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1
concernant le temps consacré à l’enseignement du
manuel, la rareté des professeurs bien formés et d’autres
facteurs.
Problématique de la recherche
2
confirmer l’efficacité de ce manuel et je voudrais citer les
autres facteurs qui jouent un rôle négatif.
L’organisation du travail :
3
Cette recherche est divisée en trois chapitres :-
4
5
6
« Dans l’enseignement/apprentissage d’une langue, on
enseigne et on apprend beaucoup plus que ce
qu’on sait réflexivement sur cette langue, un peu
comme on pratique sa langue maternelle sans avoir
une conscience constante et complète ou parfaite
des règles que l’on suit quand on la pratique.
La didactique des langues est la science ou la théorie de
l’enseignement/apprentissage des langues- c’est-à-dire
une discipline qui se donne pour décrire
systématiquement l’ensemble des phénomènes
observables constitutifs de l’enseignement et de
l’apprentissage d’une langue. » «1»
7
formateurs, auteurs d’outils d’apprentissages- notamment
de manuels et logiciens- d’optimiser les processus
d’enseignement/apprentissage des langues étrangères. »2
2- Fr.wikipedia.org/wiki/didactique de FLE
3- Opcite., p.20
8
Depuis le 19e siècle jusqu’à nos jours, on a proposé
beaucoup de méthodes utilisées en classe de langue
étrangère avec les différentes méthodologies des langues
étrangères et en particulier du français. Ces
méthodologies se sont succédées pout répondre à
l’évolution des d’apprentissage des langues et créer la
meilleure formule d’éducation du français langue
étrangère (FLE).
9
Le premier est relatif à la démarche choisie pour aider les
étudiants à saisir le sens des signes étrangères qu’on leur
présente : deux opinions sont possibles : soit le maitre (ou
le manuel) en propose une traduction en LI ou dans une
langue connue des étudiants ; soit il refuse cette
traduction et les étudiant doivent en devenir le sens d’une
autre façon en s’appuyant sur des données non
linguistiques : gestes, mimiques, mime, environnement,
images, films, etc.
10
la progression d’enseignements soit on utilise des
dialogues ou textes élaborés en fonction de progression
fixée, soit c’est le maitre ou le manuel qui opère un choix
des formes à travailler.
11
de manière relativement efficace. Certains gestes liés à
des émotions, certaines mimiques, l’environnement
immédiat dans lequel on se trouve, les actions et les
réactions des partenaires, toute permet de comprendre et
de réemployer ultérieurement à bon escient le verbal de
L2 qui s’y insère. La L2 s’acquiert alors un peu comme on
a acquis, enfant, sa L1 : à travers de multiples interactions
avec ceux qui la parlent.
12
un découpage de la description qu’il enseigne.
L’enseignement / apprentissage porte essentiellement sur
les formes écrites de L2, ou sur l’oralisassions de ces
formes, parce que ce sont elles qui sont prises en compte
dans les descriptions grammaticales traditionnelles.
13
plus, elle est appropriée là où la lecture et la
compréhension de textes littéraires est le premier but, et
où peu de connaissance de la langue orale est nécessaire.
Elle est le produit de gens surtout formés en littérature
plutôt qu’en linguistique ou en didactique des langues
seconde.
14
1-2-3 La méthode directe
15
Elle doit être située dans le courant plus ancien des
approches dites naturelles, c’est-à-dire fondées sur
l’observation de l’apprentissage de la L1 «par l’enfant ».
16
Puis on passe à des réalités qui ne sont plus présentes
dans la classe ou qu’on ne peut pas mimer mais qu’on
peut dessiner au tableau ou observer sur des images ;
avant d’introduire les mots abstraits et les textes,
littéraires ou non où ils apparaissent.
77- Besse H., Méthodes et pratiques des manuels de langues, 1985, p.33
17
sujets de discussion (la géographie, l’argent, la
température) plutôt que sur des structures linguistiques.
En ce sens, le vocabulaire est un vocabulaire de tous les
jours, dont le choix est plutôt arbitraire et intuitif, reposant
avant tout sur la plus ou moins grande disponibilité en
classe des objets ou illustration servant à enseigner le
sens des mots nouveaux. Le vocabulaire occupe une place
plus importante que la grammaire.
99- Besse H., Méthodes et pratiques des manuels de langues, 1985, p.34
18
Amérique, il ne s’agissait plus d’enseigner à lire en l2,
mais d’enseigner à comprendre, à parler, à lire et à écrire
dans cette langue, c’est-à-dire de développer dans cet
ordre, en commençant par les aspects oraux.»
1010- Besse H., Méthodes et pratiques des manuels de langues, 1985, p.36.
19
L’ordre de présentation des quatre savoirs ou habiletés
linguistiques est : compréhension orale, expression orale,
compréhension écrite, expression écrite.
20
s’imposaient de sorte qu’à ces niveaux, elle est devenue
répétitive, ennuyeuse et inefficace. » «13»
14 - Ibid., p.153
21
Cette méthode présente la parole étrangère en situation
visualisée, et l’accès au sens de cette parole ne se fait pas
par traduction du maitre mais à partir de la situation
visualisée, en s’appuyant sur les interactions des
personnages, sur leurs gestes et mimiques, sur les
éléments du décor qui jouent un rôle dans l’échange, etc.
Elle s’inscrit dans un environnement fictif simulé audio-
visuellement. Elle s’en tient à un enseignement
grammatical implicite sans que le professeur explicite ces
régularités.
22
subséquentes, jusqu’à ce qu’il y ait une assimilation
complète.
23
L’enseignement veille donc non seulement à une bonne
prononciation en recourant au système verbo-tonal--- en
insistant sur le rythme et l’intonation --- mais à un bon
emploi de la grammaire. C’est lui qui intervient pour
corriger les erreurs de prononciation et de
grammaire. L’enseignant intervient également pour aider
à faire saisir le sens des phrases, compte tenu surtout du
fait que l’image, même situationnelle, comporte
d’importantes limites.
24
incapacité d’offrir au locuteur la possibilité d’engendrer un
nombre illimité de phrases, et à la seconde sa conception
sur l’acquisition du langage : le langage ne s’acquiert pas
par imitation, mais par un processus actif de construction
de sens.
25
Elle prône une pédagogie centrée sur l’apprenant et sur
ses besoins langagiers. Celui-ci est considéré comme
l’acteur principal de son propre apprentissage, comme il
participe à l’élaboration du programme.
(2002), p .245
2121- www.didafle.com/méthodologie/approc.....
26
situationnelle coïncide en fait avec l’avènement aux Etats-
Unis de la linguistique chomskyenne. » «22»
27
messages ayant réellement été échangés entre eux « les
morceaux choisis »sont devenus des « morceaux des
médias »sonores ou visuels, soit en élaborant des
dialogues ou des textes qui ne suivent plus
rigoureusement une progression lexico-grammaticale
préalable et qui donc, en début d’apprentissage, peuvent
être plus riches, plus variés, mieux socialement situés,
moins illustratifs d’une progression, que les dialogues
audio-oraux et audio-visuels .(…..) , la progression de
l’enseignement n’est plus terminée en fonction du public
auquel on s’adresse :quelque que soit sa complexité ou sa
fréquence morpho-lexicale, on introduit en premier ce qui
est supposé correspondre prioritairement aux besoins en
L2 exprimés par les étudiants. » «23»
28
tout comme un instrument de communication ou mieux
comme un instrument d’interaction sociale, les aspects
spécifiquement linguistiques (sons, structures, lexique,
etc.
29
L’apprenant est considéré comme un « communicateur »
c’est-à-dire comme un partenaire dans la négociation du
sens ou du message communiqué. De plus, l’apprenant
est en grande partie responsable de son propre
apprentissage, dans la mesure surtout où le rôle de
l’enseignant est moins directif ou autoritaire que dans les
méthodes ou approches traditionnelles. Dans l’approche
communicative l’accent est nettement mis sur le
processus plutôt que sur le produit de la communication.
30
3_ Elle entraine une rétroaction (un « feedback ») : c’est
par la réaction de son interlocuteur qu’un locuteur peut
déterminer si son but est atteint ou non.» «26»
31
particulier. Si les actes de parole de réaliser dans des
activités langagières, celles-ci s’inscrivent elles-mêmes à
l’intérieur d’actions en contexte social qui seules leur
donnent leur pleine signification.
2828 - http://ressources-cla.univ-fcomte.fr/gerflint/Europe1/Claire.
32
La perspective actionnelle prend donc aussi en compte les
ressources cognitives, affectives, volitives et l’ensemble
des capacités que possède et met en œuvre l’acteur
social.
33
s’adapter à une réalité complexe et globale qui exige une
mobilité croissante, la maîtrise des langues est sans
aucune doute un à tout majeur pour le succès de cette
adaptation. Cette connaissance appel une somme de
savoirs et de savoir-faire déjà acquise pour mettre en
place de nouvelles compétences grammaticales, lexicales
ou phonétique, ou encore interculturelles. L’arrivée du
CECR met clairement en avant la notion de compétence
dans l’apprentissage d’une langue. Etre compétant dans
une langue, c’est avant tout pouvoir interagir socialement
et c’est ce que doit permettre la perspective actionnelle.
L’apprenant se retrouve dans des situations où la langue
est un outil – mais pas le seul – pour réaliser une tâche
sociale. L’apprenant d’aujourd’hui est devenu le citoyen
d’un monde global, qui passe physiquement ou
virtuellement les frontières de son espace linguistique. Ses
besoins en langue sont donc différents. Par conséquence,
il nous appartient, à nous, professeurs de langues
étrangères, de faire comprendre cette réalité, et de lui
donner les moyens pour qu’il puisse maitre de cet outil
qu’est la langue comme objet d’action et d’interaction.
Pour la démarche de cette approche, c’est dans ce sens
que l’on apporter à l’apprenant les outils nécessaire pour
qu’il puisse mobiliser un ensemble de compétences
linguistiques certes, mais aussi extralinguistiques, ainsi
que les stratégies nécessaires à leur mise en place. Le
facteur «motivation » est important également, car, c’est
cette motivation qui permettre de vraiment mettre en
marche le processus nécessaire pour que l’apprentissage
du français soit un succès. Par ailleurs, l’apprenant doit
gagner en autonomie afin de pouvoir agir et surtout
interagir, ce qui suppose de la part de l’enseignant une
nette orientation vers des activités où les apprenants sont
régulièrement sollicités, c'est-à-dire vers des activités qui
permettent des travaux de réflexion, de création ou
d’échanges en groupes réduits, des mises en commun
avec des porte-paroles…le tout dans le but de rendre
34
l’apprenant suffisamment autonome pour réaliser la tâche
finale et pour pouvoir, le jour venu, être évalué sur une
tâche similaire. Pour ce qui concerne le matériel, on s’est
intéressé au concept même de la classe et du matériel
nécessaire pour que celle-ci soit efficace. Un consensus
s’est établi quant au besoin de proposer un matériel
malléable en fonction de l’apprenant et de ses besoins. Un
matériel de classe souple pour s’adapter à des parcours
multiples, y compris dans une même classe. A également
été pris en compte l’apport d’outils lexicaux,
grammaticaux, mais aussi socioculturels ou stratégiques
donnés en fonction des besoins de l’apprenant. »30
3030- www.difusion.com-inicio-FLE-anticulos
35
La deuxième génération, dans les années 1970, a été
marquée par un effort de correction et/ou adaptation aux
contextes scolaire parce qu’elle est apparue comme un
simple ajustement méthodologique (c’est le cas de la
méthodologie active par rapport à la méthodologie
directe.
3131- FLE/FLS,http://cravie.acstrasbourg.fr/biblio_fle_fichier/biblio_fle.htm
36
Ce chapitre se compose de deux sections, dans la
première section, nous allons présenter le contexte du
français aux universités soudanaises et la date de
commencement de l’enseignement de cette langue dans
chaque université, les méthodes qui sont utilisées à
l’enseignement du FLE, et en plus, nous allons présenter
la formation des enseignants qui travaillent dans les
départements du français.
37
Mais le commencement réel de cet
enseignement est daté après l’indépendance du Soudan
en 1956.Le français a été introduit dans quelques écoles
secondaires, quelques universités et d’autres
établissements extra-scolaires.
38
Selon une responsable du département :
« L’enseignement du français à la faculté des lettres a
commencé par une méthode s’appelle « Langue et
Civilisation » puis on l’a remplacée par « De Vive Voix »
puis « Sans Frontières » ensuite « Le Nouveau Sans
Frontières » et « Tempo » et maintenant « Alter-Ego».
Pour les professeurs actuellement : Il ya deux professeurs
associés, six professeurs assistants, quatre lecteurs et
deux assistants.
39
garçons, il y a seulement « 5 » enseignants (lecturers). A
la faculté des jeunes filles, il ya « 3 »maîtres (lecturers) et
« 1 » teaching assistant.
40
littéraires. Ce département a pour but d’accroitre les liens
entre le Soudan, et la France et les pays francophones
voisins. L’inauguration du département de français a eu
lieu le 30 mai 2000 en admettant en première année 150
étudiants et 35 en deuxième (Quand il était l’université de
Juba).Après qu’elle devienne l’université de Bahri en 2010
on enseigne le français à la faculté des lettres. Les
méthodes utilisées à l’université de Bahri : « Le Nouveau
Sans Frontières » et maintenant «Connexions ». A propos
des professeurs : il y a deux professeurs assistants et six
lecteurs parmi lesquels il ya un enseignant qui est en train
de faire le doctorat, et un autre qui est en train de
compléter son mastère.
41
département comportant au total 272 étudiants avec 3
enseignants. Pour la méthode utilisée «Le Nouveau Sans
Frontières ».Pour les professeurs qui travaillent au
département maintenant, il y a un professeur assistant,
trois lecteurs et un assistant qui est en train de compléter
son mastère.
42
lecteurs qui travaillent au département avec des
professeurs de l’université coranique et de l’alliance
française de Madani.
43
Pour Henri Besse 36, une méthode est un
« ensemble raisonné de proposition et de procédés
destinés à organiser et à favoriser l’enseignement et
l’apprentissage d’une langue naturelle. »Et « le contexte
du cours de langue, à la mise en œuvre des techniques ou
des procédés dans la classe, par un professeur, avec un
groupe spécifique d’étudiants, dans un contexte
pédagogique particulier.37 Il s’agit, concrètement, du
matériel d’enseignement ou du cours de langue, ce
44
Pour le livre que nous allons le présenter
d’abord puis l’analyser est le manuel « CAMPUS » :
Le (Campus) est une méthode d’apprendre le français qui
est communicative, favorise le contact et le dialogue. Elle
s’appuie sur des documents authentiques écrits et
sonores, des mises en situation pour encourager
l’échange. Elle est efficace et dynamique pour apprendre
à:
1-S’exprimer grâce à :-
2- Comprendre à travers:-
3- Ecrire d’après:-
2-2-1. « CAMPUS 1 » :
45
Auteur : Jacky Girardet, Jacques Pécheur
- Un livre de l’élève
- Un cahier d’exercices
- Un livre du professeur
- Un livret de civilisation
- Un fichier d’évaluation
- Quatre CD audio
- Un CD-Rom
46
- Des savoirs culturels ;
2-2-2. «CAMPUS 2» :
- Un livre de l’élève
- Un cahier d’exercices
- Un livre du professeur
- Un cassette vidéo
47
- Acquérir des outils linguistiques performants ;
2-2-3. «CAMPUS 3» :
48
Nombres de pages : 160 pages
2-2-4. «CAMPUS 4» :
Niveau : Avancé
49
- Compréhension écrite : Niveau du DELF B2 au DALF
C1
50
Ce chapitre se compose de deux sections, dans la
première section, nous allons analyser le manuel qui est
utilisé à l’enseignement du français à la faculté de
pédagogie, université de Gazera le premier niveau qui
s’utilise avec des débutants à l’apprentissage du français :
(CAMPUS 1).
LA PREMIERE SECTION
51
grammaire et de la phonétique), aussi objectif que
possible. L’autre démarche est une grille d’évaluation par
rapport à l’approche communicative « puisque ce manuel
est un manuel communicatif ».
A. Présentation matérielle
C. Contenus linguistiques
D. Contenus notionnels/thématiques
E. Tests et évaluations.
52
3-1-2. L’application de la grille
3-1-2-1-2. Le public
53
situations professionnelles spécifiques .Les objectifs de ce
manuel sont :
3-1-2-1-5. La progression
54
La compréhension des textes et la production d’écrit
courant sont introduites progressivement dès que le
bagage linguistique des étudiants le permet.
3-1-2-1-6. Le contenu
55
Le texte de deux versions est identique.
56
4-la réflexion sur l’apprentissage : régulièrement, les
étudiants s’interrogent sur l’utilité et l’efficacité des
activités proposées, sur les facteurs psychologiques qui
conditionnent la communication ;
3-1-2-1-9. La grammaire
3-1-2-1-10. La phonétique
3-1-2-1-11 La pédagogie
57
Pour l’organisation du travail, chaque leçon
réorganise les mêmes éléments selon un parcours adopté
à son objectif principal. L’objectif principal de la leçon
figure toujours en haut et à gauche de la double au livre
de l’élève. La leçon peut aussi comporter des objectifs
secondaires qui sont répertoriés dans le livre du
professeur :-
58
vocabulaire, expression d’actes de parole) ou service de
l’objectif et des activités de la leçon.
59
hypothèses sur le fonctionnement de LE. L’enseignant se
doit alors d’être un modèle, un « facilitateur », et un
guide, un peu à l’image des parents vis-à-vis de leurs
enfants lors de l’acquisition de la langue maternelle ;
60
n’ont aucune connaissance de la langue française et qui
est débutant à l’apprentissage du français), mais qui est
plutôt adaptée à un public européen ou alors à un public
ayant une expérience de vie en France, et qui s’est ainsi
familiarisé avec la langue et la culture française. L’objectif
principal est de se communiquer les apprenants, les uns
avec les autres de façon efficace en FLE.
3-1-2-2-2. Le contenu
61
Ils sont plutôt authentiques, parce que nous cherchons à
présenter une L2 plus proche de celle-ci réellement
utilisée par les natifs, soit en utilisant des échantillons des
messages ayant réellement été échangés entre eux.
3-1-2-2-5. La grammaire
3-1-2-2-6. La méthodologie
62
potentiel de celui-ci l’aide à préparer le matériel intégratif
nécessaire au bon déroulement de cours à l’apprentissage
de son public.
Les questions que nous avons posées, étaient sur tous les
facteurs qui influencent positivement ou négativement à
la progression de l’enseignement/apprentissage dans
cette université.
-L’étude et la formation ?
63
-La faculté (lettres, pédagogie, langues) ?
-L’expérience ?
Cette question pour bien savoir s’ils ont fait des stages et
des formations spécifiques au tel ou tel domaine de la
langue française, ici au Soudan ou bien en France. Parmi
les «sept» enseignants il y a «trois» seulement qui ont
64
étudié des stages en France plusieurs fois depuis qu’ils
étaient enseignants aux écoles secondaires, ils y ont fait
des stages en plusieurs branches de FLE «didactique,
linguistique, pédagogie, etc. », «Comment enseigner le
français, comment analyser une méthode, etc. » « En
France », pour les restes il y a «trois» enseignants qui ont
fait deux ou trois stages au Soudan en linguistique et en
littérature, etc. Mais enfin il y a « 1 » enseignant qui n’a
jamais fait de stage en FLE. Cette question nous a montré
que la moitié des enseignants qui travaillent à
l’enseignement du français dans le département étaient
bien formés avec des longues expériences avant qu’ils y
travaillent, malheureusement, et pour les autres, ils ont
besoin de formation dans tous les domaines de la langue
française, une formation continue ici au Soudan ou
spécialement en France.
65
Il y a «six» professeurs qui m’ont répondu qu’ils n’ont
aucune idée sur l’approche de ce manuel ; et le seul
professeur qui m’a répondu qu’il sait cette méthodologie,
il m’a donné une fausse réponse.
66
qu’il ne pourrait pas le bien réaliser ou achever. Et la
deuxième partie de cette question concerne les raisons
qui empêchent l’achèvement de ce manuel pendant une
année universitaire, les professeurs m’ont répondu qu’il y
a des activités qui ont besoin de l’utilisation du laboratoire
pour les enregistrements et le laboratoire n’est pas à la
main des enseignants. En plus, le continu culturel et la
civilisation sont quelquefois difficiles à expliquer chez les
enseignants et à comprendre chez les étudiantes, aussi le
temps consacré pour les exercices d’écoute et la
production orale (la répétition et les mécanismes) ne suffit
pas à tout enseigner.
67
complet de « CAMPUS1 » pendant une année universitaire
selon les enseignants sont : les cours de civilisation qui
sont quelquefois difficiles à enseigner de la part de
l’enseignant et à comprendre de la part de l’étudiante.
Pour les rubriques des actes de parole qui sont difficiles à
tout réaliser parce qu’elles demandent de diviser la classe
en groupes et celui-ci demande autre cours ou heures et
qui demande aussi des professeurs supplémentaires et
des classes.
68
autres deux m’ont répondu que peut-être certaines
peuvent passer mais pas toutes les étudiantes.
Pour la treizième question qui était sur les conseils que les
enseignants peuvent présenter pour améliorer
l’enseignement du français au département selon leurs
avis :
69
livres qui concernent tous les domaines de la langue
française « méthodologie- linguistique- littérature-
pédagogie- etc. » les responsables doivent moderniser les
équipements du laboratoire qui sont anciens et établir des
équipements et des ressources qui aident à l’utilisation de
la technologie qui aident à améliorer les niveaux des
étudiantes.
70
Le Troisième Chapitre
71
Conclusion
72
Nous avons utilisé la méthode descriptive et analytique
pour tester nos hypothèses et pour savoir si elles seraient
confirmées ou infirmées.
73
de quelques contenus culturels qui concernent la vie en
France.
74
-Le département doit donner, à ceux qui sont diplômés à
la langue française, la chance de faire leurs services
nationaux au département aux cours supplémentaires
pour améliorer les niveaux et pratiquer la langue.
75
Bibliographies
1-Besse H., Méthodes et pratiques des manuels de
langues, Didier, Paris, 1985.
Sitographie
76
11-FLE/FLS,
http://cravie.acstrasbourg.fr/biblio_fle.htm ,2012/10/26-
12FLE/FLS,http://cravie.acstrasbourg.fr/biblio_fle_fichier/bi
blio_fle.htm,2008/03/02
13-Fr.wikipedia.org/wiki/didactique de FLE
14-www.difusion.com-inicio-FLE-articulos
15-www.Ib.refer.org/./cours3_hd12/htm
77
Table des matières
Dédicace………………………………………………………………..
…….. I
Remerciement……………………..
…………………………………………. II
……………………………مستخلص البحث..
………………………………….. III
Abstract…………………………………………………………………
……. IV
Introduction……………………………………………………………
……… 1
Premier Chapitre
78
1.2.1. La méthode
naturelle………………………………………………………..
7
1.2.7. L’approche
actionnelle………………………………………………………
………… 23
Deuxième Chapitre
79
2.2.1. « CAMPUS
1 »………………………………………………………… 35
2.2.2. « CAMPUS
2 »………………………………………………………… 36
2.2.3. « CAMPUS
3 »………………………………………………………… 38
2.2.4. « CAMPUS
4 »………………………………………………………… 38
Troisième chapitre
3.1.2.1. La grille
descriptive……………………………………………….. 42
3.1.2.1.2 Le public………………………….
………………………………… 42
3.1.2.1.4 La durée de
l’apprentissage………………………………………… 43
80
3.1.2.1.5 La
progression………………………………………………………. 43
3.1.2.1.6 Le contenu…………………….
……………………………………. 43
3.1.2.1.7 Les
documents………………………………………………………. 44
3.1.2.1.9 La grammaire…………………...
…………………………………… 45
3.1.2.1.10 La phonétique……………………….
……………………………… 45
3.1.2.1.11 La pédagogie………….
…………………………………………… 45
3.1.2.2.2 Le contenu…………………..
……………………………………. 48
3.1.2.2.3 Les
aptitudes………………………………………………………. 49
3.1.2.2.5. La grammaire……..
……………………………………………….. 49
3.1.2.2.6. La
méthodologie…………………………………………………… 49
81
3.2. La deuxième section……...
………………………………………. 50
Conclusion générale………………..
………………………………………… 57
Bibliographie….
……………………………………………………………… 59
Annexe 2 :
1-L’étude et la formation :
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………2-
La faculté :
A-Pédagogie ( )
B-Lettres ( )
82
C-langues ( )
3-L’expérience :
A…………………………………………………………………………
……………………………………………………
B…………………………………………………………………………
……………………………………………………
C…………………………………………………………………………
……………………………………………………
D…………………………………………………………………………
…………………………………………
83
……………………………………………………………
………………………………….
7-Il y a d’autres manuels que vous avez
utilisés à l’enseignement du français
avant ce manuel « CAMPUS »?
Le(s)quel(s)?
8-Sur quelle(s) compétence(s)
essentielle(s) a-t-il basé le
manuel «campus1» ?
A-
……………………………………………………………………………
………………………
B-
……………………………………………………………………………
………………………
84
…………………………………………………………
…………………………………………………….
11-vous aimez travailler beaucoup sur
la grammaire ou sur les activités de
production orale?
…………………………………………………………
…………………………………………………………
…………………………………………………………
………………
12-Les apprenantes peuvent passer à
l’épreuve de DELF A1, après avoir fini
« Campus1 » ?
13- Quel(s) conseil(s) vous présentez
pour améliorer l’enseignement du
français au département ?
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………
……………………………………………….
MERCI
Annexe 1 :
85
LA GRILLE D’ANALYSE d’EVELYNE BERARD,
1990.
A-Grille descriptive
a- Type de matériel
-manuel
-matériel
-matériel audio visuel
b- Public
-général
-spécifique
-adultes
-adolescents
c- structure générale de la
méthode
-objectifs
- durée de l’apprentissage
- leçons ou unités
- progression
- aptitudes
86
d- Contenu
- Sélection
- contenu communicatif ou
notionnel
- contenu grammatical
- contenu culturel
e-Méthodologie
- documents
- activités
- grammaire
- phonétique
f- Pédagogie
- organisation du travail
- rôle de l’enseignant
C - Contenu
- Le contenu linguistique est-il choisi
par rapport aux fonctions et notion
retenues ?
- Quelles sont les fonctions
retenues ?
d- Aptitudes
- le travail sur les différentes
aptitudes est-il différencié ?
e- Supports
- les supports sont-ils authentiques,
fabriqués ?
- sont-ils diversifiés ?
f- Grammaire
- le travail proposé à l’apprenant
permet-il de conceptualiser le
fonctionnement de la langue
écrite ?
88
g- Méthodologie
- les procédures méthodologiques
sot-elles diversifiés ?
- sont-elles différentes de celles des
méthodes audiovisuelles
« traditionnelles »?
89