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République Algérienne Démocratique et Populaire

Ministère de l’enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique


Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene

Faculté de Génie Electrique


Département de Télécommunications

Domaine :SciencesetTechnologie
Spécialité :Télécommunications
Option : Système de Télécommunications

THEME

Stratégie de gouvernance dans le model de


la Smart City cas de la ville d’Alger
Proposé et dirigé par : Présenté par :

CHEROUK CHAKIB AHMED KHODJA


YOUSFI OUSSAMA

Soutenu le : Devantle Jurycomposéde :

Président :
Examinateur :
Encadre :
Co-Encadreur :

Décembre 2022
Sommaire

Liste des figures……...………………..…………………………………………………………….3


I. Introduction .............................................................................................................. 4
I.1 Problématique ................................................................................................................ 5
I.2 Hypothèses .................................................................................................................... 6

II. Chapitre 1 : Généralités sur la smart city ......................................................... 7


II.1 Définitions et composantes de base de la ville intelligente ................................................ 7
II.2 Aspects et caractéristique ……………………………………………………………………8

III. Chapitre 2 : L’architecture et la méthodologie smart cities ..................... 11


III.1 Modèles .................................................................................................................... 12
IV. Chapitre 3 : Cas d’étude de la ville d’Alger................................................. 12
IV.1 Rétrospective des applications par les start-ups algériennes........................................... 14
IV.1.1Application « Yassir » .................................................................................................. 14
IV.1.2 Application « Winrac » ................................................................................................ 14

IV.1.3 L’ANSEJ .................................................................................................................. 15

IV.1.4 SYLABS .................................................................................................................. 15

V. Conclusion ............................................................................................................. 16
Bibliographie ............................................................................................................... 19
Faculté génie électrique

Liste des figures


Figure I.1 : croissance des chiffres de populations dans les zones urbaines……………4
Figure I.2:Rise of the "Smart City" concept in scientific discourse (Wolfram, 2012).....6
Figure II.1 :ville intelligente interconnectée :...................................................................8

Figure II.2: Smart city dimension......................................................................................................9


Figure II.3: schéma de la Smart city selon GIFFINGER.......................................................10

Figure III.1 : Schéma de l'architecture technique de la ville intelligente............................11

Figure III.2 : Cadre de construction des systèmes d'application pour la ville


intelligente………………………………………………………………………………………………12

Figure IV.1 : Le pourcentage de la population qui utilise internet – Source :


international télécommunication union………………..…………………………………………14
Figure IV.2 : Logo de YASSIR………………………………………………………...................15
Figure IV.10 : Logo de winrac…………………………………...……………………………….16

Figure IV.11 : Logo de Sylabs…...………………………………………………………………..17

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Faculté génie électrique

I. Introduction :

La ville joue un rôle clé dans le développement de l'humanité. Avec l'expansion


continue des populations urbaines, des besoins croissants dans de nombreux aspects liés
à la vie urbaine, tels que la gouvernance de l'environnement, la sécurité publique, la
planification urbaine, la facilitation de l'industrie, l'utilisation des ressources, la
conservation de l'énergie, le contrôle du trafic, la télémédecine, les soins à domicile, les
communications interpersonnelles, les activités sociales et les divertissements.
L'incapacité à répondre à l'un de ces besoins peut menacer le développement durable
d'une ville.

Nos villes doivent donc alors s’adapter à ce phénomène inéluctable en augmentant leurs
capacités d’accueil et leurs services.

La figure 1 montre la croissance hallucinante des chiffres de populations dans les zones
urbaines.

Figure I.1 : croissance des chiffres de populations dans les zones urbaines.

La ville intelligente peut être la solution, qui s'appuie généralement sur les dispositifs
intelligents largement distribués pour surveiller l'environnement urbain en temps réel,
réagir à temps, établir un contrôle automatisé, collecter des informations pour une

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Faculté génie électrique

prisede décision intelligente, faciliter divers services et améliorer la qualité de vie des
habitants. [Yuan He, 29 May 2014].

Aujourd’hui, la smart city fait ainsi partie des concepts incontournables à ne pas
négliger.
Cette notion a été reprise par de nombreuses villes, partout dans le monde des
gouvernements investissent beaucoup en recherche pour améliorer leurs villes, car la
croissance grandissante de ces dernières se traduit par la nécessité critique de se
développer intelligemment afin de répondre aux besoins de leurs citoyens et des
entreprises. [Adlane, 2018/2019]

I.1 Problématique :
Aux vu des circonstances actuelles, la notion de « smart city » semble être un
conceptplutôt adapté aux enjeux actuels de développement durable des villes, En effet,
ce concept saisit l’opportunité qu’apporte le développement croissant des nouvelles
technologies numériques afin de les intégrer de la manière la plus efficiente dans
l’organisation et le fonctionnement des villes, tout en prenant en compte la gestion des
ressources et le bien-être des citoyens.

Cette notion, apparaît alors comme étant une orientation particulièrement attrayante
pour les collectivités qui cherchent la meilleure voie pour le développement de leur ville
tout en profitant des nouveaux outils et moyens qu’offrent la recherche et l’innovation.
De ce fait de plus en plus de villes se qualifient de « smart city », ou du moins en voie
de le devenir, et cherchent à améliorer leur intelligence. Cependant, la littérature ne
s’accorde pas réellement sur un modèle précis et défini de « smart city » que les
collectivités pourraient suivre. Ainsi, chaque ville a dû faire sa propre interprétation de
ce qu’est en pratique une Smart City afin de définir leur propre processus de création de
la ville[Adlane, 2018/2019].Le concept de la Smart City est une notion encore floue qui
fait l’objet de nombreux débats parmi les auteurs académiques. [Helene, 2015-2016]

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Faculté génie électrique

Figure I.2:Rise of the "Smart City" concept in scientific discourse (Wolfram, 2012)
On peut alors se poser la question : compte tenu de l’émergence de la notion
d’intelligence des villes, comment les villes algériennes et précisément la capitale Alger
interprètent-elle ce concept et comment leur approche de la Smart City influence-t-elle
leur développement ?

I.2 Hypothèses:
Malgré une conception de la smart city semblable, les projets mis en œuvre pour
l’appliquer sont très différents et de ce fait modifient le territoire de façon unique et
propre à la ville.

Le discours sur l’innovation : les villes doivent les gérer au mieux pour rendre des
services efficients et efficaces à leur population. Elles doivent alors évaluer ces services
pour les améliorer et surtout pour rendre des comptes aux usagers et aux contribuables.
Pour résoudre ce problème de management public, les élus prônent une innovation
large, fondée notamment sur la multiplication de capteurs, d’objets connectés, sur de
nouvelles mobilités urbaineset surtout sur Internet pour rendre accessibles tous ces
services. La mise en place d’écosystèmes innovants devient ainsi le fondement de
nombreux plans de développement des collectivités locales. [Thierry Côme, 2022]

Création des organismes intillligents : Etre capable de faire en interne, ou de contrôler


les projets.d’avoir la main sur les développements peut être parfois important, selon les
projets.

Le programme d’intrapreneuriat : l’entraide entre les wilayas ou entre différent pays


peut etre une solution pour faire monter en compétence les services dans une logique
d’innovation

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Faculté génie électrique Chapitre 1 : Généralités sur la smart city

II. Chapitre 1 : Généralités sur la smart city

II.1 Définitions et composantes de base de la ville intelligente

Ville intelligent (Smart city) : La ville intelligente est le produit de la ville numérique
combinée à l'internet des objets.

Une communauté intelligente (Smart Community) : une communauté qui a fait un effort
conscient pour utiliser les technologies de l'information pour transformer la vie et le
travail dans sa région de manière significative et fondamentale plutôt que
progressive.[Dameri, 2017]

La figure suivante montre une ville intelligente interconnectée :

Figure II.1: ville intelligente interconnectée :

Concept d'une ville intelligente où les citoyens, les objets, les services publics, etc.sont
connectés de manière transparente à l'aide de technologies omniprésentes, de manière
àaméliorer considérablement l'expérience de vie dans les environnements urbains du
21e siècle. Comme le montre la figure suivante :
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Faculté génie électrique Chapitre 1 : Généralités sur la smart city

Figure II.2: Smart city dimensions

II.2 Aspects et caractéristique :

Pour ressortir tout le potentiel de la ville intelligente il serait nécessaire de clarifier des
indicateurs à accomplir. Rudolf GIFFINGER, expert en recherche analytique en
développement urbain et régional, a alors défini six critères selon lesquels une Smart
City est régie.

Ces six critères sont : une économie intelligente, une mobilité intelligente, un
environnement intelligent, des habitants intelligents, un mode de vie intelligent et une
administration intelligente. GIFFINGER a alors défini plusieurs d’indicateurs pour
chaque caractéristique afin de pouvoir évaluer et classer les villes selon leur niveau
d’intelligence. [Adlane, 2018/2019]

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Faculté génie électrique Chapitre 1 : Généralités sur la smart city

Figure II.3: schéma de la Smart city selon GIFFINGER

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Faculté génie électrique Chapitre 2 : L’architecture et la méthodologie smart cities

III. Chapitre 2 : L’architecture et la méthodologie smart cities

La structure de la ville intelligente comprend une couche de perception, couche réseau


et la couche application, ce qui peut rendre le monde futur de plus en plus appréciable et
mesurable, l'interconnexion et l'interopérabilité et de plus en plus intelligent [Kehua Su,
2010]. La figure montre clairement l'architecture technique de la ville intelligente :

Figure III.1 : Schéma de l'architecture technique de la ville intelligente

Généralement, la construction d'une ville intelligente peut être divisée en trois niveaux,
dont la construction d'infrastructures publiques, la construction de la plate-forme
publique pour la ville intelligente, la construction des systèmes d'application. [Kehua
Su, 2010]

La ville intelligente a été typiquement généralement appliquée à divers aspects. La


figure suivante montre quelques applications typiques :

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Faculté génie électrique Chapitre 2 : L’architecture et la méthodologie smart cities

FigureIII.2: Cadre de construction des systèmes d'application pour la ville intelligente

III.1 Modèles

A travers le monde, les villes ont adopté une vaste palette d’approches, mais la plupart
de cesprojets partagent tout de même un certain nombre d’étapes fondamentales, telles
que l’identification des problèmes à régler en priorité, le choix des secteurs auxquels les
nouvellestechnologies profiteront le plus, et la nécessité d’assurer le partage des
connaissances.

L’une des approches consiste à accorder des contrats à des start-up, entre autres acteurs,
afin d’apporter des solutions aux problèmes identifiés par le projet, et ce qui a été retenu

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Faculté génie électrique . Chapitre 3 : Cas d’étude de la ville d’Alger

IV. Chapitre 3 : Cas d’étude de la ville d’Alger

Capitale du pays, Alger est de par son statut, sa taille, ses fonctions, la première ville
d'Algérie. Elle comprend les plus importantes concentrations au niveau national de
populations, d'activités de services, d'équipements, d'infrastructures, de centres de
recherche, d'industries et de grands projets urbains.

Alger est la capitale politique, administrative et économique du pays. Elle est le siège de
toutes les administrations centrales, des institutions politiques et sociales, des grands
établissements économiques et financiers, des grands centres de décisions et de
représentations diplomatiques

« Algiers smart city », lancé en avril 2017, dont le plan stratégique a été défini par le
PDAU (plan directeur d’aménagement et d’urbanisme) à l’horizon 2035, vise à
solutionner les problèmes majeurs dont souffre la ville d’Alger en vue de sa
transformation en une ville plus moderne, plus accessible, plus propre, plus sûre et plus
attractive.

Si l’on se réfère à la feuille de route proposée par l’équipe chargée de mettre en œuvre
le projet, l’eau, le transport et l’énergie sont les secteurs prioritaires, la stratégie
envisagée pour la réussite de ce projet repose sur fondements suivants [Adlane,
2018/2019] :

 Amorcer des mesures incitatives afin d’inciter les start-ups locales et les
entreprises innovantes à s’impliquer dans le projet.
 Suivre, comparer et analyser les expériences précédentes des villes intelligentes
afin de mieux comprendre les raisons de l’échec et les leviers de succès.
D’ailleurs l’organisation de l’événement « SMART CITIES Global technology
and investmentsummit » le 27 et 28 juin 2018 avait pour objectif de favoriser les
échanges et les partenariats entre différentes parties prenantes à travers le
monde.
 Introduire des mesures plus souples et plus favorables afin d’attirer des géants
de la technologie et de les inciter à investir dans ces projets.
 Investir dans les talents locaux qu’ils soient en Algérie ou qu’ils fassent partie de
la diaspora, aussi pour limiter la fuite des talents. Une pléiade de compétitions et
12
Faculté génie électrique . Chapitre 3 : Cas d’étude de la ville d’Alger

de concours de jeunes talents sont organisés et récompensent les meilleurs


projets par un financement considérable.

D’après des chiffres publiés par l’Autorité de Régulation de la Poste et des


Télécommunications (ARPT), le taux de pénétration d’internet en Algérie atteignait
85,2% à la fin de l’année 2017, une amélioration considérable par rapport aux chiffres
des années précédentes, qui plafonnaient à 71,2% en 2016, 46,9% en 2015 et 25,6% en
2014. L’Algérie se place ainsi devant de nombreux autres pays émergents dans ce
domaine et parmi les premiers pays d’Afrique, où le taux de pénétration moyen
d’internet tourne autour de 50%. Cet élément illustre bien le potentiel dont dispose
l’Algérie pour se positionner comme leader régional du secteur des technologies
[Adlane, 2018/2019] comme le montre la figure suivante :

Figure IV.1: Le pourcentage de la population qui utilise internet – Source :


international télécommunication union
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Faculté génie électrique . Chapitre 3 : Cas d’étude de la ville d’Alger

L’Algérie a déjà fait d’importants progrès dans le développement de son infrastructure


TIC, comme l’illustrent par exemple les projets d’installation à grande échelle de la
fibre optique ces dernières années, ainsi que le lancement de son premier satellite de
télécommunications fin 2017 et le début du déploiement de câbles sous-marins haut-
débit cette même année.[Adlane, 2018/2019]

IV.1 Rétrospective des applications par les start-ups algériennes

IV.1.1 Application « Yassir »

Yassir est un service de transport innovant qu’on peut utiliser avec son Smartphone
n’importe où et n’importe quand. Il permet à chacun de réserver un chauffeur et de se
déplacer en toute sécurité. [Adlane, 2018/2019]

Figure IV.2 : Logo de YASSIR


IV.1.2 Application « Winrac »
Il s’agit de l’application Winrac "Où êtes-vous", en dialecte algérien conçue par des
jeunes algériens de la startup Labfender dont la caractéristique est de générer des
itinéraires en un seul clic, sans aucun besoin pour l’utilisateur de connaitre les noms des
rues.[Adlane, 2018/2019]

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Faculté génie électrique . Chapitre 3 : Cas d’étude de la ville d’Alger

Figure IV.3 : Logo de winrac

IV.1.3L’ANSEJ
Beaucoup de porteurs de projets ont eu recours à ces dispositifs, notamment ANSEJ. Il
existe même des champions, issus de ce dispositif, comme la startup Emploitic. Mais
ces aides sont considérées comme « insuffisamment conçues » pour les startups.Il y a
aussi l’offre de l’ANPT (Agence Nationale de Promotion et de Développement des
Parcs Technologiques) qui est surtout versée dans l’accompagnement, à travers ses
incubateurs. En plus des espaces équipés de commodités nécessaires à l’épanouissement
des startups, les incubateurs gérés par l’ANPT offrent un coaching technique et
financier pour maturé les projets ainsi qu’un réseautage avec les entreprises de
l’écosystème ANPT.[Adlane, 2018/2019]

IV.1.4SYLABS
Un hub d'entrepreneuriat et de technologie au cœur d'Alger, fondé fin 2015, il œuvre
pour l'inclusion des initiatives entrepreneuriales, notamment jeunes, dans le paysage
économique algérien, en pleine mutation.(Adlane, 2018/2019)

Afin d'atteindre cette objectif, Sylabs s'est construit un plan d'activités visant à :

 Soutenir l’entrepreneuriat dans toutes ses formes : en proposant un large panel


d’outils, de conseils, d’accompagnement personnalisé et de mise en relation
d’affaires à tous ceux qui souhaitent lancer ou développer leurs activités.
 Développer l’écosystème : en agissant directement auprès des décideurs publics
et privés afin de faire entendre la voix des entrepreneurs et contribuer à la
création d’un environnement propice aux affaires.

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Faculté génie électrique . Chapitre 3 : Cas d’étude de la ville d’Alger

Figure IV.4 : Logo de Sylabs


Enfin, il existe d’autres organismes et des startups sui servent àpromouvoir des
systèmes et des infrastructuresd’innovation pour améliorer la ville et pour la rendre
intelligente et futuriste.

V. Conclusion

La ville intelligente est une notion plutôt récente qui est encore au centre de nombreux
débats parmi les spécialistes et qui pourtant a déjà été interprétée par de nombreuses
villes, particulièrement en Europe.
Ce mémoire a défini la ville intelligence comme une ville qui investit dans son capital
humain et social ainsi que dans ses infrastructures de communication traditionnelles
(transport) et modernes (Technologies de l'information et de la communication), dans le
but d’améliorer la qualité de vie de ses habitants et de dynamiser sa croissance
économique, tout en ayant une gestion durable de ses ressources et en utilisant des
moyens encourageant la participation citoyenne dans la création de la ville. Nous nous
sommes ensuite posé la question : compte tenu de l’émergence de la notion
d’intelligence des villes, comment des villes comme Alger interprètent-elles ce concept
et comment leur approche de la Smart City influence-t-elle leur développement ?

Pour y répondre nous avons fait l’étude du cas d’Alger dans lequel nous observons
quelle conception de la ville intelligente cette ville a développée et comment celle-ci
influence son développement.

Une smart city n’est pas seulement la numérisation de l’administration malgré qu’en
Algérie, la numérisation de l’administration est devenue une réalitéet la digitalisation
des services publics a eu pour conséquences de réduire l’abondante paperasse et surtout,

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Faculté génie électrique

De permettre aux usagers d’accéder plus rapidement à de multiples services, sans effort
de déplacement.Cela dit, une transfiguration de la ville d’Alger entant que smart city,
passera inéluctablement aussi par un changement des mœurs et habitudes des citadins
aussi, impliquer le citoyen par le renouvellement de la ville et de son entretien sera une
évolution significative et tangible, vers un axe majeur du concept smart.

Nous devons tirer profit de notre riche diversité culturelle et de l’immense potentiel de
nos habitants, des entreprises, des start-ups, des associations, des chercheurs, des
artisans, des hommes d’affaires et de tous ceux qui composent nos villes.
Le projet Algiers smart city a pour but d’être un catalyseur pour accélérer ces
différentes évolutions. C’est aussi exactement pour cela, qu’il doit être considéré
comme un moyen et non une fin en soi, un catalyseur pour différentes autres initiatives.

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Faculté génie électrique

Bibliographie

[Adlane, 2018/2019] Adlane, M. B. (2018/2019). Mémoire : Projet Algiers smart city .


BLIDA : Université BLIDA 1 Institut d’Architecture et
d’Urbanisme.Master ‘Architecture et Projet Urbain’ 2018/2019

[Dameri, 2017] Dameri, R. P. (2017). Smart City Implementation. Genoa: Springer


International Publishing.
[Helene, 2015-2016] Helene, T. (2015-2016). Projet fin d'étude : Smart cities: Du concept
aux pratiques . Tours : POLYTECH TOURS.

[Kehua Su, 2010] Kehua Su, J. L. (2010). Smart City and the Applications. Wuhan:
School of Computer Wuhan University.
Thierry Côme, S. M. (2022, 12 16). Être ou ne pas être une smart city :
[Thierry Côme, 2022]
une étude empirique des innovations valorisées sur le site web des
villes. Récupéré sur CAIRN.INFO Matiéres à réflexion:
https://www.cairn.info/revue-gestion-et-management-public-2018-4-
page-73.htm
[Yuan He, 29 May 2014] Yuan He, I. S. (29 May 2014). Smart City. International Journal of
Distributed Sensor Networks (Hindawi Publishing Corporation), 2.

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