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-J'avais l'habitude de sentir que ma rage était juste. Mais tout seul, il peut être toxique.

Rage et toxique connotation négative / juste connotation positive

-La colère contre les inégalités est puissante (négation), mais elle doit être associée à des sentiments tels
que l'empathie et l'amour. = Associations de Mots qui non rien a voir.

-J'aimais ma colère = personnification.

-Quand j'étais jeune, c'était précieux pour moi, ce feu brûlant, cette rage (répétition avec des mots
différents) qui couve, que je tiendrais entre mes paumes comme une lanterne
(comparaison)=personnification, sans se rendre compte que ce n'était pas vraiment un fournisseur de
que ce soit la lumière ou la chaleur, cela me brûlait la chair à la place Forte métaphore ? ( métaphore/
contradiction) . Mais au moment où la colère faisait du bien. C'était juste et juste. Cela m'a même fait
aimer Aristote. « Car depuis personne ne vise ce qu'il pense ne pas pouvoir atteindre, l'homme en
colère vise ce qu'il peut atteindre, et la croyance que vous atteindrez votre but est agréable. Cela me
parait bien. Je particulièrement d'accord avec le philosophe et poète américain Ralph Waldo
Emerson ». (Citation). =

Une belle indignation fait un excellent discours ( ?) Pas seulement la parole, pensai-je. Ça peut aussi
faire du bien des livres, surtout des romans. Quelle meilleure motivation pourrait-il y avoir pour un
romancier que le bon genre de colère ?

A Strasbourg, "révolution" n'était pas qu'un nom. C'était un verbe, un mode de vie. Je suis né en 1971 à
Strasbourg, en France, dans un quartier plein d'immigrés et de gauchistes étudiants. Ici, « révolution »
n'était pas qu'un nom. C'était un verbe, un mode de vie. Après mes parents séparés, ma mère et moi
avons déménagé à Ankara, en Turquie.

Contraste de vie (immigré et gauchiste) / (femme) = comparaison

En contraste saisissant avec ma première maison, cette était un quartier profondément conservateur et
patriarcal. Dès lors, j'ai été élevé par deux femmes - ma mère et ma grand-mère. Pour de nombreuses
raisons, je ne m'intégrais pas et je l’ai toujours su. Mais je n'étais pas un adolescent en colère. Au
contraire, j'étais silencieux, observateur, calme. Un introverti sans espoir. Quand la colère est arrivée, au
début de la vingtaine, je l'ai accueillie à bras ouverts (métaphore). Comme c'était frais, tout ça
adrénaline. Jusqu'à ce jour, j'avais à peine vu mon père. Je n'avais pas une seule photo d'enfance de moi
avec lui. Je ne savais pas à quoi ressemblait sa maison, même s'il était retourné en Turquie et habitait
non loin de chez nous. Quand j'étais à l'université, il m'a rendu visite une fois et m'a dit qu'il avait
délibérément attendu de me voir jusqu'à ce que je sois assez vieux, pour que nous puissions avoir des
conversations matures sur histoire, littérature et philosophie. (Répétition + négation)

Autant j'aimais l'histoire, la littérature, la philosophie, autant c’étaient les dernières choses dont je
voulais parler lui environ. Je me suis senti très en colère ce jour-là. Mais ce n'est pas sa négligence qui
m'a rendu furieux. C'était le réaliser qu'il était, essentiellement, un homme bon. Un universitaire bien-
aimé, un démocrate décent et, comme je le découvrirai plus tard, un père gentil et aimant pour ses deux
autres enfants nés à son deuxième mariage. S'il avait été une « mauvaise personne », j'aurais trouvé la
situation plus facile à comprendre. Ma confusion n'a fait qu'alimenter ma colère.

Abandon, manque d’une présence paternelle


À l'époque, j'étais surtout en colère contre le système. Injustice. Inégalité. Discrimination. Patriarcat fait
bouillir mon sang (métaphore). Le fait que vous ne pouviez pas marcher dans la rue sans être harcelé,
vous ne pouviez pas prendre un bus sans être agressé (Litote ?) A cette époque, un horrible article dans
le journal turc code pénal – article 438 – avait commencé à provoquer un contrecoup massif. Il stipulait
que la peine pour les violeurs serait réduite s'ils prouvaient que leurs victimes étaient des prostituées et
pas des "femmes modestes".

Après tout, ont soutenu les législateurs, une prostituée ne serait pas affectée par le viol

– physiquement ou psychologiquement – pourquoi le ferait-elle ? C'était en 1990. Nous, les étudiants,


étions furieux.

Des femmes de tous horizons ont vivement réagi, soutenant les droits des travailleuses du sexe. Quelque
chose cela ne s'est jamais reproduit dans ma patrie. C'était l'un des derniers gains des femmes
mouvement en Turquie.

Aujourd'hui, quand les esprits progressistes disent qu'il faut faire de la colère notre motivation première,
je tressaillir un peu. Car entre temps j'ai appris quelque chose de précieux : que si le début de la colère
peut sembler merveilleux, le reste est, en fait, assez toxique, répétitif, superficiel et vers l'arrière ( ? )

Contradiction avec ce qui est dis au début.

Au début de cet automne, j'étais à un événement dans un célèbre festival littéraire en Europe. Le
journaliste qui m'a interviewée, une féministe avec qui j'avais beaucoup de points communs, s'est fâchée
quand j'ai dit que le patriarcat a rendu les femmes malheureuses, mais il a aussi rendu beaucoup
d'hommes malheureux, surtout ceux qui n'était pas conforme à la masculinité conventionnelle - et nous
devrions nous connecter avec ces jeunes hommes.

Sa réponse était pleine de colère : « Je ne permets pas aux hommes d'entrer dans mon mouvement.
Laissez-les s'occuper leur propre masculinité toxique = Anecdotes

"Female rage" est puissante et transformatrice. Dans un monde où les bus sont loués par l'extrême
droite. Mouvement Vox en Espagne avec des photos d'Hitler et l’hashtag #Feminazi en dessous, où des
interdictions extrêmes d'avortement sont adoptées aux États-Unis qui menacent même les femmes qui
subissent des fausses couches avec la prison, où Matteo Salvini et consorts organisent des "conférences
de famille" avec l'argent de organisations évangéliques, ou Viktor Orbán cible les études de genre, ou les
féminicides continuent escalade en Turquie sous l'autoritarisme populiste d'Erdoğan, ou des femmes sont
emprisonnées en Iran pour avoir osé enlever leur foulard - ou même dans les pays apparemment
avancés, où nous n'avons pas encore atteint l'égalité de rémunération, bien sûr nous avons de quoi nous
fâcher.

Mais la colère, lorsqu'elle est laissée seule trop longtemps, est très corrosive. Et, le plus important, c'est
addictif. Il doivent être dilués et contrebalancés par des sentiments plus puissants et positifs : empathie,
compassion, gentillesse, fraternité et amour. Je ne suggère pas que nous devrions supprimer les femmes
rager ou en être gêné, pas du tout, mais si nous en faisons notre principal moteur, nous serons perdus
dans le dédale de nos propres ghettos culturels, chambres d'écho, politiques identitaires. Et le seul chose
qui en bénéficiera sera le patriarcat lui-même.

• Elif Shafak est romancière et politologue


Ligne 1 à 15 : Elle utilise beaucoup de métaphore, notamment pour montrer a qu’elle point elle est en
colère et à qu’elle point elle ressent les choses. Elles ne les utilisent que pour montrer sa colère, comme
si elle essaye de nous faire ressentir à travers la lecture de cette article la rage qu’elle ressentait.

She uses a lot of metaphor, especially to show how angry she is and how much she feels things. They only
use them to show her anger, as if she is trying to make us feel through reading this article the rage she
felt.

Ligne 16 à 34 : ANAPHORE (16 à 18) / METAPHORE (23) / NEGATION (24 à 25) / IN MEDIA RES : raconte sa
propre histoire, ce qu’elle a vécu en Turquie, puis à Strasbourg, son sentiment d’insécurité, elle chercher
a travers cet histoire, a faire échos aux lecteurs pour qu’ils puissent s’identifier. Elle cherche à provoquer
de l’émotion chez ses lecteurs.

Récit de sa propre vie = pourquoi ? que cherche tel a provoqué ? Qu’elle sentiment cherche-t-elle a faire
ressurgir chez ces lecteurs = pas très positif vue le récit.   

ANAPHORE (16 to 18) / METAPHORE (23) / NEGATION (24 to 25) / IN MEDIA RES: tells her own story,
what she experienced in Turkey, then in Strasbourg, her feeling of insecurity, she seeks through this story,
to echo the readers so that they can identify themselves. She seeks to provoke emotion in her readers.

Story of his own life = why? what seeks such provoked? What feeling is she trying to bring out in these
readers = not very positive given the story.

Ligne 35 à 44 : La journalistes est contradictoires dans ces propos, elle cherche à nous convaincre que la
colère n’est pas la solution pour faire avancer le combat féministe, mais d’un autre elle semble
nostalgique d’une époque où les femmes se sont servi de leur colère pour obtenir justice.

The journalists are contradictory in these remarks, she tries to convince us that anger is not the solution
to advance the feminist fight, but on the other hand she seems nostalgic for a time when women used
their anger to get justice.

Ligne 45 à 48 : Rappel de l’idée G, la colère n’est pas la solution, la vie est mieux avec des papillons.

Ligne 49 à 54 : Elle fait par dans cet article d’une anecdote, qu’elle a vécu. Elle cherche à travers cette
anecdote à démontrer les effets néfastes de la rage, une rage qui écarte les femmes de l’objectif final
recherché, l’égalité et la fraternité. A travers cette anecdotes, elle démontre que la colère ne nous unis
pas, au contraire elle nous éloigne « my movement » = ce n’est pas son mouvement, c’est le mouvement
de toutes les personnes qui se sentent concerné, au contraire au ne devrait rejeter personne, le but étant
l’égalité, ici elle donne un exemple de ce que la colère a comme conséquence. Des conséquences
néfastes, qui ne font pas avancer le mouvement mais qui le font reculer.

She makes in this article an anecdote, which she lived. She seeks through this anecdote to demonstrate
the harmful effects of rage, a rage that distances women from the final objective sought, equality and
fraternity. Through these anecdotes, she demonstrates that anger does not unite us, on the contrary it
distances us "my movement" = it is not her movement, it is the movement of all the people who feel
concerned, on the contrary to the should not reject anyone, the goal being equality, here she gives an
example of what anger results in. Harmful consequences, which do not advance the movement but
which make it go back.
Ligne 55 à 63 : Elle remet en perspective, les faits socio-politiques.

It puts socio-political facts into perspective.

Ligne 64 à 68 : Finalement, le journaliste fini par conclure en disant que la rage seul n’est pas juste, que
c’est même le contraire. Pour que la colère soit constructrice, elle doit être compensé avec des
sentiments positif (diapo avec les sentiments). La colère seul ne fait pas avancer la cause des femmes,
d’après c’est même le contraire sa favorise le patriarcat.

Finally, the journalist ends up concluding by saying that rage alone is not right, that it is even the
opposite. For anger to be constructive, it must be compensated with positive feelings (diapo). Anger
alone does not advance the cause of women, according to the contrary, it even promotes patriarchy.

Anecdote : Une brève histoire ou un conte raconté par un personnage dans un morceau de littérature

Perspective : Le point de vue d'un personnage sur la situation ou les événements de l'histoire

Aphorisme : Énoncé concis conçu pour faire valoir un point ou illustrer une croyance communément
admise. Les écrits de Benjamin Franklin contiennent de nombreux aphorismes, tels que "Se coucher tôt
et tôt s'élever/Rendre un homme sain, riche et sage."

Contradiction : Une opposition directe entre les choses comparées ; incohérence

Apostrophe : Une figure de style dans laquelle une personne, une chose ou une qualité abstraite est
adressée comme si elle était présente ; par exemple, l'invocation aux muses que l'on trouve
habituellement dans la poésie épique.

Oxymoron : Une figure de style qui combine deux éléments apparemment contradictoires, comme dans
"jumbo crevette" ou "silence assourdissant".

Allusion : Une figure de style qui fait une référence brève, voire désinvolte, à un événement historique ou
littéraire. Figure, événement ou objet pour créer une résonance chez le lecteur ou pour appliquer une
signification symbolique au caractère ou à l'objet dont l'allusion consiste. Par exemple, dans John
Steinbeck, Des souris et des hommes, le nom de famille du protagoniste, George Milton, est une allusion
à John Milton, auteur de Paradies Lost, puisqu'à la fin du roman, George a perdu le rêve d'avoir son
propre petit ranch à partager avec son ami Lennie

Syllogisme : Forme de déduction. Un argument extrêmement subtil, sophistiqué ou trompeur

Satire : Un style littéraire utilisé pour se moquer ou ridiculiser une idée ou un vice ou une faiblesse
humaine

Bildungsroman : Un roman ou une histoire dont le thème est la croissance morale ou psychologique du
personnage principal.
Dispositifs : Un modèle de mot particulier ou une combinaison de mots utilisés dans une œuvre littéraire
pour évoquer un effet désiré ou susciter une réaction désirée chez le lecteur

Déjouer : Une personne ou une chose qui fait paraître une autre meilleure par contraste

Épistolaire : Morceau de littérature contenu ou porté par des lettres

Épitaphe : Écrit à la louange d'une personne décédée

Parodie : Imitation satirique d'une œuvre d'art dans le but de ridiculiser son style ou son sujet.

Phrase retardée : Une phrase qui retient son idée principale jusqu'à la fin. Par exemple : tout comme il
s'est penché pour nouer sa chaussure, une voiture l'a percuté.

Sarcasme : Une remarque caustique aiguë. Une forme d'ironie verbale dans laquelle la louange
apparente est en fait amèrement ou durement critique. Par exemple, un entraîneur dit à un joueur qui
rate le ballon, "Belle prise."

Explétif : Un seul mot ou une courte phrase destinée à souligner les mots environnants. Communément,
les jurons sont mis en valeur par des virgules. Exemples : en fait, bien sûr, après tout, certainement

Ironie : Une situation ou une déclaration caractérisée par une différence significative entre ce qui est
attendu ou compris et ce qui se passe réellement ou est signifié. L'ironie est souvent humoristique, et
peut être sarcastique lorsqu'il utilise des mots pour impliquer le contraire de ce qu'ils signifient
normalement

Éloge funèbre : Un discours ou un écrit faisant l'éloge d'une personne ou d'une chose ; une oraison en
l'honneur d'un défunt personne

Paradoxe : Une affirmation qui semble contradictoire, mais qui est en réalité vraie.

Épiphanie : Un aperçu ou une perception soudaine ou intuitive de la réalité ou de la signification


essentielle de quelque chose qui est généralement provoqué par un événement ou une expérience
simple ou courante

Onomatopée : Un mot capturant ou se rapprochant du son de ce qu'il décrit, comme un bourdonnement


ou un sifflement.

Diction : Choix de mots par l'auteur pour exprimer un ton ou un effet

Utopie : Un lieu imaginaire de perfection idéale. Le contraire d'une dystopie. —Un lieu imaginaire où les
gens vivent des vies déshumanisées, souvent craintives.

Hyperbole : Exagération caractérisée par un langage exagéré

Deus ex machina : Comme dans le théâtre grec, utilisation d'un dispositif artificiel ou d'une solution
artificielle pour résoudre un problème difficile. situation, généralement introduite de façon soudaine et
inattendue

Antagoniste : Caractère ou force dans une œuvre littéraire qui s'oppose au personnage principal ou au
protagoniste
Analogie : Comparaison de deux choses qui se ressemblent à certains égards. Les métaphores et les
comparaisons sont à la fois types d'analogie

Conclusion inductive ou type de raisonnement par lequel l'observation ou l'information sur une partie
d’une classe s'applique à la classe dans son ensemble. S'oppose à déductif.

Nostalgie : Désir de revenir en pensée ou en fait à une époque antérieure

Chiasme : Figure de style par laquelle l'ordre des termes dans la première des clauses parallèles est
inversé dans la seconde. « L'Église a-t-elle déçu l'humanité, ou l'humanité a-t-elle déçu l'Église ? » - T.S.
Eliot,

Thèse : Focus déclaration d'un essai; énoncé de prémisse sur lequel le point de vue ou discussion dans
l'essai est basée. Antithèse—La juxtaposition de contrastes idées dans des mots ou des phrases
équilibrés ou parallèles.

Litote : Forme d'euphémisme dans laquelle le négatif du contraire est utilisé pour mettre l'accent et
intensité. Par exemple, "Elle n'est pas une mauvaise cuisinière." Ou "Aucun homme n'a jamais suivi son
génie jusqu'à ce qu'elle l'induise en erreur." Thoreau

Doppelganger : Homologue fantomatique d'une personne vivante ou d'un alter ego

Zeugma : Liaison grammaticalement correcte d'un sujet avec deux verbes ou plus ou d'un verbe avec
deux ou des objets plus directs. La liaison montre une relation entre les idées plus clairement.

Ethos : Dans la littérature dramatique, l'élément moral qui détermine les actions d'un personnage, plutôt
que pensée ou émotion.

Propagande : Information ou rumeur délibérément diffusée pour aider ou nuire à une personne, un
groupe ou une institution

Didactique : Destiné à enseigner ou à donner une leçon de morale

Langage formel : Langage élevé, digne ou impersonnel

Allégorie : Forme narrative dans laquelle les personnages et les actions ont des significations en dehors
d'eux-mêmes ; les personnages sont généralement des personnifications de qualités abstraites

Résumé : Sans rapport avec les propriétés concrètes d'un objet ; se rapportant à des idées, des concepts
ou qualités, par opposition aux attributs physiques

In medias res : Ouverture d'une histoire au milieu de l'action, nécessitant de compléter les détails passés
par l'exposition ou flash-back.

Langage ordinaire familier ; le vernaculaire. Par exemple, selon l'endroit aux États-Unis vous vivez, un
sandwich s'appelle un sous-marin, un broyeur ou un héros.

Isocolon : Structure parallèle dans laquelle les éléments parallèles sont similaires non seulement sur le
plan grammatical structure, mais aussi en longueur. Par exemple, "Un cœur envieux fait une oreille
perfide"

(Leurs yeux regardaient Dieu, Zora Neale Hurston).


Esthétique : Relatif à la valeur de l'art pour lui-même ou pour la forme

Juxtaposition : Placer deux éléments côte à côte pour créer un certain effet, révéler une attitude ou
accomplir un autre but

Élégie : Poème ou prose déplorant la mort d'une personne en particulier. Peut-être l'élégie la plus célèbre
est le poème de Thomas Gray, « Élégie écrite dans un cimetière de campagne ».

Antihéros : Protagoniste d'une œuvre littéraire qui n'incarne pas les qualités traditionnelles d'un héros

(par exemple, honneur, bravoure, gentillesse, intelligence); par exemple, les protagonistes créés par

Byron dans Don Juan et Childe Harold, et les personnages de Rosencrantz et

Guildenstern dans Rosencrantz et Guildenstern sont morts de Tom Stoppard

Catharsis : Purification ou nettoyage de l'esprit à travers les émotions de pitié et de terreur en tant que
témoin à une tragédie.

Épigraphe : Citation placée au début d'une œuvre littéraire ou à ses divisions pour donner le ton ou
suggérer un thème. Motif Dispositif, formule ou situation récurrente qui sert souvent de signal pour
l'apparition de un personnage ou un événement

Parallélisme : Similitude syntaxique récurrente où plusieurs parties d'une phrase ou plusieurs phrases
sont exprimées de la même manière pour montrer que les idées dans les parties ou les phrases sont
égales en importance. Il ajoute également de l'équilibre, du rythme et de la clarté à la phrase. Par
exemple, "J'ai toujours recherché, mais je n'ai jamais trouvé la peinture parfaite pour ce mur."

Anaphore : répétition régulière d'un même mot ou d'une même phrase au début de phrases successives
ou clauses. Par exemple, "Nous combattrons dans les tranchées. Nous combattrons sur les océans. Nous
combattront dans le ciel."

Anadiplosis : Répétition du dernier mot d'une clause au début de la clause suivante. Par exemple,

"Le crime était commun, commun soit la douleur." (Alexandre Pope)

Fait appel à : l'autorité, l'émotion, la logique

Arguments rhétoriques dans lesquels l'orateur : soit prétend être un expert ou s'appuie sur des
informations fournies par des experts (recours à l'autorité), tente de affecter les sentiments personnels
de l'auditeur (appel à l'émotion) ou tenter de persuader auditeur par l'utilisation du raisonnement
déductif (appel à la logique).

Imagerie : Détails sensoriels dans une œuvre ; l'utilisation du langage figuré pour évoquer un sentiment,
rappeler à l'esprit une idée ou décrire un objet. L'imagerie implique l'un ou l'ensemble des cinq sens

Euphémisme : Substitution d'une expression plus douce ou moins directe à une expression dure ou
brutale. Pour exemple, en utilisant "décédé" pour "mort".

Genre : Terme utilisé pour décrire des formes littéraires, comme la tragédie, la comédie, le roman ou
l'essai
Voix : La source reconnue ou non des mots de l'histoire ; l'orateur, un "personne" racontant l'histoire ou
le poème.

Ton : Attitude d'une œuvre littéraire envers son sujet et son thème. Il reflète le narrateur attitude.

Thème : L'idée ou la préoccupation centrale ou dominante d'une œuvre ; l'idée principale ou le sens

Protagoniste :    Le personnage principal d'une œuvre littéraire

Dénotation : La définition du dictionnaire d'un mot; le sens direct et spécifique

Ambiance : Le sentiment ou l'ambiance résultant du ton d'une pièce ainsi que l'expression de
l'auteur/narrateur attitude et point de vue. L'effet est créé par des descriptions de sentiments ou objets
qui établissent un sentiment particulier tel que la tristesse, la peur ou l'espoir

Réalisme : Pratique littéraire consistant à tenter de décrire la vie et la nature sans idéalisation ni avec le
souci du détail

Prose : L'ordinaire de la forme de la langue écrite sans structure métrique, comme distingué de la poésie
ou des vers

Public : La ou les personne(s) atteinte(s) par un écrit.

Asyndeton : La pratique d'omettre les conjonctions entre les mots, les phrases ou les clauses. Dans une
liste, il donne un effet plus extemporané et suggère que la liste peut être incomplète. Pour exemple, "Il
était courageux, intrépide, n'avait peur de rien."

Déductif : Le processus de raisonnement par lequel une conclusion est tirée d'un ensemble de prémisses
et contient pas plus de faits que ces prémisses

Assonance : Répétition de voyelles identiques ou similaires, généralement en séquences successives ou


rapprochées des mots

Allitération : La répétition des consonnes initiales ou de tout son de voyelle dans un groupement formel,
comme une ligne poétique ou une strophe, ou à proximité en prose

Consonance : La répétition de deux consonnes ou plus avec un changement dans les voyelles
intermédiaires, telles comme pitter-patter, splish-splash et click-clack.

Invective : L'utilisation d'un langage colérique et insultant dans l'écriture satirique

Point de vue : Le point de vue que le lecteur a de l'action et des personnages d'une histoire

Persona : La voix ou la figure de l'auteur qui raconte et structure l'histoire et qui peut ou peut pas
partager les valeurs de l'auteur réel.

Syntaxe : Façon dont les mots sont assemblés pour former des phrases, des clauses et des phrases. C'est
une phrase structure et comment elle influence la façon dont un lecteur perçoit un écrit.Canon
(canonique)— Les œuvres d'un auteur qui ont été acceptées comme authentiques.

Préfigurer : Faire allusion ou présenter des choses à venir dans une histoire ou une pièce de théâtre

Mendier la question : Pour esquiver ou éluder le vrai problème.


Personnification T : raiter une abstraction ou un objet non humain comme s'il s'agissait d'une personne
en lui donnant qualités.

Anachronisme : Utilisation de détails historiquement inexacts dans un texte ; par exemple, représentant
un XIXe siècle personnage à l'aide d'un ordinateur. Certains auteurs emploient des anachronismes pour
un effet humoristique, et certains genres, comme la science-fiction ou la fantasy, font largement usage de
l'anachronisme Ambiguïté — Utilisation d'un langage dans lequel plusieurs sens sont possibles.
L'ambiguïté peut être involontaire par une concentration insuffisante de la part de l'écrivain; en bonne
écriture, l'ambiguïté est souvent intentionnelle sous la forme de plusieurs significations connotatives, ou
situations dans lesquelles soit le sens connotatif soit le sens dénotatif peut être valide dans un en lisant.

Connotation : Ce qui est sous-entendu par un mot. Par exemple, les mots sweet, gay et awesome ont des
connotations bien différentes de leurs définitions réelles.

Mots de transition : Mots et artifices qui apportent unité et cohérence à un écrit. Exemples : cependant,
en plus, et d'autre part.

>Source (pays, type de presse, parti pris, ect)

The Guardian,

Elif Shafak, romancière et politologue turque.

30 décembre 2019 = Turki, droit des femmes.

>Contexte actuel de l’évènement

>Pertinence du tire : "J'avais l'impression que la rage était juste"

>Principaux argument

>Les conclusions du journalistes /ses objectifs

Mais la colère, lorsqu'elle est laissée seule trop longtemps, est très corrosive. Et, le plus important, c'est
addictif. Il doivent être dilués et contrebalancés par des sentiments plus puissants et positifs : empathie,
compassion, gentillesse, fraternité et amour. Je ne suggère pas que nous devrions supprimer les femmes
rager ou en être gêné, pas du tout, mais si nous en faisons notre principal moteur, nous serons perdus
dans le dédale de nos propres ghettos culturels, chambres d'écho, politiques identitaires. Et le seul chose
qui en bénéficiera sera le patriarcat lui-même.

Finalement, la journalistes finir ma conclure en disant que la rage seul n’est pas juste, que c’est même le
contraire. Pour que la colère soit constructrice, elle doit être compensé avec des sentiments positif
(diapo avec les sentiments). La colère seul ne fait pas avancer la cause des femmes, d’après c’est même le
contraire sa favorise le patriarcat.
>Votre propre analyse de leurs opinions et votre point de vue sur l’article et/ou la situation

 Source

 Intérêt

 Titre / en deux

 Intro
 Argument

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