de l’espace. On y considère les vecteurs Š
Soit >, [A, \A, ^ @A H; 1; 1 H et
œA ‡ 5; 1; 4 ‡ .
1-a) Montrer que Š @A vectoriel œA est égal à H ‡ 5 Ì @@A où Ì
@@A est un vecteur à déterminer.
b) Trouver une relation entre H et ‡ pour que les vecteurs Š @A et œA soient colinéaires.
2-a) Dans le cas où Š @A et œA ne sont pas colinéaires, déterminer l’équation cartésienne du plan ‹ passant par
K 2, 1, 3 et de vecteurs directeurs Š @A et œA.
b) Montrer que la probabilité pour que ces vecteurs soient colinéaires est 1/4.
Partie II
Deux joueurs K et x jouent à un jeu constitué d’un certain nombre de parties identiques décrites ci-après :
Au cours d’une partie, chaque joueur effectue le tirage décrit en I-. Si K obtient des vecteurs colinéaires et x
non, alors K gagne la partie et le jeu s’arrête. Si non, si x obtient des vecteurs colinéaires et K non, x gagne la
partie et le jeu s’arrête. Dans tous les autres cas les joueurs entreprennent une nouvelle partie, le jeu continue.
Soit K+ l’événement : « A gagne la nième partie »
x+ l’événement : « B gagne la nième partie »
_+ l’événement : « le jeu continue ».
1- Calculer les probabilités { K ; { x ; { _ .
2- Exprimer { _+ en fonction de { _+, puis en fonction de .
3-a) Exprimer { K+ en fonction de { _+, puis en fonction de .
b) Calculer lim { K+ .
+→ ¿
c) Déterminer le plus petit entier # tel que { K+# & 10, .
EXERCICE 2 :
g 2Í
définie sur ) 1 ; ∞( par : " .# 31 et _ sa courbe représentative
»
I- Soit la fonction numérique
dans le plan muni d’un repère orthonormé >, [A, \A .
2 ,
1-a) Démontrer que : ∀" ∈ (0 ; ∞(, & " & g
1.
g
v g
" et de quand " tend vers ∞. Que peut-on dire de la courbe _ ?
g
b) En déduire la limite de
2-a) Démontrer que : ∀" ∈ ) 1 ; 0), ln " 1 & " & g ln " 1 .
b) En déduire la limite de en 1.
3- Etudier le sens de variation de la fonction puis dresser son tableau de variation.
4-a) Déterminer une équation de la tangente e à _ au point d’abscisse 0.
b) Démontrer que : ∀1 • 1, » 1 1 % 0.
c) En déduire la position de _ par rapport à e puis tracer _ dans le repère >, [A, \A .
2
"
g
II- Soit la fonction définie par : .
1-a) Etudier le sens de variation de sur (0, ∞(.
24 + 2 45
b) Puis en déduire que : ∀ ∈ *T, + & .+ 1 31 &
+
.
+
2-a) Montrer que l’équation " .+ 1 31 admet dans ( ; 1) une unique solution ∝+ .

∝
b) Montrer que la suite 6 +4 9 est une suite convergente dont on précisera la limite.
+ #
Problème :
Partie A
Le plan < est rapporté au repère orthonormé >, *, º . On considère les points K ,` ,`
et x ` ` où ] est un
réel non nul. Soit ` l’application affine du plan telle que : ` 0 0, ` *à K et ` º x.
1-a) Montrer que ` est une transformation affine.
b) Soit ` : D hg ↦ D′ hG gG
l’application affine d’expression analytique :
" G
1 ] " ]V
V G
]" 1 ] V
Montrer que les applications ` et ` sont égales.
c) Comparer ,` et l’application réciproque de ` notée `, .
2- On considère l’application L` de < dans *= qui, au point D hg associe le réel 1 ] " 1 ] V .
a) Démontrer que : ∀] ∈ *= , L,` ο fÒ L` .
∗
b) En déduire l’application L` ¯ ,` .
3-a) On note _ `,a l’ensemble des points D du plan tels que L` D ^, ^ ∈ *=.
Démontrer que ` ª_ `,a « _ ,`,a .
b) Représenter sur le même graphique _6, Ê ,Ó 9 et sa transformée par ,
Ê .
· · ·
c) H étant un réel strictement positif, déterminer suivant les valeurs de ] la nature de _ `,C .
4- A chaque réel ], on associe la droite ‰` d’équation 1 ] " 1 ] V 0.
Montrer que : ∀ ] ∈ *=, la droite ‰` n’a jamais la direction du vecteur Š @A [A \A.
5- Soit ;` la symétrie d’axe ‰` et de direction Š @A qui, à tout point D h on associe D′ hG
g gG
.
a) Montrer que l’expression analytique de ;` est : " G
]" 1 ] V
V G
] 1 " ]V
b) Montrer que _ `,a est globalement invariant par ;` .
c) Donner les éléments caractéristiques de ` ¯ ;` .
d) On note ; ` ¯ ;` , montrer que l’écriture complexe associée à ; est : I ↦ I̅.
Partie B
√t
Soit l’application du plan dont l’écriture complexe est : I ↦ 6 9 I̅.
1-a) Montrer que est involutive.
b) Montrer que ¯ ; est une rotation dont on donnera les éléments caractéristiques où ; est l’application
définie en A5-c.
2- On considère l’application qui à tout point D d’affixe I associe le point D′′ d’affixe I′′ tel que :
√t
I GG 6 9 I̅ √3 3.
a) Montrer que e ¯ où e est une translation dont on précisera le vecteur œA.
b) Déterminer l’écriture complexe associée à ¯ e ; que peut-on dire de e ¯ 1 ¯ e ?
3- ∀ ∈ *T ∗ ∖ j1l, on note ¯ ¯ … … … ¯ +
composée de fois.
a) Donner la nature des applications +
1 +
puis caractériser + .
b) Mettre sous forme trigonométrique l’affixe I# de + 0 .


EXERCICE 1 :
Soit _ l’ensemble des fonctions numériques continues sur *= ∗ . Pour tout de _ , on définit la fonction …
g v »
sur *= par … "
∗
.tg » 31.
1- Montrer que … est dérivable sur *= ∗ puis calculer sa fonction dérivée …′.
2-a) Montrer que si est une fonction constante alors … est aussi une fonction constante puis définir … dans
ce cas.
b) Définir la fonction … pour : 1 ↦ . Dans la suite de l’exercice est la fonction : 1 ↦ op 1.
»
r r
3-a) Déterminer les signes de … 6 9 1 … 6 9.
w
v »
b) Montrer que pour tout 1 de *= ∗ , & et que … est une fonction bornée.
» »
c) Démontrer que pour tout " de *= , ∗
" & ".
Í
g µ°+
d) Démontrer que pour tout " de *= ∗ , … " 3 2 .tg
»
31 et que 0 & … " 3 & 2" .
En déduire la limite de … à droite en 0.
4-a) Etablir, en utilisant la méthode d’intégration par parties que ∀" ∈ *= ∗ ,
tµ°+g,µ°+tg
Õ… " tg
Õ & tg et en déduire la limite de … en ∞.
sÈÉµgµ°+ g
b) Montrer que ∀" ∈ *= ∗ , … G " g
.
5- Soit … la restriction de … à )0; 2N).
a) Dresser le tableau de variation de … .
r r
b) Montrer que l’équation " ∈ u w ; q , … " 0 admet une unique solution.
EXERCICE 2 :
Le plan complexe est rapporté au repère orthonormal >, Š
@A, œA (unité graphique : 2 o†).
Soit K# le point d’affixe 2 et K′# le point d’affixe 1 √3 et K le milieu du segment (K# K′# ). Plus
°√t
généralement si K+ est un point d’affixe I+ on désigne par K′+ le point d’affixe 6 9 I+ et par K+ , le
milieu du segment (K+ K′+ ). On note ¾+ et L+ , le module et l’argument de I+ .
1- Déterminer les affixes des points K ; K′ ; K 1 K′ .
2-a) Pour tout entier naturel , exprimer I+ en fonction de I+ .
En déduire l’expression de I+ en fonction de .
Montrer que K+ est l’image de K+ par une similitude directe dont on précisera les éléments caractéristiques.
b) Etablir les expressions de ¾+ et L+ en fonction de .
c) Déterminer la limite de ¾+ lorsque tend vers ∞, puis interpréter géométriquement le résultat obtenu.
d) Comparer les modules et les arguments de I+ et I+ w .
√t
3-a) Etablir que K+ K+ K+, K+ .
b) Déterminer en fonction de , la longueur 3+ de la ligne brisée K# K … … . . K+, K+ .
c) Calculer la limite de 3+ lorsque tend vers ∞.
Problème :
Dans ce problème, on se propose d’étudier l’ensemble Γ des points de l’espace équidistants de deux droites
‰ et ‰G non coplanaires et orthogonales.
Partie A

1-a) Donner une condition nécessaire et suffisante qu’une symétrie orthogonale par rapport à un plan Ç laisse
invariante une droite donnée.
b) Démontrer qu’il existe deux symétries orthogonales par rapport à un plan et deux seulement qui laissent
simultanément invariantes les droites ‰ et ‰G .
On note < le plan contenant la droite ‰ et orthogonale à ‰G en x. <G le plan contenant la droite ‰G
et orthogonale à ‰ en A.
2-a) Déterminer l’intersection des plans < et <G .
b) Soit Š
@A et œA des vecteurs directeurs de ‰ et ‰G respectivement.
Que peut-on dire de la droite Kx et du vecteur Š @A ∧ œA ?
3- Montrer que Γ admet les plans < et < comme plans de symétrie et la droite Kx comme axe de
G
symétrie.
4- Montrer que l’intersection de Γ avec l’un quelconque des plans < et <G est une parabole dont on
précisera le foyer et la directrice.
@A .
Dans la suite, l’espace est rapporté à un repère orthogonal >, [A, \A, ^
Partie B
La droite ‰ passe par le point K de coordonnées 0, 0, 1 et admet comme vecteur directeur Š @A tel que
Š
@A [A \A. La droite ‰ passant par x de coordonnées 0, 0, 1 et admet comme vecteur directeur œA tel
G
que œA [A \A.
1-a) Vérifier que ‰ et ‰G sont orthogonales et non coplanaires. Montrer que le point > appartient à Γ .
b) Montrer qu’une représentation paramétrique de ‰ est : " 1
V 1, 1 ∈ *=
V 1
Soit D un point de coordonnées ", V, I et ‹ un point de ‰ .
Exprimer D‹ . Soit la fonction : 1 ↦ D‹ , en déduire la distance de D à ‰ .
c) Calculer de même la distance du point D à la droite ‰G .
d) En déduire que D appartient à Γ si et seulement si on a : "V 2I 0.
2- Déduire de cette relation :
a) Que les intersections de Γ avec le plan orthogonal à la droite Kx sont en général des hyperboles.
Préciser le cas d’exception.
b) La nature des intersections de Γ avec les plans orthogonaux à l’axe >, [A ou à l’axe >, \A .
Partie C
Soit D 1 le point de Γ d’abscisse " 1 et d’ordonnées V 1 dans le repère >, [A, \A, ^ @A avec " 1 4op 1
et V 1 21.
Lorsque 1 varie sur *=, le point D décrit une courbe _ incluse dans Γ .
1-a) Montrer que la courbe _Ö projeté orthogonal de _ sur le plan d’équation I 0 a pour représentation
paramétrique : " 1 4op 1
V 1 21 1 ∈ *= dans le repère >, [A, \A .
b) Etudier les positions des points D 1 et D N 1 .
c) Construire _Ö . On prendra 2 o† comme unité.
2- On désigne par _g le projeté orthogonal de _ sur le plan d’équation " 0 et par _h le projeté
orthogonal de _ sur le plan d’équation V 0.
Construire ces courbes après avoir donné une représentation paramétrique de chacune d’elles.
Une étude préalable de leurs éventuels éléments de symétrie facilitera leur étude et leur construction.


EXERCICE 1 :
Soit † un entier relatif. On considère " et V les entiers relatifs et l’équation U× : 24" 9V †.
1- Préciser la condition nécessaire et suffisante sur † pour que l’équation U× ait des solutions.
2- On suppose † 3. Résoudre l’équation U× .
3- On suppose † 3Ø Ø ∈ Ù .
Trouver en fonction de Ø toutes les solutions de l’équation U× .
4- En utilisant la question 3, déterminer tous les entiers relatifs solutions du système de congruences
≡ 20 (24)
≡ 5 (9)
(S)
EXERCICE 2 :
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct >, Š @A, œA . Soit * et º les points du plan tels que
@@@@A Š
>* @@@@A œA. On note Û le point du plan tel que >*Ûº soit un carré. D, un point quelconque de la droite
@A et >º
>Û différent de > et ; la similitude plane directe de centre * qui transforme > en D. On note †, l’affixe du
point D, º′ et D′ les images respectives de º et de D par ;.
1- Montrer que |† 1| |† | et que les complexes 1 † 1 † et † 1 sont des réels non nuls.
(On pourra utiliser † 1 1 où 1 est un réel non nul).
2-a) Déterminer le rapport de ;.
b) Exprimer D′º′ en fonction de †. Montrer que DG * |† 1| .
c) En déduire que DG * D′º′.
3-a) Démontrer que l’écriture complexe de la similitude ; est : I G 1 † I †.
@@@@A et D′º′
En déduire que les vecteurs ºº′ @@@@@@@@A ont pour affixes respectives † 1 et 1 † 1 † .
b) Prouver alors que º′ est le projeté orthogonal de D′ sur la droite ºÛ .
g
c) Montrer que le repère >, Š
@A, œA le point D′ appartient à la courbe < d’équation V " lorsque le
point Ddécrit la droite >Û privé du point >.
4- Placer toutes les données précédentes sur la figure et tracer la courbe < .
Problème :
Partie A
g,+
+ définie sur *=\j 2l par : + " ,g,
g +
désigne un entier naturel. On considère la fonction .
1- Déterminer le sens de variation de + puis dresser son tableau de variation.
2-a) Démontrer par récurrence que, pour tout de *T, + • 2 3.
En déduire le signe de + 1 .
b) Montrer que l’équation + " 0 admet deux solutions dont une positive notée Š+ appartenant à
( ; 1).
•
3- Calculer les limites Š+ et + 4 lorsque tend vers ∞.
Partie B
Dans cette partie, on prendra 0 et on note # et Š# Š.
On désigne par _ la courbe représentative de dans un repère orthonormé >, [A, \A d’unité graphique 1 o†.
1- Déterminer une équation de la tangente e à _ en son point d’abscisse 1.
2-a) Déterminer un encadrement d’amplitude 10, de Š.
b) En déduire la solution de l’équation " ∈ (0 ; ∞(, " 1 0 en fonction de Š.
3- Tracer e et _ sur la même figure.

4- Calculer en o† l’aire du domaine plan limité par e , _ et la droite d’équation " 0.

Partie C
On rappelle Γ la courbe représentative de la fonction " ⟼ g et Υ la courbe représentative de la fonction
" ⟼ ".
1- Dessiner Γ et Υ sur la figure précédente.
2- Démontrer qu’il existe un unique point D# appartenant à Υ tel que la tangente à Υ en ce point passe par
>. Donner les coordonnées de D# .
En déduire le nombre de tangentes à Γ passant par >.
3- Soit eC la tangente à Γ au point K d’abscisse H. H ∈ *= ; ‰` la tangente à Υ au point Û d’abscisse
] ] • 0 .
a) Déterminer une équation de eC et une équation de ‰` .
b) Déterminer ] en fonction de H pour que les droites eC et ‰` soient parallèles.
On notera ‡ la valeur de ] ainsi obtenue, x est le point de Υ d’abscisse ‡ et ‰¥ la tangente correspondante.
c) e, et ‰¥ peuvent-elles être confondues ?
C,
Montrer que eC et ‰¥ sont confondues si et seulement si ‡ ,C ,C
C
et .
g,
4- Montrer que l’équation " 1 0 si et seulement si g g
1.
g,
" g
g
5- On pose .
a) Démontrer que l’équation, " ∈ (p ; ∞(, " 1 admet une unique solution Ý dans (1,5 ; 1,6).
Exprimer Ý en fonction de Š.
b-i) Pour tout réel ", différent de 1 et de 1, calculer le produit " . " .
g,
ii) Déduire des questions précédentes que l’équation " ∈ *=, ,g
g
admet deux solutions supposées.
iii) Déterminer les tangentes communes aux courbes Γ et Υ .
iv) Tracer ces tangentes dans le repère précédent. On prendra Ý 1,55.
6- Soit K le point d’abscisse Ý de la courbe Γ , eÞ est donc tangente à la courbe Γ au point K et tangente
Þ,
à la courbe „ au point x d’abscisse Þ .
a) Donner les ordonnées des points K et x.
b) En utilisant la C-3-c), montrer que eÞ et e,Þ sont symétriques par rapport à la droite Δ d’équation
V ".
c) En déduire les coordonnées des points de contact de Γ et Υ avec e,Þ .

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BAC C TOGO 2010-2020 TERMINALE S MATHEMATIQUES

Auteur : ALLOH Yaovi Robert

©2020 La connaissance est une force (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2010

I.1- Etudier la continuité et la dérivabilité de , et au point "# 0.

© La connaissance est une force 1 (+228) 92 60 69 35

© La connaissance est une force 2 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2011

© La connaissance est une force 3 (+228) 92 60 69 35

© La connaissance est une force 4 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2012

© La connaissance est une force 5 (+228) 92 60 69 35

© La connaissance est une force 6 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2013

a) Justifier que, pour tout entier naturel , D+ ∈ Г.

© La connaissance est une force 7 (+228) 92 60 69 35

© La connaissance est une force 8 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2014

© La connaissance est une force 9 (+228) 92 60 69 35

b) Construire dans les mêmes repère >, [,

© La connaissance est une force 10 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2015

© La connaissance est une force 11 (+228) 92 60 69 35

Prouver que pour tout élément " de q0, u ; – " … N … N 1 " .

© La connaissance est une force 12 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2016

© La connaissance est une force 13 (+228) 92 60 69 35

1- Etudier la continuité et la dérivabilité de en 0.

© La connaissance est une force 14 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2017

© La connaissance est une force 15 (+228) 92 60 69 35

© La connaissance est une force 16 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2018

© La connaissance est une force 17 (+228) 92 60 69 35

© La connaissance est une force 18 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2019

© La connaissance est une force 19 (+228) 92 60 69 35

© La connaissance est une force 20 (+228) 92 60 69 35

BAC TOGO Serie C Session 2020

© La connaissance est une force 21 (+228) 92 60 69 35

4- Calculer en o† l’aire du domaine plan limité par e , _ et la droite d’équation " 0.

© La connaissance est une force 22 (+228) 92 60 69 35

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