Vous êtes sur la page 1sur 79

MC ENER Distribution

- Certification B2V
- Réseau de distribution BT
- Les Schémas de Liaisons à la Terre ( SLT)
8h cours
14 h TD
5h TP
RAPPEL : En France, le réseau électrique est géré
de la façon suivante:

1) La production d’électricité avec trois acteurs


principaux: EDF, Engie et Uniper;

2) Le transport de l’électricité par RTE avec des lignes


Haute-Tension;

3) La distribution de l’électricité aux consommateurs


essentiellement par Enedis (anciennement ERDF) ;

4) La fourniture de l’électricité (commercialisation) :


Cette activité est exercée par les fournisseurs comme EDF,
Direct Energie, Lampiris, Engie, Planète Oui , Enercoop ...
Exemples de production de l ’électricité
Source : RTE
Transformateur
HT/BT

EN BLEU : DISTRIBUTION BT
Vidéo ENEDIS

SMART GRID
Définition
Les réseaux électriques intelligents sont aussi appelés Smart
grids.
Ce sont les réseaux électriques publics auxquels sont ajoutés
des fonctionnalités issues des nouvelles technologies de
l’information et de la communication (NTIC).
Le but est d’assurer l’équilibre entre l’offre et la demande
d’électricité à tout instant et de fournir un
approvisionnement sûr, durable et compétitif aux
consommateurs.

Source : http://www.smartgrids-cre.fr/
Depuis quelques années, de plus en plus de sources d’électricité d’origine
renouvelable (éolien, photovoltaïque) sont reliées au réseau électrique.
L'électricité produite, ne pouvant être stockée, est alors perdue. Le
développement des énergies de sources renouvelables est ainsi souvent
freiné par une inadéquation des moyens de production avec le fonctionnement
du réseau actuel
L’intermittence de cette production (l’éolien dépend du vent,
le photovoltaïque du soleil) la rend très difficile à intégrer
au réseau et ne correspond pas forcément aux périodes de
consommation de pointe (19h).
L’électricité circule dans un sens unique des
producteurs aux consommateurs
L’électricité ne circulera plus en un sens unique
Les Particuliers : Compteur LINKY
Réseau de distribution BT
Réseau de distribution BT
1) Objectif
La distribution BT permet d ’acheminer l ’électricité du
transformateur HT/BT vers les récepteurs .

Un bon réseau, c ’est celui qui transporte l’électricité


sans risque de surchauffe des câbles (sinon
électrocution, arrachement mécanique ou incendie) en
temps normal ou sur court-circuit.

Pour cela il faut choisir les câbles et les dispositifs


de protection de ces câbles pour assurer une durée
de vie de trente ans à une installation .

Les règles de choix sont imposées par la norme


NFC 15-100
2) Le problème de la chaleur
Pourquoi un câble est il sensible à la chaleur?

Par ex : PVC

Transport des électrons:


Alu ou Cuivre

Protection mécanique
Âme : conducteur

Mv Mv
ρ ρ

Les parties métalliques d’un câble ne craignent


donc pas la chaleur !
Isolant = sécurité

L’isolant craint la
chaleur !

10°c de plus, c’est 15


ans de moins !

La durée de vie d’un câble dépend de son isolant :


Trente années si la température à leur surface est inférieure à :
• 60° C pour le caoutchouc ordinaire ;
• 70° C pour le polychlorure de vinyle (PVC) ;
• 90° C pour le polyéthylène réticulé (PR) et l’éthylène-propylène
(EPR) ;
• 180°C pour le caoutchouc de silicone.
Tous les câbles s’échauffent-t-ils de la même façon ?
Observation :
Cu

28

21

15,5

36
Câble isolant PVC en goulotte contre une paroi
• On fait passer 20 A dans un câble de section 1,5 mm² :
la température se stabilise à 82 °C : c’est trop
• 68 °C pour un 2,5 mm² : admissible
• 46 °C pour un 10 mm² : encore mieux
2 exemples pour ne pas dépasser la limite de 70°C
pour le PVC ( Voir courbes) :
15,5 A pour 1,5 mm² ou 50 A pour 10 mm²

Conclusion : le choix de la section du câble dépend de


l’échauffement qu’il peut supporter, donc dépend :

- du mode de pose,
- du type d’isolant,
- du type de métal de l ’âme,
- de la température ambiante,
- et du courant qu’il transporte …
3) Règles de protection des circuits BT
La norme NFC 15-100 dit que la protection est bonne quand:

Câble Origine du
Récepteurs circuit( transfo
Courant
ou altern)
admissible
Courant
Iz
d ’emploi IB
ICC
I
1,45 x Iz
Courant Courant Pouvoir
nominal In conventionnel de
de
fonctionnement de
ou de la protection I2 coupure :
réglage Ir PdC

Dispositif de protection:
fusible ou disjoncteur
PdC : Courant maxi que le dispositif peut couper

Icc : Courant de court circuit maxi en un point du


circuit

Iz : courant maxi qu ’une canalisation peut transporter


en permanence sans vieillir prématurément.

In = calibre pour les fusibles ou les disjoncteurs simples

Ir = Valeur de déclenchement réglable pour disj industriels


Choix d ’un disjoncteur:
IB  In (Ir)  Iz ( I2  1,45 Iz est toujours respectée)
PdC  Icc I2 : courant de déclenchement

Choix d ’un fusible:


IB  In  Iz et Iz  I2  1,45Iz I2 : courant de fusion
PdC  Icc du fusible.

Pour simplifier, la norme NFC 15-100 propose :


I2  1,45Iz est respectée si In  Iz / k3

Avec k3 = 1,31 pour fusible calibre In  10 A


k3 = 1,21 pour 10A < In  25A
k3 = 1,10 pour In > 25A
Les conditions deviennent :

Choix d ’un fusible:


IB  In  Iz/k3
PdC  Icc
4) Choix des câbles

Plus la chaleur d ’un câble aura du mal à s’évacuer


(canalisation encastrée dans un mur par exemple) et plus
on choisira une grosse section S.

R = L/S :

S  alors R  , donc l ’effet joule  , il produira moins


de chaleur.

Tout dépend du courant qui passe dans le câble.


Pour calculer le courant qui va conduire à la section du câble:

a) On calcule d’abord le courant nominal consommé


par l’appareil ( les appareils) raccordé(s) sur le
câble, c’est le courant d’emploi = IB

Cas particulier pour les prises de courant:

On tient compte du foisonnement. Les appareils


raccordés sur les prises de courant ne fonctionnent pas
forcément tous en même temps, c’est le coefficient de
foisonnement Kf  1 ( ou simultanéité Ks suivant les
méthodes).
Soit I, le courant consommé par toutes les prises
raccordées sur le câble : I = N * calibre d’une prise ( 10 A
ou 16A), avec N le nombre de prises.
On détermine ensuite le courant d’emploi IB de la façon
suivante : IB = I x Kf

Voir TD

b) Trouver le Calibre In(Ir) du disjoncteur ou


du fusible :
In (Ir) calibre du disjoncteur >= à IB
In calibre du fusible >= à IB
c) Trouver le Courant admissible Iz :
Iz = In ou Ir pour les disjoncteurs
Iz = k3xIn pour les fusibles

d) Calculer le Courant Fictif I’z = Iz/K1.K2.K3.Kn.Ks


Plus la température sera importante, plus il faudra avoir un I’z
important pour sur-dimensionner la section du câble : K <= 1
K1 : dépend du mode de pose du câble
K2 : dépend des autres câbles placés cote à cote
K3 : dépend de la température ambiante
Kn : dépend des harmoniques dans le câble du neutre
Ks : dépend de la symétrie de pose quand il y a plusieurs
câbles en parallèles par phase
e) Choix de la section suivant le tableau donné:
Voir TD
OU ?

Mv Mv
ρ ρ

Résistivité : Pour un même courant, la section d ’un


câble en Cu sera plus petite (Meilleur encombrement).

Masse Volumique : Pour les forts courants, le poids d ’un


câble Al est plus petit, même si la section est plus
grande (Plus facile à poser). C ’est aussi un plus pour les
lignes aériennes.
Prix : le prix de l ’Al < Cu.
PRIX POUR 1 TONNE D’Aluminium:
Le prix de l’aluminium en euros pour une
tonne (1000 KG) sur 4 ans

PRIX POUR 1 TONNE DE CUIVRE :


Le prix du cuivre en euros pour une tonne
(1000 KG) sur 4 ans

le prix du Cu =~ 4 * prix Al
PRIX POUR 1 TONNE DE d’OR :
En million pour une tonne (1000 KG)
5) Calcul du courant de court circuit

Les dispositifs de protection des câbles doivent


fonctionner dans toutes les conditions, mêmes les plus
difficiles.

Une des plus difficiles, c ’est de pouvoir arrêter le


passage d ’un très fort courant dans les câbles en cas de
court circuit : c ’est le pouvoir de coupure .
court circuit = élévation très brutale de l ’intensité
du courant

Def :C ’est un défaut provenant d ’un contact


d ’impédance négligeable entre des conducteurs actifs
présentant une différence de potentiel en service
normal.

Il y a alors des effets:


* électrodynamiques avec arrachements mécaniques
* thermiques avec mise en combustion.
Il faut estimer la valeur maxi de Icc qu ’un court
circuit peut provoquer dans le réseau pour pouvoir
bien choisir l ’appareil de protection.
Le Icc maxi c ’est quand les trois phases sont en
court circuit.
Principe du calcul :
Court circuit sur les trois
phases : Icc3

Uo
Icc 3 
3.Zt

Uo : tension entre phases à vide


au secondaire du transfo
Zt : impédance totale par phase
en amont du défaut
Le calcul revient à déterminer Zt:

Zt  (R )  (X )
2 2

ΣR ( somme des résistances) et ΣX ( sommes des


réactances) des transformateurs, disjoncteurs,
câbles, … ouf!!!!
Il y a 2 méthodes de calcul :
- la méthode des impédances : on calcule
tout. Très précis mais long. Celle des logiciels
spécialisés. Par ex : Caneco BT.

- la méthode de composition. Méthode de


calcul approché. On considère que les arguments
des impédances successives sont proches pour
justifier le remplacement des additions
vectorielles par des additions algébriques. Cela
permet d ’utiliser un tableau très pratique.
Moins précise !!

Pour cela : Voir TD


6) Dispositifs de protection : Fusible et
Disjoncteur
a) PRINCIPES

Le câble ne doit pas dépasser sa température limite


admissible en cas d ’urgence :
160°C pour le PVC,
250°C pour le PR.
• Pour ne jamais dépasser ces limites de
température, la norme donne un temps maxi de
coupure pour un courant donné:
S Avec k dépendant de l’isolant et du métal
t k
I employés, S la section du conducteur

k
Dans cette formule qui (donne un
S temps maxi) se ‘cache’ une notion
t k d’énergie (à R près):
I

(I² x t)maxi= k²S²= valeur fixée pour un câble donné:


c’est la CONTRAINTE THERMIQUE (CT) maximale
admissible exprimée en A²s.
• Si on trace la courbe tmaxi de passage du courant = f ( courant) ,
pour un câble donné, on obtient l’allure suivante :

S La CT que
t k
CT maxi
I laisse passer la
tolérable
protection doit
par le t Rôle des
être < à la CT
câble protections :
maxi tolérable
éviter d’aller
par le câble
dans cette zone
Pour un courant
Zone à exclure I de défaut
donné, le
produit (I²t )
maxi ne sera pas
atteint
I
Normal Surcharge ou court-circuit
Conclusion : pour éviter de dépasser la limite de
température d’un câble,

* En fonctionnement normal (nominal) la section


doit être adaptée pour durer 30 ans:

Si section trop petite, sur échauffement (+ chutes


de tension), et vieillissement prématuré.
si trop grande, coûts et encombrement augmentent.

=> Choix du câble

* En cas de surcharge ou de court-circuit : le


dispositif de protection doit limiter le temps maxi de
passage du courant dans le câble, sinon il bouge ou il
brule !
=> Choix de la protection
b) Critère de choix
=> Choix du dispositif de protection , en fonction de :
• Courant d ’emploi dans le câble => Calibre In
• Tension d’utilisation (arc électrique + intense
si tension + élevée)
• Courant de court-circuit présumé (jamais
atteint) à l‘endroit protégé => le pouvoir de
coupure
• Contrainte thermique maximale tolérable par
le câble
• Type de charge
c) Fusibles

Deux classes :
gG: usage général, protège contre les surcharges et les
court circuits.
aM: usage accompagnement Moteur, protège seulement
contre les court-circuits. Il faut les associer
obligatoirement avec un relais thermique qui s ’occupe
des surcharges.
Courbes de fusion. La valeur du courant qui traverse
le fusible impose le temps de fusion ( ouverture).
Calibre

Coupure
au bout
30s
de :

9A
Pour une bonne protection :

CT maxi tolérable
S
t par le câble t k
I

Fusion
fusible Zone à exclure

I
La sélectivité
Il y a en général plusieurs dispositif de protection en
série.
La sélectivité est bonne quand seul l ’appareil qui
protège la zone où il y a le défaut déclenche.

Cela permet de ne pas « arrêter » toute une usine


pour un défaut sur un seul moteur …...

On détermine la sélectivité soit par un tableau


constructeur, soit en passant par la CT.
La CT :

Un fusible coupe un court circuit en deux temps :


le pré-arc puis l ’arc.
La CT de pré-arc = énergie mini pour arriver à la
fusion.

La CT d ’arc = énergie limitée entre la fin du pré-arc


et la coupure totale.

Court circuit

Limitation du courant :
permet de limiter les
effets électrodynamiques
Représentation de la CT :

A²s
CT arc

CT pré-arc CT totale

Source
Amont

Aval Récepteur
Pour avoir la sélectivité :
CT de pré-arc fusible amont > CT totale fusible aval
= fusion fusible aval avant qu ’il y ait l ’énergie de pré-
arc de l ’amont.
Y a-t-il sélectivité ?

Oui

Aval Amont
d) Disjoncteurs classiques :
les ‘magnéto-thermiques’

(Bobine)
(Bilame)

I>
(Bobine)

(Bilame)
Courbes de déclenchement : c ’est l ’association des
2 relais.

t
Déclencheur thermique à
Ir = In

Déclencheur magnétique
à Im = p x In

I
In Im
Calibre PdC
Il y a plusieurs types de courbes de déclenchement
magnétique pour un même calibre, pour s’adapter aux
différents types de charges:
Courbe B pour les bouts de lignes :
faibles courants de court-circuit
Im = 4 In ± 20% c’est-à-dire 3,2 In < Im < 4,8 In

Courbe C : standard: Im = 8 In ± 20%


c’est-à-dire 6,4 In < Im < 9,6 In

Courbe D : adapté aux départs moteur : le fort appel de


courant ne fait pas déclencher :
Im = 12 In ± 20% c’est-à-dire 9,6 In < Im < 14,4 In
Exemples :
iC60N/H/L
Schneider
Courbes B, C, D
calibres de 6 A à
63 A

3,2 In < Im < 4,8 In


6,4 In < Im < 9,6 In
Pour une bonne protection :

t CT maxi tolérable
S
par le câble t  k
I

Zone à exclure
Courbe de
limitation du
dispositif de
protection I
La sélectivité

On dit que la sélectivité est totale quand le


disjoncteur aval déclenche toujours tout seul,
quelque soit le courant.

Il y a sélectivité partielle si les 2 déclenchent


quand même à partir d ’une certaine valeur de Icc.

Elle s ’obtient de 2 façons possibles :


Sélectivité ampèremétrique pour les fusibles et aussi les
disjoncteurs en réglant le déclencheur magnétique

Sélectivité chronométrique : on retarde le


déclenchement du disj amont par rapport à l ’aval.
On détermine la sélectivité soit par un tableau
constructeur, soit en superposant les courbes de
déclenchement.

* Courbes
Ampèremétrique :
Chronométrique:

Cette courbe
est décalée vers
le haut pour
retarder son
déclenchement
Au dessus de 340 A, les deux
* Tableau disjoncteurs s’ouvrent

Présence d’un chiffre dans le tableau : sélectivité


assurée jusqu’à tant d’ampères. Après, les deux
déclenchent, car il y a superposition des deux courbes :
sélectivité partielle
Retrouver la Amont
limite de
sélectivité

Aval
Lorsqu’il y a de nombreux disjoncteurs de marques
différentes dans une installation et suite à des
vieillissements , des problèmes de déclenchements non
maîtrisés surviennent.

L’idéal : il faut pouvoir ajuster au mieux toutes les


parties des courbes de déclenchement

Disjoncteurs électroniques
La limitation

• Le pouvoir de limitation
d’un disjoncteur
traduit sa capacité plus
ou moins grande à ne
laisser passer, sur
court-circuit, qu’un
courant inférieur au
courant de défaut
présumé.
Intérêt de la « limitation » pour les disjoncteurs

Effets thermiques
Echauffement moins important au niveau des
conducteurs, donc durée de vie augmentée pour
les câbles.
Effets mécaniques
Forces de répulsion électrodynamiques réduites
donc moins de risques de déformation
ou de rupture au niveau des contacts électriques.
Effets électromagnétiques
Moins d’influence sur les appareils de mesure
situés à proximité d’un circuit électrique.
Sélectivité accrue avec le disjoncteur en amont
e) Disjoncteurs déclencheurs électroniques

Problèmes des Disjoncteurs magnéto-thermiques :


Peu de précision

Sensibilité à la température ambiante

Pas de signalisation du type de défaut (surcharge, CCt ou courant de fuite)

Pas de communication possible avec l’extérieur

Pas de diagnostic interne sur l’état des contacts

Peu adaptables à d’autres types de disjoncteurs (sélectivité difficile à respecter entre


différentes marques)

Faible adaptabilité devant l’évolution de l’installation (On change de disjoncteur si le


réseau évolue par exemple)

Tests nécessitant des moyens lourds


Exemple de dépendance vis à vis de la température
(Disjoncteurs Compact NS 160)

Déclencheur électronique
Fonctions de base d’un disjoncteur électronique :
Capteur + carte électronique + actionneur d’ouverture

Protection long retard LR contre les


t faibles et fortes surcharges :
* à seuil Ir réglable, par exemple entre
0,4x In et 1x In

Protection court retard CR contre les


courts-circuits :
* à seuil Im réglable par exemple entre 2 Ir
et 10 Ir
* à temporisation fixe.
Protection instantanée INST contre les
courts-circuits violents :
Ir Im i (Ou déclenchement « réflexe »),par
capteur de pression dans la chambre de
coupure
* à seuil fixe.
Exemple de courbe de disjoncteur électronique «simple »

Ir Im i
Courbes de déclenchement d’un disjoncteur
électronique sophistiqué
f) dispositifs de coupure de l’arc électrique

Lorsque le disjoncteur se déclenche,


un arc électrique se crée au niveau
où le contact est rompu. Pour éviter
qu'il n'endommage le disjoncteur,
cet arc est allongé et est guidé vers
l'élément numéro quatre, les déions,
qui divisent l'arc électrique en
1et 1' Lieu d'arrivée et de départ du courant plusieurs sous-arcs.

2 Electroaimant Cela cré une FCEM proportionnelle


à la longueur et au nombre de fois
3 Contacts qu’il est divisé qui s ’oppose à l ’arc.

4 Chambre de coupure L ’arc s ’éteint.

Vous aimerez peut-être aussi