Vous êtes sur la page 1sur 10

africhaine

africhaine

Africhaine
Le secteur de la production audiovisuelle est
aujourd’hui soumis à des contraintes à la fois
exogènes et endogènes qui obligent les acteurs du
secteur à faire évoluer leur modèle d’activité.
Etat des lieux de la télévision en
Afrique subsaharienne
La télévision payante a un très bel avenir en Afrique subsa-
harienne. D’après une étude de Digital TV Research, du 8
janvier 2018, La consommation de la télévision progresse
en Afrique subsaharienne, portée par la classe moyenne.
L’écoute de la radio se fait principalement sur mobile, se-
lon une étude Africascope de Kantar TNS. le taux d’équipe-
ment en téléviseurs HD et l’essor de la télé payante grim-
pent avec le développement de la classe moyenne, tandis
que l’offre devient de plus en plus riche, portée par le dé-
ploiement de la TNT et l’arrivée de chaînes panafricaines.
Le développement du numérique permet de nouvelles for-
mes d’offre et de consommation de contenus télévisuels.
Les programmes de flux sont de plus en plus disponibles
sous forme de stock, en rattrapage pour une durée plus
ou moins longue. Ils sont consommables sur un nombre
croissant de supports, de l’écran de télévision au téléphone
mobile, en passant par l’ordinateur personnel et la tablette.
En outre, le numérique abaisse les barrières à l’entrée de la
diffusion.
Le secteur de la production audiovisuelle est aujourd’hui
soumis à des contraintes à la fois exogènes et endogènes
qui obligent les acteurs du secteur à faire évoluer leur mo-
dèle d’activité.
Tout d’abord, les canaux de distribution des programmes
audiovisuels se sont diversifiés, notamment avec la montée
en puissance des plateformes dans la chaîne de valeur3 et
le succès grandissant des services de vidéo à la demande
et de la vidéo à la demande par abonnement.
La baisse de la durée d’écoute individuelle de la télévision
linéaire est due à l’offre de services en ligne et à l’élar-
gissement du nombre de chaînes linéaires qui fragmente
l’audience
Les investissements publicitaires des annonceurs se repor-
tent sur les médias numériques non linéaires (VàD, VàDA)
En parallèle, les métiers de producteur et de distributeur
audiovisuels évoluent afin de répondre au mieux à une de-
mande devenue protéiforme.
Soulignons ici l’importance grandissante des ventes de pro-
grammes à l’international, principal relais de croissance.
La chaine sera à la fois télévisée de façon linéaire et en ligne
à la demande (différée, fractionnée, développée, etc…)
africhaine

Description de l’offre
La chaîne aura une volonté de sociabilisation qui tiendra
compte de la volonté de diversification et désynchronisa-
tion des consommations du public. Elle sera un Labora-
toire des expériences d’inspiration panafricaine pour infor-
mer, éduquer, divertir et renforcer le lien social. Sa forme
et son mode de traitement, se rapprocheront des formats
de consommation numériques qui ont des propriétés sus-
ceptibles de générer des fortes concentrations d’attention
collective (principe du buzz, diffusion virale). Elle sera un
support de conversations multiples, à partir desquelles
s’élaboreront, dans certaines configurations, une opinion
publique locale.
La chaîne sera pro-active, la participation des publics sera
importante pour renforcer, chez les spectateurs, le senti-
ment de présence, d’immédiateté et d’adhésion au pro-
gramme télévisuel.
Les programmes seront évalués en temps réel via une ap-
plication téléphonique afin de faire évoluer l’articulation et
le contenu de la programmation.
Segmentation et répartition de
contenu
Le contenu de la chaine est composé en fonction du pro-
fil des annonceurs et de l’attente des spectateurs. Les an-
nonceurs sont regroupés par genre et leurs annonces sont
concentrées sur les programmes susceptibles de toucher
les spectateurs qui sont aussi leurs clients.
Pour les divertissements et les émissions de plateau, les
cycles de production sont courts et soumis à d’importants
aléas notamment quant à leur pérennité à l’antenne.
Pour la fiction et l’animation, les cycles de production peu-
vent durer de deux à trois ans entre le début de la phase
d’écriture et le premier passage à l’antenne.
Production audiovisuelle de la chaine :
30% industrie de prototypes (téléfilms, documentaires uni-
taires, etc.), et 70% industrie de la sérialité (séries télévisuel-
les, séries d’animation, séries documentaires, jeux, etc.).
50% programmes de stocks et 50% programmes de flux
africhaine

Productions originales
• Organisation de compétition sportive : rallie
panafricain de véhicule à propulsion humaine
• Émission association ONG : parole donnée aux
organisations et associations caritatives, humanitaires du
territoire.
• Smartphone fiction : fictions courtes, sketch, essaie
; dramatique, comique ou expérimentale réalisé au
smartphone par des amateurs
• Sciences populaire : réalisés par des étudiants dans
leurs disciplines sur un sujet libre (physique, chimie,
science sociale, histoire)
• Culture ébène : reportage sur un plasticien, architecte,
musée, auteur, collection, musicien
• Enseignement populaire : retransmission intégrale de
cours magistraux universitaires
• Séance démocratique : retransmission intégrale de la
vie démocratique publique (sénat, assemblée, conseil)
• Spectacle vivant : retransmission intégrale de
spectacle artistique, folklorique ou sportif. Retransmission
de répétition et travail de création artistique.
• Ateliers domestiques : bricolage, cuisine, comptabilité,
gestion, ménage, sanitaire, santé, etc…
• Anti réal-TV : caméra subjective (sur acteur et
véhicule) filmant leurs quotidiens en communs.
+
Contenu classique (Documentaires, fictions romantiques,
divertissement enfants, Couverture d’évènements sportifs,
extraits musicaux, Jeux TV, Animations, Comédies, Films/
Séries, journaux, reportages, fictions érotiques.
Modèle économique et sources
de profits
1 Vente d’espace publicitaire inter-programme
2 vente d’espace en ligne sur le site
3 vente d’espace intégrés aux extraits disponibles
en ligne
4 vente de produit audio-visuel en ligne
(remontage d’émission pour entreprise) et produit
(coffret DVD de série ou regroupement de sujets)
5 vente de statistiques et rapport marketing
6 vente de surface d’affichage dynamique urbain
7 vente d’espace en ligne pour VàD
8 vente d’espace publicitaire sur sites de
manifestations (artistiques, sportives, etc…) sous forme
de bannière, affichage dynamique (affichage télé dans
des lieux publiques), griffage vêtements ou véhicules,
audiovisualisation de contenu privé.
9 co-production des contenus
(université + Chaine, état + Chaine, entreprise +
Chaine, artiste + Chaine, etc.)
10 publi-reportage
11. formation de professionnels de l’audiovisuel,
assuré par les professionnels de la chaine.
Métiers :
o Journaliste Reporter d’Image,
o Journaliste d’Investigation numérique,
o créateur d’animation,
o créateur d’animation 3D,
o télé-surveillant et traqueur numérique,
o virtualisation en réalité augmentée,
o écriture scénaristique,
o atelier de création narrative.
africhaine

THEMATIQUE Généraliste
PUBLIC VISE Tout public
PROGRAMMES PHARES XX
PROGRAMMATION Fiction Cinéma Spectacle vivant Do-
cumentaires et magazines Information Sport - y compris
information sportive Jeux et divertissements
RESEAUX DE DIFFUSION / DISTRIBUTION Disponible sur la
TNT gratuite, le câble, le satellite, l’ADSL et les mobiles
DIFFUSION GEOGRAPHIQUE Afrique Europe
REDIFFUSION VIA UNE APPLICATION SUR : MOBILE, TA-
BLETTE
SERVICE DE TELEVISION DE RATTRAPAGE : TELEVISEUR,
INTERNET
RESEAUX SOCIAUX SITE INTERNET : www.africhaine. com/
chaînes/cX TWITTER @africhaine FACEBOOK africhaine
INSTAGRAM www.i africhaine.com
REGIE PUBLICITAIRE

Vous aimerez peut-être aussi