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Степанова Мария Сергеевна, ЯЛНбд-07-19

1. La biodiversité : notion, importance. Pourquoi la biodiversité est en danger ?


Comment peut-on changer la situation ? La biodiversité : quelle est la situation
dans votre pays. (source – le site du gouvernement Français - Ministère de la
Transition écologique et de la Cohésion des Territoires - Ministère de la Transition
énergétique)
1. Notion
La biodiversité, c'est la diversité des espèces vivantes (micro-organismes,
végétaux, animaux) présentes dans un milieu.
Elle comprend trois niveaux interdépendants :
- la diversité des milieux de vie à toutes les échelles : des océans, prairies, forêts…
- la diversité des espèces (y compris l’espèce humaine) qui vivent dans ces milieux
- la diversité génétique des individus au sein de chaque espèce
2. Importance
La biodiversité a une valeur en soi, sans devoir apporter un bénéfice pour l’être
humain. La biodiversité est le patrimoine naturel que nous laissons en héritage aux
générations futures. Notre société en est donc responsable éthiquement et
moralement.
La biodiversité est essentielle pour le développement naturel de tous les
écosystèmes de notre planète. Une grande biodiversité augmente la stabilité et
l'adaptabilité de la biosphère face aux modifications des conditions
environnementales.
La biodiversité est indispensable au bien-être et à la santé des êtres humains :
toutes les sociétés et cultures de notre planète dépendent de l'utilisation d'une
nature diversifiée. La biodiversité possède une valeur à la fois économique,
sociale, culturelle et esthétique.
3. Pourquoi la biodiversité est en danger ?
Cinq facteurs majeurs influencent la biodiversité :
1) La conversion de milieux naturels en milieux artificiels est la cause
principale de la destruction et de la fragmentation des écosystèmes.
2) Les pollutions de l’air, du sol, de l’eau mais aussi lumineuse et sonore
affectent tous les aspects de l’environnement.
3) La surexploitation des ressources perturbe gravement le fonctionnement
des écosystèmes et leur renouvellement.
4) Le changement climatique influe sur les cycles de vie de l’ensemble des
êtres vivants. Il impacte également la répartition géographique des espèces
et donc la chaîne alimentaire.
5) L’introduction volontaire ou involontaire par l’homme d’espèces exotiques
envahissantes (EEE) impacte tous les milieux et territoires. La menace est
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particulièrement forte dans les îles des Outre-mer qui concentrent 74 % de
ces espèces. Depuis 2018, elles font l’objet d’une règlementation nationale.
4. Comment peut-on changer la situation ?
La création d’espaces protégés qui ont pour vocation de préserver les
écosystèmes. Certains d'entre eux permettent le développement de manière durable
des activités économiques ou de loisirs.
Exemples : Les parcs naturels marins, les réserves de faune sauvage ou les parcs
nationaux. Par ailleurs, plus de 7000 espèces de faune et de flore bénéficient d’un
statut de protection légale. Il est donc interdit de les chasser, de les cueillir, de les
détruire ou de les déplacer.
En matière d’aménagement du territoire, la séquence « éviter-réduire-
compenser » vise la prise en compte des enjeux environnementaux dans le
développement de projets. Il s’agit d’éviter toute atteinte aux milieux naturels, à
défaut de les réduire, et en dernier lieu, de les compenser.
Les activités participatives offrent la possibilité à chacun de devenir acteur de la
préservation de la nature tout en améliorant la connaissance utile aux chercheurs.
Au quotidien, la biodiversité est l’affaire de tous. En adoptant des modes de
consommation durables et écologiques, chacun peut agir en faveur de la
biodiversité. + éducation !
5. La biodiversité : quelle est la situation dans votre pays.
Le réchauffement climatique conduit à un déplacement des espèces. Bien que la
vulnérabilité au changement climatique soit faible, le réchauffement mesuré de
1976 à 2014 a été 2,5 fois plus rapide en Russie qu'au niveau mondial. La Russie
connait en 2019 l'année la plus chaude de son histoire.
Par ailleurs, certains lieux sont perturbés par des espèces invasives, comme des
algues sur des rives du lac Baïkal, classé au patrimoine mondial de l'humanité.
Le bécasseau spatule, qui hiverne au Bangladesh et en Birmanie, est un oiseau
migrateur fortement menacé d'extinction. La chasse sur les sites d'hivernage est un
des facteurs de menace.
Impacts de l’activité humaine sur les milieux naturels : industrie, agriculture,
pêche, transports, pression sur les ressources non renouvelables, pollutions,
impacts de l’urbanisation.
Quand même, c'est l'un des pays au monde qui compte le plus de réserves de
biosphère (plus de trente), ainsi que 41 parcs nationaux (les plus anciens datant de
1983). Les parcs nationaux sont à la charge du ministère des Ressources naturelles
de la Russie.
Le gouvernement russe décide la création d'une réserve de biosphère à Sikhote-
Aline en 1936. C'est aujourd'hui la principale zone d'habitat du tigre de Sibérie.
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2. Choisissez le problème de la société que vous souhaiteriez dénoncer. Expliquez
pourquoi ce problème vous touche. Proposez la solution de ce problème et votre
action.
1. INTRO
À mon avis, le thème de ce sujet est déterminé par la formulation « problème de la
société », car pour moi cela a une connotation un peu différente de la formulation
« problème social ». Je crois qu’un « problème de la société » se trouve dehors de
la société, il est provoqué, pendant que « le problème social » se trouve dedans.
Pour cette raison, je vais traiter ce sujet sous un angle différent de ce que vous
attendez. Je ne vais pas parler de l’inégalité, ni de pauvreté, ni de famine.
2. PROBLÈME
Je suis convaincue que le problème le plus global de la société, c’est le mépris par
rapport à la situation écologique déplorable. On nuit trop à ce qui nous entoure.
Comme Marshall McLuhan a dit, « Il n’y a pas de passagers sur le vaisseau Terre.
Nous sommes tous des membres de l’équipage ».
Toutes les formes de vie et toutes les forces de nature savent co-exister, sauf les
humains. La nature fonctionne d’une manière géniale, et les humains, en quête de
surpasser les autres, détruisent tout ce qui se formait pendant des milliards
d’années.
On est devenu aveugles. On épuise les ressources naturelles, on pollue le sol, l’eau
et l’air, on détruit les milieux naturels et les écosystèmes entières. La biodiversité
se sera un mythe dans une trentaine d’années. Si on ne s’arrête pas, dans le futur
proche la température globale va augmenter, ce qui provoquera les conséquences si
graves, que tous les problèmes sociaux qu’on a aujourd’hui vont paraitre nulles.
3. POURQUOI ÇA ME TOUCHE
À mon avis, le problème réside dans la paresse, l’indifférence ou même
l’ignorance. Je crois que chacun est responsable de l’état de l’écologie qu’on voit
maintenant. Moi, je me sens coupable et j’aimerai vraiment changer la situation.
4. SOLUTION ET MON ACTION
Je crois que la première chose qu’on devrait régler, c’est le manque d’éducation
écologique. Dans les pays nordiques, par exemple, on sensibilise les enfants au
triage des déchets et aux autres aspects de la vie « écolo » dès l’école maternelle.
On pourrait introduire les cours pareils en Russie.
De plus, il vaudrait mieux populariser ce problème parce que ça touche chacun
d’entre nous. Il n’est pas ci difficile de choisir un sac en tissu réutilisable à la place
d’un sac en plastique, ou choisir des détergents biodégradables.
Au cas où la popularisation ne marche pas, on pourrait introduire des amendes, car
personne ne les aime. On va préférer suivre les règles que payer.
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Moi, j’ai des sacs réutilisables pour mes courses, des petits paquets réutilisables
pour mes fruits, des tubules en métal pour mes boissons et des baguettes en métal
pour mes sushis. Si chacun va faire des petits pas vers la vie écolo, tout va changer.
3. La publicité. Que pensez-vous sur l’omniprésence de la publicité ? Est-il
possible de combattre ce phénomène ? Si oui, lesquelles ?
1) Pub – définition
Larousse propose plusieurs définitions de se terme, mais seulement deux d’entre
elles nous conviennent :
- Activité ayant pour but de faire connaître une marque, d'inciter le public à
acheter un produit, à utiliser tel service, etc. ; ensemble des moyens et techniques
employés à cet effet (abréviation familière pub).
- Annonce, encart, film, etc., conçus pour faire connaître et vanter un produit, un
service, etc. Synonyme : réclame
2) Comment ça marche – perception
- approche rationnel (le prix, les avantages, les possibilités, les qualités etc. – ce
qui différencie ce produit particulier des autres)
- approche émotionnel (se faire plaisir, s’affirmer, sembler plus beau/belle/riche
etc. en choisissant les produits de luxe)
3) Problèmes
- certains font confiance à tout ce qu’ils voient/entendent
- ils se transforment en public ciblé de la publicité mensongère et trompeuse
- cela accélère sa création et distribution (à cause de demande élevée)
4) Société de consommateurs / marché + surconsommation / surproduction
- l’homme vit dans la société de consommation presque dès son apparition (oui, je
crois en l’évolution), on ne peut pas vivre sans consommer, c’est évident
- le marché satisfait (ou essaie de satisfaire) tos les besoins de l’humanité
- tous les acteurs du marché ne peuvent pas fonctionner sans publicité
- la pub diffusée partout pousse à acheter plus (même ce dont on n’a pas besoin) en
provoquant la surconsommation qui entraine la surproduction pour répondre à la
demande. Et là on est dans le cercle vicieux.
5) Il est impossible de le combattre pour les raisons que j’ai mentionnées.
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4. Développement Durable. DD : Notion. Piliers. La stratégie du DD est-elle
vraiment indispensable à l’heure actuelle ?
1. DEFINITION
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du
présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux
leurs »
Un développement économiquement efficace, socialement équitable et
écologiquement soutenable. (Économie/écologie/social)
2. 3 PILIERS :

Social + écologique + économie = DD


Écologique + social = vivable
Social + économie = équitable
Économie + écologie = viable

3. STRATEGIE – oui, elle vraiment indispensable à l’heure actuelle.


Pourquoi ? – problèmes.
Pollution de l’air, du sol, de l’eau. Biodiversité. Réchauffement climatique.
Surproduction, surconsommation et gaspillage. Santé, éducation, égalité, pas de
famine.
L’environnement – niveau personnel + niveau de l’entreprise  niveau global
Objectifs du DD de l’ONU
 Eau propre et assainissement
 Énergie propre et d’un coût abordable
 Consommation et production durables (responsables)
 Mesures relatives contre les changements climatiques
 Vie aquatique
 Vie terrestre
Non seulement il s’agit de ne pas polluer au cours de l’activité quotidienne de
l’entreprise. Comme par exemple, le fait de ne pas déverser des substances nocives
dans la nature. Mais également, de se préoccuper de l’impact du produit sur
l’environnement tout au long de son cycle de vie. L’environnement est surement le
pilier le plus délaissé depuis ces 30 dernières années. Par contre, aujourd’hui de
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plus en plus d’entreprises se soucient de ce point dès la conception du produit.
C’est ce que l’on appelle l’éco-conception. (Emballage biodégradable etc.)
Le social
Objectifs du DD de l’ONU
 Pas de pauvreté
 Faim « zéro »
 Bonne santé et bien-être
 Éducation de qualité
 Égalité entre les sexes
 Inégalités réduites
 Villes et communautés durables
 Paix, justice et institutions efficaces
Il y a aussi bien dans ce point, le fait de rémunérer correctement les salariés et les
producteurs + le fait de respecter leurs conditions de travail, de sécurité et bien sûr
de santé. Le social s’applique aussi bien pour les salariés employés par l’entreprise
que chez les producteurs situés de l’autre bout du monde. Par exemple, bien
rémunérer un petit producteur, c’est lui permettre de scolariser ses enfants. C’est
aussi offrir une plus grande équité entre les peuples et les pays.
L’économie
Objectifs du DD de l’ONU
 Travail décent et croissance économique
 Industrie, innovation et infrastructure
 Partenariats pour la réalisation des objectifs
Le principe n’est pas d’être philanthrope. Car générer des profits, c’est générer des
richesses. Tout d’abord cela permet d’investir dans l’outil de travail, donc de
pérenniser l’entreprise et l’emploi. Mais aussi cela permet d’investir dans
l’amélioration des conditions de vie et dans les infrastructures d’une région et d’un
pays. L’idée est de continuer à avoir des entreprises performantes. Pour qu’elles
investissent dans des énergies renouvelables et que l’on travaille avec des pays en
voie de développement.
4. CONCLUSION
Il est indéniable que le développement durable est une vision globale de notre
monde. Il permet de créer ou de préserver un équilibre et la solution à de nombreux
maux. En outre, il pourrait également rendre nos entreprises plus compétitives et
peut même, être une alternative à la délocalisation. Par ailleurs, il peut être une
solution pour lutter contre le réchauffement climatique. Le développement durable
est souvent vécu par les entreprises comme un stress et une contrainte. Alors qu’il
s’agit régulièrement d’une opportunité d’innovation et de différenciation.
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5. Compétences comportementales. A votre avis quels est le meilleur moyen
d’acquérir et/ou développer ces compétences. Par un parcours traditionnel et un
apprentissage formel ? Un parcours atypique et un apprentissage informel ? les
deux ?
Il est évident que le monde qui nous entoure change chaque jour. La concurrence
dans tous les domaines de la vie entraîne le développement de nouvelles
technologies et méthodes. Cela exige d’être capable de changer de perspective
pour suivre le rythme de la vie.
Comme je le vois, le problème est que maintenant la majorité des postes supérieurs
(chef, PDG etc.) sont occupés par les générations assez âgées dont les traits
caractéristiques sont conservatisme et stabilité. On ne fait normalement pas
attention aux candidats avec les profils atypiques car on n’est pas sûr que cela aura
du succès. On est déjà habitué aux profils classiques, où on voit la formation, les
diplômes et cetera parce qu’on pense que cela garantit les compétences dont on a
besoin. Quand même, dans une dizaine d’années ces générations seront remplacées
et tout va changer.
Il est logique que dans le futur proche on va préférer les candidats avec les profils
atypiques : pour eux, il est plus facile de s’adapter aux nouvelles circonstances (ce
qui est le plus important), ils sont plus ouverts et créatifs et peuvent donc apporter
une nouvelle vue sur telle ou telle question. De plus, ils reposent plutôt sur
l’expérience pratique que sur l’apprentissage formel, ce qui est génial car posséder
un diplôme de formation n’est pas équivalent à posséder des savoir-faire. Ces gens
sont capables de faire la différence et de changer le système.
Mais comment développer les compétences comportementales et professionnelles
pour se distinguer des autres ? Je pense qu’il faut combiner l’apprentissage formel
et informel et je vais expliquer pourquoi sur l’exemple de mon parcours. À mon
avis, il est nécessaire d’avoir une formation pour qu’elle sert d’une base sur
laquelle on va enfiler les compétences pratiques. Maintenant je finis mes études en
langues étrangères pour pouvoir les utiliser dans ma vie professionnelle. On n’a
pas beaucoup de pratique à la fac, cela veut dire qu’on s’entraîne à traduire les
textes, à les éditer et cetera, mais on n’a aucune idée ni où chercher l’emploi, ni
comment signer le contrat de travail, ni comment fonctionne le marché des
traducteurs. Pour cette raison j’ai choisi d’enrichir mon parcours : je m’abonne aux
cours pratiques de traduction et interprétation, je m’engage aux projets collectifs, je
fais du bénévolat et je participe aux événements consacrés à l’introduction de
nouveaux spécialistes au marché. Je n’avais jamais travaillé officiellement, mais
j’ai effectué tant de projets que certaines entreprises m’ont déjà invité au travail et
attendent que je finisse mes études.
Tout est simple : il ne faut pas craindre d’essayer quelque chose de nouveau. On ne
perd rien, mais on obtient toujours de l’expérience.
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6. Décrivez un modèle éducatif en vigueur dans votre pays aujourd'hui et ce qui a
changé par rapport au modèle d'autrefois. Proposez des pistes d'amélioration
inspirées par des spécialistes de l'éducation de votre pays ou d'autre pays.
Aujourd’hui Autrefois (URSS)
Principes Dépend principalement de l’État et Il n’existait pas
l’éducation en Russie est contrôlée d’établissements payants (du
par le ministère de l’Enseignement et tout) – tout était gratuit
de la science. L’école devint obligatoire,
L'instruction est obligatoire et gratuite et mixte en avril 1918
gratuite de 7 ans à 16 ans (jusqu’à
9ème)
École (Jardin d’enfants – de 3 à 5-6 ans) (Yasli – même avant d’un an)
Test avant d’entrer à l’école (Jardin d’enfants – de 3 à 5-6
Primaire – de 1 à 4 (année d’études) ans)

Secondaire – de 5 à 11 Il n’y avait pas de distinction


entre l’école primaire et
Après 9ème : soit finir et choisir un secondaire
collège, soit continuer en 10ème et
11ème. L’école commençait
seulement à 7 ans – pas de
Un cours dure 45 minutes, et un tests d’entrée
élève est noté sur un système de cinq
points, la meilleure note est « un 10 ou 11 années d’études
cinq ». Un cours dure 45 minutes, et
Normalement – de lundi à vendredi un élève est noté sur un
système de cinq points, la
Техникум = institut maintenant meilleure note est « un cinq ».
ПТУ = колледж maintenant Samedi – on avait les cours.
Plusieurs instituts se sont Il n’y avait pas de tests,
transformés en universités avec des seulement les travaux écrits
facultés (pas de choix), essais etc.
Après 8ème ou 9ème on pouvait
aller à ПТУ (2 années)
/техникум (4 années), soit
continuer en 10ème et 11ème.
Examen final Examen de fin d’études : l'examen Les examens : mathématiques,
d'État unifié (ЕГЭ) littérature (essai) / russe,
+ examens pour entrer à la fac – on physique, chimie
les passe à l’institut (pas dans tous + examens d’entrée à la fac –
les cas) on les passait à l’institut
Enseignement Normalement – payant, mais il est Possible de postuler dans 1
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supérieur – possible d’obtenir une place gratuite établissement
n’est pas Possible de postuler dans 5 Gratuit + bourse
obligatoire établissements Pas de distinction : tout le
Baccalavriat = 4 ans monde faisait des études
Spetsialitet = 5-6 ans pendant 5-6 ans

Les médecins : presque la même Les médecins : + iternatura +


chose ordinatura = à peu près 8 ans

Éducation : gratuite/payante/целевое Après finir l’institut tout le


monde était employé
obligatoirement (parce qu’on
était financé par l’État)
Master Après baccalavriat – 2 ans Non

Éliminer le système des tests – ce n’est pas une note adéquate. Tout dépend de la
personne et de sa perception et tout le monde peut résoudre de problèmes comme
il/elle veut et peut. + «пальцем в небо»
Les examens obligatoires : l’histoire et la littérature pour tous – c’est la base du
développement personnel harmonieux.
Donner la possibilité de faire travailler le cerveau.
Il est inutile de faire les étudiants travailler en groupe tout le temps – seulement de
forts élèves travaillent, mais la note est la même pour tout le monde.
Il est trop tôt de choisir son futur métier à 15 ans. On était obligé de choisir les
examens et la spécialisation après la 8ème.
- L’opinion de nombreux professeurs, y compris de mes profs d’école et de
notre institut que je partage.
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7. La culture de narcissisme sur les réseaux sociaux. Donnez la définition du terme
« Narcissisme ». Quelle est votre attitude par rapport à « la surexposition de soi-
même ». Quelle est votre image sur les réseaux sociaux ?
1. INTRO – la popularité des RS, la nécessité de suivre ses pairs etc. + la
culture de narcissisme 
2. Narcissisme : Fixation affective à soi-même ; admiration, contemplation de
soi-même.
3. Deux variantes de l’exercer :
a. La surexposition avec le Photoshop, la vie « idéale », le visage et la
figure retouchés etc.  impose ce mode de vie aux jeunes + les filles
perdent leurs têtes en quête du corps et visage « idéaux » 
problèmes psychologiques/anorexie/boulimie etc.
b. La surexposition de chaque instant de sa vie, tous les repas, chaque
pas etc. Rien ne reste invisible, on ne garde rien pour soi-même
4. Je ne poste des photos souvent mais quand j’en ai (jolies !) je les poste
parfois pour partager mes émotions/découvertes/mon succès. J’utilisais mon
profil comme un album où je gardais les meilleurs souvenirs.

Pour moi c’est trop. Je ne veux pas que qn suive chaque mon pas sur les RS,
comme le font les harceleurs. Je ne veux pas que tout le monde sache où je suis, ce
que je mange, à quelle heure je me lève et je me couche. Je ne sens pas la nécessité
ni de se surexposer sur les RS, ni de s’échanger des textos tout le temps. Je préfère
la vie réelle, les émotions réels, les amis réels.
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8. Apprendre par cœur – est-il vraiment important de nos jours ? Quelles
informations vous déléguez à vos smartphones ? Présentez votre liste de ceux qu’il
faut apprendre par cœur. Expliquez votre choix.
1) INTRO
a. Est-il vraiment important à l’époque du progrès technique ?
2) D’une part, OUI
a. Améliore les capacités du cerveau
b. Aide à retarder les conditions mentales comme la démence et
l’Alzheimer PCQ on entraine le cerveau en le faisant marcher tout le
temps – cela prend beaucoup d’efforts et d’énergie
3) D’autre part, on vit à l’époque de la pollution informatique, c’est-à-dire, on
consomme trop d’informations inutile et notre mémoire est souvent
surchargée des noms des chanteurs, acteurs, mannequins etc. c’est ce qu’on
devrait confier à la mémoire artificielle.
4) QUAND MEME il voudrait mieux mémoriser certaines infos si elles sont
confidentielles ou juste personnellement importantes.
a. Mots de passe – pour qu’on ne les puisse pas voler de ou avec votre
smartphone
b. Les anniversaires de vos proches – pour pouvoir les utiliser comme
mots de passe
c. Codes PIN des cartes bancaires pour même raison etc.
5) Quant à moi, je confie mes mots de passe au système de mon smartphone. Il
est spécialement sécurisé. Ce système me propose des mots de passe
compliqués et uniques, créés aléatoirement, pour les utiliser lors de
l’enregistrement d’un nouveau compte. De plus, il m’alerte si les services
que j’utilise ont été craqués, par exemple, cela se passe tout le temps avec
les services de yandex et google à cause des fuites de données. Après cela il
me conseille de changer mes infos et mots de passe.
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9. Comment faire pour ne pas être l’esclave de son smartphone ? "Le droit à la
déconnection : illusion ou réalité ?

1. Intro – le développent des technologies, des RS, de la réalité virtuelle


entraîne un tas de problèmes, voila pourquoi on doit avoir le droit à la
déconnection. Raisons :
2. 1er point : on a du mal à établir et maintenir l’équilibre entre la vie privée et
la vie virtuelle (dans les gadgets)
a. Les gadgets prennent trop de temps, de concentration et de ressources
mentales, on se sent épuisé de surconsommation d’informations
b. Comme conséquence on a du mal à prêter attention aux proches, à
s’engager dans les relations
ème
3. 2 point : les effets néfastes sur la santé générale et psychologique
a. La lumière des écrans excite le cerveau et perturbe le sommeil. En
effet, ils nuisent à la production de mélatonine par l’organisme,
l’hormone favorisant l’endormissement, qui se transforme en
hormones de bonheur
b. Comme conséquence cela peut amener à une sévère déprime +
l’illusion d’avoir beaucoup d’amis/de followers sur Internet impose
l’idée de ne pas avoir besoin de communication en vie réelle, ce qui
aussi entraîne des problèmes psychologiques/mentales
4. Tout le monde a le droit à la déconnection car c’est vital pour le
fonctionnement normal de l’organisme
Mon exemple – limiter le temps d’usage (paramètres)

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