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DONNEES
SOUS LE THEME :
Réalisé par :
Youssef Soullami
Bouzidi idrissi Omar
Hamza Meslouhi
Mehdi Tayeb
Sous l’encadrement de :
Mr. ABDELKAMEL ALJ
Contexte générale......................................................................................................................2
Axe1 : Le marché de travail au Maroc ........................................................................4
Section 1 : Offre de travail au contexte marocain ....................................................4
2- Codification du questionnaire............................................................................................
1
CONTEXTE GENERAL :
2
niveau de qualification peuvent être tentés de quitter le pays pour
chercher des opportunités à l'étranger.
3
AXE I : Le marché de travail au Maroc
1) Offre de travail au contexte marocain
Cette partie est consacrée à l’analyse de la dynamique de l’offre du travail
en 2020 et son évolution par rapport aux années précédentes, et ce, à
travers l’analyse des données issues de plusieurs sources d’information,
plus particulièrement du Haut-Commissariat au Plan et du Ministère de
l’Education Nationale, de la Formation Professionnelle, de l’Enseignement
Supérieur et de la Recherche Scientifique .
4
global des diplômés de l’enseignement et de formation au Maroc a passé
d’environ211.000 en 2011 à plus de 332.000 en 2019, soit un
accroissement annuel moyen de l’offre potentielle additionnelle de travail
d’environ 6%.
5
données du HCP, près de 40% de la population active n’ont aucun
diplôme, 36% ont un niveau moyen et près de 25% sont titulaire d’un
diplôme de niveau supérieur. Ces chiffres, même si en nette amélioration,
semblent être très inquiétants mettant le Maroc devant un défi
incontournable d’améliorer la qualification des ressources humaines pour
renforcer la compétitivité. Il s’agit, en fait, de se positionner à travers ses
universités et ses établissements de formation comme un pôle de
compétences dans divers domaines afin de satisfaire les besoins des
investisseurs nationaux et internationaux. Ce chapitre analyse l’évolution
de l’effectif des diplômés selon les domaines d’étude et de formation et
fait ressortir une cartographie des nouveaux diplômés entrants
potentiellement sur le marché du travail.
6
dynamique visera en premier lieu l’accompagnement des entreprises
nationales et internationales en mettant à leur disposition des
compétences répondant à leurs besoins.
Figure 1: Effectif des diplômés de l’ESU par type de formation entre 2014 et 2020
7
Plus de la moitié des diplômés de l’enseignement supérieur universitaire
(50,6%) sont concentrés dans les quatre pôles suivants : l’université
Hassan II Casablanca (15,3%), l’université Ibnou-Zohr à Agadir (13,3%),
l’université Abdelmalek Essaadi Tétouan (11%) et l’université Mohammed
V Rabat (10,9%). L’analyse de la croissance des effectifs des diplômés de
l’ESU, montre qu’en moyenne le nombre des diplômés de l’université
Sultan Moulay Slimane de Beni Mellal, a fortement progressé de 20,3% en
moyenne annuelle entre 2014 et 2020, suivi par l’université Ibn Tofaïl
Kenitra avec un accroissement de 14,3% en moyenne annuelle andis que
le nombre des diplômés des universités Sidi Mohammed ben Abdellah Fès
et Mohammed Premier Oujda, a enregistré les faibles taux de croissance
soit respectivement 5,5 % et 8,2% en moyenne annuelle.
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enregistré en effet une progression de 2,5% des champs disciplinaires «
Sciences Juridiques Economique et Gestion, Lettres et Arts » et de 5,2% «
Sciences et Techniques ». Parallèlement, le nombre des diplômés des
« Sciences de la santé » s’est accru de 27% en moyenne annuelle, en passant
de 257 diplômés à 1081 diplômés.
(ii) - Lauréats de la formation des cadres
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permettant d’accompagner le tissu productif par la mise à disposition de
compétences immédiatement mobilisables. La disponibilité de telles
compétences permet d’encourager l’investissement national et d’attirer
des investissements étrangers directs qui contribuent à un développement
inclusif et durable du Maroc. Ce dispositif s’est notablement évolué grâce
au déploiement depuis 2015 d’une stratégie intégrée de la formation
professionnelle devant déboucher sur la mise en place d’un système
souple, réactif et suffisamment ancré dans le milieu professionnel.
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2-Demande de travail et perspectives :
Le marché du travail marocain est caractérisé par des déséquilibres
structurels au niveau de l’offre et de demande. La pandémie COVID-19 en
cours est venu exacerber ces problématiques et compromettre les gains
réalisés en termes de créations d’emploi des dernières années. En effet, si
l’économie nationale a créé en moyenne 121.000 emplois au cours des
trois dernières années, cette dynamique a été ensuite perturbée depuis le
début de la crise. Sous l’influence de la crise, l’économie nationale a
perdu, en 2020, 432.000 postes d’emploi. Le taux d’emploi a baissé de
41,6% à 39,4%, le sous-emploi a augmenté de 9,2% à 10,7% et le taux de
chômage a progressé de 2,7 points pour atteindre 11,9%.
11
Quant aux secteurs d’activités et pour la cinquième année consécutive,
l’automobile est le secteur qui offre le plus d’emplois avec une part de
22% des besoins recueillis au niveau national. Il est suivi par le secteur des
NTIC/OFFSHORING (15%), les secteurs des activités de services
administratifs et de soutien et celui de l’Agriculture, Sylviculture et pêche
(9% chacun).
Le recul de l’emploi s’est également traduit par une baisse de 2,2 points
du taux d’emploi qui est passé de 41,6% en 2019, à 39,4 % en 2020,
aggravant la tendance baissière observée ces dernières années.
Entre 2010 et 2019, le taux d’emploi a baissé de 3,5 points. Ce recul est
principalement dû à la hausse du niveau de scolarité et à une faible
intégration des femmes dans le marché du travail, dont le taux d’emploi a
reculé de 4,3 points pour atteindre 18,6 % en 2019, alors que celui des
12
hommes a diminué de 2,5 points à 65,5% sur la même période. En 2020, le
taux d’emploi des femmes a encore reculé à 16,7 % contre 62,9% pour les
hommes.
Sur les 10,542 millions d’actifs occupés, 45,7% travaillent dans le secteur
des services, tandis que le secteur de l’agriculture forêt et pêche
représente 31,3% des emplois, le secteur de l’Industrie (y compris
l’artisanat), 12,1% et le secteur des Bâtiments et travaux publics, 10,8%.
13
2019. Cette baisse est explicitement imputable aux mesures restrictives de
mobilité et de fermeture des frontières instaurés par les autorités depuis
l’apparition des premiers cas de la pandémie liée au covid19.
En 2020, près d’un tiers (29%) des contrats visés au profit des travailleurs
étrangers sont au profit des travailleurs de nationalité française. Cette part
continue à afficher une tendance haussière faible mais stable, soit un
point en pourcentage par rapport à l’année 2019 contre 3 de cette
dernière année par rapport à 2018. Les travailleurs chinois sont en
deuxième position avec une part de 8% contre 9% en 2019. Les philippins
quant à eux gardent le troisième rang avec 5% en 2020 contre 3% en 2019.
14
majeures semblent se dégager lorsqu’est analysée la dynamique
structurelle de l’économie marocaine à travers l’allocation des ressources :
une difficile allocation du travail non qualifié qui découle d’une
industrialisation insuffisante ; une difficile allocation du travail qualifié
résultant de la lenteur de la montée en gamme du tissu économique ; et
une difficile allocation des talents conduisant à un faible dynamisme
entrepreneurial.
15
Population totale
33 848 242
Public
852 000 (42,2%)
Privé
1 166 000 (57,8%)
16
active âgée de 15 ans et plus n’a augmenté que de 115 000 personnes, 81
000 de sexe masculin et 34 000 de sexe féminin. Ceci a pour conséquence
principale une détérioration du taux d’activité sur la période. D’un taux de
54,5% en 1999, il tombait à 46,4% en 2016 (Graphique 9). Cette évolution
particulièrement rapide et négative ne permet donc pas au Royaume de se
rapprocher des pays à revenus similaires ou plus avancés. À noter que les
pays de la région ont des taux comparables.
La création d’emploi a favorisé les citadins et les adultes âgés 2. Avec une
création annuelle moyenne de 129 mille postes d’emploi, le volume
d’emplois au Maroc est passé de 8,845 à 10,646 millions de postes entre
les années 2000 et 2014. Sur les 1,801 million d’emplois créés au niveau
national, 1,283 million l’ont été en milieu urbain (71% du total des emplois
créés) contre 518 mille (29%) en milieu rural. Ce sont les actifs de sexe
masculin qui ont le plus bénéficié de ces nouvelles créations avec 94 mille
2
Évolution de la situation du marché du travail entre 2000 et 2014, HCP, 2015.
17
emplois annuellement (73%) contre 35 mille pour les femmes (27%). Les
bénéficiaires de ces nouvelles créations sont surtout les adultes âgés de 40
à 59 ans avec 100 mille emplois annuellement et ceux âgés de 30 à 39 ans
(50 mille). Les jeunes de 15 à 29 ans, quant à eux, ont perdu annuellement
25 mille emplois, une perte due principalement aux efforts
d’élargissement de la scolarisation et au prolongement de la durée de
scolarité.
3
Principaux enseignements sur la qualité de l’emploi, HCP, 2016.
4
Il s’agit de l’emploi informel approché par l’absence de couverture médicale.
18
AXE II : Les facteurs explicatifs du chômage des jeunes
diplômés au Maroc
Au Maroc, ce sont essentiellement les jeunes diplômés qui ont vu leurs
perspectives d’emploi se dégrader et connaissent de plus en plus de difficultés
d’insertion dans le marché de l’emploi. Sur ce plan, les diplômés enregistrent
les taux de chômage les plus significatives au Maroc (17,3% pour les diplômés
contre 3,5% pour les non diplômés en 2018) selon l’Enquête nationale sur
l'emploi, Haut-Commissariat au plan. Le fait d’avoir un diplôme supérieur
constitue donc une vraie barrière pour accéder à un emploi. Il est pointé
comme étant la première cause du chômage des jeunes diplômés.
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Dans cette perspective, le Maroc devra veiller à former et recruter les
enseignants qualifiés nécessaires au maintien d’un taux d’encadrement
suffisant. Entre 2010 et 2016, le nombre d’étudiants a progressé de 88 %, alors
que le nombre de professeurs dans l’enseignement tertiaire n’a progressé que
de 26 % (MESRSFC, 2016b et 2010). Dans les filières littéraires, le nombre
d’enseignants n’a augmenté que de 14 %, alors que le nombre d’étudiants a
progressé de 137 % (MESRSFC, 2016b et 2010). Il en résulte une dégradation
des taux d’encadrement moyens estimés à 57 élèves par professeur et à 80
dans les filières à accès ouvert (données fournies par le département de
l’enseignement supérieur du MESRSFC). La progression rapide du nombre
d’étudiants, couplée à un contexte de transition démographique avancée,
représente un défi majeur pour le gouvernement. Cela implique que le pays
recrute suffisamment de professeurs qualifiés de l’enseignement tertiaire pour
ralentir, voire inverser, la dégradation actuelle des taux d’encadrement, tout
en garantissant un enseignement de qualité.
21
chômeurs, pour leur permettre de se réorienter vers des formations plus
conformes aux exigences du marché de l’emploi. Ils peuvent, par exemple, se
tourner vers la formation professionnelle ou s’inscrire aux programmes
étatiques de requalification des sortants de l’enseignement supérieur. Ces
dispositifs ne concernent qu’une frange réduite de la population de diplômés-
chômeurs.
24
Au Maroc, l’anticipation des besoins en formation n’apparaît pas suffisamment
structurée. Plusieurs mécanismes institutionnels ont été mis en place pour
mieux identifier les besoins du marché du travail. Au niveau industriel, chaque
écosystème industriel identifie ses besoins en ressources humaines chaque
année et pour chaque région du royaume. Dans le domaine agricole, les
besoins en compétences sont définis dans le cadre de schémas directeurs
régionaux de la formation professionnelle agricole. De plus, en collaboration
avec le Secrétaire d’État à la formation professionnelle, les 33 fédérations
professionnelles sont impliquées dans la définition de leurs besoins en
compétences et dans l’élaboration de la carte nationale de la formation
professionnelle. Le Secrétaire d’État à la formation professionnelle et l’OFPPT
ont également orchestré la création de 11 centres de développement des
compétences qui travaillent comme pôles d’ingénierie, de veille technologique
et de perfectionnement des ressources humaines. L’Anapec réalise également,
chaque année, une étude de veille prospective sur l’emploi basée sur une
enquête sur les intentions de recrutements des entreprises. La coordination
entre ces différents mécanismes d’anticipation des besoins en compétences
gagnerait à être clarifiée pour s’assurer que les besoins en compétences dans
chaque secteur et dans chaque région soient correctement anticipés.
25
La valorisation du potentiel humain mobilisable par le système productif
renvoie à l’action publique en matière d’éducation et de formation et en
matière de protection sociale.
Cet objectif stratégique renvoie à tous les dispositifs de l’action publique visant
à faciliter l’accès et le maintien en emploi productif et décent. Par rapport au
contexte actuel, cet objectif se décline à deux niveaux à savoir (i) la
consolidation et le développement des dispositifs de promotion de l’emploi et
(ii) le développement des services aux employeurs et aux chercheurs d’emploi.
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Ce défi consiste à améliorer les services offerts aux employeurs, à
développer ceux destinés aux chercheurs d’emploi, en généralisant la
couverture tant au niveau territorial qu’au niveau des catégories de
travailleurs ciblées, et à travers la promotion du partenariat public-privé
en matière d’intermédiation.
SOUTENIR LA CRÉATION D’EMPLOIS PLUS NOMBREUX ET DE MEILLEURE
QUALITÉ DANS LES SECTEURS À PLUS FORTE PRODUCTIVITÉ :
27
serait de construire des chaînes de valeur autour de ’industrie automobile de
Tanger. Comme ’illustre le formidable projet du port de Tanger- Med, les
services à haute valeur ajoutée peuvent se développer en tandem avec
’industrie manufacturière, de sorte que les deux stratégies n’excluent pas
mutuellement.
Les problèmes que rencontrent les jeunes pour intégrer le marché du travail
sont une préoccupation majeure au Maroc. A cet égard, la Commission
Spéciale sur le Nouveau Modèle de développement accorde une place majeure
aux jeunes notamment à l’amélioration du capital humain via la formation, le
renforcement du système éducatif afin de favoriser l’émergence d’emplois de
qualité pour la jeunesse. Le phénomène des NEET est particulièrement
inquiétant, car non seulement un grand nombre de jeunes ne travaillent pas,
mais ils n’investissent pas non plus dans leur capital humain pour l’avenir.
Parallèlement à cela, des jeunes gens bien formés connaissent des niveaux de
chômage très élevés. En bref, la situation de ’emploi des jeunes a des
conséquences à long terme sur leur bien-être et sur le potentiel à long terme
de ’économie. Cette situation peut également générer des frustrations et
contribuer à fissurer la cohésion sociale.
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mieux déterminer la nature du soutien à fournir. Le phénomène des NEET et le
problème du chômage des jeunes bien formés présentent des caractéristiques
et des causes sous-jacentes communes. Toutefois, certains aspects spécifiques
de ces deux phénomènes méritent une attention particulière. Cette analyse
sera cruciale pour déterminer les domaines d’action qui permettraient de
faciliter la transition des jeunes du monde scolaire à celui du travail,
notamment des établissements d’enseignement postsecondaire aux emplois
qualifiés.
30
Il est recommandé de définir de nouveaux critères de subventions des
investissements sur la base des résultats des travaux en cours sur le capital
immatériel, d’amender les politiques de soutien à l’investissement sur de
nouveaux critères prenant en compte la rareté des facteurs naturels et la
promotion des innovations. La mise en œuvre de ces recommandations passe
par la réalisation d’études complémentaires à celles en cours (notamment sur
le capital immatériel) et par le soutien à des projets pilotes fondés sur la
gestion économe des ressources et l’exploitation de toutes les formes de
capital.
Des solutions idoines devront être identifiées pour adapter le système des
incitations aux objectifs de promotion de l'emploi et de la compétitivité à long
terme. Il s'agit notamment de réduire le niveau des cotisations et de l'Impôt
sur le revenu en vue d'encourager l'encadrement des entreprises des
industries de transformation, des activités exportatrices et pour appuyer les
entreprises innovantes.
32
Ces financements publics de haut de bilan doivent jouer un rôle d’effet de
levier pour faciliter l’accès, aussi bien des PME que des institutions de
financement de microcrédits, à des financements additionnels, plutôt que de
s’y substituer.
Sur la base des estimations faites18, les engagements financiers annuels de ces
fonds (en prise de participation et prêts participatifs) s’établiraient à environ
350 à 500MDH/ an ; soit quelques 2 à 3 Milliards DH sur 5 ans, si on admet une
phase d’investissement de 5 à 6 ans.
33
Conclusion :
34
diplômés universitaires, offrira de meilleures perspectives d'avenir et assurera
la durabilité et l'inclusivité du Développement économique.
Questionnaire
1- quel est votre genre ?
Masculin
Féminin
Entre 18-22
Entre 22-26
Entre 26-30
Rural
Urbain
BAC
Technicien
Deug
Licence
Technicien spécialisé
Master
Doctorat
10- Est-ce que vous avez refusé un travail qui vous a été proposé ?
Oui
Non
11- Selon vous, pour trouver un bon emploi, quel est le type
d’éducation/formation complémentaire serait utile ?
oui
Non
36
14- Quel est le secteur d’activité que vous Ciblez?
Secteur public
Entreprise privée (secteur non organise)
Secteur d’économie sociale (coopérative, ONG…)
Entreprise privée (secteur organise)
aucun
15- quelle zone géographique vous concentrez vos recherches ?
Région de résidence
Commune/ville de résidence
Etranger
N’importe quelle zone
16- Pensez-vous que votre éducation/formation est utile pour avoir un emploi ?
Très utile
Moyennement utile
Peu utile
Pas utile
17- Quelles sont les démarches que vous effectuez pour chercher un emploi ?
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I- Codage du questionnaire
ID Variable Etiquette de la variable La valeur de la variable
38
Q10 Emploi Refus d’emploi 1. Oui
2. non
39
Par des agences
4. Mettre en place un
système de
compensation pour
perte d'emploi et les
chômeurs
5. Soutenir l'auto-
emploi et les
initiatives locales de
l'emploi
milieu de residence
40
Rural 12 40,0 40,0 40,0
60% des jeunes diplômés sont issus du milieu urbain tandis que 40 % sont
issues du milieu rural
41
On remarque que la majorité des jeunes ont un diplôme de licence et le reste
se réparti comme suit 26.7% représente les jeunes qui ont diplôme de master,
16.7% représente les jeunes qui ont diplôme de technicien spécialisé
13.3% est la proportion des jeunes qui ont un diplôme de baccalauréat, et le
restes se réparti entre les jeunes qui ont un diplôme de technicien et doctorat
23 jeunes diplômés ont affirmé qu’ils ont plus d’un diplôme tand dis que 7
jeunes diplômés qui représente 23.3% ont dit non.
42
6- Avez-vous déjà une expérience professionnelle ?
experience professionnelle
53.3% représente le pourcentage des jeunes diplômés qui ont des expériences
professionnelles et le reste à affirmer qu’il n’a pas d’expérience
professionnelles
43
Etudiant 11 36,7 36,7 100,0
Les personnes sans emploi représentent 63.3% et le reste sont des étudiant.
8- combien de temps êtes-vous dans cette situation de chômage ?
situation en chomage
36.7% représente la situation des jeunes diplômés qui ont vécu une période de
moins d’un an de de chômage
36.7% représente la situation des jeunes diplômés qui ont vécu une période
d’un an jusqu’ à 3 ans du chômage et le reste a vécu 3 ans et plus de chômage.
44
9- quelles sont les raisons pour lesquelles vous êtes sans emploi ?
raisons de chomage
43.3% des jeunes diplômés ont constaté que la raison la plus importante c’est
L’inadéquation de l’emploi avec les profils recherchés tand dis que 36,7 %
trouve que leurs formations sont peu demandées sur le marché de travail et le
reste ont un problème de manque d’expérience pour avoir un emploi.
45
10- Est-ce que vous avez refusé un travail qui vous a été proposé ?
refus d'emploi
11- Selon vous, pour trouver un bon emploi, quel est le type
d’éducation/formation complémentaire serait utile ?
formation complementaire
Valide employeur
46
La plupart des jeunes diplômés 40% recours aux formations de langue
étrangères, 30% choisissent d’avoir des connaissances sur le terrain chez un
employeur, 20% préfère d’avoir des cours informatiques et le reste cours
d’entreprenariat.
Plus de la moitié (53.3%) ont refusé d’accepter n’importe quel type d’emploi et
le reste à accepter d’avoir un emploi quelconque.
47
adequation QetE
48
Le secteur public est le secteur le plus visée pour accéder à l’emploi d’après les
réponses des jeunes diplômés (36.7%) puis le secteur privé (30%) et le reste se
réparti entre l’économie sociale (26.7%) et les autres sont indifférent n’ont pas
de cible exacte.
49
La majorité des jeunes diplômés (43.3%) ne prend pas en considération la
mobilité géographique comme un obstacle tandis que 26.7% préfère la ville de
résidence ainsi que d’autre préfère la commune de résidence et le reste des
jeunes vont recourir à l’étranger
utilite education_formation
17- Quelles sont les démarches que vous effectuez pour chercher un emploi ?
demarche de recherche
51
les employeurs, 23.3% recours aux démarches individuelles et 16.7% utilise
d’autre méthodes pour chercher de l’emploi.
Strategie d'Etat
52
La majorité des jeunes diplômés (33.3%) trouve la solution la plus
adéquat pour résoudre ce problème est Soutenir l'auto-emploi et les
initiatives locales de l'emploi ainsi d’autre (26.7 %) ont opté pour le
renouvellement du système éducatif et le reste (16.7%) ont choisi la
solution d’amélioration des PME et encourager l’innovation et 10 % ont
choisi de Mettre en place un système de compensation pour la perte
d'emploi et d’allocation de chômage
Corrélation entre la qualification des personnes diplômés et le refus d’emploi
oui non
oui 7 7 14
acceptation d'emploi
non 2 14 16
Total 9 21 30
Mesures symétriques
53
Valeur Erreur standard T approximéb Signification
asymptotiquea approximée
54