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ExEmplE dE production :

1)

La superstition est une attitude irrationnelle qui consiste à croire au présage et au fait que
certaines choses, objets, animaux, personnes ou pratiques peuvent augurer le bonheur ou le
malheur. De nos jours, ces pratiques deviennent de plus en plus présentes dans notre société, ce
qui a suscité l’intérêt de ceux qui ont du cœur pour la patrie. Une question imminente se pose
alors ; Quels sont les causes et les conséquences de ce phénomène socio-culturel marquant
l’inconscient collectif marocain ? et y a-t-il des solutions envisageables pour y remédier ?

Parmi les différentes causes de ce phénomène on peut citer d’abord que c’est dû à la
culture et aux traditions car ces méthodes sont transmises de génération en génération et ces gens
sont persuadés que les saints et les voyantes possèdent réellement des pouvoirs surnaturels et
maléfiques qui leur permettent de communiquer et commercer avec « l’au-delà ». Ensuite, il y a
l’ignorance car on attribue à de simple être mortels ou à des personnes mortes des pouvoir
surnaturels. En effet si ces personnes pouvaient résoudre les problèmes des autres pourquoi ne pas
résoudre d’abord leurs propres problèmes et qu’ils sortent de la situation lamentable où les
trouvent d’habitude. Enfin, La pauvreté et le manque de moyens de visiter un médecin parce que
les prix sont trop chers pour eux poussent la plupart à choisir les marabouts ou les saints.
Les conséquences de ce fléau peuvent parfois être graves et irréversibles, notamment lorsqu’il
s’agit de prendre des produits prescrits par des guérisseurs charlatans et dont l’effet est dangereux
sur la santé morale et corporelle aussi, sans oublier que ces pratiques font perdre des sommes
énormes.
Néanmoins, il existe beaucoup de solutions pour éradiquer une fois pour toute ce fléau qui
honte notre société. Il est d’abord très important de combattre les pratiquants de ce genre de
croyance. On peut aussi interdire l’accès aux sanctuaires pour les croyants et les laisser ouvert
pour les touristes si on les compte comme monuments historiques mais le plus important à faire
c’est la sensibilisation de la nouvelle génération car c’est elle qui prendra le relai par la suite.

Pour conclure, on serait tenté de dire que la superstition est un phénomène qui malgré
l’évolution dans notre société reste très présent et ne cesse de se propager donc il faut l’éradiquer
parce qu’il est une source d’inculture et de polythéisme.
2)
Les problèmes font partie de notre vie quotidienne, beaucoup de personnes rencontrent
chaque jour des soucis (mariage, grossesse, chômage…) Toutefois, afin de résoudre ces
problèmes, des personnes pensent qu’ils faut recourir aux (saints, voyantes, fqihs….) La
superstition est désormais un sujet qui fait couler beaucoup d’encre surtout dans notre société qui
est connue par son héritage culturel superstitieux. Une question récurrente mérite alors d’être
posée ; la superstition et le maraboutisme (les saints, les marabouts) sont-ils le meilleur remède
aux problèmes de la vie ?

Certes, ils sont moins cher et souvent attrayant pour certains à cause de la pauvreté et le
manque de moyen qui règne dans notre société. En effet, beaucoup de personnes n’ont pas les
moyens pour visiter un médecin parce que les prix sont trop chers pour eux. Or, le fait de consulter
(un guérisseur, voyante, fqih...) reste une pratique risquée et sans garanties pour plusieurs raisons :
De prime abord, Si on prend des produits (remèdes, filtres d’amour, des médicaments…) prescrits
par ces charlatans, il y a une forte probabilité de tomber gravement malade. De plus, ce genre de
pratiques peut entraîner des répercussions néfastes sur la santé psychique de la personne ; le risque
d’avoir de l’anxiété, des troubles de sommeil, des délires ou hallucinations… Enfin, il est connu
chez le commun des croyants que ces pratiques sont interdites par la religion islamique car on
attribue d’autres personnes à l’unicité de Dieu ce qu’on appelle le Polythéisme, catégoriquement
interdit par plusieurs extraits du livre sacré (le coran).

En somme, on peut se permettre de dire que la lutte et l’éradication de ce fléau dépend de


l’instruction. Toutefois, cette dernière ne peut se réaliser quand le taux d’analphabétisme et de
l’ignorance et encore élevé. Pour cette raison il faut une amélioration du niveau socio-culturel-
économique des citoyens pour atteindre notre objectif.
ExEmplE dE production :

1)
Ce que tu gardes pourrit, ce que tu sonnes fleurit : le don a bien plus de valeur humaine que
l’égoïsme. C’est avec cette phrase qu’on inaugure le thème traitant la solidarité, une des
valeurs humaines qui fait toujours couler beaucoup d’encre et fait objet de débat partout dans
le monde en divisant les gens en deux castes ; certaines personnes ne manifestent aucun intérêt,
ni sentiments envers les difficultés et les malheurs des autres tandis que d’autres se montrent
solidaires et bienveillants envers les autres. Alors la question qui se pose est laquelle des deux
conduites doive-t-on suivre et prendre comme model ?

Ceux qui sont contre la solidarité ou qui ne s’intéressent qu’à leurs propres vies
se défendent par plusieurs arguments ;
D’abord, les gens font semblant d’être pauvre afin de bénéficier des dons. Sans oublier qu’il y
en a plusieurs qui ont fait de cette pratique un métier d’une forte rentabilité. Sans avoir à faire
le moindre effort, ces gens-là peuvent finir leurs journées avec des sommes énormes en abusant
de la gentillesse des personnes qui passent une journée entière à besogner dur pour vivre
dignement. Ensuite, ils voient que l’entraide est une manière qui favorise ce qu’ils appellent la
fainéantise et la paresse ; les gens au lieu d’aller travailler et d’avoir leur pain quotidien
dignement tendent la main à des personnes dont la situation peut parfois être plus misérable.
Enfin, ils estiment que l’appellation « solidarité » a été conçue par les riches et ceux qui
gouvernent pour que les plus démunis du peuple s’entraident et laissent ceux qui tiennent le
pouvoir volé les richesses sans aucun problème.
Pour les adeptes de la solidarité et la bienveillance les arguments ne manquent pas car
ils disent qu’Aider les autres permet aux individus de retrouver du calme, de la stabilité et de
donner ainsi un sens à la vie. En effet, aider quelqu’un va leurs permettre de se sentir utile. En
disant : « Nous avons ce besoin, se sentir utile, se sentir exister et savoir que l’on peut compter
sur vous. » De plus, la tradition et la culture stipulent depuis la nuit des temps l'idée de la
solidarité entre les gens comme dans La Boite à Merveilles d'Ahmed Sefrioui ; Lors de la
disparition de Zineb, toutes les femmes ont aidé Rahma a retrouvé sa fille et lors de
l’organisation du repas elles se sont montré de bonne mine. Finalement, la religion incite tous
les musulmans à s’entraider. Il s’agit donc d’un devoir (être solidaire et venir en aide pour les
personnes qui ont besoin), tel qu'il est dit dans le texte coranique.
Bref, Il est vrai que beaucoup de personnes font semblant d’être pauvres pour avoir des dons
ou de l’aumône, l’entraide favorise aussi l’inaction. Toutefois, la solidarité est l’une des
valeurs importantes pour assurer la perpétuité de la race humaine.

En conclusion, je tiens à dire que la solidarité est comme une mère qui allaite son
bébé sans faire attention à ses morsures virulentes, ni à ses griffes piquantes. En conséquence,
il est impératif d’aider les autres malgré l’existence d’une minorité ingrate.
2)
Des messages de toute la planète ont afflué pour saluer la mémoire du petit garçon
de 5 ans qui était tombé dans un puits près de Chefchaouen, une région déshéritée du nord du
royaume. Ce qui est intéressant c’est cette solidarité admirable de tout un peuple et son soutien
sans limite à la famille de Rayan dans un moment de douleur tragique. La solidarité, une valeur
qui pour la plupart des gens a disparu depuis des décennies commence à faire objet de de débat
et suscite encore une fois l’intérêt des internautes après cet événement tragique. Une question
mérite alors d’être posée ; La solidarité existe-t-elle toujours dans notre société ?

Personnellement, je vois que la solidarité a toujours existé dans notre société


marocaine et continuera à régner et ce pour plusieurs raisons.
En premier lieu, la tradition et la culture marocaine stipulent depuis la nuit des temps l'idée de
la solidarité entre les gens. En fait, il est connu sur les Marocains leur attachement à la culture
et aux comportements de leurs antécédents. Lorsqu’une personne tombe malade (voisin, ami,
ou membre de la famille…) on se mobilise pour voir, réconforter ou rassurer la personne. Si
une personne meurt, on soutient les membres de la famille émotionnellement et
matériellement. L’exemple le plus concret est ce lui de La Boite à Merveilles d'Ahmed
Sefrioui ; Lors de la disparition de Zineb, toutes les femmes ont aidé Rahma a retrouvé sa fille
et lors de l’organisation du repas elles se sont montré de bonne mine. Deuxièmement, Le
Prophète Mohammed, paix et salut sur lui, a dit : « Dieu aide Son adorateur tant que celui-ci
aide son frère. » ; « Le croyant est pour le croyant comme l’édifice dont une partie supporte
l’autre ». Deux enseignements ressortent de ces deux paroles prophétiques. Le premier, c’est
que le croyant s’aide lui-même d’abord lorsqu’il aide les autres. Le deuxième enseignement
montre qu’au-delà de l’accomplissement individuel, l’entraide est également une action
importante pour le bien-être de la communauté. Autrement dit, sa bonne santé est liée au
soutien mutuel de ses membres. Enfin, la liberté individuelle ne puisse se réaliser, que grâce à
une abnégation de soi et une renonciation à ses biens au profit des autres. L’idée n’est
aucunement de devoir s’effacer ou de faire don de tous ses biens, mais de faire obstacle à son
égocentrisme et à son avarice.

Finalement, je serais tenté de dire qu’il est communément admis chez le peuple
marocain que la délivrance individuelle exige principalement que le croyant mette au service
des nécessiteux et des démunis, ses efforts et ses biens. Ainsi, plutôt que d’être le prisonnier
de caprices enfantins, d’un égo orgueilleux et jouissant des plaisirs de ce bas-monde. Alors,
tant que ces principes sont présents dans notre société et se transmettent de génération en
génération, la solidarité sera à jamais omniprésente dans notre quotidien.
ExEmplE dE production :

Les adultes et les jeunes appartiennent à deux générations différentes. De ce fait, être sur la
même longueur d’onde n’est pas toujours facile à réaliser. On parle souvent de conflit ou de fossé
entre les générations. C’est l’un des sujets qui attire l’attention des internautes en partageant les
avis en deux catégories, Les deux parties voient les choses sous un angle différent et chacune
d’elles, pense que ses valeurs et convictions sont les plus correctes et devraient être appliquées.
Alors Qu’est-ce qui les pousse donc à adopter un tel comportement ? Quels sont les effets de ce
comportement ? Comment résoudre ce problème ?
Il existe ce fossé entre les jeunes et les adultes pour plusieurs raisons. D’abord, c’est par
manque de communication en famille ; Une famille qui manque de communication saine est
comme un navire sans gouvernail. Il flottera même dans des eaux calmes et deviendra
dangereusement incontrôlable en cas de tempête. Il faut s’assurer donc que chaque membre est
entendu, compris et valorisé. Ensuite, les enfants appartiennent à une autre génération, et ils n'ont
pas les mêmes conceptions que leurs parents. Ces jeunes adolescents ont un grand esprit de
l'aventure, ils préfèrent découvrir le monde par eux-mêmes, vivre leurs expériences, ce qui est une
bonne chose. (…). D’après les origines citées, nombreuses sont les conséquences qui peuvent
subsister par un conflit de générations ; on peut citer le désaccord et l’instabilité ou écart familiale
suite aux désaccords fréquents, perte des valeurs et des coutumes et bien d’autres conséquences.
Pour atténuer (diminuer) ce problème, les générations devraient fournir des efforts pour aboutir à
un compromis mutuel. Les parents devraient s’intéresser à la vie actuelle de leurs enfants, de
comprendre leurs orientations et tendances. Les enfants quant à eux, doivent respecter leurs
parents, suivre leurs conseils et chérir leur passé.
En somme, je serais tenté de dire que plus les sociétés évoluent (se développent), plus les
rapports entre les jeunes et les adultes deviennent difficiles (critiques) et s’écartent des traditions
en créant un conflit entre les vieilles générations conservatrices et les jeunes par les changements
mondiales.

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