Les Generaux de Dieu - John G. Lake

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Journal du général de Dieu
EXTRAITS DU MINISTERE DES
MIRACLES DE JOHN G. LAKE
Maison Harrison
Tulsa, Oklahoma
Sauf indication contraire, toutes les citations bibliques sont
tiré de la version King James de la Bible.
Journal du général de Dieu : extraits du ministère des miracles
de John G. Lake
ISBN13 : 9781606832523 Copyright © 1981, 1991, 2004 par
Maison Harrison
Publié par Harrison House, Inc.
PO Box 35035
Tulsa, Oklahoma 74153
Imprimé aux ÉtatsUnis d'Amérique. Tous droits réservés en vertu de la loi
internationale sur le droit d'auteur. Le contenu et/ou la couverture ne peuvent
être reproduits en tout ou en partie sous quelque forme que ce soit sans
l'autorisation écrite expresse de l'Editeur.
Préface de l'éditeur
Nous avons présenté le matériel de ce livre aussi fidèlement que possible
possible à la manière dont nous l'avons reçu. Aucune tentative n'a été faite pour
établir un ordre chronologique. Notre espoir est que ce matériel aura le même
impact favorable sur le lecteur qu'il a eu sur nous lorsque nous l'avons lu pour la
première fois. Très peu de modifications ont été apportées pour que l'intégrité et
la saveur de John G. Lake luimême soient maintenues.
Ce manuscrit a été compilé par le gendre de John G. Lake,
Wilford H. Reidt.
Nous sommes profondément reconnaissants à la fille de John G. Lake,
Gertrude, et à son mari pour leur manipulation soigneuse et leur intérêt fidèle à
préserver ce précieux manuscrit au profit du Corps du Christ.
Contenu
Avantpropos
Chapitre Un Aventures en Dieu
Chapitre deux Comment le Seigneur m'a envoyé en Afrique du Sud
Chapitre Trois Comment j'en suis venu à consacrer ma vie au
Ministère de la guérison
Chapitre 4 Plus d'aventures en Dieu
Prière de salut
A propos de l'auteur
Avantpropos
John Graham Lake était un homme de prière et d'engagement.
Aux Lake Healing Rooms à Spokane, Washington, 100 000
guérisons ont été enregistrées en cinq ans. Dr. Ruthlidge de Washington,
DC, a qualifié Spokane de ville la plus saine du monde grâce aux salles de
guérison de Lake.
John G. Lake est né le 18 mars 1870 à St. Mary's, Ontario, Canada.
Alors qu'il était encore enfant, ses parents ont déménagé aux ÉtatsUnis. À
l'âge de 21 ans, il est devenu pasteur méthodiste, mais a ensuite choisi de
créer un journal au lieu d'accepter un ministère ecclésiastique.
Après son mariage, la femme de Lake a conclu une relation prolongée
maladie grave mais a été miraculeusement délivré sous le ministère
de John Alexander Dowie en avril 1898. Cette expérience a changé à
jamais la direction de la vie et du ministère de John G. Lake.
Tout ce qu'il a accompli grâce à son respect intense pour la Parole de Dieu
est un exemple pour tous les chrétiens de ce qui est possible pour toute
personne qui croit et agit selon les Écritures.
Chapitre Un : Aventures en Dieu
J'ai trouvé Dieu quand j'étais enfant, alors pendant des années la plupart d'entre elles j'ai
ont marché dans la lumière de Dieu, comprenant la communion
avec Lui et écoutant Sa Voix.
Je veux attirer votre attention sur certaines des choses que le
chrétien apprécie et que d'autres manquent.
Un cher homme a reçu une blessure qui a causé sa mort dans un
accident de voiture non loin de Beaverton. Le lendemain du jour où cet
homme a été tué, je rendais visite à des amis à Beaverton et ils m'ont parlé
de sa blessure. Après notre visite, ma femme et moi étions en voiture dans
la ville. Alors que nous remontions l'une des autoroutes, une Voix a dit :
"Tirez sur la gauche de la route et arrêtezvous."
Ne connaissezvous pas cette Voix, coeur chrétien? Cette Voix est si
commune que je n'en ai même jamais parlé à ma femme.
Le côté gauche est le mauvais côté de la route et vous enfreignez
le code de la route pour y être. Mais j'ai écouté cette Voix pendant tant
d'années que j'ai appris dans la plupart des cas à lui obéir. Jésus a dit: "Mes
brebis connaissent ma voix." (Jean 10:27.)
(La pensée que j'essaie de vous apporter, chers amis, est la
valeur de connaître le Seigneur et ce que signifie la communion avec
Dieu. Le salut n'est pas simplement quelque chose que Dieu vous donne
et qui va vous bénir après votre mort ? c'est avoir la présence du Seigneur
maintenant. Dieu a promis au chrétien la direction
et la direction du SaintEsprit.)
Je me suis arrêté sur le côté gauche de la route, j'ai fait tomber les roues
ma voiture s'est approchée du fossé et s'est arrêtée. Immédiatement, j'ai
entendu le grincement d'un gros camion arriver dans le virage. Je ne l'avais
pas vu auparavant. Au lieu de venir normalement, il descendait du côté
gauche de la route du conducteur à un angle de 45 degrés. Le camion était
devenu incontrôlable et couvrait toute la route !
Si j'avais été de mon côté de la route, il m'aurait balayé et
poussé pardessus la berge. Une descente de 100 pieds! Mais j'étais de
l'autre côté quand la grande chose m'a dépassé.
Le camion est passé de 50 à 100 pieds audelà de moi, a heurté un
endroit accidenté de la route et s'est redressé. Le conducteur a maîtrisé
le camion et a poursuivi sa route.
Chers amis, les hommes dans la Parole de Dieu ont été guidés par la
Voix de Dieu. Dieu leur a parlé. C'est la chose intérieure de la véritable
expérience chrétienne, la raison pour laquelle les hommes cherchent par la
grâce de Dieu à entrer dans le vrai cœur de Dieu dans la vraie âme de
JésusChrist dans le lieu où Il vit en vous où Sa Voix parle dans votre
cœur.
J'étais assis un jour dans la maison des DeValera à Krugersdorp,
en Afrique du Sud, lorsqu'un homme est arrivé qui avait voyagé dans
tout le pays. Il m'avait suivi d'un endroit à l'autre, essayant de me rattraper.
Il a subi une
coup de soleil qui avait affecté son esprit, et il a également développé un gros
cancer.
Il est entré dans la maison et s'est avéré être un ami de la famille.
Peu de temps après, une enfant de six ans qui était assise près de moi
traversa la pièce, grimpa sur les genoux de l'homme, posa ses mains sur le
cancer de son visage et pria.
J'ai vu le cancer dépérir. En une demiheure, la chose avait
disparu. La blessure était toujours là, mais en quelques jours elle était
guérie.
Après que l'enfant ait posé ses mains sur sa tête, il s'est réveillé en
disant : « Oh ! Le feu qui était dans mon cerveau s'est éteint", et son esprit
était normal.
"La puissance appartient à Dieu" (Ps. 62:11). L'âme la plus simple peut
toucher Dieu et vivre dans la présence même de Dieu et dans sa puissance.
C'est presque une tristesse pour mon âme que les hommes
soient étonnés et surpris par une preuve ordinaire et tangible de la puissance
de Dieu.
Une femme est entrée dans les salles de guérison une fois avec une
tumeur plus grosse qu'un enfant à naître adulte. Ses médecins avaient été
trompés, croyant qu'il s'agissait d'un enfant jusqu'à ce que la période de la
nature soit passée. Puis ils ont décidé que ce devait être autre chose.
Elle est venue aux Healing Rooms et je l'ai interviewée. Elle a dit : « M. Lake,
j'ai l'avis de plusieurs médecins. Ils sont tous différents, mais chacun a dit : « Il est
possible que ce soit un enfant. Mais maintenant, le temps est passé et ils ne savent
pas quoi dire.
J'ai posé ma main sur elle un instant et j'ai dit : « Madame, il
n'est pas un enfant ? c'est une tumeur.
Elle s'assit et pleura. Son infirmière était avec elle. Son âme était troublée
et elle n'a pas reçu la guérison.
Elle est revenue un autre aprèsmidi pour la prière et est revenue
le lendemain portant ses corsets. Elle a dit: «Je suis descendue pour vous
montrer que je suis parfaitement normale. Lorsque j'ai pris ma retraite hier soir à
22 heures, il n'y avait aucune preuve que quelque chose s'était passé, audelà de
cela, je me sentais à l'aise et l'étouffement avait disparu. Mais quand je me suis
réveillé ce matin, j'avais ma taille normale.
J'ai demandé : « Estce qu'il a disparu sous forme de liquide ?
Elle a dit: "Il n'y avait aucun signe extérieur d'un caractère."
Bienaimé, que lui estil arrivé ?
Il s'est dématérialisé. La tumeur s'est dissoute.
Qu'estce qu'un prodige ? C'est la preuve tangible de la suprême
contrôle de l'Esprit de Dieu sur chaque caractère et forme de matérialité.
Bienaimés, la puissance d'un tel événement, d'un tel acte et signe,
nous montre à vous et à moi qu'à travers un contact vivant, positif et réel
avec l'Esprit de Dieu, tout est possible. Béni soit son nom !
J'étais dans une réunion à Los Angeles à une occasion. Un vieux Il
homme noir dirigeait les services. vocabulaire. 1 avait le plus drôle
Mais je veux vous dire qu'il y avait des médecins, des avocats et des
professeurs qui écoutaient des choses merveilleuses qui sortaient de ses
lèvres.
1W. J. "Daddy" Seymour, qui avait fréquenté Charles F.
L'école biblique de Parham à Houston. Bien qu'il n'ait pas encore reçu
luimême le baptême du SaintEsprit, au printemps 1906, il se sent poussé
à se rendre en Californie. Il y reçut le baptême du SaintEsprit et joua un
rôle important dans le grand réveil de la rue Azusa.
Ce n'était pas ce qu'il avait dit avec des mots ? c'est ce qu'il a dit de
son esprit à mon cœur qui m'a montré qu'il avait plus de Dieu dans sa vie
que n'importe quel homme que j'avais jamais rencontré jusqu'à ce moment
là. C'était Dieu en lui qui attirait les gens.
Un homme a insisté pour se lever et parler de temps en temps.
(Certaines personnes ont la manie de parler.)
Le vieux frère noir l'a enduré longtemps. Finalement, le type s'est relevé,
et le vieil homme a sorti son doigt et a dit : « Au nom de JésusChrist,
asseyezvous !
L'homme ne s'est pas assis il est tombé et ses amis
l'a emporté.
Ce n'est qu'un des faits vivants de ce qu'est le christianisme : la
puissance divine de JésusChrist par le SaintEsprit, remplissant l'âme
et le corps d'un homme, brillant à travers sa nature comme une flamme
sainte, accomplissant la volonté de Dieu.
Il y a un baptême qui appartient à Jésus. C'est dans son suprême
contrôler. Aucun ange ou homme ne peut l'accorder. Cela vient de
Lui seul.
C'est lui "qui baptise du SaintEsprit" (Jean 1:33).
Ainsi, l'individu qui veut le SaintEsprit doit entrer en contact défini et
conscient avec JésusChrist luimême. Dieu soit loué! Près d'un an
avant d'aller en Afrique, alors que je priais une nuit, j'ai été éclipsé par
l'Esprit du Seigneur.
Le Seigneur m'a montré divers endroits où je travaillerais pendant cinq
ans et, par l'illumination qui apparaîtrait dans les cieux, je connaissais
l'étendue du travail dans chaque endroit. Le dernier de ces endroits que
j'ai vu était l'Afrique du Sud.
Cette nuitlà, alors que je m'agenouillais sur le sol, j'étais soudainement
présent dans une église à Johannesburg, en Afrique du Sud, où une de
mes connaissances était pasteur. J'ai franchi la porte de l'église, parcouru
toute la longueur de l'église jusqu'à l'avant et dans une petite sacristie. J'ai
regardé autour de moi et j'ai pris note de tout les meubles, la pièce et tout
ce qui s'y rapportait. Tout cela s'est produit alors que je priais dans ma ville
natale près de Chicago.
En moins d'un an, j'étais dans cette église et pasteur de celleci.
Dieu a tout fait. Je n'avais rien à voir avec ça.
Par Dieu ayant montré avec l'illumination le merveilleux
l'ampleur et le caractère de l'œuvre qu'il allait accomplir dans tout le pays,
j'avais la foi pour croire que la chose que Dieu m'avait montrée arriverait, et
j'ai vécu pour la mener à bien.
Un soir, dans mon propre tabernacle, une jeune fille d'environ 16 ans
18 ans du nom de Hilda est soudainement devenu maîtrisé par
l'Esprit de Dieu.
Elle s'est réveillée et s'est tenue sur la plateforme à côté de moi. J'ai tout
de suite reconnu que le Seigneur avait donné un message à la jeune fille, alors
j'ai simplement arrêté de prêcher et j'ai attendu que l'Esprit de Dieu descende
sur elle.
Elle se mit à psalmodier dans une langue que je ne connaissais pas, puis
fit des gestes comme ceux qu'un prêtre musulman ferait en chantant des
prières.
À l'arrière de la maison, j'ai observé un jeune Indien de l'Est, que je
connaissais. Il est devenu ravi et a commencé à marcher progressivement
dans l'allée. Personne ne le dérangea et il remonta l'allée jusqu'à ce qu'il ait
atteint le devant. Puis il resta debout, regardant le visage de la jeune fille avec
un étonnement intense. Quand son message a cessé, je lui ai dit : « Qu'y atil ?
Il a répondu: "Oh, elle parle ma langue!" J'ai dit: "Qu'estce qu'elle dit?"
Il est venu sur la plateforme à côté de moi et a donné l'essentiel de son message :
« Elle me dit que le salut vient de Dieu. Afin d'économiser
hommes, JésusChrist, qui était Dieu, s'est fait homme. Elle dit qu'un homme ne
peut pas en sauver un autre ? que Mahomet était un homme comme les autres
hommes, pas un pouvoir pour sauver un homme de ses péchés. Mais Jésus était
Dieu, et il avait le pouvoir de me communiquer son Esprit et de me rendre semblable
à Dieu.
Alors que je prêchais dans une église en Afrique du Sud, une dame
américaine dont le fils résidait dans l'état de l'Iowa était présente à un service
de nuit en semaine.
Avant le début du service, elle m'a appelé dans la sacristie et m'a dit qu'elle
venait de recevoir une lettre de sa bellefille. Il a déclaré que le fils de la femme, un
professeur d'université, semblait être tuberculeux. Il a été contraint d'abandonner
son poste d'enseignant et était dans un état de grande faiblesse.
En conversant avec la mère, j'ai remarqué qu'elle aussi croyait que son fils
était tuberculeux et que, à moins que la guérison ne lui parvienne rapidement, il
mourrait.
Je suis retourné dans la salle d'audience ? et comme nous étions sur le point
de prier, je m'avançai jusqu'au bout de l'estrade et demandai à la mère de me remettre
la lettre. Le prenant dans mes mains, je me suis agenouillé pour prier, invitant tous
ceux qui étaient présents à se joindre à moi dans la foi en Dieu pour la délivrance de
l'homme.
Mon esprit a semblé monter en Dieu et j'ai perdu toute
conscience de mon environnement.
Soudain, je me suis retrouvé dans la maison de ce jeune homme
dans l'Iowa, à près de 10 000 milles de Johannesburg. L'homme était assis
près d'un poêle à charbon avec un petit garçon d'environ deux ans sur ses
genoux.
Je l'ai observé d'un œil critique et je me suis dit : Votre visage est
dur et ne montre aucun signe de développement de l'âme ou de vie
spirituelle, mais votre affection pour votre fils est une qualité rédemptrice.
Sa femme était assise de l'autre côté de la table, lisant un
magazine. En l'observant, je me suis dit : Quand il t'a eu, il a eu un
Tartare !
Debout derrière la chaise de l'homme, j'ai posé mes mains sur sa tête,
priant silencieusement Dieu de lui transmettre sa vertu de guérison et de
rétablir l'homme, afin qu'il bénisse le monde et que le cœur de sa mère
soit réconforté.
Il n'y avait aucune connaissance de mon retour. En un instant, j'ai
réalisé que j'étais agenouillé sur la plateforme de l'église. J'avais
prononcé une prière audible et l'Esprit de Dieu reposait profondément
sur le peuple.
Environ six semaines plus tard, on a appris que le jeune homme allait
plutôt bien. Son rétablissement avait commencé à la date exacte à laquelle
la prière avait été offerte pour lui dans notre église à 10 000 milles de là.
J'étais absent de la ville de Spokane pendant un certain temps, et quand je suis
revenu, Mrs. Lake n'était pas chez lui. Il était juste temps de partir pour mon service
de l'aprèsmidi quand quelqu'un est entré et a dit : « Votre secrétaire, Mme.
Graham, est à l'agonie. Ta femme est avec elle.
Immédiatement, je me suis précipité sur place. L'une des épouses de
mes ministres m'a rencontré à la porte et m'a dit : « Vous arrivez trop tard ?
elle est partie."
Au moment où j'entrai, le ministre sortait du
chambre. Il a dit: "Elle n'a pas respiré depuis longtemps."
Mais en regardant cette femme, j'ai pensé à la façon dont Dieu ToutPuissant
l'avaitelle ressuscitée de la mort trois ans auparavant ? comment Il lui avait
miraculeusement rendu son utérus, ses ovaires et ses trompes qui avaient été
enlevés lors d'opérations ? comment elle s'était mariée et avait conçu un enfant.
Lorsque ces pensées ont surgi, mon cœur s'est enflammé !
J'ai enlevé cette femme de l'oreiller et j'ai appelé Dieu pour le
éclairs du ciel pour anéantir le pouvoir de la mort et la délivrer. Je lui ai ordonné
de revenir et de rester. Elle est revenue après 23 minutes sans respirer !
Nous n'avons pas encore appris à rester en contact vivant avec les
puissances de Dieu. De temps en temps nos âmes s'élèvent, et nous voyons la
flamme de Dieu accomplir telle merveille et cela. Mais, bienaimés, JésusChrist
vivait en présence de Dieu à chaque heure du jour
et la nuit. Jamais une parole n'est sortie de la bouche de JésusChrist, sinon
celle qui était la Parole de Dieu. Il a dit : « Les paroles que je vous dis sont esprit
et vie » (Jean 6 : 63).
Lorsque vous et moi sommes perdus dans le Fils de Dieu et que les feux de
Jésus brûlent dans nos cœurs, comme ils l'ont fait dans le sien, nos paroles seront
les paroles de l'Esprit et de la vie. Il n'y aura pas de mort en eux.
Bienaimés, nous sommes en route.
Ayant une reconnaissance formelle en tant qu'étudiant en sciences, il
c'était mon privilège d'assister à des cliniques, ce que je faisais fréquemment.
À un moment donné, je me suis soumis à une série d'expériences. Il ne suffisait
pas de savoir que Dieu guérissait ? Je devais savoir comment Dieu guérissait.
J'ai visité l'une des grandes institutions expérimentales et me suis soumis
à une série d'expériences.
Tout d'abord, un instrument était attaché à ma tête. Cet instrument
avait un indicateur qui enregistrait les vibrations du cerveau.
J'ai commencé à répéter des choses comme le Psaume 23 pour apaiser le
esprit et réduire ses vibrations au point le plus bas. Puis j'ai répété le Psaume
31, le chapitre 35 d'Isaïe, le Psaume 91 et le discours de Paul devant Agrippa.
Après cela, je me suis lancé dans la littérature profane et j'ai récité
"Charge of the Light Brigade" de Tennyson et enfin "The Raven" de Poe
alors que je priais dans mon cœur qu'au moment psychologique, Dieu
oindrait mon âme du SaintEsprit.
Ma difficulté était qu'en récitant, je ne pouvais pas garder le
Esprit de venir sur moi. Quand j'ai fini avec « The Raven », les
responsables de l'expérience ont dit : « Vous êtes un phénomène.
Vous avez une gamme mentale plus large que n'importe quel être humain
que nous ayons jamais vu.
En réalité, ce n'était pas le cas. C'était à cause de l'Esprit de Dieu
continuait à venir sur moi à un tel degré que je pouvais sentir le
mouvement de l'Esprit en moi.
J'ai prié dans mon cœur, "Seigneur Dieu, si seulement Tu laisses l'Esprit
de Dieu viennent comme les éclairs de Dieu sur mon âme pendant deux
secondes, je sais qu'il va se passer quelque chose que ces hommes n'ont
jamais vu auparavant.
Alors que je récitais les dernières lignes du poème, soudain l'Esprit de
Dieu m'a frappé dans un éclat de louanges et de langues. L'indicateur sur
cet instrument a atteint sa limite et je n'ai pas la moindre idée de combien
il serait allé si cela avait été possible.
Les professeurs ont dit: "Nous n'avons jamais rien vu de tel!"
J'ai répondu: "Messieurs, c'est le SaintEsprit."
Dans la deuxième expérience, un puissant appareil à rayons X avec
des attachements microscopiques étaient connectés à ma tête. Le but
était de voir, si possible, quelle était l'action des cellules du cerveau.
J'ai procédé comme dans l'expérience précédente. Tout d'abord, je répétai
des passages de l'Ecriture apaisants, ceux calculés pour réduire l'action des
cellules du cortex à leur registre le plus bas possible. Ensuite, je suis allé aux
Écritures qui transmettaient des choses meilleures et plus riches jusqu'à ce
que j'atteigne le premier chapitre de Jean. Alors que je commençais à réciter
cela, les feux de Dieu ont commencé à brûler dans mon cœur.
Soudain, l'Esprit de Dieu vint sur moi comme auparavant, et le
l'homme qui était derrière moi m'a touché. C'était un signal pour moi de
garder cet équilibre d'âme jusqu'à ce que l'un après l'autre puisse regarder à
travers l'instrument.
Finalement, quand j'ai lâché prise, l'Esprit s'est calmé. Les professeurs ont dit :
"Pourquoi, mec, nous ne pouvons pas comprendre cela, mais les cellules du cortex
se sont incroyablement développées."
Je leur ai dit : « Messieurs, je veux que vous voyiez encore une chose.
Descendez à votre hôpital et ramenezy un homme qui a une
inflammation des os. Prenez votre instrument et attachezle à sa jambe. Laissez
suffisamment d'espace pour mettre ma main sur sa jambe. Vous pouvez
l'attacher des deux côtés.
Quand l'instrument était prêt, j'ai posé ma main sur la
2
tibia et j'ai prié comme Mère Etter mais le prie : pas de prière étrange,
cri de mon cœur à Dieu.
2Maria WoodworthEtter a commencé à prêcher dans le Midwest en
les années 1870 et a commencé à prier pour les malades en 1885
avec des résultats phénoménaux. Elle a prêché dans les années
1920. Certains la considèrent comme ayant eu le ministère le plus
miraculeux du XXe siècle.
J'ai dit : « Dieu, tue la maladie diabolique par Ta puissance. Laisser
l'Esprit agir en lui ? laissezle vivre en lui.
Alors j'ai demandé : « Messieurs, que se passetil ? Ils ont
répondu : "Chaque cellule répond."
C'est si simple : la vie de Dieu revient dans la partie qui est affligée ;
immédiatement le sang coule ? les cellules fermées et encombrées
répondent ; et le travail est fait ! C'est la science divine de Dieu.
Oh, bienaimés, lorsque vous priez, il se passe quelque chose en
vous ! Ce n'est pas un mythe ? c'est l'action de Dieu.
Le Dieu ToutPuissant, par l'Esprit, entre dans votre âme, prend possession
de votre cerveau et se manifeste dans les cellules corticales de votre cerveau.
Lorsque vous le souhaitez et que vous le voulez, consciemment ou
inconsciemment, le feu de Dieu la puissance de Dieu, cette vie de Dieu,
cette nature de Dieu est transmis à partir des cellules du cortex de votre
cerveau et palpite à travers vos nerfs jusqu'à votre personne, dans chaque
cellule de votre être – dans chaque cellule de votre cerveau, votre sang, votre
chair et vos os – dans chaque centimètre carré de votre peau, jusqu'à ce que
vous soyez vivant avec Dieu !
C'est la guérison divine.
Un jour, je me suis assis en train de parler au Père Seymour à Los Angeles. je
lui a parlé de l'incident suivant dans la vie d'Elias Letwaba, l'un de nos
prédicateurs indigènes en Afrique du Sud.
Je suis allé chez lui à la campagne un jour, et sa femme a dit : « Il n'est pas chez
lui. Un petit bébé est blessé et il prie pour cela.
Alors je suis allé à la hutte indigène, je me suis mis à genoux et j'ai rampé à
l'intérieur. J'ai vu Letwaba agenouillé dans un coin près de l'enfant.
J'ai dit : « Letwaba, c'est moi. Quel est le problème avec l'enfant?
Il m'a dit que la mère l'avait porté sur son dos dans une couverture, comme les
indigènes portent leurs enfants, et il est tombé. Il a dit: "Je pense que ça fait mal au
cou."
J'ai examiné le bébé et j'ai vu que son cou était cassé. Il tournerait d'un côté
à l'autre comme le cou d'une poupée. "Pourquoi, Letwaba, le cou du bébé est
cassé !"
Je n'avais pas confiance en un cou cassé, mais le pauvre vieux Letwaba ne
savait pas la différence. J'ai vu qu'il ne comprenait pas.
Il a discerné l'esprit de doute dans mon âme, et je me suis dit, je ne vais pas
interférer avec sa foi. Il sentira juste le doute généré par toutes les vieilles choses
traditionnelles que j'ai apprises, alors je vais sortir.
Je suis allé dans une autre hutte et j'ai continué à prier. Je me suis couché à
1 h du matin. À 3 h, Letwaba est entré.
J'ai dit: "Eh bien, Letwaba, qu'en estil du bébé?"
Il m'a regardé, avec tant d'amour et de douceur, et a dit: "Pourquoi,
mon frère, le bébé va bien ! Jésus guérit le bébé.
J'ai dit : « Le bébé va bien ! Letwaba, emmènemoi au bébé tout
de suite.
Nous sommes donc allés voir le bébé. J'ai pris la petite chose
noire sur mon bras et je suis sorti de la hutte en priant : "Seigneur, ôte
de mon âme toute chose maudite qui m'empêche de croire au Seigneur
JésusChrist."
Comme je racontais l'incident à M. Seymour, il a crié : « Gloire à Dieu,
mon frère ! Ce n'est pas de la guérison, c'est la vie !
Dans mon assemblée de Spokane, il y avait une chère petite
femme qui était aveugle depuis neuf ans. Elle avait reçu très peu
d'enseignements dans le sens de la foi en Dieu.
Alors qu'elle était assise à la maison un jour avec ses six
enfants, elle a découvert que sa sale brute de mari l'avait abandonnée,
elle et les enfants, les laissant mourir de faim. (Un être humain dégradé
est capable de choses qu'aucune bête ne fera, car une bête prendra soin
des siens.)
Vous pouvez imaginer l'effet que cela a eu sur son petit cœur. Elle
était écrasée, brisée, contusionnée et saignait.
Ils étaient tous assis ensemble sur leur porche
domicile. Elle rassembla ses enfants autour d'elle et se mit à prier.
Soudain, l'un d'eux s'est levé et a dit : « Oh, maman ! Il y a un homme qui monte
le chemin et il ressemble à Jésus ! Et oh, maman, il y a du sang sur ses mains
et du sang sur ses pieds !
Les enfants ont eu peur et ont couru autour de la maison. Au bout d'un moment,
le plus grand des enfants a regardé au coin de la rue et a dit: "Pourquoi, maman,
il pose ses mains sur tes yeux!" Et juste à ce momentlà, ses yeux s'ouvrirent.
C'est la puissance divine !
Il y a quelques années, il y avait un fermier dans l'Indiana qui était
un de mes amis. Son fils, alors qu'il se trouvait en Amérique du Sud,
avait contracté un terrible cas de fièvre typhoïde. Parce qu'il n'avait pas de soins
infirmiers appropriés, il a développé une grande fièvre endolorie de dix pouces de
diamètre.
Tout son abdomen a grandi avec une chair fière, une couche audessus de
l'autre jusqu'à ce qu'il y ait cinq couches. Une infirmière devait soulever ces
couches et les laver avec un antiseptique pour éloigner les asticots.
Quand il m'a exposé son abdomen pour prier pour lui, j'ai été choqué. Je
n'avais jamais rien vu de tel auparavant. Alors que je commençais à prier pour lui,
j'écartais largement mes doigts et posais ma main directement sur cette maudite
excroissance de chair fière. J'ai prié Dieu au nom de JésusChrist de faire sauter
la malédiction de l'enfer et de le brûler par la puissance de Dieu.
Après avoir prié, j'ai repris le train pour Chicago. Le jour suivant
J'ai reçu un télégramme disant : « Lake, la chose la plus inhabituelle est arrivée.
Une heure après votre départ, toute l'empreinte de votre main a été gravée dans
cette excroissance d'un quart de pouce de profondeur.
Vous parlez de la tension du ciel et de la puissance de Dieu ! Pourquoi, il
y a un éclair dans l'âme de Jésus ! L'éclair de Jésus guérit les hommes par son
éclair !
Le péché se dissout et la maladie s'enfuit lorsque la puissance de Dieu
approche !
Et pourtant, nous ergotons et nous nous demandons si JésusChrist est
assez grand pour répondre à nos besoins.
Abattez les barreaux !
Laissez Dieu entrer dans votre vie.
Au nom de Jésus, votre cœur ne se contentera pas d'une Pentecôte vide.
Mais votre âme réclamera la lumière de Dieu et l'éclair de Jésus pour inonder
votre vie !
Un jour, en tant que jeune homme, j'avais besoin d'une guérison céleste, mais
il n'y avait personne pour prier pour moi. Je n'étais même pas chrétien dans le
meilleur sens d'être chrétien. J'étais membre de l'église méthodiste et j'avais vu
Dieu guérir une âme chère qui m'était très chère.
Alors que j'étais assis seul, j'ai dit: "Seigneur, j'en ai fini avec le docteur et
le diable. J'en ai fini avec le monde et la chair. De
aujourd'hui en avant, je m'appuie sur le bras de Dieu.
Juste à ce momentlà, je me suis engagé envers Dieu, et Dieu
Le ToutPuissant a accepté ma consécration à Lui.
La maladie qui a failli me tuer et qui était restée gravée dans ma vie
pendant près de neuf ans était partie ! C'était une constipation chronique. Je
prendrais trois onces d'huile de ricin à une seule dose trois fois par semaine.
Le lieu de la force et le lieu de la victoire est le lieu de
consécration à Dieu. Cette victoire viendra quand un homme serre les dents et
dit : « Je vais avec Dieu par ici.
Il n'y a aucun homme vivant qui puisse définir les opérations de la foi dans le
cœur d'un homme. Mais une chose dont nous pouvons être sûrs : lorsque nous
nous coupons de toute autre aide, nous n'avons jamais trouvé le Seigneur Jésus
Christ défaillant. S'il y a des échecs, ce sont les nôtres, pas ceux de Dieu.
Edward Lion était un autochtone qui, jusqu'à il y a quelques années, ne
portait même pas de vêtements. Il était analphabète et ne savait absolument
rien de notre conception de l'érudition.
Mais Dieu a oint cet homme avec la foi de Dieu et une mesure du
SaintEsprit si intense qu'en une occasion où une multitude de malades
avaient été amenés dans une vallée, la puissance de Dieu est venue sur lui et
il est allé sur le flanc de la montagne, étendit ses mains sur les malades d'en
bas, et répandit son cœur à Dieu.
En une minute, des centaines ont été guéris ! Le pouvoir de guérison tomba
sur eux.
Il n'y a pas un tel exemple enregistré dans le Nouveau Testament.
Jésus a promis que les Derniers Jours seraient marqués par de plus grandes
œuvres que Luimême n'avait accomplies.
En 1912, j'étais pasteur du Tabernacle apostolique à Johannesburg,
en Afrique du Sud.
L'un des enseignements cardinaux de notre organisation était le ministère
de guérison par la foi en JésusChrist, le Fils de Dieu. Les malades ont été
amenés de toutes les parties du pays ? et des milliers ont été guéris par la
prière de la foi et l'imposition des mains de ceux qui ont cru.
Notre église vivait alors une grande période de bénédiction spirituelle et
de puissance. Diverses manifestations remarquables de l'Esprit se produisaient
couramment.
Lors d'un service du dimanche matin, avant que la prière publique ne
soit offerte, un membre de la congrégation s'est levé et a demandé que les
personnes présentes se joignent à la prière au nom de sa cousine au Pays de
Galles (à 7 000 milles de l'autre côté de la mer depuis Johannesburg), afin qu'elle
puisse être guérie. Il a déclaré que la femme était violemment folle et détenue
dans un asile au Pays de Galles.
Je me suis agenouillé sur la plateforme pour prier, et un degré inhabituel de
l'esprit de prière est venu sur mon âme, me faisant prier avec ferveur et
puissance. L'esprit de prière est descendu sur l'auditoire à
le même temps.
Les gens s'asseyaient habituellement sur leurs sièges et inclinaient la
tête pendant que la prière était offerte, mais à cette occasion, 100 personnes ou
plus dans différentes parties de la maison se sont agenouillées pour prier avec
moi. Je prononçais la prière audible? ils priaient en silence.
Une grande conscience de la présence de Dieu s'est emparée de
moi. Mon esprit s'éleva dans une grande conscience de domination spirituelle,
et je me sentis pour le moment comme si j'étais oint par l'Esprit de Dieu pour
chasser les démons.
Mes yeux intérieurs ou spirituels se sont ouverts. Je pouvais voir dans l'esprit
et a observé qu'il y avait un rayon de lumière apparente, accompagné
d'une puissance émouvante, venant de beaucoup de ceux qui priaient dans
l'auditoire.
Au fur et à mesure que la prière se poursuivait, ces rayons de lumière
provenant de ceux qui priaient augmentaient en nombre. Chacun d'eux a atteint
ma propre âme, apportant une impulsion croissante de puissance spirituelle
jusqu'à ce que j'aie semblé presque submergé par elle.
Pendant que cela se passait, je prononçais les mots de la prière avec une
grande force et une puissance spirituelle consciente.
Soudain, j'ai semblé hors du corps et, à ma grande surprise, j'ai observé
que je passais rapidement audessus de la ville de Kimberley, à 300 milles de
Johannesburg. J'étais ensuite conscient de la ville de Cape Town sur le littoral, à
des milliers de kilomètres. Ma prochaine conscience était de l'île de St. Hélène, où
Napoléon avaitil été banni ? puis le phare du CapVert sur la côte espagnole.
À ce momentlà, il me semblait que je traversais l'atmosphère en
observant tout, mais en me déplaçant avec une grande rapidité comme
l'éclair.
Je me souviens du passage le long des côtes de France, à travers le
Golfe de Gascogne, dans les collines du Pays de Galles. Je n'étais jamais
allé au Pays de Galles. C'était un nouveau pays pour moi ? et tandis que je passais
rapidement sur ses collines, je me suis dit : elles ressemblent aux collines du
Wyoming le long de la frontière du Dakota du Nord.
Soudain, un village est apparu. Il était niché dans une vallée profonde parmi les
collines. Ensuite, j'ai vu un bâtiment public que j'ai reconnu instinctivement comme
étant l'asile.
Sur la porte, j'ai remarqué un heurtoir à l'ancienne du XVIe siècle. Son
travail a attiré mon attention, et cette pensée m'a traversé l'esprit : Cela a
sans aucun doute été fait par l'un des vieux forgerons qui fabriquaient des
armures.
J'étais à l'intérieur de l'institution sans attendre que les portes s'ouvrent et me
présentais à côté d'un lit de camp sur lequel gisait une femme.
Ses poignets et ses chevilles étaient attachés aux côtés du lit.
Une autre sangle avait été passée sur ses jambes audessus des genoux, et une
seconde sur ses seins. Ceuxci devaient la retenir.
Elle secouait la tête et marmonnait de façon incohérente.
J'ai posé mes mains sur sa tête et, avec une grande intensité, j'ai
ordonné au nom de JésusChrist, le Fils de Dieu, que l'esprit démoniaque
qui la possédait soit chassé et qu'elle soit guérie par la puissance de
Dieu.
En un instant ou deux, j'ai observé un changement sur son visage. Il
s'est adouci et un regard d'intelligence est apparu.
Puis ses yeux se sont ouverts et elle m'a souri au visage. Je savais
qu'elle était guérie.
Je n'avais aucunement conscience de mon retour en Afrique du Sud.
Instantanément, j'étais conscient que j'étais toujours agenouillé en prière,
et j'étais conscient de tout l'environnement de mon église et du service.
Trois semaines passèrent. Ensuite, mon ami qui avait présenté la
demande de prière pour son cousin est venu me voir avec une lettre d'un
de ses proches, déclarant qu'une chose inhabituelle s'était produite.
Leur cousin, qui avait été interné pendant sept ans à l'asile du Pays de
Galles, s'était soudainement rétabli. Ils n'avaient aucune explication à
proposer. Les médecins ont dit que c'était une de ces choses
inexplicables qui se produisent parfois.
Elle allait parfaitement bien et était rentrée chez elle auprès de ses amis.
Après mon retour d'Afrique il y a quelques années, j'ai passé du
temps chez mon frère et ma sœur. Alors que nous étions assis ensemble
un jour, ma sœur a dit : « John, j'ai des voisins ici qui sont des Allemands
âgés et ils traversent une période très difficile.
« D'abord, le vieil homme est mort ? puis une des sœurs est morte. Cette
chose est arrivée, et cette chose est arrivée. Finalement, le fils, qui est constructeur
de navires, est tombé et a été transporté à l'hôpital. Maintenant, la gangrène s'est
installée ? ils disent que sa jambe doit être amputée.
"La vieille mère, une infirme rhumatismale, était assise dans un
fauteuil roulant pendant deux ans et demi et ne peut pas bouger.
Mon frère et moi avions eu une discussion à ce sujet
très chose. Jim, un type splendide – un professeur et bien éduqué – a dit : «
John, ne pensestu pas que ces choses sont toutes psychologiques ?
"Pas grandchose," disje.
Jim a dit: «Je pense que oui. Ne pensezvous pas que la guérison est un
démonstration du pouvoir de l'esprit sur la matière ?
J'ai dit non. Si c'était tout ce que c'était, vous pourriez donner une aussi bonne
démonstration que j'ai pu.
Au bout d'un moment, notre sœur a dit : « J'ai été de l'autre côté de la rue et j'ai pris
des dispositions pour que vous alliez prier pour ces gens.
J'ai dit: "D'accord. Jim, viens.
Quand nous sommes arrivés, j'ai demandé à la vieille dame : « Mère, depuis
combien de temps êtesvous dans ce fauteuil roulant ?
Elle a répondu : « Deux ans et demi. C'est terriblement dur. Pas
juste dur assis ici tout le temps, mais je souffre nuit et jour, sans aucun
moment de relaxation de ma souffrance aiguë pendant tout ce temps.
En l'écoutant, la flamme de Dieu est entrée dans mon âme. J'ai dit:
"Espèce de démon rhumatismal, au nom de JésusChrist, je vais t'effacer, si
c'est la dernière chose que je fais au monde!"
Lui imposant les mains, j'ai regardé vers le ciel et j'ai demandé à Dieu de
chasser ce démon et de la libérer.
Alors je lui ai dit : « Maman, au nom de JésusChrist, va
lèvetoi de ta chaise et marche !
Et elle s'est réveillée et a marché !
Mon frère a dit: "Mon Dieu, ça bat le diable."
J'ai répondu: "C'est l'intention!"
Nous sommes allés dans une autre pièce pour voir le fils dont la jambe devait
être amputée. Je me suis assis pendant quelques minutes et lui ai parlé de la
puissance de Dieu. J'ai dit: "Nous sommes venus à vous avec un message de
JésusChrist, et nous ne sommes pas simplement venus avec le message, mais
avec la puissance de Dieu."
Et posant mes mains sur le membre, j'ai dit: "Au nom du Dieu vivant, ils
n'amputeront jamais ce membre!"
La jambe était guérie.
Après environ six mois, je me suis de nouveau arrêté chez ma sœur.
La jeune femme de l'autre côté de la rue a appelé et a dit : « Vous devez
traverser et voir ma mère et mon frère. Ils vont si bien.
Quand j'ai appelé, j'ai trouvé que la vieille dame était très heureuse. J'ai posé
des questions sur son fils. Elle a dit : « Oh, Jake, il n'est pas à la maison. Eh bien, il
va si bien qu'il est descendu au saloon et a dansé toute la nuit !
J'ai attendu de voir Jake et j'ai essayé de lui dire quelque chose sur le Dieu vivant
qu'il avait ressenti dans son corps et qui voulait prendre possession de son âme et
révéler la nature de JésusChrist en lui.
Cinq années ont passé. Lorsque je me suis de nouveau arrêté chez ma
sœur, elle a dit : « Vous souvenezvous des personnes pour lesquelles vous avez
prié de l'autre côté de la route ? Voici Jake maintenant, qui revient du travail.
Nous nous sommes assis sur le porche et avons parlé. J'ai dit: "Eh bien, Jake, comment
ça va?"
"Oh," ditil, "je ne comprends pas tout, mais quelque chose a
s'est passé. C'est en moi. D'abord, je ne pouvais pas aller au bal.
Ensuite, je ne pouvais pas boire de bière? alors mon tabac n'avait pas bon
goût? puis une joie est venue dans mon cœur. J'ai découvert que c'était Jésus.
Cet homme était né de Dieu—sa nature avait été unie à Dieu par le Saint
Esprit. Béni soit son précieux nom !
Quelques jours après mon arrivée à Johannesburg, le
surintendant d'une des grandes sociétés missionnaires a dit : "Notre pasteur
indigène, qui a l'église à quelques portes de chez vous, doit partir pour six
semaines. Occuperezvous la chaire de l'église indigène jusqu'à ce que vous
soyez prêt à entreprendre votre propre travail ?
C'était la première porte de Dieu. J'ai tout de suite accepté !
Le dimanche aprèsmidi, j'ai prêché à une congrégation de 500 Zoulous par
l'intermédiaire d'un interprète compétent, une femme missionnaire qui avait
vécu parmi les Zoulous pendant 30 ans.
Au fur et à mesure que la réunion avançait, une condition spirituelle s'est
développée presque semblable au silence redouté le silence profond qui
imprègne l'atmosphère précédant un cyclone.
Cette condition dans l'Esprit atteignit soudain son apogée alors que, par un seul
impulsion, le public indigène se mit à prier. Tout le monde a prié, saints et
pécheurs, mais personne n'est venu à l'autel. Aucune invitation n'a été
donnée.
Dieu était venu avec une conviction écrasante pour le péché, et nous avons
été impressionnés que ce n'était pas l'esprit de Dieu de commencer à moissonner
jusqu'à ce que Dieu luimême enfonce la faucille.
Je ressens, à partir de l'expérience de la vie en tant que prédicateur du Saint
Esprit, que de grands dommages sont causés en n'attendant pas une réelle
maturité de l'œuvre du SaintEsprit dans l'âme d'un auditoire. Très souvent, une
invitation est donnée et une pression est exercée sur le
public pour amener les âmes à l'autel avant que la maturité de conviction de
Dieu pour la repentance ne soit complète.
À la fin de la réunion, mon interprète a déclaré : « Dans toute mon
expérience missionnaire, je n'ai jamais vu un tel esprit de prière chez un auditoire
autochtone.
La réunion suivante a eu lieu à 19 heures ce soirlà. Un calme paisible
régnait dans la réunion – Dieu sondait les cœurs.
J'ai prêché sur la repentance : la vraie repentance, la repentance au
centuple, la repentance du SaintEsprit, la métanoïa du ciel la plénitude de
la séparation d'avec le monde, son péché et son esprit, comme Jésus s'est
séparé pour toute justice au Jourdain. (Mat. 3:1315.)
Soudain, un homme se leva au fond du public et se dirigea vers
l'autel. Lorsqu'il fut à environ dix pieds de l'autel, l'Esprit du Seigneur le frappa
et il tomba à plat ventre.
Un autre homme s'est réveillé et a marché calmement et régulièrement vers le
de face. Lorsqu'il arriva là où le premier homme était tombé, l'Esprit du
Seigneur le frappa et il tomba sur le No. 1!
L'un après l'autre, ils commencèrent à s'avancer. Chacun dans
tour tomba au même endroit jusqu'à ce que quinze hommes s'entassent les
uns sur les autres.
C'était une nuit chaude et étouffante. J'étais troublé parce que tout de suite
au bas de la pile se trouvait un petit homme couché sur le visage. L'homme suivant était
allongé sur lui, pressant le visage du premier contre le sol, et j'avais peur qu'il s'étouffe.
Je n'avais jamais été témoin d'une telle situation auparavant. j'avais vu
de nombreuses manifestations merveilleuses de Dieu, mais aucune comme celleci.
Bientôt, ma sympathie humaine pour le petit bonhomme au bas de la pile m'envahit. Je
me suis baissé et j'ai essayé d'arracher deux ou trois de ces hommes à lui ? mais ils étaient
tellement entassés les uns sur les autres, qu'il semblait impossible de l'atteindre.
L'Esprit du Seigneur a parlé dans mon âme et a dit : « Si Dieu
les a tués, ne pouvezvous pas lui faire confiance pour les empêcher de s'étouffer ?
J'ai répondu : « Excusezmoi, Seigneur », et je suis retourné à ma place sur l'estrade.
Mon interprète était très troublé. Elle a dit : "Dr. Lac, qu'allezvous faire maintenant ? »
J'ai répondu : « Le Seigneur fait cela. Nous allons juste attendre et voir
ce que fait le SaintEsprit et apprenez comment Il le fait.
Souvenezvous, soeur, Il a fait connaître Ses voies à Moïse, Ses actes aux enfants
d'Israël. (Ps. 103:7.) Nous avons vu ses actes – des actes étranges. Peutêtre pouvons
nous maintenant apprendre ses voies.
Nous nous sommes assis tranquillement. En une quinzaine de minutes, l'un des prostrés
les hommes ont commencé à confesser son péché à tuetête. C'était une
confession d'âme sans réserve d'une telle minutie évidente !
Peu de temps après, il s'est réveillé avec la lumière de Dieu sur son visage et
est retourné à son siège.
À ce momentlà, un autre homme confessait, puis un autre et un autre,
jusqu'à ce que les quinze hommes aient versé leur âme à Dieu et soient
retournés à leurs sièges.
J'ai indiqué à l'interprète que je voulais qu'on m'amène le premier
homme (le petit bonhomme pour lequel j'avais été affligé) pour que je puisse
l'interroger.
C'était un natif zoulou qui travaillait pour une famille hollandaise. Ils
lui avait donné un nom hollandais, Willum.
J'ai dit : « Willum, dismoi : que s'estil passé pendant que tu étais allongé
par terre ?
Il m'a dit en hollandais, "Oh, patron, (c'était la manière dont l'indigène
s'adressait toujours à un homme blanc) pendant que j'étais étendu sur le sol,
Jésus est venu vers moi, et Jésus a dit, 'Willum, je prends tout ton péchés
loin.' Et Jésus s'en alla. Puis Jésus est revenu.
Et Jésus a posé sa main sur mon cœur, l'a déplacée de haut en bas et a dit :
'Willum, je rends ton cœur tout blanc.'"
Willum me regarda en face. Il a été tout glorifié par la lumière du ciel
jusqu'à ce que son visage soit comme le visage d'un ange. Il a dit : « Mon
cœur tout blanc ! Mon cœur tout blanc !
Lui et son ami sont restés dans l'église et ont chanté toute la nuit.
A 6 heures le lendemain matin, ils se rendirent tous les deux à leur travail.
Mercredi soir, ma femme et moi nous sommes assis ensemble sur
l'estrade. Willumand son ami est venu tôt et s'est assis sur le devant
siège.
Mme. Lake a demandé: "John, qui est le garçon assis sur le siège avant?"
J'ai répondu : "C'est le garçon qui m'a tellement impressionné dimanche
soir."
"Jean, Jésus m'a dit tout à l'heure si j'imposais les mains
ce garçon, Il le baptiserait du SaintEsprit.”
"Alors va le voir une fois."
Elle lui imposa les mains. En trois minutes, il était rempli de
le SaintEsprit, parlant en langues, glorifiant Dieu et prophétisant.
Près d'une ville sudafricaine dans laquelle j'exerçais mon ministère, il y
avait des collines avec des affleurements rocheux comme une série de
falaises, les unes audessus des autres. Je monterais dans ces collines pour
être seul et me reposer.
Un jour, j'ai observé une dame amenant un jeune enfant et le plaçant
sur l'une des étagères audessus d'une petite falaise. Elle a laissé à l'enfant
de la nourriture et de l'eau. Il semblait dangereux de
faire, car l'enfant pourrait tomber et se blesser. Cependant, j'ai observé
que l'enfant était infirme et ne pouvait pas se déplacer.
Un jour, une femme est venue dans les salles de guérison de l'ancien
bâtiment Rookery à Spokane. Elle ne pouvait pas lever le bras. Elle a dit qu'elle
avait une plaie ouverte sur le côté et qu'elle ne pouvait obtenir aucune aide des
médecins. Elle a ajouté qu'elle n'avait aucune foi – dans les médecins, dans
l'homme, en Dieu ou en JésusChrist – mais m'a demandé si je pouvais l'aider.
J'ai prié pour elle trois fois sans résultat. Après la troisième fois, j'ai dit à
Dieu : « Dieu, son âme est fermée. Ouvre son âme pour qu'elle puisse recevoir.
Le lendemain matin, alors qu'elle coiffait ses cheveux, elle découvrit
qu'elle utilisait le mauvais bras et qu'elle l'avait relevé jusqu'à sa tête. Elle sentit
son flanc et la plaie ouverte avait disparu.
Aussitôt, elle nous a téléphoné pour nous en parler.
J'ai dit: «Sœur, descends ici. Il y a des gens qui attendent d'entendre votre
témoignage.
Quelle quantité de foi Dieu exigetil de la personne qui vient demander ?
Une phrase finale d'une interprétation des langues donnée dans
1910, à Somerset, East Cape Colony, Afrique du Sud :
"Le Christ est à la fois la descente sans tache de Dieu dans l'homme, et
l'ascension sans péché de l'homme vers Dieu, et le SaintEsprit est
l'agent par lequel cela est accompli.
Un esprit saint ne peut pas répéter une chose vile, ni être le créateur de
une vile suggestion. C'est un esprit impie qui est capable d'un tel acte. Je
dis avec Paul, "Remarquez une telle personne" (Romains 16:17). Il peut
parler, mais il ne connaît pas Dieu. Il ne comprend pas la puissance du
salut, et il n'est pas non plus le possesseur du SaintEsprit.
Chapitre deux : Comment le Seigneur
M'a envoyé en Afrique du Sud
J'avais prévu d'aller en Afrique quand j'étais petit. Je l'attendais
avec impatience tout au long de ma jeune virilité. Peu de temps
après mon baptême dans le SaintEsprit, une œuvre de l'Esprit a
commencé en moi qui semblait avoir pour but la révélation de la nature
de JésusChrist à moi et en moi.
Par cette tutelle et ce remodelage de l'Esprit, une grande
tendresse pour l'humanité s'est éveillée dans mon âme. J'ai vu
l'humanité avec de nouveaux yeux. Ils me semblaient errants au milieu
de la confusion, s'étant éloignés, tâtonnant et errant çà et là. Ils
n'avaient pas de but précis et ne semblaient pas comprendre quelle
était la difficulté, ni comment retourner à Dieu.
Le désir de proclamer le message du Christ et de
démontrer son pouvoir de sauver et de bénir a grandi dans mon âme,
jusqu'à ce que ma vie soit influencée par cette passion irrésistible.
Cependant, mon cœur était partagé. Je ne pouvais pas
suivre avec succès les poursuites ordinaires de la vie et des affaires.
Lorsqu'un homme entrait dans mon bureau, bien que je sache que vingt
ou trente minutes de concentration sur l'affaire en cours me rapporteraient
peutêtre des milliers de dollars, je ne pouvais pas discuter d'affaires
avec lui.
Grâce à un nouveau pouvoir de discernement, je pouvais voir son âme
et comprendre sa vie intérieure et ses motivations. Je l'ai reconnu comme l'une
de ces brebis errantes et j'ai aspiré avec un désir irrésistible de l'aider à trouver
Dieu et à se trouver.
Cette division dans mon âme entre les intérêts commerciaux et le désir d'aider
les hommes à trouver Dieu est devenue intense. Dans de nombreux cas, ce qui
aurait dû être une entrevue d'affaires réussie et la conclusion d'une grande
transaction commerciale s'est terminée par une réunion de prière. J'inviterais
l'individu à s'agenouiller avec moi pendant que je déversais mon cœur à Dieu en
son nom.
J'ai décidé d'en discuter avec le président de mon pays
compagnie et lui ai dit franchement l'état d'âme dans lequel je me trouvais
et sa cause.
Il a gentiment répondu : « Vous avez travaillé dur, Lake. Tu as besoin d'un
monnaie. Prendre des vacances pendant trois mois. Si vous voulez
prêcher, prêchez. Mais à la fin des trois mois, 50 000 $ par an vous sembleront
beaucoup d'argent, et vous aurez peu envie de le sacrifier pour des rêves de
possibilités religieuses.
Je l'ai remercié, j'ai accepté une invitation à rejoindre un frère dans
travail d'évangélisation, et a quitté le bureau, pour ne jamais revenir.
Pendant ces trois mois, j'ai prêché chaque jour à de grandes assemblées,
j'ai vu une multitude de personnes sauvées de leurs péchés et guéries de leurs
maladies, et des centaines d'entre elles baptisées dans le SaintEsprit. À la fin
des trois mois, j'ai dit à Dieu : « J'en ai fini pour toujours avec tout dans la vie
sauf le
la proclamation et la démonstration de l'Evangile de JésusChrist.
J'ai disposé de ma succession, distribué mes fonds de manière à être dans l'intérêt
supérieur du Royaume de Dieu, je me suis rendu entièrement dépendant de Dieu pour le
soutien de moimême et de ma famille, et je me suis abandonné à la prédication de Jésus.
Alors qu'il exerçait son ministère dans une ville du nord de l'Illinois, le garçon de corvée
à l'hôtel où nous séjournions a demandé de l'aide pour scier un grand arbre. Je me suis
porté volontaire pour l'aider. Comme nous l'avons vu, l'Esprit du Seigneur a parlé dans
mon esprit clairement et distinctement : « Va à Indianapolis. Préparezvous pour une
campagne d'hiver. Obtenez une grande salle. Au printemps tu iras en Afrique.
(Tout est arrivé. C'est le pouvoir. Le pouvoir se manifeste de plusieurs façons. Il y
a un pouvoir de la foi qui attire à vous ce qui semble impossible.)
Je suis retourné à l'hôtel et j'ai raconté l'incident à ma femme. Elle a dit: "J'ai su il y a
plusieurs jours que ton travail ici était terminé, car pendant que je priais, l'Esprit m'a dit:
'Ton mari s'en va.'"
Je suis allé à Indianapolis et le Seigneur a dirigé dans un merveilleux
façon. En quelques jours, j'avais sécurisé une grande salle et j'avais commencé
les services, comme il l'avait ordonné.
Un jour du mois de février suivant (après que j'aie prêché un certain temps), mon
partenaire de prédication m'a dit : « John, combien cela coûteratil d'emmener notre
groupe à Johannesburg,
Afrique?"
J'ai répondu: "Deux mille dollars."
"Eh bien, si nous allons en Afrique au printemps, c'est à ce momentlà
toi et moi priions pour l'argent.
« Tom, j'ai prié pour l'argent depuis le Nouvel An. Je n'ai pas entendu
parler du Seigneur ou
de quelqu'un d'autre à ce sujet.
"Peu importe. Prions encore.
Nous sommes allés dans la chambre de Tom et nous nous sommes agenouillés près de son lit
prière.
Au bout d'un moment, il m'a donné une tape dans le dos en disant : « Ne
priez plus, John. Jésus m'a dit tout à l'heure qu'il nous enverrait ces
deux mille dollars, et ce serait ici dans quatre jours.
Quatre jours plus tard, Tom est revenu du bureau de poste et a jeté sur la
table quatre traites de 500 $ en disant : « John, voilà la réponse. Jésus l'a
envoyé. Nous allons en Afrique.
Le don d'argent avait été envoyé à Tomby un ami avec une lettre. La
lettre disait : "J'étais à la banque à Monrovia, en Californie, et quelque chose
m'a dit : 'Envoie deux mille dollars à Tom Hezmalhaltz.' C'est à toi, Tom, quel
que soit le but que Dieu t'a montré.
Je n'ai jamais su qui avait écrit la lettre, car il souhaitait que personne d'autre
ne le sache.
Nous sommes sortis tout de suite et avons acheté les billets pour l'ensemble
groupe pour voyager d'Indianapolis, Indiana, à Johannesburg, Afrique du Sud.
Nous étions douze, ma famille de huit personnes et quatre autres.
Nous avions nos billets pour l'Afrique, mais il y aurait bien d'autres dépenses en
cours de route. Je n'avais que 1,50 $ en main.
Alors que notre train quittait la gare d'Indianapolis, un jeune homme qui
avait travaillé comme secrétaire a couru le long du train et a jeté un billet de deux
dollars par la fenêtre. Cela nous a donné un total de 3,50 $.
Une jeune femme, qui avait été l'une de nos ouvrières, voyageait avec
nous jusqu'à Detroit, Michigan. J'avais besoin de 10 $ pour lui acheter un billet
pour le nord du Michigan.
Pendant que nous roulions, j'ai dit à ma femme : « Jen, quand nous
arriverons à Détroit, j'aurai besoin de 10 $ pour le billet de train de Winnie ? Mais
je n'ai pas d'argent." Nous avons donc incliné la tête et prié.
Nous avons toujours suivi cette pratique concernant nos besoins. Nous n'avons
jamais dit à personne quels étaient nos besoins, mais nous l'avons toujours dit au
Seigneur.
Quand nous sommes arrivés à Detroit, mon frère et ma sœur mariée étaient
là pour nous rencontrer et avec eux se trouvait mon jeune frère,
Jim.
Alors que je descendais du train, Jim m'a pris par le bras et a marché
à travers la gare avec moi. Puis il a dit : « John, j'espère que tu ne seras pas
fâché, mais j'aimerais te donner ceci », et il a sorti de son portefeuille un billet de dix
dollars et l'a glissé dans la poche de ma veste.
Je le remerciai, fis demitour et allai acheter le billet de Winnie.
J'avais encore 3,50 $. Nous avons acheté des haricots en conserve et
d'autres produits comestibles que nous avons utilisés dans le train en route vers St.
John's, NouveauBrunswick.
Quand nous sommes finalement arrivés au bateau pour Liverpool, j'avais 1,25 $
la gauche. À bord, j'ai donné 50 ¢ au steward de table et 50 ¢ au steward de
chambre. Quand nous sommes arrivés en Angleterre, j'avais encore 25 ¢.
Nous restâmes cinq jours à Liverpool aux frais de la compagnie de transport,
attendant le second navire. Un jour Mme. Lake m'a dit: "Et notre lessive?"
J'ai répondu: «Envoyezle. Je n'ai pas d'argent, mais peutêtre que le Seigneur
nous rencontrera avant que nous ayons besoin de l'obtenir. Étant très occupé, je l'ai
complètement oublié.
La dernière nuit de notre séjour à Liverpool, juste après que je me sois retiré
vers minuit, ma femme a dit : « Et la lessive ?
J'ai répondu: "Je suis désolé, mais j'ai oublié."
« Comme un homme ! Maintenant, je vais vous en parler. je savais que tu ne le savais pas
avoir de l'argent, moi non plus. Alors j'ai prié à ce sujet. Après avoir prié, j'ai senti
que je devais descendre à la laverie et m'enquérir du montant de la facture. C'était 1,65
$. En rentrant à l'hôtel, j'ai croisé un monsieur dans la rue. Il a dit, 'Pardonnezmoi, mais
je sens que je devrais vous donner ceci.' Il m'a remis un certain nombre de pièces. Je
suis retourné à la laverie, j'ai compté jusqu'au blanchisseur et j'ai découvert que c'était
juste le montant de la facture.
Nous nous sommes réjouis de cette petite preuve de la présence de Dieu avec nous.
Le lendemain matin, nous sommes partis en train pour Londres et ce soirlà,
nous avons embarqué sur notre bateau pour l'Afrique du Sud.
A cette époque, j'avais un shilling anglais. Lorsque notre navire s'est arrêté
à Madère, l'une des îles Canaries, j'ai acheté pour un shilling de fruits pour les enfants,
et le dernier centime
était parti.
Grâce à ma connaissance des lois sur l'immigration d'Afrique du Sud, je savais
qu'avant que nous ne soyons autorisés à atterrir, je devais montrer à l'inspecteur de
l'immigration que je possédais au moins 125 $.
Nous avons prié avec ferveur à ce sujet. Au moment où nous avons atteint
l'équateur, un repos est venu dans mon âme à ce sujet, et je ne pouvais plus prier.
Environ huit ou dix jours plus tard, nous sommes arrivés au port du Cap et
notre navire a jeté l'ancre. L'inspecteur de l'immigration est monté à bord et les passagers
ont fait la queue au bureau du commissaire de bord.
présenter leur argent et recevoir leurs billets pour atterrir.
Ma femme a dit: "Qu'estce que tu vas faire?"
"Je vais m'aligner avec les autres. Nous avons obéi à Dieu jusqu'ici. Il
appartient maintenant au Seigneur.
Alors que je faisais la queue, attendant ma chance d'expliquer notre
dilemme, un autre passager m'a soudainement tapé sur l'épaule et m'a
indiqué que je devais sortir de la ligne et marcher vers la rambarde du navire
pour lui parler. Il m'a posé quelques questions, puis il a tiré de sa poche un
carnet de voyage. Il m'a remis deux mandats totalisant 42 livres sterling, soit
200 dollars.
Il a dit: "Je me sens amené à donner ceci pour aider votre travail."
Johannesburg se trouve à 1 000 milles à l'intérieur des terres du Cap.
Tout au long du voyage, nous avons sincèrement prié au sujet d'une maison. En
tant que missionnaires de la foi, nous n'avions ni conseil d'administration ni amis
derrière nous pour fournir de l'argent. Nous dépendions de Dieu. Plusieurs fois
pendant le voyage à Johannesburg, nous avons incliné la tête et rappelé à Dieu
que lorsque nous arriverions làbas, nous aurions besoin d'une maison.
A notre arrivée, alors que nous mettions pied à terre, j'ai observé un peu
femme qui s'affairait, que j'ai tout de suite reconnue comme étant une
Américaine.
Elle s'est approchée de Tomand a dit: "Vous êtes un Américain
parti missionnaire ?
Il a répondu: "Oui."
« Combien êtesvous dans votre groupe ? »
"Quatre".
"Non," ditelle, "vous n'êtes pas la famille. Y atil quelqu'un d'autre ?
Il a dit oui. M. Lac."
Se tournant vers moi, elle a dit : « Combien y en atil dans ta famille ?
J'ai répondu: "Ma femme, moimême et sept enfants seulement."
"Oh," ditelle, "vous êtes la famille."
« Qu'y atil, madame ? »
"Alors que je priais hier soir, Dieu m'a dit de rencontrer ce bateau,
et il y aurait làdessus un missionnaire américain avec une famille de
neuf personnes, composée de deux adultes et de sept enfants, et que je
devais leur donner à la maison.
A 15 heures ce même aprèsmidi, nous étions dans un cottage meublé
à Johannesburg. Dieu nous avait fourni la maison.
Notre bienaimée bienfaitrice était une missionnaire américaine, Mrs.
CL Assez bien. Elle est restée notre amie bienaimée et notre collaboratrice
dans le Seigneur.
Et c'est ainsi que nous sommes arrivés en Afrique.
Chapitre 3 : Comment j'en suis arrivé là
Consacrer ma vie au ministère de la
guérison
Personne ne peut comprendre la formidable emprise de la révélation
de Jésus en tant que guérisseur d'aujourd'hui a pris ma vie et ce que cela
signifiait pour moi, à moins qu'ils n'aient d'abord compris mon environnement.
J'étais l'un des 16 enfants. Nos parents étaient des gens forts, vigoureux et
en bonne santé. Ma mère est décédée à l'âge de 75 ans, et mon père vit toujours
au moment d'écrire ces lignes (mars 1918) et a 77 ans.
Avant ma connaissance et mon expérience du Seigneur en tant que
notre Guérisseur, nous avons enterré huit membres de la famille. Une étrange
série de maladies, entraînant la mort, avait suivi la famille. Pendant 32 ans, un
membre de notre famille était invalide. Durant cette longue période, notre foyer
n'a jamais été exempt de l'ombre de la maladie.
En repensant à mon enfance et à ma jeunesse, des souvenirs me
viennent à l'esprit comme un cauchemar : maladie, médecins, infirmières,
hôpitaux, corbillards, funérailles, cimetières et pierres tombales ; un foyer en
deuil ? une mère au cœur brisé et un père accablé de chagrin, luttant pour
oublier les chagrins du passé, afin d'aider les membres vivants de la famille qui
avaient besoin de leur amour et de leurs soins.
Lorsque Christ nous a été révélé comme notre Guérisseur, mon frère...
qui avait été invalide pendant 22 ans, sur qui son père avait dépensé une
fortune pour une assistance médicale inutile, était en train de mourir.
Il saignait sans cesse de ses reins et était maintenu en vie grâce à
l'assimilation d'aliments générateurs de sang, qui produisaient du sang
presque aussi vite qu'il coulait de sa personne. Je n'ai jamais vu d'homme
souffrir aussi fort et aussi longtemps que lui.
Une sœur, âgée de 34 ans, se mourait alors de cinq cancers au sein gauche.
Avant d'être refoulée pour mourir, elle avait été opérée cinq fois dans un grand
hôpital de Detroit, Michigan, par un chirurgien allemand de renom. Après les
opérations, quatre autres "têtes" se sont développées, faisant cinq cancers en
tout.
Une autre sœur gisait en train de mourir d'une perte de sang. Jour après
jour, son sang a coulé jusqu'à ce qu'elle soit dans les affres de la mort.
Dans ma propre vie et les circonstances, il y avait des conditions
similaires. Je m'étais marié et établi ma propre maison? mais très peu de
temps après le mariage, le même train de conditions qui avait suivi la famille
de mon père sembla apparaître dans la mienne. Ma femme est devenue
invalide à cause d'une maladie cardiaque et de la tuberculose. Elle perdrait son
activité cardiaque et tomberait dans l'inconscience.
Parfois, je la trouvais allongée inconsciente sur le sol ou dans son lit, après
avoir été soudainement frappée.
Des stimulants de plus en plus forts sont devenus nécessaires pour
raviver son cœur jusqu'à ce que nous utilisions des comprimés de nitroglycérine
dans un effort final et héroïque pour stimuler l'action de son cœur.
Après ces crises cardiaques, elle resterait dans un état semiparalytique
état pendant des semaines (résultat d'une stimulation excessive, selon les
médecins).
Mais soudain, au milieu des ténèbres les plus profondes, lorsque des
médecins déconcertés ont pris du recul et ont reconnu leur incapacité à aider,
lorsque le nuage de ténèbres et de mort planait à nouveau audessus de la famille
le message d'un ministre pieux, assez grand et assez vrai pour Dieu pour proclamer
toute la vérité de Dieu, a apporté la lumière de Dieu à nos âmes !
Nous avons emmené notre frère mourant dans une maison de guérison à
Chicago, où la prière a été offerte pour lui avec l'imposition des mains.
Il a reçu une guérison instantanée et s'est levé de son lit de mort en homme bien
portant. Il a marché quatre milles, est rentré chez lui et s'est occupé des affaires de
notre père.
Une grande joie et une merveilleuse espérance ont germé dans nos cœurs !
Une véritable manifestation de la puissance de guérison de Dieu était devant nous.
Nous nous sommes rapidement arrangés pour emmener notre sœur qui
souffrait de cancers dans le même Healing Home. Nous avons dû l'emmener làbas
sur une civière. Alors que nous l'emmenions dans la réunion de guérison, elle parlait
dans son âme. D'autres peuvent être guéris parce qu'ils sont si bons, mais je crains
que la guérison ne soit pas pour moi. Cela semblait plus que ce que son âme pouvait
saisir.
Mais après avoir écouté depuis son berceau la prédication et l'enseignement
de la Parole de Dieu sur la guérison par JésusChrist, l'espoir a jailli dans son
âme. On a prié pour elle et les mains lui ont été imposées. Alors que la prière de
la foi s'élevait vers Dieu, la puissance de Dieu
descendit sur elle, excitant son être. Sa douleur a instantanément disparu ! Le
gonflement a disparu progressivement. Le gros cancer du noyau est devenu noir et est
tombé en quelques jours. Les plus petits ont disparu. Le sein mutilé a commencé à repousser
et il est redevenu un sein parfait.
Comme nos cœurs ont vibré ! Les mots seuls ne peuvent raconter cette histoire !
Une nouvelle foi a surgi en nous. Si Dieu pouvait guérir notre frère mourant et notre sœur
mourante, faisant disparaître les cancers, Il pourrait guérir n'importe quoi ou n'importe qui !
Ensuite, notre sœur avec une perte de sang a commencé à se tourner vers Dieu
pour sa guérison. Elle et son mari étaient de fervents chrétiens, et bien qu'ils aient prié,
leurs prières ont semblé sans réponse pendant un certain temps. Puis, une nuit, j'ai reçu
un coup de téléphone et on m'a dit que si je voulais la voir dans cette vie, je devais venir
à son chevet tout de suite.
En arrivant, j'ai découvert que la mort était déjà sur elle. Elle
était passé à l'inconscience. Son corps était froid. Aucun pouls n'était perceptible.
Nos parents se sont agenouillés, pleurant à côté de son lit, et son mari s'est agenouillé
au pied du lit, dans la douleur.
Son bébé gisait dans son berceau.
Un grand cri, tel qu'il n'en était jamais sorti de mon âme, monta vers Dieu. Elle ne
doit pas mourir ! je ne l'aurais pas! Le Christ n'étaitil pas mort pour elle ? La puissance de
guérison de Dieu n'avaitelle pas été manifestée pour les autres, et ne devraitelle pas
également être guérie ?
Aucun de mes mots ne peut transmettre à une autre âme le cri que mon cœur
et la flamme de haine pour la mort et la maladie que l'Esprit de Dieu avait allumés
en moi. La colère même semblait posséder mon âme !
Après avoir télégraphié à des amis croyants, nous avons fait appel à Dieu.
J'ai réprimandé le pouvoir au nom de JésusChrist. En moins d'une heure, nous nous
sommes réjouis de voir l'évidence du retour à la vie. Ma soeur a été complètement
guérie! Cinq jours plus tard, elle est venue chez mon père et a rejoint la famille pour
le dîner de Noël.
Ma femme, qui mourait lentement depuis des années, souffrant
agonies indicibles, fut le dernier des quatre à recevoir la touche de guérison
de Dieu. Mais, oh, avant que la puissance de Dieu ne vienne sur elle, j'ai réalisé
comme jamais auparavant le caractère de consécration que Dieu demandait et ce
qu'un chrétien devrait donner à Dieu.
Jour après jour, la mort l'envahit silencieusement. Puis vinrent les dernières
heures. Un frère ministre qui était présent s'est approché et s'est tenu à son chevet.
Puis, revenant vers moi, les larmes aux yeux, il me dit : « Réconciliezvous pour laisser
mourir votre femme.
J'ai pensé à mes bébés. Je pensais à celle que j'aimais comme mienne
propre âme, et une flamme brûlait dans mon cœur. J'avais l'impression que Dieu
avait été insulté par une telle suggestion ! Pourtant j'avais beaucoup de choses à
apprendre.
Au milieu de ma tempête d'âme, je suis rentré chez moi, j'ai récupéré mon
Bible de la cheminée et la jeta sur la table. Si Dieu faisait ouvrir la Bible d'un
homme à un message dont son âme avait besoin,
Il l'a sûrement fait alors pour moi.
Le Livre s'est ouvert au chapitre 10 des Actes, et mes yeux
est tombé sur le verset 38, qui se lit comme suit : "Dieu a oint Jésus de
Nazareth du SaintEsprit et de puissance, qui allait de lieu en lieu faisant du
bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l'empire du diable ; car Dieu
était avec lui.
Comme un éclair venu du bleu, ces mots m'ont transpercé le cœur :
Opprimé du diable ! Donc, Dieu n'était pas l'auteur de la maladie !
Et les gens que Jésus a guéris n'avaient pas été rendus malades par
Dieu !
Prenant à la hâte une référence à une autre partie de la Parole, je
lisez les paroles de Jésus dans Luc 13:16 : "Cette femme... que
Satan a liée, voici, ces dixhuit ans, ne devraitelle pas être déliée de ce
lien ?" Une fois de plus, Jésus a attribué la maladie au diable.
Quelle foi a germé dans mon cœur ! Quelle flamme de
connaissance concernant la Parole de Dieu et le ministère de Jésus est
passée sur mon âme ! J'ai vu comme jamais auparavant pourquoi Jésus
guérissait les malades : Il faisait la volonté de Son Père ? et en faisant
la volonté de son Père, il détruisait les oeuvres du diable. (Héb. 2:14.)
J'ai dit en mon âme : Cette œuvre du diable, cette destruction de
la vie de ma femme, au nom de JésusChrist, cessera, car Christ est
mort et luimême a pris nos infirmités et a porté nos maladies.
Nous avons décidé de 9h30 comme heure de prière
offert pour le rétablissement de ma femme. Encore une fois, j'ai téléphoné et
télégraphié à des amis pour qu'ils se joignent à moi dans la prière.
À 9 h 30, je me suis agenouillé sur son lit de mort et j'ai invoqué le Dieu vivant.
La puissance de Dieu vint sur elle, la faisant frissonner de la tête aux pieds.
Sa paralysie est partie, son cœur est redevenu normal, sa toux a cessé, sa
respiration est devenue régulière et sa température est redevenue normale.
La puissance de Dieu coulait à travers elle, apparemment comme le sang coule
dans les veines.
Pendant que je priais, j'ai entendu un son sortir de ses lèvres pas le son comme
avant, mais une voix forte et claire. Elle s'écria : "Gloire à Dieu, je suis guérie !"
Sur ce, elle attrapa les draps, les rejeta en arrière et, en un instant, se retrouva
debout sur le sol.
Quelle journée! L'oublieraije un jour ? La puissance de Dieu ravissait les
âmes, et la joie de Dieu possédait nos cœurs à cause d'elle
récupération.
La nouvelle s'est répandue dans toute la ville, l'État et la nation. Les
journaux en ont parlé et notre maison est devenue un centre d'enquête. Les gens
parcouraient de grandes distances pour la voir et parler avec elle. Elle était inondée
de lettres.
Une nouvelle lumière a brillé dans nos âmes. L'église nous avait diligemment
enseigné que les jours des miracles étaient passés, et croyant cela, huit membres
de la famille avaient été autorisés à mourir. Mais maintenant, avec la lumière de la
vérité qui brille dans nos cœurs, nous avons vu cela comme un mensonge, sans
aucun doute inventé par le diable et annoncé avec diligence
comme vérité par l'église, privant ainsi l'humanité de son héritage par le
sang de Jésus.
Des gens sont venus chez nous en disant : « Puisque Dieu t'a guéri,
il nous guérira sûrement. Priez pour nous." Nous y avons été contraints.
Dieu a répondu, et beaucoup ont été guéris.
De nombreuses années se sont écoulées depuis lors, mais aucun jour
ne s'est écoulé sans que Dieu n'ait répondu à la prière. J'ai consacré ma
vie, jour et nuit, à ce ministère, et les gens ont été guéris, non pas par un
ou deux, ni par centaines, ni même par milliers, mais par dizaines de
milliers.
En temps voulu, Dieu m'a appelé en Afrique du Sud, où j'ai
été témoin d'une manifestation de la puissance de guérison de Dieu comme
le monde n'en a peutêtre pas vu depuis l'époque des apôtres.
Les hommes chrétiens ont été baptisés dans le SaintEsprit et sont
allés de l'avant dans la grande puissance de Dieu, proclamant le nom
de Jésus et imposant les mains aux malades. Et les malades étaient guéris !
Les pécheurs, témoins de ces preuves de la puissance de Dieu, poussèrent
des cris de joie et se donnèrent au service de Dieu.
Comme au temps de Jésus : « Il y eut une grande joie dans cette ville »
— et dans cette nation. (Actes 8:8.)
Finalement, Dieu m'a amené à Spokane, où nous avons soigné
des centaines de malades chaque semaine. La ville est remplie des
louanges de Dieu à cause des manifestations bénies de la puissance de
guérison de Dieu partout. Personnes
sont venus d'aussi loin que 5 000 milles pour se soigner.
Certains ont écrit des lettres. D'autres ont télégraphié. Certains
ont télégraphié de l'autre côté du monde, demandant la prière,
et Dieu a gracieusement répondu.
Les ministres et les églises de tout le pays ont vu que, bien que
l'église ait enseigné que les jours des miracles n'appartenaient
qu'aux temps des apôtres, cette déclaration était un mensonge.
Ils ont vu que la puissance de guérison de Dieu est aussi
accessible à l'âme honnête aujourd'hui qu'elle l'était à l'époque de
Christ sur terre. "Les dons et les appels de Dieu sont sans
repentance", et Jésus est toujours le Guérisseur.
Chapitre quatre : Plus d'aventures dans
Dieu
Pendant mon ministère en Afrique du Sud, j'ai rencontré un célibataire
qui haïssait tout ce qui était chrétien. Il avait la réputation d'insulter les
prédicateurs hors de sa place.
Un jour, j'ai réalisé qu'il n'avait pas été vu depuis un moment, alors j'ai
décidé de lui rendre visite. Immédiatement, j'ai été prévenu du type
d'accueil auquel je pouvais m'attendre. J'y suis allé quand même.
En entrant chez lui, j'ai constaté qu'il était malade.
Avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit, j'ai jeté mon chapeau, j'ai prié pour
que Dieu le guérisse et je suis parti.
Quelques jours plus tard, il est venu à l'église. C'était un homme changé !
Le chrétien, l'enfant de Dieu, l'hommeChrist qui a confié son corps
ainsi que son esprit et son âme à Dieu, ne doit pas être un sujet de guérison.
Il doit être un sujet de santé continue et durable, car il est rempli de la vie de
Dieu.
JésusChrist est à la fois la loi et la vie de Dieu.
Quand je vivais en Afrique, l'un de nos départements était le travail
indigène. Je bénis Dieu pour les merveilles qu'il m'a laissé témoigner
parmi les autochtones. Je crois que nous avions un privilège jamais
accordé à aucun autre homme blanc dans les temps modernes.
Au Basutoland, la veille de Noël 1912, la Cène du Seigneur a été
administrée à 75 lépreux guéris. Ils avaient été guéris sous le ministère d'un
homme noir dont le seul vêtement, lorsque nous l'avons connu pour la
première fois, était un tablier en peau de chèvre.
C'était une belle chose de s'asseoir avec un homme sous le
ministère duquel 75 lépreux avaient été guéris ! Certains étaient sans nez ?
d'autres sans doigts, ni orteils, ni oreilles.
Mais je vais vous raconter une autre histoire de lépreux. Jusqu'à environ
il y a sept semaines, un homme du nom de Young a été mis en
quarantaine dans l'État du Nebraska. La correspondance avec lui était rendue
possible grâce à un sénateur, un autre lépreux.
Élevé comme catholique romain, Young croyait au pouvoir de
Foi. Dieu lui a dit qu'il allait agir au nom de cette délivrance.
Les agents de l'établissement ont découvert qu'il avait été
envoyer et recevoir des lettres, contrairement aux instructions.
Lorsqu'il a été confronté, Young a déclaré: "Oui, j'ai
correspondu avec des gens qui prient la prière de la foi que je ne mourrai
pas comme un chien ou un cochon."
Les agents ont demandé à voir les lettres. Quelques jours plus tard, ils
revinrent vers lui et lui dirent : « Si tu penses que tu peux être guéri, nous te
lâcherons sur ta promesse que tu iras directement à Spokane vers ces gens
qui guérissent.
Alors il partit pour Spokane avec leur promesse de lui fournir
avec les fonds nécessaires.
La veille de mon départ de Spokane, je me suis assis avec cet homme et
il a dicté l'histoire de sa guérison par la puissance de Dieu. Il a rejoint sa
femme et ses enfants à Key West.
Mon Seigneur n'est pas mort ! Mais je vais vous dire, chers cœurs, nous
nous sommes contentés de vivre en Christ dans notre enfance, de perpétuer
notre enfance et de continuer à crier comme beaucoup de bébés, au lieu
d'entrer dans les secrets du cœur de JésusChrist. par la grâce de Dieu et
réclamer du ciel les flammes de Dieu sur nos âmes.
Lorsque cela aura lieu, alors nous serons étonnés de l'action de Dieu
dans notre propre vie et celle des autres.
Mme. McDonald a été amenée dans les salles de guérison si émaciée
par la tuberculose qu'elle ne pesait que 70 livres.
Son état s'est amélioré si rapidement qu'elle a grossi à raison d'une livre
par jour.
Elle a assisté à notre réunion de guérison divine et a témoigné
publiquement de sa guérison.
Une heure plus tard, elle nous a appelés au téléphone en s'exclamant :
« Je suis tellement heureuse que je devais le dire à quelqu'un. J'ai marché
jusqu'à la maison, allumé le feu dans deux poêles et préparé le souper,
chose que je n'ai pas pu faire depuis plus d'un an.
Un garçon de 12 ans souffrant d'une tuberculose de la colonne vertébrale,
si extrême qu'il a été obligé de porter une veste en acier jour et nuit, a été
amené aux Healing Rooms quelques jours pour la prière.
En moins de dix jours, son état s'est tellement amélioré qu'il a entièrement
jeté la veste. Ses épaules s'étaient redressées, les vertèbres étaient restées
fixes et le garçon retourna chez lui à Rosalia, louant Dieu d'avoir prouvé dans
notre propre ville en mars 1919 que JésusChrist est toujours le Guérisseur.
À Cookhouse, Cape Colony, il y avait dix frères par le
nom de Watson—des hommes qui avaient été sauvés et baptisés dans le
SaintEsprit.
Alors que je dirigeais une réunion chez l'un d'eux, l'Esprit est descendu sur
le plus jeune de la famille. Il s'est réveillé et nous avons observé qu'il faisait les
arrangements d'un drame. Il était parfaitement sous la puissance de l'Esprit. Il
n'avait aucune conscience de la nature de ce qui se passait.
Tout à coup, l'Esprit tomba sur un autre des frères, puis
un autre et un autre jusqu'à ce que tous les dix deviennent acteurs du même
drame.
Nous restâmes là, émerveillés, pendant des heures, à observer un drame
parfait en cinq actes, une présentation des relations de Dieu avec la race
humaine à travers l'histoire du monde.
Je suis parti cette nuitlà avec la crainte de Dieu sur mon âme si profonde que,
pendant des semaines après, j'ai eu l'impression de vouloir marcher très doucement.
La vie du chrétien sans le pouvoir intérieur du
L'esprit dans le cœur est la fatigue de la chair. C'est l'obéissance
aux commandements et un effort pour marcher selon un modèle que
vous n'avez pas le pouvoir de suivre.
Mais, bénis Dieu, la vie chrétienne qui est vécue par l'impulsion de
l'Esprit du Christ dans votre âme devient une joie, une puissance et
une gloire.
PÂQUES, 1916
Lorsqu'il prêchait à Bloemfontein, dans l'État libre d'Orange, un
homme du nom de Johnson, épileptique depuis douze ans, assistait
aux réunions. Il souffrait de 12 à 15 crises par jour.
Après le service, un groupe d'entre nous était dans une attitude de
prière et de communion avec Dieu préparatoire à sortir pour une
réunion en plein air. Quelqu'un s'est retourné et a demandé à ce jeune
homme s'il aimerait être chrétien. Il a dit: «Eh bien, je suppose que non.
Je ferais demain les mêmes choses que j'ai faites aujourd'hui si c'était
le cas. Comme un éclair de nulle part, l'Esprit de Dieu est tombé sur lui
et il est tombé prosterné sur le sol, y restant jusqu'à 10 heures le
lendemain matin. Avant le matin, cet homme qui avait eu environ 15
crises par jour a été non seulement sauvé, mais guéri. Il est sorti à 10
heures, baptisé du SaintEsprit.
Un jour, notre ministre à Bloemfontein sortait pour diriger une
réunion pour les indigènes Basuto. Il ne savait pas parler basuto
pour leur prêcher, il lui fallait donc avoir
un interprète. Johnson était avec lui.
L'interprète n'est pas venu. Mais quand le moment est venu pour la
réunion de commencer, la puissance de Dieu est venue sur Johnson. À la
stupéfaction de tous, il s'est levé et a proclamé la Parole aux autochtones
dans le Basuto le plus pur !
Un soir, alors que je prêchais, l'Esprit du Seigneur est descendu sur
un homme au premier rang, un pasteur de Londres, en Angleterre.
Il est resté assis, mais a commencé à se lever de la chaise. Peu à peu, il
est descendu à la chaise? puis peu à peu, il a recommencé à s'élever, un peu
plus haut. Cela a été répété trois fois.
Étaitce un renversement de la loi de la gravitation ? Je crois que non.
Ma propre conception est que son âme est devenue si unie avec
l'Esprit de Dieu que la puissance attractive de Dieu était si intense qu'elle
l'attirait.
Un jour, je me tenais à la gare de Logansport, Indiana, attendant
mon train et observant un groupe d'hommes italiens, apparemment des
ouvriers, assis sur un banc. Ils allaient travailler quelque part.
Alors que je montais et descendais la plateforme, j'ai dit: "Oh, mon Dieu, comment
j'aimerais beaucoup pouvoir parler à ces hommes de la
Christ vivant et son pouvoir de sauver !
L'Esprit a dit : "Tu peux."
Je m'avançai vers eux, et pendant que je prêchais, je me vis commencer
à parler dans une langue étrangère.
Je me suis adressé à l'un des membres du groupe et il m'a immédiatement
répondu en italien. J'ai demandé d'où il venait et il m'a répondu "Naples".
Pendant quinze minutes, Dieu m'a laissé dire les vérités du Christ et
la puissance de Dieu à ce groupe d'ouvriers en italien, une langue
dont je n'avais aucune connaissance.
C'était un petit éclair une lueur mais un jour, Dieu bénisse, il viendra
du ciel une pluie qui oindra tellement les âmes des hommes qu'elles
parleront dans toutes les langues que l'homme parle par la puissance de
Dieu. « Et cet évangile des royaumes sera prêché dans le monde entier pour
servir de témoignage à toutes les nations ? et alors viendra la fin » (Matthieu
24:14).
Pendant que j'étais en Afrique, l'Église d'Angleterre a envoyé une
délégation de trois hommes à Johannesburg pendant un an pour rendre
compte en Angleterre de notre travail en Afrique du Sud.
Le résultat fut une grande conférence de l'Église d'Angleterre
des prédicateurs ont été appelés et on m'a demandé de prêcher à
la conférence.
Il en résulta la création de sociétés de guérison dans le
Église d'Angleterre.
Nous avons été bénis récemment dans ce pays avec l'un des leurs
"guérisseurs", M. Hicks, qui a tenu des réunions dans les différentes
églises épiscopales à travers le pays.
Je reviens tout juste de Portland, où les rues étaient remplies sur dix pâtés de
maisons autour de l'église d'automobiles transportant les malades à ses réunions.
M. Clark Mitchell a été victime d'un accident d'exploitation forestière il y a dix ans
dont son côté gauche a été gravement blessé le genou et l'épaule gauche
ont été écrasés.
Pendant dix ans, il connut de grandes souffrances. Son genou
développé une tumeur si grosse qu'elle remplissait sa jambe de pantalon.
Il m'a dit qu'il y avait des occasions où il était capable de marcher peutêtre
un seul pâté de maisons, mais avec de grandes souffrances. D'autres périodes, il
a été contraint d'être confiné à son domicile et à sa chaise.
Un jour, alors que je me dépêchais de descendre Pacific Avenue en chemin
à ma réunion à l'église méthodiste libre, j'ai croisé M.
La maison de Mitchell et sa fille m'ont fait signe.
Elle m'avait vu venir et avait dit à son père : « Je vois M.
Lake, et je vais l'appeler.
M. Mitchell a répondu : « Non, ne le fais pas. je ne fais aucun bilan
dans ce genre de choses.
Bien que je ne savais rien de ces circonstances, je voudrais
n'y ai prêté aucune attention si je l'avais fait. Je suis Scotch.
Quand je suis entré chez eux, j'ai dit : « M. Mitchell, je n'ai pas
le temps de vous parler.
J'ai jeté mon pardessus et mon chapeau, et je me suis agenouillé pour
prier. Il a indiqué que c'était son genou, alors j'ai posé mes mains sur son genou
et j'ai commencé à prier. Ce faisant, j'étais conscient qu'il était guéri. J'ai dit : « M.
Mitchell, tends la jambe. Il a fait. "Lèvetoi et marche." Il a fait.
Tout en marchant, il n'arrêtait pas de dire : « Je ne comprends pas. Je ne
comprends pas." Il revint et s'assit en disant toujours : « Je ne comprends pas.
« Qu'estce que tu ne comprends pas, mon frère ? »
“Pourquoi, je ne peux pas comprendre que Dieu me guérisse. Je ne suis pas
chrétien.
J'ai dit : « Estil possible que vous n'ayez pas encore donné votre cœur à Dieu ?
Il a dit: "Ça l'est."
"Alors, frère, au nom du Seigneur, faisonsle maintenant." Alors
lui, sa chère fille et une autre dame se sont agenouillés avec moi, et tous trois ont
offert leur cœur au Seigneur JésusChrist. Alors qu'il était assis sur sa chaise, je lui ai
parlé de la guérison d'un autre homme et de la façon dont les os grinçaient dans sa
hanche.
M. Mitchell a dit : « C'est comme mon épaule.
C'est là que j'ai appris qu'il avait mal à l'épaule, alors j'ai appelé
sa fille, et nous avons prié pour son épaule.
Alors j'ai dit: "Levez le bras, frère."
Quand il a levé le bras, je lui ai demandé s'il était parfaitement libre.
Il a répondu: "Parfaitement libre."
À 20h30, la tumeur qui était sur son genou depuis dix ans avait
totalement disparu.
Le lendemain matin, il se rendit à l'imprimerie, présenta
s'est adressé à l'éditeur et a dit: «M. Scott, je suis l'homme que le
Seigneur a guéri. Et le rédacteur en chef du journal a écrit une
déclaration sur la guérison de l'homme.
Le même jour, il a bêché tout son jardin.
Le lendemain, il est allé travailler chez un plâtrier où il a continué
à travailler.
Le jour des miracles n'était pas passé depuis cet incident : mars
1922, à Forest Grove, Oregon.
Domination
Maintenant, je veux vous enseigner quelque chose des choses intérieures de
la guérison dont les gens ne sont pas conscients.
Il y a une domination consciente que JésusChrist donne à l'âme. C'était cette
chose dans l'âme de Pierre lorsqu'il rencontra le boiteux à la Belle Porte.
Au lieu de prier pour la guérison de l'homme, Pierre dit : « Au nom de JésusChrist
de Nazareth, lèvetoi et marche » (Actes 3 :6).
Pas de prière à ce sujet ? aucune intercession.
Pierre a exercé la domination qui était dans son âme. Le divin
un éclair de la puissance de Dieu sortit de son âme, et l'homme se leva instantanément
et alla avec eux au Temple "marchant et sautant, et louant Dieu" (v. 8).
Parfois, ceux qui s'occupent des malades sont conscients de ce qui se passe, bien
que l'individu luimême ne soit pas conscient de toute guérison.
Il y a une domination dans l'âme du véritable homme de Dieu qui est
en contact avec le ciel. Quand la vraie chose se produit, quand une personne est sauvée
ou guérie d'une maladie, nous savons ce que c'est.
Nous prions jusqu'à ce que nous soyons convaincus dans nos âmes que le
travail est terminé.
Dans le même bâtiment que nous avions nos Healing Rooms, il y avait un
laboratoire de rayons X. Les techniciens voulaient voir de quoi il s'agissait, alors ils ont
demandé de nous faire passer gratuitement des radiographies de certaines de nos
perspectives de guérison. C'était une opportunité unique.
Parmi ceux que nous leur avons envoyés se trouvait un homme atteint de tuberculose.
Chaque fois qu'il était servi dans la prière, ils prenaient une radiographie.
Nous pouvions voir les progrès de la guérison. Chaque image montrait de
moins en moins la maladie jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de preuves. Il allait
parfaitement bien.
Nous avons toujours prié pour une personne jusqu'à ce que nous soyons
convaincus que la guérison était complète. Il n'y avait aucune dépendance au
bras de l'homme (la chair).
M. WA Fay souffrait d'un cancer de l'estomac. Il a
servi peutêtre trente fois.
Pendant les dix premiers jours, il n'y avait aucune preuve de
guérison ou d'apaisement de sa souffrance. Après cela, il y a eu une
subvention progressive? puis la couleur a commencé à revenir sur son
visage, et il a commencé à prendre de la chair.
Maintenant, il peut manger tout et n'importe quoi, et autant qu'il peut
en manger ! Et ce n'est pas tout, bienaimé.
Il a trouvé le Seigneur et Sauveur JésusChrist au cours du processus
se passait, et il dit que c'est la grande partie de celuici.
Je suppose que le Seigneur sait comment ouvrir des portes dans
le cœur des gens. Bon nombre de chrétiens négligent le fait que Jésus
Christ a rendu le ministère de la guérison aussi large qu'il pouvait le faire.
Aux soixantedix (Luc 10 : 8, 9), il a dit : « … dans quelque ville que
vous entriez, et qu’on vous reçoive… guérissez les malades qui sont
la bride." Et ensuite, qu'estce qu'Il leur a dit de faire ? "... Disleur : Le
Royaume de Dieu s'est approché de vous."
J'ai vécu une fois près d'un homme qui était malade à mort. Certains sont allés
à lui et lui a dit qu'il devait être baptisé, sinon il mourrait et irait en enfer.
J'ai toujours dit que c'était une forme de coercition, et Jésus ne l'a jamais
utilisée. Il était trop gentleman. Il n'a jamais profité d'un homme quand il était
abattu pour moudre son âme et essayer de l'influencer pour qu'il devienne
chrétien.
Si l'homme était malade, Jésus allait le guérir par la puissance de Dieu. Puis,
lorsque cet homme a été guéri, la réponse naturelle de son âme aimante l'a
conduit à Christ.
Je me demande, avezvous déjà prêté attention aux différentes
occasions de lire les Écritures lorsque la Voix de Dieu est mentionnée ?
Vous savez, ce qui fait de la Bible la Bible, c'est le fait
que quelqu'un a eu un entretien avec Dieu ! Quelqu'un a entendu du ciel avant
qu'il y ait une Bible. Ensuite, la conversation ou l'incident a été enregistré, et ceux
ci sont devenus la Parole de Dieu.
Maintenant, la Parole de Dieu est indestructible, parce que c'était une vraie
La voix, une véritable expérience. Dieu a vraiment fait ou dit quelque chose, et
le récit en est vrai.
Il est très simple de prouver l'inspiration de la Bible. Tous
on apprend à l'enfant à "prouver" si sa somme mathématique est correcte
ou non.
Si vous avez des doutes, des questions et des craintes concernant la Bible et son
inspiration, nous savons que si une âme a jamais entendu parler du ciel, une autre âme
peut.
Si jamais une âme a eu un entretien avec Dieu, une autre âme le pourra.
Si jamais quelqu'un savait que ses péchés étaient pardonnés à n'importe quel moment,
un autre homme peut savoir que ses péchés sont pardonnés maintenant.
Si un homme ou une femme a été guéri par la puissance de Dieu, alors les hommes
et les femmes peuvent être guéris à nouveau.
La seule chose nécessaire est de revenir dans l'expérience de l'âme à ce
même lieu d'intimité où l'individu a rencontré Dieu pour la première fois.
C'est ainsi que vous prouvez la Parole de Dieu.
C'est la raison pour laquelle les chrétiens aiment la Parole de Dieu. C'estàdire
la raison pour laquelle la Parole de Dieu devient la chose par laquelle les hommes vivent, la
chose pour laquelle les hommes mourront. La Parole de Dieu devient pour eux une réalité
présente et vivante, et pas seulement une théorie.
—1er FÉVRIER 1922 Thatcher, OREGON
Dans mon église en Afrique du Sud, nous avons publié un article en 10 000
beaucoup. Nous les faisions envoyer par les imprimeurs à l'église, et
nous les disposions sur la plateforme avant par paquets de 100 et 200.
Au service du soir, j'appelais certaines personnes de la congrégation (que
je savais être en contact avec le Dieu vivant) pour venir s'agenouiller
autour des colis et leur imposer les mains.
Nous avons demandé à Dieu non seulement de bénir la matière à
lire dans le journal afin que le message du Christ vienne à travers les
mots imprimés sur le papier, mais que le journal luimême soit rempli
de l'Esprit de Dieu, tout comme les mouchoirs se sont remplis de la
puissance de Dieu. (Actes 19:12.)
Je pourrais vous montrer des milliers de lettres de personnes de
toutes les parties du monde, me disant que l'Esprit de Dieu est venu
sur eux lorsqu'ils ont reçu notre journal. Non seulement ils ont été guéris,
mais la joie de Dieu est entrée dans leurs cœurs et beaucoup ont été sauvés.
Une femme d'Amérique du Sud a écrit : « J'ai reçu votre article.
Quand je l'ai pris dans mes mains, mon corps s'est mis à tellement vibrer
que je pouvais à peine m'asseoir sur la chaise. Je n'ai pas compris cela.
Je reposai le papier, et au bout d'un moment je le repris. Dès que je l'ai
eu dans mes mains, j'ai tremblé à nouveau. La troisième fois que j'ai pris
le papier, l'Esprit de Dieu est venu sur moi si puissamment que j'ai été
baptisé du SaintEsprit.
Bienaimés, voistu que ce message et cette qualité de l'Esprit
contiennent ce qui confond tous les philosophes et toute la pratique de
la philosophie dans le monde ? Il montre la distinction la plus claire qui
caractérise la vraie religion de
Jésus Christ. Elle est distincte de toutes les autres religions et de tous les autres
ministères.
Le ministère du christianisme est le ministère de l'Esprit. Il est
l'Esprit de Dieu qui habite les paroles, qui parle à l'esprit de l'autre et révèle le
Christ en lui et par lui.
Mlle K. est une femme que j'ai qualifiée de victime de chirurgie— opérée
26 fois, puis laissé mourir. Elle a été invalide pendant 13 ans et a été visitée et
soignée par différents médecins pendant 6 ans.
années.
(Je sais que vous me pardonnerez si je parle très clairement. Je
doit pour vous faire savoir ce que Dieu a fait dans la vie de cette femme.)
Dans une opération, une incision a été pratiquée reliant le rectum et le
vagin. Cette blessure a refusé de guérir. Trois fois la plaie a été recousue,
mais en vain. De plus, on pensait qu'elle était tuberculeuse, et sans aucun doute
elle l'était.
Un jour, cette chère âme a appelé frère Westwood pour qu'il s'occupe d'elle.
Nous avons commencé à prier la prière de la foi en son nom, et tout de suite les
blessures sur son corps ont commencé à guérir jusqu'à ce que toutes les blessures
extérieures soient guéries. Si vous étiez assez près d'elle, vous pouviez voir des
cicatrices tout le long de sa gorge et de son cou, là où certaines de ces 26
opérations avaient été effectuées.
Maintenant, je veux que vous voyiez la puissance de Dieu. Lorsqu'elle
a découvert que l'incision rectale n'avait pas cicatrisé, c'est devenu un
sujet de prière spéciale. Bientôt ses intestins ont cessé de fonctionner ?
elle n'a pas bougé pendant 28 jours. Pensezy! Si une telle chose se
produit dans votre vie pendant trois ou quatre jours, vous pensez que
vous allez mourir.
Notez le dessein de Dieu : Pendant ces 28 jours où
il n'y avait aucun mouvement, la blessure était cicatrisée.
Mlle K. est allée au sud de la ville pour faire quelque chose
couture; mais pendant qu'elle travaillait, elle est devenue inconsciente à
cause du gaz pressant sur son cœur et ses poumons.
Un médecin a été appelé. Lors de son examen, il découvrit que
l'incision était parfaitement cicatrisée, mais pendant la longue période où
l'extrémité inférieure du rectum n'avait pas été utilisée, elle avait adhéré.
Selon le médecin, elle ne pourrait jamais aller à la selle avant d'avoir été
opérée.
Ils étaient sur le point d'emmener Mlle K. à l'hôpital lorsqu'elle a repris
connaissance et a dit : « Plus d'opérations pour moi, même si je meurs.
J'ai confié mon corps, mon âme et mon esprit à Dieu !
Alors ils l'ont ramenée chez elle.
Elle descendit au tabernacle pour instruire les enfants
Animation de Noël. Sur le chemin du retour, elle s'est évanouie dans la
rue et a été transportée aux urgences. Ils l'y ont interrogée et ont corroboré
la déclaration de l'autre
médecin.
Ils étaient en train de l'emmener à St. Luke est quand elle est
devenue consciente et a dit : « Non, monsieur ! Plus d'opérations pour
moi, même si je meurs.
Quand ils lui ont demandé ce qu'elle voulait faire, elle leur a dit qu'elle
venait chez moi. C'était le samedi 27 novembre.
Le dimanche aprèsmidi 28 novembre, elle était assise dans le
public. Alors que la prière était offerte, elle a dit qu'il semblait qu'une
main était posée sur son corps (abdomen) et une autre main sur sa tête.
Alors une Voix a dit : "Tu es guérie."
Elle a quitté la salle d'audience et est devenue parfaitement
normale, et est restée une femme normale depuis.
Bienaimés, les gens qui s'opposent à ce ministère et ne le
comprennent pas diront : « C'est très bien. Nous savons que Dieu fait
de telles choses lors d'occasions spéciales, mais ce sont des cas
particuliers. Paul avait une écharde dans la chair. Il a prié trois fois pour
qu'il soit guéri, et le Seigneur a dit: "Paul, ma grâce te suffit" (2 Cor.
12:9), et il n'a pas été guéri.
Qui a dit ça? Qui vous a donné l'interprétation ? Avezvous
entendu la Voix de Dieu, ou répétezvous la vieille fable qui traverse
la théologie depuis 100 ans ?
Ne voyezvous pas, bienaimés, une des nombreuses ruses que les
anciens escrocs théologiques utilisent pour échapper à la responsabilité
de prier la prière de la foi qui sauve les malades ?
Mon Dieu, l'Église a eu du temps à essayer d'esquiver ce problème de
guérison! Ils viennent avec l'écharde de Paul dans la chair.
Paul a dit : « J'ai écrit cette grande lettre de ma propre main » (Galates
6 :11), et ils interprètent cela comme disant qu'il avait de mauvais yeux. Qui a
dit ça?
À une autre occasion, les gens ont dit qu'ils aimaient tellement Paul
qu'ils s'arracheraient les yeux pour lui. Je crois qu'ils se seraient aussi
coupé la jambe ou le bras droit, si cela lui avait fait du bien, mais rien de
tout cela ne prouve un seul instant qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas
avec sa jambe, son bras ou ses yeux.
Paul a prié trois fois. Les deux premières fois, il n'était pas conscient
de la réponse. Il pria de nouveau, bénis Dieu, et cette fois Dieu rencontra sa
foi et lui dit : « Paul, ma grâce te suffit.
Appliquezle, Paul. Plongez, Paul, et prenez tout ce que vous voulez
de la grâce de Dieu. Cela réparera votre épine dans la chair et tout ce qui
vous trouble.
—23 JANVIER 1916 SPOKANE, WASHINGTON
Nous sommes allés à Lourdes, en France, en compagnie d'un groupe de
Des membres de l'Église d'Angleterre qui avaient été nommés en
tant que comité pour visiter toutes les institutions réputées dans le
domaine de la guérison en Europe.
Nous avons visité une institution catholique où l'on obtient la guérison
par les eaux de Lourdes. Ils maintiennent un conseil de 200 médecins dont
le travail consiste à examiner tous les candidats et à en faire rapport.
Nous avons également visité la plus grande institution hypnotique pour la guérison
dans le monde à Lourdes. Cette institution a envoyé ses représentants
pour démontrer leur méthode devant le conseil catholique de 200 médecins.
Lors de l'audition de notre comité, ils nous ont invités à venir devant cet organe et
à démontrer la guérison selon nos lignes.
J'ai accepté de participer, si on me donnait la démonstration finale.
Le comité a sélectionné cinq candidats, des personnes qui avaient été déclarées
absolument incurables.
Les hypnotiseurs ont essayé leurs différentes méthodes sans succès.
J'ai ensuite fait placer les cinq candidats sur des chaises alignées sur
la plateforme, compte tenu de ce large public de médecins et de scientifiques. J'ai
alors prié sur chacun d'eux séparément et en même temps je leur ai imposé les
mains.
Trois ont été instantanément guéris, un quatrième a récupéré en quelques
jours, et un est mort.
—1909 En 1901, j'ai rejoint la Dowie Institution et j'y ai déménagé
Zion City, Illinois, dans le but de devenir étudiant et enseignant de la guérison
divine. J'ai été nommé directeur du département de construction de Dowie. Au cours
de cette annéelà, nous avons traité des affaires
s'élevant à 1,2 million de dollars, soit 100 000 $ par mois. Nous avons émis
1 200 contrats de construction. C'était l'année où John Alexander Dowie a
fait son voyage de Zion City à New York, emmenant 3 000 personnes avec
lui dans dix trains. Nous avions une chorale de route de 1 200 voix
sélectionnées et une procession de route de 100 officiers d'église. Dowie a
loué le Madison Square Garden, qui abrite 20 000 personnes. La police de
New York a déclaré que certaines nuits, elle avait refoulé jusqu'à 100 000
personnes. Les rues étaient encombrées pendant quatre pâtés de maisons.
En 1904, lorsque les affaires financières de Dowie se sont enchevêtrées,
j'ai quitté Zion City pratiquement fauché, mes avoirs dans la propriété Dowie
s'étant dépréciés à sa mort.
Un samedi soir en Afrique du Sud, l'église était bondée.
Toutes les places debout disponibles étaient occupées alors que les
hommes se tenaient côte à côte. La majorité d'entre eux étaient des hommes
du Tattersall Racing Club. La plupart étaient juifs. Ils comprenaient des
cavaliers de toutes les classes: bookmakers, jockeys, stablemen, hippodromes,
etc.
Je prêchais sur la puissance de Dieu et, dans un esprit fort, je m'efforçais
de démontrer que JésusChrist est le même hier, aujourd'hui et éternellement ;
que Sa puissance est aussi grande qu'elle l'a jamais été ? et que la seule
qualification pour toucher Dieu pour quoi que ce soit est la foi en Lui. Le public
était très ému.
À ce stade, j'ai observé un monsieur et deux dames essayant de se faufiler
parmi les personnes qui se tenaient dans les allées.
J'ai demandé à la foule de se séparer, si possible, pour permettre aux dames
passer, et j'ai essayé de leur aménager des places assises sur les marches de
la plateforme.
Comme ils s'approchaient, j'ai remarqué qu'une des dames tenait
ses bras parfaitement raides. Elle n'a pas du tout déplacé le sujet.
D'instinct, j'ai tout de suite su qu'elle était infirme rhumatismale.
Quand elle est arrivée à la plateforme, j'ai demandé: "Quelle est la raison
tu ne bouges pas tes bras ?
Elle a dit: "Mes épaules sont attachées par les rhumatismes."
J'ai dit : « Depuis combien de temps sontils comme ça ?
Elle a répondu: "Dix ans."
J'ai demandé si elle avait été soignée par des médecins.
Elle a répondu: "J'ai été renvoyée de trois hôpitaux comme incurable."
"Quels hôpitaux ?"
Elle a répondu : « Kimberley, Johannesburg et Pretoria ».
Puis, m'adressant au monsieur qui l'accompagnait, je lui demandai : «
Connaissezvous cette dame ?
Il a dit: "Oui, c'est ma bellesœur."
J'ai dit: "Savezvous que son histoire est correcte?"
"Absolument," ditil.
Je lui ai demandé pourquoi elle était venue.
Elle répondit: "Dans l'espoir que mon Seigneur me guérirait."
J'ai demandé: "Voulezvous que je prie pour vous pour la guérison?"
"Oui," ditelle.
S'adressant à la foule bruyante dans les allées et autour des portes, j'ai
dit : « Vous les hommes n'avez jamais vu Jésus guérir une personne dans votre
vie. Vous ne savez rien de cette affaire. Vous n'avez jamais été témoin d'une
exposition de la puissance de Dieu, et par conséquent vous devriez être assez
attentionné pour rester tranquille, confesser votre ignorance sur ces questions et
apprendre.
"C'est ce que je veux : sélectionnez deux hommes de votre groupe et
laissezles venir voir par euxmêmes si les bras de cette femme sont raides,
comme elle le déclare."
J'ai attendu qu'ils fassent leur choix. Enfin, ils ont mis
en avant deux hommes. L'un était barbier, un gentleman très
intelligent. J'ai appris par la suite qu'il était américain.
Ils ont examiné les bras de la dame d'un œil critique et les ont trouvés
être comme elle l'avait dit, tout à fait inébranlable.
J'ai demandé aux hommes : « Avezvous terminé votre examen ? Êtesvous
convaincu que son état est tel qu'indiqué ? » Ils ont dit : « Nous le sommes.
"Alors reculez, car je vais prier pour que le Seigneur guérisse cette
femme."
Plaçant mes mains sur ses épaules, j'ordonnai au nom de Jésus
Christ, le Fils de Dieu, que ce démon rhumatismal qui liait la femme soit
chassé. Au nom du Christ, je
lui ordonna de partir, le reprenant de toute l'énergie de mon âme.
La puissance de Dieu m'a traversé comme un feu brûlant jusqu'à ce que
la transpiration jaillissait du visage de la femme.
Puis, la prenant par les mains, je lui ai dit : « Au nom de Jésus
Seigneur, lève tes bras !
Le bras droit s'est levé.
Alors j'ai dit: "Au nom de JésusChrist, lève aussi l'autre bras."
Elle obéit instantanément. Ses bras étaient devenus libres !
Alors que je bougeais ses bras, faisant tourner les épaules, j'ai entendu un
bruit de grincement dans les articulations. J'ai dit aux deux hommes du
public : « Vous n'avez jamais entendu de joint sec de votre vie. Viens mettre
ton oreille dans le dos de cette femme pendant que je fais bouger ses bras.
Comme ils l'ont fait, j'ai déplacé ses bras et les articulations de l'épaule se
sont écrasées, car l'huile n'était pas encore revenue en eux.
Dans la joie de la femme d'être guérie, elle leva les mains, loua Dieu
et se dirigea vers la porte. La foule s'est séparée
pour elle, et elle a disparu. Je ne l'ai plus revue pendant
plusieurs mois.
Prière de salut
Dieu vous aime, peu importe qui vous êtes, peu importe votre
passé. Dieu vous aime tellement qu'il a donné son Fils unique pour vous.
La Bible nous dit que "...quiconque croit en lui ne périra pas mais aura la
vie éternelle" (Jean 3:16 NIV). Jésus a donné sa vie et est ressuscité afin
que nous puissions passer l'éternité avec lui au ciel et faire l'expérience
de son meilleur sur terre. Si vous souhaitez recevoir Jésus dans votre vie,
dites la prière suivante à haute voix et pensezla avec votre cœur.
Père céleste, je viens à toi en admettant que je suis un pécheur.
En ce moment, je choisis de me détourner du péché, et je te demande
de me purifier de toute iniquité. Je crois que Ton Fils, Jésus, est mort
sur la croix pour ôter mes péchés. Je crois aussi qu'il est ressuscité
des morts afin que je puisse être pardonné de mes péchés et rendu
juste par la foi en lui. J'invoque le nom de JésusChrist pour qu'il soit
le Sauveur et le Seigneur de ma vie. Jésus, je choisis de te suivre et je
te demande de me remplir de la puissance du SaintEsprit. Je déclare
qu'en ce moment je suis un enfant de Dieu. Je suis libre du péché et
plein de la justice de Dieu. Je suis sauvé au nom de Jésus. Amen.
Si vous avez prié cette prière pour recevoir JésusChrist comme vôtre
Sauveur pour la première fois, veuillez nous contacter sur le Web à
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Ou vous pouvez nous écrire
à Harrison House PO Box
35035 Tulsa, Oklahoma
74153
John G. Lac
John G. Lake est né le 18 mars 1870. À l'âge de 21 ans, il
est devenu pasteur méthodiste ? cependant, il a choisi de créer un journal
au lieu d'accepter un ministère d'église. En 1898, la femme de Lake, qui
était gravement malade, fut miraculeusement guérie sous le ministère de
John Alexander Dowie. L'expérience a changé à jamais la direction de la vie
de Lake. On se souvient surtout de lui pour son travail missionnaire en Afrique
du Sud, mais son ministère aux ÉtatsUnis était également puissant. En
seulement cinq ans, 100 000 guérisons ont été enregistrées dans les salles de
guérison du lac à Spokane, Washington. Ce qu'il a accompli grâce à son respect
intense pour la Parole de Dieu est un exemple pour tous les chrétiens de ce qui
est possible pour quiconque croit et agit selon les Écritures.
Vite. Facile. Pratique.
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Table des matières
Journal du Général de Dieu
EXTRAITS DU MINISTERE DES MIRACLES DE JOHN G. LAKE
Préface de l'éditeur
Contenu
Avantpropos
Chapitre Un : Aventures en Dieu
Chapitre 2 : Comment le Seigneur m'a envoyé en Afrique du Sud
Chapitre Trois : Comment j'en suis venu à consacrer ma vie au ministère
de guérison
Chapitre quatre : Plus d'aventures en Dieu
Domination
Prière de salut John G.
Lake Fast. Facile.
Pratique.

Les Generaux de Dieu - John G. Lake

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