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Correction National SM _session normale 2019

Chimie
I. Suivi cinétique par mesure de volume de gaz.
1. L’expression de l’avancement de la réaction :
D’après l’équation d’état des gaz parfait : P. VCO2 = n(CO2 )RT

– Le tableau d’avancement :

Equation de la réaction CaCO3(s)) + H3 O+


(aq) → Ca2+
(aq) + CO2(g) + 3H2 O(l)

États Avancement Quantité de matière (en mol)


Initial 0 n0 En excès 0 0 En excès
Intermédiaire x n0 − x En excès x x En excès

Final xéq n 0 − xf En excès xf xf En excès

D’après le tableau d’avancement : n(CO2 ) = x


P
Donc P. VCO2 = x. R. T ⇒ x= .V
R. T CO2
1,02. 105
A. N ∶ x= .V ⇒ x = 41,2. VCO2
8,31 × 298 CO2
2. Le temps de demi-réaction :
x
A t1/2 ∶ x1/2 = max
2
x1/2 = 41,2. VCO2 41,2. VCO2
1/2 max
On sait que x = 41,2. VCO2 donc { ⇒ 41,2. VCO2 =
xmax = 41,2. VCO2 1/2 2
max

VCO2
max
VCO2 =
1/2 2
60mL
Graphiquement VCO2 = 60mL donc VCO2 = = 30mL
max 1/2 2
D’après la figure 1, on trouve : x1/2 = 120s

3. La vitesse volumique de la réaction à t1 :


1 dx
On sait que v = . 
Vs dt
dx dVCO2
Sachant que x = 41,2. VCO2 donc = 41,2.
dt dt
41,2 dVCO2
On ramplace dans , On obtient ∶ v = .
Vs dt
41,2 ∆VCO2 41,2 46,8. 10−6 − 39,6. 10−6
Graphiquement ∶ v1 = . = . ⇒ v1 = 1,5mol. m−3 . s−1
Vs ∆t 100. 10−6 200 − 0
II. Dosage d’une solution ammoniac par une solution acide chlorhydrique :
1. Equation de la réaction :
NH3(aq) + H3 O+ +
(aq) ⟶ NH3(aq) + H2 O(l)

2. Le volume VAE :
Graphiquement VAE = 10mL
3. La valeur de la concentration CD :
On a dilué la solution 100 fois, donc : CD = 100. CB 
D’après la relation d’équivalence : CB . VB = CA . VAE
CA . VAE
Donc CB =
VB
CA . VA
On ramplace dans , On obtient ∶ CD = 100.
VAE
2. 10−2 × 10. 10−3
A. N ∶ CD = 100. ⇒ CD = 1mol. L−1
20. 10−3
4.
4.1. Equation de la réaction de l’ammoniac avec l’eau :
NH3(aq) + H2 O(l) ⇌ NH+ −
3(aq) + HO(aq)

4.2. La valeur du pH :
Graphiquement à VA = 0mL, on trouve pH = 10,6
4.3. Les concentrations [NH3 ] et [NH+
3] :

– Le tableau d’avancement :

Equation de la réaction NH3(aq) + H2 O(l) ⇌ NH+ −


3(aq) + HO(aq)

États Avancement Quantité de matière (en mol)


Initial 0 CB . VB En excès 0 0
Intermédiaire x CB . VB − x En excès x x
Équivalence xéq CB . VB − xéq En excès xéq xéq

D’après le tableau d’avancement :


xéq
[NH+3 ] = [HO −
] =
VB
CB . VB − xéq xéq
[NH3 ] = = CB − = CB − [HO− ]
{ VB VB
Ke Ke
D′ autre part Ke = [H3 O+ ]. [HO− ] donc [HO− ] = +
= −pH = Ke . 10pH
[H3 O ] 10
[NH+
3 ] = Ke . 10
pH
Donc {
[NH3 ] = CB − Ke . 10pH
[NH+
3 ] = 10
−14
× 1010,6 [NH+ −4
3 ] = 3,98. 10 mol. L
−1
A. N ∶ { ⇒ {
[NH3 ] = 10−2 − 10−14 × 1010,6 [NH3 ] = 9,6. 10−3 mol. L−1
4.4. La valeur de pKA :
On a ∶ pKA = − log(KA )
[NH3 ]. [H3 O+ ] [NH3 ]. 10−pH
D′ autre part KA = =
[NH+ 3] [NH+ 3]

[NH3 ]. 10−pH
Donc pKA = − log ( )
[NH+ 3]

9,6. 10−3 × 10−10,6


A. N ∶ pKA = − log ( ) ⇒ pKA = 9,2
3,98. 10−4
5. La valeur de pKA en utilisant les 3 courbes :
[NH3 ] [NH3 ]
On a ∶ pH = pKA + log ( + ) donc pKA = pH − log ( )
[NH3 ] [NH+
3]

Graphiquement à VA = 5mL :
– On trouve [NH3 ] = [NH+ −3
3 ] = 4. 10 mol. L
−1
(Figure ).
– pH = 9,2 (Figure )
4. 10−3
A. N ∶ pKA = 9,2 − log ( ) ⟹ pKA = 9,2
4. 10−3
6.
6.1. La courbe qui correspond l’évolution de la concentration de NH3 :
Au cours du dosage on ajoute la solution d’acide chlorhydrique, l’ammoniac NH3 réagi avec les ions
H3 O+
(aq) donc la concentration de NH3 diminue avant l’équivalence.

Donc d’après la figure , la courbe 3 correspond l’évolution de la concentration de NH3 .


6.2. La concentration molaire [NH3 ] :
– Graphiquement à pH = 8,8, on trouve VA = 7,4mL (Figure )
– Graphiquement à VA = 7,4mL, on trouve [NH3 ] = 2. 10−3 mol. L−1 (Figure )
III. Electrolyse d’une solution d’acide chlorhydrique.

1. L’équation de la réaction qui se produit au niveau de l’anode : 2Cl(aq) ⇄ Cl2(g) + 2e−

2. L’équation bilan de l’électrolyse : 2H+ −


(aq) + 2Cl(aq) ⟶ H2(g) + Cl2(g)

3. La valeur du pH de la solution :
On sait que : pH = − log([H3 O+ ]) 
I.△ t I. (t − t0 ) I. t
On a Q = I.△ t = n(e). F donc n(e) = = = 
F F F
– Le tableau d’avancement de la réaction cathodique :

Equation de la réaction 2H+ −


(aq) + 2e ⟶ H2(g)

États Avancement Quantité de matière (en mol)


t0 = 0 0 C0 . V0 0 0
t = 30min x C0 . V0 − 2x 2x x
D’après le tableau d’avancement : n(e) = 2x
I. t I. t
D′ après  ∶ 2x = donc x= 
F 2F
C . V − 2x 2x
[H+ ] = 0 0 = C0 −
V0 V0
I. t
D’après , on obtient : [H+ ] = C0 −
FV0
I. t
D’après , on obtient : pH = − log (C0 − )
FV0
0,50 × 30 × 60
A. N : pH = − log (5. 10−2 − ) ⟹ pH = 1,50
9,65. 104 × 500. 10−3
Physique
▪ Exercice 02 : Transformation nucléaires.
1. Equation de la réaction de la fusion nucléaire :
2
1H + 31H → 42He + 10n
2. Le nombre d’affirmations justes est : 2 (b) et (d).
3. L’énergie de liaison du noyau de l’hélium :
D’après le diagramme on a : El ( 42He) = E1 − E3 = 4,69526. 104 − 4,66697. 104
El ( 42He) = 28,29MeV
4. L’énergie libérée par la réaction de fusion :
D’après le diagramme on a : ∆E = E3 − E2 = 4,66697. 104 − 4,68456. 104 ⟹ ∆E = −17,59MeV
Donc |∆E| = |−17,59| ⟹ |∆E| = 17,59MeV
5. L’énergie libérée par une mol de deutérium :
On sait que : E = N. |∆E|
N
D’autre part : n = donc N = n. NA
NA
Alors : E = n. NA . |∆E|
A.N : E = 1 × 6,022. 1023 × 17,59 ⟹ E = 1,059. 1025 MeV
6. La valeur de n :
On a : E = 1,059. 1025 × 1,6022. 10−13 ⟹ E = 1,697. 1012 J
Une tonne équivalent pétrole (tep) représente 4,2. 1010 J, donc :
1tep → 4,2. 1010 J 1,697. 1012
⟹ n= ⟹ n = 40,40
n → 1,697. 1012 J 4,2. 1010
▪ Exercice 03 : Electricité.
1. Charge d’un condensateur – Oscillations libres d’un circuit RLC série.
1.1. L’équation différentielle vérifiée par uC :

D’après la loi d’additivité des tensions : uR + uC = E


D’après la loi d’hom : uR = R0 . i donc R0 . i + uC = E
dq
i= du
D′autre part { dt ⟹ i = Ce C
q = Ce . uC dt
du
Donc R0 . Ce C + uC = E
dt
Puisque les deux condensateurs sont montés en parallèle, donc : Ce = C + C = 2C
du
Alors 2R0 . C C + uC = E
dt
1.2. L’intensité du courant i juste après la fermeture du circuit :
D’après la loi d’additivité des tensions : uR (0) + uC (0) = E donc uR (0) = E − uC (0)
D’autre part uR (0) = R0 . i(0)
E − uC (0)
Donc R0 . i(0) = E − uC (0) ⟹ i(0) =
R0
Graphiquement uC (0) = 0 et uC (∞) = E = 6V.
6−1
A. N ∶ i(0) = ⟹ i(0) = 6. 10−3 A
103
1.3. La valeur de la capacité :
τ
On sait que : τ = 2R0 . C donc C =
2R0
Graphiquement τ = 0,24ms
0,24. 10−3
A. N ∶ C = ⟹ C = 1,2. 10−7 = 120nF
2 × 103
1.4.
1.4.1. L’équation différentielle vérifiée par la charge q(t) :

D’après la loi d’additivité des tensions : uR + uL + uC = 0


uR = R0 . i
di
On sait que ∶ uL = L
dt
q
{ uC = 2C
di q
Donc R0 . i + L + =0 
dt 2C
dq dq d2 q
D′ autre part i= donc = 2
dt dt dt
dq d2 q q
On remplace dans  on obtient : R0 +L 2 + =0
dt dt 2C
d2 q R0 dq 1
2
+ + q=0
dt L dt 2LC
1.4.2. L’expression de la dérivée par rapport de temps :
1 2 1 2 dET 1 du 1 di
On a : ET = Ee + Em = CuC + Li donc = × 2CuC C + × 2Li
2 2 dt 2 dt 2 dt
dET duC di
= CuC + Li
dt dt dt
du dET di
On sait que i = C C donc = iuC + Li
dt dt dt
dET di
= i (uC + L )
dt dt
di dET
D’après , on obtient L + uC = −R0 . i donc = i(−R0 . i)
dt dt
dET
= −R0 . i2
dt
La diminution de ET au cours du temps dû à la dissipation de l’énergie par effet Joule au niveau de la
résistance du conducteur ohmique.
2. Oscillation RLC série en régime forcé :
2.1. La fréquence N0 :
1 1
A la résonance on a : N0 = = √
T0 2π LC
1
A. N : N0 = ⟹ N0 = 9188,81Hz
2π√2,5. 10−3 × 120. 10−9
2.2. Vérification que N1 et N2 délimitent la bande passante :
Pour que les deux fréquences N1 et N2 délimitent la bande passante, il faut que :
I
Ieff = √0
2
0,71
A. N ∶ Ieff = √ ⟹ Ieff = 0,50A
2
– Le facteur de qualité :
N N0
On a Q = 0 =
∆N N2 − N1
9188,81
A. N ∶ Q= ⟹ Q = 1,44
12,90. 103 − 6,54. 103
2.3. La valeur de R1 :
L’impédance Z du circuit à la résonance :
1 L 1 L1
On a Q = √ 1 donc R1 = √
R1 C Q C
1 2,5. 10−3
A. N ∶ R1 = √ ⟹ R1 = 100Ω
1,44 120. 10−9
2.4. La puissance moyenne dissipée par effet Joule :
On a : Pth = R0 . I20
A.N : Pth = 100 × (0,71)2 ⟹ Pth = 50,41W
3. Réception d’une onde hertzienne.
3.1. Eliminer l’onde porteuse et la tension continue pour obtenir le signal démoduler.
3.2. Le graphe correspondant à chacun des tensions uQM et uTM :
– La courbe (1) correspond à la tension uQM , car la diode bloque les alternances négatives et obtient
une tension redressée.
– La courbe (2) correspond à la tension uTM , car cette étape élimine la tension continue et obtention
du signal modulant.
▪ Exercice 04 : Mécanique.
• Partie I : Etude de la chute d’une bille.
1. L’équation différentielle vérifiée par la vitesse v :
– Système étudié : {la bille}
– Bilan des forces :
▪ P⃗ : le poids.
▪ R⃗ : la résistance de l’air.
D’après la 2éme de Newton appliquée sur la bille dans le repère galiléen :
∑ ⃗F = m. a⃗G
P⃗ + R⃗ = m. a⃗G
– On projette cette relation sur l’axe (O; k⃗) : Px + Rx = m. ax
P − R = m. ax
dv
mg − λ. v = m
dt
dv λ
= g − .v
dt m
dv λ
+ .v = g
dt m
2. La valeur de λ :
dv
En régime permanent : V = Vlim = Cte donc =0
dt
λ mg
On remplace dans l’équation différentielle : 0 + . Vlim = g donc λ =
m Vlim
Graphiquement :Vlim = 20m. s−1
0,1 × 10
A. N ∶ λ = ⟹ λ = 5. 10−2 Kg. s−1
20
3. Comparaison l’intensité de la résistance R⃗ à celle du poids P⃗ :
– Dans le régime transitoire : la vitesse de la bille augmente successivement tel que :
mg
V < Vlim ⟹ V<
λ
Vλ < mg
R<P
– Dans le régime permanent : la vitesse de la bille augmente successivement tel que :
mg
V = Vlim ⟹ V=
λ
Vλ = mg
R=P
4. L’allure de la courbe représentant l’évolution de la vitesse v(t) :
t
−τ
𝑣(𝑚. 𝑠−1 )
On a : v(t) = A + Be 14

12

10

𝑉𝑙𝑖𝑚
2
𝑡(𝑠)
0
0 0,025 0,05 0,075 0,1 0,125 0,15 0,175 0,2
• Partie II : Etude du mouvement d’un oscillateur : le gravimètre.
1. L’équation différentielle vérifiée par θ :
– Système étudié : {la tige OA}
– Bilan des forces :
▪ P⃗ : le poids.
▪ R⃗ : Action de l’axe de rotation.
▪ M∆ : Action du couple de torsion.
On applique la relation fondamentale de la dynamique dans un repère terrestre supposé galiléen :
⃗ ) = J∆ . θ ̈
∑ M∆ (F

M∆ (P⃗) + M∆ (R⃗) + M∆ = J∆ . θ̈

– M∆ (R⃗) = 0
– M∆ (P⃗) = mgd = mg. OG. sin(θ) = mg. l. sin(θ)
– M∆ = −C. θ
mg. l. sin(θ) + 0 − C. θ = J∆ . θ̈
Pour les petits angles : sin(θ) ≈ θ
Donc mg. l. θ − C. θ = J∆ . θ̈ ⟹ (mg. l − C)θ = J∆ . θ̈
J∆ . θ̈ + (C − mg. l)θ = 0
(C − mg. l)
θ̈ + θ=0
J∆
2.
2.1. L’expression de l’énergie de potentielle totale de l’oscillateur :
On a : EP = EPt + EPP
1
A θ = 0, on a EPt = 0, donc 0 = C. 02 + C ⟹ C=0
2
1
Donc EPt = Cθ2
2
D’autre part : EPP = mgy + C
A y = 0, on a EPP = 0, donc 0 = mg × 0 + C ⟹ C = 0
Alors EPP = mgy
θ2 θ2
Graphiquement y = lcos(θ) = l (1 − ) donc EPP = mgl (1 − )
2 2
1
On sait que EPt = Cθ2 + C
2
1 θ2 1 mglθ2
Alors EP = Cθ2 + mgl (1 − ) = Cθ2 + mgl −
2 2 2 2
1
EP = (C − mgl)θ2 + mgl
2
2.2. L’équation différentielle :
1 1
On sait que ET = EP + EC = J∆ . θ2̇ + (C − mgl)θ2 + mgl
2 2
Puisque les frottements sont négligeables, on a ET = Cte
dET 1 1
Donc =0 ⟹ 0= × 2J∆ . θθ̇ ̈ + × 2(C − mgl)θθ̇
dt 2 2
0 = J . θθ̇ ̈ + (C − mgl)θθ̇

(C − mgl)
0 = J∆ . θ̇ (θ̈ + θ)
J∆
(C − mgl)
Donc θ̈ + θ=0
J∆
2.3.
2.3.1. L’expression de T0 :
2π 2π 2π
On a : θ = θmax cos ( t + φ) donc θ̇ = − θmax sin ( t + φ)
T0 T0 T0
2π 2 2π
θ̈ = − ( ) θmax cos ( t + φ)
T0 T0
2π 2
θ̈ = − ( ) θ
T0
On remplace dans l’équation différentielle :
2π 2 (C − mgl)
−( ) θ + θ=0
T0 J∆
2π 2 (C − mgl)
θ [− ( ) + ]=0
T0 J∆
(C − mgl) 2π 2
=( )
J∆ T0

(C − mgl) 2π
√ =
J∆ T0

J∆
T0 = 2π√
(C − mgl)

2.3.2. La valeur de g :

J∆ T0 J∆
On a ∶ T0 = 2π√ donc =√
(C − mgl) 2π (C − mgl)

T0 2 J∆
( ) =
2π (C − mgl)
J∆
C − mgl =
T 2
( 2π0 )

J∆
C− = mgl
T0 2
( 2π )

C J∆
g= −
ml T2
ml 02

1,4 2,5. 10−2
A. N ∶ g= − ⟹ g = 9,82m. s−2
0,1 × 58,4. 10−2 (1,1)2
0,1 × 58,4. 10−2 4 × 10
2.4.
2.4.1. La valeur de Em :
Graphiquement à θ = θmax on a θ̇ = 0
Donc Em = Ep,max = 590mJ

2.4.2. La valeur absolue de θ̇ :


1 1
On a ∶ Em = J∆ . θ2̇ + EP donc Em − EP = J∆ . θ2̇
2 2
2(Em − EP )
= θ2̇
J∆
2(Em − EP )
|θ|̇ = √
J∆

Graphiquement à θ = 0,125rad on a EP = 580mJ

2(590. 10−3 − 580. 10−3 )


A. N ∶ |θ|̇ = √ ⟹ |θ|̇ = 0,89rad. s−1
2,5. 10−2

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