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Sommaire
Objectifs du TD…………………………………………………………………………………………….... 3
Déroulement des séances : travail à faire lors des TD, entre les TD……………..…. 6
Evaluation………………………………………………………………………………………………….… 10
Bibliographie complémentaire……………..………………………………………………………. 13
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Objectifs du TD
Objectifs théoriques
Par la pratique de l’enquête, apprendre à avoir un regard sociologique sur son
environnement : curieux, attentif au monde social, non normatif, critique pour les
systèmes, compréhensif pour les personnes.
Développer la capacité à décrire et à objectiver les situations sociales, les ressources
(économiques, culturelles, sociales, symboliques) dont chacun.e dispose pour vivre
Prendre conscience des inégalités dans la répartition de ces ressources
Comprendre les actions des personnes en les réinscrivant dans leur propre histoire
(ce qu’on appelle leur socialisation) et dans les valeurs des mondes sociaux dans
lesquels elles vivent – les systèmes de normes et de valeurs dépendent des époques,
des cultures, des familles dans lesquelles elles ont grandi, des ami.es qu’elles
fréquentent, des métiers qu’elles font…
Penser les interdépendances entre les humains, et entre les humains et le reste du
monde vivant, les effets systémiques - les individus n’existent pas en dehors d’un
ensemble de relations sociales, de contraintes liées aux organisations des sociétés,
notamment économiques. Une société n’est pas une somme d’individus mais bien un
réseau de relations et de rapports sociaux. En l’occurrence la consommation
alimentaire n’est pas qu’une affaire individuelle, elle dépend fondamentalement de
l’organisation des réseaux de production et de distribution. Elle dépend aussi de
l’ensemble des interdépendances avec le monde vivant. Elle est donc un objet
politique au sens fort du terme.
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Ressources pour réussir …
Vous devez être assidu en cours (tolérance d’une absence non justifiée sur les 6 séances de
TD – au-delà, défaillance en session 1 et suppression des bourses d’étude). Et y être actifs et
concentrés : préparer d’une séance sur l’autre ce qui vous est demandé, prendre des notes,
poser des questions, participer aux activités demandées, relire et mettre au propre vos notes
au fur et à mesure, procéder à des lectures complémentaires.
Vous êtes là pour apprendre, et donc vous avez le droit de vous tromper et de ne pas savoir.
Mais le TD est un lieu pour travailler ! Si vous voulez discuter ou rigoler avec vos copains, il y
a d’autres lieux à l’Université que les salles de cours ou les amphis : la cafétéria, le RU, la
salle de muscu, le terrain de foot, les espaces extérieurs…
On peut aussi apprendre en-dehors de l’Université et si vous ne trouvez pas votre place ici,
vous pouvez aller expérimenter d’autres lieux pour vous former.
Les bibliothèques universitaires sont absolument à fréquenter toute l’année (si la situation
sanitaire vous le permet !), dès qu’il y a des « trous » dans l’emploi du temps.
Le mieux est de travailler à plusieurs – pour se motiver, se donner un cadre de travail
collectif, s’expliquer mutuellement ce qu’on a appris, compris, ou pas, et surtout de travailler
REGULIEREMENT. L’année universitaire est très courte, il faut entrer dans les exigences de la
fac dès les premières séances.
… en sociologie
Les étudiant.es en sciences sociales sont des étudiant.es aussi curieux dans les cours qu’en
dehors des cours : lire des livres, la presse quotidienne (notamment Le Monde, Mediapart,
Reporterre), des magazines (notamment Sciences Humaines, Alternatives Économiques) ;
regarder des documentaires, des films, y compris des vidéos youtube de bonne qualité ;
discuter à bâtons rompus sur des sujets de société avec des personnes de milieux sociaux
variés et les écouter ; écouter la radio (France Culture, France Inter...) ; s'engager dans des
associations ou des mouvements militants ; assister à des conférences ou des réunions
publiques (à la fac / dans la ville), à des spectacles ; travailler l'été ou pendant les vacances...
Autant de moyens de faire grandir votre acuité sociologique ; de donner du sens à vos
études ; de construire votre parcours de formation.
Les articles sociologiques sont indexés essentiellement sur deux bases de données,
disponibles sur le site de la bibliothèque universitaire (ent/bibliothèque/UBODOC/Disciplines
philo-psycho-socio) : CAIRN et PERSEE. La base de données EUROPRESS est également une
ressource majeure pour vous.
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… dans ce TD
Le présent document est là pour vous aider à organiser et planifier votre travail et votre
progression. Un travail est à réaliser entre chaque TD (lectures de texte, travaux de terrain
hors des murs de la fac, recherches documentaires, travaux de rédaction, parfois seuls,
parfois à plusieurs – mais dans tous les cas, même pour des travaux individuels, se donner
ensemble des créneaux horaires de travail à côté est motivant et pertinent) : il peut vous
prendre entre 2h et 5h par quinzaine, ne vous y prenez donc pas au dernier moment !
Donc il est attendu 11 h de présence en TD + 30h à 35h de travail personnel pour ce
semestre.
Rappel des standards européens : 1 crédit ECTS = 25h de travail. 3,5 crédits ECTS = env.85 h
de travail en sociologie ce semestre (CM + TD).
30 crédits ECTS = 750h pour le semestre = 45h de travail par semaine sur 15 semaines
(incluant bien entendu le travail personnel !!!) pour l’ensemble des matières. Ça vous laisse
encore 22 semaines sur l’année où vous pouvez apprendre en dehors de la fac !
Tous les textes qui sont à lire d’une séance à l’autre sont sur Moodle,
accessibles depuis votre ENT
Moodle > UFR Droit, éco, gestion, administration > AES > L1 >
Introduction à la sociologie > TD
Pour vous aider à vous organiser, nous vous proposons une organisation par groupe de 4 à 6
étudiant.es sur le semestre.
Ce groupe, qui ne s’est pas forcément choisi, est solidaire pendant les 6 séances. Il travaille
ensemble pendant les TD (et se constitue son propre outil de communication pour
communiquer en dehors du TD – document partagé + réseau social). En cas d’absence de
l’un ou l’autre membre du groupe, les informations importantes seront transmises aux
absent.es (ainsi qu’aux retardataires). Ces absent.es veilleront à avoir transmis aux
présent.es les éléments importants du travail afin de ne pas pénaliser leurs camarades.
Apprendre à s’organiser en équipe, se sentir responsable dans un collectif sont des
compétences essentielles dans une perspective professionnelle, particulièrement pour des
étudiant.es qui s’engagent dans des études d’administration et de gestion.
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Déroulement des séances
Objectifs séance 1
Clarifier les enjeux de la sociologie
Présenter l’objet de l’enquête et ses enjeux : une monographie de ménage ou portrait
de famille centré sur l’observation de deux repas du quotidien
Comprendre la différence entre ménage et famille (INSEE)
Organiser les groupes de travail, présenter l’organisation du TD
Choisir le ménage enquêté et démarrer l’enquête sur place (entretiens croisés ;
restitution par groupe)
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Objectifs séance 2
Comprendre les enjeux de l’observation, la place de l’observateur et ses implications
sur les observations / réfléchir aux conditions d’observation rencontrées par chacun.e
Construire une grille d’observation systématique pour objectiver la situation sociale
du ménage enquêté
Objectifs :
Visionner des extraits de l’émission Strip tease pour apprendre non seulement à
observer mais aussi à analyser – démarrage de la logique de comparaison
Comprendre l’importance de la description du contexte en sociologie en
s’appropriant les réflexions de Becker
S’entraîner à décrire le quartier / territoire dans lequel vit le ménage concerné et à
repérer quelles sont les informations contextuelles pertinentes (économiques,
sociales, historiques)
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Séance 4 – Apprendre à expliquer/ comprendre des pratiques
sociales
Supports :
Céline Laisney, « Disparités sociales et alimentation », document de travail n°9, nov
2013 URL : https://agriculture.gouv.fr/disparites-sociales-et-alimentation-document-
de-travail-ndeg9
Objectifs séance 4 :
Textes supports :
Dossier n°1 des étudiants
Objectifs séance 5 :
Préparer une grille de comparaison entre les ménages par groupe, réfléchir aux
principes d’explication des différences et des points communs entre les repas /
ménages que vous avez observés
Identifier en groupe quelles sont les questions sociologiques qui émergent des
différentes observations
o Les différences sont-elles liées à des différences de socialisation ou à des
inégalités ?
o Les points communs constituent des régularités donc des faits sociaux –
contraignants et extérieurs aux individus – de quelles contraintes
collectives témoignent-ils ? de quelles interdépendances ?
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Travail entre séance 5 et 6 – durée estimée – 4h
Mettre en commun les travaux individuels dans le groupe (tout le monde lit le
portrait des autres ménages du groupe) (2h)
Faire le brouillon du dossier 2 – trouver des écarts (différences de socialisation ou
inégalités ?), des régularités (points communs, contraintes collectives ?) entre les
différents ménages, et démarrer leur analyse (2h)
Objectifs séance 6
Travailler l’analyse comparative
Restituer collectivement (en classe entière) les portraits de ménage pour :
o Identifier les inégalités (économiques, sociales)
o Identifier les contraintes / interdépendances (conditions de production et de
distribution)
o Identifier les effets de la socialisation
Poser les questions politiques associées aux pratiques alimentaires et en débattre
Après la séance 6
Finir la rédaction du 2ème dossier collectif (voir consignes plus bas) (3h)
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Evaluation
Dossier individuel n°1 – Portrait des pratiques alimentaires d’un ménage à
partir de l’observation directe de deux repas et de recherches
complémentaires (discussion avec le ménage, données contextuelles…)
A rendre en séance 5
A rendre en mains propres au début de la séance 5 à l’enseignant de TD ou à défaut à
déposer au secrétariat de formation. Délais de rigueur. Tout retard sera sanctionné (-1 pt de
pénalité par jour de retard).
Un travail de terrain sera réalisé par observation directe systématique des pratiques
alimentaires habituelles d’un ménage de votre choix. Il nécessite au minimum 2 plages d’1
heure à 2 heures d’observation pendant deux repas du quotidien avec les personnes
enquêtées, observations accompagnées de discussions et de questions informelles
permettant de situer ces deux repas observés dans le cadre plus large des pratiques
alimentaires du ménage.
Les conditions de vie du ménage enquêté (âge, taille, composition, revenu, habitat,
travail…). Au-delà du renseignement des indicateurs sociologiques, l’enjeu est de
faire comprendre qui est socialement ce ménage en repérant tous les indices
possibles (décoration du logement, milieu social, tenue vestimentaire, manière de
parler, de se comporter, types d’étude, rapport au travail, socialisation familiale,
scolaire, politique, culturelle…)
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alimentaires, rapport à l’agriculture… Par quels types de personnes ce territoire est-il
fréquenté ? Des personnes qui y habitent, y travaillent, y passent et pour quelles
raisons ? Essayez de qualifier ce territoire : quartier de centre-ville, d’affaire,
résidentiel, petite commune rurale, littorale… mixte, populaire, bourgeois, jeune,
étudiant, branché, politisé, familial, touristique… en cours de gentrification, de
désertification, de dynamisme démographique… Observer aussi la chaine des acteurs
permettant à ce ménage de se nourrir – des acteurs avec lesquels le ménage interagit
dans des formes d’interconnaissance ou au contraire d’anonymat dans l’accès aux
circuits de production et de distribution de l’alimentation autour du lieu d’habitation
et de travail ?
Décrire les pratiques alimentaires du ménage en vous appuyant sur les deux repas
observés et sur les discussions que vous avez eues avec les personnes qui le
composent. Qu’est-ce qu’on mange (produits, budget, quantité, lieux
d’approvisionnement) ? comment on le prépare (place de l’autoproduction, de la
cuisine « maison », des plats tout faits, répartition des tâches domestiques – qui
cuisine) ? avec qui ? comment se passe les repas (manières de table, moment
ritualisé ou pas, rythme des repas, temps de discussion ou de conflit, activités
parallèles - radio, télé -, temps de famille ou solitaire, séparation des âges et des
sexes ou pas, à la maison ou à l’extérieur…) ? S’attacher à décrire ce que vous avez
observé directement, même si il faudra dire en quoi c’est habituel, quotidien,
ordinaire ou en quoi les repas observés étaient « extra » ordinaires… Tout ne pourra
pas forcément être décrit, vous pouvez / devez choisir un axe de présentation (qui
sera préparé par le titre).
Grille de notation
Titre orientant l’interprétation /1
Conditions d’observation / explicitation du statut d’observateur /3
Conditions de vie du ménage enquêté /5
Contextualisation historique, géographique – explicitation des contraintes – circuits de /4
production et de distribution alimentaires
Descriptions des pratiques alimentaires et début d’analyse /5
Maîtrise de la langue française (accords, ponctuation, grammaire de base, syntaxe) /2
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Dossier collectif n°2 – Analyse sociologique comparée des pratiques
alimentaires de plusieurs ménage
A rendre pendant les partiels. Brest et Quimper – lundi 13 décembre 2021.
A rendre en mains propres ou à déposer au secrétariat de formation le 13 décembre à Brest
et à Quimper. Délais de rigueur. Tout retard sera sanctionné.
Le dossier propose une analyse sociologique comparée des portraits des ménages réalisés en
dossier 1. Il est collectif (entre 4 à 6 étudiant.es par groupe – tous et toutes ayant participé
en rendant le dossier n°1).
Le dossier fera environ 9 000 signes (4 à 6 pages dactylographiées). Il sera écrit dans un
langage rigoureux et formellement correct. Attention : cette dimension est évaluée
Il aura un titre, orientant l’interprétation et l’analyse.
On y trouvera :
Un résumé synthétique sous la forme d’un tableau des principales caractéristiques
des ménages enquêtés sur les dimensions que vous jugez pertinentes
Une présentation des ressemblances, des points communs qui constituent des
régularités et une analyse permettant de montrer que ces régularités constituent des
faits sociaux – contraignants et extérieurs aux individus. Vous expliquerez ces
contraintes en les cherchant essentiellement du côté des circuits de production, de
distribution mais aussi des normes sociales aujourd’hui dominantes – incarnées dans
les publicités, les injonctions sanitaires…
Une présentation des différences dans les pratiques alimentaires des ménages
enquêtés et une analyse permettant de montrer que nos pratiques alimentaires sont
socialement construites, que nous ne nous nourrissons pas de la même manière
selon notre culture, nos valeurs, nos ressources économiques, les territoires dans
lesquels nous vivons…, que les écarts peuvent s’interpréter en termes de différences
de socialisation et/ou d’inégalités économiques, sociales, territoriales.
Une conclusion permettant de comprendre les enjeux de ces pratiques alimentaires
à la fois marquées par des points communs et des différences – quelles en sont les
conséquences en termes de santé, de reconnaissance symbolique, de pouvoir d’agir,
de rapport à l’ensemble du monde vivant, d’autonomie ou de dépendance au
système dominant, de politique.
Grille de notation
Titre orientant l’interprétation /1
Résumé synthétique des caractéristiques des ménages enquêtés /2
Ressemblances, points communs : Identification et Analyse (mobilisation des textes lus et d’un /6
vocabulaire sociologique)
Différences : Identification et Analyse (mobilisation des textes lus et d’un vocabulaire /6
sociologique)
Conclusion posant des questions davantage “politiques” /3
Maîtrise de la langue française (accords, ponctuation, grammaire de base, syntaxe) /2
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Textes complémentaires pour aller plus loin dans l’analyse des pratiques
alimentaires – ces textes sont tous accessibles en format PDF sur Moodle
Dossier « L’art de (bien) manger », Revue Sciences humaines, n°338, juillet 2021.
Dossier « Manger, une pratique culturelle », Revue Sciences humaines, n°135, février 2004.
Amossé Thomas, Cartier Marie, « « Si je travaille, c'est pas pour acheter du premier prix ! ». Modes
de consommation des classes populaires depuis leurs ménages stabilisés », Sociétés contemporaines,
2019/2 (N° 114), p. 89-122. URL : https://www.cairn.info/revue-societes-contemporaines-2019-2-
page-89.htm
Aries Paul, « La politique est née à table », Sciences humaines, n°338, juillet 2021.
Blavier Pierre, « Tenir son budget en temps de crise. Enquête auprès d’un couple espagnol après la
récession de 2008 », Les Études Sociales, 2019/1 (n° 169), p. 71-90. DOI : 10.3917/etsoc.169.0071.
URL : https://www.cairn.info/revue-les-etudes-sociales-2019-1-page-71.htm
Fouquet Angèle, « Quand les hommes cuisinent au quotidien. Vers la « masculinisation » d’une
pratique domestique », Terrains & travaux, 2019/2 (N° 35), p. 161-182. DOI : 10.3917/tt.035.0161.
URL : https://www.cairn.info/revue-terrains-et-travaux-2019-2-page-161.htm
Gourmelen Andréa, « 7. Améliorer les comportements alimentaires des étudiants : quels enjeux pour
les pouvoirs publics ? », dans : François Dubet éd., Que manger ?Normes et pratiques alimentaires.
Paris, La Découverte, « Recherches », 2017, p. 117-135. URL : https://www.cairn.info/que-manger--
9782707197702-page-117.htm
Grossetête Matthieu, « Quand la distinction se met au vert. Conversion écologique des modes de vie
et démarcations sociales », Revue Française de Socio-Économie, 2019/1 (n° 22), p. 85-105. URL :
https://www.cairn.info/revue-francaise-de-socio-economie-2019-1-page-85.htm
Le Play, « Paysan paludier du Bourg de Batz (Loire-Inférieure) », N°47, Les ouvriers des 2 mondes,
Paris, 1887, pp 1-56, https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54465138/f11.image
Paturel Dominique, Pelletier Willy, « Ce soir, on mange quoi ? », dans : Fondation Copernic éd.,
Manuel indocile de sciences sociales. Pour des savoirs résistants. Paris, La Découverte, 2019, p. 853-
863. URL : https://www.cairn.info/manuel-indocile-de-sciences-sociales--9782348045691-page-
853.htm
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de Saint Pol Thibaut, « Les habitudes alimentaires des Français. Une institution sociale entre
constance et renouveau », Esprit, 2016/6 (Juin), p. 111-120. DOI : 10.3917/espri.1606.0111. URL :
https://www.cairn.info/revue-esprit-2016-6-page-111.htm
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