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GASY MIZARA EDITION

CULTURE GENERALE
L’ESSENTIEL DES THEMES
SPECIAL NIVEAU INFA

FORMAT : PDF IMPRIMABLE


NOMBRE DE PAGE : 45 pages
LANGUE : FRANÇAISE
LE DROIT DE L’HOMME

I. GENERALITE

A. Définition

Le droit de l’homme est le concept selon lequel toute être humain procédé de droit
universel, inalliable, quelque soit le droit positif en viguere ou les autres facteurs
locaux telle que la nationalité.

B. Histoire

La déclaration de droit de l’Etat de virginie proclamé le 12 juin 1776 à fortement


influence l’adoption de la déclaration français de droit de l’homme et du citoyen du 26
aout 1780

Plus tard, le principe directeur de droit de l’homme est consacre dans la déclaration
universel de droit de l’homme adopté l’ensemble général de nation unis le 10 décembre
1948 reconnaisse au individu certain de nombre de droit et de liberté, cette déclaration
comprendre 30 articles.

Le droit de l’homme est général reconnu de les différents pays par loi, par la
constitution ou par convention internationale afin que les respects soit assuré.

Ce droit humain consacre de la déclaration 1948 ont été spécificité par les 2 pactes
du 16 décembre 1966 : relatif au droit civil et politique et l’autre au droit économique,
social, et culturel.

II. Les différents types de droit de l’homme

A. Le droit catégoriel

 Droit de la femme
 Droit de l’enfant
 Droit de détenu
 Droit de minorité
 Droit de handicap
 Droit des étrange et droit des peuples

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B. Droit civil

 Droit à la propriété privée


 Droit à l’image
 Droit à la vie
 Droit propreté physique
 Droit intimité
 Droit au secret de l’indépendance

C. Droit politique

 Droit de vote
 Droit de grève
 Droit d’opinion
 Droit d’expression
 Droit de manifestation
 Droit de la presse
 Droit d’être candidat à une élection
 Droit d’aller venir

D. Droit économique, social et culturel

 Droit au soin
 Droit à l’éducation
 Droit au travail
 Droit au logement
 Droit à l’information
 Droit à une rémunération suffisante pour vivre et droit à l’eau
potable

III. Aspect institutionnelle et juridique de droit de l’homme

La droit de l’homme au ainsi de plus en plus une consistance juridique dans le


monde du faite tend de leur intégration insertion dans la constitution de loi. La
création juridique internationale telle que la cours européen de droit de l’homme ou la
cour pénale internationale.

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A. Droit de l’homme et la démocratie

La source du droit dans le domaine de droit de l’homme vienne l’existence de


l’individu, alors que du droit dans le régime démocratique dérivé par définition de la
volonté générale.

Par conséquent, le droit foncier concilié impératif par exemple : nous bénéficions
de la liberté d’expression mais la loi pénale interdite que l’on insulte son voisin. Nous
avons chacun le droit fondamentale de nous marie mais la loi civile interdite le mariage
entre frère et sœur. Dans ce cas la loi ne viole pas pour autant nécessairement le droit
de l’homme mais la question difficile et de savoir quelles sont le limite acceptable que
la loi impose au droit de l’homme dans une société démocratique régie par le droit.

B. Le droit de l’homme et l’Etat de droit

La démocratie assume en principe le respect le droit de l’homme notamment à


travers la doctrine de l’Etat de droit. Toutefois, il ne faut pas confondre le respect de
droit de l’homme par un Etat et le caractère démocratique de cet Etat même si le deux
vont souvent de paire.

En effet, un Etat démocratique peut violer le droit de l’homme et pour éviter au


admet généralement qu’il faut limiter la souveraineté du peuple (c’est-à-dire la
démocratie), par un rôle souvent tenus par l’existence juridique, par de juger
constitutionnelle (par exemple, un individu victime violence de ce droit par un Etat
Européen peut savoir la cour Européen de droit de l’homme.

Inversement, un Etat autoritaire viole par définition le droit de l’homme (par le non
respect de liberté et la menace qu’il fait pesé sur les autres droits. Mais il arrive
fréquemment que dans une situation ou le droit de l’homme sont violé par individu ou
de groupe privé ou étrange, les peuple croient préférable alors (raison de faire appelé à
de régime autoritaire pour face à la situation (lorsque des problèmes d’insécurité
persiste).

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C. Droit de l’homme et droit de la guerre

Peut-on faire la guerre au droit de l’homme ?

Aujourd’hui, l’idéologie de droit de l’homme est devenue l’un de principaux des


arguments cité par l’homme politique occidentaux notamment au USA et en Europe
pour justifie leur participation à des actions préventure ou répressive contre des Etats
souverain (ex : intérvation de USA en Iraque en 2003).

Des intellectuelles surtouts les Américains voudrai une « Démocratisation » le tout


de moyen orant arabo musulman par différent moyen y compris par la guerre. Mais
derrière cette idéologie, il existe des intérêts économiques.

IV. Limite au respect de droit de l’homme

 La loi
 L’ordre public
 L’exigence de la morale
 La liberté d’autris
 L’intérêt général (ex : expropriation pour cause d’utilité publique)
 Le moyen financier notamment le pays en développé
 La méconnaissance de leur droit par le citoyen

V. Application de droit de l’homme

A. La forme d’application

L’application de droit de l’homme peut prendre plusieurs formes :

 Forme légale : toute loi nouvel doit être conforme du droit de l’homme telle que
reconnu par la constitution selon le préambule de la constitution malgache, la
charte internationale de droit de l’homme fait l’intégralité.

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 Forme juridique : tous les actes de la justice (décision de magistrat, procédure
diverse), doivent également à la loi (en particularité à la liberté individuel) et
dont conforme au droit de l’homme même indirectement.

 Forme individuelle : les actes de tous les hommes doivent être conformes au
principe de liberté individuelle qui s’applique même si n’existe pas de loi car la
loi ne peut pas tout prévenir.

B. a violation de droit de l’homme violation

La violentions de droit l’homme est l’abus perpétré par toute personne, toute
institution surtout droit humain fondamentale.

C’est un terme utilise par un gouvernement, le droit de nation ou le droit


international relatif à la protection de droit humain.

On peut évoquer en justice la violentions de droit de l’homme, mais la forme de


recours varie selon que la violentions de droit l’homme émane des actes de particulier
ou des institutions ou quel découle d’une disposition d’un texte de loi.

1. Si la violation du droit émane de particulier ou d’une institution

Dans ce cas la juridiction de droit commun est compétant : (compétence tribunal


juridique)

Si on a affaire à un particulier, à un groupe de particulier ou à une entreprise privé.


Et compétence de tribunal administratif en revanche si on affaire une institution
publique.

2. Si la violation de droit résulte dans le texte légal (loi ou règlement)

Il se peut que certaine disposition de droit positif soit contraire au texte fondateur
de droit de l’homme et liberté fondamentalement et fasse greffer aux individus.

Si on estime que l’obéissance à ces dégoisions était contraire à l’exercice de ces


liberté fondamentale ou devrait demander en justice l’annulation de ces textes (ex : au
conseil d’Etat pour Madagascar).

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Dans le pays Européen notamment, il est préférable pour un particulier de faire
appelé à la cour européen de droit de l’homme qui a pouvoir pour condamner l’Etat
européen mise en cause.

C. La situation de Madagascar

Madagascar ne figure pas en bonne place dans de respect de droit de l’homme


dans le monde, il est même parmi de dernier, par exemple en une année (c’est-à-dire
entre 2008-2009). La grande île a perdu 40 places en matière de liberté de la presse et
selon reporteur sans frontière. Madagascar se trouvait au 31 aout 2009 aux 134 rangs
sur 175 pays. Et selon le rapport annuel 2011 du département USA le droit de l’homme
et celui d’amnistie internationale en 2012, le progrès en matière de reforme
démocratique et de droit de l’homme à Madagascar ne sont jamais linéaire ou garantir.

Le rapport se base sur la liberté d’expression, la liberté de la presse, la liberté


d’association et de réunion ainsi que de circulation dans le monde. Le pays qui a le
bilan le plus mauvais ont les Etats ou la société civile et les médias indépendante sont
presque inexistant et liberté fondamentale d’expression, d’opinion de manifestation est
sont compromise.

Et le rapport conclu une société civile robuste et de media indépendant


contribue agréer la condition dans lequel le droit de l’homme sont bien respecté grâce à
l’information de la population sur ce droit, à la révélation de violention, à la pression
exercé en faveur de reforme et au fait d’exiger de compte au pouvoir public.

XI. Suggestion

 Annulation les accords d’expression de ressource naturelle du pays avec


l’investissement étrange et bien maîtrise.

 Bien défendre les intérêts du pays dans ce contrat (par 50% -50% concernant le
bénéficie) en fin de financier l’infrastructure en matière de sante, éducation
c’est-à-dire satisfaire au mieux le droit de l’homme à Madagascar

 Eduquer les citoyens pour la défense de leur droit de lors plus jeune âge (ex : le
droit de l’enfant)

 Renforcer le rôle du médiateur pour mieux défendre les intérêts des agents de
l’Etats.

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Conclusion

Le respect absolu de droit de l’homme reste idéale voir même une utopie dans
le monde car aucun pays même le plus avancé dans ce domaine n’y arrivé pas encore
jusqu'à maintenant, mais l’important ce l’effort entrepris par les dirigeants du pays dans
le sens du respect de droit de l’homme

Le droit à la vie existe alors qu’est-il du droit à la mort ? (problème de


l’anathanasie).

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LA DEMOCRATIE
I. DEFINITION

La démocratie peut être défini comme étant un régime politique dans lequel le
peuple exerce lui-même sa souveraineté contentements à une monarchie ou le pouvoir
est exercé et transmis au sein d’un groupe restreint et souverain le plus souvent
dynastique.

La démocratie est en fait le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple.

Remarque : La dynastique veut dire : la génération en génération

II. HISTOIRE

La démocratie a pris racine dans les reformes engagées dans le cité d’Athènes au
VIème siècle avant Jésus-Christ concernant le droit de vote des citoyens. Mais
officiellement ce sont les USA qui sont surtout considéré comme la 1ère démocratie
libérale dans la mesure où leur engagement constitutionnel (en 1788) se fondait
devant la loi et surtout par opposition aux régimes aristocratiques et à la monarchie.

III. LE PRINCIPE DE BASE DE LA DEMOCRATIE

A. Le gouvernement du peuple par le peuple

Du point d politique la souveraineté du peuple ce manifestent par son implicite


dans organisation de politique national du pays.

Le gouvernement du peuple et pour le peuple s’explique par le faite, par le


représenté d’un peuple ne peuvent être ussi que de celui-ci ce qui pose
fondamentalement la démocratie à tout système de type aristocratique ou le
gouvernement et le faite d’une élite, mais également à la monarchie ou pouvoir est
transmis des générations en génération.

Gouvernement pour le peuple signifie « que le gouvernement doit toujours


œuvre dans le sens d’un intérêt général par opposition à de décision prise par d’intérêt
particulier.

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B. Le respect de liberté fondamentale de citoyen

Reserve du respect de l’ordre publique et de la liberté d’autris, la liberté


fondamentale des citoyens doivent être garantie dans un Etat démocratique. Ce si étant
(épanouissement du peuple à fin axéder) dans l’objectif d’offrir un meilleur
épanouissement du peuple à fin axéder plus rapidement au développement économie.
Ce liberté conserve notamment ; la liberté d’expression, la liberté d’opinion, la liberté
d’association.

C. Egalité en droit de citoyen

Il s’agit d’un principe luttant contre l’injustice et la discrimination surtout cette


forme par l’Etat. En tend que Etat de droit un Etat démocratique recherche à garantir
égalité de tous les citoyens sans exception devant la loi (qui protège, qui permis, et qui
oblige)

IV. LES PILIER DE LA DEMOCRATIE

 La règle de la majorité
 Le respect et garantie de droit et la liberté fondamentale de la personne
 La reconnaissance de droit de la minorité
 L’élection libre et transparence
 Le respect de l’Etat de droit (l’égalité devant la loi, primauté de droit, séparation
et équilibre de pouvoir ; exécutif, législatif, judiciaire) procédure l’égalité et
régulation lorsqu’il y a arrestation, lorsqu’il y a perquisition, ou procée.
 La pluralisation sociale économique et politique
 La valeur de tolérance, de compromise et coopération
 Le respect de l’opposition
 La transparence
 L’information pour toutes

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V. LES LIMITES DE LA DEMOCRATIE

 La loi
 L’ordre publique, sante publique, la morale publique
 La liberté et les démocraties fondamentales d’autris
 Le danger exceptionnelle qui menace l’existence de la nation (ex : guerre ou
agression extérieure)
 L’intérêt général
 Les moyens financiers surtout pour les pays pauvres. L’Etat peut également
limite les libertés et les droits individuels en vue de favoriser le bien en général.

VI. LA MANIFESTATION DE LA DEMOCRATIE

A. Dans le monde

Même si la plus part des pays du monde fonctionne en régime démocratique, on


peut constater dans ces différences pays que tous système politique est un système de
pouvoir qui comporte toujours des reprises. Même dans les pays considères comme des
plus avancés en terme de démocratie, on peut noter que pratiquement il n’existe pas de
démocratie absolu ou parfait car aucun système n’est jamais arrivé à garantir tous les
droits du peuple et de chaque individu soit parce que la démocratie est inappropriée
dans certaine domaine soit comme ce souvent le cas, le concept de démocratie est
devenu seulement un moyen pour accaparer le pouvoir par certaine politiciens qui
peuvent ne pas d’appliquer un fois élu ou une fois arrivé au pouvoir par divers moyens.

Par ailleurs, la conception de la démocratie diverge selon le type de pays mais


également en fonction du temps car c’est une action qui a évolué de temps.

Par mieux illustre est affirmation, nous prenons par exemple le cas de la France
depuis 1938 au temps ou les femmes ne pourraient pas voter en posant par le temps de
l’esclavage et de la discrimination à l’endroit des musulmans, se considère toujours
comme un Etat démocratique. De même les pays des globes de l’Est se disaient avant
1989 démocratie populaire. La Chine se dit également la démocratie, même si les pays
occidentaux ne la reconnaissent pas comme telle. Les régimes européens qui
pratiquaient la colonisation se considèrent comme des démocraties, de même que les
Etats-Unis qui pratiquaient l’esclavage puis la ségrégation. On note également que tous
ces pays procèdent des organes comme les services secrétaire dont le fonctionnement
échappe à tous le contrôle parlementaire.

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En tous le cas, cela nous a permis de constater que la démocratie c’est donc pas
nécessairement absolu, non seulement pour que son application à la lettre n’est encore
effective la conception diffère selon les pays.

Ainsi, il est communément admis de dire que « la démocratie représente un idéal


politique » vers lequel les méthodes des nombreux gouvernements, mais une
démocratie totales s’avère jusqu’ici utopique car une telle pratique supposerai
forcement le respect absolu de tous les règles de base de la démocratie lesquels sont
souvent menace par le gouvernement de règles sont entre autre :

 La transparence totale des informations à travers le respect de la liberté


d’expression et de la presse.
 L’absence totale de la corruption dans tos les domaines
 L’empêchement de tout abus de pouvoir

B. A Madagascar

Comme de nombreux pays du continent Africain, Madagascar c’est engagé au


début des années 90 dans un processus de démocratisation. C’est-à-dire que le pays est
encore bien jeune en matière de connaissance de la démocratie, d’ailleurs une enquête
afro-baromètre depuis 2005 a permis de constater que plus de la moitie de la
population Malgache a encore du mal à définir clairement les principes de base de la
démocratie. Tous fois, on a pu remarquer durant ces enquêtes successives que
généralement le terme a positivement pris de la valeur auprès de la plus part des
citoyens enquêtes dont 46% approuvent la démocratie du fait qu’elles permettent de
mettre en place un gouvernement et des décision favorable à l’intérêt général contre
6% qui pensent qu’un autre régime serait approprié à Madagascar compte tenu du bas
niveau d’éducative de la population, laquelle a préalablement le besoin du connaitre la
discipline avant d’y faire faire, par ailleurs peut selon aussi favorise la stabilité du
régime. Les restes des citoyens enquêtes ne ce sont pas prononcés faute de
connaissance suffisante sur le sujet.

Bien que les différentes constitutions successives de Madagascar affirment


clairement que la démocratie est la base de la République, l’effectivité de la démocratie
dans le pays fait encore l’objet de beaucoup de contestation et de débat.

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En effet, on peut constater dans la pratique que des lacunes persistent dans
l’application de cette démocratie notamment dans les domaines sont :

 Les élections (apparition des critiques sur le processus électoral)


 La lutte contre la corruption (car la persistance de la corruption dans de
nombreux domaine) ex : La question des bois de rose
 La création d’une opinion publique nationale (car la société civile est encore
peut expressive dans le pays)
 La presse (car il existe toujours une urtaire répression dans le domaine de la
presse)

Tout cela résulte des fait que le système politique en général est bien trop
complexe pour pouvoir répondre en détail et à la lettre à tous les règles de base de la
démocratie.

Cependant, comme il a été mentionnée au paravent, une démocratie parfaite


relève encore du domaine de l’utopie même dans les pays les plus avancés dans ce
sens, ce qui viendrait à considère la démocratie, non en fonction du respect à la lettre
de tous ses principes mais selon à l’effort entamé par l’Etat dans ce domaine. En ce qui
concerne dans l’effort ont été entrepris en matière de démocratie même s’ils n’ont pas
tous aboutis :

 L’élaboration conjointe d’une loi sur les parties politique


 La lutte contre la corruption et la reforme administrative pour mieux satisfaire
les usagers de la science publique.
 Le renforcement progressif de la société civile
 La promotion de l’éducation pour tous

VII. LA DEMOCRATIE EST FREIN OU OBSTACLE DE


DEVELOPPEMENT

Trop de démocratie tue la démocratie : se le démocratisme qui n’est autre


l’anarchie

Selon certain Etat la démocratie à l’occidentale signifie populisme c’est-à-dire


essayé satisfaire les caprices du peuple.

Pour les pays asiatique notamment, c’est la discipline qui puis faire aboutir à un
développement économique et social d’un pays, ainsi la coré dur sud, l’Indonésie,
Singapour, malezie, la chine on applique dans leurs système de développement la
discipline et ils sont devenue de pays émergent à leur actuel si non des pays riche.

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VIII. LA DEMOCRATIE FACTEUR DE DEVELOPPEMENT

Pour certain pays notamment occidentaux la démocratie libérale favorise et


encourage :

 L’initiative privée
 Le développement social et humain
 La créativité… Ainsi les Etats-Unis, Allemagne, la France, La Grande Bretagne
en applique la démocratie dans leurs systèmes respectifs (politique, économique,
culturel, et social et sont devenu des pays riches et développés.

IX. CONCLUSION

Ainsi donc d’après toutes analyses qu’on a faites jusqu’ici, aucun pays ne jamais
arrivé à satisfaire le principe de la base et le pilier de la démocratie, même le pays le
plus avancés dans ce domaine. Ce l’effort entrepris par chaque Etat dans de sens la
démocratie qui est apprécie pour si nu Etat pour qualifier un Etat démocratique.

Bon nombre des pays africains a adopté le système démocratique à l’occidentale depuis
plusieurs années pour essayer d’apporter de le développement au bénéfice de leur
peuple respectif, mais jusqu'à présent ce pays se trouve toujours dans la pauvreté, ainsi
pour qu’il ait un véritable développement chaque pays devrait base son épanouissement
dans l’application de sa propre identité culture pour que la nation puis trouve enfin le
chemin de développement.

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X. LE PLAN DE DEVOIR SI LE SUJET PARLE A PROPOS DE LA
DEMOCRATIE

I. Fondement de la démocratie

A. Le pilier et le principe de la démocratie


B. La limite de la démocratie

II. La manifestation de la démocratie

A. Dans le monde
B. A Madagascar ou En Afrique

III. L’impact de la démocratie

A. La démocratie frein au développement


B. La démocratie frein de développement

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LA CORRUPTION

I. GENERALITE

De tout temps la corruption figure dans le pays en développement parmi les causes
principes de la dégradation de l’Etat de droit

La corruption est mondialement reconnu comme constituent un handicap majeure du


développement d’un pays : le citoyen baisse le bras, ce qui on de l’argent ne vienne pas
investir, les opérateurs économique ne sont plus domaine.

II. DEFINITION

La corruption ce définie comme étant un acte de soudoyer un individu pour qu’il


agisse contre son devoir. Mais la corruption peut également constater par le faite, pour
un agent public d’obligé directement ou indirectement un administré à lui versé une
somme d’argent afin d’accélérer les procédures de leurs dossiers.

Mais la lutte contre ce phénomène et dans apporte les solutions durables, il nous
conviendra d’abord d’en connaître le cause profonde pour pouvoir réduire en suite le
mal si non essayé l’éradique à jamais.

III. LES CAUSES DE LA CORRUPTION

La corruption à essentiellement pour cause :

 La méconnaissance de la notion de service public


 La culture de reconnaissance
 Le déficit de moralité
 L’inefficacité de l’administration
 La faiblesse des salaires
 Le non application de sanction au contre venant

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A. La méconnaissance de la notion de service public

Cette méconnaissance résulte d’ignorance de leur droit par usage étant que citoyen,
le délai pour telle ou telle tâche administrative leur échappe complément, à celle
s’ajoute la peur de l’administration, les agents public profite de la situation pour
s’acquérir d’une supériorité fictif et se faire de l’argent facile.

B. La culture de reconnaissance

Cette reconnaissance consiste à remercie les agents de l’Etat du service rendu.


Portant cette attitude loyale en soin va engendre l’accoutumance ce le fonctionnaire et
favorise le bakchich (pots-de vin ou dessous de table dans le service public).

C. Le déficit de moralité

Il est due à l’appât du gain et dégradation de la valeur du faite du mauvaise


exemple donné par certain dirigent. Ainsi que la défaillance de l’éducation civique.

D. L’inefficacité de l’administration

Les usagés du faits de la longueur administrative, sont poussées à payer l’argent à


fin accéléré l’obtention de service. Et dans certain cas des entreprises offrent de pots-de
vin pour obtenir de contrat de marche, ainsi le faible rendement de fonctionnaire et liée
au fonctionnement peut satisfaisant de l’administration publique.

E. La faiblesse des salaires

La faiblesse niveau de salaire constitue pour le fonctionnaire dans la nécessité une


de raison principe qui repousse à la corruption.

F. Le nom application des sanctions

Même si la procédure administrative et la loi prévoie de sanction contre les auteurs


d’acte de corruption, elles ne sont pas appliqué en général ni au sein de
l’administrative, ni de la justice.

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a. Au niveau de l’administration :

Il est souvent difficile d’apporter la preuve de l’application des agents de l’Etat


dans un délie de la corruption à cause des manques de transparence.

b. Au niveau le plan juridique

La sanction ses heurtent au faite que la police de la justice sont en général elle-
même corrompus selon amnistie internationale. Mais la cause profonde de la
corruption résulte essentiellement de la pauvreté ainsi que de l’absence de volonté
politique de reforme d’administration publique et juridique.

IV. LA SUGGESTION

Le défit économique de pays en développement seront beaucoup facilité et gagnés


du moment que la forme engagement politique de l’Etat à lutte contre la corruption et
le détournement de fonds publique ainsi que la pauvreté soit mise en œuvre et traduit
par des faits concrets.

Pour ce faire, il conviendrait d’un part de renforcer le cadre politique et


administratif du pays et d’autre de créer de condition pour un développement durable.

A. Le renforcement du cadre politique et administratif du pays

Ce renforcement nécessite :

a. D’abord l’institution de la bonne politique et administrative

Bonne gouvernance politique : c’est-à-dire sécurisation de bien de des personnes,


éducation citoyen, reforme institutionnelle, stabilité politique notamment/

La bonne gouvernance administrative : c’est-à-dire bonne application de loi,


formation continue des agents de l’Etat notamment sur notion de service publique,
réforme administrative (ex : simplification de procédure, transparence, dépolitisation
l’administration.

b. En suite l’instauration de la démocratie

C’est-à-dire acceptation du pluralisme politique et syndicale, respect de


l’opposition, participation active de citoyen à la vie publique, organisation d’élection
libre, juste et transparence, mise en œuvre de liberté publique, axé de citoyen à
l’information, respect de minorité.

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c. En fin de respect et la consolidation de l’Etat de droit

C’est-à-dire séparation et équilibre de pouvoir, réforme du système judiciaire,


respect de droit de l’homme, primauté de droit, respect de droit de la défense (Avocat),
renforcement du principe de la présomption d’innocence.

B. La condition favorable au développement durable

Afin de lutte efficacement contre la corruption, il conviendrait également mettre en


œuvre la bonne gouvernance économique et financier autrement dit mise en place de
toute de structure nécessaire au développement économique. Ainsi l’Afrique en
particulier si elle ne veut pas être marginalisé, dans le conteste de mondialisation devra
donc agir vite :

 En développant, le secteur privé et en sécurisant les investissements


 En essayant d’améliorer autant que possible le niveau de vie de la population et
en particulier des agents de l’Etat
 En répartissant équilibrement le revenu national
 En luttent efficacement contre la pauvreté
 En maîtrisant les accords avec la société multinationale

V. CAS DE MADAGASCAR

Des 2002 les autorités malgaches en régime au phénomène de la corruption et on


adopté certaine mesure :

 L’obligation de la déclaration de patrimoine pour le magistrat et d’autre


catégorie de haut fonctionnaire (ex : le directeur, SG, MEN)
 L’augmentation du niveau du salaire des agents public (hausse de 10% depuis
2006)
 Port de badge pour le fonctionnaire en relation avec le publique
 Respect de droit du citoyen d’agir en justice
 La publication des pièces nécessaires et affichage de procédure
 Création d’une guiche unique pour l’investissement : EDBM (Economique,
Développement, Board, of Madagascar)

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Outre ces mesures urgent Madagascar à élaboré un d’action afin de combattre un
peut plus la corruption :

 Education pour tous (EPT)


 Réforme de l’administration publique, douanière, judiciaire et foncière
 Renforcement de capacité de l’administration
 Mise en place de conseil supérieur de lutte contre la corruption, du BIANCO
(Bireau Indépendant Anti-COrruption), du SAMIFIN (SAmpan-draharaha
Miady amin’ny Famontsim-bola)
 Implication du secteur privé
 Amélioration du niveau de vie de la population à travers un DERP (Document
de Stratégie de la réduction de la pauvreté, remplace par la suite MAP plus tard
(Madagascar Action Plan)

Mais Madagascar essayer également d’apporter un plus sur le plan social et


éducatif (Santé gratuit pour coucher défavorisé, frais de scolarité supprimé et matériel
scolaire gratuite pour les enfants, et les jeunes ….)

VI. LA REALISATION ET ACQUIS DANS LA LUTTE CONTRE LA


CORRUPTION

 L’augmentation importante des recettes fiscale en 2008, et au 1ère trimestre en


2011
 Transparence dans l’organisation de concoure administration
 Réforme engagé au niveau de la justice dont la mise en place de la direction de
la promotion de l’intégrité et la réforme de conseil supérieur de la majustrature
 Mise en place auprès de cours d’appel en 2010 du conseil en éthique et
déontologie (CED)
 Création du CAJAC également en 2010 c’est-à-dire (Centre d’Assistance
Juridique et d’Action Citoyen) le centre accompagne les citoyens de bien
formule leur plainte à fin qu’elles puissent recevable au prés du BIANCO.

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VII. CONCLUSION

Ainsi donc il ne suffit pas uniquement d’avoir un développement purement


économique pour lutte efficacement contre la corruption, il conviendrait également
d’une part, de renforcer le cadre politique et administratif du pays, et d’autre part
d’investir massivement dans le domaine social et éducatif (santé, éducation,
formation), si le pays en développement veille réellement réussir puisque l’homme est
avant tout le centre de tout développement

Mais à Madagascar qu’on est-il réellement de l’effectivité et de l’efficacité de


ces mesures prise ? Pour ne parle que de la dépolitisation de l’administration de la
transparence, dans la gestion des affaires économique du pays.

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LE SIDA

I. PRESENTATION GENERALE

A. Définition

Le SIDA ou (Syndrome Immuno Déficience Acquise) est un ensemble de


signe, des symptômes, des troubles provoquant un affaiblissement très important du
système immunitaire. Il s’agit d’une affection qui s’attrape et qui se transmit d’un
individu à un autre.

Le virus du SIDA : le VIH (Virus de l’Immuno déficience Humaine), paralyse


progressivement toute la défense du système humanitaire à s’installant à l’intérieur de
cellule de défense humanitaire (globule blanc).

B. L’évolution de la maladie

 1981 : indentification du SIDA


 1987 : indentification du premier cas à Madagascar

Aujourd’hui en compte plus de 35 millions de sidéenne dans le monde dont plus de


22 millions en Afrique subsaharienne. Du stade de séropositif au stade de sidéenne il
existe plusieurs étapes :

 Apparition du signe pas très grave mais qui rivière sans arrêt : fièvre, ou
diarrhée,
 Amaigrissement très important
 Maladie opportuniste
 Infection comme la tuberculose
 Cancer

C. Mode transmission

 Rapport sexuel non protégé


 Transmission matéro-fatale, c’est-à-dire de la mère et à l’enfant par cordon au
ombilical ou par le lait
 Transmission sanguine, ou plaie

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D. La personne vulnérable du SIDA

 Les jeunes femmes en particulier âgé de 15 à 25 ans (60% des personnes


séropositives en Afriques) sont vulnérable maladie car elles sont rarement en
mesure d’exiger de rapport sexuel protégé et repoussé les hommes.
 Les enfants de moins de 15 ans : en 2001 en compte 1,6 million d’enfant atteint
du SIDA, et en 2011 il n’y a que 4 millions dont de 90% en Afrique
subsaharienne.
 Les personnels de sexe
 Les consommateurs de drogue infectable
 La femme et les hommes ruraux migrants ponctuels vers la ville
 Les hommes en uniforme et le commissionnaire
 Les pays le plus peuple comme la chine, l’inde… .

E. Les facteurs de risque et cause de SIDA

 L’exploitation sexuelle des enfants


 La pauvreté
 Le faible niveau de l’éducation
 L’inégalité entre le sexe
 L’opinion de la société sur le SIDA

II. LES IMPACTS DU SIDA

A. Les impacts sociaux

 L’accroissement du travail des enfants devenu ofélin trop tôt


 L’augmentation considérable du taux de mortalité et baisse de l’espérance de vie
moyenne
 En Afrique l’espérance de vie est descendu en 50 ans, si en Europe et en
Amérique du nord elle de 8 ans
 Des nombres ofélin devienne des instruments de la propagation de la maladie
(rapport sexuel non protégé)
 L’accroissement de maladie chronique dans la société telle que la tuberculose
 La discrimination et l’exclusion des personnes vivant avec le SIDA
 La ressource financière de plus en plus affective vers la dépense de sante et des
fumereille au détriment de l’éducation, du logement et de la nourriture.

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B. Les impacts économiques

 Les dépenses en infrastructures, en personnelle et en formation que nécessite le


sida frein le développement économique d’un pays
 La hausse de la mortalité à cause du sida qui réduire la ressource des activités
humaines et agendre de la baisse du BIP
 La sécurité alimentaire étant changée étant donné que la force vive du milieu
naturel diminue
 Le tourisme ne progresse pas car la redoute du sida dans la différente région de
pays
 Vulnérabilité également de génération à venir d’où le problème de relève en
matière ressource humaine.

III. LUTTE CONTRE LE SIDA

A. Sur le plan international

L’OMS espère éradique l’épidémie avant 2050 pour y arrivé, elle veut
soumettre annuellement toute volontaire à un teste de texions du virus suivie d’une
mise sous traitement immédiat pour la personne détecté comme séropositif

Mais sur le 20 milliards de dollar qu’il devait récolte les fonds mondial de la
contre du sida n’a récolte que 100 millions

Alors de nouvelle directives ont été rappelé par l’OMS lequel voie une mise en
place des traitements antirétroviraux plus précoce avec de médicament moins toxique
et moins chaire qui devrait faire baisse le nombre de décès de 20% avant 2015 (comme
prévu dans les OMD)

B. A Madagascar

 Création du conseil national de lutte contre du sida (IEC : Information Education


Communication), prévention, prise en charge et trétement de la maladie
 Installation de centre de dépistage
 Elaboration d’un code de la santé

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IV. LES OBSTACLES A SURMONTE

 La religion (le Vatican n’accepte pas également l’utilisation de préservative car


celle-ci est la débouché du problème majeure pour la préservation du sida
 La société et la culture (la plus part des parents refuge encore d’aborder
publiquement la question sexuelle surtout à la maison)
 Le marque de moyen financier et matériel d’où le problème de prévention et de
traitement.

V. RECOMMANDATION

A. Prévenir la nouvelle l’infection au VIH

 Modification de comportement sexuel (ex : éliminer le rapport sexuel avant


l’âge de 15 ans, utilisé des préservatif, fidélité et partenaire fixe…)
 Réduction du risque par les consommateurs de drogue injectable en luttant
contre de trafic de drogue
 Sécurisation de transmission par le sang

B. Elargie l’axe autrement antirétroviraux

 Réduire le prix de médicament contre le VIH


 Accroitre la recherche de vaccin et de médicament efficace

C. Mobilisé le ressource

 Formation du personnelle soignante


 Renforcement de capacité du cadre pour diriger le grand projet
 Mobiliser la ressource financier par de partenaire avec les organismes nationaux
et internationaux

D. Réduire l’impact de l’épidémie

o Rétablir de droit de l’homme c’est-à-dire le droit à l’éducation, droit au soin,


droit à la vie, droit de l’exprime….
o Renforcer le système d’information de communication au niveau mondial par la
mise en réseau de donne et au niveau national par les ateliers ou la conférence
o Soutenir le pays surtout le plus touché par le sida

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VI. SUGGESTION (pour Madagascar)

 Contrôle la frontière des personnes qui arrivent de l’étrange


 Isolement de sidéen comme le lépneux (boka) pour mieux le soigner
 Aider le pouvoir public au personne qui prétendre trouve de remettre contre le
sida (ex : Mr ZARANIAINA, le Pr RANDRIAMANALINA)

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L’INTEGRATION REGIONALE

I. DEFINITION DE L’INTEGRATION

L’intégration régionale consiste à tirer profit d’un marche plus vaste, à partager
l’héritage et le destin commun de la région ou de sous-région, à permettre la
coopération économique et social, l’objectif étant l’établissement d’une communauté
économique.

II. LES DIFFERENTES TYPES DES ORGANISATIONS

A. Organisation sous-région

 SADEC (South Africain Développement Community ou la communauté de


l’Afrique Austral)
 COMESA (Common Market of Eaten and South Africa ou le marche commun
de l’Afrique oriental et austral)
 COI (Commission de l’océan Indien)

B. Organisation régionale

 UA (Union Africaine)
 UE (Union Européen)

III. LES TROIS INTEGRATION REGIONALE

A. La zone de libre d’échange

 Libre circulation des marches sans payés des droits douane


 Union douanier
 Marché commun

Dans le COMESA il existe 19 Etats membres dont 13 membre de la zone libre


échange mais les 6 qui restent observateur.

Voici les 7 Etats sur les 13 membres :

Madagascar, Maurice, Egypte, Kenya, Zambie, Lybie, Comores. Le COMESA compte


400 millions d’habitants

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B. Union douanier

 Zone de libre d’échange


 Etablissement d’un TEC (Tarif Extérieur Commun)

C. Marché commun

 Union monétaire
 Union économique
 Libre circulation des personnes avec de droit d’établissement et droit de
résidence
 Abandon de la souveraineté économique et commercial et politique plus tard
communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO)

IV. LES ETAPES DE L’INTEGRATION REGIONALE

 La zone de libre d’échange


 Union douanière
 Marché commun

V. LES ENJEX ET DEFITS DE L’INTEGRATION REGIONALE

A. Les enjeux

a. Les atous de l’intégration régionale

 Vaste marché pour l’exportation du pays membres (ex : pour Madagascar plus
de 700 millions de consommateur : 300 millions pour la SADEC et 400 millions
pour le COMESA)
 Tremplir vers l’organisation par chaque pays membres
 Produit à bas prix à cause de la concurrence
 Rentré de diverse pour l’Etat membre qui s’y est bien préparés
 Développement du tourisme
 Enrichisse culturelle
 Transfert de la technologie

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b. Aspect négatif

 Baisse des recettes douanière


 Libre circulation des maladies (ex ; SIDA) à la puissance d’un contrôle à la
frontière
 Explosion démographique due à la libre circulation des personnes
 Disparition à terme des producteurs locaux et des industries national mal protégé
 Enormes difficultés économique pour les Etats membres mal préparé à
l’intégration régionale (ils deviennent de marché de toutes les organisations
partenaire)
 Abandon de la souveraineté économique et commercial et plus tard politique au
profit des organes de l’intégration régionale
 Indifférence des producteurs et des opérateurs nationaux non impliqué dans le
processus de prise de décision concernant l’adhésion dans les organisations de
l’intégration

B. Défît

 Assure la qualité de production (avec de chemance amélioré, la maîtrise de


l’eau, l’utilisation des engrais biologique, mécanisation….)
 Produire des marchandises de qualité, c’est-à-dire conforme à la norme
internationale, en matière de technique, sanitaire, phytosanitaire
 Le développement des infrastructures (goute, énergie, télécommunication…)
 Diversifier les produits d’exportation et en forte valeur ajoute telle que les
produits de la pêche, le fruit de légume, sorgo….
 Transmettre sur place avant exporté les différents agricoles (jus de mangue, de
corossol… Avec la création d’unité de transformation (PMI, PME….)
 Résoudre avant tout les problèmes d’insécurité dans les pays et assurer les
stabilités politiques
 Mettre en place une base de donne technique et industrielle pour améliorer les
compétitivités
 Renforcer la capacité de PMI, coopérative et artisanat

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C. Suggestion

 Vulgarisation de l’organisation régionale ou sous régionale (SADEC,


COMESA…) au près de la population, c’est-à-dire organiser des ateliers des
différentes régions, commune, voir la Fokontany
 Maîtriser des systèmes, c’est-à-dire les traites, le protocole, le fonctionnement,
les différentes étapes de l’intégration régionale
 Procéder à prospection de marche et recherche des partenaires afin d’investir
massivement dans les secteurs agricoles notamment
 Jouer sur l'originalité de produit malgache en matière d’exportation (ex : produit
d’artisanat, des plante médicinale, les variétés des riz …) afin de concourir les
marches régionales voir internationales
 Prévoir à la baisse des systèmes fiscales appliquent aux industries nationaux
exportatrices (facilitation fiscal pour la matière première, pour rendre compétitif
les produits d’exportation)

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ORGANISATION MONDIALE DU COMMERCE
(OMC)

1. Définition

L'Organisation mondiale du commerce (OMC, ou World Trade Organization, WTO,


en anglais) est une organisation internationale qui s'occupe des règles régissant le commerce
international entre les pays. Au cœur de l'organisation se trouvent les accords de l'OMC,
négociés et signés en avril 1994 à Marrakech1 par la majeure partie des puissances commerciales
du monde2 et ratifiés par leurs assemblées parlementaires. L'OMC a pour but principal de
favoriser l'ouverture commerciale. Pour cela, elle tâche de réduire les obstacles au libre-échange,
d'aider les gouvernements à régler leurs différends commerciaux et d'assister les exportateurs, les
importateurs, et les producteurs de marchandises et de services dans leurs activités.

2. Historique

L'OMC est née le 1er janvier 19955, mais le système commercial qu'elle représente a presque
un demi-siècle de plus. En 1947, l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce
(GATT : General Agreement on Tariffs and Trade) établissait les règles du système, dont le
cinquantième anniversaire a été commémoré lors de la deuxième réunion ministérielle de l'OMC,
qui s'est tenue à Genève en mai 1998. L'Accord général a rapidement donné naissance à une
organisation internationale officieuse, existant de fait et aussi dénommée officieusement GATT,
qui a évolué au fil des ans à travers plusieurs cycles (ou rounds) de négociation.

Le sommet de Cancún de 2003 a été marqué par une alliance entre certains pays du tiers-
monde contre les projets de libéralisation des services qui étaient sur la table des négociations.
Cette alliance visait à obtenir de la part des pays riches une modification de leurs politiques
agricoles et a abouti, face au refus de ceux-ci, à l'échec des négociations.

3. Champ d’application

L'OMC s'occupe du commerce des marchandises (GATT 1947/ 1995/ dumping/ subventions/
mesures sanitaires/ etc), et des services (AGCS selon quatre modes, télécommunication/ offerts
sur place/ grâce à l'investissement/ grâce au déplacement mais sans investissement), des biens
agricoles (ASA) et industriels, et de la propriété intellectuelle (les aspects des droits de propriété
intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC)).

Il existe des accords dit « plurilatéraux » dans des domaines plus spécifiques et qui ne
concernent qu'un nombre limité de pays. Il s'agit : des aéronefs civils (Boeing, Airbus, Embraer,
Bombardier, etc.) et les marchés publics. Les produits laitiers et la viande bovine sont deux
domaines politiquement sensibles et qui n'ont pas pu encore être réglés par l'OMC.

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4. Fonctionnement et Organisation

L’OMC est avant tout un cadre de négociation, un lieu où les gouvernements membres se
rendent pour essayer de résoudre les problèmes commerciaux qui existent entre eux. La première
étape consiste à discuter. Ces négociations demandent des moyens importants pour pouvoir être
suivies efficacement par les membres de l'organisation (juristes, experts, etc.). L'OMC
fonctionne sur un mode démocratique au sens où chaque État représente une voix, quel que soit
son poids politique ou économique

5. Sommets sur les Cycles de négociations commerciales multilatérales

En 1996, la première conférence ministérielle se tient à Singapour. Lors de cette première


rencontre, il est décidé de créer trois nouveaux groupes de travail. Un sur le commerce et
l'investissement, un sur l'interaction du commerce et de la politique de la concurrence et un sur la
transparence des marchés publics. Ces sujets sont généralement désignés sous le nom de
« questions de Singapour ». En 1998, la 2e conférence ministérielle se tient à Genève. Le
commerce électronique est ajouté au programme de travail de l'OMC. En 1999, la troisième
conférence ministérielle, à Seattle aux États-Unis, s'est conclue sur un échec, les délégations des
cent-trente-cinq pays membres se séparant sans lancer le cycle du « millénaire ». Les pays du
Sud forment pour la première fois un bloc de négociation.

En 2001, la quatrième conférence ministérielle, à Doha, au Qatar, marque le début du cycle


de Doha, du programme de Doha pour le développement et du lancement d'un programme de
négociations sur trois ans, comprenant notamment les services. La question de l'accès des pays
les plus pauvres aux médicaments s'est trouvée au centre des discussions, ce qui permet leur
ralliement au principe de l'ouverture d'un nouveau cycle. En 2003, la cinquième Conférence
ministérielle de l'OMC, à Cancún, au Mexique, marque le second échec en quatre ans,
principalement à cause de l'opposition entre grandes puissances et G22 sur le dossier agricole. En
2005, la sixième Conférence ministérielle de l'OMC, à Hong Kong, débouche sur un accord sur
la suppression, d'ici à 2013, des subventions aux exportations agricoles.

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6. Accords

Il existe plus de cent accords définissant les règles de fonctionnement de l'OMC. Le principal
accord est l'Accord cadre instituant l'OMC.

Trois accords importants définissent les règles du commerce dans le domaine des
marchandises, des services et de la propriété intellectuelle :

 Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), toujours en vigueur mais
appelé désormais « GATT 1994 ».
 Accord général sur le commerce des services (AGCS, en anglais GATS)
 Accord sur les Aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce
(ADPIC, en anglais TRIPS)

7. Les règlements de différents

L'OMC s'est dotée d'un « pouvoir judiciaire », l'Organe de règlement des différends (ORD),
auprès duquel les pays qui s'estiment lésés peuvent porter plainte. Une procédure permet de
régler les conflits entre les États membres. Elle est avant tout fondée sur la négociation, mais
l'Organe d'appel présente la particularité d'avoir un fonctionnement proche de celui d'une
juridiction, statuant sur une conciliation par nature non-juridictionnelle

8. Procédure de règlement de conflit

En cas de différend entre deux États membres, la partie plaignante peut demander à entamer
des consultations avec l'autre partie, dans le but de trouver un règlement amiable au conflit. Cette
demande doit être notifiée à l'ORD (Organe de règlement des différends). Les autres États
membres, qui témoignent d'un intérêt commercial substantiel à suivre ces consultations, peuvent
obtenir l'autorisation d'y participer en qualité de tierce partie (près d'un quart des conflits sont
réglés par le mécanisme des consultations).

En l'absence de solution amiable, la partie plaignante peut demander à l'ORD d'établir un


« groupe spécial » (panel). Le groupe spécial est en général constitué de trois personnes,
proposées par le secrétariat de l'OMC. Il a pour mission d'examiner, à la lumière des dispositions
pertinentes des accords de l'OMC, la question portée devant l'ORD et de faire des constatations
propres à aider l'ORD à formuler des recommandations. Les autres États membres qui
démontrent l'existence d'un intérêt commercial substantiel peuvent se porter tierce partie et
présenter des communications écrites au panel. Le groupe spécial établit lui-même le calendrier
de ses travaux et choisit de faire ou non appel à des experts. Il doit rendre, en principe, son
rapport dans un délai de six mois à compter de la date de formation du panel. Ce délai peut être
prolongé mais ne doit pas dépasser neuf mois. Un accord à l'amiable est encore possible pendant
les travaux du groupe spécial. L'ORD peut se réunir pour adopter le rapport du groupe spécial au
plus tôt vingt jours et au plus tard soixante jours après sa distribution aux États membres dans les
trois langues officielles de l'OMC (anglais, français et espagnol), à moins qu'un État membre,
partie du différend, ne notifie à l'ORD sa volonté de faire appel ou que l'ORD décide par
consensus de ne pas adopter le rapport (décision au « consensus négatif »).

L'Organe d'appel doit statuer sur le rapport du groupe spécial dans les soixante jours de la
notification de la décision de faire appel, et au plus tard dans les quatre-vingt-dix jours de cette

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date en cas de difficultés. L'appel est limité aux questions de droit et aux interprétations du droit
données par le rapport du panel. L'ORD doit adopter le rapport de l'Organe d'appel dans les
trente jours de sa distribution aux États membres. Il assure la surveillance de la mise en œuvre
des décisions et recommandations qu'il a exprimées à la lumière des deux rapports susvisés. La
partie concernée doit, en principe, se conformer immédiatement à ces décisions et à ces
recommandations. Elle pourra néanmoins disposer d'un délai raisonnable fixé par accord amiable
entre les parties ou par un arbitrage. Dans ce dernier cas, ce délai ne doit pas normalement
dépasser quinze mois à compter de la date d'adoption du rapport du groupe spécial ou de
l'Organe d'appel. En cas de désaccord entre les parties sur la question de savoir si la partie
concernée s'est bien conformée aux recommandations de l'ORD, la question peut être portée
devant un groupe spécial qui dispose alors de 90 jours pour trancher ce différend. Les parties
peuvent de commun accord fixer une compensation volontaire qui vise à « racheter »
l'allongement du délai dans lequel la partie défaillante doit en principe retirer la mesure illicite.

Par ailleurs, dans les vingt jours suivant l'expiration du délai raisonnable visé ci-dessus, la
partie plaignante, qui estime que les mesures de conformité mises en œuvre par l'autre partie sont
incompatibles avec les recommandations de l'ORD, peut demander à l'ORD de suspendre les
concessions et autres droits dont bénéficie l'autre partie dans le cadre des accords de l'OMC. Si
l'État membre concerné conteste le niveau de suspension de concession autorisé par l'ORD, il
peut demander un arbitrage pour vérifier l'adéquation du niveau de suspension des concessions
au niveau d'annulation ou de réduction des avantages

9. Les membres et l’observateur

L’OMC regroupe 161 pays membres et des observateurs. Les observateurs peuvent être des
États en cours d'adhésion ou des organisations internationales comme le FMI et la Banque
mondiale20.

Membres de l’OMC

L'OMC compte 164 membres. Ceux-ci peuvent être des États, des territoires douaniers
pleinement autonomes (3 membres le sont) et l'Union européenne. Les membres sont les suivants
(entre parenthèses, la date d'entrée dans l'OMC)

10. Les objectifs de l’OMC

 Réduire le coût de la vie et relever les niveaux de vie


 régler les différends et réduire les tensions commerciales
 stimuler la croissance économique et l'emploi
 réduire le coût de l'activité commerciale au niveau international
 encourager la bonne gouvernance
 aider les pays à se développer
 donner aux faibles les moyens de se faire entendre
 agir en faveur de l'environnement et de la santé
 contribuer à la paix et à la stabilité
 être efficace sans faire la une des journaux

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11. Les principaux objectifs de l’OMC

Les principaux objectifs de l’OMC consistent à d’assurer la liberté, l’équité et la prévisibilité


des échanges en :

 administrant les accords de l’OMC ;


 réglant les différends commerciaux par le biais d’un Organe de règlement des différends ;
 et servant de cadre aux négociations commerciales

12. µLes règles à suivre de membre de l’OMC pour atteindre ces objectifs

Des plafonds de droits de douanes pour les marchandises, agricoles et non agricoles qu’ils
ont chacun souscrits. Ces droits dit « consolidés » sont consignés dans des listes de concessions
tarifaires ;

Des plafonds de soutiens interne et à l’exportation de produits agricoles sur lesquels ils se
sont engagés. Ces plafonds sont énumérés dans les listes d’engagements en matière de soutien
interne et de subvention à l’exportation ;

Des engagements pris pays par pays en matière d’accès aux marchés et de traitement national
dans le domaine du commerce des services. Ces engagements sont énumérés dans les listes
d’engagements spécifiques (ces trois listes d’engagement pour les 154 membres de l’OMC
représentent plus de 30 000 pages d’engagements) ;

Le corpus de disciplines multilatérales, comprenant en premier lieu l’Accord Marrakech


instituant l’Organisation mondiale du commerce et 20 accords en annexe (600 pages de règles)
ainsi que les décisions des Conférences ministérielles et du Conseil général ;

La jurisprudence de l’OMC, régulièrement émises par les panélistes et l’Organe


d’Appel (depuis 1995, 427 plaintes, 155 rapports de panels et 104 rapports d’Organe d’Appel
représentant plus de 50 000 pages).

Avec la crise, la fonction de surveillance des mesures commerciales des membres a pris
une importance croissante et fait l’objet de rapports réguliers.

Par ailleurs, depuis 2005, l’OMC s’est vue confier un rôle de catalyseur et de fédérateur en
matière d’aide pour le commerce, organisant des examens réguliers sur la coordination et la
mise en œuvre des politiques engagées au niveau national, régional ou multilatéral.

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GASY MIZARA EDITION


13. Les organes au sein de l’OMC

L’Organe de règlement des différends est chargé de l’administration des litiges entre les
membres de l’OMC. Il se réunit au minimum une fois par mois pour examiner et adopter les
rapports des groupes spéciaux et de l’Organe d’appel et pour prendre toute mesure
d’administration concernant le règlement des différends.

L’Organe d’examen des politiques commerciales examine les politiques commerciales des
Membres à partir d'une déclaration de politique générale présentée par le Membre intéressé et
d'un rapport établi par les économistes du Secrétariat. Les membres de l'OMC font régulièrement
l'objet d'un examen selon une fréquence qui varie en fonction de leur part dans le commerce
mondial.

La mission du GATT

La mission du GATT (General Agreement on Tariffs and Trade), créé en 1948, était non
seulement de définir les règles du jeu du commerce mondial mais également d’abriter les
négociations commerciales entre pays membres en vue de promouvoir la libéralisation des
échanges. Avant l’actuel cycle de négociation multilatérale (round), dit de Doha, huit se sont
succédés, chaque fois plus longs et englobant davantage de questions. En effet, au lendemain de
la seconde guerre mondiale et jusqu’aux années 1960, la priorité était donnée à la baisse des
tarifs douaniers, laissés aux niveaux particulièrement élevés de l’avant-guerre. Au fur et à
mesure que ces tarifs diminuaient, d’autres questions apparaissaient : les barrières non tarifaires,
les exceptions sectorielles (textile, agriculture) ou géographiques (traitement spécial et
différencié pour les pays en développement), les « codes » (antidumping, subventions),
l’élargissement des règles (normes de travail, commandes publiques, concurrence,
investissement, droit de la propriété intellectuelle), la transposition aux services des règles
applicables aux marchandises. L’Uruguay Round, huitième négociation multilatérale achevée par
les accords de Marrakech (1994), a été marqué par un saut important dans le renforcement
institutionnel du GATT (Tableau 1) ; en devenant l’Organisation Mondiale du Commerce, elle
accède au statut d’organisation internationale.

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14. Les huit cycles de négociation multilatérale (Rounds) avant le cycle du
développement de Doha

Lieu/ Pays
Année Domaines couverts
Appellation participants
1947 Genève Droits de douane 23
1949 Annecy Droits de douane 13
1951 Torquay Droits de douane 38
1956 Genève Droits de douane 26
1960- Genève (Dillon
Droits de douane 26
1961 Round)
Genève
1964-
(Kennedy Droits de douane et mesures antidumping 62
1967
Round)
1973- Genève (Tokyo Droits de douane, mesures non tarifaires et “accords-
102
1979 Round) cadres”
Droits de douane, mesures non tari-faires, règles,
Genève
1986- services, propriété intellectuelle, règlement des
(Uruguay 123
1994 différends, textiles, agriculture, éta-blissement de
Round)
l’OMC, etc.

15. Le jeu des négociations multilatérales

L’OMC est une organisation internationale intergouvernementale « dirigée » par ses


membres, c’est-à-dire par les États. Mais ceux-ci sont eux-mêmes au carrefour d’intérêts
divergents et contradictoires

a. Les acteurs

A première vue, la description des acteurs est aisée. L’OMC est une organisation member
driven et les membres sont les États (avec quelques territoires douaniers autonomes comme
Hong Kong). Les négociations sont donc menées par les représentants des gouvernements
(ministres, ambassadeurs, hauts fonctionnaires).

Directeur général de l’OMC, et ses services, ne se substituent pas aux États membres. Ils
n’ont qu’un rôle d’assistance et de coordination. Cette dernière tâche peut néanmoins se révéler
stratégique en cas de crise. C’est le Directeur Général qui, à l’issue d’un Conseil général, a
décidé de suspendre les négociations de Doha en juillet 2006. Le Directeur général peut
également assumer une fonction de médiateur influent. Aux différentes étapes de la négociation,
il rédige les projets de textes (drafts) qui prennent acte des points qui lui semblent acquis et
laisse en blanc les points qui restent soumis à négociations ; ces drafts donnent d’ailleurs souvent
lieu à plusieurs versions révisées par les États membres avant d’être soumis à discussion pour
être, ou ne pas être, validés.

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GASY MIZARA EDITION


Toutefois, au-delà de ces acteurs visibles, d’autres intervenants défendent des points de vue
susceptibles d’être relayés par les négociateurs officiels. Plusieurs types de groupes de pression
sont physiquement présents dans les couloirs des négociations, notamment lors des « grandes
messes » des Conférences ministérielles.

Les premiers sont les organisations socioprofessionnelles. Menacées par l’ouverture de leur
marché aux importations plus compétitives, elles défendent, en général, des positions défensives.
C’est notamment le cas des puissants lobbies agricoles européens ou américains (mais aussi
japonais, coréens, etc.). Ces groupes avaient obtenu, dès les années 1950, que l’agriculture
échappe au mouvement général de libéralisation des échanges. Dans les années 1970, le lobby
textile avait également réussi à faire adopter des règles dérogatoires aux principes même du
GATT en permettant aux pays industriels d’instituer des quotas discriminatoires à l’encontre des
pays exportateurs (accords multifibres).

Les seconds sont les représentants des grandes firmes exportatrices, souvent multinationales,
qui militent en faveur de l’ouverture des marchés aux biens et aux services ainsi que pour une
plus grande sécurité juridique en matière, notamment, de propriété intellectuelle. Lors de
l’Uruguay Round, ces groupes ont ainsi obtenu l’extension des règles du GATT aux services. Ils
ont réussi à faire adopter un accord sur la propriété intellectuelle qui les protège certes des
contrefaçons mais qui entretient parfois des situations monopolistiques contestables quoique
légales (voir Tirole et al., 2003 ; Siroën, 2004b).

Les troisièmes, qui ont affirmé plus récemment leur pouvoir d’influence, sont les
représentants plus ou moins auto-proclamés de la « société civile ». Certains contestent le
principe même de négociations visant à libéraliser les échanges. C’est le cas de syndicats comme
l’AFL-CIO, ou d’associations « altermondialistes » comme ATTAC qui exercent leur pouvoir de
mobilisation pour entraver la négociation, comme à Seattle (1999). D’autres ONG, comme
Oxfam, préfèrent les couloirs et contestent moins la libéralisation des échanges que son iniquité.
Elles sont ainsi intervenues pour préciser l’accord sur la propriété intellectuelle qui
compromettait l’accès aux médicaments des pays en développement. Elles ont également soulevé
la question des subventions aux producteurs de coton qui, en encourageant artificiellement la
production, pèsent sur les cours mondiaux au détriment des pays producteurs les plus pauvres de
l’Afrique sub-saharienne.

Si les États sont donc formellement les seuls négociateurs, ils restent néanmoins soumis à des
pressions internes et externes contradictoires qui exigent des arbitrages au coût politique parfois
élevé.

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GASY MIZARA EDITION


b. Les enjeux

Les négociations commerciales multilatérales visent à la libéralisation des échanges


mondiaux sur la base d’un avantage mutuel.

En effet, à l’intérieur de chaque pays, certaines catégories peuvent être désavantagées, mais
la théorie du commerce international (théorème de Stolper et Samuelson) affirme que les
gagnants pourront toujours indemniser les perdants ce qui laisse la porte ouverte à des politiques
de redistribution [3][3] Les subventions au revenu des agriculteurs sont une....

Dans la théorie du commerce international, la rationalité des pays repose sur le


postulat suivant : un pays a toujours intérêt à s’ouvrir à l’échange même s’il ne gagne que 1 alors
que son partenaire gagne 100 (1000, 10000, etc.). Il revient au marché de déterminer les termes
de l’échange et donc le partage des gains. Les pays se soumettent à son verdict. Ce postulat laisse
peu de place à la négociation.

Le premier écart avec ce postulat tient d’abord à la doctrine sous-jacente. Contrairement aux
enseignements de la théorie libérale du commerce international, l’échange est rarement perçu,
par les opinions publiques comme par les dirigeants politiques, comme mutuellement favorable,
par nature, et le thème de la « guerre économique » est assez récurrent. Comme l’écrivait le
mercantiliste Antoine de Montchrestien dans son Traité de l’Économie politique (1615), « Nous
faisons autant de perte que l’étranger fait de gain ». Les fondements doctrinaux de la
négociation commerciale multilatérale se distinguent pourtant du mercantilisme par sa foi
maintenue dans la possibilité d’un jeu gagnant-gagnant : pour tous les pays, les gains espérés du
côté des exportations doivent pouvoir l’emporter sur les pertes attendues du côté des
importations. Mais, pour obtenir ce résultat, la coopération, qui se concrétise par la négociation,
doit se substituer à la main invisible du marché. Le processus de négociation multilatéral est ainsi
construit autour du schéma suivant : l’ouverture du marché national induit des pertes qui doivent
être plus que compensées par les gains attendus de l’ouverture des marchés étrangers. Le terme
de « concession » pour désigner l’« offre » de réduction tarifaire d’un pays illustre bien cette
connotation négative de l’ouverture des marchés.

De plus, la nature positive du gain ne suffit pas à emporter l’adhésion. Les négociations
sont encadrées par des principes qui visent à garantir une certaine équité. Ainsi, le principe de
réciprocité requiert un équilibre entre les concessions des pays alors que la clause de la nation la
plus favorisée empêche la formation d’alliances qui se réaliseraient au détriment des pays tiers.

Que les gouvernements représentés se réclament de la gauche dirigiste, sociale-


démocrate, populiste ou de la droite libérale, conservatrice ou nationaliste, les buts poursuivis
sont alors le plus souvent identiques : conserver le maximum de protections chez soi tout en
obtenant le maximum d’ouverture (de concessions) chez les autres. Le processus de négociation
de l’OMC serait ainsi une grande machine dotée du pouvoir alchimique de transformer les
objectifs mercantilistes des États en politiques libérales d’ouverture des marchés.

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c. Les règles

Les négociations multilatérales de l’OMC se distinguent des négociations ciblées sur un


thème, comme l’effet de serre. Même limitées, en principe, aux questions commerciales, elles
impliquent plusieurs thèmes qui peuvent aller de la traditionnelle réduction des tarifs au respect
de la propriété intellectuelle ou au problème des « petites » économies. Contrairement au
Protocole de Kyoto sur l’émission de gaz à effets de serre, elles sont menées au sein d’une
organisation internationale et les négociations sont encadrées par les principes qui la régissent
comme la clause de la nation la plus favorisée ou la règle de réciprocité. Enfin, le respect
d’éventuels accords est consolidé par une procédure de règlement des différends.

d. Surmonter la crise des négociations multilatérales

La dramatisation des négociations commerciales fait partie du processus de négociation et du


jeu des acteurs, mais elle n’est pas sans risque. Quand les acteurs ont été très loin dans les
exigences et les coups de « bluff », revenir en arrière atteint la crédibilité des pays les plus
engagés dans la négociation. Par rapport aux négociations antérieures, le cycle de Doha a déjà dû
affronter trois crises graves, à Seattle avant même son lancement, à Cancun dans une phase
intermédiaire, en juin-juillet 2006 avec la suspension des négociations. L’augmentation du
nombre de participants, qui sont parfois des poids lourds, comme la Chine et, demain, la Russie,
modifie les équilibres politiques tout comme l’aspiration au leadership régional de certains pays
comme l’Inde ou le Brésil. Les négociations atteignent aujourd’hui un noyau dur qui touche de
plus près aux préférences nationales et donc à la souveraineté des États.

La crise des négociations multilatérales est avérée par l’explosion des négociations
« régionales » ou « bilatérales ». Ces accords visent certes à réduire les tarifs douaniers entre les
partenaires, mais également à aborder des thèmes exclus ou allusivement traités à l’OMC :
normes de travail, investissement, approfondissement de la protection de la propriété
intellectuelle, règles d’origine, etc. Il y a donc bien une crise des négociations multilatérales,
dont l’issue très incertaine du cycle de Doha nous révélera l’ampleur. Cette crise pourrait
toutefois être atténuée par certaines évolutions institutionnelles.

e. Règle du consensus et multilatéralisme à plusieurs vitesses

La règle du consensus est souvent mise en cause. On sait quelles furent les conséquences de
l’unanimité à la Société des Nations (SDN) et l’Union européenne a avancé en réduisant toujours
l’étendue de cette règle. Dans l’ancien GATT, elle était justifiée par le caractère contractuel de
l’accord ; toute modification devait avoir l’assentiment de l’ensemble des « parties
contractantes ». En tant qu’organisation internationale, l’OMC aurait pu se doter de règles de
majorité. Pourtant, l’accord instituant l’Organisation Mondiale du commerce stipule dans son
article IX que « L’OMC conservera la pratique de prise de décisions par consensus suivie en
vertu du GATT de 1947. » Mais il stipule également que « Sauf disposition contraire, dans les
cas où il ne sera pas possible d’arriver à une décision par consensus, la décision sur la question à
l’examen sera prise aux voix. […] Les décisions de la Conférence ministérielle et du Conseil
général seront prises à la majorité des votes émis, à moins que le présent accord ou l’Accord
commercial multilatéral correspondant n’en dispose autrement. » Dans les faits, le recours au
vote n’a jamais été envisagé. En renonçant à l’exclusivité du consensus, les petits pays

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renonceraient de facto à leur droit de veto. Inversement, les grands pays se trouveraient très
minoritaires dans un système « un pays, une voix ».

L’abandon de la règle du consensus et une pondération des voix élimineraient certes certains
comportements stratégiques indésirables, notamment le chantage au veto. Il renforcerait encore
les jeux de coalition. En terme de relations internationales, les conséquences seraient loin d’être
anodines car elles signifieraient qu’une majorité puisse imposer à une minorité des règles qui
atteindraient sa souveraineté nationale. L’Union européenne pourrait, par exemple, se voir
imposer une ouverture indésirée des produits culturels ou des services de santé. L’abandon du
consensus signifie donc que les pays perdent le droit de définir leur propre priorité et ne sont plus
assurés d’un « gain net » à l’issue de la négociation.

A l’image du processus de prise de décision au sein de l’Union européenne, les règles de


majorité pourraient être déterminées en fonction des thèmes. Ceux qui atteignent la souveraineté
nationale resteraient soumises à la règle du consensus, les autres à des règles de majorité
qualifiée. Cette procédure est a priori peu compatible avec le principe d’engagement unique
puisque les cycles de négociation portent sur des sujets d’importance divers. Cet obstacle peut
toutefois être contourné par les accords dits plurilatéraux qui n’engagent que les signataires, et
échappent donc à la règle du consensus entre l’ensemble des pays membres. Les accords
d’Uruguay avaient cherché à les réduire, voire à les supprimer et, de fait, ils ne concernent
aujourd’hui que deux domaines : le commerce des aéronefs (sic) civils et les marchés publics. Ils
sont certes en contradiction avec les principes du multilatéralisme qui exigent la participation de
tous, mais les transgressent moins que les accords commerciaux bilatéraux.

Conclusion

Les soubresauts du cycle de Doha ont montré les limites des négociations commerciales
multilatérales. Un échec, total ou dissimulé derrière un accord de façade, ne devrait pas être
dramatisé. A condition, toutefois, que les pays membres en tirent les conséquences.

Certes, la souveraineté des États membres doit être préservée. Ils doivent conserver le
droit de choisir leurs concessions. Mais pour que cet arbitrage soit possible, il faut encore que les
thèmes de négociations s’élargissent. La libéralisation des échanges ayant rejeté les thèmes
« douaniers » dans le noyau dur de la souveraineté nationale, les cycles de négociation ne
pourront aboutir que s’ils s’élargissent à de nouveaux sujets. Cette poursuite d’une évolution,
amorcée lors de l’Uruguay Round, exige néanmoins des progrès dans la quantification des
concessions et des avantages. Il ne s’agit pas d’imposer aux pays en développement le respect
des normes fondamentales de travail ou des règles de concurrence mais d’estimer l’équivalent
tarifaire ou l’équivalent-subvention de la violation de ces normes afin de les introduire dans les
listes de concession.

Mais cette souveraineté ne doit pas non plus ignorer la nécessité d’un arbitrage
indépendant. L’OMC est la seule organisation qui dispose d’une procédure de règlement des
différends qui, malgré ses défauts, s’est révélée suffisamment indépendante pour condamner à
plusieurs reprises les États-Unis et l’Union européenne. La Direction générale, ou une autre
instance, doit avoir les moyens de mieux garantir la réciprocité et d’intervenir plus activement
sur les États membres qui s’en affranchiraient. A défaut, les accords plurilatéraux constituent une
porte de sortie, certes peu satisfaisante du point de vue de la logique multilatérale.

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LE GROUPE DES VINGT (G20)

1. Definition

Le Groupe des vingt (G20) est un groupe composé de dix-neuf pays et de l'Union
européenne dont les ministres, les chefs des banques centrales et les chefs d'États se réunissent
régulièrement. Il a été créé en 1999, après la succession de crises financières dans les années
19901. Il vise à favoriser la concertation internationale, en intégrant le principe d'un dialogue
élargi tenant compte du poids économique croissant pris par un certain nombre de pays.

Le G20 représente 85 % du commerce mondial, les deux tiers de la population mondiale et


plus de 90 % du produit mondial brut (somme des PIB de tous les pays du monde)1.

Le 15 novembre 2008, pour la première fois de son histoire, les chefs d'État ou de
gouvernement se sont réunis. Actuellement, le G20 se décline sous trois formes : les G20
regroupant des chefs d'État et de gouvernement, les G20 finance regroupant les ministres des
finances et les gouverneurs des banques centrales et, depuis les 20-21 avril 2010, des G20
sociaux, réunissant les ministres de l'emploi.

2. Creation

Le G20 a été créé en marge du G7 du 25 septembre 1999 de Washington, à l'initiative du


ministre des Finances du Canada, Paul Martin, lors d'une réunion des ministres des Finances du
groupe2. Le but de ce nouveau groupe est alors de favoriser la stabilité financière internationale
et de créer des possibilités de dialogues entre pays industrialisés et pays émergents, ce que les
réunions des ministres des finances du G7 ne permettaient pas.

L'autre facteur d'extension du G8 (G7 + la Russie, admise pour des raisons politiques) est la
baisse relative du poids économique dans le monde de ses membres. En effet, leur importance
dans le PIB mondial est passé de 69 % en 1989 à 55 % en 20093.

Le 15 novembre 2008, pour la première fois de son histoire et à l'initiative de Nicolas


Sarkozy et de Gordon Brown4, le G20 réunit ses chefs d'États et de gouvernements.

Fareed Zakaria avance plusieurs raisons pour expliquer que, selon lui5, « la gouvernance
mondiale ne pourra évoluer qu'à travers le G20 » : d'une part, le Conseil de sécurité des Nations
unies est paralysé par le droit de veto et ses missions pourraient être mieux remplies par le G20
assez représentatif des rapports de force mondiaux; d'autre part, si les États-Unis n'ont plus la
force d'imposer seuls leurs vues, ils peuvent malgré tout par le biais de cette instance jouer un
rôle positif de catalyseur.

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3. Pays et organisations membres

En 2010, le G20 compte 20 membres : dix-neuf pays plus l'Union européenne. L'Espagne et
les Pays-Bas ont participé aux trois dernières réunions sans en être membres6. L'Union
européenne est représentée par le président du Conseil européen et celui de la Commission
européenne, ce qui explique que le G20 rassemble 21 personnes.

Le G20 accueille également les institutions de Bretton Woods : le directeur général du FMI,
le président de la Banque mondiale, celui du comité monétaire et financier international et celui
du comité de développement du FMI et de la Banque mondiale2.

Le G20 regroupe les membres G7, dix pays à économies émergentesNote 1 plus l'Australie et la
Corée du Sud. L'Espagne, et à un degré moindre les Pays-Bas, la Pologne, la Belgique, la Suède
et la Suisse bien que leur PIB soient parmi les vingt premiers mondiaux n'ont pas été retenus.
Parmi les principaux pays émergents non retenus nous pouvons citer l'Iran, la Thaïlande, la
Malaisie, le Chili, le Nigeria, etc. Notons que l'Espagne, en tant que 13e économie mondiale7, est
« invité permanent » du G20.

Si on regarde la situation en fonction de critères géographiques, le G20 compte trois États de


l'ALENA, deux États du MERCOSUR, quatre États de l'Union européenne (sans compter
l'Union qui siège également en sa propre qualité) et trois États membres de l'Organisation de la
conférence islamique. Le continent asiatique est relativement bien représenté avec des pays
comme la Chine, la Corée du Sud, l'Inde, l'Indonésie, le Japon mais aussi la Turquie et l'Arabie
saoudite ; l'Afrique du Sud est la seule représentante du continent africain au G20.

Si l'on considère les membres en fonction du régime politique, il est possible de compter : 1
union de type supranational, 14 républiques (dont 7 républiques fédérales et 1 république
populaire) et 5 monarchies

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LA PRIORITE IMMEDIATE DANS UN PROJET DE
DEVELOPPEMENT

Des reformes rigoureuses qui exige une collaboration entre les ministres et la population
ainsi que de ressource spécifique devrait être mise en œuvre en fin de transformé en réalité le
projet de développement d’un pays :

1. Reforme de finance publique

C’est-à-dire mise en œuvre d’un système fiscal simple, efficace et juste avec le concours de
la société civile et du secteur privé, l’appui du FMI et de la banque mondiale en fin de recouvrer
plus les recettes pour pouvoir financier le projet de développement.

Exemple :

Madagascar devra passe de 11% de pression fiscale et à 15 % pour les années avenir.

2. Augmentation des investissements pour favoriser la croissance

La mise en place de l’EDBM, c’est un guichet unique pour l’investissement à


Madagascar, avec des initiations fiscale en fin d’attire le maximum d’investissement local et
étranger.

3. Mise en œuvre de la révolution verte

Pour que Madagascar devienne autosuffisant en matière alimentaire exportateur de riz


avec d’’autre produit agricole, le semence, formation doivent être fournir gratuitement aux
agriculteurs, mécanisation outille agricole, la politique de fixation aux agriculteur, loisirs,
l’éducation pour l’enfant, petit école pour les enfants, hôpital (ex : CS II)

4. Transformation de la sécurité publique

Des actions vigoureuses doivent mener en matière de sécurité enfin de mieux sécuriser
l’activité agricole, le tourisme et les investissements.

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5. Mise en œuvre de la nouvelle mesure concernant sur la santé publique

C’est-à-dire réduire toute d’abord la taille moyenne de la famille en faisant de contrôle de


naissance

En suite, fournir de moustiquaire par exemple à chaque individu pour lutte contre le
paludisme dans la zone à risque.

Enfin, lutte contre le propagation rapide de SIDA (installation de plusieurs centres dépistage,
contrôle à la frontière ……….)

6. Transformation du système juridique

C’est-à-dire de reforme majeur (verdict rapide, gestion rationnelle de prison…) enfin


renforcer la confiance du peuple et des investissements au système.

7. Transformation de l’éducation

C’est-à-dire en autre :

 Lutte intensive contre l’alphabétisation


 Renforcement de l’éducation civique
 Développement de la formation professionnelle

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DEVELOPPEMENT

I. Sur le plan politique

 Application de la bonne gouvernance politique et administrative


 Mise en œuvre de la démocratie
 Mise en œuvre également de priorité immédiate pour un projet de développement
 Respect de l’Etat de droit
 Lutte contre la corruption et blanchiment d’argent
 Mise en place de la décentralisation effective

II. Sur le plan économique

 Mise en place de la révolution verte


 Changement macro-économique
 Protection de l’environnement
 Développement des infrastructures (route, énergie, télécommunication…)
 Maitrise des accords avec les étrangers pour l’exception de ressource naturelle
 Mise en place de développement rural (aide matériel et financier les paysans
 Conquet du marché régional dans le cadre de l’intégration régional
 Mise en œuvre de la bonne gouvernance

III. Sur le plan socioculturel

 Application de la bonne gouvernance culturel, c’est-à-dire éducation, formation,


renfoncement de capacité…)
 Lutte contre tout le grande maladie (SIDA, Paludisme, tuberculose..)
 Transformation de l’éducation (formation en rapport avec l’emploi)
 Mise en œuvre du développement humain et social, c’est-à-dire amélioration de la
santé publique, logement, travail, eau potable…)
 Lutte contre l’analphabetisatin, l’illettrisme,
 Renforcement de l’éducation citoyen, c’est-à-dire prise la responsabilité,
initiative…)
 Rétablissement de l’ordre de la sécurité
 Mettre en place l’égalité l’homme et la femme

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DEVELOPPEMENT RURAL

1. La sécurité de propriété foncière

C’est-à-dire :

 Investisse, restauré et numériser le document foncier


 Informatiser les archives
 Anis, le pourcentage des exploitants, de certificat foncier à Madagascar
 Il faudra créer également de guiche foncière dans chaque commune

2. Améliorer l’accès au financement rural

 Assurer les refinancement d’institution de micro-finance (ex: 0TIV, CECAM,


ADEFI,… )
 Mettre en place le fond de développement agricole ou FDA
 Accord de crédit sans intérêt aux paysans
 Ainsi, le taux pénétration des institutions financière à Madagascar devra passer à
13% au moins en 2020.

3. Promouvoir une révolution verte durable

C’est-à-dire :

 Aménager, réhabilitée et entre tenir le réseau hydro-agricole


 Promouvoir la mécanisation et l’industrialisation agricole

4. Promouvoir l’activité orientée vers les marchés

C’est-à-dire :

 Facilitation d’acquisition de machine et outille agricole aux paysans.


 Atteindre l’accès au réseau de base de donné internationale et régionale existante.

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5. Diversifier les activités agricoles

C’est-à-dire :

 Organiser les appuis à la nouvelle filière


 Favoriser les partenariats entre le centre de recherche et le producteur (ex : avec la
FOFIFA)

6. Accroitre la valeur ajoute des agricoles et promouvoir l’agro-business

C’est-à-dire :

 Appliquer le système de control de qualité


 Mettre en place de centre de productivité agricole
 Transformer le produit agricole sur place avant de leur exportation
 Créer de centre de formation pratique au prés de paysans

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PLAN DU DEVOIR

Introduction

2 lignes

Partie I

1 ligne

Transition 1

1 ligne
DEVELOPPEMENT

Partie II

1 ligne

Transition 2

1 ligne

Partie III

2 lignes

Conclusion
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