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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

Centre de Formation Professionnelle et d’Apprentissage

EL KSEUR –BEJAIA-

Rapport de stage en vue de l’obtention du diplôme de technicien topographe

Thème

Réalisation d’un échangeur aux


carrefours des quatre chemins
Bejaia

Présenté par : Sous la direction de:


Melle AYADI Nawel Mr. AMARA Abd el aziz
Mr. ADENAN Brahim
Mr. AZOUZ Fahem

Promotion : 2017/2018
Remerciements
Avant toute chose, nous tenons à remercier Allah tout puissant,
Pour nous avoir donné la force, la santé et surtout la foi de mener
Notre humble travail à terme sans perdre courage malgré les
Difficultés. Et Enfin, nous remerciements toutes les personne qui
Nous’ on soutenue de loin ou de prés.
I. INTRODUCTION ……………………………………………………………………………………………………….01
II. CHAPITRE 01 : Les notions de base de la topographie
1. Historique et évolution de la topographie ………………………………………………..………03
2. Définition.………………………………………………………………………………………….……..……..04
3. Les éléments clé de la topographie ………………………………………………………………....06
3.1 L’implantation …………………………………………………………………………………………………06
3.2 Levé ……………………………………………………………………………………………………………..…07
3.3 Les courbes de niveau ……………………………………………………………………………………..07
3.4 Le nivellement direct et indirect …………………………………………………….…………..…08
3.5 Contrôle des ouvrages ……………………………………………………………………….……….…..11
4. Une bonne mise en station ………………………………………………………………………………12
5. Les avenages topographie …………………………………………………………………..……………13
6. Les inconvénients de la topographie ……………………………………………………….……….13
III. CHAPITRE 02 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins Bejaia »
1. Présentation de l’organisme d’accueil et du projet ……………………………………….…14
2. Le matérielle utilisé …………………………………………………………………………………………16
3. Les étapes de la station libre …………………………………………………………………………..17
3.1 Comment faire un levé et implantation ……………………………………………….………….18
3.2 Comment crée les références ………………………………………………………………….……...18
3.3 Difficulté de la référence ………………………………………………………………….….………...18
4. Les étapes topographie faite au début des travaux pour obtenir l’échangeur
Partie l’ouvrage : ………………………………………………………………………………………………….….…….18
1. Les étapes topographiques durant le stage pratique ………………………….……….….22
1.2 L’implantation ……………………………………………………………………………….……..…….….22
1.3 Levé …………………………………………………………………………………………………….……….…23
2. Réglage des hauteurs de l’ouvrage ………………………………………………………..….….…23
3. Réglage du fléau ………………………………………………………………………………………..…..23
4. Vérification de l’ouvrage « l’ici chargement » ………………………………………….…….24
Partie route :
1. Définition (route, les profils) …………………………………………………………………………..28
2. Cubature des terrassements …………………………………………………………………………..30
3. Les pentes ……………………………………………………………………………………………………...30
4. Calcule de surface et volumes………………………………………………………………………….32
CONCLUSION …………………………………………………………………………………………………….……………34
I. INTRODUCTION ……………………………………………………………………………………………………….01
II. CHAPITRE 01 : Les notions de base de la topographie
1. Historique et évolution de la topographie …………………………………………..………03
2. Définition.………………………………………………………………………………………….………..04
3. Les éléments clé de la topographie ……………………………………………………………..06
3.1 L’implantation ……………………………………………………………………………………………06
3.2 Levé ……………………………………………………………………………………………………………07
3.3 Les courbes de niveau …………………………………………………………………………………07
3.4 Le nivellement direct et indirect ……………………………………………………….…………08
3.5 Contrôle des ouvrages ……………………………………………………………………….………..11
4. Une bonne mise en station ……………………………………………………………………………12
5. Les avenages topographie …………………………………………………………………..…………13
6. Les inconvénients de la topographie ……………………………………………………….…….13
III. CHAPITRE 02 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins Bejaia »
1. Présentation de l’organisme d’accueil et du projet ………………………………………14
2. Le matérielle utilisé ………………………………………………………………………………………16
3. Les étapes de la station libre ………………………………………………………………………..17
3.1 Comment faire un levé et implantation ……………………………………………….……….18
3.2 Comment crée les références ………………………………………………………………….…….18
3.3 Difficulté de la référence ………………………………………………………………….….……….18
4. Les étapes topographie faite au début des travaux pour obtenir l’échangeur
Partie l’ouvrage : ………………………………………………………………………………………………….……….18
1. Les étapes topographiques durant le stage pratique ………………………….………….22
1.2 L’implantation ……………………………………………………………………………….……..……….22
1.3 Levé …………………………………………………………………………………………………….…………23
2. Réglage des hauteurs de l’ouvrage ………………………………………………………..….……23
3. Réglage du fléau ………………………………………………………………………………………..…..23
4. Vérification de l’ouvrage « l’ici chargement » ………………………………………….…….24
Partie route :
1. Définition (route, les profils) …………………………………………………………………………..28
2. Cubature des terrassements …………………………………………………………………………..30
3. Les pentes ……………………………………………………………………………………………………...30
4. Calcule de surface et volumes………………………………………………………………………….32
CONCLUSION …………………………………………………………………………………………………….……………34
Introduction
Introduction

Le secteur de la construction a connue dans ce dernier siècle des mutations grâce aux
évolutions technologiques et scientifique dans la matière, chose qui a permet à l’humanité
d’évoluer, des grande métropoles apparaissent des gigantesques constructions sortent des sols.

Parmi les sciences qui ont contribué à ce développement on trouve la topographie,


cette science permet de mener des travaux à l’échelle d’une ville ou d’un pays en utilisant une
représentation planimétrique.

Pour enrichir nos connaissances de la matière nous avons effectué un stage pratique
au sein du bureau d’étude dans un projet.

Ce rapport de stage de Projet de Fin d’Étude présente l’ensemble de l’étude


réalisée au sein de l’entreprise SAETI qui est un bureau d’études étatique algérien
spécialisé dans les études d’infrastructure ainsi que le suivi et contrôle des travaux de
réalisation. Ce projet consiste à la réalisation d’un échangeur sur le lieu-dit les quatre
chemins à Bejaia, a été lancé en 2012, cet ouvrage qui a pour but de fluidifier la circulation du
chef-lieu de Bejaia devait en principe être livré dans un délai de deux année mais à cause des
imprévus d’ordre financier et techniques le projet a cumulé d’énorme retard et est en cours
d’achèvement.

La problématique de l’étude consiste à la question suivante :

Es-ce que les bureaux d’études algériens notamment SAETI utilise-t-ils un


processus topographique moderne dans la réalisation des infrastructures.
D’après cette question principale découle des questions secondaires :

Quelle sont les étapes topographiques empruntées par le bureau d’études afin de
réaliser l’échangeur des quatre chemin de Bejaia ?
Le personnel de la SAETI est-il compétant pour réaliser un grand projet comme celui
des quatre chemins ?
Comme première tentative de réponse à ces questions, on propose les hypothèses suivantes :

Les étapes topographiques suivies par les entreprises sont :


Les gisements (alpha gauche et alpha droite) ;
Les distances ;
Les nivèlements directe et indirecte ;
Mesure des altitudes.
Oui, le personnel est compétant pour réaliser ce projet car il est constitué des ingénieurs et
techniciens performants.
Par ailleurs, dans le souci de bien organiser notre travail de recherche sera scindé en deux
chapitres ; dans le premier chapitre il sera question de présenter les concepts de base de la
topographie notamment les définitions.

1
Quant au deuxième chapitre, nous allons traiter notre cas pratique qui est le suivi de la
« Réalisation d’un échangeur au carrefour des quatre chemins Bejaia ». il consistera d’abord
de présenter l’organisme d’accueil à savoir le bureau d’études SAETI, puis nous allons
présenter la démarche suivi par la SAETI dans la réalisation du projet.

En fin, nous allons conclure avec une petite conclusion pour démontrer les résultats de
notre recherche empirique.

2
Chapitre 1 : les notions
de base de la
topographie
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

Chapitre 01 : les notions de base de la topographie


Apres les évolutions dans le secteur de la construction d’une façon générale, le besoin de
développer les moyens utilisés sont de plus en plus primordiale pour suivre le progrès de cette
dernière. Le faite que la topographie est une discipline major dans ce domaine elle aussi a
connue des mutations dans le temps.

1. Historique et évolution de la topographie1


À partir de la Renaissance, le foisonnement d’inventions trouve des débouchées dans la
commande publique. Puis, au XIXe siècle, la cartographie progresse à pas de géant, avant
qu’une nouvelle vague d’innovations ne révolutionne l’appareillage au XXe siècle…
Galilée n’a pas réellement inventé la lunette astronomique… Mais il l’a si bien
perfectionnée qu’on lui en attribue souvent la paternité. Après l’apparition des premières
lunettes hollandaises en 1608, grossissant trois fois, le savant italien réussit à mettre au point
une lentille grossissant six puis dix fois. Tournant alors celle-ci vers le ciel (1609-1610), il
ouvre la voie à l’astronomie moderne, découvrant les cratères de la lune, les étoiles de la voie
lactée, les taches solaires et les satellites de Jupiter.
Plus symboliquement, l’apparition de la lunette astronomique marque une étape, celle où
l’homme prend la mesure du monde, parallèlement aux découvertes de la Renaissance. Son
regard se transforme, la longue série de transformations qui va aboutir à la topographie
moderne débute.
Toutefois, les inventions ne sont rien sans l’appui de la puissance publique, qui leur donne
l’occasion d’applications concrètes. C’est ainsi que les grands travaux initiés par un Louis
XIV par exemple sont l’occasion de mettre en œuvre de nouvelles pratiques. Parallèlement,
l’introduction des armes à feu oblige à revoir les stratégies militaires, nécessitant
l’établissement de cartes d’état-major détaillées. Autant d’attentes qui favorisent les progrès
de la topographie.
Les innovations ne tardent pas avec, en 1666, l’invention du niveau à bulle puis celle du
niveau à lunette par l’abbé Jean Picard. Vingt ans plus tard, le Hollandais Christian Huygens
améliore le procédé, en élevant la portée à plus de cent mètres. C’est aussi l’abbé Picard que
Colbert, nommé Contrôleur général des finances en 1665 par Louis XIV, charge de réaliser
des cartes de France « plus exactes que celles qui ont été faites jusqu’ici ».
Les innovations s’accélèrent, le XVIIIe siècle s’ouvre avec la publication du premier traité
complet de topographie, en 1702, sous le titre « La Géométrie pratique ». À la même époque
sont posées les bases de la géodésie moderne, Pascal et Huygens utilisant la triangulation pour
démontrer l’aplatissement de la Terre aux pôles. Mais la théorie ne sera définitivement
validée qu’après les expéditions de La Condamné et Maupertuis au pôle et à l’équateur en
1735-1737.
Ces missions ouvrent de nouveaux horizons à la cartographie comme à la topographie.
Deux générations de Cassini furent nécessaires pour achever la première carte générale du
royaume de France. Entamée par le père César-François en 1754, elle ne fut terminée par son
fils Jean-Dominique qu’en… 1815 ! Dans l’intervalle, une nouvelle cartographie fut
1 eme
R. DUQUETTE et E.P. LAUZON ; « topographie générales » 3 edition ; MONTREAL ; 1996.
3
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

commandée par Napoléon. Cette célèbre carte de l’état-major au 1/80 000e ne sera complète
qu’en 1880. L’empereur fait aussi établir un cadastre entré en service en 1807.
En 1799, le mètre nouvellement adopté par l’académie des sciences est défini comme le
quart du dix millionième du méridien terrestre. Il faudra attendre encore près d’un siècle pour
que les systèmes géodésiques du monde entier ne tentent de se coordonner au premier congrès
de l’Association internationale de géodésie (1886). Pendant ce temps, le niveau zéro pour la
France a été fixé en 1897 au marégraphe de Marseille.
Parallèlement, les appareils poursuivent leur mue. Le théodolite, inventé au XVIIIe siècle,
se répand dans les cent ans qui suivent. À partir des années 1950, c’est au tour du théodolite,
puis du tachéomètre, de prendre le relais. Avant que la puissance de calcul de l’informatique
et les données transmises en temps réels par satellite ne fassent basculer la topographie – et
les autres sciences de la Terre – dans l’ère de la géomatique…
Toute notre gratitude envers l’Association pour la Mémoire du Patrimoine de
l’Equipement, dont les fascicules « Les Outils de la route de l’antiquité à nos jours » ont
fourni les illustrations présentées ci-après, ainsi que de nombreuses informations sur l’histoire
de la topographie.

2. Définition de la topographie2
La Topographie, dans son sens le plus général,est une science très vaste qui a pour objet tout
ce qui concerne l’établissement des plans et cartes ainsi que leur utilisation.
But du la topographie :
La Topographie est la science qui a pour but de représenter sur une feuille plane une
portion de la surface terrestre à une échelle donnée.
Une carte représente une surface très étendue généralement à une échelle très petite.
Un plan représente une surface plus restreinte et a une échelle très grande.
L’échelle : c’est le rapport de similitude de la figure du plan à la figure de terrain,
autrement dit rapport entre la distance qui sépare deux points sur la carte et la distance
horizontal correspondent sur le terrain.
Gisement : c’est l’angle horizontal que fait une direction avec le Nord Lambert (sens des Y
croissant), il se compte à partir de la partie positive de l’axe des Y, dans le sens des aiguilles
d’une montre de 0 à 400 grades ou de 0 à 360°. Il est constant le long d’une direction.

VAB arctanGG ) VAB B

DAB
A

2 eme
R. DUQUETTE et E.P. LAUZON ; « topographie générales » 3 edition ; MONTREAL ; 1996.
4
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

Gisement inverse ou arrière : le gisement arrière d’une droite AB est le gisement de BA .si
le gisement de AB, soit GstABG est de 50gr, son gisement inverse soit GstBA est égal a 250gr (
si GstAB 100gr GstBA = GstAB + 200gr et GstAB 200gr GstBA = GstAB 200gr ).
L’azimut: en général, l’azimut d’une ligne est l’angle compris entre 0 et 360 , mesuré
dans le sens des aiguilles d’une montre, à partir de la direction nord du méridien local jusqu’à
la ligne. L’azimut de AE est de 290 . Il est important de noter ce qui concerne l’azimut, le
méridien de référence est celui qui passe par l’origine de la ligne.
N

A
E

AE = 290

S
L’azimut d’une droite.

Azimut inverse ou arrière : pour obtenir l’azimut inverse ou arrière d’une ligne, il faut lui
ajouter ou lui retrancher 180 sans oublier de tenir compte de la convergence des méridiens,
de façon générale, il ne devrait être question qu’en géodésie.

La géodésie : est la science qui a pour but de déterminer la forme et les dimensions de la terre
d’étudier le champ de la pesanteur, ainsi que leur variation : c’est aussi l’ensemble des
techniques qui permettent de déterminer les positions planimétriques et altimétriques des
points géodésiques et des repères de nivellement.

Les opérations topographiques se divisent en deux grandes catégories :

a) La planimétrie
b) L’altimétrie
La planimétrie: consiste à déterminer la position de tout détail d’une portion de la
surface terrestre, supposée plane, au moyen des mesures d’angles horizontaux et des
distances horizontales.
L’altimétrie: consiste principalement à déterminer la hauteur (ou l’altitude) des points
au-dessus d’une surface de référence, à mesurer la différence d’altitude entre les points et
à représenter le relief au moyen de conventions appropriées.
La polygonation : c’est l’ensemble des opérations qui consistent à mesurer et à calculer une
polygonal. Le calcul des polygonal se fait par coordonnées et s’inspire donc fortement de la
topographie et le calcul se fais à l’aide du gisement et la distance de chaque côté.

5
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

But d’une polygonale : pour faire un levé topographique, qui consiste à relever pour un
territoire donné l’ensemble des détails naturels et artificiels tant en altimétrie qu’en
planimétrie, et pour faire la représentation graphique , il faut établir sur le terrain des lignes de
contrôles qui suivront de référence afin de lire les détails. L’établissement de ces lignes de
contrôle constitue en fait la structure polygonale.
3. Les éléments clé de la topographie3 :
3.1- l’implantation de la topographie : En topographie l'implantation est l'art de passer du
plan, qu'il soit informatisé ou papier, au terrain. Il s'agit de matérialiser sur le terrain le tracé,
l'axe ou les limites d'un projet informatique ou papier (route, maison…). Les coordonnées des
points à implanter peuvent être calculées au préalable et transférées dans un tachéomètre ou
un GPS différentiel pour faciliter le travail sur le terrain 4.
Les phases de l’implantation en topographie :

Exploitation des documents de terrain ou des plans dont on dispose pour en extraire
par lecture directe ou par calculs éléments d’implantation.
Application sur le terrain des moyens et des procédés nécessaires à l’implantation.
L’opération et les différents types de l’implantation :

Les opérations d’implantation: existant comme suit :

Nécessité d’utiliser un canevas de base. Dans bien de cas, celui qui a servi au levé de
terrain est utilisé pour l’implantation.
Etablir avec précision la chronologie des opérations.
Nécessité de meures surabondantes pour assurer les contrôles et la compensation des
erreurs accidentelles
Les types de l’implantation :

Implantation d’un point :

L’implantation d’un point se fait par :

- Alignement entre deux points connus ;

- Perpendiculaire à une droite donnée ;

- Procédé de la médiatrice ;

- Trace d’un angle donné ;

- Implantation de point par abscisses et ordonnées ;

- L’implantation de point par les cordonnées polaires (rayonnement).

3
M.BRABANT, « topographie operationnelle : Mesure, calcule, dessinis », edition eyrolles, Paris, 2011.
4
https://fr.wikipedia.org/wiki/Implantation_(topographie)
6
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

3.2- levé en topographie : En topographie, levé un lever (ou levé) a pour objectif de récolter
des données existantes sur le terrain en vue de leur transcription, à l’échelle, sur plan ou sur
carte. L’ensemble des informations obtenues, un semis de points, peut aussi avoir cette
dénomination de levé.

Les fasses de levé en topographie : utilise les valeurs de tous les éléments planimétriques et
altimétrique, appeler topométrie, et généralement la topométrie est la technique de levé mise
en œuvre aux grands échelles.

L’opération et les différents types du levé :

L’opération du levé : les opérations du levé étudie comme Suits:


Établissement d’un réseau du levé.
le levé des détails existant sur le terrain.
Le calcul nécessaire pour l’exécution des plans et des cartes.
Les types de levé topographie :
Levé ou cercle et à la chaîne.
Lever à l’équerre optique et à la chaîne.
Levé tachéométrie.
Lever à la planchette.
Lever à la boussole.
Lever à la chaîne.
3.3- Les courbes de niveau5 : Une courbe de niveau est une ligne qui relie les points
consécutifs de même altitude du terrain, elle est donc contenue tout entière dans un même
plan horizontal et par conséquent projetée sans déformation sur le plan topographique.

5
M.BRABANT, « topographie operationnelle : Mesure, calcule, dessinis », edition eyrolles, Paris, 2011.
7
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

Ou bien c’est la représentation unanimement adopter, on l’appelle aussi plan hypsométrique,


le relief est représenter par la projection à l’horizontalité des sections des plans horizontaux.
L’équidistance est la différence altitude des plans horizontaux de deux courbes consécutives
constante pour une feuille, elle est fonction de l’échelle et de relief, égal a 5m le plus souvent
pour la carte de base, L’équidistance est une dénivelée calculable, qui une peut pas être
mesurée sur la carte et qui n’a aucun rapport avec la distance horizontale.
Les courbe maîtresses en trait continu épis, situées toutes les cinq courbes à partir de l’altitude
zéro. Les courbes ordinaires, en trait continu moyen.
Les courbes intercalaires, en trait interrompu fin, qui ne sont en fait que des portions des
courbes destinées à préciser un mouvement localisé de terrain que les courbes ordinaires ne
font pas apparaître.
Si les courbes de niveau traduise assez bien un relief d‘ érosion elles sont par contre beaucoup
plus difficile à interpréter.

3.4- Le nivellement direct et indirect :6


Le nivellement est l’ensemble des opérations qui permettent de déterminer des altitudes et des
dénivelées (différences d’altitudes) ; altitude d’un point est la distance en métre entre ce point,
et une surface niveau zéro.
Le nivellement peut s’effectuer selon trois procédés qui sont par ordre de précision
décroissante :
Le nivellement direct ou géométrique.
Le nivellement indirect ou trigonométrique.
Le nivellement barométrique (méthode de nivellement basée sur des mesures de
pressions atmosphériques) peu précis.
Le nivellement direct : Le nivellement direct s’appuie exclusivement sur des visées
horizontales, En général est exécuté avec un niveau.
Les niveaux sont classés en trois catégories, chaque catégorie correspond à des besoins
différents, et à des méthodes appropriées.

6 eme
R. DUQUETTE et E.P. LAUZON ; « topographie générales » 3 edition ; MONTREAL ; 1996.
8
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

1. Niveau de précision ( Nivellement direct de haute précision) ;


2. Niveau d’ingénieur ( Nivellement direct de précision) ;
3. Niveau de chantier ( Nivellement direct ordinaire).
Principe du nivellement direct :

Soit à déterminer l’altitude HB d’un point B connaissant l’altitude HA d’un point A


On dispose :

D’une mire verticale graduée en centimètres en A ;


D’une mire verticale graduée en centimètres en B ;
D’un niveau en station ou milieu de AB ;
On effectue une lecture sur la mire en A (lecture arrière) AR, une lecture sur la mire
en B (lecture avant) AV ;
La lecture se fait avec le trait horizontal médian du réticule (trait niveleur), la
dénivelée H ( H = L AR – L AV) est égale en grandeur et en signe à la différence
des lectures AR et AV

N-B : un niveau peut être déréglé et dans ce cas son axe optique n’est pas horizontal, les
observations faites sont donc inexactes, il est utile de mesurer l’importance de l’angle de
dérèglement du niveau (collimation)

Les niveaux :

a) Mise en station des niveaux : peut être effectué à l’aide de trois vis calantes
b) Les nivelles : l’horizontalité de la visée est obtenue soit par l’intermédiaire d’une
nivelle ou bien automatique.
Le nivellement indirect :

Principe : ayant calculé ou mesuré la distance entre deux point A et B, on mesure l’angle de
l’inclinaison (i) de AB,

Si AB a été mesuré selon la pente : dénivelée (dn) = Dp sin( )

Avec bien sûr :

Dp : c’est la distance en pente

9
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

I : Angle verticale entre A et B


Si AB a été mesuré à l’horizontale : dénivelée (dn) = Dp tan( )

Avec bien sûr :

Dh : c’est la distance horizontale.


I : Angle verticale entre A et B

Le nivellement trigonométrique : le nivellement trigonométrique set généralement


effectué à court distance, la formule générale reste valable, soit à déterminer l’altitude
de point B connaissant celle de A
En appelant : - ht : la hauteur de l’instrument en A.

- hv : la hauteur du point visé sur la mire en B.

-Dn : la dénivelée entre A et B.

Donc : Altitude de B = Altitude de A + dn ou dn = ht + dh*tan( ) – hv

Dans la pratique, on a observé en B une mire à la même hauteur que l’appareil en A (hv = ht)

Donc : Dn = dh*tan( )

Cheminement en nivellement indirect : comme le cheminement en nivellement


direct, il relie deux A et B d’altitude connues :

10
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

1. Chaque somment sera stationné.


2. Les visées seront réciproques.
On obtient une dénivelée directe de A sur SI
A chaque station l’opération effectuera deux lectures de cercle vertical (cercle gauche
et droite)
Les dénivelées, directes et inverses ne devront pas différer de plus de 1 ou 2 par
rapport à l’unité de la mesure.
Le signe de la dénivelée sera toujours celui de la visée direct(d).

En prenant la moyenne des visées, directes en inverses et les additionnant algébriquement, on


obtient en B une altitude dont la différence avec l’altitude connue est l’écart de fermeture.
3.5- Contrôle des ouvrages : il Ya deux types de contrôle
1. Contrôle verticale7 : ce type de contrôle il est spécifique pour l’élément verticale
comme des poteaux, cette opération sa se fait avec un appareille de niveau qui
mesure les angles et sella après la réalisation de l’ouvrage.

Les étapes pratiques : _ placer l’appareille topographie dans S1, et sella sur les frontière
d’une 2 façade verticale de l’élément.

_ on vise au-dessous de l’élément ( A) puis la lecture de l’angle HZ sur cercle


horizontal

_ On vise au haut de l’élément (B) puis on commence à lire l’angle HZ(B) sur le
cercle horizontal

_ Si HZ (B) = HZ (A) l’élément est on position verticale sur cette direction.

_ Si HZ (B) # HZ (A) l’élément n’est pas on position vertical sur cette dernière
direction, donc on doit calculer la valeur déviation
tan( )= d = h ab tan( ).

7
Réaliser par nous même
11
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

h ab : hauteur de l’élément ; d : déviation ; hz: la déffirence entre les deux


lecture.

Nb : on reproduit la même opération sur la station S2 qu’est en position verticale sur la


1erestation.

2. Contrôle horizontale : ce type de contrôle il est spécifique pour l’élément


horizontale comme des poutres, cette opération sa se fait avec un appareille de niveau
qui mesure les angles et sella après la réalisation de l’ouvrage.

Les étapes pratiques :

_ Placement de l’appareille topographique sur la station (S) a une même distance des
limites de l’élément de la sorte quand construire un triangle.

_ visé le point sur les limites de l’élément (A) puis on lire la valeur de (VA) sur le
cercle verticale.

_ visé le point sur les limites de l’élément (B) puis on lire la valeur de (VB) sur le
cercle verticale

_ Si VA = VB l’élément est dans une bonne position horizontale.

_ Si VA # VB la situation horizontal de l’élément n’est pas de bonne position


horizontale, donc on va calculer l’inclinaison (C).

tan( ab ) = C = Dab *tan( )

Dab : c’est la distance entre a et b ; DVab : déférence lecture Vb – Va ; C : l’inclinaison


de l’ouvrage.

4. Une bonne mise en station : Mettre un appareille en station consiste a réalisé


simultanément le calage verticale de pivote et le centrage verticale physique du point de
station, l’appareille et fixé sur la tête d’un trépied coulissantes dans la tête évidée autorise une
petite translation de l’appareille, la lunette étant à la hauteur des yeux de l‘opérateur, ce
dernier avoir placé l’instrument sensiblement au centre de la tête et réglé la vis calantes à mi-
course. dispose l‘ensemble trépide appareil au-dessus du point du col en estiment au mieux
l‘horizontalité de la tête du trépied et le centrage du point, tout en enfonçant les jambes à refus
si le sol et meuble, il peut aussi mettre seulement le trépied en station à l’estime et fixé
l’appareille après coup, dans fort pente, placer deux jambes du trépied sur une même courbe
de niveau en aval du point, la troisième en amont. La qualité de cette mise en station à
l’estime conditionne la réussite des manipulations suivantes réalisées dans l’ordre
chronologique :
1 pointer le plomb optique sur le point au sol avec les vis calantes
2) caler la nivelle sphérique de l’embase en jouant sur les longueurs des jambes du trépied.

12
Chapitre 01 les notions de base de la topographie

3) caler le pivot vertical à l’aide des vis calantes et de nivelle torique ou électronique.
4) Centrer la plombe optique sur le point de station en translatant l’instrument sur le trépied.
5) Terminer par un calage de pivote.
6) Affiner une seconde fois le centrage puis le calage

5. les avantages topographique 8: la topographie est classé parmi les sciences les plus utile à
l’humanité en général avec ces apports, on peut citer :
1) Évaluer les pressions exercées sur les constructions et faire le nécessaire pour assurer
sa solidité ainsi que ma sécurité des usagers. Exemple : dans une station de ski, grâce
au travail de topographe, on a amélioré la sécurité des pistes et obtenu un domaine
skiable de niveau international.
2) Avec les données obtenues par satellite, on pourra surveiller le chargement de la
croute terrestre et peut-être réduire les effets des séismes sur la population. Et puis,
qu’il s’agisse de la maison que vous bureau dans lequel vous travaillez ou de l’école
que vous fréquentez, tous ont probablement nécessite l’intervention d’un topographe
lors construction.
3) La topographie nous a donc concrètement utiles. que ce soit avec des cordes ou des
satellites, elles cherchent à donner un sens et une organisation à notre mode complexe.
Et tant que nous bâtirons et que nous apprendrons du mode qui se trouve au-dessus de
nos têtes et sous nos pieds, nous aurons besoin de géomètres.
4) La topographie est la première intervenante sur le terrain lorsqu’un projet de bâtiment
ou d’aménagement est décidé. C’est elle quand on utilisé pour déterminé les limites du
terrain et son aptitude physique et juridique à l’aménagement.

6. les inconvénients de la topographie 9: les inconvénients de métier topographe que ça peut


avoir :

1) Le géomètre topographe c’est un homme de terrain, un peu sportif quand même et


donc en principe en bonne santé. Si tu es allergique au printemps, et que tu ne peux
pas rester en pleine nature sans éternuer et le nez qui coule.
2) Avec l’introduction de technique de pointe, le métier s’est énormément modernisé.
Les logiciels de métrés, le dessin assisté par ordinateur, les systèmes d’informations
géographiques, les images satellites permettent d’obtenir des relevés plus puissants et
de gérer des données plus nombreuses. donc faut être copain avec les ordinateurs
et les nouvelles technologies.
3) Pour mener à bien toutes ses missions, le topographe rencontre de nombreux
interlocuteurs; représentants de l’État, particulières, professionnels de l’immobilier,
élus locaux, chefs de projet des collectivités territoriales, architectes, urbanistes,
paysagistes, notaires, avocat…….etc.

8
Réalisé par nous même
9
S.MILLES, J. LAGOFUN, « topographie et topométrie moderne », éditons eyrolles, Paris, 1999.
13
Chapitre 2 : le cas
pratique « échangeur
des quatre chemins de
Bejaïa »
Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

CHAPITRE II : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de


Bejaia »
Après avoir commencé notre travaille par un chapitre théorique nous allons enchaîner par un
deuxième chapitre qu’est le plus important dans notre travaille qu’est la partie pratique, dans
cette parie nous allons développer des résultats de nous cherche sur le terrain à savoir le projet
des quatre chemins de Bejaia; Tout d’abord on va commencer par la présentation du
l’organisme d’accueil. Les tache topographique effectué sur le chantier lot l’ouvrage et lot
route.

1. Présentation de l’organisme d’accueil et du projet 1

La réalisation d’un échangeur au carrefour des 4 chemins RN09 s’inscrit dans le cadre
d’une politique de développement et de modernisation du réseau routier de la wilaya de
Bejaïa.

Il est conçu de manière à répondre au besoin du trafic routier que draine la région, permettre
une plus grande fluidité de la circulation.

Pour atteindre cet objectif, les travaux de réalisation de l’échangeur au carrefour des 04
chemins ont été confiés à un groupement algérien, route et ouvrages d’art pour un délai initial
du de 24 moins .qui a été prolongé a ce jours suite au contrainte et à la modification sur
l’étude exécution

La partie ouvrages d’art sera réalisée par l’entreprise ENGOA, et la partie route par
l’entreprise SNTP. Le suivi et le contrôle du projet sont assurés par la société des études et
d’infrastructure SAETI/Alger et laboratoire des travaux publics de l’est LTP Est.

Description du projet:

Le projet consiste à la réalisation d'un échangeur au carrefour des quatre chemins (Bejaia).

Les travaux consistent :

A la réalisation de Quatre ponts en voussoir


A la réalisation de Huit rampes d‘accès 500 M.L
A l'aménagement de un carrefour plan
La réalisation des liaisons routières les rampes

1
Réalisé par nous même
14
Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

Linière des routes 1242 M.L


Linière chaussé 1590 M.L

MODE DE PASSATION :

Les marchés y afférents (Travaux, suivi et contrôle des travaux) sont passés de gré à gré
simple conformément à l‘article 43 alinéa 4 et 6 de décret présidentiel n°10/236 du
07/10/2010 modifié et complété par le décret présidentiel n°11/98 du 01/03/2011 portant
réglementation des marchés publics.

LES PARTIES CO-CONTRACTANTES :

Travaux :

Groupement ENGOA/SNTP

Marché N° 90/2011 du 11/12/2011

Date de l'ODS de démarrage des travaux : n°278 du 12/12/2011

Date de l‘ODS d‘arrêt des travaux : n°305 du 19/12/2011

Date de l'ODS de reprise des travaux: n°104 du 14/05/2012

Date de l'ODS d‘arrêt des travaux: n°07 du 23/01/2013

Montant du marché : 1.702.621.030,50 DA

Délais de réalisation: 24 Mois.il a été prolongé suite en contrainte et changement de l’études


exécution

SAETI

a) Siège social :

48 Rue Amani Belkacem, Paradou, Hydra, Code Postal 16038-Alger www.saetidz.com


saeti@wissal.dz

SAETI (Société Algérienne d’Etude d’infrastructures) créée en 1974. Est régie par les statuts
d’Entreprise Publique Economique/Spa au capital de 30 000 000 DA, dépendant de la SGP
SINTRA/TP sous la tutelle du Ministère des Travaux Publics.

15
Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

Depuis 1974, la SAETI a réalisé les études et assure le contrôle et le suivi de plusieurs projets
au niveau national et international

b) Le domaine de compétence de la SAETI

Concerne les infrastructures de transport et plus précisément:

Les études d’infrastructures de transport: (Routes, Autoroutes_ Aérodrome… ouvrages d'art


et chemin de fer);

Les études géologiques, géotechniques, hydrauliques, hydrologiques et topographiques ;

Les études d’exécution;

Les études économiques et de faisabilité;

Les études de transport, de trafic et études des schémas directeurs des réseaux routiers;

Les études d’impact sur l‘environnement;

Préparation des Dossiers d’Appels d’Offres (D A 0 -D C E)

Assistance aux maitres de l’ouvrage;

Les missions d’ingénieur-conseil et d’expertise technique;

Les missions de suivi de chantiers, d’assistance et de contrôle technique des Travaux.

2. Le matériel utilisé :

L’entreprise dispose de deux types de matériel : le matériel de terrain et le matériel De bureau.


Pour le matériel de terrain, on utilise essentiellement des appareils de la Marque Leica : le
TS02, TS06 plus, le TC803, et TS16. Pour les levés L’implantation, et réglage du
l’ouvrage. Pour le matériel de bureau, sont mis à disposition des ordinateurs dotés d’un
logicielle autoCAD et Covadis.

16
Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

Leica TS02 Leica TS06 plus

Leica TS16 Leica TC803

3. les étapes de la station libre : dans notre travaille en utilise les stations libre avec ces
référence, - on allume l’appareille puis on va faire une mise on station (réglage de la torique et

17
Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

la sphérique), après vers le programme station libre démarrer nom de la station et


bien sûr Hi = 0, puis OK ; ou bien entré la référence de station nom station quand doit
visé (appareille 1/1) plus le nom de l’autre station on vise aussi (appareille 2/1)
calcul écart type si il est 0 jusqu’n 3 mm il est tolérable station OK.

3.1 Comment faire un levé et implantation : levé : pour faire un levé au l’implantation on
est obligé de faire les étapes de station libre puis numéro de point TN le nom de point de
levé par exemple 1 après si on a visé le point 1 en clic sur la touche ALL jusqu’n la fin de
l’objet

Implantation : c’est les mêmes étapes à suivre mais à savoir de type de l’appareille en prend
un exemple : TS02 c’est nous remplir les coordonnées, mais si non avec les autre non
directement à l’aide d’une flache disque.

3.2 Comment crée les référence : par les étapes suivant :

la vus général sur le terrain, puis en choisi les station quand doit faire obliger qu’il soit lisible,
on prend des piquet, par un semple exemple : STNA on donne les coordonnés (X Y Z) c’est
des coordonnés fictive au réels, pour l’appareille ; on station sur le piquet (station) ont réglé
l’Ezer sur le piquet, puis les trépied, on allume programme STNA chercher ( s’il y a ok
si non on donne ses coordonner ) puis la hauteur d’instrument mesurer ( la hauteur de piquet
jusqu’n l’axe de l’appareille) exemple : 1.516m OK orientation de point fixe au bien
avec la Bourseul on vise après direct vers l’autre piquet, puis en déplace l’appareille vers
l’autre piquet même étapes a établir jusqu’n la fin.

3.3 Difficulté du référence : s’il y a une manque de visibilité de la référence en a pas le


choix de changer la référence en vas sur la même mais on a juste une référence et l’autre il Ya
un obstacle, dans l’appareille menu lever entré visé la référence connue dist

Dist en +…….. Zst – L(+) ou bien Dist en - …….. Zst + L(-) ; puis démarrer OK
MDF Zst OK visé la station inconnue pour confirmer.

4. Les étapes de topographe faite au début des travaux pour obtenir l’échangeur :

Les pieux : c’est une fondation profonde pour renforcement de sol (sol instable)

Les semelles : c’est laissions pour transmission des charges vers le sol

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

L’implantation des pieux et4coins de semelles : pour délimiter la surface du béton des
4 coins de l’objet
Levé de Réception des têtes de pieux : c’est pour profondeur on fonde foyer (forage)
Levé des Terrassement des semelles : pour la vérification la cote de terrassement de
la plateforme et de réception fons de forme des semelles
Levé la cote Le béton propreté : rendre le fonds de folles d’une semelle propre a fin
de pose la nappes inférieure pour la pose de frayage
Les barre d’attente des pieux : pour recepâtes la cote de frayages de pieux ne pas
dépasser le béton des semelles
Levé des excentricités éloignement par rapporte à l’axe des pieux, pour la topographie
c’est la vérification pratique par rapports aux théorique
Levé Les tube sonique pour la profondeur ace que il est dans les pieux au pas

L’implantation de la réception du Coffrage : on utilise les 4 coins de semelle


(planimétrie) pour limite la surface de la semelle et la cote pour l’arrêté de béton
(altimétrie), et l’implantation des barre d’attente du fonds des piles (encrier dans les
semelles)
L’implantation les coordonnés de base de la 1ere élévation de coffrage pour l’objet de
réglage du coffrage
Levé la cote de l’arrêté de béton de la 1ere élévation de l’inclinaison du coffrage avec
coordonnées (altimétrie et planimétrie)
L’implantation et réglage de la 2eme élévation du coffrage et l’implantation de
chevêtre l’axe dés d’appuis (altimétrie et planimétrie) de la pile (c’est un a puis qui
prend les charges des voussoirs du filon du ouvrage)
L’implantation et levé de La culée (élément de jonction entre l’ouvrage et la rampe.)
des murs en retour qui soutien des remblais c’est les même étapes par rapport à les
piles
Réglage du fléau : L’implantation du l’axe et divers de voussoir sur pile (VSP) et la
pente a l’axe u projet suivant la variant
La pose des voussoirs a fin de finalisé la pose des voussoirs d’un fléau, en suite pour
claver les voussoirs successive par un clavage, il y’a nécessité un réglage
topographique pour les deux fléaux (clavage : c’est une liaison entre deux fléau.),

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

L’implantation la dalle de transition : pour assurer la continuité entre deux milieux


rigide et souple,
L’implantation des rampes et l’implantation des murs de BP
L’implantation des murs de soutènement préfabriqué et après de chaque élément de
la courbe (entré) ;
Vérification de nivellement du globale de la hauteur des MS.
Vérification le divers des joints de chaussé : pour assurer la même cote avec la
chaussé sur le pont et la rampe de ce dernier.

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

I. Partie l’ouvrage :

1. les étapes topographiques durant le stage pratique :2

1.2 L’implantation : avec l’appareille leica TS02 on a fait l’implantation, les ilots les
avaloires, des bourdeur, c’est en dessous du l’ouvrage et l’éclairage de électricité c’est au haut
du l’ouvrage, et aussi l’implantation des MS trottoir

Levé d’implantations de la culée CA OA


01 25/04/2018

Coordonnées Coordonnées La
Pratique Théorique Différence

(LEVE) (PROJET)
Culée
CA POINT X Y Z X Y Z X Y Z
1 2078,734 896,864 9,107 2078,748 896,871 8,340 -0,014 -0,007 0,767

2 2079,099 897,207 9,100 2079,112 897,213 8,340 -0,013 -0,006 0,760


3 2078,002 898,369 8,326 2078,016 898,378 8,340 -0,014 -0,009 -0,014
Culée CA OA 01

4 2086,672 906,525 8,295 2086,68 906,536 8,340 -0,008 -0,011 -0,045


5 2095,338 914,686 8,323 2095,344 914,693 8,340 -0,006 -0,007 -0,017
6 2096,442 913,519 9,056 2096,441 913,528 8,340 0,001 -0,009 0,716
7 2096,803 913,862 9,057 2096,805 913,87 8,340 -0,002 -0,008 0,717
8 2094,059 916,777 8,329 2094,063 916,783 8,340 -0,004 -0,006 -0,011
9 2085,030 908,279 8,280 2085,035 908,283 8,340 -0,005 -0,004 -0,060
10 2075,996 899,769 8,315 2076,006 899,783 8,340 -0,01 -0,014 -0,025

2
Réalisé par nous même
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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

1.3 levé : on a fait plusieurs types du levé pour l’ouvrage ; levé initial de tous les 4 partie du
projet (ponts) et levé final de projet. Voir dans le plan.

2. réglage des hauteurs de l’ouvrage : c’est l’altitude de à savoir de l’utilisation du


l’appareille nous on a utilisé une partie avec TS02 faite avec le point axé cible on a visé au-
dessous de l’ouvrage enregistrement du H puis en règle l’appareille avec point énaxé cible il
faut qu’il soit parallèle au point président ; l’autre partie avec TS016 plus elle a de l’Ezer
directement en vise, réglage des hauteur a pour but de l’avoir des hauteurs des ponts à un
passage inférieur et supérieure et pour délimité les hauteurs des camions.

3. réglage du fléau : c’est une étape très importante, s’effectuer à l’aide des machines
spécifiques qui est relié toujours à la topographie, cette étape consiste au réglage des
voussoirs du fléau en altimétrie et planimétrie suivant l’axe et la cote du projet.

23
Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

Réglage de fléau

4. Vérification de l’ouvrage : « l’ici chargement » : dernière étapes de topographe ; c’est


la méthode pour vérification ce fait à partir des mesurable dans l’intervalle des normes, avec
suivie du graphe qui jamais dépassé l’intervalle il y a des contre flache avec le signe (+) et les
flèches seul avec le (-), nous en vérifier juste l’altitudes (il est dans les normes au pas ) il se
trouve aussi impaire statique il est accompagné avec la température de l’air ( tribomètre de
humidité) et isolé seul, sella après l’appareille flexy mètre pour les charges des camion (
chaque camion 25T) toujours chaque partie du ponts on mit 5 camion et en vas la comparer
3
Par la suite. Jusqu’n la fin, ce travail on l’ici pendent 24h, pour passer à l’autre pont.

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Réalisation par nous même
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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

Vérification de l’ouvrage

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

La flache mesurable

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

L’ici chargement

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

II. Partie route :4


1. Définition :
Route : la route est une voie circulable prête aux usagés pour les différentes destinations avec
facilité et sécurité.
Profils en long et en travers :
Profil en long : un profil en long est la représentation d’une coupe verticale suivant
l’axe d’une route, d’une voie ferrée, d’un canal, d’une conduite, etc…..Son étude est associée
à celle de la trace en plan.
Les distances (abscisses) et les altitudes (ordonnées) sont prises graphiquement sur les
documents. Ces élément permettent de dessiner le profil en long comme ci-dessous :
On adopte généralement une échelle des égale à dix(10) fois celle des longueurs afin
d’accentuer le relief du terrain, pour limiter l’importance de la feuille de report on choisir un
niveau de référence appelé plan de comparaison qui doit être inférieur à l’altitude la plus
passe des point du profil, Si certaines parties du profil ne peuvent être représentées à l’échelle
des hauteurs on effectue un changement de plan de comparaison pour les tronçons en cause ;
Le profil en long provisoire choisi parmi les divers itinéraires étudiés est vérifié sur le terrain,
complété et joint à l’avant- projet ……..exemple réel

4
Réalisé par nous même
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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

Profil en traves : un profil en travers représente la coupe verticale du terrain. Suivant


un plan perpendiculaire à l’axe du projet.
Il représente le terrain naturel, le gabarit type du projet ou les deux superposées. Les profils en
travers sont donc des sections transversales correspondant à chaque point du projet en long.
Ils sont séparés alors que le profil en long est une section longitudinale continue. Ces profils a
’ont indispensables à toute étude de trace, notamment pour le calcul de la cubature des
terrassements suivant le terrain naturel et le projet on peut classer les profils en travers en trois
catégories : - profil en déblai ; - profil en remblai ; - profil mixte (remblai / déblai).
En général l’échelle adoptés pour les profils en travers est le (1/100) ou le (1/200), Le dessin
doit être exécuté de telle sorte que la partie gauche du profil corresponde au cote gauche de la
voie pour un observateur tournant le dos à l’origine du profil en long et allons vers son terme
final. Cette convention est appelée rabattement du profil en travers vers l’extrémité du trace.
Le dessin du profil du terrain naturel est exécuté en reportant en abscisses les distances
horizontales, de l’axe aux point levés, puis en en ordonnées les différences d’altitudes des
points au point de comparaison.

Le profil types du projet est superposé ensuite en reportant d’abord le point d’axe dont
l’altitude est donnée sur en long, et donc les profils en travers sont numérotés sur le plan
général ainsi que sur le profil en long de l’origine à la fin du projet.

29
Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

2. Cubature des terrassements : la cubature des terrassements consiste à calculer les


volumes de terres à enlever (déblais) ou bien à ajouter (remblais) pour assurer l’exécution
d’un projet, Les volumes sont calculés à l’aide des éléments suivants :

Surface de déblai et de remblai extraites des profils en travers ;


Distances entre profils en travers.
3. Les pentes : c’est l’inclinaison qui se trouve dans les route en ; On a découvrez que il Ya
deux types le divers des pentes :
Divers en toit : la pente elle est au milieu du l’axe.
Divers unit : la pente avec un seul côté, gauche au droite, c’est le plus utiliser
pour les virages et les courbe eau (pour réaliser le divers eau et le virage en même temps, eau
chaussé vers le fossé canevas.
Pour cette partie du route on a fait, des levé initial du terrain naturel (TN) avant le
remblais à l’intérieur de la rampes, et des levé final de chaque couche, des levés de la couche
de la forme TVO ( TVO de qualité 40mm) qui est de épaisseur 80 cm, levé de couche de
fondation Gravions Non Traité (GNT) qui est de épaisseur 30 cm, et sons aubier le levé final
de deux (2) couche de base GB, et levé de l’épaisseur de 14 cm les deux, après l’épaisseur de
tous ces couche ( hauteur = 1.30 m) , la longueur de la vois est de 6 m ont tous de 12 m. par
exemple : Axe gare : réglage de la couche de forme en TVO au niveau de rentrée de gare
routière. Et sons oublier levé de l’espace verts, aussi levé des terrassements nouveau route
décaissement coté sadji, On globale de cette partie on a fait juste des levé et réglage le divers.

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

levé initial avant de remblai levé initial de GNT

Levé semis final de l’enrobé

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

Levé final

4. Calcule de surface et volumes :

a) Calcule de surface :
1. polygones définis par coordonnées polaires des sommets : il faut choisir un sens de
rotation, et chaque sommet (n) est rattaché à un O par la longueur Ln et le gisement Gn. Il est
aussi désignons par les angles au centre tels que : n-1 = Gn – G(n-1) et n = G(n+1) – Gn

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Chapitre 2 : le cas pratique « l’échangeur des quatre chemins de
Bejaia »

2 3
1
1 n n 4

n L2 3

Y n n n O

n n n 5 ln 4

n n

7 6

La surface du polygone est la somme algébrique des surfaces de tous les triangles

S= Ln * L(n+1) * sin( +1 )

au bien S= Ln * L(n+1) * sin( ) n = G( n+1 –Gn )

Si la station O est à l’extérieur du polygone la surface du dernier triangle sera avec le signe (-)

2. polygones définie par coordonnées rectangulaires : la surface d’un polygone dont


on connait les coordonnées rectangulaires des sommets peut être calculée en composant la
figure en triangle, rectangles ou trapèzes. Cette méthode longue et rarement appliquée.
Après généralisation, et transformation, la formule précédente devient :
S= Xn ( Yn-1 - Yn+1 )
Au bien S=- Yn ( Xn-1 - Xn+1 )
b) calcule des volumes : Considérons le volume V compris entre deux profils successifs S et SL .
on admet que le volume V est égale à la moyenne de surfaces des profils S et SL multiée par le
distance L entre les deux profils en travers.
Vd = *L
Vr = *L
Donc on a finalement la formule suivante :
V= *L+ * L1 + * L2 ……….etc.
Qui peut se transformer pour la commodité des calculs en :
V=S* + S1 ( ) + S2 ( )…………..etc.

33
Conclusion
Conclusion

La topographie constitue une discipline majeure dans le domaine de la construction,


grâce aux apports qu’elle offre pour cette dernière et grâce au développement technologique
dans ces dernière années, cette discipline a connus aussi des progrès énormes avec
l’utilisation des appareille d’une technologie de pointe et même l’utilisation des satellites pour
la prise des photos aériens.

Après avoir fait un stage pratique au sein d’un bureau d’études à savoir «SATI », nous
avons constaté que cette société utilise des moyennes très développé chose qu’il lui permette
de faire des études d’une précision et de qualité, et aussi nous avons constaté que la majorité
de la théorie que nous avons vue dans notre formation et utilisé sur le terrains, mais aussi nous
avons après plusieurs chose sur la topographie, que le terrains seul peux nous l’apporter

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