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Ces 10 dernières années, le monde a été secouée par de nombreux phénomènes qui ont forcés les dirigeants du

monde entier à prendre des mesures drastiques, Terrorisme, délinquance et maladies. Le gouvernement pour
certains cas majeurs, s’est permis de privée sa population de certaines libertés individuelles et fondamentales,
pour sa propre sécurité. Mais qu’est-ce la liberté et que veut dire le terme “sécurité” ? Pour le sens commun, la
liberté s'applique principalement aux individus et s'oppose à la notion d'enfermement ou de séquestration. Une
personne qui vient de sortir de prison est dite libre. Le terme sécurité n’est pas à confondre avec le terme
“sureté” malgré que tout deux soit des droits fondamentaux en France. La sureté consiste à protéger tout
individu d’un emprisonnement arbitraire, c’est à dire sans raison. Et la sécurité vise à protéger les personnes et
les biens.

Mais de quelles libertés parlons-nous et l’Etat a-t-il le droit de nous priver de nos libertés pour notre propre
sécurité ?

Pour répondre à cette problématique, notre réponse est structurée en deux parties. En premier lieu, une
explication approfondie des différentes lois et restrictions faites par le gouvernement pour lutter contre le
terrorisme sera réalisé. En second lieu, les lois en vigueur sur l’usage et la vente des stupéfiants seront étudié.
Enfin, nous feront une conclusion.

Source : wikipedia.fr / Source : maxicours.fr

I. Attentats et protection des populations, que faire ?


A) Attentat du 13 Novembre 2015 en France (FR) / Attentat du 5 novembre 2009 aux États-Unis
(EU).

L’attentat du 13 Novembre 2015 a eu lieu, à Paris. Dans une banlieue parisienne (ST DENIS) de nombreuses
fusillades et explosions ont été lancé ce qui a provoqué plus de 120 morts et des centaines de blessé. Cet attentat
est le plus meurtrier que la France a connu. C’est pour cela que nous avons décidé de le prendre à titre
d’exemple, car c’est vraiment à cause de cet attentat que de nombreuses lois et restrictions anti-terrorisme ont
été mise en vigueurs. Le principal organisateur de cet attentat serait le djihadiste de l’état islamique
Abdelhamid Abaoud ; un belgo-marocain âgé de 26ans. Sa cousine, Hasna Aitboulacen serait complice de son
acte et l’aurait logé dans son appartement à ST DENIS. Les 2 présumés organisateurs de cet attentat ont été
retrouvé mort le lendemain suite à l’assaut de la police dans leur domicile.

L’attentat du 5 Novembre 2009, est connu sous le nom de "La fusillade de Fort Hood”. Le commanditaire de
cette attaque n’est nul autre que le commandant Nidal Malik Hasan Américain d'origine palestinienne,
psychiatre dans l'armée de terre des États-Unis.

Dans cette base militaire du Texas, l’attentat a fait treize morts et une trentaine de blessés.

“Le Sénat des États-Unis décrit la fusillade de Fort Hood comme la pire attaque terroriste sur le sol américain
depuis le 11 septembre 2001”. Le 5 novembre 2009, Hasan s'introduit dans le Soldier Readiness Processing
Center de la base de Fort Hood où a lieu une cérémonie de remise de diplômes. Armé d'un pistolet semi-
automatique, il ouvre le feu, faisant quarante-trois victimes en treize minutes. Le massacre ne prend fin que
lorsqu'une officière de police du SWAT arrivée sur place, neutralise le tireur dans un échange de tirs où elle est
elle-même blessée.

Source : wikipedia.fr

B) Loi anti-terroriste : ”la liberté d’expression/ notre vie privé menacée” ? (France (FR)) / (États-Unis)

EU).

(FR)

“un jeune homme de 19ans a été condamné à 13mois de prison ferme et 12mois de sursis pour “apologie du
terrorisme” et “provocation à commettre un acte de terrorisme”, ce mardi 7 septembre à Lille. Entre avril
2020 et mai 2021, il avait publié une série de tweets qui “glorifiaient” des auteurs d’attentat. Il avait aussi
relayé des vidéos de propagande appelant au jihad”
Un message sur twitter, une publication, un mot de travers et c’est la prison. L’apologie du terrorisme est
sévèrement punie par la loi française pour “essayer” et pour contrer une quelconque menace terroriste.

Faut-il envoyé une personne en prison car celui-ci a qualifié des terroristes de braves ? même s’il exprime dans
le même temps un désaccord de fond avec leur idéologie ? La réponse de la France depuis les attentats de
Charlie Hebdo, et du 13 Novembre 2015, est, de plus en plus souvent “oui”. Il n’est plus acceptable de laisser ce
genre de paroles circuler librement sur les réseaux sociaux.

Mais cette interdiction ferme n’est-elle pas une atteinte à la liberté d’expression ? Les populations ont le droit
de donner leurs avis et de communiquer leurs pensées sur le terrorisme, que les avis ou les pensées soit bonne
ou non.

Source : ouestfrance.fr

(EU)

Le “USA PATRIOT Act” est une loi antiterroriste qui est votée par le Congrès des États-Unis et signée par
George W.Bush le 26 octobre 2001.

Mais cette loi du congrès, a pour but de surveiller les moyens technologiques de communication utilisée par les
terroristes et elle autorise les services de sécurité, à accéder aux données informatiques détenues par les
particuliers et les entreprises, sans autorisation préalable et sans en informer les utilisateurs.

Elle crée aussi les statuts de combattant ennemi et combattant illégal, qui permettent au gouvernement des
États-Unis de détenir sans limite et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste.
“soupçonnée” donc si un quelconque comportement a l’air suspect aux yeux des autorités vous pouvez vous
faire arrêter car on vous soupçonne d’être un auteur, ou un futur auteur d’acte terroriste.

“Cette loi, conséquence directe des attentats du 11 septembre 2001, renforce énormément les pouvoirs des
différentes agences gouvernementales des États-Unis (FBI, CIA, NSA) et de l'armée américaine. Elle fut
considérée comme une loi d'exception dont certaines dispositions n'étaient valables que pour quatre années.
Sont modifiées, entre autres, les lois sur l'immigration, les lois d'opérations bancaires, la loi de surveillance
d'intelligence étrangère (FISA). Il est créé une nouvelle catégorie de crime du « terrorisme intérieur ». Cette
accusation s'applique par exemple à la consultation privée de documents qui réfutent la vérité”.

Source : wikipédia.fr

Les documents privés des individus sont consultés sans leurs consentement, leurs conversations traquées, leurs
discussions contrôlées pour “essayer” de contrer une quelconque menace terroriste. Mais cette immersion totale
dans la vie privé des populations qu’exerce le gouvernement américain n’est-elle pas une atteinte à leurs vie
privée ?

B) “Nos déplacements sont contrôlé” ? (FR/EU).

(FR/ EU)

“La capacité de détection, communément appelée « service d’information sur les passagers », analyse les
données sur les passagers de plusieurs modes de transport et identifie les terroristes connus et les suspects en
les comparant aux listes de surveillance nationales et internationales, y compris celles d’INTERPOL, et les
menaces jusqu’alors inconnues en s’appuyant sur des indicateurs de risque. “

Ce service permet d’avoir toutes les informations sur un quelconque passager, aucune donnée n’est laissée de
côté.

Celui-ci détecte et suit les menaces, puis alerte les autorités nationales et internationales compétentes,
contribuant ainsi aux enquêtes sur les individus associés au terrorisme et aux crimes graves ou à leur
interdiction.

“Nos opérations de lutte contre le terrorisme s’appuient essentiellement sur nos bases de données, en
particulier celles permettant de prévenir les déplacements.”
Source : /www.interpol.int

II. Substances illicites et addictions, un fléau ?


a) Le chanteur Corneliu accusé d’avoir drogué deux personnes.
b) Si on consomme, ou, vend des produits illicites, que risque-t-on ?
c) Les conséquences des drogues sur le cerveau/ et notre pseudo liberté ?

Conclusion :

“La relation sécurité et liberté a toujours été très ambiguë. Car pour qu'une personne puisse jouir de sa liberté
il faut une relative sécurité mais cette sécurité implique un recul de la liberté. On considère ainsi que la
Sécurité est la première des Libertés.”

En France, la notion de liberté est le premier principe de la devise républicaine “Liberté, Égalité, Fraternité”.
La liberté est multiple : liberté d'aller et venir, liberté de la presse, liberté de manifester, etc. Les différentes
libertés dont jouissent les citoyens français viennent de nombreux texte “vieux comme le monde” : Déclaration
des droits de l'homme et du citoyen de 1789, Préambule de la Constitution de 1946, principes fondamentaux
reconnus par les lois de la République, Constitution de 1958. Les différentes libertés, quelles soit publiques,
individuelles ou collectives, elles sont toutes garanties par les textes.

L'État protège les libertés publiques et, dans le même temps, il pose des limites pour que “la liberté des uns
n'entrave pas celle des autres”.
Le référé-liberté devant le Conseil d'État permet au juge, quand un individu atteint gravement à la liberté d’un
autre individu, de prendre toutes les mesures urgentes nécessaires à la sauvegarde de la liberté. Dans le cadre de
la lutte contre le terrorisme certaines libertés individuelles (liberté de circulation (voir petit b) par exemple) ont
été restreintes. La pandémie de la Covid-19, en mars 2020 notamment et la mise en place de dispositif d’urgence
a gravement restreint certaines libertés, comme la liberté d'aller et venir, la liberté d'entreprendre et la liberté de
réunion.

On ne peut pas faire bon nous semble et où nous voulons. Dans certains pays le contexte géopolitique ne permet
même pas aux citoyens vivants dans ces zones de risques de jouir de libertés que nous pouvons trouver
“banale”.

Source : liberté.fr/ lemondepolitique.fr

“Le risque serait partout, et pour y faire face, les citoyens chercheraient de plus à en plus à assurer leur
sécurité. Ainsi les gens se soumettraient à de nombreuses “normes de précaution” les maintenant dans un
cocon rassurant : protection judiciaires, assurances civiles, etc.

Jamais la servitude n’aura été si volontaire”. C’est le règne du “risque zéro”, qui côtoie pourtant une
multiplication des pratiques aventureuses, des sports dangereux, les individus ayant besoin de repousser leurs
limites physiques et mentales en se mettant en danger En effet, sous le développement du travail salarié, des
nouvelles technologies ou encore de la précarité, la société contemporaine a progressivement été placée sous le
signe du risque.

Eliminer le risque est donc devenu un enjeu primordial dans une société qui voit certains de ses citoyens
devenir l’auteur de menaces terroristes. Chaque citoyen devient ainsi une menace que les Etats, en s’alliant à
d’autres Etats contre les citoyens, tentent de limiter ces dangers “venant de leurs propres tréfonds”. Le
sentiment d’insécurité croissant, le développement de la délinquance, l’embrasement des banlieues puis les
actes terroristes ont progressivement amené les pouvoirs publics à répondre par des politiques sécuritaires. On
a ainsi assisté à des décennies de surenchère sécuritaire.”

Source : lmp.fr

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