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Cybercriminalité définit comme ; l’ensemble des activités illégales effectuées par l’intermédiaire
d’internet.
Une cybercriminalité est une « infraction pénale susceptible de se commettre sur ou au moyen
d’un système informatique généralement connecté à un réseau ». Il s’agit donc d’une nouvelle
forme de criminalité et de délinquance qui se distingue des formes traditionnelles en ce
qu’elle se situe dans un espace virtuel, le « cyberespace ». Depuis quelques années la
démocratisation de l’accès à l’informatique et la globalisation des réseaux ont été des facteurs
de développement de la cybercriminalité. [1]
TYPES DE CYBERCRIMINALITE
Accès illégal à un système informatique
Interception illégale
Interférence dans les données
Interférence du système
Utilisation abusive des appareils
Falsification informatique
Fraude informatique
Pornographie enfantine
Infractions liées aux violations du droit d’auteur et des droits voisins [2].
PREMIER CHAPITRE
Difficulté à appliquer le code pénal en République démocratique du Congo sur les infractions
à caractère informatique, particulièrement pour le phénomène de cybercriminalité.
Il s’avère que le pays n’a pas une législation spécifiquement bâtie pour lutter contre la
cybercriminalité.
Des textes plus récents renforcent l’arsenal législatif sans toutefois être consacrés
spécifiquement à la question. C’est le cas de l’ordonnance de 1987 sur l’informatique au Zaïre,
qui prévoit par exemple de punir tout vol ou destruction, partielle ou complète, de la « banque
de données de l’Etat ». De même, la loi du 16 octobre 2002 sur les télécommunications punie
les intrusions dans les correspondances électroniques.
Proposition de loi
Mais face à l’évolution rapide des technologies – et des techniques des cybercriminels qui
vont de pair -, certains politiques estiment que les lois congolaises sont dépassées. C’est le cas
de BELLY MAMPA MBEMBILA. Ce député (MPCR, élu de KASANGULU) a donc déposé
une proposition de loi d’une quarantaine d’articles, début juin, contre la cybercriminalité.
Bâtir une législation spécifique à la cyber-sécurité et contre ceux qui la bravent n’est jamais
chose aisée, quel que soit le pays. Des questions auxquelles les défenseurs des droits humains
sont très sensibles, tant ce qui semble de prime abord protéger les citoyens peut vite devenir
une façon pour le pouvoir de se protéger lui-même. L’exemple récent du Niger nous le
rappelle.
DEUXIEME CHAPITRE
Quel est le comportement responsable dans l’usage de la technologie qui relève de notre
domaine (informatique) scientifique.
Voilà un comportement responsable que doit avoir un usager faisant partie de notre domaine
de l’informatique.
CONCLUSION
Quoi que notre pays éprouve une difficulté à appliquer le code pénal sur les infractions à
caractère informatique, particulièrement pour le phénomène de cybercriminalité [5].
De notre part, en tant que usager de ce domaine informatique. Si nous nous conformons à
l’éthique de l’informatique on n’aura pas à mettre notre pays dans une situation compliquée.
Déjà que ce dernier n’arrive pas à anticiper l’évolution de la technologie dans le domaine
informatique, sachant qu’en ce qui concerne l’applicabité de code pénal, la loi congolaise
éprouve beaucoup de peines quand il s’agit des pareilles infractions, alors pour éviter ce
problème l’usager est appelé à se conformer à l’éthique de l’informatique.
BIBLIOGRAPHIE