Introduction aux neurosciences

Bases de biologie et Neuro-Anatomie

EP12NSCC
Enseignants : C. Vallat-Azouvi, G. Chevreau, A. Ernst, A. Jacquot, G.
Mazo, M. Parker

Gaëtan Chevreau
Doctorant contractuel– UFR de psychologie
Laboratoire LPN- EA 2027
gaetan.chevreau02@univ-paris8.fr

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Organisation
◼ 12 cours de 3h 2h, à distance les semaines paires
(2ème semaine, 4ème, …)
❑ 6 séances en présentiel

◼ Respect des mesures

sanitaires

❑ 6 séances à distance
◼ Cours à lire en amont, séance en visio-
conférence construite selon vos
questions/demandes

2
Organisation : Moodle
◼ « Introduction aux Neurosciences - G. Chevreau »
❑ EP12NSCC Intro Neuro

◼ Clé d’inscription : NFHGISO

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Organisation

◼ Examen
❑ CC : au choix de l’étudiant (CC1 le 06/11)
❑ CF : obligatoire

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Objectifs généraux
◼ Acquérir les notions de bases en
neurophysiologie et en neuroanatomie pour
comprendre les relations entre le cerveau et la
cognition et les comportements
◼ Comprendre le fonctionnement et
l’organisation du système nerveux du niveau
microscopique au macroscopique
◼ Connaitre les différentes techniques
d’exploration du système nerveux

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PLAN du Cours
◼ 1. Introduction
◼ 2. Histologie du système nerveux
◼ 3. Physiologie du neurone: le potentiel d’action
◼ 4. La transmission synaptique
◼ 5. L’organisation du système nerveux
◼ 6. Neuro-anatomie: les structures cérébrales
◼ 7. Ontogénèse / Phylogénèse
◼ 8. L’étude du système nerveux
◼ 9. Techniques d’ exploration du système nerveux
6
◼ Références :
❑ Breedlove, Rosenzweig & Watson (2010): « Psychobiologie »,
édition De Boeck
❑ Picq (2009): « Biologie pour psychologues », édition De Boeck
❑ Bears, Connors, Paradiso (2007): "Neuroscience, à la découverte
du cerveau", Edition Pradel
❑ Boujard (2010): « Biologie pour psychologues » Edition Dunod
❑ Site pédagogique, université de McGill: Le cerveau à tous les
niveaux
◼ Lectures :
❑ « L’erreur de Descartes », Damasio
❑ « L’homme neuronal », JP. Changeux
❑ Et autres …. Voir différents cours
◼ Moodle

7
Introduction aux
neurosciences

8
◼ Neurosciences : sciences « récentes » ?

◼ Toutânkhamon (il y a 3300 ans)

◼ Légende Hindoue : la légende de Sita

❑ Problème des relations psychisme / corps.

◼ Hippocrate (-400 av. JC) : défend le rôle du

cerveau dans les pensées et les émotions

9
 Connaître l’humain:
l’apport des neurosciences cognitives
◼ « (…) une culture générale mise au goût du XXIème siècle ne devrait
pas faire l’économie d’une teinture de neurosciences cognitives. En
effet, c’est là que s’élabore sans doute la compréhension rationnelle
la plus poussée que l’homme ait jamais entreprise de sa propre
nature. »
Cohen, L. 2004. L’homme thermomètre – Le Cerveau en
pièces détachées. (O. Jacob). Paris. P247

◼ Premier cours de psychophysiologie par Henri Piéron

dans les années 1940
❑ Expérimentation difficile chez l’humain
➔ étude plutôt chez l’animal
❑ Evolution des techniques
➔ Etudes chez l’humain
Henri Piéron (1881-1964)
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◼ « La psychologie est la science
de la vie mentale » James 1890
Williams James (1842-1910)

◼ Système nerveux (SN):

– pensées
– actions, comportements
– sentiments, émotions
– apprentissage, mémorisation…
→ Fonctions mentales ou cognitives

◼ Neurosciences cognitives → comprendre le fonctionnement du SN

◼ Pathologies qui l’affectent (lésions, traumatismes,…)

→ Neuropsychologie

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Neuropsychologie ?
◼ Idée à l’origine de la neuropsychologie :
❑ le fonctionnement psychologique peut être mis en
relation avec les structures anatomiques et le
fonctionnement cérébral

◼ Postulat central de la neuropsychologie

cognitive: les conduites et processus mentaux
sont sous-tendus par des événements physico-
chimiques ayant leur siège dans le cerveau (X.
Séron, 1994)

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 Objectifs

◼ Comprendre comment le cerveau sous-tend les

processus psychologiques
◼ Comment se développent ses potentialités au
cours de la vie
◼ Comment elles sont altérées par la maladie
◼ Quelles sont les propriétés spécifiques au
cerveau

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Distinctions
◼ La neuropsychologie animale

◼ La neuropsychologie humaine
❑ Centrée sur l’analyse des troubles présentés par des
patients atteints de lésions cérébrales
❑ Centrée sur l’étude des différences latérales et de la
spécialisation hémisphérique chez le sujet normal
❑ Versant développemental, vieillissement normal et
pathologique
→ Analyse des troubles cognitifs de patients cérébro-lésés,
permet de comprendre la cognition humaine normale
➔ modèles cognitifs

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La neuropsychologie s’inscrit à l’interface

Sciences
Neurosciences Neuropsychologie
cognitives

◼ Avec les neurosciences : comprendre les mécanismes

neuronaux de base et les connectivités
◼ Avec les sciences cognitives : comprendre les types
d’opérations ou fonctions cognitives que réalise le
système nerveux central

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 Fonctions cognitives ?
◼ Processus cérébraux par lesquels l’être humain
acquiert l’information, la traite, la manipule, la
communique, et s’en sert pour agir.

❑ Fonctions réceptives : sensation, perception

◼ Traitement et intégration de l’information
❑ Mémoire (et apprentissage)
❑ « Pensée » : raisonnement, résolution de problème,
abstraction, organisation …
❑ Fonctions expressives : gestes, langage…
◼ communication

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 Troubles cognitifs ?
◼ Altération d’une ou plusieurs fonctions
cognitives résultant d’un dysfonctionnement
cérébral et/ou d’une lésion cérébrale
❑ Global : affecte toutes les fonctions cognitives
de façon homogène
❑ Spécifique : affecte une ou plusieurs fonctions
cognitives particulières

◼ Lésion cérébrale : acquise ou dégénérative

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Troubles cognitifs ?
◼ Les troubles peuvent survenir
❑ Dès la naissance
❑ Au cours de l’enfance

❑ Au cours de l’adolescence

❑ ou à l’âge adulte

◼ Liés à un trouble du développement, ou acquis à

la suite d’un accident ou d’une maladie
❑ Etiologies très variées

◼ Transitoires ou durables

18
Neuropsychologie clinique ?

« Clinical neuropsychology is an applied

science concerned with the behavioral
expression of brain dysfunction. Its
rapid evolution in recent years reflects
a growing sensitivity among clinicians
to the practical problems of
identification, assessement, care and
treatement of brain damaged
patients » (Muriel Lezak, 1995)

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 Rôle du neuropsychologue clinicien ?
◼ Déterminer les aspects du fonctionnement cognitif et du comportement
qui sont altérés et identifier ceux qui sont préservés
◼ Mettre en place un programme de traitement : rééducation
(remédiation / revalidation)
❑ qui s’appuiera sur les capacités préservées
◼ Objectif :
❑ Restauration des processus cognitifs : diminuer la déficience
❑ Réorganisation et facilitation des processus altérés en s’appuyant sur les
processus préservés
❑ Compensation : diminuer les limitations d’activités (incapacités) et la
restriction de participation (handicap) en agissant sur l’environnement et la
mise en place de stratégie de compensation
➔ améliorer l’autonomie du patient dans sa vie quotidienne
◼ Assurer le suivi à court et à long terme des patients
◼ Conseil et soutien auprès de l’environnement
❑ Milieu médical, du patient et de son environnement social, familial et
professionnel
20
 Outils ?
◼ Issus de la psychologie
❑ Psychométrie
❑ Techniques d’entretien
❑ Apprentissages ….
◼ Issus de la psychologie cognitive
❑ Modèles cognitifs / connaissance du fonctionnement
cognitif chez le sujet sain
◼ Issus de la neuropsychologie
◼ Issus des neurosciences
❑ Connaissance du fonctionnement cérébral / base
biologique
21
Quelques autres applications
des neurosciences cognitives
dans divers domaines…

22
Détecter le mensonge

Garrett et al., (2016). Nature Neurosciences

Langleben, et al. (2016). The Journal of
Clinical Psychiatry.

23
IRMf dans les Tribunaux

… oui mais…
https://lejournal.cnrs.fr/billets/jusquou-utiliser-limagerie-cerebrale-en-justice

24
Existence de l’inconscient ?
Le paradigme d’amorçage (Meyer and Schvanedeldt, 1971)

25
Existence de l’inconscient ?
1956, New Jersey
◼ Insertion de messages subliminaux dans des
films pour « manipuler » les personnes

26
Communiquer avec des patients en état
végétatif

Owen, et al. (2006). Science

Monti, et al. (2010). New England Journal of Medicine

27
Ce que nous sommes capables de percevoir

28
Ce que nous sommes capables de percevoir

29
Ce que nous sommes capable de percevoir
◼ Codage de 4 attributs
❑ Codage de la modalité
❑ Codage de l’intensité
◼ Intensité seuil / détection de contraste :
❑ Codage du décours temporel
❑ Codage de la localisation
◼ Seuil de discrimination spatiale :

30
Les a priori du système nerveux
Principe de similitude

31
Les a priori du système nerveux

Principe de fermeture
(ou de clôture)

32
Postulat de distinction fond/forme

33
34
35
La bistabilité

36
37
38
Psychologie : survol historique

Neurosciences : années 70
Neuropsychologie Cognitive : années 90
Neurosciences computationnelles : années 90-2000

39
 Le Papyrus Edwin Smith (1550 av JC)

Sur 48 cas, 27 concernent des

traumatismes de la tête
(blessures profondes du cuir
chevelu et fractures) et six se
rapportent à des traumatismes
vertébraux.

Premier document écrit utilisant le mot « cerveau »

(littéralement « moelle du crâne ») et établissant le lien
entre cet organe et les fonctions qu'on lui connaît
aujourd’hui (motricité, pensée).

40
Cerveau / esprit ?
◼ Claude Galien (129-199)
❑ Observation de gladiateurs blessés à la tête qui
manifestaient des troubles du comportement
(rôle du cerveau non central)

◼ Anatomie: Léonard De Vinci et André

Vésale (1514-1564) : Les fonctions
humaines découlent de la matière grise
◼ Dualisme du corps et de l’esprit: Descartes
(1596-1650): Séparation des fonctions
– Physiques
– Mentales
→ Communication entre les 2 via glande pinéale

41
 Les études fondatrices:
la phrénologie
◼ Franz Joseph Gall (1758 –
1828)
◼ Anatomiste de renom
◼ Continuité de la substance
grise corticale
◼ Première expression de
l’hypothèse
localisationniste
◼ Division du comportement
humain en composantes
associées à des régions
corticales spécifiques
42
Phrénologie identifie 27 facultés innées en relation directe avec
certaines régions du cerveau

43
La bosse des maths…

44
La naissance de l’aphasiologie
Paul Broca (1824-1880)
◼ 1861 : Patient E. Leborgne, dit
« tan-tan »
◼ Description précise de l’aphasie
◼ Patient sans déficits
comportementaux
➢ Examen post-mortem précis
➢ Lésion et perte du langage
articulé
◼ Concept de latéralisation

45
Lésion de l’aire de Broca

46
 IRM du cerveau du premier patient de Broca: Leborgne («Tan »)

Cabanis et al., 1994

47
Dronkers et al., 2007 Accès à l'article
 La naissance de l’aphasiologie
Wernicke, 1874
◼ Carl Wernicke (1848 – 1904), élève de
Meynert
◼ Constate des aphasies avec lésions
différentes de celles décrites par Broca
◼ Décrit le langage comme la combinaison
de deux fonctions distinctes
◼ Conciliation des thèses
localisationnistes et associationnistes

48
Lésion causant une aphasie de Wernicke

49
 Harlow (1868): le cas Phineas Gage

❖« Sociopathie acquise »
❖Trouble du jugement, prise de décision, des conduites sociales et de la
personnalité
❖Performances cognitives et motrices intactes
❖Cf. A. Damasio : « l’erreur de Descartes », Edition O. Jacob, 1995

50
Approche Holistique
Pierre Jean Marie Flourens (1794-1867)

◼ Etude chez les oiseaux

◼ Une lésion cérébrale particulière ne s’accompagne pas
de troubles du comportement définis chez l’oiseau
◼ → « Il n’y a donc pas de siège pour les différentes
facultés, ni pour les diverses sensations… » (1842)

◼ Apparition de la théorie holistique

51
 Le courant Globaliste

◼ Hughlings Jackson (1835-1911)

◼ Point de contradiction : possibilité de localiser
des fonctions dans le cerveau
◼ Pathologie =
❑ Dissolution d’un comportement normal
❑ Pas de références à des structures anatomiques
◼ Position globaliste => mise au point de batterie
de tests standardisées

52
 Les modèles anatomo-fonctionnel
contemporains
◼ Geschwind (1926-1984) : le néo-localisationnisme
◼ Utilisation de techniques de stimulations électriques
chirurgicales
◼ Conception dynamique des localisations cérébrales : en
faveur de l’existence de localisations fonctionnelles ET en
faveur de l’existence d’une plasticité du système nerveux

◼ Développement des moyens d’exploration

neuroradiologiques

53
 Les courants de pensée
XIXe siècle

Théorie Holistique Théorie Localisationniste

Le cerveau fonctionne comme un tout. Chacune Chaque partie du cerveau remplie une fonction
de ses parties est indispensable à tout particulière de façon indépendante du reste du
comportement cerveau

XXe siècle

Théorie connexionniste
Chaque fonction psychologique (langage,
émotion, comportement, ect…) est le fruit de
l’activité de plusieurs zones cérébrales qui
travaillent ensemble
(Papez, Luria)

54
 A partir de 1900 : les débuts de l’histologie

Golgi (1843 – 1926) Cajal (1852 – 1934)

Exemple de neurones colorés par la Représentation des neurones du cortex

méthode de Golgi par Ramon y Cajal

► Idée d’un syncytium neuronal (entité ► les neurones sont unitaires et forment un
qui contient plusieurs noyaux) réseau 55
La synapse
Charles Sherrington (1857-1952)

56
Cartes Cytoarchitectoniques
Korbinian Brodmann (1868-1918)

57
Cartes Cytoarchitectoniques
Korbinian Brodmann (1868-1918)

58
L’homonculus cérébral

Wilder Penfield (1891-1976)

59
Les différents niveaux de description

molécules
ions

60
Quelques notions de base
à connaître…

61
 Base unitaire de la matière
ATOME
electron

neutron
proton

◼ Plus petite partie d’un corps simple pouvant se combiner chimiquement

avec un autre
◼ Noyau est constitué de :
❑ protons, chargés positivement,
❑ et de neutrons, électriquement neutres

◼ Autour du noyau, gravitent des électrons (chargés négativement) pour

former un nuage 40 000 fois plus étendu que le noyau lui-même

62
 Base unitaire de la matière
MOLECULE

• Assemblage chimique électriquement neutre, d'au moins deux

atomes

• Représente la plus petite quantité de matière possédant les

propriétés fonctionnelles de la substance considérée (ex : H2O).

63
Base unitaire de la matière
ION
◼ Atome ou molécule ayant gagné ou perdu un ou
plusieurs électrons.
❑ Perte d’électron(s): charge globalement positive
(puisque l’atome perd une/des charges négatives)
→ Cation (ex : ion/cation Sodium Na+)

❑ Gain d’électron(s): charge globalement négative

(puisque l’atome gagne une/des charges négatives)
→ Anion (ex. ion/anion Chlorure Cl-)

64
Base unitaire de la matière
PROTEINES
◼ Molécules fondamentales
◼ Assurent l’essentiel des fonctions de la cellule
(architecture, protection, nutrition…)
◼ Différentes formes
❑ Enzymes, hormones, récepteurs, neurotransmetteurs
❑ Macromolécules constituées de longues chaînes d’acides aminés
(éléments de base)
❑ Leur production dépend de l’ADN contenu dans les gênes

65
 Base unitaire de la matière
NUTRIMENTS
◼ Molécules ou éléments minéraux qui constituent les
aliments, indispensables au fonctionnement de l’organisme.
◼ Peuvent être produits par notre système, mais en quantité
insuffisante
→ Besoin de se nourrir

◼ Les lipides: ensemble des graisses

◼ Les glucides: ensemble des sucres
◼ Les protides: acides aminés et protéines
◼ Les vitamines: antioxydants indispensables.

66
Base unitaire de la matière
L’ATP

◼ L’ATP : Adénosine Triphosphate

◼ Molécule qui fournit l’énergie nécessaire
aux réactions chimiques du métabolisme
❑ chez tous les organismes vivants

67
L’unité de base du vivant : la cellule
Cellule Eucaryote Cellule Procaryote

68
69
La cellule eucaryote

70
La cellule eucaryote
◼ Le noyau de la cellule contient l’ADN
◼ ADN : acide désoxyribonucléique
❑ Molécule
❑ Renferme l’ensemble des informations nécessaires au
développement et au fonctionnement d’un organisme
❑ Transmis lors de la reproduction (intégralement ou non)
◼ → Information génétique
❑ Information modifiable au cours du temps
❑ Modifications : Résultats de mutations venant
d’ « erreurs » de la réplication des séquences de l’ADN
ou de recombinaisons génétiques.

71
La cellule eucaryote

72
La membrane plasmique

73
La cellule eucaryote : quelques
constituants de base

Le cytoplasme:

• Contient le noyau de
la cellule, des
organites et le
cytosquelette de la
cellule.

• Importance de l’ARN
messager

74
La cellule eucaryote : quelques
constituants de base

ADN ARN Ribosomes

(noyau) messager (cytoplasme)

Transcription Fabrication
de des protéines
l’information voulues

75
La cellule eucaryote : quelques
constituants de base
◼ Le cytoplasme:
◼ Contient aussi différents organites (structures
spécialisées)
❑ Le réticulum endoplasmique
◼ qui contient d’autres ribosomes et participe donc à la synthèse
des protéines
❑ L’appareil de Golgi
◼ qui trie et répartit les protéines dans la cellule
❑ Les mitochondries
◼ qui possèdent leurs propres gènes et produisent l’énergie
vitale de la cellule, l’ATP

76
Les constituants de la cellule eucaryote :
les organites

77
Les constituants de la cellule eucaryote:
le cytosquelette
◼ Le cytoplasme contient aussi un
cytosquelette
❑ Bouge et détermine donc la forme de la cellule
❑ Joue un rôle dans le transport des protéines
❑ Composé de différentes structures
filamenteuses (chacune avec leur propre
forme et diamètre)
◼ Microtubules
◼ Filaments d’actine
◼ Filaments intermédiaires

78
Cellule Eucaryote

79
Questions ?

80