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Le cortex moteur :
Somatotopie (de l’extérieur vers l’intérieure) : visage, main, membre supérieur, tronc,
membre inférieure.
Cellule pyramidale.
Décussation de croisement :
85% des fibres décussent : faisceau pyramidal croisé.
Pour la motricité il n’y a pas d’interneurone : contact direct entre cellule pyramidale et
motoneurone α.
Motricité de la face :
Décusse.
Passe par les noyaux moteurs des nerfs crâniens (exemple : noyau du VII) où il y a relais
avec un motoneurone α.
Déficit : dans la saisie dans objet entre les doigts (très maladroit).
Toujours capable d’avoir une motricité du reste du corps (assis, debout, marche, etc.).
Le faisceau pyramidal est donc le seul à intervenir sur les mouvements indépendants des
doigts.
4. Le cervelet
Rappels morphologiques : anatomiques et histologiques
Couche moléculaire.
Couche des cellules de Purkinje : seul neurone dont l’axone qui sort du cortex.
Sort du cortex cérébelleux mais ne sort pas du cervelet. Les cellules qui sortent en
dehors du cervelet sont les neurones partant des noyaux cérébelleux.
Couche granulaire : interneurone (axone ne sort pas du cortex). Neurone (cellule en grain)
dont l’axone se sépare en deux dans la couche moléculaire.
Autres cellules (dont on s’en moque) qui sont des interneurones : cellules en panier, cellule
en étoile, cellule de Golgi.
Fibres moussues :
Arrivent de moelle épinière ou hémisphère cérébraux.
Fibres grimpantes.
Afférences cérébelleuses
Deux groupes :
Afférences médullaires.
Afférences vestibulaires.
Elles passent sur deux voies différentes : faisceau directe et faisceau indirect.
Neurone en T (corps cellulaire dans le ganglion rachidien) qui fait relais dans la corne
postérieure de la moelle épinière.
Entre dans le cervelet par le pédoncule cérébelleux inférieur et projette sur le cortex
cérébelleux ipsilatéral.
Neurone en T (corps cellulaire dans le ganglion rachidien) qui fait relais dans la moelle
épinière.
Entre dans le cervelet par le pédoncule cérébelleux supérieur et projette sur le cortex
cérébelleux ipsilatéral (car les fibres croisent à nouveau).
Faisceau indirect (pas de réelle somatotopie) font relais avant de projeter sur le cortex
cérébelleux :
Noyau réticulaire latéral : structure importante qui reçoit des informations médullaires et
projette sur le cervelet.
Olive bulbaire : structure importante qui reçoit des informations médullaires et projette
sur le cervelet.
N.B. : toutes les cellules amenant des informations au cortex cérébelleux sont sous forme
de fibres moussues.
Afférences vestibulaires :
Afférences indirecte : font relais dans les noyaux vestibulaires et projettent sur le lobe
flocculo-nodulaire (et aussi sur la région vermienne).
Afférences corticales :
Voie cortico-ponto-cérebelleuse.
Voie cortico-olivo-cérebelleuse.
Voie cortico-ponto-cérebelleuse :
Au niveau du pont elles émettent des collatérales qui font relais dans les noyaux du pont.
Ces cellules de Purkinje projettent sur les noyaux cérébelleux profond (noyaux dentelé,
fastigial et interposés).
Voie cortico-réticulo-cérébelleuse :
Ces cellules de Purkinje projettent sur les noyaux cérébelleux profond (noyaux dentelé,
fastigial et interposés).
Voie cortico-olivo-cérébelleux :
Les cellules de Purkinje projettent sur les noyaux cérébelleux profond (noyaux dentelé,
fastigial et interposés).
Efférences cérébelleuses
Ces deux structures ont des projections descendantes sur les motoneurones de la moelle.
Petit tuyau dans la voute crânienne dans lequel on peut descendre où l’on veut des
microélectrodes (noyau dentelé, noyau caudé, etc.).
Flexion : biceps actif trop longtemps, encore actif une fois la flexion finie.
Extension : triceps actif trop longtemps, encore actif une fois l’extension finie.
Le singe tient une manette dans ses mains qui est tirée vers le bas, il doit ensuite la remettre à la
position normale (la remonter).
Enregistrement de contrôle :
Activité du biceps dès que la manette est tirée ce qui permet de remonter la main.
Activité du biceps dès que la manette est tirée ce qui permet la remontée.
Activité du triceps survient très tardivement, une fois que l’animal a finie la remontée. Le
mouvement va donc trop loin.
On le retrouve également chez les patients atteint d’un syndrome cérébelleux : ils loupent
leur cible dysmétrie dans le sens d’une hypermétrie.
Le cervelet latéral intervient dans le programme moteur donc pour les mouvements
balistiques et les mouvements lents.
Rôle de comparateur : comparer une copie du programme moteur qu’il reçoit avec les
informations sensitives médullaires et qui lui permettent de vérifier si le programme
moteur à bien était effectué.
Le cervelet intermédiaire n’intervient donc que dans des mouvements de type ramp lent
(sous le système de boucle fermé).
Refroidissement du noyau interposé : mouvement pas adapté, maladroit car il n’y a plus de
comparaison avec le programme moteur.
Le syndrome cérébelleux
Station debout :
Ces troubles ne sont pas augmentés par la fermeture des yeux (en effet trouble
moteur et non sensitif).
Dysmétrie : le plus souvent dans le sens d’une hypermétrie (va trop loin) et peu quelque
fois se faire dans le sens d’une hypométrie. Due à un trouble du programme moteur.
Se caractérise par une hypotonie avec un reflexe pendulaire (reflexe pendulaire en avant,
en arrière, en avant en arrive comme une pendule).
Le cervelet (notamment cervelet intermédiaire et olive bulbaire) joue un rôle capital dans
les processus de mémorisation des actes moteurs (apprendre à nager, faire du vélo, etc.).
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