Vous êtes sur la page 1sur 7

QCours 

: droit des TIC


Le numérique est un nouveau outille de travail qui participe à la
vie. En effet, le droit appliqué au TIC est celui qui régit le secteur
du numérique dans diverse domaines : le domaine du travail,
commercial, civil (vie privé) ect.
En raison de la protection de la vie privée, le droit du TIC prend
en compte cette réglementation.
Le droit des TIC régit aussi des transactions numériques
notamment la vente commerciale
Le droit des TIC permet de régir l’identification numérique. Car le
titulaire qui se connecte laisse ses données personnelles dans le
réseau. Ces données sont à caractère personnelle
Il en ainsi du droit de la propriété littéraire et artistique ainsi que
le droit de la propriété industrielle en somme droit de la propriété
intellectuelle.
Le droit du TIC répond aux préoccupations des infractions
relativement à caractère international
Ceci étant le droit des TIC prend en compte la personne, les biens
les infractions, la dimension internationale de l’infraction à
caractère numérique.
Le droit du TIC connait une importance particulière d’autant plus
que beaucoup de domaines ont connu des menaces en raison de
la numérisation. La création des robots a participé à cette menace
surtout dans le domaine du travail notamment la question de
l’employabilité.
Le droit des TIC prend en compte la responsabilité civile et pénale
du domaine numérique
Il est une discipline ésotérique car traverse toutes les matières de
droit ce qui justifie qu’il a pour soubassement d’abord les droits
classique.
Sujet : (La déshumanisation du procès : relative à la justice
prédictive)
Sujet : La mise en œuvre de la justice prédictive et la fin de la
justice
Le droit du TIC a deux spécifiques :
- Avec l’avènement du TIC, le principe de la territorialité n’est
pas d’actualité face aux infractions du domaine numérique
- Il s’y ajoute le déclin de l’application de la loi dans le temps.
Cela se justifie par le souci de l’appréciation de l’infraction
commise dans un Etat ailleurs
Tout compte fait, le droit du TIC est l’ensemble des règles
juridiques relatives au numérique
En droit communautaire, le règlement de 2002 de l’UEMOA
partant sur les instruments de paiement
Il s’y ajoute la loi de 2008 au Sénégal portant sur les transactions
électroniques, les infractions électroniques,
Premier partie : cadre juridique
Partie 2 : l’encadrement des activités du numérique
1Partie : le cadre juridique
Dans le TIC, on a deux sources : traditionnelle et poste

- L’adaptation des sources traditionnelle dans le TIC : les lois

prisent pour encadrer le domaine du TIC ont été encadré par

le droit national même si il est inadapté. Car l’état est tenu

de répondre à cette innovation. C’est qui a poussé l’Etat à

légiférer dans ce sens des dispositions adaptée et qui doivent

répondre aux exigences du domaine du TIC. De là des

mesures ont été prisent tend du domaine pénal, que civil

voir même contrat, la responsabilité civil, le droit de la

famille dans le domaine du TIC. Il s’y ajoute des règles de la

propriété intellectuelle, le droit du TIC répond dans le cadre


de la détermination et la protection des œuvres de l’esprit

(logiciel…). Dans le domaine pénal, la loi de 2008 répond

aux préoccupations des infractions en mettant en place des

règles qui justifie le principe de la légalité des délits et

peines des infractions du domaine numérique.

- Avec la constation de l’élément d’extranéité marquant une

internationalisation des infractions, les conflits de lois voir

même de juridictions sont mise en jeu. A partir de ce

moment que le droit du TIC va intervenir pour régler la

situation. De là, le droit TIC donne compétent à juge

étranger et loi étranger sur la question : ex : le législateur

sénégalais prévoit des conditions pour l’application de la

décision du juge étranger: il s’agit d’abord de la force jugée

de la décision, le respect de l’ordre publique et bonne

mœurs, la décision doit être conforme à la jurisprudence

Sénégalaise, la conformité de la qualification des fait d’avec

celle de la loi sénégalais. A ce titre, pour faire application de

la décision du juge étranger, il faut qu’il y ait l’apposition

d’une exéquatur pour permettre au juge national de

l’appliquer.

Comment faire la régulation :


Dans le souci de la stabilité et de la conscientisation de la

population, il est nécessaire d’inclure des réglementations qui

tendent dans le domaine éducatif, dont leur promotion sera

assurée par un organe compétent apte pour la sensibilisation. Il

s’y ajoute des autorités administratives indépendantes (l’ARTPP),

CDP (Comité des Donnés Personnels) qui a pour but d’assurer la

gouvernance du secteur numérique. Ces dernier accompagnent

l’Etat du fait de l’impuissante de la loi face à l’évolution du TIC.

Il y’a un droit communautaire notamment la CEDEAO, UEMOA

qui viennent réglementer le secteur du TIC chacun en ce qui le

concerne. UEMOA, le domaine bancaire ; CEDEAO, le domaine de

la santé.

Dans le domaine du travail, l’insertion de la surveillance

numérique rend efficace la surveillance des salariés sur leur lieu

de travail même si cela leur prive parfois certains libertés.

A côté des sources classiques, on a la source pratique :

La lex électronique qui renvoi aux usages nées de la pratique

électronique communément appelé usage électronique. Cela se

justifie par la pratique du commerce électronique qui vient

compléter la loi de 2008.


Le propre du TIC est la source du cyberespace : aspect technique

Ex : (.sn) qui envoi à l’usage administrative

(.com) qui renvoi à l’usage commercial

(Http)

L’objet du droit du TIC

L’étude de l’objet du droit du TIC nous renvoie à l’étude de

plusieurs domaines :

Le droit des TIC s’intéresse à la personne d’abord : physique et

morale.

- S’intéresse à l’utilisation des TIC par les personnes et

l’atteinte que ces dernières subissent par le TIC,

- S’intéresse aux avantages à l’utilisation des TIC par rapport

à leur profession : le commerce électronique

- S’intéresse aux atteintes par les infractions

En tout, le droit des TIC prévoit la liberté d’utilisation du TIC

mais aussi l’encadre pour lutter contre toute atteinte. Ex : dans le

cadre du contrat électronique, le consommateur est seule

personne de principe identifiable c’est pourquoi il a besoin de la


protection face au vendeur inconnu. Il s’y ajoute la protection de

toutes les inventions nouvelles, utiles à l’industrie face à

l’utilisation.

Pour les personnes morales, le droit des TIC s’intéresse aux

prestataires techniques qui offrent des services relativement à la

publication des informations.

Les particularités du droit des TIC :

Il ne connait pas les questions de la capacité, l’erreur. Par rapport

à l’objet, il y’a une nouvelle réglementation car il peut être illicite

aux Sénégal et ne l’est pas ailleurs.

Face précontractuelle : commerce electronique

En ce qui concerne l’information, est une obligation qui incombe

aux vendeurs en ligne de donner toutes les informations relatives

à l’objet vendu ; mais aussi le consommateur aussi est tenu

d’apprécier les informations avant de procéder à la vente. Cela

marque la période pré contractuel

Le droit des TIC met une obligation aux cybers commerçants de

donner toutes les moyens aux clients pour qu’il puisse identifier

le bien objet vendu


Il y’a aussi l’obligation portant sur le langage commercial, c’est

d’utiliser une langue officiel permettant l’accessibilité aux

informations

En fin le cyber commerçant doit donner les informations relatives

aux règles commerciales portant sur la délivrance, le paiement

Face contractuelle :

- Clause de rétractation ; est un droit pour le consommateur

pour un délai de 07 jours (car obligation est fait aux vendeur

de donner toutes les informations et de garantir les vices

cachés)

- Au stade de paiement ; peut être fait en espèce à la livraison,

par ordre de payer par le biais d’un établissement de crédit

(effet de commerce) c’est une liberté pour le client

Vous aimerez peut-être aussi