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I. GENERALITES :
I.1.Unités de mesure :
I.1.1. Débit
I.1.2. Pression
L’unité légale de pression est le Pascal (Pa). Le Pascal est la pression exercée parune
force de 1 N agissant sur une surface de 1 m2. Dans la pratique on utilise le bar:
1 bar = 105 Pa
I.1.3. Force
Une force peut être définie comme toute cause capable, soit de déformer un corps, soit
de provoquer ou de modifier son mouvement.
En hydraulique :
I.1.4. Travail
Le travail (W) est égal au produit d’une force (F) par le déplacement que cette
forceprovoque (d).
W=Fxd
Le travail est exprimé en joules (J) ou N.m (Newton.mètre).
Le travail hydraulique peut être exprimé comme :
W = P. S. d, où : F = P. S
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I.1.5. Puissance
La puissance permet à définir la rapidité d’exécution d’un travail donné (la quantité
de travail pour 1 seconde) :
P = Why / t
L’unité légale de puissance est le Watt (W). Dans la pratique on utilise le kilo -Watt
(kW): 1 kW = 1000 W. Le Watt est la puissance qui produit un travail de 1 Joule par
seconde.
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CHAPITRE II :
Les fluides sont des corps dont les molécules sont très mobiles les unes par rapport
aux autres. Un fluide prend automatiquement la forme du récipient qui le contient.
On peut classer les fluides en deux groupes : des liquides et des gaz.
Les liquides ont un volume propre tant disque les gaz occupent tout le volume qui lui
sontoffert.
II.1.3. Viscosité :
Un fluide parfait est un fluide dont les molécules se déplacent sans aucun frottement
les unspar rapport aux autres ; donc sans viscosité μ = 0. (C’est théorique)Un fluide
est réel lorsque μ ≠ 0
II.2.1. Expérience :
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Soit un courant d’eau qui circule dans une conduite à section circulaire. On introduit
un filet de colorant dans l’axe de cette conduite.Suivant la vitesse d’écoulement de
l’eau, on peut observer les phénomènes suivants :
- Pour des vitesses faibles, le filet colorant traverse le long de la conduite enposition
centrale.
- Pour des vitesses plus élevées, le filet colorant se mélange brusquement dansl’eau
après avoir parcouru une distance.
b.Régime transitoire : (cas b) c’est une transition entre le régime laminaire et ce lui
turbulent.
Cette expérience est faite par Reynolds en faisant varier le diamètre de la conduite,
latempérature, le débit, etc.…, pour des divers fluides.
d. V. ρ
Re =
μ
Vd
Avec : =
d : diamètre de la conduite (en m) v
v : vitesse moyenne d’écoulement (en m/s)
ρ : masse volumique du fluide (en kg/m3)
μ : coefficient de viscosité dynamique (enPa.s)
ν : coefficient de viscosité cinématique (en m²/s)
• Des frottements entre les différentes couches de liquide et des frottements entre le
liquideet la paroi interne de la conduite le long de l’écoulement : ce sont les pertes de
chargerégulières.
La formule générale de pertes de charge dans une conduite est de la forme suivante :
Lρ 2
∆p = λ v
D2
Avec :
v : vitesse moyenne du fluide
λ : coefficient de perte de charge régulière.
λ = 0.316. R−0.25
e
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CHAPITRE III :
vvvv
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Un schéma hydraulique représente toujours l’équipement en position repos ou initiale,
ilnous permet de comprendre l’installation dans le but surtout de détecter les
défaillances etpar suite savoir ou on doit intervenir.
• 3ème zone : liaison entre les deux zones précédentes.On peut trouver dans cette
zone :- des éléments de distribution (distributeur)
- des éléments de liaison (tuyaux)
- des accessoires (appareils de mesure, de protection et de régulation)
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- Encombrement réduit
- Durée de vie élevée
- Facilité de réglage (ex : réglage de vitesse par action sur le débit)
- Possibilité de transmettre des puissances très élevées
- Prix élevé
- Rendement faible
Elle est constituée essentiellement d’un réservoir d’huile, d’un moteur et d’une
pompe.
Réservoir Huile
D’huile
W. Hydraulique
Pompe
Moteur
W. Mécanique
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Moteur :
Entraîne l’arbre de la pompe en rotation.Il est électrique pour les installations fixes et
il est thermique pour les installations mobiles.
Réservoir :
Le réservoir a pour rôle principalement de stocker l’huile et d’assurer l’alimentation
dela pompe. Il permet aussi le refroidissement, la décantation (séparation des liquides
et dessolides).
Filtre :
La plupart des pannes qui surviennent dans un système hydraulique proviennent
dumauvais état de l’huile. La présence des impuretés dans l’huile entraîne une usure
excessivedes composants du circuit. Le filtre élimine ces impuretés.
Un filtre peut être placé soit à l’aspiration de la pompe (protège la pompe
maisaugmente la perte de charge) ou dans la canalisation de retour au réservoir
(nécessité d’avoirun clapet by-pass pour éviter les surpressions dans les circuits en cas
decolmatage) ou bien aurefoulement (pour assurer la protection particulière d’un
organe sensible)
Limiteur de pression :
Il est appelé aussi soupape de sûreté.Son rôle est de protéger la pompe et les
composants de circuit contre les surcharges. Ildoit être toujours monté en dérivation
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avec le circuit. Il est fermé au repos et lorsqu’il y a surcharge (la pression à la sortie
de la pompe est supérieure à celle de réglage), il s’ouvre etlaisse passer l’huile au
réservoir.
Manomètre :
Il permet la visualisation de la valeur de pression à fin d’assurer le réglage.Les
pompes utilisées dans les circuits d’hydraulique industrielle sont de typevolumétrique.
a. Principe de fonctionnement :
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Les pompes à engrenage externe tirent leur nom de la position de leurs roues dentées.
Ces roues sont placées l'une à côté de l'autre et s'engagent l'une dans l'autre par leurs
dents se trouvant sur leur circonférence.
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Pompes à engrenage interne à croissant
La pompe à engrenage interne à croissant comprend deux roues àdenture: une roue à
denture interne et une roue à denture externe,Ces roues sont séparées par un croissant
fixe.La roue à denture externe entraîne la roue à denture interne. La roue àdenture
externe est excentrique par rapport à la roue à denture interne.les deux roues dentées
tournent dans le même sens.
Refoulement
Croissant
Tous les types de pompes à pistons reposent sur le même principe de fonctionnement,
mouvement alternatif des pistons dans un alésage doté de deux orifices destinés à
l’aspirationet au refoulement. Selon la disposition des axes des pistons, plusieurs
configurations depompes peuvent exister :
Les axes des pistons sont parallèles entre eux et l’axe principal de la pompe. Les
bielles sonten liaisons rotules avec le plateau incliné d’un angle α (fixe ou variable)
qui est à l’originedes mouvements alternatifs des pistons
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Pompes à pistons radiaux :
Les pistons sont disposés radialement au stator, leurs axes sont perpendiculaires à
l’arbred’entraînement principalUne bielle-excentrique de forme particulière
communique unmouvement alternatif &&aux pistons permettant ainsi les
phasesd'admission et de refoulement du fluide.
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d. Pompes à palettes :
La rotation du rotor entraîne celle des palettes dont les extrémités sont
continuellement en contact avec le stator aux points Ci, grâce à la force centrifuge.
Outre, des ressorts de compression poussent les bases des palettes.
e. Pompes à vis :
Deux vis dont l’une est motrice, tournent en sens inverse, créant ainsi d’un coté une
zoned’aspiration et de l’autre une zone de refoulement. Cette pompe existe aussi avec
trois visdont un est central.
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Symboles :
15
Chapitre IV
Vérin hydraulique
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Symboles Symboles
Vérin simple effet
Vérin rotatif :
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IV.1.2 Les moteurs hydrauliques :
Frères jumeaux des pompes, ce sont probablement les composants qui font apparaitre
de la façon la plus spectaculaire les énormes possibilités des techniques hydrauliques,
ce sont les moteurs (avec les vérins) qui concrétisent la puissance mise en œuvre.
Par conséquent, à l’inverse des pompes, les moteurs sont des composants qui
retransforment la puissance hydraulique (pression x débit) en puissance mécanique
(couple x vitesse de rotation). On peut ajouter que l’intérêt principal des moteurs
hydrauliques réside dans le rapport puissance/encombrement particulièrement
avantageux par rapport aux autres types de moteurs, qu’ils soient électriques ou
thermiques.
Ces moteurs entraînent des systèmes mécaniques. Si le couple résistant devient
tropimportant, la pression monte. Quand elle atteint la valeur de réglage du limiteur
de pression, le débit retourne au réservoir.
Leur avantage c’est qu’ils développent une grande puissance pour un encombrement
réduit.
a) Moteur à palettes:
L’huile sous pression provoque la rotation des palettes implantées sur le rotor.
Avantages : réalisation simple
Inconvénients : puissance transmise relativement faible.
Contrairement aux pompes à pistons radiaux, les pistons peuvent tourner sur une
came (stator) permettant d’avoir plusieurs courses par tour. Le nombre des pistons est
impair pour la continuité de débit et l’équilibrage.
Avantages : couple très important.
Inconvénients : vitesse faible, encombrant, coûteux, problèmes d’étanchéité pour la
distribution
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d) Moteur à engrenage :
IV.1.3Formule de détermination :
Formule pratique :
103 Ql⁄min
ntr⁄min = n
q th cm3 ⁄tr v
b) Calcule du couple :
∆p. q th . nm
C=
2π
Avec
Formule pratique :
∆pbar . q th cm3⁄tr
Cdan.m = . nm
628
c) Puissance :
Formule pratique :
2π
Pkw = 10−2 Cdan.m . .n
60 tr⁄min
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Symbolisation :
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IV.1.4Les distributeurs :
Le rôle d’un distributeur est de diriger le fluide dans une ou plusieurs directions.
Un distributeur est caractérisé par un nombre d’orifices et un nombre de positions.
Un distributeur peut être à commande manuelle, mécanique, électrique
(électromagnétique), hydraulique ou pneumatique.
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IV.1.5 Les appareils de protection et de régulation :
a) Le limiteur de pression :
Les limiteurs de pression servent à réguler la pression d'utilisation du circuit pour le
protéger.
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Le réducteur de pression
La valve de séquence :
Permet l’alimentation avec un ordre de priorité, d'un circuit par rapport à un autre.
Elle peut être munie d'un clapet anti-retour pour ramener le récepteur dans sa position
initiale.
b) Réglage du débit :
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Le diviseur de débit
Ils sont utilisés lorsque le débit d’une pompe doit être divisé en deux ou plusieurs
débitssecondaires
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c) Les clapets anti-retour simples
Ce sont des appareils d'arrêt qui permettent le passage de l'huile dans un sens et
l'empêchedans l'autre.Ils sont toujours branchés en série dans le circuit. Leur corps est
repéré par une flècheindiquant leur sens passant.
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Exercice 1
• le fluide utilisé est de l’eau à la température de 30°c (viscosité cinématique 0.8. 10-2stokes).
•le fluide utilisé est une huile minérale à la température de 30°c (viscosité cinématique
0.30stokes)?
2/ quel est le débit en l/min?
Solution :
V. d
R e. =
𝑣
200×1.73
Soit : -pour l’eau,R e = = 43250 (régime turbulent)
0.8 .10−2
200×1.73
-pour l’huile minérale,R e = = 1153 (régime laminaire)
0.30
Q=V. S
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Exercice 2
-ρ = 854 kg/m3.
Solution :
1. Pour 30°C
VD 200×1.6
Re = = = 1067, Le régime est laminaire.
𝑣 0.30
64 10 . 102 854
∆pbar = . . . 22 . 10−5 = 0.64 bar
1067 1.6 2
2. Pour 110°C
VD 200×1.6
Re = = = 8000, Le régime est turbulent.
𝑣 0.04
Soit :
10 . 102 864
∆pbar = 0.033. . . 22 . 10−5 = 0.36 bar
1.6 2
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Exercice 3
Une pompe débitant 30 l/min alimente un vérin dont la sortie est reliée à un réservoir
pressurisé à 2bar. L’aspiration de la pompe doit se faire à 1bar minimum.
Sachant que la longueur de tuyau reliant le réservoir à la pompe est de 3m, calculer le
diamètre de tuyau en supposant un régime laminaire.
ρ = 0.9 kg/l ν = 0.30 stockes
S s
L=3m
2 bar
Solution
π D4 ∆p
Q=
128 𝑣 ρ L
D’où :
Q. 128. 𝑣ρ L 1⁄4
D=( )
π ∆p
∆p ≤ 1bar
1⁄4
0,5. 10−3 . 128.0,30. 10−4 . 900 . 3
D≥( ) = 1,13 . 10−2 m
π .1 . 105
D ≥ 11,3 mm
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Mais il faut aussi que D soit tel que le régime soit laminaire
V. D
Soit : < 1200
𝑣
Q Q
Où avec = πD2
S
4
Q .D Q
πD2
= 1.273 < 1200
𝑣. D. 𝑣
4
1.273 . Q
Donc D>
1200 . 𝑣
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Exercice 4
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Partie 2 :
Solution :
Partie 1
1-vitesse d’écoulement :
4q v
VB = = 13.581 m/s
πd2
4q v
VB′ = = 0.0339 m/s
πD2
4. F
PB′ = = 783169.64 pascal
πD2
Partie 2
1-Débit massique :
q m = ρ. 𝑞𝑣 = 0.24 𝑘𝑔⁄𝑠
2- nombre de Reynolds :
V. d
Re = = 2716.2
𝑣
3-Re > 2000 ; alors l’écoulement est transitoire
λ = 0.316. R−0.25
e
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Exercice : 5
F
Soit le circuit ci-contre :
Le vérin doit fournir une force F de 7500 daN
M sur une course de 50 cm parcourue en 2.5
secondes.
La pression en sortie de la pompe est 111 bar et
s le rendement du vérin est ηv = 0.86
Solution
F F
P= = soit S = S =
S × ηv P × ηv
7500
S𝑐𝑚2 = = 78.5 𝑐𝑚2
111 × 0.86
déplacement 0.50
V= = soit V = = 0.20 m/s
temps 2.5
Le débit Q de la pompe est donc à partir de Q = V. S :
94.2 × 111
Pkw = = 20.5 kw
600 × 0.85
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Grandeurs associées aux pompes :
La cylindrée : Cy
Le volume de fluide refoulé ou aspiré par une pompe en l’absence des fuites, pendant
unerévolution de l’arbre principal.
• Unités : [m3 /tr] ; [l/min] ou [l/tr].
Les débits :
a- Le débit moyen théorique : q Vmoy
Le volume moyen refoulé par unité de temps, connaissant la cylindrée ce débit est
déterminé par :
qVmoy = Cy . N
Avec :
N : Fréquence de rotation en [tr/s]
Cy : Cylindrée en [m3/ tr]
Les puissances :
a- La puissance mécanique : Pm
Puissance fournie à l’arbre d’entraînement de la pompe par le moteur et peut être
donnée parles deux relations suivantes :
ou Pm = C . ω Pm = qVmoy (Psth − Pe )
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Les rendements :
a- Le rendement volumétrique :
Compte tenu des fuites et de la compressibilité du fluide, le dédit réel et toujours
différent dudébit théorique, on définit ainsi un rapport :
qVmoyr qVmoyr
ηv = ηv =
qvmoy On a qvmoyr + qvf
b - Le rendement mécanique :
Le fluide à la pression d’entrée refoulé à la pression de sortie ps= pe.
Une chute de pression due à des effets mécaniques et hydrauliques fait passer
psthàpsainsion détermine :
(ps − pe )
ηm =
(psth − pe )
c- Le rendement global:
Exercice d’application :
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Solution :
1-
qVmoy = Cy . N = 0.04232 × 2500 = 105.8 l/min
5.5
qvf = = 5.8 l/min
0.945
3-
Phyd (w) = qVmoyr (Ps − Pe )
qVmoyr(l/min) (Ps − Pe )(bar)
Phyd (kw) =
600
141.9 × 100
Phyd (kw) = = 23.65 kw
600
4-
2π × 2500
Pm (w) = C . ω = 105 × = 2749w = 27.49 kw
60
5-
qVmoy (Psth − Pe )
Pm =
600
Pm × 600 + Pe × qVmoy 27.49 × 600 + (−0.9) × 105.8
Psth = =
qVmoy 105.8
Psth = 154.98 kw
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6-
(ps − pe ) 141 + 0.9
ηm = = = 91%
(psth − pe ) 154.98 + 0.9
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