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Dossier de consultation
AO N°
SOMMAIRE
A. INDICATIONS GENERALES........................................................................................................................................... 5
ARTICLE 100 : CHAMP D'APPLICATION...........................................................................5
ARTICLE 101 : DISPOSITIONS GENERALES....................................................................5
101.1 OBJET DU MARCHÉ........................................................................................5
101.2 CONCEPTION GENERALE DE LA STATION :..........................................5
101.3 DESCRIPTION DETAILLEE DES TRAVAUX :...........................................8
ARTICLE 104 : ORGANISATION DU CHANTIER.............................................................60
104.1 Bureaux du Maître d'Œuvre.................................................................................60
104.8 Implantations – piquetage – tolérances................................................................60
104.8.1 Avant le début des travaux................................................................................60
104.8.2 Pendant les travaux..........................................................................................60
104.8.3 Après l’achèvement des travaux.......................................................................60
ARTICLE 106 : PREPARATION DU DOSSIER D’EXECUTION........................................61
106.1 Documents techniques existants..........................................................................61
106.5 Etudes et dossiers d’exécution........................................................................61
106.5.6 Etude géotechnique complémentaire...............................................................62
106.5.7 Stabilité et étanchéité des lagunes..................................................................62
106.6 Plan Assurance Qualité (PAQ)........................................................................63
ARTICLE 107 : EXECUTION DES TRAVAUX...................................................................64
ARTICLE 108 : MATERIAUX, EQUIPEMENTS ET FOURNITURES................................64
108.1 Définitions........................................................................................................64
108.2 Réception et stockage des équipements sur le chantier..................................65
108.15 Etablissement des Etudes et des Plans d'Exécution des Equipements...........65
ARTICLE 109 : REGLEMENTATION ENVIRONNEMENTALE EN VIGUEUR..................65
109.2 Mesures environnementales et sociales à intégrer dans les offres techniques et
financières..................................................................................................................... 65
B. TERRASSEMENTS....................................................................................................................................................... 66
ARTICLE 201 : TRAVAUX PREALABLES AUX TERRASSEMENTS...............................66
201.5 Reconnaissance des réseaux existants...........................................................66
ARTICLE 203 : EXECUTION DES DEBLAIS POUR LES BASSINS.......................................66
203.1 Déblais................................................................................................................. 66
203.4 Décapage........................................................................................................ 66
203.5 Profils et talus..................................................................................................67
ARTICLE 205 : MATERIAUX UTILISES EN REMBLAIS...................................................67
205.4 Matériaux de remblais des tranchées pour canalisations.................................67
205.4.2 Caractéristiques du matériau pour pose de conduites :.....................................67
Remblai Primaire :......................................................................................................... 67
Remblai secondaire :.....................................................................................................67
205.6 Matériau de remblais principal pour les digues de bassins..............................68
ARTICLE 206 : FOUILLES POUR CANALISATIONS ET OUVRAGES.............................68
206.2 Ouverture des fouilles......................................................................................68
206.2.2 Largeur et fond de fouille des tranchées pour canalisations..............................68
206.2.4 Sur-profondeur..................................................................................................69
ARTICLE 209 : EXECUTION DES BASSINS DE LA STEP..............................................69
A. INDICATIONS GENERALES
Le projet d’Hors site de dépollution du parc industriel Agropole de Berkane et les centres avoisinants : Laatamna et Madagh,
vise à mettre à mettre en place une infrastructure globale d’assainissement liquide comprenant les travaux suivants :
La réalisation de la conduite de transfert d’eau usée brute des centres Laatamna et Madagh et les eaux prétraitées
de l’Agropole de Berkane à la station d’épuration (STEP) projetée,
La construction d’une station d’épuration mutualisée d’Agropole et des 2 centres (Laatamna et Madagh) y compris le
relevage à l’entrée par une station de pompage projetée.
La réalisation de la conduite de transfert des eaux traitées de la STEP au point de rejet (Oued Moulouya).
La réalisation des travaux est répartie en 2 lots suivants :
Lot1 : Conduites de transfert d’eau brute à la STEP et conduite de rejet
Lot2 : Station d’épuration (STEP).
Il est à préciser que la station de relevage (d’eau usée brute), prévue en tête des ouvrages de la STEP fait partie du lot2.
Les travaux de mise en place d’ouvrages de transfert des eaux usées des deux centres (Laatamna et Madagh) jusqu’à
Agropole font partie d’un autre projet, ils seront lancés dans des appels d’offres séparé.
Le présent marché a pour objet la réalisation des travaux décrits à l’Article 101.2 et 101.3 ci-après, relatifs à la station
d’épuration en lagunage aéré à fines bulles.
Site de la STEP :
Le site de la future STEP du parc Agropole de Berkane et les centres de Laatamna et Madagh se trouve à 2,7km à l’Ouest du
parc Agropole. Il est accessible par une piste publique longeant le canal de colature du périmètre irrigué. La superficie de la
STEP en tenant compte des extensions futures s’élève à 8,4 ha.
Les données géotechniques du site de la future STEP a fait l’objet d’une reconnaissance géotechnique. Les résultats de la
campagne de reconnaissance sont présentés en annexe.
N.B : Il est à signaler que cette analyse est donnée à titre purement indicatif et que l’entreprise doit réaliser ses
propres sondages de reconnaissance au droit des ouvrages pour avoir plus de détails concernant la nature et les
caractéristiques géotechniques du sol en place.
Données de base :
Le procédé d’épuration retenu est le lagunage aéré complètement mélangé. Les ouvrages sont conçus et dimensionnés pour
traiter les débits et charges polluantes de la première tranche des eaux prétraitées du parc Agropole de Berkane et les débits
à l’horizon 2030 pour les centres de Laatamna et Madagh.
Les principales données de base du projet sont récapitulées dans le tableau suivant :
Total
désignation Agropole Madagh et Laatamna (2030)
1ère phase (2030)
superficie ha 57 - -
débit m3/j 940 610 1550
Charge en DBO5 Kg/j 392 383 775
Charge en DCO Kg/j - - 1550
Charge en MES Kg/j - - 736
Objectifs de qualité :
Les eaux épurées, à la sortie de la station, doivent respecter les concentrations maximales suivantes conformes à la norme
marocaine relative aux déversements d’eaux usées domestiques dans un milieu récepteur :
- DBO5 < 70 mg/l;
- DCO < 200 mg/l;
- MES < 25 mg/l.
La responsabilité de l'entrepreneur n'est pas engagée en ce qui concerne les performances épuratoires de la station toute
entière. Néanmoins, outre sa responsabilité pour les aspects constructifs, la fonctionnalité et la qualité des ouvrages et
installations qu’il a réalisés, l’entrepreneur est responsable :
- Les performances et les garanties sur son système d’aération, siccité des déchets de dégrillage et réduction des
volumes de dégrillats ;
- Les performances des équipements de prétraitement compacte, filtration à sable et désinfection par UV
Les travaux projetés, objet du présent appel d’offres, sont comme suit :
Ouvrages d’arrivée :
- Réalisation d’un regard servant de trop plein à la station de pompage et by-pass général à la STEP;
- Conduite d’amenée des eaux usées brutes depuis ce regard jusqu’à la chambre de dégrillage en amont de la station
de relevage ;
Station de relevage des eaux usées brutes :
- Réalisation de GC et équipement de dégrillage préliminaire, de 10mm d’espacement libre entre barreaux, en amont
des pompes de relevage ;
- Réalisation de GC et équipement d’une station de pompage pour relevage des eaux usées vers le prétraitement
compact;
Prétraitement:
- L’installation d’un ensemble fonctionnel de prétraitement comprenant 02 unités compactes fonctionnant en parallèle
et comportant chacune un dégrillage fin, un déshuilage et dessablage aérés complets ;
Aménagement des bassins d’épuration biologique:
- Réalisation en 02 files parallèle d’épuration biologique par aération :
02 bassins CM1-1 et CM1-2 complètement mélangés ;
02 bassins constitués chacun d’une 1ère tranche complétement mélangé CM2-1 et CM2-2 et d’une 2ème
tranche partiellement mélangée PM2-1 et PM2-2 ;
02 bassins de décantation D-1 et D-2 ;
- Fourniture et installation des équipement d’aération par fines bulles : suppresseurs et réseau de distribution d’air;
Traitement tertiaire et désinfection de l’eau épurée:
- Réalisation de GC et équipement de 04 files de filtre à sable à flux ascendant avec rétro-lavage ;
- Réalisation de GC et équipement d’une unité de pré-chloration en amont des filtres à sable ;
- Réalisation de GC et équipement de station de relevage pour alimentation des filtres à sables;
- Réalisation de GC et équipement d’une unité de désinfection par UV;
Répartiteurs d’eau :
- Réalisation du répartiteur RP0 en amont des 02 unités compactes de prétraitement ;
- Réalisation du répartiteur RP1 pour alimentation des 02 bassins CM1-i ;
- Réalisation du répartiteur RP2 pour alimentation des 02 bassins CM2-i ;
- Réalisation du répartiteur RP3 pour alimentation des 02 bassins D-i ;
- Réalisation du répartiteur RP4 pour alimentation et mise ne charge des 04 filtres à sable ;
- Réalisation du répartiteur RP5 pour alimentation des 02 réacteurs UV (1er projeté dans présent marché et 2ème en
tranche ultérieure) ;
Mesures de débit :
- Installation d’un débitmètre électromagnétique en aval des unités compactes de prétraitement;
- Installation d’un débitmètre électromagnétique en aval des ouvrages du traitement tertiaires;
Lits de séchage des boues :
- Réalisation de 06 lits de séchage naturel des boues lors de curage des bassins de décantation en phase
d’exploitation ;
Construction de bâtiments :
- Bâtiment d’exploitation, loge de gardien, local des surpresseurs, local des armoires de commande, cabine pour
transformateur électrique, local de groupe électrogène…
Acquisition et installation de matériel et appareillage de mesure et d’exploitation :
- Fourniture d’outillage de mesure : échantillonneurs, débitmètres d’air, oxymètres, PH-mètre, conteneurs à ordure …
Aménagement divers :
- Réalisation de la piste d’accès principale (depuis le portail) et le parking avec revêtement bicouche
- Réalisation de la piste de circulation en tout venant sur les digues des bassins et aux abords des lits de séchage;
- Alimentation en eau potable ;
- Electrification par installation de transformation électrique sous cabine de 160 KVA ainsi qu’un groupe électrogène
de secours;
- Réalisation d’une clôture périphérique grillagée avec portail et portillon d’accès ;
- La conception et réalisation d’un système de télésurveillance de la STEP;
- Aménagement d’espaces verts par arbustes, gazon et plantes grasses ;
- La réalisation d’un système d’arrosage par les eaux épurées…
Une vanne murale DN400mm en acier inox 316L est à installer dans ce regard sur la conduite de départ DN400mm pour
permettre de by passer la station de relevage en cas de besoin.
Dans le but d’éviter la surcharge et le colmatage très fréquent du dégrillage fin prévu au niveau de l’unité compacte de
prétraitement, un système de dégrillage moyen est prévu en amont de cette unité et constitué de :
- Un dégrilleur automatique d’entrefer de 10mm abrité dans un canal en béton armé en aval du regard d’arrivée ;
- Un panier dégrilleur de secours d’entrefer de 15mm abrité dans un canal en béton armé parallèle à celui du
dégrilleur principal ;
Il est de type à grille droite et à nettoyage automatique et installé dans un canal en béton armé de largeur de 0.90m.
La grille est en acier inox 316 L de largeur de 800 mm.
L’isolement du dégrilleur automatique, en cas de besoin, est possible via une vanne murale DN400mm qui permet de dévier
l’eau vers le panier dégrilleur de secours.
Il servira comme dégrillage de secours en cas de panne ou surcharge du dégrilleur mécanique. Au colmatage au fermeture
de la vanne murale du dégrilleur automatique, l’eau débordera automatiquement dans le panier dégrilleur.
Pour ce, l’entreprise doit vérifier qu’en fonctionnement normal, le tirant d’eau en amont du dégrilleur automatique reste plus
bas que le niveau du seuil en béton alimentant le panier. Ce dernier n’est qu’un dégrillage de secours.
Le panier dégrilleur doit être conforme aux spécifications techniques de l’Article 508.4.3 du CCTG sauf dérogation comme
suit :
Entrefer : 15 mm
Largeur barreaux : 10 mm
Dimensions minimales du panier (net hors barres de guidage) Lxlx h : 0.7x0.6*0.6m.
Barres de guidage en acier inox 316L : diamètre minimal de 40 mm correctement encastrées aux voiles de façon à
éviter toute déformation et posée symétriquement au centre de gravité du panier supposé rempli de déchet pour
faciliter son enlèvement
Matériaux (panier, barre de guidage, chaine, …) en acier Inox 316L et boulonnerie en A4.
Désignation SR
Mode d’installation des GEP : (Article 505.1.3 du CCTG) Immergé sur pied d’assise
Génie civil
Les travaux de génie-civil des bâche devront satisfaire les spécifications techniques des Chapitres B et D du présent CCTP,
lesquels font respectivement référence aux Tomes 2 et 4 du CCTG.
En particulier la fosse, regard et chambre en contact avec les eaux usées ou l’atmosphère contaminée par celles-ci, seront
tous en béton armé avec les adjuvants nécessaires pour garantir leur étanchéité et résistance au gaz d’H2S. Ces bétons
seront lisses et bruts de décoffrage, seule une peinture spéciale de protection ou durcisseur à base d’époxy sera autorisé, les
enduits d’apports « collés » ne seront pas autorisés vu qu’ils sont généralement sensibles aux attaques des eaux agressives
et se détachent des parois et du fond, provoquant des dommages aux équipements de pompage et de refoulement.
L’Entrepreneur devra prévoir les coffrages lisses de qualité et une composition adéquate du béton, permettant d’atteindre
sans retouches la qualité exigée dans les finitions de surface des fosses, regards et chambres en contact avec les eaux
usées. Sauf accord écrit reçu du Maître d’œuvre ou son représentant avant le coulage du béton de structure, les phases de
coulage devront être étudiées et prévues pour inclure les bétons de pentes ou de forme directement dans le béton de
structure, sans apport ultérieur. Tous les joints de reprise entre deux phases de coulage devront être réalisés avec un joint
hermétique du type Water Stop ou similaire.
Les matériaux métalliques divers entrant dans la composition des stations de pompage devront répondre aux spécifications
de l’Article 501 du CCTG. Dans le présent marché, l’acier galvanisé n’est pas autorisé pour les éléments installés dans ou
pour couvrir les fosses, regards, chambres, ouvrages de répartition, etc., en contact avec les eaux usées ou avec
l’atmosphère contaminée par celles-ci. Les échelles et échelons répondront aux spécifications de l’Article 501.3 du CCTG.
Seuls les garde-corps situés en ambiance extérieure pourront être en acier galvanisé, ils devront satisfaire les spécifications
de l’Article 501.6 du CCTG.
Groupes électropompes
Les groupes électropompes, de type monobloc immergé sur pied d’assise, devront répondre aux spécifications techniques de
l’Article 505 du CCTG ; ils seront dimensionnés pour les débits, modes d’installation et type de protection prévus au tableau
ci-dessus.
Il est primordial de s’assurer que les passages libres des pompes soient inférieurs aux diamètres des colonnes montantes et
au diamètre d’éventuel débitmètre afin d’éviter le colmatage de ces équipements.
Système anti-bélier
Il n’est pas prévu d’anti-bélier pour cette station de relevage.
Mesures de niveaux
Le fonctionnement des pompes sera commandé et régulé par capteurs de niveau d’eau consistant en :
- Une sonde ultrasonique à monter dans la bâche. Lieu de montage doit être bien étudié pour assurer fiabilité des
mesures, assurer accès facile à la sonde et éviter encombrement avec les autres équipements ;
- En cas de panne de la sonde, des poires de niveaux sont prévue comme mesure de secours.
A titre indicatif, les différents de niveaux de commande des groupes sont récapitulés dans le tableau suivant :
Systèmes de manutention
Voir paragraphe n° 101.3.12 ci-dessus relatif au système de manutention des équipements de la STEP.
La première étape de traitement des eaux usées est le passage à travers un dégrillage automatique, puis un dessablage-
déshuilage. Cette étape sera assurée via deux unités compactes de prétraitement fonctionnant en parallèle et constituant un
ensemble fonctionnel qui regroupe les fonctions de dégrillage, dessablage et dégraissage en un unique ouvrage préfabriqué.
Le débit de pointe d’eau pour le dimensionnement de chaque unité est de : 150 m3/h (soit environ 42 l/s).
- Les graisses seront collectées dans un piège à graisse séparé du canal de dessablage par une cloison. Le dispositif
de raclage entraine la graisse flottée sur toute la surface du piège à graisse avec déchargement dans dans les
bennes à graisses ;
- Pour le dégrillage, la siccité des refus compactés du dégrillats doit être au moins de 30% et leur volume réduit après
compactage à 50% au moins ;
- L’ensemble des conduites, pièces et tôles métalliques doivent être en acier inox 316 L en boulonnerie en A4 ;
- Les équipements prévus doivent être conformes aux instructions de montage du fabricant respectif, de telle façon
que l’exploitation, la maintenance et le démontage éventuel en soient facilités.
Ces équipements sont donnés à titre indicatif, l’entrepreneur doit prévoir l’ensemble des équipements nécessaires au bon
fonctionnement de l’ouvrage de prétraitement (dégrillage automatique, dessablage-déshuilage automatiques) et adaptés à
son unité compacte proposé.
Deux (02) débitmètres électromagnétiques sont à installer dans le cadre du présent marché :
- Le 1er en aval des unités compactes de prétraitement pour la mesure du débit d’eau brute;
- Le 2ème en aval des ouvrages du traitement tertiaire pour la mesure du débit d’eau épurée;
Chacun d’eux sera installé dans un regard en béton armé comprendra l’ensemble de la tuyauterie, raccords et pièces
spéciales en Inox 316L (Fourniture, transport et pose) nécessaires à son installation conformément aux préconisations du
fournisseur, du présent CCTP et du CCTG à savoir :
- Toutes les pièces spéciales en inox 316L pour le raccordement amont sur la conduite issue des unités de
prétraitement ainsi que raccordement aval sur le répartiteur RP1: manchettes, joint de démontage, cône, élément
droit,
- L’alimentation en énergie électrique depuis les armoires électriques;
- Tous les autres accessoires nécessaires pour la bonne marche ;
- Le transfert du signal de mesure vers l’afficheur convertisseur à installer dans un coffret surélevée et étanche ;
- Le transfert du signal traité (débit instantané et cumulée) vers le système de télésurveillance ;
Il est constitué d’un capteur à brides de mesure électromagnétique à installer sur la conduite ainsi qu’un convertisseur-
afficheur avec mesures automatiques cumulées et instantanées à installer.
Le débitmètre électromagnétique sera livré avec tous les équipements et accessoires nécessaires (transmetteur, enregistreur,
supports et fixation etc.).
Les débits cumulés sont enregistrés automatiquement sur support informatique exploitable sur PC. Pour ce, l’entreprise
fournira et installera tout le matériel nécessaire y compris terrassement, remblai et fourniture et pose des câbles et
accessoires pour leur transmission par la suite vers le système de télésurveillance y compris passage sous tubage, buses,
caniveau, regards de tirage...
L’Entrepreneur vérifiera tout particulièrement que les conditions d’écoulement ne provoquent pas de perturbation dans la
mesure.
Le signal de mesure (le débit mesuré par le débitmètre électromagnétique), 4 – 20 mA sera raccordé à l’API par un câble de
mesure blindé.
Sur la face avant de l’afficheur, les affichages suivants sont à prévoir :
Débit instantané
Débit totalisé
Au niveau de la supervision, ce signal sera traité et représenté conformément aux exigences suivantes :
Unité de mesure choisie, p. ex. m3 / unité de temps
Courbe de tendance, mesurée dans un intervalle de temps défini
Comme tableau de valeurs au choix de l’ONEE.
Si les seuils fixés du signal analogique sont dépassés, des alarmes seront déclenchées, elles seront indiquées par des
lampes de signalisation en face avant de l’armoire de commande et seront visualisées et archivées sur le poste de
supervision
Il est en béton armé et alimenté en eau depuis la chambre de recevant l’eau relevée par les pompes d’eaux brutes.
Il sert à :
- Répartir équitablement le débit d’eau brute entre les deux unités compactes ;
- Le by pass d’une unité en cas de besoin par fermeture du batardeau correspondant ;
- Trop plein en cas de panne accidentel du système de nettoyage du dégrilleur fin et colmatage de la grille
Il comporte :
- Une chambre d’arrivée munie d’un trop plein ;
- Deux chambres de départ (une pour chaque unité compacte). Constituée chacune d’un1 déversoirs avec batardeau
en aluminium (normalement ouvert) pour fermeture en cas de besoin ;
- 01 lame déversante en acier inox 316L le long des seuils, parfaitement horizontale et réglable en hauteur pour
garantir équirépartition du débit;
- La couverture sera assurée avec caillebotis en PRV
Répartiteur projeté RP1 alimentant les bassins du 1er étage d’aération (CM1-1 et CM1-2) :
Le répartiteur projeté RP1 en béton armé servira à l’alimentation des bassins du 1er étage d’aération CM1-1 et CM1-2 avec
réservation pour les bassins projetés en 2ème tranche.
Il est alimenté en eau à partir du regard du débitmètre via une manchette DN400mm en PRV.
Il comporte:
- Une chambre d’arrivée ;
Répartiteur projeté RP2 alimentant les bassins du 2ème étage d’aération (CM2-1 et CM2-2) :
Le répartiteur projeté RP1 en béton armé servira à l’alimentation des bassins du 1er étage d’aération CM2-1 et CM2-2.
Il est alimenté en eau à partir de la sortie des bassins CM1-1 et CM1-2 via des conduites en PEHD CR8 DN300mm ;
Il comporte:
- Une chambre d’arrivée ;
- Chaque chambre de départ est comporte 02 seuils déversoirs et munie de batardeau en aluminium (normalement
ouvert) pour isolement de chaque bassin en cas de besoins ;
- 01 lame déversente en acier inox 316L, le long des seuils, parfaitement horizontale et réglable en hauteur pour
garantir équirépartition du débit;
- La couverture sera assurée avec du caillebotis en PRV
La décharge des chambres de répartition vers les bassins CM2-i est prévue par des manchon en PEHD CR8 DN300mm;
L’ensemble des bassins sont aménagés sous formes de 02 files parallèles de cellules (sous bassins) implantées dans un seul
bassin principal et séparées par une structure en H en béton armé et remblai où seront posés : les répartiteurs RP2 et RP3 et
les conduites d’alimentation et de décharge en eau des cellules (voir plan d’ensemble).
Le bassin principal est réalisé par déblai/remblai sous forme de digue de largeur de 4m en crête.
Chaque file (demi bassin principal) est constitué des cellules suivantes (voir plan d’ensemble) :
- 01 Bassin complètement mélangé constituant le 1er étage d’aération nommé CM1-1 (ou CM1-2);
- 01 bassins constituant le 2ème étage d’aération et subdivisé en 02 zones :
01 zone en tête complétement mélangée nommée CM2-1 (ou CM2-2);
01 zone aval partiellement mélangée nommé PM-1 (ou PM-2);
- 01 Bassin de décantation nommé D-1 (ou D-2)
Bassins CM2-1 et CM2-2 (2ème étage CM) 2 33.00 33.00 8.20 16.60 3.50 0.7 2.0 / 1.0
Bassins CM2-1 et CM2-2 (étage PM) 2 20.00 33.00 8.20 16.60 3.50 0.7 2.0 / 1.0
Bassins D-1 et D-2 (étage de décantation) 2 18.00 24.60 10.00 16.60 2.40 0.9 2.0 / 1.0
(1)
Les prestations prévues pour la réalisation de ces bassins sont à titre indicatif et non limitatif :
- Décapage et débroussaillage du site devant recevoir les ouvrages ;
- Terrassement en déblai et mis en remblai pour la construction des digues et plateforme des autres ouvrages de
la STEP et ce par arrosage, malaxage, nivellement et compactage par couche de 20 CM jusqu’à obtention d’au
moins 95% de l’OM ;
- Réalisation des ouvrages annexes en béton armé (structure de séparation des bassins en béton armé et
remblai, ouvrages de sortie, conduites…) ;
- Arrosage et compactage des fonds et talus jusqu’à l’obtention d’une surface lisse et parfaitement prête à
recevoir le complexe d’étanchéité ;
- Mise en place du complexe d’étanchéité par géotextile anti-poinçonnement et géomembrane ;
- Mise en place des équipements d’aération (chaine flottantes et diffuseurs d’air) ;
- Mise en eaux partielle et essais d’étanchéité de tous les équipements ;
- Mise en eau totale ;
- Ancrage des chaines flottantes et essais ;
Prescriptions diverses :
Les lagunes et ouvrages annexes devront être conformes aux plans guides, joints au dossier d’appel d’offres ; Au besoin et
en conformité avec l’Article 209.1 du présent CCTP, l’Entrepreneur devra ajuster ces plans au mode de construction des
bassins de la station d’épuration des eaux usées selon les procédés approuvés par le Maître d’Ouvrage et décrits dans le
mémoire technique à établir par l’Entrepreneur comme prévu à l’Article 106 et conformément aux prescriptions des Articles
106.5.5 à 106.5.7 du CCTG, ainsi qu’aux caractéristiques des équipements qu’il a prévu d’installer et les rendre conformes
aux instructions de montage du fabricant respectif, de telle façon que l’exploitation, la maintenance et le démontage éventuel
en soient facilités. Ces ajustements devront avoir été prévus par l’Entrepreneur, dès la présentation des offres technique et
financière et ne pourront donner lieu à aucune réclamation entraînant la modification des prix unitaires du marché.
N.B : Chaque bassin disposant d’un seul ouvrage de sortie, il est inutile d’installer des lames en inox ni de batardeau au
niveau des ouvrages de sortie.
En terme de réseau d’interconnexion entre les ouvrages, il est prévu dans le cadre du présent marché la pose des conduites
projetées (y compris regards de visite) récapitulées dans le tableau suivant :
Ouvrages sortie D-1 Regard en aval sortie D-2 38 300 PEHD CR8
Regard en aval sortie D-2 Station de relevage pour filtres 102 400 PEHD CR8
Trop plein station de relevage pour filtres Canal venturi 16 400 PEHD CR8
Trop plein du réacteur UV Conduite trop relevage pour filtres 3 400 PEHD CR8
Canal venturi Pompage pour arrosage 3 200 PEHD CR8
Drainage des lits de séchage Regard sur conduite arrivée D400 137 200 PEHD CR8
Regard sur conduite drainage des
Drainage et vidange filtres à sable 5 200 PEHD CR8
lits de séchage
Egouts bâtiment d’exploitation et loge de
Regards sur conduite arrivée D400 27 + 9 200 PEHD CR8
gardien
Ce tableau concerne seulement les conduites d’eau et ne comprend pas les canalisations de distribution d’air objet de l’article
101.3.11 ci-dessous.
Pour une aération uniforme, optimale et équilibrée au niveau de tous les diffuseurs, ceux-ci sont calés à la même profondeur
d’eau soit à moins de 30cm du fond des bassins.
Pour une meilleure flexibilité d’entretien et de maintenance, on a adopté des surpresseurs identiques pour les 2 étages.
L’ensemble des surppresseurs, y compris leurs équipements accessoires, sont à abriter dans un local suffisamment aéré.
La collecte de l’air produit par les surppresseurs est assurée par une conduite DN300mm PN10 en acier inox 316l qui refoule
ensuite dans deux conduites enterrées dans la digue en PRV DN200mm PN0 dont chacune alimente.
Toutes ces conduites principales doivent être posées avec une légère pente pour permettre la purge régulière du condensat.
Pour une meilleure flexibilité d’entretien et d’exploitation, les surpresseurs choisis sont identiques pour les 02 étages
d’aération.
Leurs caractéristiques sont à titre indicatif et non limitatif :
- Nombre total des surpresseurs : 5 dont 2 secours (3 pour le 1er étage et 2 pour le 2ème
étage)
- Débit d´air unitaire par surpresseur : 600 à 700 Nm³/h
- Température de l´air ambiant de calcul : 40 °C
- Pression différentielle : 500 à 550 mbar
- Nuisances acoustiques : Pression acoustique avec capotage env. L p (A) dB(A) 75, Mesuré en champ
libre à 1m de la périphérie du groupe.
- Puissance minimale du moteur : au moins 18.5 Kw
Des puissances supérieures peuvent être proposées par l’entreprise dans son offre. Dans ce cas, le coût supplémentaire est
réputé inclus dans le prix offert par l’entreprise pour chacun des surpresseurs et ne pourra donner lieu à aucune réclamation
entraînant la modification des prix unitaires du marché en cas de non prise en compte de sa part.
Les surpresseurs doivent avoir un capot d´insonorisation et scellé sur un socle en béton armé
Les surpresseurs seront abrités dans un local suffisamment aéré à proximité des bassins.
Toutes les composantes de commande des surpresseurs seront logées dans des armoires électrique abritées un local à part
accolé à celui des surpresseurs.
Il sera également fourni des pièces de rechange nécessaires à l’entretien et maintenance de l’ensemble des moteurs et
surpresseurs pendant une durée minimale de 2 ans à partir de la réception provisoire et ce selon le manuel des fabricants
avec un minimum de 2 jeux de chaque pièce (courroies et poulie d’accouplement et d’entrainement, filtre d’aspiration,
roulement de chaque type, presses étoupes, huile de lubrification…) ainsi qu’un (01) moteur complet de rechange pour
l’ensemble des surpresseurs prévus au détail estimatif (on dit bien un moteur complet de rechange pour l’ensemble)
La capacité globale de production d’air est calculée pour l’horizon ultime du projet et pour les conditions climatiques extrêmes
(40°C).
Ces conditions ne sont pas nécessairement atteintes durant toute l’année, de ce fait et dans le souci d’optimisation des coûts
d’énergie et l’amortissement des équipements, l’exploitant est mené à réguler le débit d’air en fonction du besoin réel en air
comprimé en tenant compte de :
Débit d’eau brute, DBO5, température de l’eau, … qui définissent le besoin en O2.
Taux d’O2 résiduel à la sortie des bassins à mesurer régulièrement (oxymètre portatif prévu dans le présent
marché)
Volume des bassins complètement mélangés (1 ou plusieurs files en service) qui définit le débit d’air
minimal au brassage de l’eau.
Ainsi l’asservissement des surpresseurs pour chaque étage d’aération doit permettre ce qui suit :
L’insufflation d’air continue pour assurer le brassage continu de l’eau.
La marche des trois surpresseurs sera alternée (les durées de chaque marche et arrêt doit être réglable par
l’exploitant)
Le système doit prévoir le cas échéant la marche d’une seule machine (lorsque celle-ci est suffisante) en
utilisant le variateur de fréquence.
Lorsque les deux machines fonctionnent simultanément, les démarrages doivent être suffisamment décalés
pour réduire la sur intensité électrique.
Ce fonctionnement s’appliquera pour chacun des deux étages d’aération puisque l’alimentation de chaque étage est
indépendante de l’autre.
Cette liste est donnée à titre indicative. En effet, l’entreprise doit fournir toutes les pièces supplémentaires (réputée
être incluse dans les prix unitaires de l’AO) nécessaire au montage et fonctionnement correct d’ensemble.
N.B : Aucun prix à part n’est défini dans le bordereau estimatif pour les équipements suivants qui sont réputés inclus dans les
autres prix unitaires :
Manchon flexible en EPDM armé DN100 PN10
Pièces spéciales électro-soudables pour le raccordement du flexible en EPDM et bouchons d’extrémité
(té, coude, bouchon d’extrémité, code de réduction…)
Robinet de purge du condensat ;
Socle en béton B30 pour ancrage de l’élément en S ;
Un dispositif de levage (pour remonter l’ensemble à la surface de l’eau) et de nettoyage par haute pression d’air ou autre
procédé performant devra être également fourni et installé et chaque diffuseur devra pouvoir être levé/nettoyé séparément.
Ce dispositif de lavage et de nettoyage est inclus dans le prix des diffuseurs et l’entreprise ne peut prétendre à aucune
rémunération complémentaire concernant ce système.
Les prestations de l’entrepreneur comprennent fourniture, installation et test de tous les équipements et accessoires prêts à
fonctionner inclus toutes les pièces de fixation.
Au niveau des bassins du 2ème étage d’aération (bassins complètement mélangés CM2-1, CM2-2 et bassins partiellement
mélangés PM-1 et PM-2) :
Chaque diffuseur sera équipé de 02 membranes micro-perforées en service. Cependant, les raquettes doivent
permettre le montage de 4 tubes pour permettre dans le futur l’extension éventuelle de la capacité d’aération.
Le tableau ci-après récapitule le nombre de diffuseurs et membranes à installer pour chaque bassin aéré :
N.B : 110 diffuseurs sont à livrer par l’entreprise : 92 seront montés sur les chaines d’aération et 12 autres seront rangés
dans le bâtiment d’exploitation comme pièces de rechange avec 30 membranes supplémentaires de secours et 1 jeu de
l’outillage nécessaire à leur montage et démontage sur les tubes.
Pour la mesure de débit d’air insufflé dans les bassins, 03 débitmètres sont prévus : 02 débitmètres fixes (01 pour chacun des
02 étage) et un autre portatif pour l’ensemble du système, sont prévus :
Débitmètre portatif :
En plus des 2 débitmètres principaux ci-dessus, un autre débitmètre portatif « anémomètre-thermomètre », de mêmes
caractéristiques minimales ci-dessus, est à prévoir pour pouvoir mesurer le débit et la température de l’air (même gammes de
mesure) dans différents points particuliers du réseau d’air. Pour ce, l’entreprise doit prévoir l’aménagement de différents
points de mesure de débit d’air sur le réseau (piquages avec bouchon et clapet de dimensions suffisantes pour introduction
de la sonde dans les conduites).
La solution de traitement tertiaire retenue est la filtration sur sable suivie par une désinfection aux UV ;
Le traitement tertiaire, par filtre à sable + UV, a pour rôle d’assurer une qualité avec un seuil maximal de 200 UCF/100 ml.
Ce système de traitement tertiaire comprend 05 ouvrages principaux :
- Station de relevage ;
- Unité de pré chloration ;
- Répartiteur, nommé RP4, de débit entre les 02 files de filtration ;
- 04 files parallèles de filtres à sables à écoulement continue ascendant avec rétro lavage de sable ;
- Répartiteur, nommé RP5, de débit entre les 02 files de filtration ;
- Unité de désinfection aux UV.
Elle comprendra 02 groupes électropompes immergés sur pied d’assise, identiques et interchangeables dont 01 de secours
conformes aux caractéristiques qui suivent.
Tableau descriptif de la station de pompage :
Désignation SR2
Fosse de pompage (en m2) : 4.80m x 3.50m
Quantité totale de pompes à installer prévues dans ce lot: 02 dont 01 de secours (fonctionnem. alterné)
Nombre de pompe en marche 01
Débit à refouler (pour 02 pompes en marche) 60 l/s
Hauteur manométrique estimé (pour nombre pompe en marche) 6m
Rendement minimal du groupe électropompe (moteur + pompe) : >= 50%
Marge (réserve) de puissance du moteur : >= 10%
Mode d’installation des GEP : (Article 505.1.3 du CCTG) Immergé sur pied d’assise
Indice de protection des GEP : IP68
Groupe électrogène de secours : Commune avec surpresseurs d’air
Type d’alimentation électrique prévue : BT à partir de l’AGBT
- Génie civil: voir plan et autres prescriptions idem que la SR en tête de la STEP ;
- Fourniture des équipements voir plan et autres prescriptions idem que la SR en tête de la STEP ;
- Groupes électropompes : voir plan et autres prescriptions idem que la SR en tête de la STEP ;
- Système anti-bélier : il n’est pas prévu d’anti-bélier pour cette station de relevage.
- Tuyauteries et équipements hydrauliques : voir plan et autres prescriptions idem que la SR en tête de la STEP ;
Mesures de niveaux
Le fonctionnement des pompes sera commandé et régulé par capteurs de niveau d’eau consistant en :
- Des poires de niveau ;
A titre indicatif, les différents de niveaux de commande des groupes sont récapitulés dans le tableau suivant :
Niveau très bas NTB Alarme (klaxon) et arrête les 2 (*) Défini par le fabricant des pompes (estimé à
pompes 0.7m du radier
Fond de la bâche NFB - Défini par le projet.
(*) : Ce niveau correspond au niveau minimum pour la protection des pompes contre la marche à sec, par sécurité deux
poires seront installées vu l’importance de cette fonction pour la protection des pompes.
NB : Les poires doivent être équipées de deux contacts (contacts inverseurs). Ces contacts seront traités pour détecter tous
défauts sur la poire ou coupures de câble de liaison.
Les cotes définitives seront déterminées par l’Entrepreneur et validées par le Maître d’œuvre.
Il comporte:
- 01 chambre d’arrivée munie d’un trop plein ;
- 04 chambre de départ alimentant chacune une file de filtration ;
- Chaque chambre de départ comporte :
01 seuils déversoirs munies de batardeau en aluminium (normalement ouvert) pour isolement de chaque
bassin en cas de besoins ;
Une jauge de perte de charge (renseignant sur l’état de colmatage du filtre);
- 01 lame déversente en acier inox 316L, commune pour les 04 seuils, parfaitement horizontale et réglable en hauteur
pour garantir l’équirépartition du débit;
- Garde-corps en PRV ou aluminium ;
- Une couverture par caillebotis en PRV ;
- Echelle d’accès à crinolines en aluminium, PRV ou inox 316L ;
La décharge des chambres de répartition vers les bassins CM2-i est prévue par des manchettes et pièces en S en acier inox
316L de même diamètre que les conduites d’alimentation des filtres (manchettes et conduites incluses dans les prix des filtres
à sables).
Le prix forfaitaire de la fourniture, transport et pose de Filtre à sable complet à lavage continu avec charge filtrante incluent les
prestations suivantes :
- Toute la tuyauterie de l’alimentation des filtrats (eau et air), tuyauterie des eaux de lavage, tuyauterie de raccordement
des eaux filtrées vers l’unité de désinfection aux UV y compris toutes les pièces spéciales nécessaires.
- Toutes les installations électriques et de commande nécessaires ;
- Les accessoires d’accès : échelle, plateforme et garde-corps en inox 316 L aluminium ou PRV,
- Tous les accessoires de fonctionnement, documents techniques, essais et mise en marche. Ces filtres sont fournis en
systèmes autonomes.
- La fourniture, transport et pose de 02 compresseurs d’air dont 01 de secours et système d’alimentation de l’air pour le
lavage du sable, et du coffret pneumatique et automatismes de régulation ou pompes type air lift installées dans le
filtre (selon marque et modèle proposés par l’entreprise) ;
- Tous les travaux de terrassement et de GC nécessaires pour toute l’installation des filtres à sable ;
- Recirculation des eaux et impuretés de lavage des filtres à sable vers le répartiteur en amont des bassins du 1er étage
d’aération (bassins aérés aérobies).
- Caniveaux et conduites de drainages des eaux pluviales sable de la plateforme ainsi que les eaux et impuretés de
lavage des filtres à vers la station de pompage des eaux brutes ;
- Des couvertures complètes des modules par caillebotis en PRV ou aluminium ;
- Des escaliers, garde-corps et passerelles de visite, fabriqués en aluminium, PRV ou acier inox 316L devront être
fournies pour permettre un accès depuis la digue des bassins et depuis la plateforme en béton armé.
Matériaux :
Les éléments du filtre seront construits avec les matériaux suivants :
Matériaux cuve : Acier inox 316L ;
Plateforme semi enterrée en béton armé ;
Tuyauterie d’admission : Inox 316L
Conduites radiales d’alimentation : Inox 316L
Boulonnerie : Inox 316L
Tête de lavage des filtres : PRV, acier inox 316L ou aluminium
Conduite de l’air-lift : Inox 316L
Suppresseur d’air : capable de fonctionner 24h/24 (type à vis) et équipé d’un sécheur d’air et d’un ballon tampon
sous pression
Documents à fournir
La proposition de l’entrepreneur concernant cette fourniture doit préciser de manière claire les points suivants :
Les notes de calcul et de conception des filtres à sables et tous ses ouvrages annexes ;
Une note sur les caractéristiques du lavage : détassage à l’air, lavage à l’air et à l’eau et lavage à l’eau y compris tous les
équipements nécessaires (surpresseurs, compresseurs, etc.)
Une note de calcul sur le système de pré-chloration (conception des pompes doseuses, bac de solution de pré-
chloration,..)
Les garanties à apporter sur le matériel et sur la pérennité de l’installation de traitement des eaux usées,
La nécessité de ne pas provoquer de nuisances sonores (compresseur seront équipés d’isolation phonique).
La liste des pièces de rechange
Les modalités de mise en route, mise en service industriel et la réalisation des essais et le mode d’exploitation
Domaine de garantie et des performances minimales à atteindre en tout temps et en tout point de fonctionnement du
système.
L’entreprise est tenue de joindre à sa proposition, l’intégralité de la documentation des fournisseurs de façon à permettre de
juger la qualité du matériel proposé notamment :
Les matériaux constitutifs et leur résistance à la corrosion,
Le bilan annuel d’exploitation à charge nominale
Le mode de régulation et le programme mis en œuvre doivent être décrits et justifiés par l’Entrepreneur.
La STEP comprendra un réacteur de désinfection par radiation Ultra-Violet (UV) installé dans une chambre en béton armé.
L’eau filtrée issues des filtres à sable sera déversée dans un regard en béton armé qui alimente en suite le répartiteur nommé
RP5 en amont du réacteur UV.
Dans ce regard seront montés :
- Une vanne murale pour vidange et pay pass de l’unité de désinfection en cas de besoin ;
- Un trop plein pour évacuation du débit excédentaire en cas de besoin ;
Le répartiteur est prévu pour tenir en compte du 2ème réacteur prévu en 2ème tranche du projet. De ce fait, l’implantation et la
conception de la chambre en génie civil du réacteur doivent être effectuées en tenant compte d’un 2ème réacteur.
A partir de ce regard amont:
Le réacteur est alimenté en eau via une conduite en acier inox 316L DN300mm PN10 muni et d’une vanne à papillon
DN300 pour isolement en cas de besoins ;
La cuve du réacteur à UV ainsi que l’ensemble de ces équipements accessoires et tuyauterie doivent être en acier inox 316L
ou en aluminium.
Le prix forfaitaire de la fourniture, transport et pose de Filtre à sable complet à lavage continu avec charge filtrante incluent les
prestations suivantes :
- Toute la tuyauterie de l’alimentation et décharge du réacteur (manchettes, conduites, vanne, joint de démontage,
coudes…) depuis le regard amont en béton armé ;
- Les accessoires d’accès : échelle, plateforme et garde-corps en inox 316 L aluminium ou PRV,
- Tous les accessoires de fonctionnement, documents techniques, essais et mise en marche.
- Tous les travaux de terrassement et de GC nécessaires pour toute l’installation complète du réacteur y compris trappe
d’accès en PRV, garde-corps et passerelles de visite…
- Une armoire électrique complète de protection, de commande et de régulation abritée à côté de celle de la station de
pré-chloration ;
D/ Matériaux
Les éléments de la station UV seront construits avec les matériaux suivants :
Eléments en contact avec l’effluent : Inox 316 L
Les modules UV : inox 316L
Matériau : acier inoxydable 316 L (1.4571), PETP, Quartz.
Matériau des joints : FPM.
Incorporant : une structure et une plaque supérieure pour la protection contre le rayonnement UV.
E/ Documents à fournir
La proposition de l’entrepreneur concernant cette fourniture doit préciser de manière claire les points suivants.
Les garanties à apporter sur le matériel et sur la pérennité de l’installation de traitement des eaux usées,
La liste pièces de rechange
Les modalités de mise en route, mise en service industriel et la réalisation des essais et le mode d’exploitation
Domaine de garantie et des performances minimales à atteindre en tout temps et en tout point de
fonctionnement du système.
L’entreprise est tenue de joindre à sa proposition, l’intégralité de la documentation des fournisseurs de façon à permettre de
juger la qualité du matériel proposé.
Les paramètres de calcul concernant la dose biodosimétrique des UV, le mode de régulation et le programme mis en œuvre
doivent être décrits et justifiés par l’Entrepreneur.
Ce portique servira également pour les opérations de maintenance et d’entretien du groupe électrogène, Le local (et porte du
local) devra également être ajusté à la charge de l’entreprise pour que ce portique puisse sortir du bâtiment du groupe et
permettre le chargement de la machine sur un camion plateau.
- Un 2ème portique sous forme de trépied (amovible sur roues ou pneus) en acier inox 316L ou aluminium avec palan
électrique de 0.5 t de charge utile muni de chaine en inox est prévu pour la manutention de tous les autres équipements
(pompes de relevage, pompes d’arrosage, pompe à graisse, panier dégrilleur…).
- Pour la manutention des équipements de la station compacte de prétraitement, une potence amovible en inox 316L,
aluminium ou PRV équipée d’un palan électrique de capacité adapté et pouvant être disposée en différents points de
l’ensemble de prétraitement afin d’assurer toutes les opérations de maintenance requises par les différents sous-
équipements.
Ces équipements de manutention sont supposés inclus dans les prix unitaires des équipements correspondants.
Les détails du local sont fournis dans le plan du DCE correspondant. Ce local est à construire conformément au plan
d’implantation, dispositions et exigences constructives et matériaux tel que détaillé dans le CCTG et définition des prix.
Pour la manutention du groupe électrogène, il fera usage du portique amovible prévu pour les surpresseurs d’air (voir ci-
dessus) ;
Le marché prévoit la construction d’un bâtiment d’exploitation et une loge gardien de 150 m2 et 20 m² de surfaces respectives
avec menuiserie en aluminium.
Le bâtiment d’exploitation aura les dimensions suivantes : 11.80 m x 8.50 m, il comprend :
Hall d’entrée et d’accueil : 28 m²
Salle de contrôle et de commande : 30 m²
Bureau Chef de Station : 20 m²
Laboratoire : 24 m²
Bureau de laboratoire + Archive : 20 m²
Réfectoire, vestiaire, WC, douches, etc. : 16 m²
Dépôt : 12 m2
Surface totale : ~ 150 m²
Une attention particulière doit être portée sur l’architecture et la conception des locaux de ce bâtiment ainsi que sur la qualité
des matériaux de construction et d’habillage.
Les types et couleurs des peintures extérieures et intérieures seront définis et choisies par l’architecte et approuvées par le
maître d’ouvrage.
Le bâtiment et la loge du gardien seront pourvus d’eau potable et électricité ainsi que réseau pour téléphone.
Toute la menuiserie (Portes, fenêtres, châssis etc.) sera en aluminium de premier choix, teintée avec vitrage approprié et
selon plans d’exécution établis par l’architecte et approuvés par le maître d’ouvrage
Le revêtement de sol sera réalisé en carrelage de premier choix posé dans les différents locaux selon calepinage et couleurs
définis par l’architecte et approuvés par le Maître d’ouvrage. Pour le laboratoire le carrelage doit être antiacide de couleur
blanche et de premier choix particulièrement pour les paillasses de travail.
L’étanchéité des toitures et terrasses sera réalisée en trois couches croisées de 36 S ou similaires y compris la forme de
pente, les protections mécanique et thermique et ce conformément aux spécifications du CCTG. Le plan du complexe
d’étanchéité doit être approuvé par un bureau de contrôle agréé.
La salle de contrôle, le laboratoire, la salle de réunion et les bureaux doivent être équipés de climatiseurs individuels.
L’ensemble des pièces sera pourvu de mobilier adéquat de premier choix (bureaux, armoires, chaises fauteuils, chaises
visiteurs, table de réunion, etc.).
L’ensemble des pièces du bâtiment d’exploitation sera équipé de mobilier adéquat de premier choix (bureaux avec retour
porteur et caisson mobile 3 tiroirs, chaises président, chaises visiteurs, armoires de type élément haut à deux portes, table de
réunion et chaises pour un minimum de 10 personnes,…).
La salle de commande sera conçue pour abriter le matériel de supervision de la STEP. Elle doit être équipée de tout le
mobilier nécessaire à l’exploitation : bureaux, chaises, armoires de rangements, etc.
Elle sera dotée au minimum de : 2 prises pour le fax, 3 prises informatiques, 4 prises électriques dont une dédiée à des
branchements informatiques, un éclairage naturel et artificiel, un système de protection solaire (stores ou autres).
Comme pour tous les ouvrages en B.A., l’Attributaire doit établir à sa charge les plans de béton armé par un bureau d’études
agréé en dimensionnant la structure. Ces plans doivent être approuvés par un bureau de contrôle agréé avant leur validation
par le Maître d’ouvrage, et ce avant le commencement des travaux.
Le descriptif ci-après pour gros-œuvre, peinture et plomberie sanitaire est donné à titre indicatif, l'Entrepreneur doit faire
établir un projet d'exécution en tenant compte des normes en vigueur tous les matériaux utilisés doivent être d’une qualité de
premier choix. Les cadres des portes et fenêtres seront en aluminium teinté. L’entreprise présentera des échantillons type
pour approbation.
a) Gros œuvre, revêtement et étanchéité
Terrassement en déblais en terrain de toute nature et à toutes profondeurs en pleine masse, en tranchée ou en puits
y compris toutes sujétions.
Remblais compactés en terre sélectionnée exempte de fines avec utilisation des terres provenant des déblais
Evacuation des terres excédentaires à la décharge publique
Hérissonnage en moellons calcaires de 20 cm d'épaisseur y compris drainage, arrosage et toutes sujétions
Béton B5 de propreté de 10 cm d'épaisseur
Béton B4 pour les allées piétonnières d'épaisseur 10 cm avec enrichissement superficiel de ciment soigneusement
lissé et bouchardé y compris armature en quadrillage Ø 6 espacé de 20 cm
Béton B2 pour poteaux, poutres, linteaux, chaînage supérieure, dalle de couverture, acrotère y compris coffrage,
vibrage et toutes sujétions
Acier HA pour béton armé y compris fil de fer pour ligatures, et toutes sujétions.
Maçonnerie en moellon pour fondation y compris mortier de rejointoiement et toutes sujétions.
Murs en agglos de ciment de 0,20 m d'épaisseur
Cloison en briques creuses de six trous
Enduit intérieur en mortier type C de 2 cm d'épaisseur y compris toutes sujétions.
Enduit extérieur de 3 cm d'épaisseur au mortier bâtard y compris toutes sujétions
Revêtement du sol en en carrelage de premier choix posé dans les différents locaux selon calepinage et couleurs
définis par l’architecte et approuvés par le Maître d’ouvrage.
Plinthe de 10 cm y compris façon de coupe, chutes, mortier de pose et toutes sujétions
Revêtement en faïence blanche 15 x 15 cm
Forme de pente, étanchéité, protection et isolation thermique y compris toutes sujétions
Solins d'étanchéité y compris toutes sujétions
Descente d'eau pluviale en PVC DN 100 et gargouille avec crapaudine en fil de fer galvanisé y compris toutes
sujétions de pose et de raccordement
Regard en béton
armé B3 de 15 cm d'épaisseur de 0.40 x 0.40 m y compris dallettes de fermeture, enduits et toutes sujétions.
b) Menuiserie
Porte P1 (1,20 x 2,40 m)
Porte P2 (0.94x 2.20 m)
Porte P3 (0.94 x 2.20 m)
Porte P4 (0.84 x 2.20 m)
Porte P5 (0.84x 2.10 m)
Placard de chambre de 0,70 m de largeur avec étagères en bois
Placard sous paillasse de laboratoire
Châssis et fenêtres de dimensions conformes au plan guide.
Rideau coulissant en aluminium au niveau de la salle de réunion
Et toutes sujétions.
A l’exception des portes d’entrée P1 et P2 qui seront réalisées en bois, les autres composantes (portes, fenêtres, placards
sous paillasses) seront réalisées en aluminium teintée avec vitrage approprié et selon plans d’exécution établis par
l’architecte et approuvés par le maître d’ouvrage. Les matériaux de ces éléments doivent être de bonne qualité et du premier
choix.
c) Peinture
Peinture extérieure
D’une manière générale, les types et couleurs des peintures extérieures et intérieures seront définis et choisies par
l’architecte et approuvées par le maître d’ouvrage.
Sur toutes les surfaces extérieures apparentes enduites, y compris les tuyaux de descente d'eaux pluviales, il sera tout
d'abord procédé à l'égrenage, au brossage et au rebouchage du support puis on appliquera une couche d’impression et trois
couches de peinture extérieure type REXOLIT (couleur locale), chaque couche étant bien croisée.
Peinture intérieure
Les dispositions pour peinture extérieure sont dans leurs principes applicables pour la peinture intérieure, exception faite du
type de peinture adopté qui sera en principe une peinture vinylique lavable
Les salles d’eau recevront une peinture glycérophtalique.
d) Plomberie Sanitaire
L’entrepreneur fournira et posera tous les appareils sanitaires du bâtiment d’exploitation (salles d’eau) et de la loge du
gardien. Ils doivent être de meilleure qualité après le choix de l’architecte et du Maître d’ouvrage selon les détails des plans
d’exécution (L’entreprise présentera des échantillons type pour approbation).
La liste suivante énumère certains équipements sanitaires, elle reste non limitative :
Cuvette W-C à l’anglaise : Cuvette W-C en porcelaine vitrifiée blanche à chasse directe avec mécanisme de chasse y
compris robinet d'arrêt et robinet de puisage.
Nombre : (2), Local sanitaire du bâtiment + loge de gardien.
WC type turque : en porcelaine vitrifiée blanche à chasse séparée, avec mécanisme de chasse un, robinet d'arrêt et
un robinet de puisage.
Nombre : (2) Local sanitaire du bâtiment + loge de gardien.
Evier : Evier double de 1,20 m en grés émaillé blanc
Nombre : (2) Laboratoire avec robinetterie type laboratoire.
Lavabo : Lavabo double cuvettes en porcelaine vitrifiée installé selon disposition des plans d’exécution établis par
l’architecte
Nombre : (2) salles d’eau bâtiment d’exploitation.
Lavabo : Lavabo simple cuvette en porcelaine vitrifiée installé selon disposition des plans d’exécution établis par
l’architecte.
Nombre : (2) Local sanitaire du bâtiment +loge de gardien.
Douche : douche en grés émaillé blanc 0,80 x 0,80 m.
Nombre : (1) Local sanitaire.
Chauffe-eau électrique au nombre de deux (2): Pour produire de l’eau chaude sanitaire pour les besoins au niveau du
bâtiment d’exploitation et loge gardien. Capacités 50 à placer aux endroits prévus par les plans d’architecture.
Equipements de laboratoire
L’équipement du laboratoire se limitera dans le cadre du présent marché au matériel nécessaire au contrôle quotidien de
l’état d’aération de l’eau (oxymètre, débitmètre, PH-mètre). Cependant, le choix est laissé à l’entrepreneur pour fournir à sa
charge des équipements supplémentaires qu’il juge nécessaire pour la mise en service et aux fins d’autocontrôle.
PH mètre portatif
Affichage digital
Plage de mesure de : 0 à 14,00 pH
Précision minimale de 0,01pH
Compensation automatique de température
Possibilité de calibrage automatique de 2 ou 3 points avec tampons
Alimentation sur piles rechargeables (50 H d’autonomie) et sur secteur (220 V – 50 Hz)
Conductimètre portatif :
Lecture directe en siemens
Affichage digital
Plage de mesure : au moins de 0,00 µs à 199 ms/cm
Précision : 0,5% de la valeur mesurée
Compensation automatique de la température
Température de référence : 20 °C ou 25 °C
Alimentation sur piles rechargeables (50 H d’autonomie) et sur secteur (220 V–50 Hz)
Indication d’hors gamme
Manuel d’utilisation en français
Accessoires : 1 cellule de rechange, Sonde température, Chargeur de piles, Solutions étalons, Valise de transport
pour l’appareil et accessoires
Oxymètre portatif :
Affichage digital
Lecture directe de la concentration en oxygène dissous, température et pourcentage de saturation
Compensation automatique de la pression atmosphérique et de la température.
Gamme : 0 à 50 mg/L d'oxygène (au moins)
Précision + 0.5% de la valeur mesurée
Gamme de température : 5 à 50°C
Précision de température: 0.1 K
Alimentation par piles rechargeables (50H d’autonomie) et sur secteur (220 V-50HZ)
Notice d’utilisation en français.
Accessoires : 1 électrode d'oxygène avec câble de longueur : 3 à 6 m, chargeur de piles
Voirie en bicouche :
Elle concerne la réalisation de voie d’accès depuis le portail jusqu’au parking devant le batiment d’exploitation ainsi que la
desserte des unités compactes de prétraitement, les locaux, les stations de pompage, ainsi que les ouvrages de traitement
tertiaire (voir plan d’implantation).
Les prestations prévues pour la réalisation de cette piste sont à titre indicatif :
Le décapage de la terre végétale ;
Les déblais et remblais selon tracé en plan profil en long approuvés. Remblai par matériaux sélectionnés compacté par
couches successives de 20cm compactées à 98% OPM
La réalisation de corps de chaussée constitué de 20 cm de tout venant GNF 0/40 et 15 cm de GNA 0/31.5 compactés à
98% OPM sur une largeur de 4m
Imprégnation au Cut back et revêtement en bicouche de la totalité de la piste avec une largeur de 3m (1m restant servira
d’accotement de 0.5 m de part et d’autre)
Réalisation de fossé de drainage des eaux pluviales y compris traversées en buses ou dalot d’un côté à l’autre de la voie.
Clôture de la STEP
Il est prévu de clôturer l’ensemble du site dédié à la STEP y compris les zones d’extension par une clôture grillagée 3D en
panneaux rigide en treillis soudé de hauteur minimal de 2m, à trois ou quatre plis de renforts et maille de 5 x 20 cm et 5x10
cm au niveau des plis. Fabriquée à partir de fils en acier galvanisé puis plastifiés au polyester. Le diamètre des fils
(horizontaux et verticaux) est 5mm. Installations avec poteaux du fabricant soudés et galvanisés à l’intérieur et à l’extérieur
avec capuchon en plastique, de hauteur de 2,20m et de section minimale 60x60mm, espacés de 2 m.
Les poteaux seront ancrés dans la structure en béton armé de la fondation.
La couleur du grillage sera : vert RAL 6005.
Au-dessus du grillage, seront posés 4 rangées de fil barbelé.
Le portail à deux vantaux et le portillon font partie des travaux de la clôture conformément au plan joint au présent dossier.
La façade d’entrée qui devra être conforme plan joint au présent dossier, comprendra :
o Un portail d’entrée en grille à 2 vantaux de 4 m de large et 2 m de hauteur,
o Une porte d’entrée, en grille, à simple vantail, de 1m de large et 2 m de hauteur,
o De part et d’autre des portes, sera réalisé un mur en maçonnerie, de 2,00 m de haut, sur une longueur totale de 14m
où sera collé, Un panneau indicateur comportant un marquage, en arabe et en français, indiquant le nom de
l’installation : « STATION D'EPURATION DES EAUX USEES DU PARC AGROPOLE ET CENTRES LAATAMNA et
MADAGH »
La clôturé sur toute sa longueur sera posé sur une fondation constituée de : panneaux de maçonnerie en moellons rocheux
d’épaisseur de 40cm et profondeur minimale de 0.7m sous le TN et une hauteur minimale de 0.4m au-dessus du TN, une
structure en béton armé (semelles, poteaux séparant les panneaux de maçonnerie, chainages.
Pour cela, il est prévu la réalisation d’un système d’arrosage composé de :
- Réalisation d’une bâche de pompage en béton armé alimentée en eau épurée à partir de la codnuite de rejet des
eaux épurées via une vanne murale manuelle en inox 316L et une conduite en PEHD double paroi DN200 CR8 ;
- Réalisation en béton armé d’une chambre des équipements ;
- Fourniture, transport et pose de tous les équipements dont à titre indicatif :
Deux pompes submersibles (dont une de secours) Q= 2 l/s HMT= 30m avec barres de guidage en aciers
inox 316 L ;
Equipements hydromécaniques DN60 : colonnes montantes, coudes, manchettes de traversée, clapets
anti-retour, vannes de sectionnement, Té DN60/60, un réservoir hydropneumatique 300l à vessie de
régulation gamme de pression adéquate, pièces de by-pass du réservoir, manostats de pression max et min
pour régulation de démarrage/arrêt des pompes, raccords bride major, câbles électriques d’alimentation BT
liant le coffret de commande aux pompes et manostat ;
Un coffret complet de commande et de protection pour les deux pompes ;
Alimentation en énergie électrique depuis l’armoire d’arrivée générale (AGBT)
- Fourniture, transport, pose et équipement d’un réseau de distribution d’eau épurée en conduite enterré DN63 en
PEHD PN10 avec des piquages tous les 50 ml au maximum et permettant de couvrir tous les espaces verts et les
arbres. La longueur de la conduite de distribution est estimée à 2.000 ml.
- Fourniture, transport et mise en place de bouches d’arrosage au niveau de chaque piquage ;
- Prise pour l’eau industrielle au niveau des ouvrages de prétraitement et la station de pompage elle-même ;
- Fourniture et transport de tuyaux souples et pièces de raccordement sur les bouches d’arrosage …
Un plan de détail avec note de calcul sont à soumettre à l’approbation du maitre d’ouvrage avant l’exécution des travaux.
En fin de travaux, ce complexe doit constituer un film parfaitement imperméable et résistant à toute corrosion par les eaux
usées et les gaz qui risquent de se produire dans les ouvrages.
Toutes les couches d’imprégnation et d’époxy doivent être réalisées strictement au pistolet.
Le procédé d’étanchéité des bassins et des digues décrit à l’Article 106.5.7 ; il sera réalisé selon les spécifications techniques
du paragraphe correspondant au procédé retenu, décrites à l’Article 211 du CCTG.
Sera fourni et installé avec ses accessoires (filtres, crépines, contrepoids, support du tuyau de prélèvement, autonettoyant,
chariot de transport, 24 flacons de 500 ml et 11 de rechange) et son manuel d’utilisation ainsi que son manuel technique.
Deux échantillonneurs seront installés :
- Le 1er en amont du prétraitement de la STEP ;
- Le 2ème en aval du débitmètre à la sortie de la STEP.
Ils seront fournis avec tous les accessoires et toutes sujétions de mise en place (construction d’abri éclairé et aménagement
du prélèvement inclus dans le prix)
D’autre appareillage de mesure est prévu dans le cadre du présent marché à savoir :
- 02 oxymètres portables pour mesure régulière et en cas de besoin du taux d’oxygène dissout ;
- 02 pH-mètres portatifs ;
- 02 conductimètres ;
Les pacifications de ces appareils sont détaillées dans la définition des prix jointe au DCE.
Pour l’alimentation des ouvrages et équipements projetés, il est prévu de mettre en place un transformateur de puissance 160
KVA. Ce poste sous cabine est prévu dans le cadre du présent marché.
Une alimentation de secours par groupe électrogène est prévue dans le cadre du présent marché. Il démarrera
automatiquement, en fonction de l’inverseur normal/secours.
Tous les équipements de puissance seront alimentés en triphasé 400 V et le circuit de commande et de contrôle en 220 V
pour les armoires de puissance et 24Vcc pour les armoires des Automates
L’appareillage de la moyenne tension sera installé dans des cellules métalliques préfabriquées fermées et qui seront agréées
par l’ONEE.
a) Poste de transformation :
Le poste transformateur projeté 22 KV / 630 V aura les caractéristiques suivantes :
Puissance unitaire nominale 160 KVA ;
Nombre : 1 ;
Fonctionnement en parallèle et en normal/secours ;
Régleur de tension manuelle à 3 positions (+/- 5%, hors tension) ;
Couplage : Dyn11 ;
Tension de court-circuit : 4% ;
Perte à vide < 930 W ;
Rendement à cos phi=0,8 et 50% de charge > 98,72% ;
Équipé de fosse à huile ;
Équipé de mécanisme de verrouillage des bornes embrochables ;
Equipé en batteries de condensateurs en armoire, et protégées par disjoncteur, pour relever le cos phi à vide du
transformateur à 0,92 ;
Régime du neutre : IT (Neutre du transformateur relié à la terre par un limiteur de surtension) ;
Il devra être conforme aux normes UTE : NFC 52100, 52101, 52112, 52113.
Les équipements électriques devront satisfaire les spécifications techniques générales du Chapitre F du présent CCTP,
lequel se réfère au Tome 6 du CCTG.
L’Entrepreneur devra exécuter tous les travaux nécessaires à la réalisation des installations électriques d’alimentation, de
protection et de contrôle / commande des équipements de la station d’épuration, en conformité avec les spécifications
techniques particulières qui suivent.
Le dimensionnement du transformateur a été supposé suivant les critères ici énumérés, à savoir le besoin en énergie de la
STEP déterminé avec un admis cos phi de 0,80 et d’une réserve de puissance de 20 %. L’installation électrique doit répondre
en tous points aux exigences spécifiées au CCTG et plus particulièrement les études de détails à réaliser, le choix des
équipements, les critères de qualité, les recommandations de mise en œuvre, les essais et les réglages à mener par
l’entrepreneur doivent se conformer aux exigences du CCTG.
Cellules MT :
Elles sont comme suit :
2 cellules arrivées / départ
1 cellule protection par fusibles du transformateur
1 transformateur triphasé de puissance de 630 KVA équipé d’un DGPT2.
Cette liste de cellules est donnée à titre indicatif et dans tous les cas, l’entrepreneur est tenu à respecter les exigences
imposées par l’ONEE/Branche électricité.
La manutention sera assurée, en cas de besoin par un portique sur roues avec palan électrique de 3 tonnes prévu pour la
manutention des surpresseurs d’aération.
La porte du local groupe devra également être ajusté à la charge de l’entreprise pour que ce portique puisse sortir du
bâtiment et permettre le chargement de la machine sur un camion plateau.
Les armoires et coffrets électriques basse tension seront constitués des parties suivantes :
L’Armoire Général Basse Tension (AGBT) : Armoire d’arrivée générale et auxiliaires à courant alternatif ;
Les armoires de contrôle et de commande des moteurs ;
Les armoires d’automatisme et des auxiliaires à courant continu et supervision.
Les coffrets locaux
- Armoire de commande et de protection des pompes d’arrosage (inclus dans le prix du système d’arrosage) ;
- Coffret de commande de chaque file de prétraitement compacte (inclus dans le prix de cet ouvrage) ;
- Coffrets de commande et de protection des débitmètres électromagnétiques (inclus dans le prix de cet ouvrage) ;
- Armoire de commande de l’unité pré-chloration (inclus dans le prix de cet ouvrage) ;
- Coffrets de commande et de protection des filtres à sable (inclus dans le prix de cet ouvrage) ;
- Coffret de commande et de protection de l’unité de désinfection aux UV (inclus dans le prix de cet ouvrage) ;
- Coffrets pour échantillonneurs/préleveurs (inclus dans le prix de ces échantillonneurs) ;
- Tous les coffrets locaux et d’arrêt d’urgence (inclus dans les autres prix) ;
- Coffret du système de télésurveillance (inclus dans le prix de ses équipements) ;
- Coffret pour l’éclairage d’ambiance (inclus dans le prix forfaitaire)
- Les armoires d’automatisme.
- Les tableaux divisionnaires au niveau de chaque local (inclus dans le prix de chaque local) …
Les armoires électriques doivent être constituées d’éléments de dimensions standards L = 800 ou 600 mm ; P = 600 ou 450
mm ; H = 2100 mm, et conformes aux spécifications suivantes :
Fabriquées selon les normes en vigueur avec au moins deux couches de peinture époxy de couleur aux choix du
maitre d’ouvrage;
Avoir une pochette à plan. Avoir un châssis en rail DIN. Avoir un indice de protection IP 54 IK 08. Avoir un éclairage
intérieur par réglette avec contact de porte ;
Munie de persiennes d’entrée d’air en bas de l’armoire et de sortie d’air en haut de l’armoire, de ventilateur
commandé par thermostat, de résistance de chauffage thermostatée, pour éviter la condensation, de grilles anti-
moustiques ;
Les accès des câbles, soit par presse-étoupe, soit par plaque obturable pour garantir l’étanchéité.
l’entreprise doit inclure en sus des dispositions ci-dessus les mesures nécessaires pour la protection des armoires et des
équipements électriques contre les poussières. Ces dispositions à soumettre à l’approbation du maitre d’ouvrage sont
réputées incluses dans les prix initiaux et aucune réclamation ni plus-value financière ne sera acceptée.
Armoire d’arrivée AGBT général au niveau du local des armoires des surpresseurs
Cette armoire constitue l’arrivée générale depuis le poste transformation ou le groupe électrogène.
Elle comprendra essentiellement :
A l’intérieur :
Un disjoncteur de tête 4P/380V/ 50 Hz adéquatement calibré pour la puissance totale de la station ;
Un jeu de barres adéquatement calibré,
Les borniers de raccordement,
L’inverseur de sources automatique de tête composé par deux interrupteurs sectionneurs avec un verrouillage entre
eux
Un parafoudre avec sa protection
Le disjoncteur différentiel d’alimentation de l’armoire de permutation Normal/Secours ;
Un disjoncteur différentiel pour alimenter l’AGBT de la station de relevage des eaux brutes ;
Un disjoncteur différentiel pour alimenter l’AGBT de la station de relevage des eaux vers filtres à sable ;
Les disjoncteurs différentiels pour alimenter les armoires de commande et protection des moto-surpresseurs d’air et
des autres armoires abritées dans le même local ;
Les disjoncteurs d’alimentation des débitmètres d’air ;
Un disjoncteur différentiel d’alimentation de chaque coffret divisionnaire pour les locaux suivants : local des
surpresseurs, local des armoires, local du groupe électrogène, cabine du poste de transformation ;
Un disjoncteur différentiel d’alimentation pour chaque coffret des files de prétraitement ;
Un disjoncteur différentiel d’alimentation du coffret du débitmètre de mesure de débit à l’entrée de la STEP ;
Le disjoncteur d’alimentation du coffret du réseau d’éclairage extérieur d’ambiance ;
Les disjoncteurs différentiels d’alimentation des coffrets des échantillonneurs/préleveurs ;
Le disjoncteur pour alimenter les batteries de compensation globale du facteur de puissance ;
Le disjoncteur différentiel d’alimentation de l’armoire d’automatisme des surpresseurs ;
Le disjoncteur différentiel d’alimentation de l’armoire de télésurveillance
03 disjoncteurs différentiels de réserve ;
Les transformateurs de courant
Les contacts de signalisation de défauts des disjoncteurs
Les relais à 14 broches
Les relais temporisés multifonctions
L’éclairage intérieur de la cellule commandé par l’ouverture de la porte ;
Une ventilation armoire avec filtre commandée par un thermostat ;
Le collecteur de terre, le câblage, une pochette porte -plans. Y compris tous accessoires de pose, de raccordement,
de repérage et toutes sujétions.
Résistance chauffante
Cette armoire comprend une cellule annexe de batteries de compensation globale du facteur de puissance pour atteindre une
valeur de Cos (Phi) minimale de 0,8 à monter à l’extérieur de l’armoire. Cette cellule sera de type préfabriqué équipé d’un
relais var métrique 12 gradins, les disjoncteurs de protection dimensionnés à 1,45 x le courant nominal des condensateurs,
les contacteurs de commande équipés de résistances de décharge.
Ainsi, qu’une cellule d’alimentation en courant continu 24V et 48V y compris chargeur et batteries pour démarrage du groupe
électrogène alimentation des équipements de commande et régulation nécessitant ce courant munie de disjoncteur
divisionnaire pour prises de courant 24v.
Dans tous les cas, l’entreprise doit installer tous les accessoires (API, disjoncteurs, relais, contacteurs, minuteries…)
nécessaires à la bonne marche, régulation, sécurité et commande de l’ensemble des équipements
En face avant :
Trois voyants présence de tension ;
Un contrôleur permanent d’isolement (Vighilom) ;
Un analyseur de réseau ;
Un voltmètre et son commutateur
Les ampèremètres des trois phases
Un voyant défaut d’isolement ;
Le bouton poussoir effacement défaut
Le bouton poussoir essai lampes
Un klaxon 220Vac 100db
Bouton arrêt klaxon
Bouton essai klaxon
Un bouton à coup-de-poing d’arrêt d’urgence.
En face avant :
Trois voyants présence de tension ;
Un contrôleur permanent d’isolement (Vighilom) ;
Un analyseur de réseau ;
Un voltmètre et son commutateur
Les ampèremètres des trois phases
Armoire d’arrivée BT au niveau de la station de relevage des eaux vers les filtres à sable :
Elle comprendra essentiellement :
A l’intérieur :
Un disjoncteur de tête 4P/380V/ 50 Hz adéquatement calibré pour la puissance totale de la station ;
Un jeu de barres adéquatement calibré,
Les borniers de raccordement,
L’inverseur de sources automatique de tête composé par deux interrupteurs sectionneurs avec un verrouillage entre
eux
Un parafoudre avec sa protection
Les disjoncteurs différentiels pour alimenter les armoires de commande et protection des groupes de pompage des
eaux décantées vers les filtres à sable ;
Les disjoncteurs différentiels pour alimenter l’armoires de commande et protection des équipements de pré-
chloration (pompes doseuses, agitateurs, leur régulation…)
Le disjoncteur différentiel pour alimenter l’armoire d’automatisme de la station;
Le disjoncteur différentiel pour alimenter le coffret du débitmètre de sortie ;
03 disjoncteurs différentiels de réserve ;
Les transformateurs de courant
Les contacts de signalisation de défauts des disjoncteurs
Les relais à 14 broches
Les relais temporisés multifonctions
L’éclairage intérieur de la cellule commandé par l’ouverture de la porte ;
Une ventilation armoire avec filtre commandée par un thermostat ;
Le collecteur de terre, le câblage, une pochette porte -plans. Y compris tous accessoires de pose, de raccordement,
de repérage et toutes sujétions.
Résistance chauffante
Cette armoire comprend une cellule d’alimentation en courant continu 24V et 48V y compris chargeur et batteries pour
l’alimentation des équipements de commande et de régulation nécessitant ce courant munie de disjoncteur divisionnaire pour
prises de courant 24v.
Dans tous les cas, l’entreprise doit installer tous les accessoires (API, disjoncteurs, relais, contacteurs, minuteries…)
nécessaires à la bonne marche, régulation, sécurité et commande de l’ensemble des équipements
En face avant :
Trois voyants présence de tension ;
Un contrôleur permanent d’isolement (Vighilom) ;
Un analyseur de réseau ;
Un voltmètre et son commutateur
Les ampèremètres des trois phases
Un voyant défaut d’isolement ;
Le bouton poussoir effacement défaut
Le bouton poussoir essai lampes
Un klaxon 220Vac 100db
Bouton arrêt klaxon
Bouton essai klaxon
A l’intérieur :
Un interrupteur sectionneur général dimensionné correctement
Un jeu de barre
Un parafoudre avec sa protection
Le relais de phase pour la protection contre la perte de phase et la marche en monophasé ;
Pour chaque moteur, le disjoncteur moteur de protection pour chaque surpresseur
Pour chaque moteur, le démarreur-variateur de fréquence électronique adéquatement calibré permettant le
démarrage et l’arrêt progressifs des moteurs et le réglage de la vitesse du moteur permettant ainsi le réglage du
débit d’air refoulé ;
Jeu de filtres harmoniques correctement calibrés ;
Le contacteur de commande de chaque surpresseur
Minuteries, horloges, relais et éventuellement automates programmables pour l’asservissement des surpresseurs
conformément aux prescriptions du présent CCTP ;
Les contacts de signalisation de défauts des disjoncteurs moteurs
Le disjoncteur d’alimentation du ventilateur
Les transformateurs de courant
Les relais à 14 broches
Les relais de protection numériques multifonctions
Les disjoncteurs alimentant les circuits de commande et de signalisation
Un contacteur de ligne adéquatement calibré pour la puissance des moteurs ;
Les relais de signalisation ;
L’éclairage intérieur de la cellule commandé par l’ouverture de la porte ;
Un bornier de raccordement ;
Disjoncteurs de réserve
Le ventilateur d’armoire commandé par thermostat
Le collecteur de terre, le câblage, une pochette porte -plans. Y compris tous accessoires de pose, de raccordement,
de repérage et toutes sujétions.
Ensemble commande pour les extracteurs d’air du bâtiment des surpresseurs et de la salle de commande accolée
Résistance chauffante
Dans tous les cas, l’entreprise doit installer tous accessoires (disjoncteurs, relais, contacteurs, minuteries…) nécessaires à la
bonne marche, régulation, sécurité et commande de l’ensemble des équipements conformément aux prescriptions du présent
CCTP
En face avant :
Trois voyants lumineux indicateurs de présence de tension ;
Trois consoles d’affichage, de programmation et de commande des démarreurs-variateur de vitesse électroniques ;
Voltmètres et ampèremètres avec commutateurs pour chaque moteur ;
Afficheurs des relais numériques multifonction ;
Trois compteurs horaires ;
Trois voyants marche ;
Trois voyants arrêt;
Trois commutateurs à 3 positions (Manuel/O/Auto) ;
Trois boutons marche ;
Armoire de commande et de protection des groupes de pompages (valable pour les 02 stations de relevage) :
Elle comprendra essentiellement pour chaque pompe :
A l’intérieur :
- Un jeu de barre de section adéquate, les borniers de raccordement ;
- L’éclairage intérieur de l’armoire de commande par l’ouverture de la porte ;
- Une résistance chauffante ;
- Un disjoncteur pour la protection des relais ;
- Un disjoncteur pour la signalisation ;
- Une ventilation coffret avec filtre commandé par un thermostat
- Les contacts de signalisation de défauts des disjoncteurs moteurs
- Un démarreur électronique pour le démarrage et l’arrêt progressif des pompes et adéquatement calibré
pour la puissance du moteur du groupe de pompage
- Un disjoncteur moteur de tête calibré pour la puissance du moteur du groupe de pompage
- Un contacteur de ligne adéquatement calibré pour la puissance du moteur du groupe de pompage
- Un contacteur de court-circuitage adéquatement calibré pour la puissance du moteur du groupe de
pompage ;
- Disjoncteurs de réserve
- Un bornier de raccordement ;
- Le collecteur de terre, le câblage, une pochette porte-plans. Y compris tous accessoires de pose, de
raccordement, de repérage et toutes sujétions.
-
En face avant :
- Trois voyants lumineux indicateurs de présence de tension ;
- Une console d’affichage du démarreur électronique ;
- un compteur horaire ;
- un voyants marche pompe ;
- un voyants arrêt pompe ;
- un commutateur à 3 positions (Manuel/O/Auto):;
- un boutons marche pompe ;
Le collecteur de terre, le câblage, une pochette porte-plans. Y compris tous accessoires de pose, de raccordement,
de repérage et toutes sujétions.
En face avant :
Trois voyants présence de tension ;
Un commutateur de choix de commande « Auto/Manu/Arrêt » ;
Boutons poussoir « Marche Pompe » (Qté 2) ;
Boutons poussoir « Arrêt Pompe » (Qté 2) ;
Voyants de signalisation : états Marche - Arrêt – Défaut (Qté = 2 Marche, 2 Arrêt, 2 Défaut);
Départs d’alimentation des moteurs des groupes de pompage d’arrosage
Le bouton poussoir effacement défaut
Le bouton poussoir essai lampes
Dans tous les cas, l’entreprise doit installer tous accessoires (disjoncteurs, relais, contacteurs, minuteries…)
nécessaires à la bonne marche, régulation, sécurité et commande de l’ensemble des équipements conformément
aux prescriptions du présent CCTP
Armoires d’automatisme :
La cellule d’automatisme comprendra principalement les équipements suivants :
A l’intérieur de la cellule :
- Un automate programmable (API) dont la configuration est spécifiée ci-dessous.
- Les départs par disjoncteurs de tête divisionnaires
- Le relayage auxiliaire de commande de contrôle, de signalisation et d’automatisme
- Les alimentations et protection des transmetteurs
- Les convertisseurs de niveau, de pression, etc., …
- Un chargeur de batterie,
- Des batteries d’autonomie 24 heures
- Un bornier
- Le collecteur de terre des masses en barre cuivre nu, les tresses des masses et les liaisons à la terre de la
station
- L’éclairage intérieur de la cellule, commandé par contact de porte
- Une résistance chauffante 50 W avec thermostat et protection par disjoncteur
- Le collecteur de terre, le câblage, une pochette porte-plans. Y compris tous accessoires de pose, de
raccordement, de repérage et toutes sujétions
Face avant de la cellule :
- Commutateurs et BP nécessaires
- Vérines ou voyants de signalisation des états, défauts, etc.
- Afficheurs des grandeurs mesurées
Les fonctionnalités, à assurer par les API, sont les suivantes (liste non limitative) :
Automatisation locale du fonctionnement des équipements hydromécaniques de la
STEP (surpresseurs, pompes, échantillonneurs…) ;
Permutation automatique des surpresseurs et pompes, en fonction de : Leur disponibilité, Nombre
d’heures de fonctionnement (il faut veiller à ce que les surpresseurs affectés au même bassin aient
un nombre d’heures de fonctionnement voisin), Nombre de démarrages…
La collecte continue des informations pertinentes sur le fonctionnement de l’ensemble des ouvrages
et équipements à partir de l’instrumentation de mesure et leur transfert au système de
télésurveillance ;
Générer les alarmes nécessaires pour chaque type de défaut ou d’état limite, en fonction des
ouvrages ou équipements.
Permettre le mode manuel en cas de besoins ou en cas de panne de l’API.
La configuration minimale de l’API en tenant en compte des réserves équipées sera au moins :
Équipement E/S Nombre
ETOR 40
STOR 16
EANA 12
Total sans réserve SANA 8
Port de communication 2
Une réserve de 20 % sera à inclure par l’Entreprise pour chacun des types d’entrée et de sortie
N.B : Les dimensions des toutes les armoires (indépendamment de l’offre initiale de l’entreprise) doivent être suffisantes au
vue de l’encombrement des équipements et accessoires à y installer. A défaut, l’entreprise peut prévoir d’autres cellules sans
plus-value financière.
Chemins de câbles :
Les chemins de câbles seront constitués par assemblage d’éléments standard, de type industriel. Ils seront en acier inox.
La largeur des chemins de câble est dimensionnée pour offrir une réserve de place de 30% au minimum.
Les supports doivent être en acier inox et mis à la terre.
Caniveaux à câbles
Les caniveaux à câbles sont à utiliser pour les passages inférieurs à l’intérieur des locaux.
Fourreaux enterrés
Les câbles, à l‘extérieur des bâtiments, seront posés dans des fourreaux en PVC ou PEHD enterrés.
Les chambres de tirage seront disposées :
A chaque changement de direction ;
Toutes les 50 m sur les tronçons droits.
Doivent avoir des tampons en fonte D400, PRV ou tout autre matériau agrée par maitre d’ouvrage ;
Les fourreaux ont les caractéristiques suivantes :
Trois catégories de fourreaux : Une pour liaisons MT, une pour liaisons BT et une pour liaisons
instrumentation et bus de terrain ;
Diamètre offrant au moins 40% d’espace libre.
Tranchées sans fourreaux
La pose en tranchée sans fourreau est à éviter et est réservée aux câbles blindés ;
Dans de tels cas, les câbles doivent être posés à une profondeur de 0,80 m sur une couche de sable minimum de 15 cm
d’épaisseur, et couverts par une autre couche de sable ayant les mêmes caractéristiques (de la terre meuble tamisée pourra
être utilisée en remplacement du sable) et recouverts d’un grillage avertisseur.
Les plans, après exécution, doivent indiquer clairement et avec précision, tous les passages de câbles en tranchées,
Des bornes béton sont à utiliser pour les repérages de tous les passages.
L’éclairage intérieur sera prévu pour tous les bâtiments: Le local des surpresseurs, locaux des armoires de commande, Local
du poste de transformation, Local pour groupe électrogène, loge gardien, bâtiment d’exploitation.
L’éclairage extérieur d’ambiance concerne : l’éclairage extérieur des locaux, des pistes de circulation délimitant les bassins,
les parkings, les ouvrages projetés de prétraitement, station de pompage d’arrosage et mesure de débit à la sortie.
Les équipements électriques devront satisfaire les spécifications techniques générales du Chapitre F du présent CCTP,
lequel se réfère au Tome 6 du CCTG.
L’entreprise fournira la lustrerie complète pour assurer l’éclairement requis par zone tel qu’indiqué au CCTG. Les bureaux,
salle de contrôle, salle de réunion et parties communes seront équipés de luminaire fluorescent à grille 4x18W. Le local
technique sera équipé de luminaires étanches fluorescents 2x36W.
Le nombre de luminaire doit être suffisant pour assurer un éclairage très satisfaisant. Le niveau d’éclairement dans chaque
local doit être conforme aux spécifications du CCTG.
La loge du gardien et les pas de portes seront dotés de hublots étanches 75W.
Toutefois, les luminaires devront être présentés pour validation par l’ONEE-BO avant installation. Les niveaux d’éclairement
requis et les spécifications de l’appareillage étant celles du CCTG. L’entrepreneur devra présenter des échantillons pour
l’approbation par l’ONEE-BO et son architecte.
L’éclairage extérieur des locaux est prévu par des hublots étanches 75W
Pour l’éclairage extérieur des ouvrages, il est prévu par des luminaires double crosse étanches sur poteaux de 4m de hauteur
en acier ou aluminium et teintés en deux couches antirouilles et une couche en résine époxy anticorrosion teintée de couleur
au choix du maitre d’œuvre implantés sur des massifs en béton armé.
Le nombre et disposition, en respect du niveau d’éclairement demandé au niveau du CCTG, est à indiquer dans un plan à
soumettre à l’approbation.
Les massifs d’ancrage sont à justifier par une note de calcul.
L’alimentation de ces luminaires est assurée en deux circuits alternés depuis le tableau électrique par câble 5 fils pour
assurer l’équilibrage des phases.
La commande de l’éclairage extérieur doit être permise par :
- Commande manuelle par bouton poussoir installé dans un lieu au choix du maitre d’ouvrage ;
- Commande automatique par cellule photoélectrique à placer dans un endroit non sujet à l’illumination
des luminaires.
Eclairage de sécurité :
L’entrepreneur est amené à assurer l’éclairage de secours au niveau de tous les locaux par bloc autonome d’éclairage de
sécurité (balisage) type 60 lumens, minimum 3 heure, bloc en métal et verre IP 42 minimum.
Les étiquettes seront de type européen suivant NFX 08.003 et les blocs comporteront des voyants de contrôle. Ils doivent
permettre la signalisation des issues, le balisage des circulations, cheminements et changements de direction. Un plan
d’implantation et de raccordement des blocs de secours ainsi que des échantillons seront soumis à l’approbation du maitre
d’ouvrage.
En effet, l’exploitant doit pouvoir suivre en temps réel les conditions de fonctionnement des équipements de la STEP, il est
prévu la mise en œuvre d’un poste de supervision, tel que décrit ci-dessous.
Les fonctionnalités, à assurer, par ce poste de supervision sont :
La gestion (archivage et restitution) de l’ensemble des données d'exploitation ;
L’édition des bilans des historiques, etc. ;
Les affichages des synoptiques animés (synoptique de la station, synoptique par entité fonctionnelle, synoptique
par équipement), avec affichage des informations d’exploitation sur ces synoptiques ;
L’affichage des paramètres d’exploitation ;
L’affichage des courbes, des alarmes, etc. ;
La génération des rapports des alarmes et des évènements ;
L’affichage, la consultation et l’exportation des vidéos des caméras de surveillance ;
La génération des rapports d’exploitation sur la base de modèles préétablis…
Le but de ce système est d’importer et archiver les données et il n’est pas nécessaire d’y intégrer des fonctions de
commande, action et changement à distance d’état des équipements électromécaniques et électriques.
Cependant, le système doit permettre la saisie par l’utilisateur d’autres données nécessaire au suivi des performances de la
station tel que les résultats des analyses périodiques de qualité d’eau, les consommations d’énergie…
L’architecture matérielle et logicielle d’automatisme, à mettre en œuvre dans le cadre du présent marché, devra assurer une
exploitation sécurisée, souple et économique des ouvrages de cette STEP. Cette architecture sera équipée :
Des API prévus dans les armoires et coffrets des ouvrages au niveau local ainsi que tous les API supplémentaires
éventuels jugés nécessaires ;
Tout le matériel informatique et d’automatisme nécessaires pour acquérir à l’aide d’interfaces d’entrées – sorties
toutes les données nécessaires (TOR, Analogiques, communication, etc.) ;
Des logiciels permettant la programmation, le paramétrage et le traitement des fonctions d’automatisme ;
NB : Les prix unitaires de l’entrepreneur devront inclure l’ensemble des opérations de développement, paramétrage, réglages
et saisie des données des programmes d’informatique industrielle des équipements d’automatisme et de supervision y
compris synoptiques.
Logiciel de supervision :
Le logiciel de supervision doit offrir une interface homme machine (IHM) qui accepte des plateformes ouvertes (Windows de
version la plus récente) et constitue la meilleure solution pour la surveillance et la commande des machines et des process.
Il doit permettre :
Gestion sécurisée des accès :
Créer et de gérer divers comptes utilisateurs privés, chacun avec des droits d’accès particuliers.
Permettre de configurer des comptes utilisateurs avec des noms utilisateurs, mots de passe, macros d’ouverture et
de fermeture de sessions, ainsi chaque utilisateur peut accéder uniquement aux pages et émettre les commandes
auxquelles il est autorisé.
Editeur graphique :
Il doit posséder un éditeur évolué permettant des fonctions de test « autorun », et dispose d’un jeu complet d’objets et de
fonctions de dessin :
Outils d’édition pour dessiner, retourner, pivoter, organiser, aligner, grouper, copier, coller des objets graphiques.
L’animation des objets tel que : fond, position, remplissage, visibilité, rotation, taille, couleur et curseur.
Des barres d’outils incluant graphiques, objets, alignements, états, motifs, couleurs de premier plan et couleur
d’arrière-plan.
Importation d’autres formats graphiques
Dès qu’une condition d’alarme se produit, un écran d’avertissement doit apparaître pour avertir l’opérateur, une alarme
sonore et un message sur imprimante peuvent être envoyé.
Les fonctionnalités du système doivent comprendre :
Déclenchement d’alarmes textuelles sur points analogiques, digitaux ou expression mathématique ou logique
Déclenchement sur bit de poids faible
Possibilité d’acquitter, couper une alarme sonore et effacer les alarmes
Capacité de traiter les alarmes par zone ou par type…
Il doit permettre l’affichage des courbes de tendance pour des variables analogiques ou digitales en temps réel avec des
mises à l’échelle.
Les enregistrements peuvent être effectués soit en local soit sur disque dur déporté.
Les messages locaux pour informer l’utilisateur sur l’état de son process, peuvent être déclenchés par points analogiques,
digitaux, expressions mathématiques ou logiques.
N.B : les licences des systèmes d’exploitation et du système de supervision devront être remis au Maître d’Ouvrage et doivent
être enregistrées en faveur du Maître d’Ouvrage chez l’éditeur de logiciel.
L’écran mural synoptique de la station sera conçu, réalisé et placé dans la salle de contrôle sous forme d’un écran LED de 65
pouces.
Il permettra les affichages des synoptiques animés (synoptique de la station, synoptique par entité fonctionnelle, synoptique
par équipement), avec affichage des informations d’exploitation sur ces synoptiques ;
Il s’agit de représenter les différentes étapes du traitement sous forme de vues animées pour visualiser :
L’état des organes pilotés (marche, arrêt, auto, défaut),
Les grandeurs physiques ou chimiques sous forme numérique ou barographes.
L’accès aux différents synoptiques sera possible à l’aide de la souris ou des touches de fonctions prédéfinies.
Caméras de télésurveillance
Il sera aussi installé au niveau de la station un système de surveillance par caméras IP de haute résolution orientables avec
zoom pour la surveillance des divers ouvrages de la station avec possibilité de zoomer sur n’importe quel ouvrage y compris
la transmission et archivage de l’image/vidéo sur un PC muni d’un support de stockage informatique suffisamment
dimensionné pour une période d’un mois de surveillance continue et d’une connexion Internet afin de transmettre les images
vers différents postes distants. Ce PC sera placé dans la salle de contrôle de la STEP.
Le nombre de caméras est à déterminer pour la couverture visuelle des ouvrages de la station ainsi que l’extérieur du portail
d’accès et ce dans la mesure du possible.
Il est à signaler que les images prises par les caméras de surveillance peuvent être visualisées par tout appareil distant (PC
distant, Smartphone, …) relié au réseau Internet.
Formation sur le système :
La formation du personnel sera composée de 2 modules de 5 jours chacun :
Nombre de personnes par module : 8
Lieu : Site de la STEP
Thèmes : Exploitation du système de contrôle commande, diagnostic et maintenance
Pour tout ce qui se rapporte à l’organisation, l’installation et le suivi des chantiers, valent les prescriptions des Chapitres II et
III des clauses générales du cahier de clauses administratives et financières (CCAFG), auxquelles les clauses techniques qui
suivent viennent en complément.
104.1 Bureaux du Maître d'Œuvre
Les installations seront conformes aux spécifications de l’article 104.1 du CCTG.
Pour tout ce qui se rapporte à la préparation du dossier d’exécution, valent les prescriptions des Articles 10, 20 et 31 des
clauses générales du cahier de clauses administratives et financières (CCAFG), auxquelles les clauses techniques qui
suivent viennent en complément.
106.1 Documents techniques existants
L’article 106.1 du CCTG est complété comme suit :
L'Entrepreneur disposera pour l'exécution de ce projet des documents techniques énumérés ci-après et joints aux pièces du
présent marché :
Volume / Pièce N° 3 – Spécifications techniques
- Pièce N° 3.1 : Cahier des clauses techniques particulières
- Pièce Nº 3.2 : Cahier des clauses techniques générales
Volume / Pièce N° 4 – Bordereau des prix
- Pièce N° 4.1 : Définition des prix
- Pièce Nº 4.2 : Détail estimatif
Volume / Pièce N° 5 – Dossier de plans
Les documents cités ci-dessus ont pour objet de donner à l’Entrepreneur un ensemble d’informations techniques sur la nature
et la consistance des ouvrages et sont susceptibles de modifications. Les plans joints au dossier de consultation des
entreprises doivent être considérés comme plans guides pour les études d’exécution et travaux à réaliser.
De plus, en conformité avec l’Article 106 du CCTG, l'Entrepreneur doit valider ou corriger tous les documents annexés au
marché, considérés comme plans guides, et est responsable de l’établissement des dossiers du projet d’exécution de
l’ensemble des travaux, objet du marché pour satisfaire les clauses techniques particulières décrites, ci-après.
L’entrepreneur devra réaliser toutes les études nécessaires à la réalisation des travaux, y compris tous les documents
permettant au Maître d’Ouvrage d’analyser en détail et d’approuver les solutions techniques proposées, et tous les
documents nécessaires à l’exploitation et à l’entretien de toutes les composantes de la station d’épuration.
Le dossier d’exécution comporte principalement, de manière non exhaustive :
Les études complémentaires (géotechniques, topographiques …)
Mémoire technique (organisation et mode d’exécution des travaux, moyens humains et matériels, planning
d’exécution des travaux…)
Profil et note de calcul hydraulique
Note de calcul des ouvrages (béton armé, stabilité des talus, fondations…)
Notes de calcul électricité et automatisme
Plans d’implantation
Plans de terrassement
Plans génie civil
Plans de détails des équipements
Plans de détail des différents ouvrages
Notices d’installation
Schémas électriques
Fiches techniques fournisseurs bien détaillées (Equipements électriques et électromécaniques)
Spécifications techniques détaillées des équipements, qualité des matériaux, conditions de fonctionnement des
équipements, notes de calcul de dimensionnement des équipements et les systèmes de levage/manutention des
équipements
Note de calcul des ancrages
106.5.4 Dossier d’exécution des stations de pompage
Pour le pompage des eaux épurées, l’Entrepreneur fournira l’étude et les plans d’exécution du Génie Civil et d’équipement de
l’installation en conformité avec les prescriptions du CCTG.
Elle comprend la liste des responsables sur le chantier pour l’ensemble des entreprises, sous-traitants et fournisseurs
principaux inclus. Elle présente l’organigramme de l’Entreprise sur le chantier et désigne nommément le directeur de chantier,
les conducteurs de chantier, les chefs de chantier et le responsable chargé des contrôles qualité. Elle décrit également
comment sont assurées les missions, relatives aux reconnaissances à l’avancement, aux auscultations et à la coordination
entre les études et les travaux.
Elle explicite également, de façon détaillée, les principes de la gestion des documents, notamment :
Le calendrier de fourniture des documents ;
Le nombre de documents adressés au maître d’œuvre, aux bureaux de contrôle et autres intervenants ;
Les principes et délais pour les vérifications et modifications.
B - Procédures d’exécution
Les procédures d'exécution sont des documents écrits, qui définissent notamment :
La partie des travaux faisant l’objet de la procédure considérée ;
Les documents de référence, relatifs aux travaux objets de la procédure et les prescriptions du marché s’y
rapportant, les moyens en personnels et en matériels spécifiques ;
La description des modes opératoires, de la méthodologie, des consignes d’exécution ;
L’enchaînement des tâches faisant apparaître les points critiques et les points d’arrêt ;
Les mesures de prévention et de traitement résultant de l’analyse des risques en matière de sécurité et de
protection de la santé des employés de l’entreprise ;
Les contrôles relevant du contrôle intérieur faisant apparaître les intervenants, les épreuves à réaliser, la
nature et la fréquence des contrôles et les critères d’acceptation ;
Les étapes sensibles de l’exécution, qui nécessitent des vérifications particulières. On distingue les points
critiques et les points d’arrêt ;
Les évènements à considérer comme des anomalies et nécessitant une information du maître d’œuvre et une
action corrective (traitement des non conformités) ;
Le cas échéant, les interactions, les liaisons avec d’autres procédures et les conditions préalables à remplir
pour l’exécution de certaines tâches.
C - Contrôle intérieur
Le contrôle intérieur désigne l’ensemble des contrôles exercés par le titulaire ou pour son compte, sur ses propres actions ou
celles de ses sous-traitants. Les laboratoires, opérant les contrôles internes du titulaire, sont soumis à l’approbation de
l’ONEE, Branche-Eau.
Il appartient au titulaire de définir, dans son PAQ, et en particulier dans ses procédures d’exécution, l’organisation et les
missions de son contrôle intérieur. Fidèle aux dispositions des procédures d’exécution, le contrôle intérieur s’exerce de façon
permanente et à tous les échelons de l’exécution sous l’autorité de la personne désignée par le titulaire qui dirige le chantier.
Les étapes sensibles de l’exécution font l’objet de vérifications particulières.
Le titulaire définit la liste des points critiques et d’arrêt du PAQ, et si besoin, en cours de chantier. Les points critiques et les
points d’arrêt sont rappelés dans les procédures d’exécution concernées.
E - Contrôle extérieur
Le contrôle extérieur désigne l’ensemble des contrôles exercés sur les actions du titulaire ou de ses sous-traitants par
l’ONEE, Branche-Eau, indépendamment des processus de production et de contrôle interne. Le titulaire donne toutes facilités
pour l’exercice du contrôle extérieur. Les dispositions correspondantes sont prises en compte dans le PAQ, et en particulier,
dans les procédures d’exécution.
Le règlement des contrôles extérieur est à la charge de l’ONEE Branche-Eau ; ne sont pas inclus les contrôles menés par le
bureau de contrôle agréé pour le GC y compris étanchéité, bureau de contrôle agréé pour les essais d’aération, laboratoire
géotechnique et béton, topographe agréé obligatoire et d’autres organismes officiels requis pour la délivrance de conformité
électrique, instrumentation, …, qui sont réputés à la charge de l’entreprise. Au cas de non-conformité d’une prestation, les
essais de contrôle sont repris (avec éventuellement des essais complémentaires) à la charge du titulaire. Ce dernier est
informé des résultats de ces contrôles et en tient compte pour la direction de l’exécution du contrat de travaux.
4.2 Mesures environnementales et sociales à intégrer dans les offres techniques et financières
Pour tout ce qui se rapporte à la protection de l’environnement, valent les prescriptions du paragraphe 6.- de l’Article 24.1 des
clauses générales du cahier de clauses administratives et financières (CCAFG), auxquelles les dispositions qui suivent
viennent en complément.
L'Etude d'Impacts Environnementale et Sociale (EIES) ainsi que le Plan de Gestion Environnemental et Social (PGES),
documents réalisés à partir des études techniques et de missions sur le terrain, ont identifiés les impacts tant positifs que
négatifs qui découleront des travaux du projet.
Pendant toute la durée de l’exécution des travaux, l’Entrepreneur doit tenir compte des recommandations de l’Etude
d’Impacts Environnementale et Sociale (EIES) et respecter les stipulations du Plan de Gestion Environnemental et Social
(PGES) élaboré pour la phase des travaux.
Les couts en résultants sont réputés inclus dans l’offre initiale de l’entreprise et ne peut donc prétendre à aucune plus-value
financière supplémentaire.
203.1 Déblais
Il sera procédé en premier lieu au désherbage et déboisage (enlèvement des roseaux le long des digues) de l’ensemble des
surfaces à déblayer
Les déblais sont exécutés dans toutes natures de terrain (même rocheux) jusqu'à obtention de la côte indiquée sur les
plans.
L’arase au niveau des digues sera réglée et compactée de manière à obtenir les valeurs suivantes :
Ev1 > 15 MPa
Ev2 > 30 MPa
Ev2 / Ev1 < 2
Les fouilles en pleine masse, puits ou rigoles seront faites avec le plus grand soin.
Les parements bien dressés, les fonds des déblais et tranchées de niveau seront dressés, bien réglés et pilonnés suivant
besoin. L’Entrepreneur sera responsable de tous les éboulements ou accidents qui pourraient survenir. Les blindages ou
épuisements si besoin et les étais y afférents sont à la charge de l'Entrepreneur qui déclare avoir pris parfaitement
connaissance de la nature du sol au moyen de sondage.
Si les épuisements doivent être effectués, ils seront à la charge de l'Entrepreneur qui devra les réaliser conformément aux
indications du Maître d'ouvrage.
1.1 Décapage
Les travaux de décapage des terres arables et végétales et la mise à niveau du terrain dans l’emprise des ouvrages à
réaliser seront exécutés par l'Entrepreneur, et inclut notamment :
Le décapage des terres arables jusqu’à une profondeur de 20 cm, et son entreposage à proximité des bords de
fouilles ou en dépôt à l'endroit défini par le Maître d’œuvre, pour son réutilisation comme terre végétale,
La mise à niveau du terrain à l’encaissement prescrit dans les plans d’exécution de l’ouvrage,
Pour les bassins existants, la couche d’enrochement existante doit être enlevée et évacuée à la décharge publique (ou vers
le lieu indiqué par la maitre d’ouvrage).
Quel que soit la technique d'extraction de la terre végétale retenue, les précautions suivantes seront prises :
La terre végétale ne sera mélangée à aucun autre matériau
Elle ne sera pas stockée sur plus de deux (2) mètres d'épaisseur
Remblai secondaire :
Le remblai secondaire est utilisé pour le remblayage de la tranchée, entre la dernière couche du remblai primaire et la
couche de surface. Il est constitué :
Soit par des matériaux extraits sélectionnés : Ces derniers ne doivent contenir, ni racines ni terre
végétale, ni matières organiques ou argile ;
Soit par des matériaux d’apport qui devront faire l’objet d’une approbation préalable du Maître
Ouvrage à partir de leurs caractéristiques granulométriques et limites d’Atterberg.
N.B : les tuyaux devront être posés selon l’alignement et les pentes indiquées sur les plans ou prescrits par le Maître
d’ouvrage.
Le volume de remblai secondaire des canalisations sera calculé pour la largeur de tranchée LT définie par l’Art. 206.2.2, la
hauteur calculée depuis le niveau supérieur du remblai primaire jusqu'au niveau de finition, sur la longueur mesurée d’axe à
axe des regards amont et aval de chaque tronçon porté sur les plans approuvés, déduction faite du volume correspondant à
l’épaisseur des différentes couches composant le revêtement éventuel. Le volume ainsi calculé tient compte de toutes les
sujétions d’exécution, en particulier de celles relatives aux remblais autour des ouvrages annexes dont l’Entrepreneur doit
avoir tenu compte dans l’établissement de ses prix unitaires.
Les digues des bassins seront réalisées en priorité par les matériaux issus des déblais. Le recours aux matériaux d’apport
n’est autorisé qu’après justification par le laboratoire de chantier et accord expresse et préalable du maitre d’ouvrage.
Les talus des digues auront des pentes internes de 2.0H/1V. La largeur de la digue en crête est fixée à 4 m, pour les digues
projetées.
La crête de la digue sera surmontée par une couche de tout venant GNF 0/40 compacté sur une épaisseur finie de 20 cm,
suivant prescriptions du CCTG et CCTP et plans fournis, comprenant : La fourniture, transport, mise en dépôt provisoire
éventuelle, épandage, arrosage, malaxage, nivellement et compactage à 98% OPM du matériau GNF 0/40 ;
NB : L'Entrepreneur doit avertir le Maître d'Œuvre superviseur de l'achèvement de chaque phase de travail avant le
déclenchement de la phase suivante (décapage, fouilles, etc.). Le contrôle de chaque phase fera l'objet d'un PV signé
par les deux parties. Toute phase de travail réalisée et non contrôlée ne sera pas prise en compte pour le paiement de
l'entreprise (et notamment les travaux dont la supervision est impossible après l'achèvement des travaux).
L’entrepreneur établira et soumettra au maître d’œuvre un tableau de mouvement des terres complété par le plan des
mouvements de terre, qui définit la destination générale (mis en dépôt provisoire en vue d’un emploi ultérieur, ou en
dépôt définitif) de chaque nature de déblais ou emprunts...
.
206.2.4 Sur-profondeur
L’article correspondant du CCTG est modifié comme suit :
Toute sur-profondeur du fond de fouille du fait de l'Entreprise devra être remblayée soigneusement et damée par couches
successives à la charge de l'Entrepreneur.
Dans le cas de terrain de faible portance, une consolidation par la mise en place d'un tapis anti contaminant, de dalles de
propreté en béton de ciment en vue d'assurer le nivellement très précis, de dalles de répartition, ou dans le cas de présence
de la nappe, un matelas drainant de gravier, peuvent aussi être imposés par le Maître d'Œuvre. L’excavation
correspondante supplémentaire sous le niveau inférieur du lit de pose ou du béton de propreté sera calculée séparément.
La construction de la digue de séparation des bassins d’aération et de décantation sera réalisé selon les procédés
approuvés par le Maître d’Œuvre et décrits dans le mémoire technique à établir par l’Entrepreneur comme prévu à l’Article
106 du CCTG et conformément aux prescriptions de l’Article 106.5 du présent CCTP.
Les matériaux à utiliser pour les remblais compactés sont issus en priorité des déblais, selon les procédés définis par le
mémoire technique dont objet à l'Article 106 du CCTG et dûment approuvé par le Maître d'Œuvre ou son représentant.
L’assemblage entre les différents panneaux de géomembrane PEHD sera réalisé par thermo fusion sans apport de matière
avec machine automatique, selon la technique de la double soudure avec canal central permettant le contrôle systématique
des joints, et doit être effectué par un organisme qualifié, à la charge de l’entreprise. Les soudures manuelles ne seront pas
autorisées, sauf dans les cas particuliers dûment soumis à l’accord préalable du maître d’œuvre. Les recouvrements entre
deux lés auront au moins 5 cm de largeur. Le plan de pose sera tel que les assemblages multiples ne comporteront jamais
plus de trois éléments en un point donné ; sur les talus, la ligne d’assemblage sera toujours positionnée suivant la ligne de
plus grande pente, de manière à éviter dans la mesure du possible les assemblages horizontaux.
Pour les raccordements aux surfaces de béton des ouvrages d’entrée et de sortie, l’étanchéité au droit du raccordement
sera assurée par la fixation mécanique d’un réglet en acier inoxydable, qui comprime deux bandes compressibles étanches
placées de part et d’autre de la géomembrane. Le réglet inoxydable d’une largeur de 40 mm et d’une épaisseur de 3 mm
sera fixé par des chevilles inoxydables de diamètre minimum 6 mm, disposées avec un espacement maximum de 30 cm.
Tout autre procédé prévu par l’Entrepreneur devra être conforme aux recommandations du fabricant de la géomembrane et
soumis à l’approbation préalable de maître d’œuvre. Tous ces éléments sont compris dans le prix du m2 de géomembrane
installée et testée qu’il s’agisse du 1er étage d’aération ou du second étage.
Il est à noter que l’entreprise doit prévoir un organisme qualifié, à sa charge, pour le contrôle des soudures des membranes.
Le sol d’appui devra être arrosé et compacté et sa surface parfaitement lisse et exempte de de pierres anguleuses de plus
de 5mm. Dans le cas contraire, une couche de matériau d’apport fin et meuble de 5 cm d’épaisseur répondant à ces
spécifications est à prévoir comme fondation au dispositif d’étanchéité à mettre en œuvre.
Le géotextile anti poinçonnement de protection de la géomembrane d’étanchéité devra être en polypropylène, du type non-
tissé et aiguilleté ; il devra répondre aux spécifications techniques données ci-après qui s’entendent comme caractéristiques
mécaniques minimales à respecter :
Pareil au cas des géomembranes, l’Entrepreneur est obligé de respecter les instructions et recommandations du fabricant
pour le stockage, la manutention et la mise en œuvre des géotextiles anti-contaminants ou de séparation.
D. GENIE CIVIL
Pour tout le Chapitre Génie Civil, sont d’application les articles correspondant du Tome 4 du CCTG, sans modifications.
En conformité avec l’Article 106 du CCTG, l'Entrepreneur doit valider ou corriger tous les documents annexés au marché et
est responsable de l’établissement des dossiers du projet d’exécution de l’ensemble des travaux objet du marché, y compris
les études, plans d’exécution et plans de montage des équipements, pour satisfaire les clauses techniques particulières
décrites ci-après.
L’Entrepreneur devra réaliser toutes les études d’exécution et travaux nécessaires à la fabrication, au montage, aux essais
et à la mise en service des équipements hydromécaniques et hydrauliques de la station d’épuration, en conformité avec les
spécifications techniques particulières décrites à l’Article 101 du présent CCTP, les prescriptions générales du Tome 5 du
CCTG et les plans guides joints au dossier d’appel d’offres.
ARTICLE 3 : GARANTIES
Le délai des garanties et leurs applications sont fixés par l’Article 42 du CCAFG.
ARTICLE 11 : AUTOMATISME
Voir l’article 101 du présent CCTP pour la description des équipements électriques à installer. Sauf dérogation mentionnée
dans cet article, ces installations seront conformes aux spécifications techniques de l’article correspondant du Tome 6 du
CCTG.
ARTICLE 12 : TELEGESTION
Il n’est pas prévu de télégestion dans le cadre du présent marché, toutefois et dans la mesure du possible, les équipements
et armoires électriques, de commande et de contrôle à livrer et installer devront être prévus pour permettre un raccordement
facile à un éventuel futur système de télégestion.
Cependant, un système de télésurveillance est prévu dans le cadre du présent marché (voir description et spécifications
dans l’article 101 du CCTP). Les articles correspondants du CCTG sont appliqués avec compléments ou dérogations par le
CCTP.
3. Rapports à produire
Tous les 3 mois, l’Adjudicataire doit remettre au Maître d’Ouvrage un mémoire environnemental et social (selon les canevas
ci-après) dans lequel il détaille :
L’évolution du manuel de procédures de surveillance environnementale des travaux ;
La synthèse des mesures d’atténuation mise en œuvre (nature, lieu, durée).
Ce rapport sera remis par l’Adjudicataire au Maître d’Ouvrage avec l’attachement du mois correspondant.
DEBROUSSAILLEMENT
L'Entrepreneur ne pourra débroussailler que les zones définies par le Bureau d’Etude chargé de la supervision des travaux
ou proposées par lui, en accord avec le Bureau d’Etude chargé de la supervision des travaux.
Lors du débroussaillement, il sera tenu, une semaine avant d'entamer les travaux, d'informer les responsables des
différents villages concernés, de la date du début des travaux et de la possibilité pour eux de récupérer les bois et matériaux
enlevés n'appartenant pas à des particuliers.
De plus, il devra vérifier que les propriétaires d'arbres fruitiers sont indemnisés.
Les arbres, dont le diamètre est supérieur à 20 cm mesuré à 1m de hauteur, ne devront être abattus qu’en cas d’absolue
nécessité.
TRAVAUX DANS LES COURS D’EAU ET MAINTIEN DU LIBRE ECOULEMENT DES EAUX
L’Entreprise devra réaliser les ouvrages hydrauliques sans interrompre le libre écoulement des eaux. Les ouvrages
provisoires éventuels devront être suffisamment dimensionnés et bien positionnés pour assurer un écoulement normal, en
évitant en particulier une rétention d’eau en amont.
Toutes les précautions seront prises, pour éviter la pollution, même momentanée, des cours d’eau.
remise en état b) Veiller à la propreté des voies publiques et privées empruntés par les véhicules
du chantier tout au long des travaux. Si nécessaire veiller à arroser les rues et
stationnements pendant les périodes sèches.
ANNEXE N°3
FICHE D'ANOMALIE
Suivi de l'anomalie :
Observations particulières :
Lu et accepté
Cachet et signature de l’Entreprise