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1
EE
Forage pétrolier ou puits pétrolier
G
S-
Trou foré dans le sous-sol donnant l’accès aux
M
gisements d ’hydrocarbures.
r./
ét
Types
.P
F. d’eploration (recherche des gisements)
or
F. d’exploitation( l’acces aux gisement et
/F
mise en production des gisements)
.M
KH
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
Forage d’exploitation
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
Forage Rotary
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
EE
Circulation du fluide de forage
G
S-
M
r./
ét
.P
or
/F
.M
KH
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
L’outil (ou trépan)
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
Sélection des diamètres du trépan en
EE
fonction des diamètres de tubage
G
S-
M
r./
ét
.P
or
/F
.M
KH
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
La ligne de sonde
EE
.1
.1
EE
Les fonctions de la ligne de sonde
G
• Transmission du mouvement de rotation,
S-
depuis la surface jusqu’au trépan.
M
• Exercer par son poids une charge axiale sur
r./
l’outil, ce qui va permettre l’écrasement des
ét
terrains.
.P
• - Forme un canal par lequel circule le fluide
or
de circulation. (propre vers le fond, et avec les
/F
déblais vers la surface)
.M
instrumentation et d’autres…)
U
O
R
.1
EE
Eléments d’une ligne de sonde
G
S-
• Les masses-tiges (drill collars), paroi très épaisse
M
• épaisseur comprise entre 25mm et 60mm,un
r./
diamètre de 3 1/8 pouces et 11 pouces
ét
• longueur comprise entre 6 m et 9 m
.P
• filetage réalisée sur la surface conique
or
• filetage normal ou spéciales
/F
respectives de 2mm à 5 mm
KH
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
Les stabilisateurs
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
Tiges lourdes
S-
G
EE
.1
.1
EE
Les tiges (drill-Pipe )
G
S-
• Elles sont placées juste au dessus des masses-
M
tiges
r./
• diamètre est de 60,3 mm à 168,3 mm.
ét
• La longueur est de 6 mm ou de 9 mm
.P
• le diamètre des raccords est supérieur au
or
/F
diamètre extérieur des tiges.
.M
G
S-
• Cette tige fait la liaison entre la tête d’injection
M
et le train de tige
r./
• Elle reçoit le mouvement de rotation par
ét
.P
l’intermédiaire de la table de rotation
• Elle est unique or
/F
• les raccords font partis du corps de la tige
.M
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
EE
Le fluide de forage
G
S-
Il est pompée en continu depuis le bassin de
M
boue, en passant par la tige carrée, les tiges , les
r./
masses-tiges, les orifices de l’outil, l’espace
ét
annulaire entre la paroi du sondage et les le train
.P
de tige pour arriver de nouveau au bassin de
or
/F
boue. Cette circulation, ne doit pas être
.M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
Types de boues
S-
G
EE
.1
.1
Les conditions
EE
Nettoyage du puits
G
Maintien des cuttings en suspension
S-
Sédimentation des déblais fins en surface
M
Refroidissement et lubrification de l’outil et du train de sonde
Prévention du cavage et resserrement des parois du puits
r./
Dépôt d’un cacke imperméable
ét
Prévention des venues d’eau, de gaz , ou d’huile
.P
Augmentation de la vitesse d’avancement
Entrainement de l’outil
or
Diminution du poids apparent du matériel de sondage
/F
Apport de renseignement sur le sondage
Contamination des formations productrices
.M
Toxicité et sécurité
Economie et rentabilité
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
EE
Les fonctions du fluide de forage
G
S-
1-nettoyaage du fond du trou
M
L’écartement de ces « cuttings » est réalisé par le jet du fluide de forage à
r./
travers les orifices du trépan avec une vitesse comprise entre 70 et 150
m/s. Cette vitesse est donnée par la relation
ét
.P
Vf=Q/Ae=4Q/ П *n*d2
or
Avec : Vf , la vitesse du jet de fluide,
/F
Q, débit réalisé par la pompe,
.M
G
Vrc = Q/A=4Q/П (Df2-De2)
S-
Vrc, vitesse de remontée des cuttings ;
M
A, la section de l’espace annulaire,
r./
Df, diamètre du forage ;
ét
De, diamètre extérieur des tiges de forage
.P
La quantité d’argile qag nécessaire pour prépare un volume du
fluide de circulation Vf est déterminée par la relation :
or
qag= ρag*Vf*(ρf-ρe)/(ρag-ρe)
/F
Avec : ρag, la densité d’argile ;
.M
G
S-
M
r./
ét
.P
or
/F
.M
KH
U
O
R
.1
EE
3-Contrôle des pressions
G
S-
Ph= ρ*g*H
M
Pour tenir les fluides existants initialement dans les forages, la pression hydrostatique Ph doit remplir la
r./
condition suivante :
Ph > P f
ét
.P
Ou, Pf est la pression de l’eau dans la formation
La pression Ph est réglée par l’intermédiaire de la densité du fluide utilisé
L’alourdissement de la boue est obtenu en lui ajoutant au mixer de la baryte (BaSO4) de densité entre 3,6 et
4,2 kg/dm3 or
la quantité de la barite nécessaire pour alourdir la boue à une certaine densité on utilise se système suivant :
/F
Vfi+Vb=Vf
.M
et
ρfi*Vfi+ρb*Vb=ρf*Vf
KH
Ou Vfi, volume du fluide initial, Vf, volume final de boue, Vb, volume de baryte, ρfi, densité du fluide initial, ρf,
U
G
S-
-Pour Vfi =1 m3, la quantité Mb de barite nécessaire pour alourdir la boue de
M
ρfi à ρf on obtient :
r./
Vb =(ρf - ρfi)/( ρb - ρf) en m3/ m3
ét
Où
Mb= * = ρb * (ρf - ρfi)/ (ρb - ρf), en tonne/ m3
.P
or
- Vfi = ? Et Vb = ? Pour Vf =1 m3
Vb =( ρb - ρf)/(ρb - ρfi) en m3/ m3
/F
Et
.M
Les relations précédentes peuvent être utilisées dans le cas d’un allègement
du fluide utilisé. En prenant pour ρ b =ρeau
U
O
R
.1
EE
4-le maintien en suspension de cuttings
G
S-
M
r./
ét
.P
or
/F
.M
KH
U
O
R
.1
EE
Les caractéristiques des fluides de forage
G
S-
1-La densité
M
La densité du fluide utilisé peut être déterminée soit
r./
dans le laboratoire, soit sur place, dans le chantier en
ét
utilisant une balance de BAROID
.P
On pèse un échantillon de boue d’un volume, égale à
or
celui de la coupelle cylindrique situé à gauche de la
/F
planche. Et on équilibre en déplaçant le curseur et on
.M
G
S-
De la valeur de la résistivité d’une boue, va
M
dépendre la pression de pompage et la
r./
capacité de ce dernier à transporter les
ét
.P
particules détachées par l’outil.
or
La viscosité peut être déterminée par Entonnoir
/F
de MARSH
.M
KH
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
Entonnoir de MARSH
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
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KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
EE
entonnoir de MARSH
G
S-
L’équipement est formé d’un entonnoir de MARSH
M
d’une capacité de 1,5 litre de boue, et d’un récipient
r./
de capacité d’un litre.
ét
L’entonnoir est terminé par un ajutage rigoureusement
.P
calibré.
or
On mesure le temps en seconds nécessaires pour
/F
l’écoulement de 1 litre de boue, obtenant ainsi la
.M
viscosité MARSH.
KH
EE
viscosité est de 26s
G
S-
M
r./
ét
.P
or
/F
.M
KH
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
Viscosimètre rotatif
EE
G
La viscosité plastique peut être
S-
calculer avec la formule: viscosité
M
plastique= lecture à 600 tours par
r./
minute - lecture à 300tpm,
ét
Exemple:
.P
lecture à 600tpm=56 (taux de
cisaillement) or
Lecture à 300tpm=35(taux de
/F
cisaillement)
.M
= 56-35=21 Cp
U
O
R
.1
EE
3-Thixotropie
G
S-
La thixotropie représente la capacité d’un fluide
M
de forage de passer d’une consistance rigide
r./
(gel) lorsqu’il au repos, et de redevenir fluide
ét
.P
après son agitation.
or
/F
.M
KH
U
O
R
.1
EE
4- Colmatage et filtration
G
S-
La filtration est la capacité du fluide de céder une partie
M
du liquide à travers une membrane perméable sous
r./
l’action de la pression hydrostatique exercée par la
ét
colonne de boue.
.P
Par contre le colmatage est la propriété du fluide de
forage de déposer sur la paroi du forage un dépôt,
or
comme résultat de la filtration.
/F
.M
G
S-
Elle représente la concentration (en
M
pourcentage volumétrique) des particules
r./
solides contenues par le fluide, et don le
ét
.P
diamètre et de 0,074mm à 3mm. Ces sables
proviennent des terrains. Si cette teneur est
or
/F
importante, elle va érodé rapidement
.M
G
S-
Le pH constitue un contrôle de l’acidité et de
M
l’alcalinité de la boue. Le calcul du pH est nécessaire,
r./
surtout, lorsque la boue est traitée chimiquement,
ét
d’ailleurs, il constitue un indice de contamination.
.P
Les fluides naturels ont un pH de 7 à 8, par contre ceux
traités, ont un pH de 8 à 13.Une boue naturelle,
or
dont le pH est supérieur à 11, implique que cette
/F
dernière est contaminée, soit par le ciment, soit par
.M
EE
G
S-
M
r./
ét
.P
or
/F
.M
KH
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
EE
Les composants de base d’un fluide de forage sont l’eau et l’argile. Ce
G
mélange peut être préparé dans le forage même, ou en surface en
S-
utilisant le mixer à boue
Pour le deuxième procédé, la quantité d’argile, Mag , nécessaire à la
M
préparation d’un volume Vf est donnée par la relation :
r./
ét
Mag=Vf * d b(d b - de)/ (d b - df)
.P
Avec: d b, la densité d’argile;
or
d b, la densité du fluide ;
/F
df, la densité de l’eau
Le dosage varie entre 3 et 8 % de bentonite, soit 30 à 80 kg de produit, par
.M
m3 d’eau.
KH
Le mélange s’opère dans les bacs à boue. Elle est reprise ensuite par une
pompe, et refoulée dans le bac pour entrer en circuit dans l’ouvrage.
U
O
R
.1
EE
Tubage des forages
G
S-
Le tubage consiste à introduire dans le forage une colonne formée d tubes
métalliques reliés entre eux par filetage ou par soudure
M
Le but est :
r./
-Consolider les parois ;
-Isoler les formations géologiques conduire à une perte de circulation, ce qui
ét
va entraîner un rétrécissement du diamètre, et démolition des parois.
.P
- Isoler les formations entre elles, par cimentation de l’espace annulaire ;
-Possibilité de montage des différentes installations de surface ;
or
- Former un canal de liaison entre les aquifères et la surface.
/F
Le nombre de colonne dépend de la profondeur de l’ouvrage.
.M
G
S-
Cette colonne peut avoir une ouverture carrée, ou circulaire de 0,8
à 1m de diamètre, et de 3 à 6 m de profondeur.
M
Pour les formations superficielles non consolidées, la profondeur
r./
peut être de quelques dizaines de mettre à quelques centaines
ét
de mètres.
.P
Le rôle de cette colonne est :
-Assurer la verticalité de l’ouvrage ;
or
-Assurer la monté du fluide jusqu’au bassin à boue,
/F
-Isoler les formations aquifères de surface évitant ainsi leur
.M
contamination.
-Lorsque les roches superficielles sont consolidées, on peut
KH
G
S-
Cette colonne est obligatoire, et elle a le rôle de :
• Consolider la surface de l’ouvrage ;
M
• Protéger les ressources superficielles en eau ;
r./
• Empêcher le contact entre les fluides contenus dans les formations et le
fluide de forage ;
ét
• Elle représente un support pour l’équipement de surface.
.P
• La profondeur de cette colonne dépend de la nature des formations
traversées.
or
• Dans les conditions normales, la profondeur est de 50 à 300m.
/F
• Elle peut être de 900 à 1000m. Le diamètre dépend de la profondeur finale
de l’ouvrage, du nombre total des colonnes et de l’objectif du forage, et il
.M
G
Cette colonne est obligatoire,
S-
son rôle est :
M
r./
-Assurer l’exploitation des ressources hydriques ;
ét
-Permettre l’exploitation sélective des différentes
.P
formations ;
-Assurer la réalisation des différentes opérations
or
pour améliorer la production (ex. fissuration
/F
hydraulique).
.M
G
S-
Ces colonnes se trouvent entre la colonne de
M
surface et celle d’exploitation, et elle n’est pas
r./
obligatoire. Le diamètre est de 7’’ à 13 3/8’’
ét
.P
or
/F
.M
KH
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
Centrage des tubes
EE
.1
R
O
U
KH
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/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
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/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
EE
Exemple d’un programme de tubage
G
S-
M
r./
ét
.P
or
/F
.M
KH
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
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KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
cimentation
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
EE
Cimentation des forages
G
S-
La cimentation des forages peut être primaire ou secondaire. Le premier type
est effectué juste après le tubage d’une colonne. L’opération consiste à
M
remplir, par un mélange à base de ciment, tout ou une partie de la hauteur
de l’espace annulaire entre le tubage et les parois du trou forée. Le ciment
r./
utilisé est spécial (type Portland), ce dernier est mélangé à l’eau, avec une
ét
proportion de 1,66…2,5 parties en poids du ciment pour une part d’eau. Ce
qui correspond à un facteur eau - ciment m=E/C=0,6…0,4.
.P
Plus m est importante, plus la viscosité et la densité du mélange obtenu sont
petite, et la tendance de sédimentation et le temps de prise est grand. Pour
or
accroître la résistance du mélange, on ajoute du sable (10 à 40%).
/F
.M
KH
U
O
R
.1
EE
But d’une cimentation
G
Le but de l’opération est de rendre étanche l’espace annulaire, pour
S-
empêcher la pollution des aquifères mises en production, par les eaux
de surface; protéger les tubages contre la corrosion due aux fluides
M
contenus dans les formations traversées; fournir une base étanche
r./
aux équipements installés en tète de puits; colmater les venus d’eau;
ét
obturer les zones à pertes de boue de forage; .
Éviter les infiltrations des eaux de surface.
.P
Obturer l’espace compris entre le cuvelage et les terrains forés sur
or
toute la partie supérieure du forage.
/F
Protéger la colonne de tubage contre la corrosion coté terrain
.M
doit être majoré pour tenir compte des hors profils, irrégularités et
R
G
colonne dans le terrain, et de protéger cette dernière
S-
contre toute action corrosive
Les colonnes intermédiaires, la cimentation peut se
M
faire soit sur toute la hauteur, soit sur une partie,
r./
juste pour isoler certaines formations.
ét
La colonne d’exploitation est cimentée généralement
.P
au niveau des formations productives
or
La cimentation spéciale, est effectuée généralement
dans les forages non tubés. Le but est d’obturer les
/F
formations très perméables
.M
KH
U
O
R
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
Mode opératoire
S-
G
EE
.1
.1
EE
• 1-pompe ; 2 –moteur ; 3- pompe secondaire ; 4 –
G
bassin ouvert ; 5- mixer ; 6 – bassin pour le laitier.
S-
• La cimentation est réalisée par une circulation
M
directe. A travers la colonne de tubage, on va
r./
pomper une quantité bien calculée un laitier du
ét
ciment. Le calcul concerne le volume du laitier à
.P
injecter, le volume de la boue nécessaire pour le
or
mettre en place, et la durée de l’opération
/F
• Pour faciliter l’adhérence du ciment sur la paroi
.M
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
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.1
R
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.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
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/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
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or
.P
ét
r./
M
S-
G
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.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
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.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
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/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
EE
Bouchons de cimentation
G
S-
But: Séparation des fluides (boue, fluide
M
intermédiaire, et laitier)
r./
ét
Types:
.P
1- bouchons inférieur(bottom plug) (utilisation
or
facultative, diaphragme destructible sous
/F
l’effet de faibles pression)
.M
pression
O
R
.1
EE
Mise en place des bouchons
G
S-
M
r./
ét
.P
or
/F
.M
KH
U
O
R
.1
EE
Lancement du bouchon inférieur
G
S-
M
r./
ét
.P
or
/F
.M
KH
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O
R
R
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or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
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U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
R
O
U
KH
.M
/F
or
.P
ét
r./
M
S-
G
EE
.1
.1
Calcul d’une cimentation
EE
G
S-
Si on considère l’exemple de la
M
figure suivante:
r./
Avec :
ét
H ; la profondeur de la colonne, m
Hc ; la hauteur à cimenter, m
.P
h ; la hauteur du ciment dans le tubage,à la
fin de l’opération, m
or Ds ; le diamètre de l’outil de forage, m
Df ; le diamètre du forage ;
/F
De ;le diamètre extérieur de la colonne, m
Di ; le diamètre intérieur de la colonne, m
.M
ρl ; la densité du laitier, m
ρc ; la densité du ciment, m
KH
EE
H ; la profondeur de la colonne, m
Hc ; la hauteur à cimenter, m
G
h ; la hauteur du ciment dans le tubage,à la fin de
S-
l’opération, m
Do ; le diamètre de l’outil de forage, m
M
Df ; le diamètre du forage ;
r./
De ;le diamètre extérieur de la colonne, m
Di ; le diamètre intérieur de la colonne, m
ét
ρl ; la densité du laitier, m
.P
ρc ; la densité du ciment, m
ρe ; la densité de l’eau utilisée, m
or
ρb ; la densité du fluide de forage, m
K ; un coefficient de correction du diamètre de
/F
forage (Df # Do)
.M
G
S-
Le volume du laitier, est déterminé à partir de la relation suivante :
Vl = П*k*(Df2-De2)*Hc+П*Di2*H
M
Pour les conditions normales et si on ne dispose pas de la mesure du diamètreur, on prend k=1,1…1,2.
r./
La quantité de ciment nécessaire est :
Qc= k1qcVl
ét
Ou, qc est la quantité de ciment utilisée pour préparer une unité de volume du laitier ;
.P
Et k1, un coefficient de correction des pertes de ciment (k1 = 1,03…1,06).
Le volume Ve d’eau nécessaire pour préparer le volume Vl est donné par :
or Ve=ve*Vl
Ou, ve est le volume d’eau nécessaire pour préparer une unité de volume du laitier.
/F
La durée d’une cimentation Tc est déterminée avec la relation :
Tc=tl+tb+t
.M
EE
Qc= k1qcVl
G
Ou, qc est la quantité de ciment utilisée pour préparer une unité de volume du
laitier ;
S-
Et k1, un coefficient de correction des pertes de ciment (k1 = 1,03…1,06).
M
Le volume Ve d’eau nécessaire pour préparer le volume Vl est donné par :
r./
Ve=ve*Vl
ét
Ou, ve est le volume d’eau nécessaire pour préparer une unité de volume du laitier.
.P
La durée d’une cimentation Tc est déterminée avec la relation :
orTc=tl+tb+t
Avec : tl-la durée du pompage du laitier, min ;
/F
Tb-la durée du pompage de la boue, min ;
.M
.1