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SOMMAIRE

THEME 1 : JOSQUIN DES PRES (JOSQUIN DES PEREZ) (Compositeur


français (Picardie v. 1440 – Condé-sur-l'Escaut 1521 [ou 1524])

I. INTRODUICTION
II. VIE ET PARCOURT MUSICAL DE JOSQUIN DES PRES
III. UN CLERC ITINERANT
IV. CONCLUSION

BILBLIOGRAPHIE

THEME 2 : LA NAISSANCE DE L’ISLAM

I. INTRODUICTION
II. DEFINITION DE L’ISLAM
III. QUEL EST L’ORIGINE ET LA DATE DE NAISSANCE DE L’ISLAM ?
IV. QUI A FONDE L’ISLAM ?
V. CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
THEME 1 : JOSQUIN DES PRES (JOSQUIN DES PEREZ)

(Compositeur français (Picardie v. 1440 – Condé-sur-l'Escaut 1521 [ou 1524])

INTRODUICTION

Trois grandes périodes (que reprend H. Osthoff à la suite d'Ambros pour tenter un
classement de ses œuvres) s'imposent : la jeunesse, soit la période milanaise (jusqu'en
1486) ; les séjours de Rome et Ferrare (1486-1505) ; le retour en France et dans les
Pays-Bas (1505-1521). Ainsi se dégage l'importance des influences italiennes, qui, en
se greffant sur une connaissance approfondie de l'art du contrepoint tel qu'il était
pratiqué dans les pays du Nord, permit à Josquin Des Prés (ou plutôt Desprez) de
dépasser les formes traditionnelles de son temps par un regard neuf sur les rapports du
texte et de la musique. Ce développement nous tracera tout parcourt de JOSQUIN
DES PRES durant son existence.

VIE ET PARCOURT MUSICAL DE JOSQUIN DES PRES

Josquin des Prés (Compositeur français (Picardie v. 1440 – Condé-sur-l'Escaut 1521


[ou 1524])
Josquin Des Prés (ou Desprez, ou Jodocus Pratensis, ou Jodocus a Prato, ou
simplement Josquin), surnommé le « Prince de la musique » par ses contemporains, est
le plus éminent représentant de l'école dite « franco-flamande » à la fin du XVe siècle.
Génie universel, Josquin occupe une position d'équilibre entre Moyen Âge
et Renaissance. « Il possède dans leur plénitude, écrit Jacques Chailley, tous les
caractères que l'on attribue à l'une et l'autre époque. » Il appartient, certes, au temps
des humanistes, mais il conserve une spiritualité, un sens du sacré, qui le rattache aux
conceptions médiévales. Il a marqué de son empreinte profonde tous les genres qu'il a
abordés (messes, motets, chansons), contribuant à imposer le style « en imitation
continue » qui devait prévaloir durant tout le XVIe siècle. Seul Roland de
Lassus devait atteindre à pareille maîtrise.

Un clerc itinérant

Qu'il soit né dans le Hainaut, ou, comme on le pense, à Beaurevoir, près de Saint-
Quentin, il reçut sa première formation à la cathédrale de cette dernière ville où il fut
enfant de chœur. Il est difficile d'affirmer que Josquin fut l'élève d'Ockeghem, mais il
est permis de penser qu'au moins indirectement il reçut l'enseignement de son illustre
prédécesseur. De même eut-il l'occasion d'approcher Guillaume Dufay, lors d'un séjour
à Cambrai.
Il serait entré en 1459 à la maîtrise du Dôme de Milan, où il resta treize ans. Le titre
de biscantor, alors associé à son nom, indique qu'il s'agit d'un chanteur adulte, ce qui
confirme l'hypothèse d'une date de naissance antérieure à celle que mentionnent la
plupart des dictionnaires.

En 1473 (ou 1474), Josquin sert le duc Galéazzo Maria Sforza ; en 1475, il écrit
un Livre de musique pour la chapelle de ce prince. Cinq ans plus tard, on le trouve au
service du cardinal Ascanio Sforza, frère de Ludovic le More. On le désigne souvent
alors sous le pseudonyme « Josquin d'Ascanio ».

De 1486 à 1494, Josquin fut chantre du pape. Une interruption de quelques mois dans
le service pontifical permet de penser qu'il est bien le Josquin payé à la cour de
Lorraine en 1493. Après de brefs séjours à Florence, à Modène et à Blois, à la cour de
France, il est devenu maître de chapelle d'Hercule Ier d'Este, duc de Ferrare, à qui il
dédie une messe et son célèbre Miserere

Ensuite, s'il est sûr qu'il a travaillé pour Louis XII, on ne peut affirmer avec certitude
qu'il ait été maître de chapelle à la cour de France. Outre le témoignage de Glarean,
relatant, dans son Dodecachordon de 1547, les rapports de Josquin avec la chapelle du
roi de France, il reste quatre compositions concernant Louis XII : le motetMemor esto
verbi tui ; la chanson-fanfare Vive le roy ; la chansonAdieu mes amours, contenant ces
vers, « Vivray-je du vent / Si l'argent du roy ne vient plus souvent ? » ; enfin, la
composition intitulée Ludovici Regis Franciae iocosa cantio, qui comporte une voix
dite « vox regis », présentant irrévérencieusement une seule et même note d'un bout à
l'autre de la pièce.

Après la mort du roi, Josquin reçut un canonicat à Saint-Quentin, qu'il ne devait point
garder longtemps. On retrouve sa trace aux Pays-Bas. Déjà, la chanson Plus nulz
regrets, datant de 1507, célébrait l'alliance anglo-néerlandaise. Mais, grâce à la
régente Marguerite d'Autriche, il obtient de l'empereur Maximilien I er le prieuré de
l'église Notre-Dame de Condé et, en 1520, il remet à Charles Quint, qui résidait alors
en Flandre, Auculnes Chansons nouvelles. Il mourut à Condé-sur-l'Escaut.

CONCLUSION 

Josquin des Prés est un compositeur franco-flamand né en Picardie vers 1440 et mort à
Condé-sur-L’Escaut en 1521. Il a passé une grande partie de sa vie auprès des
différents princes italiens qui étaient des mécènes. C’est un des maîtres de la
Polyphonie. De son vivant il avait été surnommé le Prince de la Musique.

BIBLIOGRAPHIE

 Josquin Des Prés - LAROUSSE


 JOSQUIN DES PRÉS - Encyclopædia Universalis
THEME 2 : LA NAISSANCE DE L’ISLAM

I. INTRODUICTION

 Religion des musulmans, de ceux qui adhèrent au message de Mahomet. Ensemble


des peuples qui professent cette religion (s'écrit alors Islam). L’Islam est l’une des plus
grandes religions pratiquées de nos jours dans le mode. Ce développement traite en
premier temps sur la définition du mot « Islam » et en seconde position exposera
l’origine proprement dit de l’Islam.

II. DEFINITION DE L’ISLAM

Le mot « islam » est la translittération de l'arabe ‫اإلس>>الم‬, islām, signifiant : « la


soumission et la sujétion aux ordres de Dieu » En d’autres termes, L’islam traduit une
vision complète de l’existence, couvrant les domaines de la foi, de la législation et de
la vie individuelle et sociale. L’islam signifie « soumission » ou « abandon » à Dieu et
à Sa volonté. La religion islamique est un strict monothéisme dont la pratique
comporte une soumission active et quotidienne à la volonté divine. Les musulmans
adressent leur adoration à Allah, nom arabe de Dieu, le même que celui d’Adam, de
Noé, d’Abraham, de Moïse et de Jésus.

III. ORIGINE DE L’ISLAM ET LA DATE DE NAISSANCE DE L’ISLAM  ?

Naissance d’une nouvelle religion Le dénominateur commun aux musulmans du


monde réside dans un certain nombre de pratiques similaires, et aussi, quelle que soit
l’origine géographique, ethnique ou sociale des fidèles, au-delà de certaines
divergences, dans le sentiment de participer à une même histoire qui a débuté au début
du VIIe siècle dans la péninsule Arabique. Exprimée en arabe, aux membres d’une
tribu arabe, la religion muhammadienne a progressivement élargi son message à
l’ensemble de l’humanité. À la différence du judaïsme des origines, mais comme le
christianisme, l’islam s’est posé en religion universaliste. Prêché dans un
environnement où les liens de solidarité tribale et les clivages claniques étaient
déterminants, l’islam se pose d’emblée comme transcendance : il concerne les hommes
et les femmes de toute origine, riches et pauvres,
Libres et esclaves. La personne chargée par le Prophète de prononcer l’appel à la
prière, le premier muezzin, fut, significativement, un esclave noir affranchi, du nom de
Bilâl. L’universalisme de l’islam s’accompagne de l’immédiateté de la relation entre
les fidèles et Dieu, au moins pour la plus grande partie d’entre eux, et cette
immédiateté elle-même s’accompagne d’un sentiment absolu de la transcendance
divine.

IV. QUI A FONDE L’ISLAM ?


Né à La Mecque autour de 570, Muhammad est un Arabe, qui appartient à la tribu des
Qoraysh, au sein du clan des Banou Hashim. D’après la tradition musulmane, devenu
rapidement orphelin, il est recueilli par la famille de son oncle et, pour subvenir à ses
Propres besoins, travaille comme caravanier au service d’une riche veuve, Khadija,
qu’il épouse. Cette vie est brutalement transfigurée lorsqu’il atteint environ 40 ans.
Alors qu’il se trouve sur le mont al-Hira, un ange, identifié à Gabriel, lui apparaît et lui
annonce qu’il est le « Messager de Dieu ». À partir de ce moment, où il devient un
prophète, la tradition divise sa vie en en deux grandes parties. De 610 à 622, il reste
dans sa ville natale, La Mecque, mais ne reçoit pas le succès escompté auprès de sa
tribu. Avec un petit groupe de partisans, il est contraint d’émigrer vers l’oasis de
Yathrib, l’actuelle Médine, en 622. Il y fonde la première communauté musulmane et
pose les bases d’un début d’État. Après des années de confrontation avec les
Mecquois, il entre victorieusement à La Mecque en 630. À la veille de sa mort en 632,
l’Arabie est totalement soumise à son autorité.

V. CONCLUSION

Tout compte fait l'emploi d'islamisme comme synonyme d'islam est vieilli. On désigne


aujourd'hui par islamisme le mouvement politico-religieux préconisant l'islamisation
complète des institutions et des gouvernements des pays musulmans, et spécialement
la tendance la plus radicale et la plus violente de ce mouvement. Le Coran a été révélé
au prophète Mohamed en Arabie au VII e siècle, c’est la parole de Dieu dictée par
l’archange Gabriel, ainsi naitra l’islam. Cependant une question qui se pose est la
suivante : l’union entre l’islam et le christianisme est-il envisageable ?

BIBLIOGRAPHIE
 Islam — Wikipédia (wikipedia.org)
 Point de vue de l'islam | Cairn.info
 IMA - Qu'est-ce que l'islam ? - religion (imarabe.org)
 Définitions : islam - Dictionnaire de français Larousse

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