La divinité du Messie

Dans son article, Henri Blocher, déploie en grandes lignes le chapitre 9 du livre d’Ésaïe,
pour être bien précis, les versets 1 à 6 en disent d’une naissance spéciale, à son temps et
aussi au nôtre.
Ésaïe, contemporain du roi Ahaz, lance une riposte péremptoire au royaume de celui qui
s’est éloigné de l’Éternel, un enfant était promis, mais pas seulement une postérité simple
et passagère, son royaume accomplira le dessein de Dieu, pour toute l’humanité.
La joie annoncée par le prophète, montre la résolution des temps des ténèbres, comme le
jour dont Gédéon a vaincu les ennemis madianites, la promesse portera le joug avec res-
ponsabilité, marquant la fin de la peine, ainsi inaugurant un nouvel exode. Le trône de Da-
vid ne restera pas vide, mais ce n’est pas Ézéchias en question, la profondeur mise en cause
est plus étendu que la naissance d’un garçon d’une dynastie, c-à-d un rôle eschatologique
était placé dans la prophétie, l’enfant il sera le Messie, aussi l’Emmanuel (avec-nous-Dieu)
la jonction entre le divin et humain, dans une seule personne et son royaume sera perpétue,
il rassemblera les nations et jugera par la justice et paix.
Jésus est l’exécution du plan divin, le Fils de Dieu, en lui se trouve la réalisation de la pa-
role d’Ésaïe 9, on n’a pas besoin de se coincer dans un seul verset justement, mais en re-
gardant la nature de chaque mot employé mise en corrélation avec les faits et accomplisse-
ments du NT aucun parmi les êtres humains était capable de réunir en soi-même tous les
attributs déclarés par le prophète, les attributs divins annoncé dans le passé, car l’AT c’était
comme le temps préparatoire des événements pour cela, qui a vu le jour dans la personne
de Jésus et qui reviendra dans sa plénitude.